La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Comme le passage espagnol.
Le Figaro qui essaye de faire passer Torquemada pour Guillaume d'Ockham ou Guillaume d'Occam.
Le Figaro qui essaye de faire passer Torquemada pour Guillaume d'Ockham ou Guillaume d'Occam.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
ah oui l'espagne ! ça commencé lors de la Reconquista de l'espagne , occupé par les mahométans sous domination musulmane entre 711 et 1492.Plaristes a écrit:Comme le passage espagnol.
Le Figaro qui essaye de faire passer Torquemada pour Guillaume d'Ockham ou Guillaume d'Occam.
et donc comment retrouver la souveraineté espagnole et non plus musulmane , qui a été conquise par des barbares musulmans, contre Dieu et le Christ ???
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
aPOTRE a écrit:le figaro se base sur les historiens et donc ce base sur des sources fiable et vérifié , et non pas de l'avis du figaro! tu te met en touche là , Plaristes !Plaristes a écrit: Le Figaro fait de l’idéologie pas de l'histoire.
Dans tes rêves d'extrême droitiste, oui.
Le figaro journal de droite (++) nous ment, il choisi ses références qui correspondent à son idéologie de droite.
Il pratique ainsi pour les sujets de société, pour preuve :
https://www.paperblog.fr/5729188/le-figaro-ment-sur-les-35-heures/
apotre a des références mensongères.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
c'est celà , moi je dit que c'est toi qui a des références erroné !Volog a écrit:aPOTRE a écrit:le figaro se base sur les historiens et donc ce base sur des sources fiable et vérifié , et non pas de l'avis du figaro! tu te met en touche là , Plaristes !Plaristes a écrit: Le Figaro fait de l’idéologie pas de l'histoire.
Dans tes rêves d'extrême droitiste, oui.
Le figaro journal de droite (++) nous ment, il choisi ses références qui correspondent à son idéologie de droite.
Il pratique ainsi pour les sujets de société, pour preuve :
https://www.paperblog.fr/5729188/le-figaro-ment-sur-les-35-heures/
apotre a des références mensongères.
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Personne n'en a rien à foutre de Guillaume?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_d%27Ockham
??????
Guillaume d'Ockham ou Guillaume d'Occam1 (v. 1285 - 9 avril 1347), dit le « Docteur invincible » et le « Vénérable initiateur » (Venerabilis inceptor), est un philosophe, logicien et théologien anglais, membre de l'ordre franciscain, considéré comme le représentant le plus éminent de l'école scolastique nominaliste (ou « terministe », selon la terminologie ockhamienne), principale concurrente des écoles thomiste et scotiste.
Sa doctrine fut soupçonnée d'hérésie par les autorités ecclésiastiques parce qu'elle remet en cause bon nombre de postulats de la théologie traditionnelle, notamment ses prémisses « scientifiques » (subordination thomiste ou déduction scotiste) et parce qu'elle critique la possibilité d'une démonstration de l'existence divine. Ockham s'en est également pris aux fondements de l'autorité temporelle du pape dans ses écrits politiques, rejoignant de facto l'empereur Louis IV de Bavière en lutte contre le Saint-Siège. On voit parfois dans la philosophie d'Ockham la préfiguration de la science moderne, de l'empirisme anglais ainsi que de la philosophie analytique contemporaine, car elle insiste surtout sur les faits et sur le type de raisonnement utilisé dans le discours rationnel, au détriment d'une spéculation métaphysique sur les essences.
Bon après je pense que la philosophie analytique est une merde ancienne et dépassée par la philosophie hégélienne.
Mais pour l'époque c'est un progrès immense !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_d%27Ockham
??????
Guillaume d'Ockham ou Guillaume d'Occam1 (v. 1285 - 9 avril 1347), dit le « Docteur invincible » et le « Vénérable initiateur » (Venerabilis inceptor), est un philosophe, logicien et théologien anglais, membre de l'ordre franciscain, considéré comme le représentant le plus éminent de l'école scolastique nominaliste (ou « terministe », selon la terminologie ockhamienne), principale concurrente des écoles thomiste et scotiste.
