La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Non seulement les travaux de Lamothe devenaient très étranges, mais encore certains ont remarqué que Lamothe, de fait, n’était point un historien :
“First, Lamothe-Langon was a hack writer and known forger, not a historian. Early in his career he specialized in historical fiction, but he soon turned to more profitable horror novels, like The Head of Death, The Monastery of the Black Friars, and The Vampire (or, The Virgin of Hungary). Then, in 1829, he published the Histoire, supposedly a work of non-fiction. After its success Lamothe-Langon went on to write a series of « autobiographies » of various French notables, such as Cardinal Richeleau, Louis XVIII, and the Comtesse du Barry”.
La conclusion est que les sources sur lesquelles il prétendait se baser ne pouvaient tout simplement pas être trouvées ! de plus, Lamothe n’avait aucune base en paléographie : “Second, none of Lamothe-Langon’s sources could be found, and there was strong reason to suspect they never existed.
Lamothe-Langon claimed he was using unpublished Inquisitorial records given to him by Bishop Hyacinthe Sermet — Cohn found a letter from Sermet stating that there were no unpublished records. Lamothe-Langon had no training in paleography, the skill needed to translate the script and copious abbreviations used in medieval documents, and he was not posted in Toulouse long enough to do any serious research in its archives”.
Pour lire tout l’extrait concernant la supercherie de Lamothe, lisez l’article sur les récentes découvertes sur les sorcières suivant…
“First, Lamothe-Langon was a hack writer and known forger, not a historian. Early in his career he specialized in historical fiction, but he soon turned to more profitable horror novels, like The Head of Death, The Monastery of the Black Friars, and The Vampire (or, The Virgin of Hungary). Then, in 1829, he published the Histoire, supposedly a work of non-fiction. After its success Lamothe-Langon went on to write a series of « autobiographies » of various French notables, such as Cardinal Richeleau, Louis XVIII, and the Comtesse du Barry”.
La conclusion est que les sources sur lesquelles il prétendait se baser ne pouvaient tout simplement pas être trouvées ! de plus, Lamothe n’avait aucune base en paléographie : “Second, none of Lamothe-Langon’s sources could be found, and there was strong reason to suspect they never existed.
Lamothe-Langon claimed he was using unpublished Inquisitorial records given to him by Bishop Hyacinthe Sermet — Cohn found a letter from Sermet stating that there were no unpublished records. Lamothe-Langon had no training in paleography, the skill needed to translate the script and copious abbreviations used in medieval documents, and he was not posted in Toulouse long enough to do any serious research in its archives”.
Pour lire tout l’extrait concernant la supercherie de Lamothe, lisez l’article sur les récentes découvertes sur les sorcières suivant…
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
A présent, sachant que nous avons eu affaire à un falsificateur hors pair, et qu’à sa suite, ses travaux ont été utilisés pour présenter l’inquisition comme « sanglante », et ayant fait des millions de victimes, nous pouvons nous arrêter sur Llorente, pendant quelques instants seulement…
Henry Charles Léa
Henry Charles Léa
Juan Antonio Llorente est à la fois prêtre, homme politique et historien espagnol. Il est connu pour son œuvre sur l’Inquisition espagnole : Histoire critique de l’inquisition en Espagne. Dans cette œuvre, Llorente avance que le nombre de victimes – 30’000 condamnations à mort (physiquement) et 15’000 (par effigie), alors que Torquemada était Grand Inquisiteur. Et jamais, oui, jamais, ces chiffres ne vont au-dessus du million ! Ils sont même très bas…
Ces chiffres, on peut les lire des pages 272-284 de son œuvre. Pourtant, nonobstant cela, certains auteurs historiens estiment que Llorente a gravement exagéré ! Et parmi les critiques vis-à-vis de lui, nous pouvons trouver un Juif, Batolomé Benassar – dans L’Inquisition espagnole (chap. I, des pages 15 à 16), qui, citant Henry Charles Léa, montre que Llorente a exagéré ses estimations ; mais également des fondamentalistes farouchement opposés à l’Eglise Catholique, tels que Henry Charles Léa. Celui-ci écrit, dans sa grande œuvre concernant l’Inquisition qu’il ne fait aucun doute qu’il y a eu gravement exagération, et Llorente est celui qui y a contribué:
« There is no question that the number of these has been greatly exaggerated in popular belief, an exaggeration to which Llorente has largely contributed by his absurd method of computation, on an arbitrary assumption of a certain annual average for each tribunal in successive periods. It is impossible now to reconstruct the statistics of the Inquisition, especially during its early activity, but some general conclusions can be formed from the details accessible as to a few tribunals » – CHARLES LEA Henry, History of the Inquisition of Spain, Vol. IV, BOOK 9, chapter 2, p. 516-517).
Henry Charles Léa
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Juan Antonio Llorente est à la fois prêtre, homme politique et historien espagnol. Il est connu pour son œuvre sur l’Inquisition espagnole : Histoire critique de l’inquisition en Espagne. Dans cette œuvre, Llorente avance que le nombre de victimes – 30’000 condamnations à mort (physiquement) et 15’000 (par effigie), alors que Torquemada était Grand Inquisiteur. Et jamais, oui, jamais, ces chiffres ne vont au-dessus du million ! Ils sont même très bas…
Ces chiffres, on peut les lire des pages 272-284 de son œuvre. Pourtant, nonobstant cela, certains auteurs historiens estiment que Llorente a gravement exagéré ! Et parmi les critiques vis-à-vis de lui, nous pouvons trouver un Juif, Batolomé Benassar – dans L’Inquisition espagnole (chap. I, des pages 15 à 16), qui, citant Henry Charles Léa, montre que Llorente a exagéré ses estimations ; mais également des fondamentalistes farouchement opposés à l’Eglise Catholique, tels que Henry Charles Léa. Celui-ci écrit, dans sa grande œuvre concernant l’Inquisition qu’il ne fait aucun doute qu’il y a eu gravement exagération, et Llorente est celui qui y a contribué:
« There is no question that the number of these has been greatly exaggerated in popular belief, an exaggeration to which Llorente has largely contributed by his absurd method of computation, on an arbitrary assumption of a certain annual average for each tribunal in successive periods. It is impossible now to reconstruct the statistics of the Inquisition, especially during its early activity, but some general conclusions can be formed from the details accessible as to a few tribunals » – CHARLES LEA Henry, History of the Inquisition of Spain, Vol. IV, BOOK 9, chapter 2, p. 516-517).
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
le chemin de la Vérité et le chemin de la Révélation , ce trouvent dans le monothéisme !
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
l'athéisme est en soit une croyance monothéiste ,aussi , et donc préfère croire en rien !!! paradoxalement n'a foi en rien ,alors que logiquement devrait avoir foi en rien !!! en résumé l'athéisme devrait être une croyance sans la foi de quoi que ce soit , ni croire en lui et ou elle ,bref aucune personne au dessus de la mélé que ce soit homme , femme ,Dieu ,ni même un orateur car celui là sera pris pour son messie ou son dieu , ce qui serai incompatible et immorale à sa pensé !aPOTRE a écrit:le chemin de la Vérité et le chemin de la Révélation , ce trouvent dans le monothéisme !
