Maroc
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Re: Maroc
ganem a écrit:
L'islam est la RATP
Religion d'
Amour de
Tolérance et de
Paix
Mauvais jeu de mot.
Pierre Lequédec- Postulant
- Messages : 482
Date d'inscription : 13/08/2017
Re: Maroc
Non c'est rigolo.
Merl1- Vénérable
- Messages : 13812
Date d'inscription : 12/07/2011
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Maroc
tu es un gentil musulman !!!chez toi c'est les gentil(le)s et les méchant(e)sPierre Lequédec a écrit:
Mauvais jeu de mot.
paradoxalement tu es capable de faire comme un député LREM franco algérien de prendre un casque de moto et de casser la tête à qui te contrarie
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: Maroc
Hauts-de-Seine : le calvaire marocain d’une Française accusée d’adultère
>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine|Anthony Lieures| 20 juillet 2018, 18h12 | MAJ : 20 juillet 2018, 18h28 |63
Colombes, le 19 juillet 2017. En vacances au Maroc, une Française de 41 ans (qui brandit ici sa convocation au tribunal) a passé plus de 30 heures en garde à vue pour "complicité d’adultère". Elle dit ignorer que son ami était marié. LP/A.L.
Valérie*, 41 ans, a passé plus de 30 heures en garde à vue à Marrakech, après avoir passé la nuit avec un homme qu’elle ne savait pas marié. Cette habitante de Colombes raconte.
Les policiers l’attendaient à la sortie du lit. Une femme de 41 ans a été interpellée, samedi 14 juillet à Marrakech (Maroc), après avoir passé la nuit dans un hôtel avec un homme… dont elle ignorait qu’il était marié.
Interpellée pour « complicité d’adultère », cette habitante de Colombes est restée plus de 30 heures en garde à vue avant d’être libérée dimanche en fin de journée après avoir payé une caution de 5 000 dirhams (environ 450 €).
Son compagnon, lui, a été placé en détention provisoire. Rentrée lundi en France, Valérie* devait comparaître ce lundi devant le tribunal correctionnel de Marrakech. Mais elle a décidé de ne pas honorer la convocation.
Elle dénonce des « conditions déplorables » en garde à vue
« Il est hors de question que j’y retourne, explique cette cadre d’une grande entreprise. Mes droits ont été bafoués, j’ai été abandonnée pendant deux jours dans des conditions déplorables, dans un couloir étroit au milieu des cafards, de femmes enceintes battues… Avec un procureur odieux qui m’a hurlé dessus. »
Celle qui s’est vue prescrire un arrêt maladie d’une semaine se dit « traumatisée ». Si elle savait l’adultère interdit au Maroc, elle assure qu’elle « ignorait » que son ami était marié. « Il m’a dit qu’il était divorcé, assure-t-elle. En fait, j’ai appris ensuite qu’il n’était qu’en procédure et que le divorce devait être prononcé en septembre. »
Mais ce qu’elle dénonce surtout, c’est le peu de soutien qu’elle a obtenu du consulat de France. « Personne ne m’a aidée ! s’étrangle-t-elle. J’ai demandé un traducteur, je n’ai rien eu. J’ai demandé un avocat. La personne de permanence m’a seulement dit d’aller chercher sur Internet la liste des avocats francophones au Maroc… Mais je n’avais plus de téléphone en garde à vue ! »
De son côté, le ministère des Affaires étrangères indique que le consulat, « aussitôt prévenu de la détention de notre compatriote », a pu lui téléphoner et « transmettre ses conseils dans le cadre de la protection consulaire. » Il indique toutefois que « la législation locale n’autorise pas le personnel consulaire à rencontrer une personne en garde à vue. »
« Dans ce genre de cas, qui est loin d’être isolé, on précise aux gens quels sont leurs droits », souffle une source diplomatique qui rappelle à ceux qui voyagent à l’étranger que le site du ministère recense, pour chaque pays, « les spécificités de la loi locale. »
« Les mentalités évoluent au Maroc »
Que risque Valérie si elle refuse de se présenter au tribunal ? « Sa caution ne lui sera pas rendue et elle sera jugée en son absence », explique Khadija Arrach, avocate au barreau de Rabat.
Elle assure que ce type d’affaires n’aboutit pas toujours à une peine de prison. « Elle peut être condamnée à du sursis ou à une amende, cela dépend du dossier et des circonstances. Avec une bonne plaidoirie, j’ai encore obtenu aujourd’hui une relaxe dans une affaire d’adultère en flagrant délit », insiste-t-elle.
