Des Croix-de-feu de feu au FN
4 participants
Page 1 sur 1
Des Croix-de-feu de feu au FN
Dans ces temps troublés, l’hypothèse fasciste n’est plus à exclure.
De la ligne ultra-réactionnaire de Jean-Marie Le Pen a succédé celle, de type nationale-républicaine et populiste de masse, incarnée par Marine Le Pen. Il est très instructif de savoir qu’il y a 70 ans, le même type de transformation s’est opéré lors du passage des Croix-de-Feu en parti de masse, le Parti Social Français (P.S.F) de François de La Rocque.
Les Croix-de-Feu avaient un peu plus de 10 000 adhérents, tous anciens combattants médaillés prônant la régénération nationale par la discipline et la hiérarchie, sur une base anti-communiste.
C’était le lieu naturel pour l’engagement de La Rocque. Il rejoignit les Croix-de-Feu au printemps 1929, en devient le vice-président en juin 1930, puis président en septembre 1932. Mais il avait compris une chose essentielle, qui va distinguer sa démarche de celle des ligues d’extrême-droite : l’option du coup de force et la prise de commandement de la société par l’Armée est impossible.
A contre cœur de ses origines aristocrate et catholique, il a compris que la République avait triomphé sur le féodalisme et que l’option monarchiste liées à l’Armée et au catholicisme n’était plus possible. Du coup quand le front populaire interdit en 1936 les Croix-de-Feu et les autres ligues, cela non seulement ne l’inquiète pas mais au contraire le réjouit.
Le parti que va vouloir fonder La Rocque est le même parti qu’avait fondé Mussolini. Son caractère xénophobe était incontestable, il disait : « Nous voulons être maîtres chez nous : trop d’étrangers et de métèques, profitent de notre hospitalité, se mêlent indiscrètement de nos affaires, interviennent dans notre politique intérieure, sabotent nos valeurs morales dans la métropole et dans nos colonies, tout en mangeant chez nous un pain dont bien des travailleurs français sont maintenant privés.
Nous voulons que soient restaurées et respectées les trois valeurs morales essentielles qui sont les éléments de la civilisation française : TRAVAIL, FAMILLE, PATRIE. Nous voulons qu’on nous respecte, chez nous et hors de nos frontières. »
Lors des événements du 6 février 1934, dans le climat d’instabilité politique et de scandales de corruption, plusieurs milliers de manifestants des ligues d’extrême-droite ont tenté de prendre d’assaut le parlement. Il s’agissait de taper fort, pour former un climat d’instabilité permettant à l’Armée de prendre le pouvoir.
Or, ce 6 février 1934, La Rocque décida de ne pas s’associer au coup de force alors qu’il représentait la plus importante des ligues les Croix-de-Feu (15 000 personnes à Paris et de 20 000 en province). Cela ne fut jamais pardonné ni par les autres ligues, ni par Doriot. Avec La Rocque, c’était donc une nouvelle extrême-droite qui naissait, ni putschiste pro-royaliste, ni pro-nazi. En fait, comme on le sait, le fascisme nie les classes sociales, au nom de l’unité nationale.
C’est un parti d’Ordre, c’est-à-dire ni droite ni gauche. La Rocque considérait le communisme comme absurde et pensait qu’il fallait dépasser la lutte des classes. Il pensait de manière sincère que les rapports employeurs-employés pouvaient être pacifiés, à condition de valoriser les employés. Le PSF était un parti qui prétendait représenter une tradition nationaliste, de type royaliste et catholique, mais qui entendait rassembler au-delà des classes sociales et des religions.
La position est ouvertement laïque et chez les Croix de Feu, des célébrations pour les anciens combattants étaient faites indifféremment dans des églises, des synagogues, des temples.
Comptant un million d’adhérents à la veille de la Seconde Guerre mondiale, ce mouvement dirigé par La Rocque a donc former un parti associant nationalisme et revendications sociales. En 1937, le PSF revendique 2,5 millions de personnes. A la veille de la Seconde Guerre mondiale, le PSF était ainsi en pleine expansion, revendiquant 12 députés, 198 conseillers généraux, 344 conseillers d’arrondissement, 2692 maires, 10 257 conseillers municipaux. Il est à noter que le PSF s’intégrait pleinement dans la politique gouvernementale.