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Plus loin, l’auteur soutient que la critique de Llorente envers le Saint-Office l’a rapprochée des Libéraux qui ont accueilli avec joie cette critique !
Mais, la critique en elle-même, n’avait rien de philosophique ou d’humaniste, il s’agissait simplement d’une critique interne de l’Eglise. Pour le même auteur, Llorente était un libéral. Sa critique est due au fait qu’il voulait une Eglise « libérale », qu’elle soit un « service public » en ce sens où qu’elle soit détachée de Rome, indépendante de Rome :
« Para un hombre del siglo XVIII como Llorente, el servicio a Dios de su Iglesia seguía siendo fundamental. Pero esa Iglesia había de ser nacional servicio público y nacionalizado, que diríamos hoy-, totalmente independiente de Roma, cuyo obispo debía ser primus inter pares. »
….Pourtant (laissons les critiques vis à vis de Juan Antonio), Juan Antonio Llorente relève encore dans son œuvre que, depuis 1524, on posa à Séville une inscription sur les quarante premières années de l’inquisition en Espagne, années supposées être les plus sanglantes et les plus terribles.
Nous lisons dans Histoire critique de l’Inquisition d’Espagne :
Mais, la critique en elle-même, n’avait rien de philosophique ou d’humaniste, il s’agissait simplement d’une critique interne de l’Eglise. Pour le même auteur, Llorente était un libéral. Sa critique est due au fait qu’il voulait une Eglise « libérale », qu’elle soit un « service public » en ce sens où qu’elle soit détachée de Rome, indépendante de Rome :
« Para un hombre del siglo XVIII como Llorente, el servicio a Dios de su Iglesia seguía siendo fundamental. Pero esa Iglesia había de ser nacional servicio público y nacionalizado, que diríamos hoy-, totalmente independiente de Roma, cuyo obispo debía ser primus inter pares. »
….Pourtant (laissons les critiques vis à vis de Juan Antonio), Juan Antonio Llorente relève encore dans son œuvre que, depuis 1524, on posa à Séville une inscription sur les quarante premières années de l’inquisition en Espagne, années supposées être les plus sanglantes et les plus terribles.
Nous lisons dans Histoire critique de l’Inquisition d’Espagne :
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
L’inscription que cite Llorente indique que plus de mille personnes seulement furent brûlées ¡ Face donc à tout ce que nous venons de présenter, comme croire qu’il y eut 6 millions, 25 millions, 50 millions, 95 millions de victimes sous l’inquisition ? et encore, a-t-on séparé l’institution ecclésiastique du bras séculier ? Car plusieurs, en tout cas ceux qui croient connaître l’Inquisition et qui fustigent l’Eglise ne le font point… N’ y a-t-il pas encore qui croient vraiment que les prêtres pratiquaient la torture? Ignorant que, ceux qui, ayant commis des abus, étaient condamnés à la réclusion à vie, tel Robert le Bougre, condamné à la perpétuelle pour ses méthodes cruelles et brutales… Même en admettant et en comptant le nombre de victimes depuis l’instauration de ce tribunal…, prétendre à des millions de victimes relève simplement de la pure fantasmagorie ¡ Car, si même les documents, les travaux anciens comme Llorente, ne vont pas au-delà du million, où peuvent bien venir toutes ces affabulations ? De Michelet ? Ou de Lamothe-Langon ? Mais nous avons montré que ce dernier a été démasqué comme simple falsificateur… Tous ceux qui avancent les chiffres allant au million ne sont rien d’autre que des falsificateurs… Des études modernes et contemporaines montrent qu’en fait, ces chiffres relèvent de l’affabulation et du mensonge. Rien de plus que des arguments basés sur des oui-dires pour la plupart, les permettant de fustiger, à leur grand plaisir, l’Eglise catholique. Il est cependant étonnant de remarquer que ceux qui le font, sont souvent des Protestants, qui, semblant ignorer l’histoire de leur réforme, trouvent joie à critiquer, même en faussant et en exagérant les faits, l’Eglise catholique. Certains seront surpris lorsque vous les apprendrez que les réformateurs ont repris le principe de l’Inquisition, et elle a été violente… très violente. Notre but n’étant point de tomber dans des arguments ad hominem comme nos adversaires – ce serait beaucoup trop aisé que de montrer et de souligner les atrocités et horreurs commises par les réformateurs –, nous préférons nous arrêter ici. Espérant que ceci aurait permis de ne plus se laisser prendre dans les filets de l’ignorance de ceux qui parlent de centaines de millions de morts commises au nom de l’inquisition.
Hypocrisie ? Etonnement les avortements qui balaient le monde, les tueries mondiales ne sont pas ainsi fustigées… étrange… Ne voulant point encore expliquer ce qu’est vraiment l’Inquisition, puisque la plupart de ceux qui l’abordent n’ont que de piètres notions, basées sur des ouï-dires et des a priori, nous conseillons cet article ci (qui cumule nombre considérables d’articles poussées et recherchés) qui fait le point sur ledit sujet. Le point important à retenir ? Comment comprendre que Llorente, qui parle que de milliers de morts, a exagéré selon des historiens, comment donc comprendre d’où viennent les millions de morts? C’est du pur délire ! Cependant, nous ne blâmons pas Llorente, car, les historiens reconnaissent qu’il avait cité avec et travaillé avec honnêteté, qu’il ne chercha point à truquer les faits ou à exagérer volontairement les choses…
« On aura beau répéter qu’on enchaîne le génie, en lui défendant d’attaquer les dogmes nationaux ; jamais on n’autorisera une erreur à force de la répéter. » (Joseph de Maistre)
Hypocrisie ? Etonnement les avortements qui balaient le monde, les tueries mondiales ne sont pas ainsi fustigées… étrange… Ne voulant point encore expliquer ce qu’est vraiment l’Inquisition, puisque la plupart de ceux qui l’abordent n’ont que de piètres notions, basées sur des ouï-dires et des a priori, nous conseillons cet article ci (qui cumule nombre considérables d’articles poussées et recherchés) qui fait le point sur ledit sujet. Le point important à retenir ? Comment comprendre que Llorente, qui parle que de milliers de morts, a exagéré selon des historiens, comment donc comprendre d’où viennent les millions de morts? C’est du pur délire ! Cependant, nous ne blâmons pas Llorente, car, les historiens reconnaissent qu’il avait cité avec et travaillé avec honnêteté, qu’il ne chercha point à truquer les faits ou à exagérer volontairement les choses…
« On aura beau répéter qu’on enchaîne le génie, en lui défendant d’attaquer les dogmes nationaux ; jamais on n’autorisera une erreur à force de la répéter. » (Joseph de Maistre)
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
nous préférons nous arrêter ici. Espérant que ceci aurait permis de ne plus se laisser prendre dans les filets de l’ignorance de ceux qui parlent de centaines de millions de morts commises au nom de l’inquisition. a écrit:
au nom de l'inquisition ,et donc non pas au nom de Dieu !
alors que dans l'islam tout ce fait comme le torchage du cul ,au nom de allah !
