La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
aPOTRE a écrit:t'es faible d'esprit , comme les pédos !Volog a écrit:aPOTRE a écrit:Volog a écrit:
faire croire que le paradis se trouve sur Terre , c'est une fake news !!!
demandeS donc à ton bon dieu qu'il fasse quelque chose pour toi en t'apprenant l'orthographe
C'est cela la charité chrétienne dont tu te revendiques ? Tu dois faire partie des bras armés de l'église, ceux qui tuaient tous ceux qui ne croyaient pas en leur dieu, comme les templiers, les moines soldats, et bien d'autres fanatiques de dieu.
https://la-conjugaison.nouvelobs.com/du/verbe/demander.php
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
le Glaive du Christ , ne t'apportera pas la paix ! toi qui veux le broyer et l'incinérer !!!Volog a écrit:aPOTRE a écrit:t'es faible d'esprit , comme les pédos !Volog a écrit:aPOTRE a écrit:Volog a écrit:
faire croire que le paradis se trouve sur Terre , c'est une fake news !!!
demandeS donc à ton bon dieu qu'il fasse quelque chose pour toi en t'apprenant l'orthographe
C'est cela la charité chrétienne dont tu te revendiques ? Tu dois faire partie des bras armés de l'église, ceux qui tuaient tous ceux qui ne croyaient pas en leur dieu, comme les templiers, les moines soldats, et bien d'autres fanatiques de dieu.
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Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
1999 - Contre les victimes de viols collectifs
En 1999, la situation depuis longtemps tendue au Kosovo, province de la Serbie orthodoxe dont la population est à majorité musulmane, dégénère en guerre civile. A l'intervention militaire de l'OTAN, les milices serbes répliquent en chassant de leurs habitations les musulmans. Nombre de femmes qui parviennent à atteindre les frontières du Kosovo affirment avoir été victimes d'odieux viols collectifs de la part de miliciens. Les agences d'aides des Nations Unies et de la Croix-Rouge des pays de l'OTAN distribuent alors à celles de ces femmes qui le demandent des pilules du lendemain.
La réaction de l'église, qui voit là une opportunité unique de s'en prendre à des personnes en détresse, est immédiate: le 13 avril 1999, le théologien moraliste du Vatican, Mgr Elio Sgreccia, vice-président de l'Académie pontificale pour la vie, condamne publiquement la distribution de pilules du lendemain aux femmes et aux jeunes filles violées au Kosovo. Le prélat souligne que cette pilule a une action abortive et donc elle est inacceptable pour la morale catholique.
En 1999, la situation depuis longtemps tendue au Kosovo, province de la Serbie orthodoxe dont la population est à majorité musulmane, dégénère en guerre civile. A l'intervention militaire de l'OTAN, les milices serbes répliquent en chassant de leurs habitations les musulmans. Nombre de femmes qui parviennent à atteindre les frontières du Kosovo affirment avoir été victimes d'odieux viols collectifs de la part de miliciens. Les agences d'aides des Nations Unies et de la Croix-Rouge des pays de l'OTAN distribuent alors à celles de ces femmes qui le demandent des pilules du lendemain.
La réaction de l'église, qui voit là une opportunité unique de s'en prendre à des personnes en détresse, est immédiate: le 13 avril 1999, le théologien moraliste du Vatican, Mgr Elio Sgreccia, vice-président de l'Académie pontificale pour la vie, condamne publiquement la distribution de pilules du lendemain aux femmes et aux jeunes filles violées au Kosovo. Le prélat souligne que cette pilule a une action abortive et donc elle est inacceptable pour la morale catholique.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
es tu pour la peine de mort , volog ????Volog a écrit:1999 - Contre les victimes de viols collectifs
En 1999, la situation depuis longtemps tendue au Kosovo, province de la Serbie orthodoxe dont la population est à majorité musulmane, dégénère en guerre civile. A l'intervention militaire de l'OTAN, les milices serbes répliquent en chassant de leurs habitations les musulmans. Nombre de femmes qui parviennent à atteindre les frontières du Kosovo affirment avoir été victimes d'odieux viols collectifs de la part de miliciens. Les agences d'aides des Nations Unies et de la Croix-Rouge des pays de l'OTAN distribuent alors à celles de ces femmes qui le demandent des pilules du lendemain.
La réaction de l'église, qui voit là une opportunité unique de s'en prendre à des personnes en détresse, est immédiate: le 13 avril 1999, le théologien moraliste du Vatican, Mgr Elio Sgreccia, vice-président de l'Académie pontificale pour la vie, condamne publiquement la distribution de pilules du lendemain aux femmes et aux jeunes filles violées au Kosovo. Le prélat souligne que cette pilule a une action abortive et donc elle est inacceptable pour la morale catholique.
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
2001 - Prêtres pervers et petits enfants
Depuis un millénaire, l'église catholique impose le célibat à ses prêtres. Cette obligation attire bien sûr les personnes à sexualité "déviante", dont les pédophiles. Ils suivent souvent inconsciemment - et seulement spirituellement - le mot de Jésus, qui avait dit qu'il y a des croyants qui se font eunuques pour entrer dans le royaume de Dieu.
Hélas, l'église catholique fait de grands efforts pour endoctriner les enfants, et les prêtres sont impliqués dans ces actions de propagande pour mineurs que l'on nomme le catéchisme. Une situation explosive est donc crée: l'on attire, par la possibilité de "se faire eunuque", des pédophiles, puis on les soumet quotidiennement ou presque à la tentation.
Depuis un millénaire, l'église catholique impose le célibat à ses prêtres. Cette obligation attire bien sûr les personnes à sexualité "déviante", dont les pédophiles. Ils suivent souvent inconsciemment - et seulement spirituellement - le mot de Jésus, qui avait dit qu'il y a des croyants qui se font eunuques pour entrer dans le royaume de Dieu.
