Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
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Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
Métro Charonne, 8 février 1962 : n'oublions jamais
Il y a 55 ans, métro Charonne, la police de Papon tuait .
Le 8 février 1962, une manifestation pour la paix en Algérie avait été sévèrement réprimée par les forces de l'ordre.
Février 1962, un an après le référendum sur l'autodétermination, la fin de l'Algérie française est proche. Mais les ultras de l'OAS continuent à perpétrer un climat de terreur, refusant l'indépendance de la colonie.
Le 7 février, une vague d'attentats est menée en région parisienne, visant notamment le ministre de la Culture André Malraux et l'écrivain Jean-Paul Sartre. Le lendemain, à l'initiative de la gauche (PCF et PSU) et d'un collectif de syndicats, un rassemblement est organisé dans le quartier de Bastille pour dénoncer les manoeuvres de l'OAS.
Interdite par les autorités, la manifestation est violemment réprimée par les forces de l'ordre.
Le jour de la manifestation, des dizaines de milliers de personnes se rejoignent boulevard Beaumarchais, bravant l'interdiction. Les forces de l'ordre ont quadrillé le quartier. Ils chargent le cortège au niveau du Boulevard Voltaire et de la rue de Charonne.
Poussés par les policiers, les manifestants se replient dans la bouche de métro Charonne, provoquant un mouvement de panique.
... férocement réprimée par la police
Aux abords de la station Charonne (11e) et alors que les organisateurs s'apprêtent à déclarer la dispersion de la manifestation, la police charge à coup de matraque les manifestants qui cherchent alors à se réfugier dans le métro. En contre-bas des marches se déroulent des scènes d'une violence extrême. Des témoins rapportent que des policiers en faction ce soir-là vont se saisir et jeter des personnes dans l'escalier par dessus la rampe de la bouche du métro, ou encore lancer des grilles en fonte sur les manifestants tentant de fuir. Bilan : neuf victimes mortes étouffées ou le crâne fracturé et 250 blessés.
Le lendemain, le ministre de l'Intérieur Roger Frey fait le bilan de la manifestation en minimisant les violences policières. Une enquête judiciaire est ouverte sur les circonstances des décès. Huit personnes ont perdu la vie dans la manifestation, une neuvième décède quelques mois plus tard des suites de ses blessures.
Des centaines de milliers de personnes défilent pour les obsèques des victimes. La presse critique vivement l'action des forces de l'ordre, alors sous le contrôle du préfet Maurice Papon.
Des victimes réclament toujours que cet évènement tragique soit reconnu comme un "crime d'Etat". Une loi d'amnistie votée en 1966 a couvert les manifestions d'octobre 1961 et février 1962.
En 2007, la place de la station de métro "Charonne" devient "Place du 8 Février 1962".
Il y a 55 ans, métro Charonne, la police de Papon tuait .
Le 8 février 1962, une manifestation pour la paix en Algérie avait été sévèrement réprimée par les forces de l'ordre.
Février 1962, un an après le référendum sur l'autodétermination, la fin de l'Algérie française est proche. Mais les ultras de l'OAS continuent à perpétrer un climat de terreur, refusant l'indépendance de la colonie.
Le 7 février, une vague d'attentats est menée en région parisienne, visant notamment le ministre de la Culture André Malraux et l'écrivain Jean-Paul Sartre. Le lendemain, à l'initiative de la gauche (PCF et PSU) et d'un collectif de syndicats, un rassemblement est organisé dans le quartier de Bastille pour dénoncer les manoeuvres de l'OAS.
Interdite par les autorités, la manifestation est violemment réprimée par les forces de l'ordre.
Le jour de la manifestation, des dizaines de milliers de personnes se rejoignent boulevard Beaumarchais, bravant l'interdiction. Les forces de l'ordre ont quadrillé le quartier. Ils chargent le cortège au niveau du Boulevard Voltaire et de la rue de Charonne.
Poussés par les policiers, les manifestants se replient dans la bouche de métro Charonne, provoquant un mouvement de panique.
... férocement réprimée par la police
Aux abords de la station Charonne (11e) et alors que les organisateurs s'apprêtent à déclarer la dispersion de la manifestation, la police charge à coup de matraque les manifestants qui cherchent alors à se réfugier dans le métro. En contre-bas des marches se déroulent des scènes d'une violence extrême. Des témoins rapportent que des policiers en faction ce soir-là vont se saisir et jeter des personnes dans l'escalier par dessus la rampe de la bouche du métro, ou encore lancer des grilles en fonte sur les manifestants tentant de fuir. Bilan : neuf victimes mortes étouffées ou le crâne fracturé et 250 blessés.