L’avocate assure que « les mentalités évoluent au Maroc » sur ce sujet : « Il y a eu beaucoup de polémiques. Beaucoup de voix se sont élevées pour dire que l’on peut faire l’usage que l’on veut de son corps. »
De son côté, Valérie a tenu à écrire à la présidence de la République pour raconter son cauchemar. « Il faut que les gens sachent que les vacances à Marrakech, ce n’est pas toujours tout beau, tout rose, souffle-t-elle. Et que lorsque il y a un problème, personne n’est là pour vous soutenir. »
*Le prénom a été changé.
>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine|Anthony Lieures| 20 juillet 2018, 18h12 | MAJ : 20 juillet 2018, 18h28 |63
Colombes, le 19 juillet 2017. En vacances au Maroc, une Française de 41 ans (qui brandit ici sa convocation au tribunal) a passé plus de 30 heures en garde à vue pour "complicité d’adultère". Elle dit ignorer que son ami était marié. LP/A.L.
Valérie*, 41 ans, a passé plus de 30 heures en garde à vue à Marrakech, après avoir passé la nuit avec un homme qu’elle ne savait pas marié. Cette habitante de Colombes raconte.
Les policiers l’attendaient à la sortie du lit. Une femme de 41 ans a été interpellée, samedi 14 juillet à Marrakech (Maroc), après avoir passé la nuit dans un hôtel avec un homme… dont elle ignorait qu’il était marié.
Interpellée pour « complicité d’adultère », cette habitante de Colombes est restée plus de 30 heures en garde à vue avant d’être libérée dimanche en fin de journée après avoir payé une caution de 5 000 dirhams (environ 450 €).
Son compagnon, lui, a été placé en détention provisoire. Rentrée lundi en France, Valérie* devait comparaître ce lundi devant le tribunal correctionnel de Marrakech. Mais elle a décidé de ne pas honorer la convocation.
Elle dénonce des « conditions déplorables » en garde à vue
« Il est hors de question que j’y retourne, explique cette cadre d’une grande entreprise. Mes droits ont été bafoués, j’ai été abandonnée pendant deux jours dans des conditions déplorables, dans un couloir étroit au milieu des cafards, de femmes enceintes battues… Avec un procureur odieux qui m’a hurlé dessus. »
Celle qui s’est vue prescrire un arrêt maladie d’une semaine se dit « traumatisée ». Si elle savait l’adultère interdit au Maroc, elle assure qu’elle « ignorait » que son ami était marié. « Il m’a dit qu’il était divorcé, assure-t-elle. En fait, j’ai appris ensuite qu’il n’était qu’en procédure et que le divorce devait être prononcé en septembre. »
Mais ce qu’elle dénonce surtout, c’est le peu de soutien qu’elle a obtenu du consulat de France. « Personne ne m’a aidée ! s’étrangle-t-elle. J’ai demandé un traducteur, je n’ai rien eu. J’ai demandé un avocat. La personne de permanence m’a seulement dit d’aller chercher sur Internet la liste des avocats francophones au Maroc… Mais je n’avais plus de téléphone en garde à vue ! »
De son côté, le ministère des Affaires étrangères indique que le consulat, « aussitôt prévenu de la détention de notre compatriote », a pu lui téléphoner et « transmettre ses conseils dans le cadre de la protection consulaire. » Il indique toutefois que « la législation locale n’autorise pas le personnel consulaire à rencontrer une personne en garde à vue. »
« Dans ce genre de cas, qui est loin d’être isolé, on précise aux gens quels sont leurs droits », souffle une source diplomatique qui rappelle à ceux qui voyagent à l’étranger que le site du ministère recense, pour chaque pays, « les spécificités de la loi locale. »
« Les mentalités évoluent au Maroc »
Que risque Valérie si elle refuse de se présenter au tribunal ? « Sa caution ne lui sera pas rendue et elle sera jugée en son absence », explique Khadija Arrach, avocate au barreau de Rabat.
Elle assure que ce type d’affaires n’aboutit pas toujours à une peine de prison. « Elle peut être condamnée à du sursis ou à une amende, cela dépend du dossier et des circonstances. Avec une bonne plaidoirie, j’ai encore obtenu aujourd’hui une relaxe dans une affaire d’adultère en flagrant délit », insiste-t-elle.
L’avocate assure que « les mentalités évoluent au Maroc » sur ce sujet : « Il y a eu beaucoup de polémiques. Beaucoup de voix se sont élevées pour dire que l’on peut faire l’usage que l’on veut de son corps. »
De son côté, Valérie a tenu à écrire à la présidence de la République pour raconter son cauchemar. « Il faut que les gens sachent que les vacances à Marrakech, ce n’est pas toujours tout beau, tout rose, souffle-t-elle. Et que lorsque il y a un problème, personne n’est là pour vous soutenir. »
*Le prénom a été changé.
Re: Maroc
Au Maroc, les apostats ne sont plus passibles de la peine de mort
Revenant sur une fatwa de 2012, six membres du Conseil supérieur des oulémas du Maroc ont estimé, dans un livre, que la peine de mort devait être réservée à ceux qui « trahissent leur pays » et non à ceux qui changent de religion.