Hélas, l'église catholique fait de grands efforts pour endoctriner les enfants, et les prêtres sont impliqués dans ces actions de propagande pour mineurs que l'on nomme le catéchisme. Une situation explosive est donc crée: l'on attire, par la possibilité de "se faire eunuque", des pédophiles, puis on les soumet quotidiennement ou presque à la tentation.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
je propose dans le catéchisme , de faire la pédagogie sur la pédophilie que c'est contre la Volonté de Dieu et du Christ (la pédophilie ), d'ailleurs mêmes toutes les écoles laique française doivent le faire dans le sens que c'est immoral et faire de la prévention et pédagogie (les écoles de l'islam ne le feront pas et pour cause c'est inscrit dans l'excemple de mahomet avec aicha )Volog a écrit:2001 - Prêtres pervers et petits enfants
Depuis un millénaire, l'église catholique impose le célibat à ses prêtres. Cette obligation attire bien sûr les personnes à sexualité "déviante", dont les pédophiles. Ils suivent souvent inconsciemment - et seulement spirituellement - le mot de Jésus, qui avait dit qu'il y a des croyants qui se font eunuques pour entrer dans le royaume de Dieu.
Hélas, l'église catholique fait de grands efforts pour endoctriner les enfants, et les prêtres sont impliqués dans ces actions de propagande pour mineurs que l'on nomme le catéchisme. Une situation explosive est donc crée: l'on attire, par la possibilité de "se faire eunuque", des pédophiles, puis on les soumet quotidiennement ou presque à la tentation.
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
La sexualité des prêtres: un ressort comique
Comme vous pouvez l'imaginer, les prêtres sont loin d'avoir unanimement accepté ce célibat imposé, que ce soit au XIe siècle, mais aussi pendant tout le Moyen Âge et l’époque moderne.
Selon les moments et les lieux, la part de prêtres concubinaires peut être particulièrement importante.
Les paroissiens l’acceptent plus ou moins, et le plus souvent ferment les yeux.
L'Église elle-même sait rester souple, car elle est bien consciente qu'on ne gagne rien à imposer trop violemment de telles normes.
On sait ainsi qu'environ 20% des clients des bordels sont des ecclésiastiques, et que cette fréquentation n'est sanctionnée que par une pénitence assez légère.
Comme vous pouvez l'imaginer, les prêtres sont loin d'avoir unanimement accepté ce célibat imposé, que ce soit au XIe siècle, mais aussi pendant tout le Moyen Âge et l’époque moderne.
Selon les moments et les lieux, la part de prêtres concubinaires peut être particulièrement importante.
Les paroissiens l’acceptent plus ou moins, et le plus souvent ferment les yeux.
L'Église elle-même sait rester souple, car elle est bien consciente qu'on ne gagne rien à imposer trop violemment de telles normes.
On sait ainsi qu'environ 20% des clients des bordels sont des ecclésiastiques, et que cette fréquentation n'est sanctionnée que par une pénitence assez légère.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Volog a écrit: La sexualité des prêtres: un ressort comique
Comme vous pouvez l'imaginer, les prêtres sont loin d'avoir unanimement accepté ce célibat imposé, que ce soit au XIe siècle, mais aussi pendant tout le Moyen Âge et l’époque moderne.
Selon les moments et les lieux, la part de prêtres concubinaires peut être particulièrement importante.
Les paroissiens l’acceptent plus ou moins, et le plus souvent ferment les yeux.
L'Église elle-même sait rester souple, car elle est bien consciente qu'on ne gagne rien à imposer trop violemment de telles normes.
On sait ainsi qu'environ 20% des clients des bordels sont des ecclésiastiques, et que cette fréquentation n'est sanctionnée que par une pénitence assez légère.
je suis d accord, chez les musulmans c est la même chose, des pervers, et des pédophile
, la méme merde
volog, lave plus blanc que blanc
lambertini- Chef
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
on sait que...
ça c'est l'argument imparable
ça c'est l'argument imparable
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
à la différence dans la Bible c'est interdit , dans le coran c'est toléré !!!lambertini a écrit:Volog a écrit: La sexualité des prêtres: un ressort comique
Comme vous pouvez l'imaginer, les prêtres sont loin d'avoir unanimement accepté ce célibat imposé, que ce soit au XIe siècle, mais aussi pendant tout le Moyen Âge et l’époque moderne.
Selon les moments et les lieux, la part de prêtres concubinaires peut être particulièrement importante.
Les paroissiens l’acceptent plus ou moins, et le plus souvent ferment les yeux.
L'Église elle-même sait rester souple, car elle est bien consciente qu'on ne gagne rien à imposer trop violemment de telles normes.
On sait ainsi qu'environ 20% des clients des bordels sont des ecclésiastiques, et que cette fréquentation n'est sanctionnée que par une pénitence assez légère.
je suis d accord, chez les musulmans c est la même chose, des pervers, et des pédophile
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
aPOTRE a écrit:à la différence dans la Bible c'est interdit , dans le coran c'est toléré !!!lambertini a écrit:Volog a écrit: La sexualité des prêtres: un ressort comique
Comme vous pouvez l'imaginer, les prêtres sont loin d'avoir unanimement accepté ce célibat imposé, que ce soit au XIe siècle, mais aussi pendant tout le Moyen Âge et l’époque moderne.
Selon les moments et les lieux, la part de prêtres concubinaires peut être particulièrement importante.
Les paroissiens l’acceptent plus ou moins, et le plus souvent ferment les yeux.
L'Église elle-même sait rester souple, car elle est bien consciente qu'on ne gagne rien à imposer trop violemment de telles normes.
On sait ainsi qu'environ 20% des clients des bordels sont des ecclésiastiques, et que cette fréquentation n'est sanctionnée que par une pénitence assez légère.
exactement
toutes les religions ne se valent pas
je suis d accord, chez les musulmans c est la même chose, des pervers, et des pédophile
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volog, lave plus blanc que blanc
lambertini- Chef
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Années 1990: Guerres de religion en Yougoslavie
La Yougoslavie était dans les années 1980 de notre siècle une des terres favorites de vacances balnéaires pour les européens. Les publicités yougoslaves de l'époque vendent le caractère multi-religieux du pays comme argument touristique, car il est vrai que l'on peut voir à Mostar et beaucoup d'autres charmants villages la mosquée et l'église d'un même coup d'oeil. Hélas, le pays s'effondre dans une série de guerres civiles que l'on se plaît à décrire comme "ethniques" alors qu'il s'agit en fait de guerres de religion. Le cas de la guerre de Croatie est le plus flagrant. Serbes et Croates partagent la même origine ethnique, et aussi la même langue, le Serbo-Croate, que l'on appelle Croato-Serbe quand il est écrit en caractères latins. Le plus ironique est que le "Serbo-Croate écrit en caractères latin", c'est à dire le Croato-Serbe, est aujourd'hui encore la langue officielle de l'armée Yougoslave, qui se bat contre l'OTAN au Kosovo, après s'être battue contre les Croates au début des années 1990.
