Dialectique de l'être et du non être.
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Dialectique de l'être et du non être.
Une des lois de la dialectique dit que si A existe -A existe aussi. Si 3 existe -3 aussi. Si -37 existe 37 aussi.
Ça marche aussi pour les concepts. Chaque concept a son inverse, son opposé, 37 n'est que le reflet de -37 dans le miroir 0.
Il en va de même pour les concepts. On dit que le concept -A est la contradiction de A.
On parle aussi d'en soi, de pour soi et la synthèse en soi et pour soi.
Penons l’exemple le plus bouleversant en matière philosophique :
L'être et le non être, jusqu'à présent on a considéré qu'une chose était ou n’était pas dans l'absolu, la dialectique Hégélienne vient remettre cette idée reçu en question.
Si le concept d'existence est, alors le concept de non existence ou de néant naît aussi.
Si vie il y a, il y a aussi la mort.
Mais ces choses ne sont pas mutuellement exclusive, les médecin vous diront que la mort est processus, que vous êtes constitués de cellule qui meurent et se renouvelles, toutes les cellules qui vous composait il y a 10 ans sont mortes et ont été remplacées.
Le Gamin que vous étiez physiquement et intérieurement est mort, pour être remplacés par vous.
Car tout est en mouvement rien, est éternel à part quelques lois universelles dont cette dernière, les concepts eux-même ne sont qu'éphémères. Comme disait Héraclites on ne baigne jamais deux fois dans la même rivière.
L'être cesse d'être, A devient non A ou -A, mais moins le non être se réinsère dans la vie pour devenir le nouvel être, c'est ce qu'on appel le devenir c'est la synthèse de l'être et du non être.
Ainsi le capitalisme comme le féodalisme sont condamné à disparaître !Car rien n'existe dans l'absolu tout existe sur un moment historique donné.
Ça marche aussi pour les concepts. Chaque concept a son inverse, son opposé, 37 n'est que le reflet de -37 dans le miroir 0.
Il en va de même pour les concepts. On dit que le concept -A est la contradiction de A.
On parle aussi d'en soi, de pour soi et la synthèse en soi et pour soi.
Penons l’exemple le plus bouleversant en matière philosophique :
L'être et le non être, jusqu'à présent on a considéré qu'une chose était ou n’était pas dans l'absolu, la dialectique Hégélienne vient remettre cette idée reçu en question.
Si le concept d'existence est, alors le concept de non existence ou de néant naît aussi.
Si vie il y a, il y a aussi la mort.
Mais ces choses ne sont pas mutuellement exclusive, les médecin vous diront que la mort est processus, que vous êtes constitués de cellule qui meurent et se renouvelles, toutes les cellules qui vous composait il y a 10 ans sont mortes et ont été remplacées.
Le Gamin que vous étiez physiquement et intérieurement est mort, pour être remplacés par vous.
Car tout est en mouvement rien, est éternel à part quelques lois universelles dont cette dernière, les concepts eux-même ne sont qu'éphémères. Comme disait Héraclites on ne baigne jamais deux fois dans la même rivière.
L'être cesse d'être, A devient non A ou -A, mais moins le non être se réinsère dans la vie pour devenir le nouvel être, c'est ce qu'on appel le devenir c'est la synthèse de l'être et du non être.
Ainsi le capitalisme comme le féodalisme sont condamné à disparaître !Car rien n'existe dans l'absolu tout existe sur un moment historique donné.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Dialectique de l'être et du non être.
Dialectique de l'être et du non être...
OU TROIS FAÇONS ETRE VIVANTS !
Ce texte de Mr Allan est vraiment révélateur, de notre devenir…
Il peut paraître un peut ardu dans sa compréhension finale.
Ce texte échappe à la contrainte des dogmes religieux virtuellement inutiles et aux idéologies politiques stériles…
Aujourd’hui, les polémiques incessantes de principes et de l’histoire ne servent à rien….
Si ce n’est que faire de l’exutoire et de l’exorcisme collectif.
Le texte de Allan est très révélateur de notre irrésistible orientation futur de l’humanité.
Beaucoup d’intellectuels alimentent par leurs réflexions partisanes, la mascarade généralisée…
Heureusement, que des individus indépendants ont su garder leurs lucidités pragmatiques intactes…
Donc, tout est encore possible…
Oscar
Texte de Allan Frankermann
Un être vivant, c’est un objet de ce monde qui cherche à conserver l’identité qui lui est propre.
Indépendamment des fluctuations du reste du monde « l’environnement ».
L’adaptation, c’est la capacité de résister aux changements habituels dans un environnement donné.
L’indépendance « ou adaptabilité », c’est la capacité de résister à de nouveaux changements.
L’adaptation c’est à rattacher à la certitude.
Plus il y a de la première, moins il y a de la seconde.
L’incertitude du monde est sa plus grande certitude.
Comment rester en vie dans un environnement incertain ?
