Infos sur le corona virus.

[Plaristes Evariste]

http://politix.forumactif.com/t345-la-france-a-l-roigine-du-sras-cov-19-oui-brevet-ep-1-694-829-b1

La France na été que complice dans l'affaire.

[Jikodel]

J'ai vu passer un virologue conspi avec un séquençage adn du covid en 1990

Globalement, pour moi la piste "bactériologique" est un contre feu alumé par l'ennemi. C'est la salade "secret défense" qu'il ont utilisés contre les journalistes qui posais trop de question au début de la psyops.

[Plaristes Evariste]

Le plan aube rouge date de 2006. Et c'était un truque dans les cartons de la CIA comme plein d'autres plans stupides, pas possible.

Lisez la page en bas et la seconde page.

[Compte supprimé Ejainiste]

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#bbox=-264500,6750176,1059034,661582&c=indicator&f=0&i=sg_iris_imp.ti&s=2020-10-12-2020-10-18&selcodgeo=85303&t=a01&view=map9

[Compte supprimé Ejainiste]

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#bbox=-264500,6750176,1059034,661582&c=indicator&f=0&i=sg_iris_imp.ti&s=2020-10-12-2020-10-18&selcodgeo=85303&t=a01&view=map9

J'ai vu sur la carte que ma commune avait un taux d'incidence de 25 à 50 pour 100.000 habitants . Comme il y a 1800 habitants, ça fait combien de covidés dans le patelin ?
Si on se base sur le chiffre max, c'est à dire 50 pour 100.000, ça nous fait donc 5 cas pour 10.000 ... ouais, en gros ça doit nous faire un malade sur les 1800, non ?

[Plaristes Evariste]

Même à Rezée on a pas tant de cas que ça.

[Compte supprimé Ejainiste]

Même à Rezée on a pas tant de cas que ça.

Sauf erreur, une centaine de cas ... à vérifier

[Plaristes Evariste]

Selon les statistique mais c'est à cause des labo biolance qu'on a sinon Rezée c'est Haute goulaine mais adjacent au centre ville de Nantes !

[Compte supprimé Ejainiste]

https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/covid-19-roubaix-tourcoing-plus-habitant-cent-contamine-comment-est-on-arrive-1887058.html

Roubaix se prononce Rrreubi

[Frère Barnabé]

Faire pression pour exclure la théorie des fuites de laboratoire de Covid-19 était «prématurée», selon le chef de l'OMS

Publié le: 16/07/2021 - 04:33

"J'étais moi-même technicien de laboratoire, je suis immunologiste et j'ai travaillé dans le laboratoire, et des accidents de laboratoire se produisent", a déclaré Tedros.  "C'est courant."
"J'étais moi-même technicien de laboratoire, je suis immunologiste et j'ai travaillé dans le laboratoire, et des accidents de laboratoire se produisent", a déclaré Tedros. "C'est courant.

Le chef de l'Organisation mondiale de la santé a reconnu qu'il était prématuré d'exclure un lien potentiel entre la pandémie de COVID-19 et une fuite de laboratoire, et il a déclaré jeudi qu'il demandait à la Chine d'être plus transparente alors que les scientifiques recherchent les origines du coronavirus.

Dans une rare dérogation à sa déférence habituelle envers les pays membres puissants, le directeur général de l' OMS , Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que l'accès aux données brutes avait été un défi pour l'équipe internationale qui s'est rendue en Chine plus tôt cette année pour enquêter sur la source du COVID-19 . Les premiers cas humains ont été identifiés dans la ville chinoise de Wuhan.

Tedros a déclaré aux journalistes que l' agence de santé des Nations Unies basée à Genève "demande en fait à la Chine d'être transparente, ouverte et de coopérer, en particulier sur les informations, les données brutes que nous avons demandées au début de la pandémie".

Il a déclaré qu'il y avait eu une « poussée prématurée » pour écarter la théorie selon laquelle le virus aurait pu s'échapper d'un laboratoire du gouvernement chinois à Wuhan – sapant le propre rapport de l'OMS de mars, qui concluait qu'une fuite de laboratoire était « extrêmement improbable ».

"J'étais moi-même technicien de laboratoire, je suis immunologiste et j'ai travaillé dans le laboratoire, et des accidents de laboratoire se produisent", a déclaré Tedros. "C'est courant."


00:35
Ces derniers mois, l'idée que la pandémie a commencé d'une manière ou d'une autre dans un laboratoire – et impliquait peut-être un virus artificiel – a gagné du terrain, en particulier avec le président Joe Biden ordonnant un examen des renseignements américains pour évaluer la possibilité en mai.