Sa doctrine fut soupçonnée d'hérésie par les autorités ecclésiastiques parce qu'elle remet en cause bon nombre de postulats de la théologie traditionnelle, notamment ses prémisses « scientifiques » (subordination thomiste ou déduction scotiste) et parce qu'elle critique la possibilité d'une démonstration de l'existence divine. Ockham s'en est également pris aux fondements de l'autorité temporelle du pape dans ses écrits politiques, rejoignant de facto l'empereur Louis IV de Bavière en lutte contre le Saint-Siège. On voit parfois dans la philosophie d'Ockham la préfiguration de la science moderne, de l'empirisme anglais ainsi que de la philosophie analytique contemporaine, car elle insiste surtout sur les faits et sur le type de raisonnement utilisé dans le discours rationnel, au détriment d'une spéculation métaphysique sur les essences.
Bon après je pense que la philosophie analytique est une merde ancienne et dépassée par la philosophie hégélienne.
Mais pour l'époque c'est un progrès immense !
Plaristes Evariste- Vénérable
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Vladimir de Volog- Vénérable
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LES CRIMES DE L'INQUISITION
Rien de plus affreux n'exista jamais que l'Inquisition catholique !
Les supplices les plus barbares inventés par les tyrans Assyriens ou par les potentats de l'Afrique pâlissent à côté des forfaits qui ont été commis par l'Église, à l'aide du Saint Office,pour terroriser l'humanité et la maintenir sous le joug!
Tous les historiens impartiaux se sont élevés contre ces actes monstrueux.
Nous estimons qu'il n'est pas superflu d'attirer à nouveau l'attention publique sur l'Inquisition. Non dans un but de haine sectaire, mais au contraire pour ouvrir les yeux de ceux qui réfléchissent. Tout homme doit comprendre que l'intolérance et le fanatisme sont néfastes, parce qu'ils aboutissent aux pires violences, aux pires tyrannies.
L'Église catholique est essentiellement intolérante. Cela découle de ses principes mêmes. Elle prétend représenter Dieu sur la terre. Elle affirme avoir reçu de lui la puissance suprême et détenir l'absolue vérité. «Hors de l'Église, pas de salut !», voilà sa formule.
Mgr d'Hulst n'a-t-il pas déclaré que les athées étaient des anti-sociaux, qu'ils se plaçaient, par leur incrédulité, «en dehors des conditions nécessaires de l'existence sociale» ? La société est impossible sans Dieu, c'est-à-dire sans l'Église.
C'est donc un devoir social de frapper les hérétiques, dans l'intérêt supérieur de la collectivité humaine.
Telle est la conception catholique. Elle conduit inévitablement ceux qui lui obéissent aux pires intolérances.
N'allez pas croire surtout que l'Église a évolué, qu'elle abandonne ses prétentions d'autrefois ! Il n'en est rien et Renan, dans l'Avenir de la Science,a pu écrire avec raison :
«L'Inquisition est la conséquence logique de tout le système orthodoxe. L'Église, quand elle le pourra,devra ramener l'Inquisition, et si elle ne le fait pas, c'est qu'elle ne le peut pas.Car enfin pourquoi cette répression serait-elle aujourd'hui moins nécessaire qu'autrefois ? Est-ce que notre opposition est moins dangereuse ? Non, certes. C'est donc que l'Église est plus faible. On nous souffre parce qu'on ne peut pas nous étouffer. Si l'Église redevenait ce qu'elle a été au moyen-âge, souveraine absolue, elle devrait reprendre ses maximes du moyen-âge, puisqu'elle avoue que ces maximes étaient bonnes et bienfaisantes. Le pouvoir a toujours été la mesure de la tolérance de l'Église. En vérité ceci n'est point un reproche : cela devrait être. On a tort de tourmenter les orthodoxes sur l'article de la tolérance. Demandez-leur de renoncer à l'orthodoxie, à la bonne heure ; mais ne leur demandez pas, en restant orthodoxes, de supporter l'hétérodoxie. Il s'agit là pour eux d'être ou de n'être pas.»
Chaque jour, les faits confirment la thèse de Renan, cela prouve la nécessité de l'effort mené par la Libre Pensée contre la tyrannie des religions.
Les supplices les plus barbares inventés par les tyrans Assyriens ou par les potentats de l'Afrique pâlissent à côté des forfaits qui ont été commis par l'Église, à l'aide du Saint Office,pour terroriser l'humanité et la maintenir sous le joug!
Tous les historiens impartiaux se sont élevés contre ces actes monstrueux.
Nous estimons qu'il n'est pas superflu d'attirer à nouveau l'attention publique sur l'Inquisition. Non dans un but de haine sectaire, mais au contraire pour ouvrir les yeux de ceux qui réfléchissent. Tout homme doit comprendre que l'intolérance et le fanatisme sont néfastes, parce qu'ils aboutissent aux pires violences, aux pires tyrannies.
