Picasso, ses périodes
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Et vous, quel est votre Picasso préféré?
Picasso, ses périodes
Rares sont les artistes à avoir autant influencé l’Histoire de l’Art que Pablo Picasso. Période bleue, période rose, cubisme, surréalisme… il est possible de classer l’ensemble des œuvres de ce touche-à-tout génial en 10 grandes périodes, largement influencées par son état d’esprit du moment.
Retour sur la carrière d’un génie du XXe siècle!
Et vous, quel Picasso êtes-vous?
On a du génie ou on l’a pas…
1889 – 1900
Tout petit déjà, Pablo suit des cours de dessin et de peinture « traditionnels ». Il faut dire qu’avoir un Papa artiste, ça aide à développer sa fibre créatrice! Ses premières toiles, alors qu’il n’a pas encore 10 ans, font preuve d’une maturité insolente. Il entre aux Beaux-arts très jeune, mais n’a déjà plus grand chose à y apprendre… Au contraire, il prend un soin particulier à « désapprendre » des techniques et des normes qu’il estime trop rigides. Que le lecteur juge par lui-même: entre Première Communion (ci-dessus) qu’il compose alors qu’il a à peine 15 ans et Corrida (ci-dessous) qu’il peint 4 ans plus tard, la différence de style est flagrante!
Le pouvoir du bleu
1901-1904
Le mal-être du jeune peintre transpire maintenant dans ses tableaux. Le suicide de son ami Carlos Casagemas l’affecte profondément. Nostalgique du bon vieux temps où il faisait les 400 coups avec lui, il navigue au gré du vent entre Paris et Barcelone à la recherche du bonheur passé. Faut-il être malheureux pour être un grand artiste? Ce n’est pas Picasso qui nous dira le contraire… D’une pauvreté extrême, il se pose finalement à Paris et vit dans les bas-fonds de la capitale où il passe ses journées à peindre, puisant l’inspiration dans le monde misérable qui l’entoure. La teinte bleutée qu’il donne à ses modèles glace le sang du spectateur. Les personnages qu’il dessine semblent sortir d’outre-tombe et personnifie à la perfection la solitude et la mort.
Le rose vous va si bien
1904-1907
Les prostituées, les mendiants, les suicidaires, ça va bien cinq minutes! Picasso semble reprendre du poil de la bête et redonne un peu de couleur à ses compositions. Mais que l’on ne s’y trompe pas! Sous l’apparente légèreté des modèles choisis (saltimbanques, personnages de la Comedia del Arte,…) se cache une nouvelle fois un désenchantement du monde pour reprendre une expression chère à Max Weber! Les saltimbanques sont en habits de scène mais ne sont pas en représentation pour autant. Les regards sont vides, les expressions mélancoliques. On se dit qu’une petite cure de Prozac ne ferait pas de mal à l’ami Picasso.
Je vois la vie en cube
1907-1909
1907: retenez bien cette date, vous assistez en direct à la naissance de l’art moderne! Et son géniteur est bien sûr notre Pablo adoré avec Les Demoiselles d’Avignon qui rompt radicalement avec les traditions artistiques. Dans le même temps, il s’intéresse à l’art « nègre » (ainsi qualifié à l’époque, j’invente rien!) inspiré des arts tribaux africains: les expressions sont figées, les arcades sourcilières épaisses, le nez épaté, etc. Inutile de vous dire que Picasso ne fait alors pas vraiment l’unanimité et ne s’attire que le mépris de la plupart de ses contemporains.
Un laboratoire plein de promesses
1910 – 1918
Ça y est, Picasso, à force de persévérance, finit enfin par être reconnu comme un grand artiste dans le tout-Paris. Quel soulagement! Comment va-t-il réagir? Va-t-il persévérer dans le style qui l’a fait connaître ou, au contraire, en profiter pour aller à la découverte de nouveaux terrains d’expérimentations? Vous commencez maintenant à connaître un peu l’artiste et vous vous doutez bien que c’est cette deuxième option qu’il va prendre!