Hélas, la religion sépare Croates et Serbes: les "Croates" ont étés christianisés par Rome, et sont catholiques. Les Serbes, qui écrivent le Serbo-Croate en caractères cyrilliques, ont étés christianisés par les Byzantins et sont donc orthodoxes. Lorsque Milosevitch, le dictateur serbe, commence à agiter le spectre de la "Grande Serbie", la Croatie déclare son indépendance. Aussitôt, le Vatican et la RFA (dont le chancelier de l'époque se proclame "überzeugter Katholik" - catholique convaincu) reconnaissent la Croatie catholique comme état indépendant. Le Vatican dépêchera ses nonces dans tout l'Occident pour obtenir la reconnaissance du nouvel état catholique. Le pape multiplie appels, prières et messes pour l'indépendance de la Croatie. Pendant ce temps, le dictateur de la Croatie, ancien officier supérieur sous le régime communiste et catholique très observant, fait licencier tous les fonctionnaires orthodoxes, soit "Serbes". Il choisit comme drapeau national l'ancienne bannière des Oustachis qui, entre 1940 et 1944, avaient fait un génocide d'environ 600000 serbes. La guerre civile est déclenchée.
A guerre finie, le Pape béatifiera le Cardinal Stepinac, qui avait qualifié Ante Palevitc, le dictateur Oustachi de 1940-1944, de "don de dieu" pour la Croatie et l'avait soutenu activement.
La guerre de Yougoslavie continue ensuite en Bosnie, où les membres des 3 groupes religieux (catholiques, orthodoxes, musulmans) s'affrontent dans une série de combats triangulaires dont les populations civiles sont les principales victimes. A l'heure où j'écris ces lignes, la guerre est encore en cours au Kosovo, province agricole sans intérêt stratégique, avec velléités d'autonomie, que Belgrade ne veut pas lâcher car il s'y trouve nombre de monastères orthodoxes. Il va de soi que l'église orthodoxe s'active pour soutenir par prières et sermons la lutte des serbes contre les Kosovars musulmans.
Les guerres de Yougoslavie sont un cas emblématique de la catastrophe de l'intolérance qui est inhérente aux religions "révélées": des communautés religieuses s'affrontent, au XXème siècle, au nom de religions qu'elles ont reçu au hasard de l'expansion de divers empires (Romain, Byzantin, Ottoman) entre l’Antiquité classique et le Moyen Âge.
La Yougoslavie était dans les années 1980 de notre siècle une des terres favorites de vacances balnéaires pour les européens. Les publicités yougoslaves de l'époque vendent le caractère multi-religieux du pays comme argument touristique, car il est vrai que l'on peut voir à Mostar et beaucoup d'autres charmants villages la mosquée et l'église d'un même coup d'oeil. Hélas, le pays s'effondre dans une série de guerres civiles que l'on se plaît à décrire comme "ethniques" alors qu'il s'agit en fait de guerres de religion. Le cas de la guerre de Croatie est le plus flagrant. Serbes et Croates partagent la même origine ethnique, et aussi la même langue, le Serbo-Croate, que l'on appelle Croato-Serbe quand il est écrit en caractères latins. Le plus ironique est que le "Serbo-Croate écrit en caractères latin", c'est à dire le Croato-Serbe, est aujourd'hui encore la langue officielle de l'armée Yougoslave, qui se bat contre l'OTAN au Kosovo, après s'être battue contre les Croates au début des années 1990.
Hélas, la religion sépare Croates et Serbes: les "Croates" ont étés christianisés par Rome, et sont catholiques. Les Serbes, qui écrivent le Serbo-Croate en caractères cyrilliques, ont étés christianisés par les Byzantins et sont donc orthodoxes. Lorsque Milosevitch, le dictateur serbe, commence à agiter le spectre de la "Grande Serbie", la Croatie déclare son indépendance. Aussitôt, le Vatican et la RFA (dont le chancelier de l'époque se proclame "überzeugter Katholik" - catholique convaincu) reconnaissent la Croatie catholique comme état indépendant. Le Vatican dépêchera ses nonces dans tout l'Occident pour obtenir la reconnaissance du nouvel état catholique. Le pape multiplie appels, prières et messes pour l'indépendance de la Croatie. Pendant ce temps, le dictateur de la Croatie, ancien officier supérieur sous le régime communiste et catholique très observant, fait licencier tous les fonctionnaires orthodoxes, soit "Serbes". Il choisit comme drapeau national l'ancienne bannière des Oustachis qui, entre 1940 et 1944, avaient fait un génocide d'environ 600000 serbes. La guerre civile est déclenchée.
A guerre finie, le Pape béatifiera le Cardinal Stepinac, qui avait qualifié Ante Palevitc, le dictateur Oustachi de 1940-1944, de "don de dieu" pour la Croatie et l'avait soutenu activement.
La guerre de Yougoslavie continue ensuite en Bosnie, où les membres des 3 groupes religieux (catholiques, orthodoxes, musulmans) s'affrontent dans une série de combats triangulaires dont les populations civiles sont les principales victimes. A l'heure où j'écris ces lignes, la guerre est encore en cours au Kosovo, province agricole sans intérêt stratégique, avec velléités d'autonomie, que Belgrade ne veut pas lâcher car il s'y trouve nombre de monastères orthodoxes. Il va de soi que l'église orthodoxe s'active pour soutenir par prières et sermons la lutte des serbes contre les Kosovars musulmans.
Les guerres de Yougoslavie sont un cas emblématique de la catastrophe de l'intolérance qui est inhérente aux religions "révélées": des communautés religieuses s'affrontent, au XXème siècle, au nom de religions qu'elles ont reçu au hasard de l'expansion de divers empires (Romain, Byzantin, Ottoman) entre l’Antiquité classique et le Moyen Âge.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Bla bla classique Volog avec ses histoires fantaisistes. T'en pas marre d'inventer ton petit monde à toi.
Si tu crois que les méchants Croates ont été aidés contre le gentil Milosevic, comment se fait-il que la Croaties ait été dévastée et pas la Serbie ? Que les vestiges romains d'une valeur historique inestimable aient été bombardés...
La vérité c'est que Milosevic et ses potes étaient pour une dictature communiste revival et que les serbes étaient les plus soumis de l'intérieur à leur campagne (armée et parti unique notamment).