L'Église catholique est essentiellement intolérante. Cela découle de ses principes mêmes. Elle prétend représenter Dieu sur la terre. Elle affirme avoir reçu de lui la puissance suprême et détenir l'absolue vérité. «Hors de l'Église, pas de salut !», voilà sa formule.
Mgr d'Hulst n'a-t-il pas déclaré que les athées étaient des anti-sociaux, qu'ils se plaçaient, par leur incrédulité, «en dehors des conditions nécessaires de l'existence sociale» ? La société est impossible sans Dieu, c'est-à-dire sans l'Église.
C'est donc un devoir social de frapper les hérétiques, dans l'intérêt supérieur de la collectivité humaine.
Telle est la conception catholique. Elle conduit inévitablement ceux qui lui obéissent aux pires intolérances.
N'allez pas croire surtout que l'Église a évolué, qu'elle abandonne ses prétentions d'autrefois ! Il n'en est rien et Renan, dans l'Avenir de la Science,a pu écrire avec raison :
«L'Inquisition est la conséquence logique de tout le système orthodoxe. L'Église, quand elle le pourra,devra ramener l'Inquisition, et si elle ne le fait pas, c'est qu'elle ne le peut pas.Car enfin pourquoi cette répression serait-elle aujourd'hui moins nécessaire qu'autrefois ? Est-ce que notre opposition est moins dangereuse ? Non, certes. C'est donc que l'Église est plus faible. On nous souffre parce qu'on ne peut pas nous étouffer. Si l'Église redevenait ce qu'elle a été au moyen-âge, souveraine absolue, elle devrait reprendre ses maximes du moyen-âge, puisqu'elle avoue que ces maximes étaient bonnes et bienfaisantes. Le pouvoir a toujours été la mesure de la tolérance de l'Église. En vérité ceci n'est point un reproche : cela devrait être. On a tort de tourmenter les orthodoxes sur l'article de la tolérance. Demandez-leur de renoncer à l'orthodoxie, à la bonne heure ; mais ne leur demandez pas, en restant orthodoxes, de supporter l'hétérodoxie. Il s'agit là pour eux d'être ou de n'être pas.»
Chaque jour, les faits confirment la thèse de Renan, cela prouve la nécessité de l'effort mené par la Libre Pensée contre la tyrannie des religions.
Vladimir de Volog- Vénérable
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LES CRIMES DE L'INQUISITION
Nous en pourrions donner des preuves nombreuses. Beaucoup de feuilles catholiques, à l'instar du Bulletin paroissial du Nord que j'ai sous les yeux, n'hésitent pas, aujourd'hui encore, à soutenir l'Inquisition et à écrire :
«L'Église a pu établir l'Inquisition en vertu d'un double droit : celui de la défense et celui de la coercition.
» Tout être individuel ou collectif, ayant droit à l'existence, a toujours le droit et souvent le devoir de défendre sa vie contre ceux qui l'attaquent. Or, tel était le cas de l'Église, instituée de Dieu et gardienne du dépôt de la révélation. Les hérétiques, en faisant du prosélytisme, propageaient l'erreur, séduisaient les faibles, trompaient les ignorants, causaient la perte des âmes, créaient ainsi à la mère commune de tous les fidèles, des devoirs comparables à ceux d'un père et d'une mère vis-à-vis de leurs enfants que des assassins massacreraient sous leurs yeux. L'Église employa d'abord la persuasion pour éloigner les meurtriers des âmes ; et les moyens de persuasion demeurant impuissants, elle eut recours aux peines spirituelles, et ces peines ne suffisant pas encore, elle prit un moyen plus efficace : l'Inquisition. La conservation de ses enfants était à ce prix...»
L'Église n'a fait qu'user de son «droit» — le droit de COERCITION ! Voilà qui est franc, au moins.
Un certain M. H. Hello vient de faire paraître (Téqui, 2 fr.) un ouvrage pour lequel les Nouvelles Religieusesfont une active propagande, intitulé «La Vérité sur l'Inquisition».
En réalité, c'est l'apologie de l'odieuse jurisprudence catholique, qui fit tant de victimes, qui accumula tant de ruines et qui émascula la malheureuse Espagne.
Pour M. Hello, l'Inquisition était «un tribunal institué par la sagesse de l'Église, pour le bien des âmes et la paix de la Société» ! !
Le bien des âmes exigeait qu'on vous tenaillât les chairs avec des pinces rougies au feu, qu'on vous torturât de mille façons sadiques, qu'on vous arrachât la langue et qu'on vous crevât les yeux !