Avec son ami George Braque, ils vont mener de véritables expériences artistiques. Leur but? Casser les codes, détricoter la réalité, aller loin, toujours plus loin!
Il faut bien admettre que les résultats ne sont pas toujours à la hauteur des espérances des deux artistes… Picasso nous perd un peu en cours de route, mais rassurez-vous, le génie a plus d’un tour dans sac…
Retour au classique
1918 – 1925
♪ Qu’il est long, qu’il est loin, ton chemin Papa, C’est vraiment fatigant d’aller où tu vas ♫
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Picasso est dur à suivre! Après avoir passé des années à casser tous les codes artistiques existants, il revient aux sources, l’air de rien…
Depuis quelques temps, Pablo s’est quelque peu embourgeoisé… Reconnu par le tout-Paris, la star brasse maintenant des millions et est courtisé par les plus belles femmes d’Europe. Il se met à la colle avec une certaine Olga, une danseuse des ballets russes et nos deux tourtereaux passent du bon temps pendant plusieurs mois à Rome. Domestiques, chauffeur privé,… Picasso est maintenant à des années-lumière du train de vie misérable de sa jeunesse!
Que cette vie heureuse et épanouie ait modifiée sa perception des choses, cela ne fait aucun doute. Il semble rentrer dans le rang, police son style, devient plus « mainstream »… Et voilà notre artiste qui se met à rendre hommage aux modèles utilisés lors de la Renaissance. Bien sûr, il y ajoute toujours sa touche personnelle… Faut pas déconner quand même!
La crise existentielle, un retour aux sources salvateur!
1925 – 1936
Peindre des baigneuses courant le long de la plage, c’est très récréatif, bien sûr, mais ça ne suffit bientôt plus à l’artiste pour combler son besoin d’expression. Il se rend très vite compte que le succès lui est monté à la tête et que ces dernières œuvres manquent cruellement de créativité. Pablo nous fait maintenant une crise existentielle… Ajoutez à cela que tout va mal avec son épouse Olga, que sa maîtresse Marie-Thérèse trouve le moyen de tomber enceinte et qu’une autre de ses maîtresses lui met la pression pour qu’il divorce d’Olga! Y’en a qui craqueraient pour moins que ça, c’est sûr!
Heureusement, il reste une chose avec laquelle Picasso n’est pas en crise: son amour pour la peinture. Il décide de changer radicalement de registre et verse cette fois dans le surréalisme. Ses nouvelles toiles sont chargées d’une violence et d’une sexualité bestiales.
On retrouve enfin le Picasso qu’on aime.
Allelujah!
Le temps des guerres et de la souffrance
1936 – 1945
1936: la guerre civile fait rage en Espagne. Picasso ne s’arme pas de fusils pour lutter contre l’oppresseur, mais de pinceaux et de seaux de peinture. Son Guernica, une fresque débordant d’horreur et de violences, devient le symbole de la lutte contre le fascisme et l’oppression des faibles. Alors même que les Allemands envahissent la France et s’installent dans la capitale, lui reste à Paris. Il fait l’objet d’un surveillance accrue par les Nazis qui voient en lui un artiste subversif.
Côtoyant la mort à longueur de journée, il se livre à une sorte de catharsis dans ses œuvres où s’amoncellent chair déchiquetée, ossements abandonnés et visages marqués par l’angoisse.
La joie de vivre, tout simplement
1946 – 1954
Finies les turpitudes de la guerre! Le soleil et la joie de vivre brillent de nouveau sur l’Europe. Picasso s’installe sur la Côte d’Azur avec une petite jeunette d’une vingtaine d’années (lui en a 65!). Riche à millions, courtisé à outrance, il préfère prendre du recul par rapport au show-biz et profite de la vie avec sa famille.