La Chine a riposté de manière agressive, arguant que les tentatives de lier les origines du COVID-19 à un laboratoire sont motivées par des considérations politiques et a suggéré que l'épidémie pourrait avoir commencé à l'étranger. Lors de la réunion annuelle des ministres de la Santé de l'OMS au printemps, la Chine a déclaré que la future recherche des origines du COVID-19 devrait se poursuivre – dans d'autres pays.

La plupart des scientifiques soupçonnent que le coronavirus est originaire des chauves-souris, mais la route exacte par laquelle il a d'abord sauté sur les humains – via un animal intermédiaire ou d'une autre manière – n'a pas encore été déterminée. Il faut généralement des décennies pour cerner la source naturelle d'un virus animal comme Ebola ou le SRAS.

Tedros a déclaré qu'« il est important de vérifier ce qui s'est passé, en particulier dans nos laboratoires, » pour déterminer si la pandémie avait des liens avec des laboratoires.

"Nous avons besoin d'informations, d'informations directes sur la situation de ce laboratoire avant et au début de la pandémie", a déclaré le chef de l'OMS, ajoutant que la coopération de la Chine était critique. « Si nous obtenons des informations complètes, nous pouvons exclure (la connexion au laboratoire). »

Tout au long de la pandémie, Tedros a maintes fois félicité la Chine pour sa rapidité et sa transparence malgré les hauts responsables de l'OMS se plaignant en interne de l'obscurcissement de leurs homologues chinois.

L'année dernière, l'Associated Press a constaté que l'OMS était frustrée par le manque de détails de la Chine pendant les premiers stades de la propagation du coronavirus et a montré que la Chine réprimait la chasse cachée aux origines de la pandémie.

De nombreux experts en santé publique ont également appelé à un examen indépendant des origines du COVID-19, arguant que l'OMS n'a pas le poids politique pour mener une telle analyse médico-légale et que l'agence des Nations Unies a échoué après plus d'un an à extraire des détails critiques de la Chine.

Jamie Metzl, qui a dirigé un groupe de scientifiques appelant à une enquête plus large sur les origines, a salué les commentaires de Tedros mais a déclaré qu'il était "profondément malheureux et dangereux" qu'il n'y ait pas actuellement de plans pour une enquête dirigée par des experts au-delà de l'agence de santé des Nations Unies, affirmant que la Chine a bloqué à plusieurs reprises les demandes de tous les enregistrements et échantillons pertinents.

Le professeur de droit de l'Université de Georgetown, Lawrence Gostin, expert en droit de la santé publique, a déclaré que l'appel inhabituel de Tedros à la coopération chinoise souligne à quel point l'OMS est faible.


« L'OMS n'a aucun pouvoir ni aucun poids politique pour exiger l'accès à des informations essentielles à la santé mondiale », Gostin, qui est également directeur d'un centre collaborateur de l'OMS sur le droit de la santé publique et les droits de l'homme, « Tout ce que Tedros peut faire, c'est utiliser la chaire d'intimidation, mais cela tombera dans l'oreille d'un sourd », a-t-il déclaré.

Toute mission dirigée par l'OMS en Chine nécessite également l'approbation du gouvernement pour tous les experts qui se rendent dans le pays, ainsi que l'autorisation de visiter les sites de terrain et l'approbation finale de tout rapport de voyage.

L'appel de Tedros à la transparence a été repris par le ministre allemand de la Santé Jens Spahn, qui a exhorté les autorités chinoises à autoriser la poursuite de l'enquête sur les origines du virus.

"Nous apprécions la coopération du gouvernement chinois jusqu'à présent pour la première mission", a déclaré Spahn. "Mais ce n'est pas encore assez."

(PA)

[Plaristes Evariste]

"J'étais moi-même technicien de laboratoire, je suis immunologiste et j'ai travaillé dans le laboratoire, et des accidents de laboratoire se produisent", a déclaré Tedros. "C'est courant."
"J'étais moi-même technicien de laboratoire, je suis immunologiste et j'ai travaillé dans le laboratoire, et des accidents de laboratoire se produisent", a déclaré Tedros. "C'est courant.

Il a précisé la nationalité de a terre accueillant le labo? Ainsi que la nationalité des fonds ayant construit le labo?

Il me semble que le labo de Wuhan a été financé par des fonds Français,
et que le covid du labo P4 de wuhan vient d'un labo Français du Vietnam qui avait recueilli des échantillons, du covid des chauvesouris malaisiennes les seuls qui peuvent le transmetrte directement à l'homme, il y avait fait des test et tout et commencé à développer des Vaccins tout est dans le Brevet EP 1 694 829 B1.

Il me semble aussi qu ele fruit des recehrches a été partagé à 'linternational nottament à Chappells Hills

https://www.nature.com/articles/nature.2015.18787

Article de 2015 sur des experiences liées au corona virus à chapelle hills !