Le lendemain, le ministre de l'Intérieur Roger Frey fait le bilan de la manifestation en minimisant les violences policières. Une enquête judiciaire est ouverte sur les circonstances des décès. Huit personnes ont perdu la vie dans la manifestation, une neuvième décède quelques mois plus tard des suites de ses blessures.
Des centaines de milliers de personnes défilent pour les obsèques des victimes. La presse critique vivement l'action des forces de l'ordre, alors sous le contrôle du préfet Maurice Papon.
Des victimes réclament toujours que cet évènement tragique soit reconnu comme un "crime d'Etat". Une loi d'amnistie votée en 1966 a couvert les manifestions d'octobre 1961 et février 1962.
En 2007, la place de la station de métro "Charonne" devient "Place du 8 Février 1962".
STUNENEB- TROLL interné d'office
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Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
Qui va venir démontrer le contraire ?
STUNENEB- TROLL interné d'office
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Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
Je ne démontrerai pas le contraire, connaissant les méthodes de la police et de la gendarmerie gaullistes en ... Algérie (Bab el Oued, 26 mars rue d'Isly, etc... etc...)
Mais j'ajouterai tout de même un point qui me semble important. Les grilles de la station de métro Charonne étaient fermées et la foule s'y est écrasée en fuyant. La plupart des victimes y ont été étouffées par la pression de la foule, pas par les matraques des CRS ! Le responsable ? Le parti communiste, allié des terroristes du FLN, et ceux qui ont décidé de fermer les grilles de la station...
Cela dit, je n'ai pas entendu dire qu'il y avait eu des manifestations pur protester contre la fusillade de la rue d'Isly à Alger qui fit 80 morts dont des femmes et des vieillards... Pour les cocos, il y a les "bons" cadavres et les "mauvais", on le sait !
Mais j'ajouterai tout de même un point qui me semble important. Les grilles de la station de métro Charonne étaient fermées et la foule s'y est écrasée en fuyant. La plupart des victimes y ont été étouffées par la pression de la foule, pas par les matraques des CRS ! Le responsable ? Le parti communiste, allié des terroristes du FLN, et ceux qui ont décidé de fermer les grilles de la station...
Cela dit, je n'ai pas entendu dire qu'il y avait eu des manifestations pur protester contre la fusillade de la rue d'Isly à Alger qui fit 80 morts dont des femmes et des vieillards... Pour les cocos, il y a les "bons" cadavres et les "mauvais", on le sait !
El seductor- Maître
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Jean-Louis de Toqueville aime ce message
Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
STUNENEB a écrit:Métro Charonne, 8 février 1962 : n'oublions jamais
Il y a 55 ans, métro Charonne, la police de Papon tuait .
Le 8 février 1962, une manifestation pour la paix en Algérie avait été sévèrement réprimée par les forces de l'ordre.
Février 1962, un an après le référendum sur l'autodétermination, la fin de l'Algérie française est proche. Mais les ultras de l'OAS continuent à perpétrer un climat de terreur, refusant l'indépendance de la colonie.
Le 7 février, une vague d'attentats est menée en région parisienne, visant notamment le ministre de la Culture André Malraux et l'écrivain Jean-Paul Sartre. Le lendemain, à l'initiative de la gauche (PCF et PSU) et d'un collectif de syndicats, un rassemblement est organisé dans le quartier de Bastille pour dénoncer les manoeuvres de l'OAS.
Interdite par les autorités, la manifestation est violemment réprimée par les forces de l'ordre.
Le jour de la manifestation, des dizaines de milliers de personnes se rejoignent boulevard Beaumarchais, bravant l'interdiction. Les forces de l'ordre ont quadrillé le quartier. Ils chargent le cortège au niveau du Boulevard Voltaire et de la rue de Charonne.
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... férocement réprimée par la police
Aux abords de la station Charonne (11e) et alors que les organisateurs s'apprêtent à déclarer la dispersion de la manifestation, la police charge à coup de matraque les manifestants qui cherchent alors à se réfugier dans le métro. En contre-bas des marches se déroulent des scènes d'une violence extrême. Des témoins rapportent que des policiers en faction ce soir-là vont se saisir et jeter des personnes dans l'escalier par dessus la rampe de la bouche du métro, ou encore lancer des grilles en fonte sur les manifestants tentant de fuir. Bilan : neuf victimes mortes étouffées ou le crâne fracturé et 250 blessés.