Cette joie de vivre transpire dans les œuvres qu’il compose durant cette période. Son style se rapproche de plus en plus de celui des dessins enfantins, éclatants de couleur. Enfin, les traits de ses personnages sont apaisés, tranquilles
Bientôt la fin
1954 – 1973
Pablo est maintenant un vieillard et vit comme un reclus dans sa villa de la Côte d’Azur. Jacqueline, sa nouvelle épouse, l’incite à s’enfermer seul dans son atelier et à refuser le contact avec le monde extérieur. Totalement ego-centré, abandonnant enfants et petits-enfants, il se consacre tout entier à son art. Rendant hommage à sa propre carrière et à celles de ses illustres prédécesseurs (Velazquez, Delacroix,…), il compose des toiles dans tous les styles qu’il a lui-même développés. Il meurt à l’âge de 92 ans, laissant derrière lui un héritage fort de plusieurs centaines d’œuvres qui marqueront l’histoire de l’art à tout jamais.
Et vous, quel est votre Picasso préféré? Le rebelle de ses débuts? Le nostalgique? Le torturé? Le conventionnel? Personnellement, j’ai bien du mal à me décider!
http://www.etaletaculture.fr/arts/les-10-vies-de-pablo-picasso/
Retour sur la carrière d’un génie du XXe siècle!
Et vous, quel Picasso êtes-vous?
On a du génie ou on l’a pas…
1889 – 1900
Tout petit déjà, Pablo suit des cours de dessin et de peinture « traditionnels ». Il faut dire qu’avoir un Papa artiste, ça aide à développer sa fibre créatrice! Ses premières toiles, alors qu’il n’a pas encore 10 ans, font preuve d’une maturité insolente. Il entre aux Beaux-arts très jeune, mais n’a déjà plus grand chose à y apprendre… Au contraire, il prend un soin particulier à « désapprendre » des techniques et des normes qu’il estime trop rigides. Que le lecteur juge par lui-même: entre Première Communion (ci-dessus) qu’il compose alors qu’il a à peine 15 ans et Corrida (ci-dessous) qu’il peint 4 ans plus tard, la différence de style est flagrante!
Le pouvoir du bleu
1901-1904
Le mal-être du jeune peintre transpire maintenant dans ses tableaux. Le suicide de son ami Carlos Casagemas l’affecte profondément. Nostalgique du bon vieux temps où il faisait les 400 coups avec lui, il navigue au gré du vent entre Paris et Barcelone à la recherche du bonheur passé. Faut-il être malheureux pour être un grand artiste? Ce n’est pas Picasso qui nous dira le contraire… D’une pauvreté extrême, il se pose finalement à Paris et vit dans les bas-fonds de la capitale où il passe ses journées à peindre, puisant l’inspiration dans le monde misérable qui l’entoure. La teinte bleutée qu’il donne à ses modèles glace le sang du spectateur. Les personnages qu’il dessine semblent sortir d’outre-tombe et personnifie à la perfection la solitude et la mort.
Le rose vous va si bien
1904-1907
Les prostituées, les mendiants, les suicidaires, ça va bien cinq minutes! Picasso semble reprendre du poil de la bête et redonne un peu de couleur à ses compositions. Mais que l’on ne s’y trompe pas! Sous l’apparente légèreté des modèles choisis (saltimbanques, personnages de la Comedia del Arte,…) se cache une nouvelle fois un désenchantement du monde pour reprendre une expression chère à Max Weber! Les saltimbanques sont en habits de scène mais ne sont pas en représentation pour autant. Les regards sont vides, les expressions mélancoliques. On se dit qu’une petite cure de Prozac ne ferait pas de mal à l’ami Picasso.
Je vois la vie en cube
1907-1909
1907: retenez bien cette date, vous assistez en direct à la naissance de l’art moderne! Et son géniteur est bien sûr notre Pablo adoré avec Les Demoiselles d’Avignon qui rompt radicalement avec les traditions artistiques. Dans le même temps, il s’intéresse à l’art « nègre » (ainsi qualifié à l’époque, j’invente rien!) inspiré des arts tribaux africains: les expressions sont figées, les arcades sourcilières épaisses, le nez épaté, etc. Inutile de vous dire que Picasso ne fait alors pas vraiment l’unanimité et ne s’attire que le mépris de la plupart de ses contemporains.