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
appliques le facteur multiplicateur des morts du par l'islam au nom de allah et continue à notre siècle , si tu veux comparer les morts au nom de l'inquisition, au morts du à l'inquisition islamique au nom de leur allah !!!!aPOTRE a écrit:
au nom de l'inquisition ,et donc non pas au nom de Dieu !
alors que dans l'islam tout ce fait comme le torchage du cul ,au nom de allah !
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
aPOTRE a écrit:
au nom de l'inquisition ,et donc non pas au nom de Dieu !
alors que dans l'islam tout ce fait comme le torchage du cul ,au nom de allah !
La justice de l'inquisition était considérée comme une justice DIVINE.
C'est tout aussi Blasphémateur que "les rois lieutenants du christ sur terre" alors qu'il ont jamais lavé les pieds de leur sujets.
Mais c'est ça la religion féodale.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
l'origine de l'inquisition , n'ai t'elle pas né dans l'espagne ,à cause que l'islam instaurait la soumission de grée et force de ce peuple chrétien et juif, au dieu de mahomet ????Plaristes a écrit:aPOTRE a écrit:
au nom de l'inquisition ,et donc non pas au nom de Dieu !
alors que dans l'islam tout ce fait comme le torchage du cul ,au nom de allah !
La justice de l'inquisition était considérée comme une justice DIVINE.
C'est tout aussi Blasphémateur que "les rois lieutenants du christ sur terre" alors qu'il ont jamais lavé les pieds de leur sujets.
Mais c'est ça la religion féodale.
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
aPOTRE a écrit:l'inquisition fondé et invention par les musulmans , des territoires qu'ils ont conquit , et le font toujours comme en afrique et moyen orient , talibans , djihadistes et autres !!!
Oui on peut rabâcher une connerie plusieurs fois comme un perroquet, ça ne rendra pas plus intelligent quand même.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
l'inquisition est né quand , avant , pendant ,après l'islam ???Volog a écrit:aPOTRE a écrit:l'inquisition fondé et invention par les musulmans , des territoires qu'ils ont conquit , et le font toujours comme en afrique et moyen orient , talibans , djihadistes et autres !!!
Oui on peut rabâcher une connerie plusieurs fois comme un perroquet, ça ne rendra pas plus intelligent quand même.
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
dis moi !!!l'inquisition est né quand , avant , pendant ,après l'islam Assassin voulant conquérir l'Europe ???Volog a écrit:aPOTRE a écrit:l'inquisition fondé et invention par les musulmans , des territoires qu'ils ont conquit , et le font toujours comme en afrique et moyen orient , talibans , djihadistes et autres !!!
Oui on peut rabâcher une connerie plusieurs fois comme un perroquet, ça ne rendra pas plus intelligent quand même.
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Plaristes a écrit:Joli barratin mais des comptes rendus des agences de renseignement des alliés montre que la moitié de ça c'est du pipeau !
Allez voir par vous même !
Soit il ignore tout, ce qui me semble impossible, soit il nous prend pour des billes ....
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
L'Inquisition médiévale est introduite devant les tribunaux ecclésiastiques par le pape Innocent III en 1199 .
Le 20 avril 1233, le pape Grégoire IX confie à un tribunal d'exception dénommé Inquisitio hereticae pravitatis le soin de démasquer et condamner, dans tout le royaume de France, les hérétiques et les catholiques non sincères.
Le tribunal de l’Inquisition était d’abord chargé de la santé spirituelle des chrétiens. L’Église s’est repentie du consentement donné à des méthodes de violence au service de la vérité, même dans leur contexte historique.
Le pardon de l’Église
Il reste que les chiffres ne changent rien au fond : un seul tué au nom du Christ est déjà un scandale. L’Église a demandé « pardon pour le consentement donné à des méthodes d’intolérance et même de violence ». En 2000, le pape Jean Paul II initie une démarche de pardon sans précédent dans l’histoire de l’Église. Parmi les situations considérées figure l’Inquisition, « forme de violence exercée dans la répression et la correction des erreurs ».
Qu’on le veuille ou non, l’Inquisition fait partie de l’histoire de l’Église.
Le 20 avril 1233, le pape Grégoire IX confie à un tribunal d'exception dénommé Inquisitio hereticae pravitatis le soin de démasquer et condamner, dans tout le royaume de France, les hérétiques et les catholiques non sincères.
Le tribunal de l’Inquisition était d’abord chargé de la santé spirituelle des chrétiens. L’Église s’est repentie du consentement donné à des méthodes de violence au service de la vérité, même dans leur contexte historique.
Le pardon de l’Église
Il reste que les chiffres ne changent rien au fond : un seul tué au nom du Christ est déjà un scandale. L’Église a demandé « pardon pour le consentement donné à des méthodes d’intolérance et même de violence ». En 2000, le pape Jean Paul II initie une démarche de pardon sans précédent dans l’histoire de l’Église. Parmi les situations considérées figure l’Inquisition, « forme de violence exercée dans la répression et la correction des erreurs ».
Qu’on le veuille ou non, l’Inquisition fait partie de l’histoire de l’Église.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
causé par l'islam barbare , ne t'en déplaise ! et donc , jésus ditVolog a écrit:L'Inquisition médiévale est introduite devant les tribunaux ecclésiastiques par le pape Innocent III en 1199 .
Le 20 avril 1233, le pape Grégoire IX confie à un tribunal d'exception dénommé Inquisitio hereticae pravitatis le soin de démasquer et condamner, dans tout le royaume de France, les hérétiques et les catholiques non sincères.
Le tribunal de l’Inquisition était d’abord chargé de la santé spirituelle des chrétiens. L’Église s’est repentie du consentement donné à des méthodes de violence au service de la vérité, même dans leur contexte historique.
Le pardon de l’Église
Il reste que les chiffres ne changent rien au fond : un seul tué au nom du Christ est déjà un scandale. L’Église a demandé « pardon pour le consentement donné à des méthodes d’intolérance et même de violence ». En 2000, le pape Jean Paul II initie une démarche de pardon sans précédent dans l’histoire de l’Église. Parmi les situations considérées figure l’Inquisition, « forme de violence exercée dans la répression et la correction des erreurs ».
Qu’on le veuille ou non, l’Inquisition fait partie de l’histoire de l’Église.
Marc 8:38
Car quiconque aura honte de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l'homme aura aussi honte de lui, quand il viendra dans la gloire de son Père, avec les saints anges.
Mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon Père qui est aux cieux.
et l'islam c'est même aujourd'hui
Ésaïe 59:13
Nous avons été coupables et infidèles envers l'Eternel, Nous avons abandonné notre Dieu; Nous avons proféré la violence et la révolte, Conçu et médité dans le coeur des paroles de mensonge;(qui est approprié aussi à mahomet du coran , vu qu'il place le Fils de DIeu en un prophète , et donc le renie en Fils de Dieu) !!!