Les catholiques ont vraiment des façons charmantes de soigner les âmes de leurs «frères» !
L'Idée Librea relevé l'article publié dans La Croix(4-1-1921) par son rédacteur en chef, M. Jean Guiraud.
Vladimir de Volog- Vénérable
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LES CRIMES DE L'INQUISITION
M. Guiraud, dans cet article, affirmait que l'Église avait le droit de poursuivre les idées mauvaises «jusqu'aux replis les plus cachés de la conscience»et qu'elle avait bien fait de condamner et de brûler, non seulement les hommes, mais les livres et les écrits hérétiques — afin d'arrêter «les idées nocives et assassines», c'est-à-dire les idées qui déplaisent à Rome.
Enfin, dans la revue La Réponse,publiée par l'Abbé Duplessy, chanoine de Paris, on nous apprend (octobre 1922) que l'Église «n'a pas à rougir de la responsabilité d'avoir institué l'Inquisition». S'il s'est produit des abus, ce fut malgré elle ; elle essaya toujours de les combattre ! ! !
«D'ailleurs, en admettant la torture, l'Église avait pour but d'arracher les aveux qui amèneraient l'amendement du coupable et finalement lui sauveraient la vie. Elle procédait, somme toute, comme le chirurgien qui ampute un membre pour sauver le corps ; avant l'anesthésie, ces opérations étaient une torture véritable ; on n'y recourait pas moins, dans une intention analogue à celle de l'Église, qui, ayant en vue beaucoup plus la conversion des accusés que leur châtiment, acceptait de «blesser» le corps pour lui épargner d'être «tué».
Ainsi s'exprime le subtil abbé Duplessy. Quelle habileté dans le raisonnement et quelle souplesse dans la façon de présenter les choses...
Mais que penser de cette bonne «âme chrétienne» qui torture le corps... pour obtenir la conversion de l'âme ? ! Quelle valeur peut bien avoir une telle «conversion» — aux yeux des hommes d'abord, aux yeux de Dieu ensuite... s'il existe ?
Toutes ces subtilités n'arrivent pas à masquer l'horreur de l'âme catholique, âme de tortionnaire et de tyran.
Enfin, dans la revue La Réponse,publiée par l'Abbé Duplessy, chanoine de Paris, on nous apprend (octobre 1922) que l'Église «n'a pas à rougir de la responsabilité d'avoir institué l'Inquisition». S'il s'est produit des abus, ce fut malgré elle ; elle essaya toujours de les combattre ! ! !
«D'ailleurs, en admettant la torture, l'Église avait pour but d'arracher les aveux qui amèneraient l'amendement du coupable et finalement lui sauveraient la vie. Elle procédait, somme toute, comme le chirurgien qui ampute un membre pour sauver le corps ; avant l'anesthésie, ces opérations étaient une torture véritable ; on n'y recourait pas moins, dans une intention analogue à celle de l'Église, qui, ayant en vue beaucoup plus la conversion des accusés que leur châtiment, acceptait de «blesser» le corps pour lui épargner d'être «tué».
Ainsi s'exprime le subtil abbé Duplessy. Quelle habileté dans le raisonnement et quelle souplesse dans la façon de présenter les choses...
Mais que penser de cette bonne «âme chrétienne» qui torture le corps... pour obtenir la conversion de l'âme ? ! Quelle valeur peut bien avoir une telle «conversion» — aux yeux des hommes d'abord, aux yeux de Dieu ensuite... s'il existe ?