Moi je trouve au contraire scandaleux qu'on ait attendu et porté secours aux moins justifiés dans cette guerre, les musulmans, pour la plupart originaires d'un pays voisin, aux côtés de l'Iran et des autres réseaux islamistes contre les chrétiens de l'ex-yougoslavie.
Si tu crois que les méchants Croates ont été aidés contre le gentil Milosevic, comment se fait-il que la Croaties ait été dévastée et pas la Serbie ? Que les vestiges romains d'une valeur historique inestimable aient été bombardés...
La vérité c'est que Milosevic et ses potes étaient pour une dictature communiste revival et que les serbes étaient les plus soumis de l'intérieur à leur campagne (armée et parti unique notamment).
Moi je trouve au contraire scandaleux qu'on ait attendu et porté secours aux moins justifiés dans cette guerre, les musulmans, pour la plupart originaires d'un pays voisin, aux côtés de l'Iran et des autres réseaux islamistes contre les chrétiens de l'ex-yougoslavie.
Jeannot Lapin- Sage
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Jeannot Lapin a écrit:Bla bla classique Volog avec ses histoires fantaisistes. T'en pas marre d'inventer ton petit monde à toi.
Si tu crois que les méchants Croates ont été aidés contre le gentil Milosevic, comment se fait-il que la Croaties ait été dévastée et pas la Serbie ? Que les vestiges romains d'une valeur historique inestimable aient été bombardés...
La vérité c'est que Milosevic et ses potes étaient pour une dictature communiste revival et que les serbes étaient les plus soumis de l'intérieur à leur campagne (armée et parti unique notamment).
Moi je trouve au contraire scandaleux qu'on ait attendu et porté secours aux moins justifiés dans cette guerre, les musulmans, pour la plupart originaires d'un pays voisin, aux côtés de l'Iran et des autres réseaux islamistes contre les chrétiens de l'ex-yougoslavie.
Té le lapin qui essaye de me mordiller les chevilles, pas capables d'aligner des arguments contradictoires. En a-t-il les moyens ???
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
2001 - Prêtres pervers et petits enfants
Depuis un millénaire, l'église catholique impose le célibat à ses prêtres. Cette obligation attire bien sûr les personnes à sexualité "déviante", dont les pédophiles. Ils suivent souvent inconsciemment - et seulement spirituellement - le mot de Jésus, qui avait dit qu'il y a des croyants qui se font eunuques pour entrer dans le royaume de Dieu.
Hélas, l'église catholique fait de grands efforts pour endoctriner les enfants, et les prêtres sont impliqués dans ces actions de propagande pour mineurs que l'on nomme le catéchisme. Une situation explosive est donc crée: l'on attire, par la possibilité de "se faire eunuque", des pédophiles, puis on les soumet quotidiennement ou presque à la tentation.
Le problème est ancien, connu. Déjà au Siècle des Lumières, l'Abbé Bernier, baron d'Holbach, écrivait dans son Dictionnaire abrégé de la religion chrétienne, en parlant de la "compagnie de Jésus" :"(...) communément elle n’en veut point aux femmes, les petits garçons ne s’en tirent pas à si bon marché.".
Mais ce n'est qu'à la fin du XXème siècle que toute la gravité et l'extension du problème deviennent visibles et médiatisés par de nombreuses affaires sordides au cours de la deuxième moitié des années 1990. Ce qui frappe le public, dans toutes ces affaires, ce n'est pas tant le délit en soi que la réaction de l'église catholique: systématiquement, celle ci s'active pour protéger ses clercs des foudres du bras séculier de la justice. Une première affaire retentissante de ces années est celle de l'ancien cardinal archevêque de Vienne, un ami personnel de Jean-Paul II: l'église catholique lui permet d'aller passer sa retraite dans un monastère de nonnes en Allemagne, échappant ainsi à la justice autrichienne.
Le 9 avril 1998, alors que plusieurs affaires de prêtres pédophiles secouent l'opinion publique belge, la justice traite enfin, pour la première fois de mémoire d'homme, l'église catholique comme une personne morale soumise aux même lois que le reste de la société: la 34ème chambre du tribunal correctionnel de Bruxelles non seulement condamne un prêtre pédophile, l'abbé André Vanderlyn, ancien curé de la paroisse bruxelloise de Jésus Travailleur à Saint- Gilles, coupable de plusieurs abus sexuels commis sur plusieurs enfants au catéchisme, à une peine de prison ferme, mais reconnaît aussi la responsabilité civile du Cardinal Danneels et son évêque auxiliaire, Mgr Paul Lanneau.
Les deux hauts prélats étaient en effet au courant des agissements du prêtre pédophile, mais non seulement ils avaient gardé le silence, mais en outre ils n'avaient pris aucune mesure pour éviter le contact entre le pervers et ses victimes potentielles. A l'époque, les belges pensent que ce jugement fera jurisprudence, et que cela portera l'église à refréner les pulsions de ses prêtres pervers.
Tous les regards se tournent vers Gand, où une autre affaire sordide est jugée: un prêtre a reconnu une relation homosexuelle avec un jeune paroissien, mais affirme qu'elle n'a commencé que lorsque la victime était majeure. Faux, accusent les parents de la victime, qui portent plainte:
la 14ème chambre correctionnelle du tribunal de Gand juge le 10 juin 1998 que la relation a bien commencé alors que la victime était mineure, avec la circonstance aggravante que le prêtre pédophile a abusé de sa position d'autorité.
Le prêtre est condamné, mais par contre le tribunal refuse de reconnaître la responsabilité civile de l'évêque, son supérieur direct, au prétexte que l'autonomie du prêtre dans son travail est supérieure à celle d'un employé de son supérieur dans une autre société.
Depuis un millénaire, l'église catholique impose le célibat à ses prêtres. Cette obligation attire bien sûr les personnes à sexualité "déviante", dont les pédophiles. Ils suivent souvent inconsciemment - et seulement spirituellement - le mot de Jésus, qui avait dit qu'il y a des croyants qui se font eunuques pour entrer dans le royaume de Dieu.
Hélas, l'église catholique fait de grands efforts pour endoctriner les enfants, et les prêtres sont impliqués dans ces actions de propagande pour mineurs que l'on nomme le catéchisme. Une situation explosive est donc crée: l'on attire, par la possibilité de "se faire eunuque", des pédophiles, puis on les soumet quotidiennement ou presque à la tentation.