Un laboratoire plein de promesses
1910 – 1918
Ça y est, Picasso, à force de persévérance, finit enfin par être reconnu comme un grand artiste dans le tout-Paris. Quel soulagement! Comment va-t-il réagir? Va-t-il persévérer dans le style qui l’a fait connaître ou, au contraire, en profiter pour aller à la découverte de nouveaux terrains d’expérimentations? Vous commencez maintenant à connaître un peu l’artiste et vous vous doutez bien que c’est cette deuxième option qu’il va prendre!
Avec son ami George Braque, ils vont mener de véritables expériences artistiques. Leur but? Casser les codes, détricoter la réalité, aller loin, toujours plus loin!
Il faut bien admettre que les résultats ne sont pas toujours à la hauteur des espérances des deux artistes… Picasso nous perd un peu en cours de route, mais rassurez-vous, le génie a plus d’un tour dans sac…
Retour au classique
1918 – 1925
♪ Qu’il est long, qu’il est loin, ton chemin Papa, C’est vraiment fatigant d’aller où tu vas ♫
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Picasso est dur à suivre! Après avoir passé des années à casser tous les codes artistiques existants, il revient aux sources, l’air de rien…
Depuis quelques temps, Pablo s’est quelque peu embourgeoisé… Reconnu par le tout-Paris, la star brasse maintenant des millions et est courtisé par les plus belles femmes d’Europe. Il se met à la colle avec une certaine Olga, une danseuse des ballets russes et nos deux tourtereaux passent du bon temps pendant plusieurs mois à Rome. Domestiques, chauffeur privé,… Picasso est maintenant à des années-lumière du train de vie misérable de sa jeunesse!
Que cette vie heureuse et épanouie ait modifiée sa perception des choses, cela ne fait aucun doute. Il semble rentrer dans le rang, police son style, devient plus « mainstream »… Et voilà notre artiste qui se met à rendre hommage aux modèles utilisés lors de la Renaissance. Bien sûr, il y ajoute toujours sa touche personnelle… Faut pas déconner quand même!
La crise existentielle, un retour aux sources salvateur!
1925 – 1936
Peindre des baigneuses courant le long de la plage, c’est très récréatif, bien sûr, mais ça ne suffit bientôt plus à l’artiste pour combler son besoin d’expression. Il se rend très vite compte que le succès lui est monté à la tête et que ces dernières œuvres manquent cruellement de créativité. Pablo nous fait maintenant une crise existentielle… Ajoutez à cela que tout va mal avec son épouse Olga, que sa maîtresse Marie-Thérèse trouve le moyen de tomber enceinte et qu’une autre de ses maîtresses lui met la pression pour qu’il divorce d’Olga! Y’en a qui craqueraient pour moins que ça, c’est sûr!
Heureusement, il reste une chose avec laquelle Picasso n’est pas en crise: son amour pour la peinture. Il décide de changer radicalement de registre et verse cette fois dans le surréalisme. Ses nouvelles toiles sont chargées d’une violence et d’une sexualité bestiales.
On retrouve enfin le Picasso qu’on aime.
Allelujah!
Le temps des guerres et de la souffrance
1936 – 1945
1936: la guerre civile fait rage en Espagne. Picasso ne s’arme pas de fusils pour lutter contre l’oppresseur, mais de pinceaux et de seaux de peinture. Son Guernica, une fresque débordant d’horreur et de violences, devient le symbole de la lutte contre le fascisme et l’oppression des faibles. Alors même que les Allemands envahissent la France et s’installent dans la capitale, lui reste à Paris. Il fait l’objet d’un surveillance accrue par les Nazis qui voient en lui un artiste subversif.
Côtoyant la mort à longueur de journée, il se livre à une sorte de catharsis dans ses œuvres où s’amoncellent chair déchiquetée, ossements abandonnés et visages marqués par l’angoisse.