Toutes ces subtilités n'arrivent pas à masquer l'horreur de l'âme catholique, âme de tortionnaire et de tyran.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
c'est bien beau toutes tes gravures ,c'est plus seigneuriales (bref sous l'autorité royale et non pas papale ) !!!!Volog a écrit:
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
siècle
est ce que les gravures en noir et blanc sont de l'époque de l'inquisition ou du 19 ème 20 ème siècle ???aPOTRE a écrit:c'est bien beau toutes tes gravures ,c'est plus seigneuriales (bref sous l'autorité royale et non pas papale ) !!!!Volog a écrit:
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
siècle
est ce que les gravure en noir et blanc sont de l'époque de l'inquisition ou du 19 ème 20 ème siècle (dans la carricature)???aPOTRE a écrit:c'est bien beau toutes tes gravures ,c'est plus seigneuriales (bref sous l'autorité royale et non pas papale ) !!!!Volog a écrit:
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
tu confonds masquer l'âme des musulman(e)s de tyran (même aujourd'hui ) , tu omet que nous sommes resté Judéo Chrétien(ne)s , si c'était si mauvais elle ne serait plus resté , paradoxalement ce n'est pas le cas de l'islam , même aujourd'hui ils faut qu'elle reste tyranique pour avoir la main mise sur les peuples , sinon ils et elle s seraient capable de devenir chrétien(ne)s ou athées,agnostique , laique , bref sans cela l'islam ne serait plus , alors que le christianisme est toujours le même avec le libre arbitre , et l"islam dans le libre arbitre aurait disparu de la Terre, il ne restrait que quelques milliers de soutiens à mahomet et son coran , symboliquement ont pourrait les compter avec les doigts (les musulman(e)s )et les chrétiennes toujours en milliard (tout chrétien(ne)s confondu)Volog a écrit:M. Guiraud, dans cet article, affirmait que l'Église avait le droit de poursuivre les idées mauvaises «jusqu'aux replis les plus cachés de la conscience»et qu'elle avait bien fait de condamner et de brûler, non seulement les hommes, mais les livres et les écrits hérétiques — afin d'arrêter «les idées nocives et assassines», c'est-à-dire les idées qui déplaisent à Rome.
Enfin, dans la revue La Réponse,publiée par l'Abbé Duplessy, chanoine de Paris, on nous apprend (octobre 1922) que l'Église «n'a pas à rougir de la responsabilité d'avoir institué l'Inquisition». S'il s'est produit des abus, ce fut malgré elle ; elle essaya toujours de les combattre ! ! !
«D'ailleurs, en admettant la torture, l'Église avait pour but d'arracher les aveux qui amèneraient l'amendement du coupable et finalement lui sauveraient la vie. Elle procédait, somme toute, comme le chirurgien qui ampute un membre pour sauver le corps ; avant l'anesthésie, ces opérations étaient une torture véritable ; on n'y recourait pas moins, dans une intention analogue à celle de l'Église, qui, ayant en vue beaucoup plus la conversion des accusés que leur châtiment, acceptait de «blesser» le corps pour lui épargner d'être «tué».
Ainsi s'exprime le subtil abbé Duplessy. Quelle habileté dans le raisonnement et quelle souplesse dans la façon de présenter les choses...
Mais que penser de cette bonne «âme chrétienne» qui torture le corps... pour obtenir la conversion de l'âme ? ! Quelle valeur peut bien avoir une telle «conversion» — aux yeux des hommes d'abord, aux yeux de Dieu ensuite... s'il existe ?
Toutes ces subtilités n'arrivent pas à masquer l'horreur de l'âme catholique, âme de tortionnaire et de tyran.
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Dans sa repentance, le pape demande pardon à Dieu pour les fautes commises et confisque ainsi la souffrance des victimes de l'Eglise. Allez, n'en parlons plus"" Pas coupable mais si responsable.
https://www.liberation.fr/tribune/2000/03/27/dans-sa-repentance-le-pape-demande-pardon-a-dieu-pour-les-fautes-commises-et-confisque-ainsi-la-souf_320089/ - publié le 27 mars 2000
Ce pape est étonnant: il demande aux catholiques de demander pardon
à Dieu pour le mal que l'Eglise a pu faire à des personnes et à des peuples depuis vingt siècles. A priori, cela semble simple, évident: on fait du mal aux gens, on leur demande pardon; et même s'ils ne sont plus là pour vous l'accorder, ça fait du bien de le demander, ce pardon, et de sentir qu'on l'obtient; on le sent au seul fait qu'on est sincère, ce qui est plutôt pratique: en l'absence des victimes, on peut se sentir pardonné du seul fait de le demander.
A qui? Justement, à Dieu. Là ça se complique, ce n'est plus du tout évident, et pas seulement parce que la réponse que vous fait Dieu son agrément n'est pas toujours très lisible.
Encore qu'on puisse se sentir pardonné en voyant qu'on ne fait plus les mêmes fautes.
(On en fait d'autres, peut-être") En termes plus raisonnables, cette demande de pardon signifie au moins que l'on reconnaît ses fautes, ou celles des siens, en l'occurrence celles de l'Eglise dont on se réclame, ou de l'une de ses chapelles.