Les réaction d'un chercheur de l'institut pasteur face à la prolifération de ces expériences DANS LE MONDE ENTIER !!!

Le Plan aube rouge est à l’œuvre, beaucoup de pays sont impliqués dans l'affaire, la chine ne peut pas céder car beaucoup de pays mouillés dans l'affaire savent que la Chine peut servir de parfait bouc émissaire !

Bah oui la propagande médiatique braque tous les regards sur la Chine, pour moi l'importance n'est pas la culpabilité de la Chine, surtout discuttable quand on sait que des fuites ont eu lieu aux U.S.A avant les évènement de wuhan. De l'été 2019 bien dit été je reprend les théories américaines qui s'appuient sur des observations satellites de l'hôpital de wuhan, sachez qu'en Janvier/février 2019 les américains étaient touché d'un étrange mal des poumons, les médias ont attribué ça la cigarette électronique (que les démocrates et bien pensants puritain détestent.), peut de temps après qu'il y ait eu des problèmes de sécurité dans un labo américain :


L'important c'est de savoir si on enquêtera uniquement sur la Chine, car d'autre pays ne sont pas tous blancs dans l'affaire et je ne voit personen demander qu'on enquête sur ces derniers...

Faudra souffler ça à 'loreilel de Montagner :
https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/32184-EXCLUSIF-Pour-Pr-Montagnier-SARS-CoV-2-serait-virus-manipule-Chinois-l-ADN-de-VIH-podcast


http://eu.eot.su/2020/10/04/le-coronavirus-ses-objectifs-ses-auteurs-et-ses-maitres-episode-3/

Il y a les lien des épisode en anglais, dans la description des épisode en anglais il y a une article qui résume la vidéo.
Lisez !
Ou sinon c'est à 1:10:17 – Canadians call Fort Detrick the only possible COVID-19 source

Les canadians pensent que Fort Detrick est la seule source possible car c'est la seule évidence de fuite connue.

Les source sosnt dans la vidéo ou dans l'article suivant :

http://eu.eot.su/2020/08/10/coronavirus-its-goals-authors-and-masters-part-iii/

Voici l'article :

https://www.nytimes.com/2019/08/05/health/germs-fort-detrick-biohazard.html


Now, we will look at an article that appeared in The New York Times on August 5, 2019, that is, after almost four years.

The name of the article is “Deadly Germ Research Is Shut Down at Army Lab Over Safety Concerns”

The subtitle reads, “Problems with disposal of dangerous materials led the government to suspend research at the military’s leading biodefense center.”

Do you feel what is happening again? The article was published on August 5, 2019. Perhaps someone with special binoculars already had an idea about the looming cloud of the future COVID-19. But so far there is no reason to somehow link the event described in this article with what was described in the two articles we examined from 2015.

Here is what the article written on August 5, 2019, says, “Safety concerns at a prominent military germ lab have led the government to shut down research involving dangerous microbes like the Ebola virus. ‘Research is currently on hold,’ the United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases, in Fort Detrick, Md., said in a statement on Friday. The shutdown is likely to last months, Caree Vander Linden, a spokeswoman, said in an interview. The statement said the Centers for Disease Control and Prevention decided to issue a ‘cease and desist order’ last month to halt the research at Fort Detrick because the center did not have ‘sufficient systems in place to decontaminate wastewater’ from its highest-security labs.”

The CDC is led by Robert Redfield, a member of the Red Dawn group and now a key figure in the whole COVID-19 story. We will examine this in greater detail.

“‘There has been no threat to public health, no injuries to employees and no leaks of dangerous material outside the laboratory,’ Ms. Vander Linden said,” The New York Times reports.

True or not… Again, when does anyone here say everything directly? Work was shut down in one of the most prominent centers engaged in precisely what we are discussing.

According to the newspaper, the institute, the work of which was shut down, “is a biodefense center that studies germs and toxins that could be used to threaten the military or public health, and also investigates disease outbreaks.”

And moreover, if it studies all of this, I add from myself, it cannot help but study offense, both by others and by its own side. With a gain of pathogenic functions.

I quote further,

“It carries out research projects for government agencies, universities and drug companies, which pay for the work. It has about 900 employees.

‘The shutdown affects a significant portion of the research normally conducted there,’ Ms. Vander Linden said.

The suspended research involves certain toxins, along with germs called select agents, which the government has determined have ‘the potential to pose a severe threat to public, animal or plant health or to animal or plant products.’ There are 67 select agents and toxins; examples include the organisms that cause Ebola, smallpox, anthrax and plague.” This list also includes the toxin ricin.