Le lendemain, le ministre de l'Intérieur Roger Frey fait le bilan de la manifestation en minimisant les violences policières. Une enquête judiciaire est ouverte sur les circonstances des décès. Huit personnes ont perdu la vie dans la manifestation, une neuvième décède quelques mois plus tard des suites de ses blessures.
Des centaines de milliers de personnes défilent pour les obsèques des victimes. La presse critique vivement l'action des forces de l'ordre, alors sous le contrôle du préfet Maurice Papon.
Des victimes réclament toujours que cet évènement tragique soit reconnu comme un "crime d'Etat". Une loi d'amnistie votée en 1966 a couvert les manifestions d'octobre 1961 et février 1962.
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STUNENEB- TROLL interné d'office
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Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
STUNENEB a écrit:STUNENEB a écrit:Métro Charonne, 8 février 1962 : n'oublions jamais
Il y a 55 ans, métro Charonne, la police de Papon tuait .
Le 8 février 1962, une manifestation pour la paix en Algérie avait été sévèrement réprimée par les forces de l'ordre.
Février 1962, un an après le référendum sur l'autodétermination, la fin de l'Algérie française est proche. Mais les ultras de l'OAS continuent à perpétrer un climat de terreur, refusant l'indépendance de la colonie.
Le 7 février, une vague d'attentats est menée en région parisienne, visant notamment le ministre de la Culture André Malraux et l'écrivain Jean-Paul Sartre. Le lendemain, à l'initiative de la gauche (PCF et PSU) et d'un collectif de syndicats, un rassemblement est organisé dans le quartier de Bastille pour dénoncer les manoeuvres de l'OAS.
Interdite par les autorités, la manifestation est violemment réprimée par les forces de l'ordre.
Le jour de la manifestation, des dizaines de milliers de personnes se rejoignent boulevard Beaumarchais, bravant l'interdiction. Les forces de l'ordre ont quadrillé le quartier. Ils chargent le cortège au niveau du Boulevard Voltaire et de la rue de Charonne.
Poussés par les policiers, les manifestants se replient dans la bouche de métro Charonne, provoquant un mouvement de panique.
... férocement réprimée par la police
Aux abords de la station Charonne (11e) et alors que les organisateurs s'apprêtent à déclarer la dispersion de la manifestation, la police charge à coup de matraque les manifestants qui cherchent alors à se réfugier dans le métro. En contre-bas des marches se déroulent des scènes d'une violence extrême. Des témoins rapportent que des policiers en faction ce soir-là vont se saisir et jeter des personnes dans l'escalier par dessus la rampe de la bouche du métro, ou encore lancer des grilles en fonte sur les manifestants tentant de fuir. Bilan : neuf victimes mortes étouffées ou le crâne fracturé et 250 blessés.
Le lendemain, le ministre de l'Intérieur Roger Frey fait le bilan de la manifestation en minimisant les violences policières. Une enquête judiciaire est ouverte sur les circonstances des décès. Huit personnes ont perdu la vie dans la manifestation, une neuvième décède quelques mois plus tard des suites de ses blessures.
Des centaines de milliers de personnes défilent pour les obsèques des victimes. La presse critique vivement l'action des forces de l'ordre, alors sous le contrôle du préfet Maurice Papon.
Des victimes réclament toujours que cet évènement tragique soit reconnu comme un "crime d'Etat". Une loi d'amnistie votée en 1966 a couvert les manifestions d'octobre 1961 et février 1962.
En 2007, la place de la station de métro "Charonne" devient "Place du 8 Février 1962".
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Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
Oui, et alors ? L'Humanité était pro-FLN. C'est dans l'Humanité qu'on trouvait la légende des 300 Algériens jetés à la Seine par la police... C'est dire le niveau de l'information !
La photo qui montre deux tués devant une 4 CV Renault sur la chaussée n'a rien à voir avec la manifestation "anti-fasciste" du PCF. Il s'agit de deux victimes du... FLN, prises peut-être à Alger (tenue des parachutistes en arrière-plan sur le trottoir, qui ne se trouvaient pas à Paris à cette époque).
La photo qui montre deux tués devant une 4 CV Renault sur la chaussée n'a rien à voir avec la manifestation "anti-fasciste" du PCF. Il s'agit de deux victimes du... FLN, prises peut-être à Alger (tenue des parachutistes en arrière-plan sur le trottoir, qui ne se trouvaient pas à Paris à cette époque).
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Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
STUNENEB a écrit:
Massacre métro charonne
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Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
Massacre métro charonne
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Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
Massacre métro Charonne
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Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
Tu peux toujours copier et coller les pages du torchon du PCF ! Çà n'enlèvera rien de ce que j'ai dit !