Le problème est ancien, connu. Déjà au Siècle des Lumières, l'Abbé Bernier, baron d'Holbach, écrivait dans son Dictionnaire abrégé de la religion chrétienne, en parlant de la "compagnie de Jésus" :"(...) communément elle n’en veut point aux femmes, les petits garçons ne s’en tirent pas à si bon marché.".
Mais ce n'est qu'à la fin du XXème siècle que toute la gravité et l'extension du problème deviennent visibles et médiatisés par de nombreuses affaires sordides au cours de la deuxième moitié des années 1990. Ce qui frappe le public, dans toutes ces affaires, ce n'est pas tant le délit en soi que la réaction de l'église catholique: systématiquement, celle ci s'active pour protéger ses clercs des foudres du bras séculier de la justice. Une première affaire retentissante de ces années est celle de l'ancien cardinal archevêque de Vienne, un ami personnel de Jean-Paul II: l'église catholique lui permet d'aller passer sa retraite dans un monastère de nonnes en Allemagne, échappant ainsi à la justice autrichienne.
Le 9 avril 1998, alors que plusieurs affaires de prêtres pédophiles secouent l'opinion publique belge, la justice traite enfin, pour la première fois de mémoire d'homme, l'église catholique comme une personne morale soumise aux même lois que le reste de la société: la 34ème chambre du tribunal correctionnel de Bruxelles non seulement condamne un prêtre pédophile, l'abbé André Vanderlyn, ancien curé de la paroisse bruxelloise de Jésus Travailleur à Saint- Gilles, coupable de plusieurs abus sexuels commis sur plusieurs enfants au catéchisme, à une peine de prison ferme, mais reconnaît aussi la responsabilité civile du Cardinal Danneels et son évêque auxiliaire, Mgr Paul Lanneau.
Les deux hauts prélats étaient en effet au courant des agissements du prêtre pédophile, mais non seulement ils avaient gardé le silence, mais en outre ils n'avaient pris aucune mesure pour éviter le contact entre le pervers et ses victimes potentielles. A l'époque, les belges pensent que ce jugement fera jurisprudence, et que cela portera l'église à refréner les pulsions de ses prêtres pervers.
Tous les regards se tournent vers Gand, où une autre affaire sordide est jugée: un prêtre a reconnu une relation homosexuelle avec un jeune paroissien, mais affirme qu'elle n'a commencé que lorsque la victime était majeure. Faux, accusent les parents de la victime, qui portent plainte:
la 14ème chambre correctionnelle du tribunal de Gand juge le 10 juin 1998 que la relation a bien commencé alors que la victime était mineure, avec la circonstance aggravante que le prêtre pédophile a abusé de sa position d'autorité.
Le prêtre est condamné, mais par contre le tribunal refuse de reconnaître la responsabilité civile de l'évêque, son supérieur direct, au prétexte que l'autonomie du prêtre dans son travail est supérieure à celle d'un employé de son supérieur dans une autre société.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
J'aime bien le lire (tout comme oméga, darbut ,esculape et quelques autres)!!!Volog a écrit:Jeannot Lapin a écrit:Bla bla classique Volog avec ses histoires fantaisistes. T'en pas marre d'inventer ton petit monde à toi.
Si tu crois que les méchants Croates ont été aidés contre le gentil Milosevic, comment se fait-il que la Croaties ait été dévastée et pas la Serbie ? Que les vestiges romains d'une valeur historique inestimable aient été bombardés...
La vérité c'est que Milosevic et ses potes étaient pour une dictature communiste revival et que les serbes étaient les plus soumis de l'intérieur à leur campagne (armée et parti unique notamment).
Moi je trouve au contraire scandaleux qu'on ait attendu et porté secours aux moins justifiés dans cette guerre, les musulmans, pour la plupart originaires d'un pays voisin, aux côtés de l'Iran et des autres réseaux islamistes contre les chrétiens de l'ex-yougoslavie.
Té le lapin qui essaye de me mordiller les chevilles, pas capables d'aligner des arguments contradictoires. En a-t-il les moyens ???
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Les cas de prêtres pédophiles dénoncés se multipliant, l'épiscopat français, le dos au mur, proclame début 2001 qu'il ne couvrira plus les agissements des prêtres pédophiles. Hélas, en mars 2001, une nouvelle affaire de pédophilie d'un prêtre secoue la francophonie, cette fois en Suisse: à Vevey, l'on apprend que le curé est sous accusation pénale pour détournement de mineurs: il a eu des rapports sexuels avec un jeune de 15 ans à l'époque des faits.
Le conseil de paroisse apprend les faits, et, immédiatement, lui pardonne et décide de cacher l'affaire aux paroissiens qui confient leurs enfants à cet individu lors du catéchisme. Mais les catholiques sont ainsi, ils sont toujours très prompts à se pardonner le mal fait à autrui. L'évêque ordonne de garder le secret sur l'affaire car les faits sont sans doute prescrits: ils datent des années 1980.
Hélas pour l'église, la paroisse où le curé est accusé et n'échappera à la prison que grâce à la prescription et a un deuxième prêtre. Celui-ci s'indigne que l'on n'informe pas les paroissiens, et il semblerait qu'il ait passé à des tiers un "communiqué" que le conseil de paroisse avait préparé puis, après le pardon accordé au pédophile et l'ordre de silence de l'évêque, prudemment rangé dans un tiroir.
Cette fois-ci, la réaction de l'église est immédiate: le prêtre dénonciateur est licencié: comme il avait un statut de fonctionnaire, il n'a pas de droit à l'assurance chômage, et, en raison de son expérience professionnelle et de son âge, sa réinsertion professionnelle s'annonce difficile.
L'église justifie sa punition par le fait que non seulement le prêtre a informé des tiers du passé criminel de son collègue, mais en plus il vit avec une femme! Le prêtre pédophile est réconforté et protégé. La hiérarchie lui confie une nouvelle affectation pour ne pas lui imposer de devoir soutenir des regards hostiles, et lui renouvelle sa confiance, justifiée par le fait que les faits reprochés sont sans doute prescrits.
Nous retrouvons donc le schéma classique: le pédophile est protégé par la hiérarchie et reste prêtre, il continuera à s'occuper de l'éducation religieuse des enfants, il est "pardonné pour le moment d'égarement" (par l'église, pas par la victime), le dénonciateur est, lui, sévèrement puni.