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
L'Inquisition médiévale est introduite devant les tribunaux ecclésiastiques par le pape Innocent III en 1199 .
Le 20 avril 1233, le pape Grégoire IX confie à un tribunal d'exception dénommé Inquisitio hereticae pravitatis le soin de démasquer et condamner, dans tout le royaume de France, les hérétiques et les catholiques non sincères.
Le tribunal de l’Inquisition était d’abord chargé de la santé spirituelle des chrétiens. L’Église s’est repentie du consentement donné à des méthodes de violence au service de la vérité, même dans leur contexte historique.
Le pardon de l’Église
Il reste que les chiffres ne changent rien au fond : un seul tué au nom du Christ est déjà un scandale. L’Église a demandé « pardon pour le consentement donné à des méthodes d’intolérance et même de violence ». En 2000, le pape Jean Paul II initie une démarche de pardon sans précédent dans l’histoire de l’Église. Parmi les situations considérées figure l’Inquisition, « forme de violence exercée dans la répression et la correction des erreurs ».
[b]Qu’on le veuille ou non, l’Inquisition fait partie de l’histoire de l’Église./b]
Le 20 avril 1233, le pape Grégoire IX confie à un tribunal d'exception dénommé Inquisitio hereticae pravitatis le soin de démasquer et condamner, dans tout le royaume de France, les hérétiques et les catholiques non sincères.
Le tribunal de l’Inquisition était d’abord chargé de la santé spirituelle des chrétiens. L’Église s’est repentie du consentement donné à des méthodes de violence au service de la vérité, même dans leur contexte historique.
Le pardon de l’Église
Il reste que les chiffres ne changent rien au fond : un seul tué au nom du Christ est déjà un scandale. L’Église a demandé « pardon pour le consentement donné à des méthodes d’intolérance et même de violence ». En 2000, le pape Jean Paul II initie une démarche de pardon sans précédent dans l’histoire de l’Église. Parmi les situations considérées figure l’Inquisition, « forme de violence exercée dans la répression et la correction des erreurs ».
[b]Qu’on le veuille ou non, l’Inquisition fait partie de l’histoire de l’Église./b]
Dernière édition par Volog le Dim 12 Sep 2021 - 10:40, édité 2 fois
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
L’Inquisition, créée et pilotée par la Papauté, fut une juridiction terrible que beaucoup craignaient.
On sait que les Cathares, branche chrétienne hérétique, furent pourchassés par les Inquisiteurs.
La procédure inquisitoriale repose sur des dispositions réglementaires anciennes, instaurées au XIIe siècle, ayant progressivement évolué vers de nouveaux principes juridiques. La réglementation devient plus rigoureuse dans la pratique de l'accusation : importance des aveux de l'accusé et nécessité de témoignages fiables. L'accusé peut être soumis au jugement de Dieu par le biais d'épreuves (feu, eau...) : c'est l'ordalie.
Épreuve de l'ordalie par l'eau
On sait que les Cathares, branche chrétienne hérétique, furent pourchassés par les Inquisiteurs.
La procédure inquisitoriale repose sur des dispositions réglementaires anciennes, instaurées au XIIe siècle, ayant progressivement évolué vers de nouveaux principes juridiques. La réglementation devient plus rigoureuse dans la pratique de l'accusation : importance des aveux de l'accusé et nécessité de témoignages fiables. L'accusé peut être soumis au jugement de Dieu par le biais d'épreuves (feu, eau...) : c'est l'ordalie.
Épreuve de l'ordalie par l'eau
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
L’Inquisition médiévale aux mains des Dominicains
Dès sa création en 1223, le pape Grégoire IX confie l'Inquisition aux Dominicains ou Frères Prêcheurs. L'ordre religieux, fondé à Toulouse en 1215 par Dominique de Guzman, est reconnu pour sa compétence théologique et sa vocation à être près du peuple. Entre 1231 et 1232, le pape installe l'Inquisition en juridiction d'exception sous son pouvoir souverain et nomme des juges permanents, indépendants de la justice seigneuriale et des évêques.
L'Inquisition partage le Languedoc en trois tribunaux (Toulouse, Carcassonne et Provence) : les hérétiques cathares présents dans l'ensemble de la société et pratiquant librement leur culte, se trouvent désormais dans une insécurité permanente. La pratique de la torture commence en 1252, avec la caution du pape Innocent IV. Malgré des soulèvements contre l'Inquisition durant toute la seconde moitié du XIIIe siècle, celle-ci finit par réduire l'hérésie à la clandestinité et vers 1300, on considère qu'elle a pratiquement disparu des villes.
Le dominicain Bernard Gui a témoigné par écrit du soulèvement des Albigeois contre les inquisiteurs et l'évêque d'Albi entre 1301 et 1305. Il devient le grand inquisiteur de Toulouse de 1308 à 1323 ; son Livre des sentences, recueil de sermons et de jugements, témoigne de la variété des sanctions appliquées aux hérétiques : 30 % des décisions sont des libérations de peine, 6 % sont des condamnations au bûcher, plus de 50 % sont des condamnations à la prison ou au port de la « croix jaune » en signe d'infamie.
Dans les années 1330, l'Inquisition devient un rouage de l'administration ecclésiale, son tribunal se bureaucratise : des questionnaires types sont mis en place pour l'interrogatoire des accusés, les manuels d'instruction se multiplient. Son action décline : réduite à poursuivre de petites hérésies, l'Inquisition étend sa juridiction à d'autres domaines, intégrant désormais le blasphème, la bigamie et la sorcellerie.
Dès sa création en 1223, le pape Grégoire IX confie l'Inquisition aux Dominicains ou Frères Prêcheurs. L'ordre religieux, fondé à Toulouse en 1215 par Dominique de Guzman, est reconnu pour sa compétence théologique et sa vocation à être près du peuple. Entre 1231 et 1232, le pape installe l'Inquisition en juridiction d'exception sous son pouvoir souverain et nomme des juges permanents, indépendants de la justice seigneuriale et des évêques.
L'Inquisition partage le Languedoc en trois tribunaux (Toulouse, Carcassonne et Provence) : les hérétiques cathares présents dans l'ensemble de la société et pratiquant librement leur culte, se trouvent désormais dans une insécurité permanente. La pratique de la torture commence en 1252, avec la caution du pape Innocent IV. Malgré des soulèvements contre l'Inquisition durant toute la seconde moitié du XIIIe siècle, celle-ci finit par réduire l'hérésie à la clandestinité et vers 1300, on considère qu'elle a pratiquement disparu des villes.
Le dominicain Bernard Gui a témoigné par écrit du soulèvement des Albigeois contre les inquisiteurs et l'évêque d'Albi entre 1301 et 1305. Il devient le grand inquisiteur de Toulouse de 1308 à 1323 ; son Livre des sentences, recueil de sermons et de jugements, témoigne de la variété des sanctions appliquées aux hérétiques : 30 % des décisions sont des libérations de peine, 6 % sont des condamnations au bûcher, plus de 50 % sont des condamnations à la prison ou au port de la « croix jaune » en signe d'infamie.