Il existe trois grandes possibilités.
L’indépendance PASSIVE, s’isoler est la pire des manières parce que, dans ce cas, le Deuxième principe de thermodynamique s’applique sans appel et le système glisse vers l’unique état possible : l’équilibre thermodynamique.
C’est la mort !
Il existe plusieurs manières d’être en VIE, mais une seule d’être MORT.
Cependant, la vie propose de nombreuses et bonnes approximations de cette alternative : la latence, l’hibernation, les formes résistantes comme les graines, l’abri…
L’idée est de réduire son activité ou de maintenir sa simplicité et de croiser les doigts en attendant des jours meilleurs.
L’individu s’ouvre au MONDE pour rester dans un état loin de l’équilibre.
Dans l’indépendance ACTIVE, l’individu s’ouvre au MONDE pour rester dans un état STATIONNAIRE éloigné de l’équilibre.
Si l’incertitude de l’environnement augmente, on peut maintenir l’indépendance de cet état en augmentant la capacité d’anticipation du système « meilleure perception, plus grande connaissance, etc.. »
ou en augmentant la capacité d’influencer l’environnement immédiat, par une plus grande MOBILITÉ « capacité de changer d’environnement » ou à l’aide de TECHNOLOGIE « Capacité de changer l’environnement »
La nouvelle INDÉPENDANCE s’obtient en combinant des individus existants…
Si l’indépendance active échoue et si les fluctuations de l’environnement sont tellement capricieuses
qu’il n’y a pas moyen de maintenir cet état STATIONNAIRE, il reste encore la possibilité de la nouvelle INDÉPENDANCE.
Les lignes progressives et les lignes régressives ne sont pas un exemple et contre-exemple d’un même événement contradictoires, mais plutôt deux cas particuliers différents d’un autre cas plus général.
La régression se produit dans des conditions d’hyper stabilité et de progrès sous la pression de l’incertitude. (comme la crise du Covid)
Il nous est donc permis de pousser un soupir de soulagement :
il s’est tout de même passé quelque chose entre l’apparition de la première bactérie PROCARYOTE et disons, la naissance de SHAKESPEARE…
Allan Frankermann
(Professeur dans une université aux Etats-Unis.)
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OU TROIS FAÇONS ETRE VIVANTS !
Ce texte de Mr Allan est vraiment révélateur, de notre devenir…
Il peut paraître un peut ardu dans sa compréhension finale.
Ce texte échappe à la contrainte des dogmes religieux virtuellement inutiles et aux idéologies politiques stériles…
Aujourd’hui, les polémiques incessantes de principes et de l’histoire ne servent à rien….
Si ce n’est que faire de l’exutoire et de l’exorcisme collectif.
Le texte de Allan est très révélateur de notre irrésistible orientation futur de l’humanité.
Beaucoup d’intellectuels alimentent par leurs réflexions partisanes, la mascarade généralisée…
Heureusement, que des individus indépendants ont su garder leurs lucidités pragmatiques intactes…
Donc, tout est encore possible…
Oscar
Texte de Allan Frankermann
TROIS FAÇONS ETRE VIVANTS
Un être vivant, c’est un objet de ce monde qui cherche à conserver l’identité qui lui est propre.
Indépendamment des fluctuations du reste du monde « l’environnement ».
L’adaptation, c’est la capacité de résister aux changements habituels dans un environnement donné.
L’indépendance « ou adaptabilité », c’est la capacité de résister à de nouveaux changements.
L’adaptation c’est à rattacher à la certitude.
Plus il y a de la première, moins il y a de la seconde.
L’incertitude du monde est sa plus grande certitude.
Comment rester en vie dans un environnement incertain ?
Il existe trois grandes possibilités.
L’indépendance PASSIVE, s’isoler est la pire des manières parce que, dans ce cas, le Deuxième principe de thermodynamique s’applique sans appel et le système glisse vers l’unique état possible : l’équilibre thermodynamique.
C’est la mort !
Il existe plusieurs manières d’être en VIE, mais une seule d’être MORT.
Cependant, la vie propose de nombreuses et bonnes approximations de cette alternative : la latence, l’hibernation, les formes résistantes comme les graines, l’abri…
L’idée est de réduire son activité ou de maintenir sa simplicité et de croiser les doigts en attendant des jours meilleurs.
L’individu s’ouvre au MONDE pour rester dans un état loin de l’équilibre.
Dans l’indépendance ACTIVE, l’individu s’ouvre au MONDE pour rester dans un état STATIONNAIRE éloigné de l’équilibre.