Pour compléter le tableau, le Présidium de la Conférence des évêques suisses se fend d'un communiqué le 5 avril 2001: il y dénonce ... les médias qui ont ébruité l'affaire! Sans citer nommément Vevey, le communiqué s'insurge contre le fait que les médias auraient dit que des prêtres "succomberaient à des pulsions pédophiles, abusant ainsi de leur autorité face aux enfants".
Et le silence ? Il n'y a pas de silence, dit le communiqué, qui ose: "Peut-être dans certains cas la communication aura-t-elle mal passé, peut-être le désir de protéger un présumé innocent ou une probable victime aura-t-il poussé à ne pas informer suffisamment".
Enfin, les évêques réaffirment leur plein soutien aux prêtres qui seraient accusés, et concluent " dans les cas d'erreurs [un abus sexuel d'une enfant est donc une erreur et non un crime, d'après les évêques, ndr] commises par des hommes d'Eglise et prouvées, le devoir des évêques est d'implorer le pardon des victimes, laissant à la justice la responsabilité de punir les contrevenants de façon équitable" : autrement dit: les prêtres pédophiles peuvent compter sur les évêques pour qu'ils essaient de pousser les victimes à ne pas porter plainte.
Une fois que la tempête médiatique est enfin retombée, l'évêque responsable du diocèse où ont eu lieu les faits, Monseigneur Genoud, évêque de Lausanne-Genève-Fribourg, donne le 19 juin une conférence de presse pour condamner ... la masturbation ! Du haut de son autorité morale de protecteur de pédophiles, il explique la gravité extrême du geste. L'on ne peut qu’en conclure que pour l'évêque, il est plus grave qu'un adolescent se masturbe que ne soit abusé sexuellement par un prêtre.
Le conseil de paroisse apprend les faits, et, immédiatement, lui pardonne et décide de cacher l'affaire aux paroissiens qui confient leurs enfants à cet individu lors du catéchisme. Mais les catholiques sont ainsi, ils sont toujours très prompts à se pardonner le mal fait à autrui. L'évêque ordonne de garder le secret sur l'affaire car les faits sont sans doute prescrits: ils datent des années 1980.
Hélas pour l'église, la paroisse où le curé est accusé et n'échappera à la prison que grâce à la prescription et a un deuxième prêtre. Celui-ci s'indigne que l'on n'informe pas les paroissiens, et il semblerait qu'il ait passé à des tiers un "communiqué" que le conseil de paroisse avait préparé puis, après le pardon accordé au pédophile et l'ordre de silence de l'évêque, prudemment rangé dans un tiroir.
Cette fois-ci, la réaction de l'église est immédiate: le prêtre dénonciateur est licencié: comme il avait un statut de fonctionnaire, il n'a pas de droit à l'assurance chômage, et, en raison de son expérience professionnelle et de son âge, sa réinsertion professionnelle s'annonce difficile.
L'église justifie sa punition par le fait que non seulement le prêtre a informé des tiers du passé criminel de son collègue, mais en plus il vit avec une femme! Le prêtre pédophile est réconforté et protégé. La hiérarchie lui confie une nouvelle affectation pour ne pas lui imposer de devoir soutenir des regards hostiles, et lui renouvelle sa confiance, justifiée par le fait que les faits reprochés sont sans doute prescrits.
Nous retrouvons donc le schéma classique: le pédophile est protégé par la hiérarchie et reste prêtre, il continuera à s'occuper de l'éducation religieuse des enfants, il est "pardonné pour le moment d'égarement" (par l'église, pas par la victime), le dénonciateur est, lui, sévèrement puni.
Pour compléter le tableau, le Présidium de la Conférence des évêques suisses se fend d'un communiqué le 5 avril 2001: il y dénonce ... les médias qui ont ébruité l'affaire! Sans citer nommément Vevey, le communiqué s'insurge contre le fait que les médias auraient dit que des prêtres "succomberaient à des pulsions pédophiles, abusant ainsi de leur autorité face aux enfants".
Et le silence ? Il n'y a pas de silence, dit le communiqué, qui ose: "Peut-être dans certains cas la communication aura-t-elle mal passé, peut-être le désir de protéger un présumé innocent ou une probable victime aura-t-il poussé à ne pas informer suffisamment".
Enfin, les évêques réaffirment leur plein soutien aux prêtres qui seraient accusés, et concluent " dans les cas d'erreurs [un abus sexuel d'une enfant est donc une erreur et non un crime, d'après les évêques, ndr] commises par des hommes d'Eglise et prouvées, le devoir des évêques est d'implorer le pardon des victimes, laissant à la justice la responsabilité de punir les contrevenants de façon équitable" : autrement dit: les prêtres pédophiles peuvent compter sur les évêques pour qu'ils essaient de pousser les victimes à ne pas porter plainte.
Une fois que la tempête médiatique est enfin retombée, l'évêque responsable du diocèse où ont eu lieu les faits, Monseigneur Genoud, évêque de Lausanne-Genève-Fribourg, donne le 19 juin une conférence de presse pour condamner ... la masturbation ! Du haut de son autorité morale de protecteur de pédophiles, il explique la gravité extrême du geste. L'on ne peut qu’en conclure que pour l'évêque, il est plus grave qu'un adolescent se masturbe que ne soit abusé sexuellement par un prêtre.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Mets le lien !!!Volog a écrit:Les cas de prêtres pédophiles dénoncés se multipliant, l'épiscopat français, le dos au mur, proclame début 2001 qu'il ne couvrira plus les agissements des prêtres pédophiles. Hélas, en mars 2001, une nouvelle affaire de pédophilie d'un prêtre secoue la francophonie, cette fois en Suisse: à Vevey, l'on apprend que le curé est sous accusation pénale pour détournement de mineurs: il a eu des rapports sexuels avec un jeune de 15 ans à l'époque des faits.
Le conseil de paroisse apprend les faits, et, immédiatement, lui pardonne et décide de cacher l'affaire aux paroissiens qui confient leurs enfants à cet individu lors du catéchisme. Mais les catholiques sont ainsi, ils sont toujours très prompts à se pardonner le mal fait à autrui. L'évêque ordonne de garder le secret sur l'affaire car les faits sont sans doute prescrits: ils datent des années 1980.
Hélas pour l'église, la paroisse où le curé est accusé et n'échappera à la prison que grâce à la prescription et a un deuxième prêtre. Celui-ci s'indigne que l'on n'informe pas les paroissiens, et il semblerait qu'il ait passé à des tiers un "communiqué" que le conseil de paroisse avait préparé puis, après le pardon accordé au pédophile et l'ordre de silence de l'évêque, prudemment rangé dans un tiroir.