Au Maroc, les apostats ne sont plus passibles de la peine de mort
Dans un document intitulé Sabil al-Oulémas (La voie des savants), le Conseil supérieur des oulémas du Maroc a modifié sa position sur l’apostasie, rapportait le 6 février le site Morocco World News.
Cette instance présidée par le roi et chargée d’émettre des fatwas (avis religieux) est donc « revenue sur sa position », indique l’article. Pour justifier ce revirement, les « savants » marocains ont « redéfini l’apostasie non pas comme une question religieuse, mais comme un sujet politique plus proche de la "haute trahison"».
L’information n’a pas été reprise par le reste de la presse marocaine et a suscité bien peu de réactions dans le pays.
Pas en droit marocain
Sans doute parce que le délit d’apostasie n’existe pas en droit marocain. Seul existe un délit d’« ébranlement de la foi d’un mahométan » qui concerne davantage les actions de prosélytisme susceptibles de provoquer des troubles dans l'espace public et qui a servi à justifier l’expulsion de nombreux fidèles et responsables chrétiens - surtout protestants - en 2010.
Peut-être aussi parce que l’ouvrage en question, s’il a été publié en 2016 par le Haut conseil des oulémas, n’est signé que par six de ses membres.
Dans le chapitre 5 qui porte sur « Justice, solidarité, droits et libertés au sein de la Umma », la communauté musulmane, il traite de la question de l'apostasie, en rappelant d’abord les versets coraniques favorables à la liberté et à la tolérance en matière de croyance : sourate de la Vache, 255 ; sourate de La Caverne, 29 ; sourate de Jonas, 99, etc.
Haute trahison
Les auteurs évoquent ensuite la question de l'apostasie qui a connu, à leurs yeux, une mauvaise interprétation des sources, notamment le hadith (propos prêté au prophète de l’idéologie mahométane) mal compris, selon eux : « Celui qui change de religion, tuez le ». L'apostat visé ici serait, selon eux, celui qui s'allie aux puissances ennemis pour comploter contre sa propre communauté. Et l’apostasie en question l'équivalent de la haute trahison en droit international.
Ce faisant, et s’appuyant sur des récits tirés du Coran, de la vie de Mohammed ou des premiers califes telle que la rapporte la tradition islamique, ils distinguent « apostasie politique », passible de la peine capitale, et « apostasie intellectuelle », qui relèverait de la liberté individuelle.
Réaction institutionnelle
« Pour les connaisseurs des débats que connaît l'idéologie mahométane moderne depuis plus d'un siècle, il n’y a strictement rien de neuf dans ce texte », affirme l’anthropologue Mohamed-Sghir Janjar, directeur-adjoint de la Fondation du Roi Abdul-Aziz Al Saoud pour les études islamiques et les sciences humaines, à Casablanca (Maroc). « Car sur le plan théologique et intellectuel, cette lecture ne fait que reprendre l'argumentation développée depuis plusieurs décennies par des théologiens, des idéologues ou théoriciens de l'islamisme politique ».
Une première fatwa, prononcée en 2012 par ce même Haut conseil des oulémas et aux conclusions inverses, avait toutefois semé le trouble dans le pays. Sur la base d’arguments classiques tirés de la tradition islamique, elle qualifiait d’ « apostat » tout citoyen marocain mahométan désireux de changer de religion - en cas de non réponse à l'injonction de repentir que lui adresseraient les autorités -, le rendait passible de la peine capitale.
Pour l’anthropologue, l’ouvrage publié par le Conseil supérieur des oulémas témoigne d’une « réaction institutionnelle » - autrement dit des autorités marocaines - à cette publication.
Dès le vendredi suivant la fatwa de 2012, le roi du Maroc, également Commandeur des croyants, avait présidé la prière du vendredi dans une mosquée où le prêche avait été consacré à la défense de la liberté religieuse.
Interrogé début mai 2013 par des députés devant la chambre des représentants, le ministre des habous et des affaires islamiques, Ahmed Toufiq, avait lui qualifié « d’avis et non de fatwa » la décision du Conseil supérieur des oulémas, affirmant que ce dernier est « l’institution la mieux placée pour savoir que la liberté de culte fait partie des principes immuables de l’idéologie mahométane, comme l’affirme le verset coranique : Il n’y a point de contrainte en religion ».
Engagé dans la lutte contre les courants extrémistes au sein de l’idéologie mahométane, le roi Mohammed VI était donc partisan de ce changement.
« Lors de la rédaction de la Constitution de 2011, le palais aurait aimé qu’on y proclame la liberté religieuse », rappelle un autre observateur. Mais le Parti de la justice et du développement (PJD, islamiste) et l’Istiqlal (parti de l’Indépendance) avaient dit haut et fort qu’ils ne voteraient pas la Constitution « si elle contenait une semblable disposition ».