Dans les années 1330, l'Inquisition devient un rouage de l'administration ecclésiale, son tribunal se bureaucratise : des questionnaires types sont mis en place pour l'interrogatoire des accusés, les manuels d'instruction se multiplient. Son action décline : réduite à poursuivre de petites hérésies, l'Inquisition étend sa juridiction à d'autres domaines, intégrant désormais le blasphème, la bigamie et la sorcellerie.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Le saviez-vous ?
Instrument d’État dans le royaume de France, l’Inquisition participe à la chute de l’ordre des Templiers en conduisant l’interrogatoire de ses maîtres en 1307.
Elle est chargée du jugement de Jeanne d’Arc, qui aboutit à sa condamnation et son exécution, brûlée comme hérétique « relapse » en 1431.
https://www.futura-sciences.com/sciences/questions-reponses/histoire-histoire-inquisition-organisation-fonctionnement-12198/
Tribunal de l'Inquisition par Francisco de Goya, entre 1812 et 1819 (autodafé dans une église : les accusés portent un chapeau pointu ; les flammes peintes sur les chapeaux supposent qu'ils sont condamnés au bûcher).
EXÉCUTION DE LA SENTENCE
Texte de Marius Sepet, dans son très bel ouvrage
intitulé simplement « Jeanne d’Arc »,
édition Jean de Bonnot Paris 2002
… Le bûcher était d’une effrayante hauteur. Les fagots s’entassaient sur une assise en maçonnerie, à laquelle on arrivait par des degrés, et qui supportait un poteau très élevé. Au sommet du poteau un vaste tableau présentait aux regards de la foule ces mots, écrits en gros caractères :
Jeanne, qui se fait nommer la Pucelle, menteresse, pernicieuse,
abuseresse du peuple, devineresse, superstitieuse, blasphémeresse de Dieu,
présomptueuse, mécréante en la foi, vanteresse, idolâtre, cruelle,
dissolue, invocatrice de diables, apostate, schismatique et hérétique
… Après une courte exhortation, Cauchon donna lecture de la sentence. « Jeanne étant retournée, ô douleur! à ses erreurs et à ses crimes, comme un chien qui retourne à son vomissement », il la retranchait à l’Église, et il la livrait à la puissance séculière, priant toutefois celle-ci, suivant la formule que lui imposait une antique tradition de la procédure inquisitoriale, formellement rappelée dans le dernier vote des assesseurs, d’éviter à la condamnée « la mort et la mutilation des membres ». Il disait cela en face de son innocente victime et du bûcher!
Jeanne était jusqu’alors, sauf quelques soupirs, quelques sanglots, demeurée dans le silence. Elle se jette à genoux, et commence à faire à haute voix devant la foule ses lamentations et ses prières…
Cependant la soldatesque anglaise, ces farouches mercenaires que rien n’émeut, commencent à s’impatienter : « Hé! prêtre, crient-ils à Jean Massieu, nous ferez-vous dîner ici! »… Deux sergents… [vont chercher] la condamnée. On lui enlève son chaperon, on la coiffe d’une mitre de papier, où sont écrits ces mots : Hérétique, relapse, apostate, idolâtre. On l’entraîne vers le juge séculier qui, voyant la fureur des Anglais, ne prononce aucune sentence; il fait seulement signe de la main, en disant « Menez, menez. »
Jeanne est sur le bûcher; son confesseur l’y a suivie, et il l’exhorte avec tendresse. Elle est liée au poteau, et promène ses regards sur cette foule qui l’environne. « Ah! Rouen! Rouen! s’écrie-t-elle, j’ai bien peur que tu n’aies à souffrir de ma mort. » Soudain elle pousse un cri : « Maître Martin, prenez garde, descendez..., le feu. » Le bourreau venait d’allumer les fagots par en bas. Ladvenu rejoint Ysambard au pied du bûcher, et ils ne cessent tous deux de parler à Jeanne à travers les flammes, de tenir le crucifix devant ses yeux. Cependant la fumée s’élève, le bois pétille, la flamme terrestre enveloppe le chaste corps de la Pucelle, et au même moment le feu divin embrase son cœur : elle voit les anges, elle voit les saintes; elle comprend la délivrance. « Saint Michel! saint Michel! Non, mes voix ne m’ont pas trompée, ma mission était de Dieu, Jésus! Jésus! » La douleur lui arracha un dernier cri d’angoisse : « De l’eau! de l’eau bénite! » Mais bientôt elle redit avec une énergie nouvelle : « Jésus! Jésus! Jésus! » Et elle meurt en criant : « Jésus! »
Le bourreau écarta les flammes, pour montrer à la populace qu’il n’y avait pas eu de subterfuge, de substitution de personne, que c’était bien la Pucelle qui avait été brûlée vive; puis, rapprochant les fagots et attisant l’incendie avec de huile et du soufre, il acheva son œuvre. Les restes de la vierge de France, c’est-à-dire un peu de poussière, quelques ossements, son cœur et ses entrailles, furent jetés dans la Seine par l’ordre de Winchester.
Le bourreau inconsolable d’avoir servi d’instrument à l’atroce vengeance de l’Angleterre vint, tremblant, éperdu, trouver Ladvenu et Ysambard, disant qu’aucune exécution ne lui avait causé une telle douleur, racontant comme quoi, malgré tous ses efforts, le cœur de Jeanne n’avait pu être entamé par les flammes, criant que Dieu ne lui pardonnerait jamais.
Les deux religieux virent dans l’après-midi, arriver au couvent un autre pénitent : c’était un soldat anglais qui avait parié qu’il jetterait un fagot dans le bûcher de Jeanne. Il s’approchait pour accomplir ce bel exploit, quand tout à coup on le vit pâlir, chanceler, s’affaisser sur le sol. Ses compagnons l’emportèrent dans une taverne voisine, où ils eurent toutes les peines du monde à le faire revenir. « Elle expirait, dit-il, et comme elle disait : Jésus! j’ai vu alors une colombe sortir de la flamme et monter au ciel ».
Jean Thiessart, secrétaire du roi d’Angleterre, en revenant du supplice, s’en allait par les rues, le front penché, les yeux hagards, répétant à tous ceux qui voulaient l’entendre : « Nous sommes perdus, nous avons brûlé une sainte ».
*
https://ledroitcriminel.fr/le_phenomene_criminel/crimes_et_proces_celebres/jehanne_d_arc.htm
Instrument d’État dans le royaume de France, l’Inquisition participe à la chute de l’ordre des Templiers en conduisant l’interrogatoire de ses maîtres en 1307.