Cette fois-ci, la réaction de l'église est immédiate: le prêtre dénonciateur est licencié: comme il avait un statut de fonctionnaire, il n'a pas de droit à l'assurance chômage, et, en raison de son expérience professionnelle et de son âge, sa réinsertion professionnelle s'annonce difficile.
L'église justifie sa punition par le fait que non seulement le prêtre a informé des tiers du passé criminel de son collègue, mais en plus il vit avec une femme! Le prêtre pédophile est réconforté et protégé. La hiérarchie lui confie une nouvelle affectation pour ne pas lui imposer de devoir soutenir des regards hostiles, et lui renouvelle sa confiance, justifiée par le fait que les faits reprochés sont sans doute prescrits.
Nous retrouvons donc le schéma classique: le pédophile est protégé par la hiérarchie et reste prêtre, il continuera à s'occuper de l'éducation religieuse des enfants, il est "pardonné pour le moment d'égarement" (par l'église, pas par la victime), le dénonciateur est, lui, sévèrement puni.
Pour compléter le tableau, le Présidium de la Conférence des évêques suisses se fend d'un communiqué le 5 avril 2001: il y dénonce ... les médias qui ont ébruité l'affaire! Sans citer nommément Vevey, le communiqué s'insurge contre le fait que les médias auraient dit que des prêtres "succomberaient à des pulsions pédophiles, abusant ainsi de leur autorité face aux enfants".
Et le silence ? Il n'y a pas de silence, dit le communiqué, qui ose: "Peut-être dans certains cas la communication aura-t-elle mal passé, peut-être le désir de protéger un présumé innocent ou une probable victime aura-t-il poussé à ne pas informer suffisamment".
Enfin, les évêques réaffirment leur plein soutien aux prêtres qui seraient accusés, et concluent " dans les cas d'erreurs [un abus sexuel d'une enfant est donc une erreur et non un crime, d'après les évêques, ndr] commises par des hommes d'Eglise et prouvées, le devoir des évêques est d'implorer le pardon des victimes, laissant à la justice la responsabilité de punir les contrevenants de façon équitable" : autrement dit: les prêtres pédophiles peuvent compter sur les évêques pour qu'ils essaient de pousser les victimes à ne pas porter plainte.
Une fois que la tempête médiatique est enfin retombée, l'évêque responsable du diocèse où ont eu lieu les faits, Monseigneur Genoud, évêque de Lausanne-Genève-Fribourg, donne le 19 juin une conférence de presse pour condamner ... la masturbation ! Du haut de son autorité morale de protecteur de pédophiles, il explique la gravité extrême du geste. L'on ne peut qu’en conclure que pour l'évêque, il est plus grave qu'un adolescent se masturbe que ne soit abusé sexuellement par un prêtre.
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
Francis XV a écrit:aPOTRE a écrit:rapport que le Christianisme est Abel, et l'islam Cain ,bref jaloux d'Abel!!!
Vraiment portenawak ...
ho, p'tain, il trimballe pépère
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
2001-2002 - La conspiration du silence
10 millions de Dollars! Telle est la somme que l'archidiocèse de Boston a investi discrètement entre 1997 et 2001 pour faire taire les victimes d'un prêtre pédophile actif, qui a agi dans le cadre de ses fonctions pendant plusieurs décennies, jusqu'en 1998. L'affaire serait restée secrète si elle n'avait été révélée par le journal Boston Globe.
L'indignation est immense.
En effet, en 1992, l'Église catholique américaine avait déjà été secouée par un fait semblable: plus de 100 victimes d'un prêtre pédophile obsédé, James Porter, du diocèse de Fall River, dans le Sud-Est du Massachussets, avaient apporté des preuves que le pervers avait été transféré de paroisse en paroisse pour le mettre à l'abri de la colère des parents d'enfants abusés, alors que son obsession et ses abus sur les enfants était connue de ses supérieurs.
L'Eglise Catholique avait alors juré ses grands dieux que l'on ne l'y reprendrait plus.
Elle avait en effet à ce moment là pris conscience que l'ère de l'impunité de ses clercs était passée. Déjà en 1985, un rapport confidentiel interne de l'église mettait en garde l'épiscopat sur le fait que "la confiance que nous pouvions avoir dans le passé sur les juges et procureurs catholiques pour qu'ils protègent les clercs du diocèse a disparu".
En 1993, l'archevêque de Boston annonçait la mise en place de directives très sévères sur la pédophilie, qui prévoyaient entres autre que tout prêtre suspecté de pédophile devrait être temporairement éloigné de l'activité paroissiale.
En janvier 2002, c'est le même Archevêque qui doit expliquer au public indigné pourquoi lui-même a ignoré les directives qu'il avait annoncé en 1993.
Afin de lui permettre d'échapper à la justice américaine et à la vindicte populaire, l'église donne à l'archevêque un poste au Vatican en 2003.
Cette nouvelle affaire a un goût de déjà vu. Le prêtre a molesté plus de 130 enfants en près de 30 ans.
Il gardera ses fonctions, et changera plusieurs fois de poste, jusqu'en 1998, alors que dès 1984 l'archevêque de Boston, Monseigneur Law, est averti par une lettre de l'obsession du père Geoghan.
En 1985, il est en possession d'un rapport sur le traitement de la pédophilie, qui met en garde contre les risques très élevés de récidives.
Mais le Monseigneur attend 1989 pour enfin demander au prêtre pervers de se soumettre à un traitement de 3 mois, après quoi il le renvoie en paroisse, où il est à nouveau en contact avec des enfants et fera de nouvelles victimes. Le prêtre s'attaque de préférence aux enfants de familles pauvres:
il gagne la confiance des parents, achète des glaces aux enfants, après quoi il les abuse sexuellement. Lorsque des familles portent plainte, l'archevêché achète leur silence.
10 millions de Dollars! Telle est la somme que l'archidiocèse de Boston a investi discrètement entre 1997 et 2001 pour faire taire les victimes d'un prêtre pédophile actif, qui a agi dans le cadre de ses fonctions pendant plusieurs décennies, jusqu'en 1998. L'affaire serait restée secrète si elle n'avait été révélée par le journal Boston Globe.
L'indignation est immense.