Mais là aussi ça se corse: pourquoi des gens qui n'ont pas fait de crime doivent-ils demander pardon pour des crimes faits par d'autres; et le demander «à Dieu» plutôt qu'aux victimes de ces crimes ou à leurs descendants car le glissement qui rapproche les catholiques d'aujourd'hui de leurs ascendants fanatiques pourrait aussi rapprocher ces mêmes victimes et leurs descendants.
https://www.liberation.fr/tribune/2000/03/27/dans-sa-repentance-le-pape-demande-pardon-a-dieu-pour-les-fautes-commises-et-confisque-ainsi-la-souf_320089/ - publié le 27 mars 2000
Ce pape est étonnant: il demande aux catholiques de demander pardon
à Dieu pour le mal que l'Eglise a pu faire à des personnes et à des peuples depuis vingt siècles. A priori, cela semble simple, évident: on fait du mal aux gens, on leur demande pardon; et même s'ils ne sont plus là pour vous l'accorder, ça fait du bien de le demander, ce pardon, et de sentir qu'on l'obtient; on le sent au seul fait qu'on est sincère, ce qui est plutôt pratique: en l'absence des victimes, on peut se sentir pardonné du seul fait de le demander.
A qui? Justement, à Dieu. Là ça se complique, ce n'est plus du tout évident, et pas seulement parce que la réponse que vous fait Dieu son agrément n'est pas toujours très lisible.
Encore qu'on puisse se sentir pardonné en voyant qu'on ne fait plus les mêmes fautes.
(On en fait d'autres, peut-être") En termes plus raisonnables, cette demande de pardon signifie au moins que l'on reconnaît ses fautes, ou celles des siens, en l'occurrence celles de l'Eglise dont on se réclame, ou de l'une de ses chapelles.
Mais là aussi ça se corse: pourquoi des gens qui n'ont pas fait de crime doivent-ils demander pardon pour des crimes faits par d'autres; et le demander «à Dieu» plutôt qu'aux victimes de ces crimes ou à leurs descendants car le glissement qui rapproche les catholiques d'aujourd'hui de leurs ascendants fanatiques pourrait aussi rapprocher ces mêmes victimes et leurs descendants.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Dans le projet papal ce rapprochement est écarté: on ne demande pas pardon aux descendants des Indiens, des protestants massacrés, des «sorcières» brûlées, mais pardon à Dieu. Il se trouve que dans certaines traditions, notamment celle du Livre hébreu dont dérive le christianisme, pour des fautes envers des hommes, on demande pardon à ces hommes, et pour les fautes envers Dieu on demande pardon à Dieu. On ne mélange pas les genres, car Dieu peut toujours vous «pardonner» des fautes commises envers un homme ou un peuple, puisque vous le dites, mais cet homme, lui, ou ses descendants qui sont sa mémoire vive portent toujours dans leur corps de chair et de mémoire la marque de votre faute et la souffrance qui s'ensuit. Et cet homme ou ce peuple peuvent trouver indécente la démarche qui les contourne pour s'adresser d'emblée à Dieu, un Dieu que de surcroît ils peuvent ne pas reconnaître.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Or le pape intelligent a dû prévoir cette objection, et s'il maintient la démarche, c'est que son idée est déjà faite: les maux causés par l'Eglise à ses victimes sont en réalité des souffrances infligées à Dieu, au Dieu qui s'est mis en croix pour sauver l'humanité de tout mal et toute souffrance. Il est «normal» que ce soit à lui que le chrétien demande pardon. Mais voilà qui, peut-être, ne plaira guère aux victimes: où que soit l'âme ou la mémoire de ces suppliciés, notamment dans leurs descendants et les rappels qui les évoquent, elles peuvent être révulsées par cette sorte de confiscation. Car la souffrance, c'est eux qui l'ont endurée, eux et les restes de leur mémoire vive que sont leurs enfants. L'attribuer à Dieu c'est ajouter à cette souffrance le geste de la confisquer par une interprétation qui est celle de l'Eglise elle-même, auteur supposé des fautes en question. Du coup, l'opération de repentance devient un toilettage narcissique pour ladite institution; elle devrait en sortir pure, épurée, donc en mesure d'exiger qu'on cesse d'évoquer son passé puisqu'il est pardonné. Allez, n'en parlons plus.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Et c'est là que le refoulement organisé va redoubler le refoulement involontaire dû par exemple à l'ignorance. Car pour reconnaître ses fautes ou celles de son Eglise encore faut-il les connaître, et ce n'est de loin pas le cas pour beaucoup de fidèles très sincères. Un simple exemple pris au hasard des circonstances.