Si l’incertitude de l’environnement augmente, on peut maintenir l’indépendance de cet état en augmentant la capacité d’anticipation du système « meilleure perception, plus grande connaissance, etc.. »
ou en augmentant la capacité d’influencer l’environnement immédiat, par une plus grande MOBILITÉ « capacité de changer d’environnement » ou à l’aide de TECHNOLOGIE « Capacité de changer l’environnement »
La nouvelle INDÉPENDANCE s’obtient en combinant des individus existants…
Si l’indépendance active échoue et si les fluctuations de l’environnement sont tellement capricieuses
qu’il n’y a pas moyen de maintenir cet état STATIONNAIRE, il reste encore la possibilité de la nouvelle INDÉPENDANCE.
Progresser dans un environnement, c’est simplement gagner de l’indépendance par rapport à ce DERNIER.C’est l’évolution. Elle s’obtient en combinant des individus préexistants.
La reproduction son des stratégies remarquables.
Dans ce cas, les équations sont claires : une augmentation de l’incertitude de l’environnement demande une augmentation de la COMPLEXITÉ DU SYSTÈME.
Les lignes progressives et les lignes régressives ne sont pas un exemple et contre-exemple d’un même événement contradictoires, mais plutôt deux cas particuliers différents d’un autre cas plus général.
La régression se produit dans des conditions d’hyper stabilité et de progrès sous la pression de l’incertitude. (comme la crise du Covid)
Il nous est donc permis de pousser un soupir de soulagement :
il s’est tout de même passé quelque chose entre l’apparition de la première bactérie PROCARYOTE et disons, la naissance de SHAKESPEARE…
Allan Frankermann
(Professeur dans une université aux Etats-Unis.)
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oscar- Postulant
- Messages : 354
Date d'inscription : 23/12/2018
Re: Dialectique de l'être et du non être.
Contre-sens l'adaptabilité est un concept qui indique la souplesse, de se changer face à l'inchangeable.
Philosophie issue de la logique formelle rendu obsolète par la logique dialectique.
L’exemple de l'enfant et de l'adulte souligne la complexité de la contradiction entre l'être et le non être que cette logique ne peut résoudre.
La dialectique hégélienne qui comprend que la contradiction est motrice elle par contre....
Ensuite belle essaie de dialectique entre
Mais je en suis pas sûr que la contradiction entre AB et A(-B) soit si productive que ça, car AB et A(-B) ne sont pas en contradiction directe.
Ceci dit comme par miracle on arrive à une conclusion pas trop dégueulasse qui comprend bien le principe de liberté.
Paravec a écrit:Un être vivant, c’est un objet de ce monde qui cherche à conserver l’identité qui lui est propre.
Philosophie issue de la logique formelle rendu obsolète par la logique dialectique.
L’exemple de l'enfant et de l'adulte souligne la complexité de la contradiction entre l'être et le non être que cette logique ne peut résoudre.
La dialectique hégélienne qui comprend que la contradiction est motrice elle par contre....
Ensuite belle essaie de dialectique entre
Mais je en suis pas sûr que la contradiction entre AB et A(-B) soit si productive que ça, car AB et A(-B) ne sont pas en contradiction directe.
Ceci dit comme par miracle on arrive à une conclusion pas trop dégueulasse qui comprend bien le principe de liberté.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Dialectique de l'être et du non être.
"Singularité"
Le point de singularité est une notion abstraite difficilement compréhensive, mais laisse la liberté imaginer beaucoup de choses.
Un exemple amusant, supposons que je sois localisé dans une très lointaine galaxie…
Etant référent, j’ai la possibilité de fabriquer de l’énergie à partir de l’antimatière…
L’organisme d’un homme disons possède 10 000 becquerels énergie nucléaire faible, sous forme de potassium.
J’’expédie un individu indésirable banni de ma planète, en le fractionnant en particules élémentaires à travers le cosmos.
Son corps va se dilater à l’extrême et se dispatcher en trois composantes
En matière
Vitesse temps
Espace expansion de son corps solide
Comme un élastique sous une tension empirique.
Pour devenir un furtif rayonnement fantôme .
Alors cela donnerait, des calculs fantaisistes simplifiés, qui n’ont aucune valeur de référence.
Qui démontre l’incomplétude d’origine d’une singularité originelle.
EXEMPLE : 10 000 : 3= 3333…reste 1
1000 : 3= 333
100 : 3= 33
………………………..10 : 3= 3
……………………………1 : 3= 0,3
IL RESTE TOUJOURS « 1 » DANS TOUTES LES DIVISIONS…
L’explosion transforme le 1 en rayonnement radioactif fantôme
L’entité initiale à toutes les échelles fractales…
Je vous ferais remarquer dans le dogme religieux, fait souvent appel à la trinité.
Le 3 est chiffre impair périodique et répétitif à l’infini…
D’où ce concept d’éternité du paradis ou de l’enfer…
Comme la bombe atomique au nom de code « Trinity »
« Entre le cartésianisme des scientifiques et des certitudes religieuses, la frontière du déterminisme est floue mais diaboliquement radioactive comme le coronavirus ! »
Bonjour chez vous !
oscar- Postulant
- Messages : 354
Date d'inscription : 23/12/2018
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