Revenant sur une fatwa de 2012, six membres du Conseil supérieur des oulémas du Maroc ont estimé, dans un livre, que la peine de mort devait être réservée à ceux qui « trahissent leur pays » et non à ceux qui changent de religion.
Au Maroc, les apostats ne sont plus passibles de la peine de mort
Dans un document intitulé Sabil al-Oulémas (La voie des savants), le Conseil supérieur des oulémas du Maroc a modifié sa position sur l’apostasie, rapportait le 6 février le site Morocco World News.
Cette instance présidée par le roi et chargée d’émettre des fatwas (avis religieux) est donc « revenue sur sa position », indique l’article. Pour justifier ce revirement, les « savants » marocains ont « redéfini l’apostasie non pas comme une question religieuse, mais comme un sujet politique plus proche de la "haute trahison"».
L’information n’a pas été reprise par le reste de la presse marocaine et a suscité bien peu de réactions dans le pays.
Pas en droit marocain
Sans doute parce que le délit d’apostasie n’existe pas en droit marocain. Seul existe un délit d’« ébranlement de la foi d’un mahométan » qui concerne davantage les actions de prosélytisme susceptibles de provoquer des troubles dans l'espace public et qui a servi à justifier l’expulsion de nombreux fidèles et responsables chrétiens - surtout protestants - en 2010.
Peut-être aussi parce que l’ouvrage en question, s’il a été publié en 2016 par le Haut conseil des oulémas, n’est signé que par six de ses membres.
Dans le chapitre 5 qui porte sur « Justice, solidarité, droits et libertés au sein de la Umma », la communauté musulmane, il traite de la question de l'apostasie, en rappelant d’abord les versets coraniques favorables à la liberté et à la tolérance en matière de croyance : sourate de la Vache, 255 ; sourate de La Caverne, 29 ; sourate de Jonas, 99, etc.
Haute trahison
Les auteurs évoquent ensuite la question de l'apostasie qui a connu, à leurs yeux, une mauvaise interprétation des sources, notamment le hadith (propos prêté au prophète de l’idéologie mahométane) mal compris, selon eux : « Celui qui change de religion, tuez le ». L'apostat visé ici serait, selon eux, celui qui s'allie aux puissances ennemis pour comploter contre sa propre communauté. Et l’apostasie en question l'équivalent de la haute trahison en droit international.
Ce faisant, et s’appuyant sur des récits tirés du Coran, de la vie de Mohammed ou des premiers califes telle que la rapporte la tradition islamique, ils distinguent « apostasie politique », passible de la peine capitale, et « apostasie intellectuelle », qui relèverait de la liberté individuelle.
Réaction institutionnelle
« Pour les connaisseurs des débats que connaît l'idéologie mahométane moderne depuis plus d'un siècle, il n’y a strictement rien de neuf dans ce texte », affirme l’anthropologue Mohamed-Sghir Janjar, directeur-adjoint de la Fondation du Roi Abdul-Aziz Al Saoud pour les études islamiques et les sciences humaines, à Casablanca (Maroc). « Car sur le plan théologique et intellectuel, cette lecture ne fait que reprendre l'argumentation développée depuis plusieurs décennies par des théologiens, des idéologues ou théoriciens de l'islamisme politique ».
Une première fatwa, prononcée en 2012 par ce même Haut conseil des oulémas et aux conclusions inverses, avait toutefois semé le trouble dans le pays. Sur la base d’arguments classiques tirés de la tradition islamique, elle qualifiait d’ « apostat » tout citoyen marocain mahométan désireux de changer de religion - en cas de non réponse à l'injonction de repentir que lui adresseraient les autorités -, le rendait passible de la peine capitale.
Pour l’anthropologue, l’ouvrage publié par le Conseil supérieur des oulémas témoigne d’une « réaction institutionnelle » - autrement dit des autorités marocaines - à cette publication.
Dès le vendredi suivant la fatwa de 2012, le roi du Maroc, également Commandeur des croyants, avait présidé la prière du vendredi dans une mosquée où le prêche avait été consacré à la défense de la liberté religieuse.
Interrogé début mai 2013 par des députés devant la chambre des représentants, le ministre des habous et des affaires islamiques, Ahmed Toufiq, avait lui qualifié « d’avis et non de fatwa » la décision du Conseil supérieur des oulémas, affirmant que ce dernier est « l’institution la mieux placée pour savoir que la liberté de culte fait partie des principes immuables de l’idéologie mahométane, comme l’affirme le verset coranique : Il n’y a point de contrainte en religion ».
Engagé dans la lutte contre les courants extrémistes au sein de l’idéologie mahométane, le roi Mohammed VI était donc partisan de ce changement.
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