Très peu savent que la Bible dite Ancien Testament interdit à maintes reprises de prêter avec intérêt à son prochain. Façon de dire que les richesses, il faut chercher à les gagner non pas sur le dos de quelqu'un mais par le mouvement des choses: c'est le brassage du réel qui doit devenir enrichissant. On peut alors s'interroger sur l'étrange perversion qui fit que l'Eglise au pouvoir, par force, cantonna ce petit peuple au métier du prêt d'argent donc de l'usure.
De sorte qu'elle produisit dans les pays où elle régna dans toute la vieille Europe une haine populaire assez ancrée et «justifiée» envers les juifs pour que la passivité de ces peuples, du coup compréhensible, fût un facteur essentiel de la solution finale. L'Eglise pourra toujours objecter que l'idéologie nazie est païenne, non chrétienne, cela ne contredit pas ce fait massif et reconnu. Simple détail adjacent: pour la plupart des chrétiens, Jésus chassant les marchands du temple, c'est Jésus chassant les usuriers juifs, ces maniaques de l'argent, d'un lieu saint qu'ils salissent.
Or, un peu d'histoire montre que ces marchands vendaient les animaux et les produits (huile, farine, encens) qui servaient aux sacrifices dans le temple. De son point de vue, Jésus n'avait pas tort de les chasser puisqu'il avait en tête de se sacrifier lui-même pour tous les péchés, et s'il y a sacrifice humain, à quoi bon les sacrifices animaux?
Mais du point de vue du vécu, et de l'invivable, son geste était-il justifié? L'expérience montre, aujourd'hui encore, que lorsque des gens font une grosse faute, ils sacrifient des pans entiers de leur vie pour se le «faire payer»; ce n'était donc pas si bête, de la part de la vieille Bible, de proposer des sacrifices animaux pour transférer sur une bête le mal qui vous menace du fait de la justice symbolique, le mal qu'on paye en gros symptômes.
Très peu savent que la Bible dite Ancien Testament interdit à maintes reprises de prêter avec intérêt à son prochain. Façon de dire que les richesses, il faut chercher à les gagner non pas sur le dos de quelqu'un mais par le mouvement des choses: c'est le brassage du réel qui doit devenir enrichissant. On peut alors s'interroger sur l'étrange perversion qui fit que l'Eglise au pouvoir, par force, cantonna ce petit peuple au métier du prêt d'argent donc de l'usure.
De sorte qu'elle produisit dans les pays où elle régna dans toute la vieille Europe une haine populaire assez ancrée et «justifiée» envers les juifs pour que la passivité de ces peuples, du coup compréhensible, fût un facteur essentiel de la solution finale. L'Eglise pourra toujours objecter que l'idéologie nazie est païenne, non chrétienne, cela ne contredit pas ce fait massif et reconnu. Simple détail adjacent: pour la plupart des chrétiens, Jésus chassant les marchands du temple, c'est Jésus chassant les usuriers juifs, ces maniaques de l'argent, d'un lieu saint qu'ils salissent.
Or, un peu d'histoire montre que ces marchands vendaient les animaux et les produits (huile, farine, encens) qui servaient aux sacrifices dans le temple. De son point de vue, Jésus n'avait pas tort de les chasser puisqu'il avait en tête de se sacrifier lui-même pour tous les péchés, et s'il y a sacrifice humain, à quoi bon les sacrifices animaux?
Mais du point de vue du vécu, et de l'invivable, son geste était-il justifié? L'expérience montre, aujourd'hui encore, que lorsque des gens font une grosse faute, ils sacrifient des pans entiers de leur vie pour se le «faire payer»; ce n'était donc pas si bête, de la part de la vieille Bible, de proposer des sacrifices animaux pour transférer sur une bête le mal qui vous menace du fait de la justice symbolique, le mal qu'on paye en gros symptômes.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Mais restons dans le sujet; au fait, on y est en plein: l'Eglise a fait des fautes et ne sait pas quoi faire pour se les pardonner, elle ne sait pas quoi sacrifier.
Naguère elle sacrifiait des gens envoyés au bûcher ou au supplice pour recharger sa bonne foi, sa croyance en elle-même, sa Croix adorable. Mais il se révèle au fil des temps que cela aussi était une faute; que sa façon de se faire pardonner ses fautes était fautive. Cela invite donc à y réfléchir de plus près.
La repentance et le pardon ce n'est pas léger, et le retour sur soi risque de tourner au retour à soi dans sa plénitude retrouvée. (Les vieux prophètes, eux, disaient que le vrai sacrifice est une âme brisée; que c'est la brisure où l'âme pleine d'elle-même s'ouvre à ce qui lui était étranger.)