Elle est chargée du jugement de Jeanne d’Arc, qui aboutit à sa condamnation et son exécution, brûlée comme hérétique « relapse » en 1431.
https://www.futura-sciences.com/sciences/questions-reponses/histoire-histoire-inquisition-organisation-fonctionnement-12198/
Tribunal de l'Inquisition par Francisco de Goya, entre 1812 et 1819 (autodafé dans une église : les accusés portent un chapeau pointu ; les flammes peintes sur les chapeaux supposent qu'ils sont condamnés au bûcher).
EXÉCUTION DE LA SENTENCE
Texte de Marius Sepet, dans son très bel ouvrage
intitulé simplement « Jeanne d’Arc »,
édition Jean de Bonnot Paris 2002
… Le bûcher était d’une effrayante hauteur. Les fagots s’entassaient sur une assise en maçonnerie, à laquelle on arrivait par des degrés, et qui supportait un poteau très élevé. Au sommet du poteau un vaste tableau présentait aux regards de la foule ces mots, écrits en gros caractères :
Jeanne, qui se fait nommer la Pucelle, menteresse, pernicieuse,
abuseresse du peuple, devineresse, superstitieuse, blasphémeresse de Dieu,
présomptueuse, mécréante en la foi, vanteresse, idolâtre, cruelle,
dissolue, invocatrice de diables, apostate, schismatique et hérétique
… Après une courte exhortation, Cauchon donna lecture de la sentence. « Jeanne étant retournée, ô douleur! à ses erreurs et à ses crimes, comme un chien qui retourne à son vomissement », il la retranchait à l’Église, et il la livrait à la puissance séculière, priant toutefois celle-ci, suivant la formule que lui imposait une antique tradition de la procédure inquisitoriale, formellement rappelée dans le dernier vote des assesseurs, d’éviter à la condamnée « la mort et la mutilation des membres ». Il disait cela en face de son innocente victime et du bûcher!
Jeanne était jusqu’alors, sauf quelques soupirs, quelques sanglots, demeurée dans le silence. Elle se jette à genoux, et commence à faire à haute voix devant la foule ses lamentations et ses prières…
Cependant la soldatesque anglaise, ces farouches mercenaires que rien n’émeut, commencent à s’impatienter : « Hé! prêtre, crient-ils à Jean Massieu, nous ferez-vous dîner ici! »… Deux sergents… [vont chercher] la condamnée. On lui enlève son chaperon, on la coiffe d’une mitre de papier, où sont écrits ces mots : Hérétique, relapse, apostate, idolâtre. On l’entraîne vers le juge séculier qui, voyant la fureur des Anglais, ne prononce aucune sentence; il fait seulement signe de la main, en disant « Menez, menez. »
Jeanne est sur le bûcher; son confesseur l’y a suivie, et il l’exhorte avec tendresse. Elle est liée au poteau, et promène ses regards sur cette foule qui l’environne. « Ah! Rouen! Rouen! s’écrie-t-elle, j’ai bien peur que tu n’aies à souffrir de ma mort. » Soudain elle pousse un cri : « Maître Martin, prenez garde, descendez..., le feu. » Le bourreau venait d’allumer les fagots par en bas. Ladvenu rejoint Ysambard au pied du bûcher, et ils ne cessent tous deux de parler à Jeanne à travers les flammes, de tenir le crucifix devant ses yeux. Cependant la fumée s’élève, le bois pétille, la flamme terrestre enveloppe le chaste corps de la Pucelle, et au même moment le feu divin embrase son cœur : elle voit les anges, elle voit les saintes; elle comprend la délivrance. « Saint Michel! saint Michel! Non, mes voix ne m’ont pas trompée, ma mission était de Dieu, Jésus! Jésus! » La douleur lui arracha un dernier cri d’angoisse : « De l’eau! de l’eau bénite! » Mais bientôt elle redit avec une énergie nouvelle : « Jésus! Jésus! Jésus! » Et elle meurt en criant : « Jésus! »
Le bourreau écarta les flammes, pour montrer à la populace qu’il n’y avait pas eu de subterfuge, de substitution de personne, que c’était bien la Pucelle qui avait été brûlée vive; puis, rapprochant les fagots et attisant l’incendie avec de huile et du soufre, il acheva son œuvre. Les restes de la vierge de France, c’est-à-dire un peu de poussière, quelques ossements, son cœur et ses entrailles, furent jetés dans la Seine par l’ordre de Winchester.
Le bourreau inconsolable d’avoir servi d’instrument à l’atroce vengeance de l’Angleterre vint, tremblant, éperdu, trouver Ladvenu et Ysambard, disant qu’aucune exécution ne lui avait causé une telle douleur, racontant comme quoi, malgré tous ses efforts, le cœur de Jeanne n’avait pu être entamé par les flammes, criant que Dieu ne lui pardonnerait jamais.
Les deux religieux virent dans l’après-midi, arriver au couvent un autre pénitent : c’était un soldat anglais qui avait parié qu’il jetterait un fagot dans le bûcher de Jeanne. Il s’approchait pour accomplir ce bel exploit, quand tout à coup on le vit pâlir, chanceler, s’affaisser sur le sol. Ses compagnons l’emportèrent dans une taverne voisine, où ils eurent toutes les peines du monde à le faire revenir. « Elle expirait, dit-il, et comme elle disait : Jésus! j’ai vu alors une colombe sortir de la flamme et monter au ciel ».
Jean Thiessart, secrétaire du roi d’Angleterre, en revenant du supplice, s’en allait par les rues, le front penché, les yeux hagards, répétant à tous ceux qui voulaient l’entendre : « Nous sommes perdus, nous avons brûlé une sainte ».
*
https://ledroitcriminel.fr/le_phenomene_criminel/crimes_et_proces_celebres/jehanne_d_arc.htm
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
source figaro
L'Inquisition médiévale, au-delà de la légende noire
Par Véronique Laroche-Signorile
Publié le 19/04/2018 à 19:40, mis à jour le 23/04/2018 à 11:00
HISTOIRE - Le 20 avril 1233 le pape Grégoire IX établit l'Inquisition en France. Dans l'imaginaire collectif, ce tribunal ecclésiastique du Moyen Âge est associé à un temps de violence, d'infâmes tortures, d'immenses bûchers, de fanatisme… Retour sur quelques idées reçues.
Falsification de l'histoire au XIXe siècle. Il y a 785 ans le pape Grégoire IX introduit dans le royaume de France l'Inquisition pontificale. Il s'agit d'un tribunal ecclésiastique confié aux ordres mendiants (les dominicains et les franciscains) pour lutter contre l'hérésie en Europe. Ainsi le 20 avril 1233, le pape charge les frères prêcheurs (les dominicains) de lutter contre l'hérésie dans le Languedoc.
Mais qu'en est-il de l'action de cette institution en France? Répression aveugle ou action modérée? Signe d'obscurantisme? Décryptage en quatre idées reçues.
Idée reçue n°1: l'Inquisition médiévale est le signe d'un temps d'intolérance et de fanatisme
Ce tribunal pontifical médiéval est institué par la papauté pour protéger l'orthodoxie catholique: il est créé pour lutter contre les dissidences religieuses. En contestant l'organisation de l'Église romaine et certains de ses dogmes elles menacent son unité. Ces membres sont considérés comme des hérétiques. Aussi l'objectif du tribunal est avant tout de sauver les âmes égarées, de les ramener dans le giron de l'Église romaine.