“In theory, terrorists could use select agents as weapons, so the government requires any organization that wants to handle them to pass a background check, register, follow safety and security procedures, and undergo inspections through a program run by the C.D.C. and the United States Department of Agriculture. As of 2017, 263 laboratories – government, academic, commercial or private – had registered with the program.

The institute at Fort Detrick was part of the select agent program until its registration was suspended last month, after the C.D.C. ordered it to stop conducting the research.”


https://www.fredericknewspost.com/news/health/fort-detrick-lab-shut-down-after-failed-safety-inspection-all-research-halted-indefinitely/article_767f3459-59c2-510f-9067-bb215db4396d.html

Mainetnant pour accèder à l'article il faut un VPN. (Et google trad si ne pouvez pas lire l'anglais...)

[Plaristes Evariste]

ll research at a Fort Detrick laboratory that handles high-level disease-causing material, such as Ebola, is on hold indefinitely after the Centers for Disease Control and Prevention found the organization failed to meet biosafety standards.

No infectious pathogens, or disease-causing material, have been found outside authorized areas at the U.S. Army Medical Research Institute of Infectious Diseases.

The CDC inspected the military research institute in June and inspectors found several areas of concern in standard operating procedures, which are in place to protect workers in biosafety level 3 and 4 laboratories, spokeswoman Caree Vander Linden confirmed in an email Friday.

The CDC sent a cease and desist order in July.

After USAMRIID received the order from the CDC, its registration with the Federal Select Agent Program, which oversees disease-causing material use and possession, was suspended. That suspension effectively halted all biological select agents and toxin research at USAMRIID, Vander Linden said in her email.

The Federal Select Agent Program does not comment on whether a program such as USAMRIID is registered and cannot comment on action taken to enforce regulations, Kathryn Harben, a spokeswoman for the CDC, wrote in an email.

“As situations warrant, [Federal Select Agent Program] will take whatever appropriate action is necessary to resolve any departures from regulatory compliance in order to help ensure the safety and security of work with select agents and toxins,” Harben said in the email.

The suspension was due to multiple causes, including failure to follow local procedures and a lack of periodic recertification training for workers in the biocontainment laboratories, according to Vander Linden. The wastewater decontamination system also failed to meet standards set by the Federal Select Agent Program, Vander Linden said in a follow-up email.

“To maximize the safety of our employees, there are multiple layers of protective equipment and validated processes,” she said.

Vander Linden could not say when the laboratory would be able to continue research.

“USAMRIID will return to fully operational status upon meeting benchmark requirements for biosafety,” she said in an email. “We will resume operations when the Army and the CDC are satisfied that USAMRIID can safely and consistently meet all standards.”

USAMRIID has been working on modified biosafety level 3 procedures and a new decontamination system since flooding in May 2018. This “increased the operational complexity of bio-containment laboratory research activities within the Institute,” she said.

At the time of the cease and desist order, USAMRIID scientists were working with agents known to cause tularemia, also called deer fly or rabbit fever, the plague and Venezuelan equine encephalitis, all of which were worked on in a biosafety level 3 laboratory. Researchers were also working with the Ebola virus in a biosafety level 4 lab, Vander Linden said.

Of the pathogens, Ebola, bacteria Yersinia pestis (plague), and bacterium Francisella tularensis (tularemia) are on the list of the Health and Human Services select agents and toxins. The three are considered Tier 1 agents, which pose a severe public health and safety threat.

Venezuelan equine encephalitis also falls under the Federal Select Agent Program, according to the Code of Federal Regulations.

The military research institute is looking at each of its contracts to see what will be affected by the shutdown. USARMIID work outside the lab is not expected to be affected, including on Ebola, Vander Linden said.

“We are coordinating closely with the CDC to ensure that critical, ongoing studies within bio-containment laboratories are completed under appropriate oversight and that research animals will continue to be cared for in accordance with all regulations,” she said in an email. “Although much of USAMRIID’s research is currently on hold, the Institute will continue its critical clinical diagnostic mission and will still be able to provide medical and subject matter expertise as needed to support the response to an infectious disease threat or other contingency.”

According to the Code of Federal Regulations, which also lists required training, records and biosafety plans, Federal Select Agents Program registration can be suspended to protect public health and safety. It is not clear if this is why the USAMRIID registration was suspended.

The code also gives the Department of Health and Human Services, under which the CDC falls, the right to inspect any site and records, without prior notifications. Vander Linden said in the email that the CDC inspected USAMRIID several times over the past year, both unannounced and on a regularly scheduled basis.

USAMRIID will work to meet requirements set by the Army and the CDC and have its suspension lifted, Vander Linden said.

“While the Institute’s research mission is critical, the safety of the workforce and community is paramount,” she said. “USAMRIID is taking the opportunity to correct deficiencies, build upon strengths, and create a stronger and safer foundation for the future.”

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