En effet, en 1992, l'Église catholique américaine avait déjà été secouée par un fait semblable: plus de 100 victimes d'un prêtre pédophile obsédé, James Porter, du diocèse de Fall River, dans le Sud-Est du Massachussets, avaient apporté des preuves que le pervers avait été transféré de paroisse en paroisse pour le mettre à l'abri de la colère des parents d'enfants abusés, alors que son obsession et ses abus sur les enfants était connue de ses supérieurs.
L'Eglise Catholique avait alors juré ses grands dieux que l'on ne l'y reprendrait plus.
Elle avait en effet à ce moment là pris conscience que l'ère de l'impunité de ses clercs était passée. Déjà en 1985, un rapport confidentiel interne de l'église mettait en garde l'épiscopat sur le fait que "la confiance que nous pouvions avoir dans le passé sur les juges et procureurs catholiques pour qu'ils protègent les clercs du diocèse a disparu".
En 1993, l'archevêque de Boston annonçait la mise en place de directives très sévères sur la pédophilie, qui prévoyaient entres autre que tout prêtre suspecté de pédophile devrait être temporairement éloigné de l'activité paroissiale.
En janvier 2002, c'est le même Archevêque qui doit expliquer au public indigné pourquoi lui-même a ignoré les directives qu'il avait annoncé en 1993.
Afin de lui permettre d'échapper à la justice américaine et à la vindicte populaire, l'église donne à l'archevêque un poste au Vatican en 2003.
Cette nouvelle affaire a un goût de déjà vu. Le prêtre a molesté plus de 130 enfants en près de 30 ans.
Il gardera ses fonctions, et changera plusieurs fois de poste, jusqu'en 1998, alors que dès 1984 l'archevêque de Boston, Monseigneur Law, est averti par une lettre de l'obsession du père Geoghan.
En 1985, il est en possession d'un rapport sur le traitement de la pédophilie, qui met en garde contre les risques très élevés de récidives.
Mais le Monseigneur attend 1989 pour enfin demander au prêtre pervers de se soumettre à un traitement de 3 mois, après quoi il le renvoie en paroisse, où il est à nouveau en contact avec des enfants et fera de nouvelles victimes. Le prêtre s'attaque de préférence aux enfants de familles pauvres:
il gagne la confiance des parents, achète des glaces aux enfants, après quoi il les abuse sexuellement. Lorsque des familles portent plainte, l'archevêché achète leur silence.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
l'islam ne les aurait pas dédommagé , ni dans le viol des filles, car c'est toléré dans le coran ! bref en dédommageant ça prouve que cela n'est pas acceptable dans le catholicisme , ni dans le christianisme ! bon ensuite il y a les traumatisme des enfants qui resteront choqué toutes leurs vies , et là hélas je ne vois aucunes voie de guérison possible , sauf "peut être" de se confier à Dieu et ou au Christ , mais je croit qu'à cause de ces prètres violeur, ils les haïront plus que d'avoir Foi en Eux !Volog a écrit:2001-2002 - La conspiration du silence
10 millions de Dollars! Telle est la somme que l'archidiocèse de Boston a investi discrètement entre 1997 et 2001 pour faire taire les victimes d'un prêtre pédophile actif, qui a agi dans le cadre de ses fonctions pendant plusieurs décennies, jusqu'en 1998. L'affaire serait restée secrète si elle n'avait été révélée par le journal Boston Globe.
L'indignation est immense.
En effet, en 1992, l'Église catholique américaine avait déjà été secouée par un fait semblable: plus de 100 victimes d'un prêtre pédophile obsédé, James Porter, du diocèse de Fall River, dans le Sud-Est du Massachussets, avaient apporté des preuves que le pervers avait été transféré de paroisse en paroisse pour le mettre à l'abri de la colère des parents d'enfants abusés, alors que son obsession et ses abus sur les enfants était connue de ses supérieurs.
L'Eglise Catholique avait alors juré ses grands dieux que l'on ne l'y reprendrait plus.
Elle avait en effet à ce moment là pris conscience que l'ère de l'impunité de ses clercs était passée. Déjà en 1985, un rapport confidentiel interne de l'église mettait en garde l'épiscopat sur le fait que "la confiance que nous pouvions avoir dans le passé sur les juges et procureurs catholiques pour qu'ils protègent les clercs du diocèse a disparu".
En 1993, l'archevêque de Boston annonçait la mise en place de directives très sévères sur la pédophilie, qui prévoyaient entres autre que tout prêtre suspecté de pédophile devrait être temporairement éloigné de l'activité paroissiale.
En janvier 2002, c'est le même Archevêque qui doit expliquer au public indigné pourquoi lui-même a ignoré les directives qu'il avait annoncé en 1993.
Afin de lui permettre d'échapper à la justice américaine et à la vindicte populaire, l'église donne à l'archevêque un poste au Vatican en 2003.
Cette nouvelle affaire a un goût de déjà vu. Le prêtre a molesté plus de 130 enfants en près de 30 ans.
Il gardera ses fonctions, et changera plusieurs fois de poste, jusqu'en 1998, alors que dès 1984 l'archevêque de Boston, Monseigneur Law, est averti par une lettre de l'obsession du père Geoghan.
En 1985, il est en possession d'un rapport sur le traitement de la pédophilie, qui met en garde contre les risques très élevés de récidives.
Mais le Monseigneur attend 1989 pour enfin demander au prêtre pervers de se soumettre à un traitement de 3 mois, après quoi il le renvoie en paroisse, où il est à nouveau en contact avec des enfants et fera de nouvelles victimes. Le prêtre s'attaque de préférence aux enfants de familles pauvres:
il gagne la confiance des parents, achète des glaces aux enfants, après quoi il les abuse sexuellement. Lorsque des familles portent plainte, l'archevêché achète leur silence.
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Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
aPOTRE a écrit:rapport que le Christianisme est Abel, et l'islam Cain ,bref jaloux d'Abel!!!
lapotre à la ramasse, il est un peu fêlé du bulbe le pôvre ...
Invité- Invité
Re: La page noire du christianisme 2000 ans de crimes, terreur, répression
t'es tellement vipère , que tu ne regardes pas le profil de Cain et Abel pour le comprendre , islamogauchiste d'LFI!!!Stun'Eneb a écrit:aPOTRE a écrit:rapport que le Christianisme est Abel, et l'islam Cain ,bref jaloux d'Abel!!!
lapotre à la ramasse, il est un peu fêlé du bulbe le pôvre ...
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