À l'origine dans l'esprit de la papauté il s'agit davantage d'un outil de persuasion que de répression, ce que certains juges oublieront. L'Inquisition est créée pour préserver la chrétienté et ne juge que les chrétiens. Les tribunaux inquisitoriaux sont introduits en 1233 dans le royaume de France pour lutter contre les Cathares, installés dans le Midi de la France. Les inquisiteurs, nommés par le pape, s'appuient dans leur mission sur les pouvoirs laïcs.
En replaçant cette organisation ecclésiastique, dans le contexte culturel et historique du Moyen Âge, on ne peut parler de fanatisme ou d'intolérance.
Idée reçue n°2: Les juges inquisitoriaux rendent une justice arbitraire
L'Inquisition est souvent présentée comme une justice arbitraire et archaïque, alors qu'elle apparaît plutôt moderne: elle met en place une procédure d'enquête. Le but est de ramener la personne suspectée d'hérésie dans le droit chemin, de permettre la conversion. Ainsi l'instruction est méthodique, elle ne peut débuter que sur la base de témoignages vérifiés. Il faut des preuves concrètes et des témoignages probants avant de pouvoir faire procéder à l'arrestation d'une personne par les pouvoirs civils. La justice s'appuie sur l'aveu -s'il est obtenu par la torture, il doit être réitéré «sans aucune pression de force ou de contrainte», hors de la chambre de torture pour être recevable. Le faux témoignage est par ailleurs poursuivi et condamné.
L'historien Didier Le Fur précise dans son livre sur l'Inquisition que la sentence du tribunal est prise sur l'avis du conseil -qui comprend des membres du clergé régulier ou séculier et des laïcs désignés expressément et chacun fait serment de donner les bons conseils. On ne communique pas forcément le nom du prévenu. Enfin Il faut soulever que l'Inquisition ne condamne pas systématiquement les personnes suspectées. Il ne s'agit pas d'une justice aveugle, comme peut l'être la justice seigneuriale, souvent arbitraire et expéditive.
Idée reçue n°3: l'Inquisition est un tribunal qui envoie des milliers de personnes au bûcher
La légende noire de l'Inquisition, présentant les inquisiteurs comme des juges cruels, responsables d'immenses bûchers est un héritage de la littérature et de l'iconographie du XIXe siècle. Or les recherches récentes ont permis de réévaluer largement à la baisse le nombre d'occis. Ainsi selon les chiffres des sentences de Bernard Gui, inquisiteur à Toulouse pendant 15 ans, de 1308 à 1323, sur 633 sentences, seules 40 personnes sont remises au bras séculier, donc au bûcher (l'Inquisition qui ne peut en théorie pratiquer la peine de mort envoie le condamné à la justice laïque). Dès la fin du XIIIe siècle le bûcher est de plus en plus exceptionnel; il est aussi le signe de l'échec de l'Église, incapable de ramener les âmes perdues.
Il est certain qu'au cours de son histoire l'Inquisition a pu se montrer féroce, mais il faut aussi mentionner que les abus de certains juges sont aussi punis. Ainsi Robert le Bougre -ancien hérétique converti- inquisiteur en Champagne qui envoie des dizaines de condamnés au bûcher (bûcher du Mont-Aimé) est suspendu temporairement en 1233. Lorsqu'il reprend sa mission, ses excès sont tels qu'il est révoqué et condamné à la prison à perpétuité en 1247. Mais ces dérives ne sont pas une généralité: les tribunaux inquisitoriaux sont davantage modérés dans leurs sentences que les tribunaux laïcs. Et la grande majorité des peines consiste en un temps d'emprisonnement.
Les images de violences proviennent surtout de l'amalgame qui est fait avec l'Inquisition espagnole -fondée en Espagne, en 1478, à la demande des rois catholiques Isabelle de Castille et Ferdinand d'Aragon. Elle est un temps sous l'autorité du tristement célèbre grand inquisiteur Thomas de Torquemada. Elle est instaurée pour sévir contre toutes les déviances, c'est-à-dire contre tous ceux qui ne sont pas catholiques. Il s'agit d'un phénomène politico-religieux. Abolie une première fois en 1808, elle l'est définitivement en 1834.
Idée reçue n°4: l'Inquisition en France est une organisation pontificale puissante pendant des siècles
L'Inquisition médiévale dans le royaume de France perd de son importance avec le déclin des hérésies cathare et vaudoise à la fin du XIVe siècle. Ainsi un siècle après sa création elle est affaiblie notamment par la royauté qui souhaite affermir son autorité et conteste celle de l'Église. Aussi dans certaines affaires -comme celle des Templiers avec Philippe le Bel- il est difficile de définir la frontière entre le domaine politique et religieux.
À LIRE AUSSILe Livre des sentences de l'inquisiteur Bernard Gui: la véritable figure de l'Inquisition
L'Inquisition médiévale, au-delà de la légende noire
Par Véronique Laroche-Signorile
Publié le 19/04/2018 à 19:40, mis à jour le 23/04/2018 à 11:00
HISTOIRE - Le 20 avril 1233 le pape Grégoire IX établit l'Inquisition en France. Dans l'imaginaire collectif, ce tribunal ecclésiastique du Moyen Âge est associé à un temps de violence, d'infâmes tortures, d'immenses bûchers, de fanatisme… Retour sur quelques idées reçues.
Falsification de l'histoire au XIXe siècle. Il y a 785 ans le pape Grégoire IX introduit dans le royaume de France l'Inquisition pontificale. Il s'agit d'un tribunal ecclésiastique confié aux ordres mendiants (les dominicains et les franciscains) pour lutter contre l'hérésie en Europe. Ainsi le 20 avril 1233, le pape charge les frères prêcheurs (les dominicains) de lutter contre l'hérésie dans le Languedoc.
Mais qu'en est-il de l'action de cette institution en France? Répression aveugle ou action modérée? Signe d'obscurantisme? Décryptage en quatre idées reçues.
Idée reçue n°1: l'Inquisition médiévale est le signe d'un temps d'intolérance et de fanatisme
Ce tribunal pontifical médiéval est institué par la papauté pour protéger l'orthodoxie catholique: il est créé pour lutter contre les dissidences religieuses. En contestant l'organisation de l'Église romaine et certains de ses dogmes elles menacent son unité. Ces membres sont considérés comme des hérétiques. Aussi l'objectif du tribunal est avant tout de sauver les âmes égarées, de les ramener dans le giron de l'Église romaine.
À l'origine dans l'esprit de la papauté il s'agit davantage d'un outil de persuasion que de répression, ce que certains juges oublieront. L'Inquisition est créée pour préserver la chrétienté et ne juge que les chrétiens. Les tribunaux inquisitoriaux sont introduits en 1233 dans le royaume de France pour lutter contre les Cathares, installés dans le Midi de la France. Les inquisiteurs, nommés par le pape, s'appuient dans leur mission sur les pouvoirs laïcs.