En tout cas, en tant que spécialiste des trois monothéismes suite à mon livre sur la question , je remarque avec intérêt que le christianisme, qui au départ voulait se distinguer de sa source juive en posant qu'il remplaçait la loi par la grâce, la faute par le pardon ou la rédemption due au Sauveur, voilà qu'après deux mille ans il éprouve le besoin, du moins dans la parole du pape, de se poser comme fautif, de se recharger d'une faute comme si la grâce n'avait pas vraiment suffi; comme si l'esprit de la vieille loi de Moïse venait se rappeler, demander à être connu et reconnu dans sa double dimension: loi de grâce et de rigueur" Mais alors, diraient certains, il faut toujours de la faute? Pas moyen de partir dans la vie tout gracié? Bon, tant pis.
A moins qu'une autre leçon de cette repentance ne soit encore plus simple: l'Eglise bimillénaire est une belle affaire qui marche, et si elle a tant failli, alors elle peut faillir encore, à tout moment, et peut-être ce qu'elle donne de mieux à ses fidèles c'est un Corps collectif accueillant et faillible, auquel ne pas s'identifier, vu que chacun par ailleurs a ses fautes à curer; essayant d'en faire quelque chose de plus vivant.
Naguère elle sacrifiait des gens envoyés au bûcher ou au supplice pour recharger sa bonne foi, sa croyance en elle-même, sa Croix adorable. Mais il se révèle au fil des temps que cela aussi était une faute; que sa façon de se faire pardonner ses fautes était fautive. Cela invite donc à y réfléchir de plus près.
La repentance et le pardon ce n'est pas léger, et le retour sur soi risque de tourner au retour à soi dans sa plénitude retrouvée. (Les vieux prophètes, eux, disaient que le vrai sacrifice est une âme brisée; que c'est la brisure où l'âme pleine d'elle-même s'ouvre à ce qui lui était étranger.)
En tout cas, en tant que spécialiste des trois monothéismes suite à mon livre sur la question , je remarque avec intérêt que le christianisme, qui au départ voulait se distinguer de sa source juive en posant qu'il remplaçait la loi par la grâce, la faute par le pardon ou la rédemption due au Sauveur, voilà qu'après deux mille ans il éprouve le besoin, du moins dans la parole du pape, de se poser comme fautif, de se recharger d'une faute comme si la grâce n'avait pas vraiment suffi; comme si l'esprit de la vieille loi de Moïse venait se rappeler, demander à être connu et reconnu dans sa double dimension: loi de grâce et de rigueur" Mais alors, diraient certains, il faut toujours de la faute? Pas moyen de partir dans la vie tout gracié? Bon, tant pis.
A moins qu'une autre leçon de cette repentance ne soit encore plus simple: l'Eglise bimillénaire est une belle affaire qui marche, et si elle a tant failli, alors elle peut faillir encore, à tout moment, et peut-être ce qu'elle donne de mieux à ses fidèles c'est un Corps collectif accueillant et faillible, auquel ne pas s'identifier, vu que chacun par ailleurs a ses fautes à curer; essayant d'en faire quelque chose de plus vivant.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
demander pardon à Dieu , comme Christ demande à Son Père Eternel , de pardonner l'homme qui ne savent pas ce qu'ils ont fait en le condamnant sur la croix !craindre Dieu et non pas l'humain (premier commandement ), bref la miséricorde n'appartient qu'à Dieu de l'a donner ou pas !Volog a écrit:Dans le projet papal ce rapprochement est écarté: on ne demande pas pardon aux descendants des Indiens, des protestants massacrés, des «sorcières» brûlées, mais pardon à Dieu. Il se trouve que dans certaines traditions, notamment celle du Livre hébreu dont dérive le christianisme, pour des fautes envers des hommes, on demande pardon à ces hommes, et pour les fautes envers Dieu on demande pardon à Dieu. On ne mélange pas les genres, car Dieu peut toujours vous «pardonner» des fautes commises envers un homme ou un peuple, puisque vous le dites, mais cet homme, lui, ou ses descendants qui sont sa mémoire vive portent toujours dans leur corps de chair et de mémoire la marque de votre faute et la souffrance qui s'ensuit. Et cet homme ou ce peuple peuvent trouver indécente la démarche qui les contourne pour s'adresser d'emblée à Dieu, un Dieu que de surcroît ils peuvent ne pas reconnaître.
Frère Barnabé- Vénérable
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