La joie de vivre, tout simplement
1946 – 1954
Finies les turpitudes de la guerre! Le soleil et la joie de vivre brillent de nouveau sur l’Europe. Picasso s’installe sur la Côte d’Azur avec une petite jeunette d’une vingtaine d’années (lui en a 65!). Riche à millions, courtisé à outrance, il préfère prendre du recul par rapport au show-biz et profite de la vie avec sa famille.
Cette joie de vivre transpire dans les œuvres qu’il compose durant cette période. Son style se rapproche de plus en plus de celui des dessins enfantins, éclatants de couleur. Enfin, les traits de ses personnages sont apaisés, tranquilles
Bientôt la fin
1954 – 1973
Pablo est maintenant un vieillard et vit comme un reclus dans sa villa de la Côte d’Azur. Jacqueline, sa nouvelle épouse, l’incite à s’enfermer seul dans son atelier et à refuser le contact avec le monde extérieur. Totalement ego-centré, abandonnant enfants et petits-enfants, il se consacre tout entier à son art. Rendant hommage à sa propre carrière et à celles de ses illustres prédécesseurs (Velazquez, Delacroix,…), il compose des toiles dans tous les styles qu’il a lui-même développés. Il meurt à l’âge de 92 ans, laissant derrière lui un héritage fort de plusieurs centaines d’œuvres qui marqueront l’histoire de l’art à tout jamais.
Et vous, quel est votre Picasso préféré? Le rebelle de ses débuts? Le nostalgique? Le torturé? Le conventionnel? Personnellement, j’ai bien du mal à me décider!
http://www.etaletaculture.fr/arts/les-10-vies-de-pablo-picasso/
Merl1- Vénérable
- Messages : 13812
Date d'inscription : 12/07/2011
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Picasso, ses périodes
Merci beaucoup pour ce rappel Merl1 ! J'ai voté la "Période Bleue".
Napoléon III- Chef
- Messages : 1603
Date d'inscription : 24/04/2014
Age : 25
Re: Picasso, ses périodes
Donc on est deux, la période cubiste n'a pas l'air de ravir tout le monde...C'est dommage si peu de votes, même si c'est sourcé ce genre de post prend du temps mine de rien...
Merl1- Vénérable
- Messages : 13812
Date d'inscription : 12/07/2011
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Picasso, ses périodes
Merl1 a écrit:Donc on est deux, la période cubiste n'a pas l'air de ravir tout le monde...C'est dommage si peu de votes, même si c'est sourcé ce genre de post prend du temps mine de rien...
C'est vrai que les posts liés à la culture sont moins courus que les postes sur Macron ou l'Islam ... mais bon, c'est important qu'il y'en ait quelques uns qui font vivre cette section, c'est de la haute valeur ajoutée pour notre forum.
Napoléon III- Chef
- Messages : 1603
Date d'inscription : 24/04/2014
Age : 25
Re: Picasso, ses périodes
à dire vrai Picasso n'est pas dans mes croquis ,ni l' avoir dans le cœur pur , pour exprimer sa vision d'aimer une ou plusieurs de ses œuvres dans mon esprit ! sur l'humain(e)s et son monde !!selon moi il n'y a pas de ligne pur dans ses œuvres et que c'est probablement pour cette raison que dans mon esprit ils sont dans la poubelle des oublis ! = œuvres sans aucune valeurs en moi !!!et que le dessin d'un d'enfant est plus pur à mes yeux quand il cherche à rendre ses dessins vivant , et je l'entrevois suivant les couleurs et les formes que l'enfant donne à son dessin !tout est fade chez Picasso , il inspire la mort que la vie !si je cherche de traduire les œuvres de Picasso , il n'y a pas d'espoir à la vie et de vivre ou vivre sans espoir de connaître le Paradis ! et donc en moi c'est une moins value que je lui donne
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: Picasso, ses périodes
Effectivement Merl1 je peux vous dire Merci pour le travail de recherche , mais je n'aime pas Picasso pas plus que Salvador Dali d'ailleurs .
Invité- Invité
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