En replaçant cette organisation ecclésiastique, dans le contexte culturel et historique du Moyen Âge, on ne peut parler de fanatisme ou d'intolérance.
Idée reçue n°2: Les juges inquisitoriaux rendent une justice arbitraire
L'Inquisition est souvent présentée comme une justice arbitraire et archaïque, alors qu'elle apparaît plutôt moderne: elle met en place une procédure d'enquête. Le but est de ramener la personne suspectée d'hérésie dans le droit chemin, de permettre la conversion. Ainsi l'instruction est méthodique, elle ne peut débuter que sur la base de témoignages vérifiés. Il faut des preuves concrètes et des témoignages probants avant de pouvoir faire procéder à l'arrestation d'une personne par les pouvoirs civils. La justice s'appuie sur l'aveu -s'il est obtenu par la torture, il doit être réitéré «sans aucune pression de force ou de contrainte», hors de la chambre de torture pour être recevable. Le faux témoignage est par ailleurs poursuivi et condamné.
L'historien Didier Le Fur précise dans son livre sur l'Inquisition que la sentence du tribunal est prise sur l'avis du conseil -qui comprend des membres du clergé régulier ou séculier et des laïcs désignés expressément et chacun fait serment de donner les bons conseils. On ne communique pas forcément le nom du prévenu. Enfin Il faut soulever que l'Inquisition ne condamne pas systématiquement les personnes suspectées. Il ne s'agit pas d'une justice aveugle, comme peut l'être la justice seigneuriale, souvent arbitraire et expéditive.
Idée reçue n°3: l'Inquisition est un tribunal qui envoie des milliers de personnes au bûcher
La légende noire de l'Inquisition, présentant les inquisiteurs comme des juges cruels, responsables d'immenses bûchers est un héritage de la littérature et de l'iconographie du XIXe siècle. Or les recherches récentes ont permis de réévaluer largement à la baisse le nombre d'occis. Ainsi selon les chiffres des sentences de Bernard Gui, inquisiteur à Toulouse pendant 15 ans, de 1308 à 1323, sur 633 sentences, seules 40 personnes sont remises au bras séculier, donc au bûcher (l'Inquisition qui ne peut en théorie pratiquer la peine de mort envoie le condamné à la justice laïque). Dès la fin du XIIIe siècle le bûcher est de plus en plus exceptionnel; il est aussi le signe de l'échec de l'Église, incapable de ramener les âmes perdues.
Il est certain qu'au cours de son histoire l'Inquisition a pu se montrer féroce, mais il faut aussi mentionner que les abus de certains juges sont aussi punis. Ainsi Robert le Bougre -ancien hérétique converti- inquisiteur en Champagne qui envoie des dizaines de condamnés au bûcher (bûcher du Mont-Aimé) est suspendu temporairement en 1233. Lorsqu'il reprend sa mission, ses excès sont tels qu'il est révoqué et condamné à la prison à perpétuité en 1247. Mais ces dérives ne sont pas une généralité: les tribunaux inquisitoriaux sont davantage modérés dans leurs sentences que les tribunaux laïcs. Et la grande majorité des peines consiste en un temps d'emprisonnement.
Les images de violences proviennent surtout de l'amalgame qui est fait avec l'Inquisition espagnole -fondée en Espagne, en 1478, à la demande des rois catholiques Isabelle de Castille et Ferdinand d'Aragon. Elle est un temps sous l'autorité du tristement célèbre grand inquisiteur Thomas de Torquemada. Elle est instaurée pour sévir contre toutes les déviances, c'est-à-dire contre tous ceux qui ne sont pas catholiques. Il s'agit d'un phénomène politico-religieux. Abolie une première fois en 1808, elle l'est définitivement en 1834.
Idée reçue n°4: l'Inquisition en France est une organisation pontificale puissante pendant des siècles
L'Inquisition médiévale dans le royaume de France perd de son importance avec le déclin des hérésies cathare et vaudoise à la fin du XIVe siècle. Ainsi un siècle après sa création elle est affaiblie notamment par la royauté qui souhaite affermir son autorité et conteste celle de l'Église. Aussi dans certaines affaires -comme celle des Templiers avec Philippe le Bel- il est difficile de définir la frontière entre le domaine politique et religieux.
À LIRE AUSSILe Livre des sentences de l'inquisiteur Bernard Gui: la véritable figure de l'Inquisition
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
aPOTRE a écrit:l'origine de l'inquisition , n'ai t'elle pas né dans l'espagne ,à cause que l'islam instaurait la soumission de grée et force de ce peuple chrétien et juif, au dieu de mahomet ????Plaristes a écrit:aPOTRE a écrit:
au nom de l'inquisition ,et donc non pas au nom de Dieu !
alors que dans l'islam tout ce fait comme le torchage du cul ,au nom de allah !
La justice de l'inquisition était considérée comme une justice DIVINE.
C'est tout aussi Blasphémateur que "les rois lieutenants du christ sur terre" alors qu'il ont jamais lavé les pieds de leur sujets.
Mais c'est ça la religion féodale.
Non l'inquisition commence avec les cathares l'espagne c'est après, le volet N°2 !
Et sous l'émirat de Cordoue les juifs pouvaient avoir des positions gouvernementales pas sous l’Espagne catholique.
Sous L'Isalm selon les dirigeant les juifs étaient voué à des vagues de philosémitisme, et d'anti-semitisme.
Sous l’inquisition ça n'allait que dans un seul sens.
Le Figaro fait de l’idéologie pas de l'histoire.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Date d'inscription : 04/06/2020
Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
le figaro se base sur les historiens et donc ce base sur des sources fiable et vérifié , et non pas de l'avis du figaro! tu te met en touche là , Plaristes !Plaristes a écrit:
Le Figaro fait de l’idéologie pas de l'histoire.
Frère Barnabé- Vénérable
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Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
aPOTRE a écrit:le figaro se base sur les historiens et donc ce base sur des sources fiable et vérifié , et non pas de l'avis du figaro! tu te met en touche là , Plaristes !Plaristes a écrit:
Le Figaro fait de l’idéologie pas de l'histoire.
Les enquêtes c'était en temps normal, et après que ça soit confié aux ordres monastique cité ci-dessus, lors des grande purges la déontologie est passé à la fenêtre.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Date d'inscription : 04/06/2020
Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
les grandes purge ????Plaristes a écrit:aPOTRE a écrit:le figaro se base sur les historiens et donc ce base sur des sources fiable et vérifié , et non pas de l'avis du figaro! tu te met en touche là , Plaristes !Plaristes a écrit:
Le Figaro fait de l’idéologie pas de l'histoire.
Les enquêtes c'était en temps normal, et après que ça soit confié aux ordres monastique cité ci-dessus, lors des grande purges la déontologie est passé à la fenêtre.
Frère Barnabé- Vénérable
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