La photo, cette fois ci mise en tête, n'est pas une photo de la manif de Paris du PCF. Donc déjà un faux grotesque !
Et d'autre part si les policiers de "Charonne" étaient armés de matraques, les tirailleurs de la rue d'Isly à Alger tiraient au PM et à la mitrailleuse AA52 sur des civils innocents...
Allez vas-y, recopie et recolle, çà remplira le forum !
La photo, cette fois ci mise en tête, n'est pas une photo de la manif de Paris du PCF. Donc déjà un faux grotesque !
Et d'autre part si les policiers de "Charonne" étaient armés de matraques, les tirailleurs de la rue d'Isly à Alger tiraient au PM et à la mitrailleuse AA52 sur des civils innocents...
Allez vas-y, recopie et recolle, çà remplira le forum !
El seductor- Maître
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Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
STUNENEB a écrit:
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Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
tout ce baratin pour la répression logique d'un mouvement insurrectionnel, par contre pour les horreurs du FLN, circulez y a rien à voir...
_________________
Ferdinand de Talmont- Vénérable
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Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
Je rappelle que les victimes de cette manifestation ne le doivent pas aux coups des policiers, mais à leur entassement dans une bouche de métro qui était close par une grille qui en interdisait l'accès.
Les photos présentées par Benenuts ne la concernent en rien !
Les photos présentées par Benenuts ne la concernent en rien !
El seductor- Maître
- Messages : 2452
Date d'inscription : 04/07/2013
Localisation : Avignon
Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
En gros, c'est leurs fautes ? Ce sont des victimes collatérales, mon cher ami, c'est cela ? Je regrette mais il n'est pas normal de mourir en France pour ses idées. Ce n'est pas ma vision de la France et de la démocratie, c'est peut-être la vôtre mais pas la mienne. C'est encore récemment arrivé (Rémi Fraisse) et le policier en question n'a absolument rien eu (non-lieu), ce qui est choquant, je regrette mais quand il s'agit d'un accident, comme ce fut le cas, on doit être un minimum condamné, par exemple lors d'un accident de la route où des personnes sont tuées, on ramasse un peu quand même... C'est exactement la même chose, sauf qu'on est normalement un "professionnel" avec une arme à la main et non un jouet et qu'on a des êtres humains dans le viseur, c'est tout.El seductor a écrit:Je rappelle que les victimes de cette manifestation ne le doivent pas aux coups des policiers, mais à leur entassement dans une bouche de métro qui était close par une grille qui en interdisait l'accès.
Les photos présentées par Benenuts ne la concernent en rien !
FAB42- Chef
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Localisation : SAINT-ETIENNE
Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
Je n'ai jamais dit çà ! Mais devant la publication de photos et d'une affiche accusant la police du "massacre" des militants du PCF devant la station de métro Charonne, je me devais de rétablir la vérité, comme je l'ai déjà faite au sujet des "300 Algériens jetés dans la Seine en octobre 1961" .
Les photos montrées par Benenuts ne correspondent pas du tout à la manif' du 8 février 1962. Faut-il laisser passer ce genre de bobards rapportés j'en prend également note par... l'Humanité !
Je remplis mon devoir de contestation. Et c'est normal.
Les photos montrées par Benenuts ne correspondent pas du tout à la manif' du 8 février 1962. Faut-il laisser passer ce genre de bobards rapportés j'en prend également note par... l'Humanité !
Je remplis mon devoir de contestation. Et c'est normal.
El seductor- Maître
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Date d'inscription : 04/07/2013
Localisation : Avignon
Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
Cet évènement n'a pas été reconnu par l'Etat ?El seductor a écrit:Je n'ai jamais dit çà ! Mais devant la publication de photos et d'une affiche accusant la police du "massacre" des militants du PCF devant la station de métro Charonne, je me devais de rétablir la vérité, comme je l'ai déjà faite au sujet des "300 Algériens jetés dans la Seine en octobre 1961" .
Les photos montrées par Benenuts ne correspondent pas du tout à la manif' du 8 février 1962. Faut-il laisser passer ce genre de bobards rapportés j'en prend également note par... l'Humanité !
Je remplis mon devoir de contestation. Et c'est normal.
FAB42- Chef
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Date d'inscription : 17/08/2013
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Re: Le 8 février 1962, la police de Papon tuait
Non. Ce qui a été retenu par l'état c'est l'enquête de police basée sur les constatations faites à l'Institut médico-légal de la Seine, le mieux placé pour donner un chiffre crédible.
El seductor- Maître
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