Les députés PSF votèrent l’abrogation des 40 heures, les décrets-lois permettant de faire passer la durée du travail dans certaines usines à 60 heures (tous deux issues du front populaires). Cela alors qu’il prétendait prôner la réglementation de la durée du travail. Les députés du PSF votèrent également en 1938 contre un ajustement des salaires face à l’inflation, ou contre l’amnistie de travailleurs à la suite d’une grande grève de novembre 1938. Il est important de noter l’ambiguïté de sa position pendant la seconde guerre car il insiste à la fois sur son loyalisme à l’égard du maréchal Pétain, mais aussi sur sa réserve à l’égard du gouvernement de Vichy. Aller comprendre....
La défaite face à l’Allemagne nazie fut un coup terrible à sa stratégie, entièrement fondée sur la grandeur française, et en opposition franche à l’Allemagne. En effet la ligne impérialiste française était par définition antagonique à celle de l’Allemagne. 70 ans plus tard, la crise en France est telle que nous sommes en droit de se poser la question si sa théorie n’est pas entrain de réussir ?
Le fascisme français arrivera-t-il à supplanter ses alter ego européens et imposera son impérialisme ?
La crise économique française étant plus aiguë qu’en Allemagne, cette configuration n’est plus à exclure, d’autant que maintenant la droite organise des manifs pour dresser le peuple contre la justice et la presse, ce qui est propre à l’extrême droite, façon février 1934.
De la ligne ultra-réactionnaire de Jean-Marie Le Pen a succédé celle, de type nationale-républicaine et populiste de masse, incarnée par Marine Le Pen. Il est très instructif de savoir qu’il y a 70 ans, le même type de transformation s’est opéré lors du passage des Croix-de-Feu en parti de masse, le Parti Social Français (P.S.F) de François de La Rocque.
Les Croix-de-Feu avaient un peu plus de 10 000 adhérents, tous anciens combattants médaillés prônant la régénération nationale par la discipline et la hiérarchie, sur une base anti-communiste.
C’était le lieu naturel pour l’engagement de La Rocque. Il rejoignit les Croix-de-Feu au printemps 1929, en devient le vice-président en juin 1930, puis président en septembre 1932. Mais il avait compris une chose essentielle, qui va distinguer sa démarche de celle des ligues d’extrême-droite : l’option du coup de force et la prise de commandement de la société par l’Armée est impossible.
A contre cœur de ses origines aristocrate et catholique, il a compris que la République avait triomphé sur le féodalisme et que l’option monarchiste liées à l’Armée et au catholicisme n’était plus possible. Du coup quand le front populaire interdit en 1936 les Croix-de-Feu et les autres ligues, cela non seulement ne l’inquiète pas mais au contraire le réjouit.
Le parti que va vouloir fonder La Rocque est le même parti qu’avait fondé Mussolini. Son caractère xénophobe était incontestable, il disait : « Nous voulons être maîtres chez nous : trop d’étrangers et de métèques, profitent de notre hospitalité, se mêlent indiscrètement de nos affaires, interviennent dans notre politique intérieure, sabotent nos valeurs morales dans la métropole et dans nos colonies, tout en mangeant chez nous un pain dont bien des travailleurs français sont maintenant privés.
Nous voulons que soient restaurées et respectées les trois valeurs morales essentielles qui sont les éléments de la civilisation française : TRAVAIL, FAMILLE, PATRIE. Nous voulons qu’on nous respecte, chez nous et hors de nos frontières. »
Lors des événements du 6 février 1934, dans le climat d’instabilité politique et de scandales de corruption, plusieurs milliers de manifestants des ligues d’extrême-droite ont tenté de prendre d’assaut le parlement. Il s’agissait de taper fort, pour former un climat d’instabilité permettant à l’Armée de prendre le pouvoir.
Or, ce 6 février 1934, La Rocque décida de ne pas s’associer au coup de force alors qu’il représentait la plus importante des ligues les Croix-de-Feu (15 000 personnes à Paris et de 20 000 en province). Cela ne fut jamais pardonné ni par les autres ligues, ni par Doriot. Avec La Rocque, c’était donc une nouvelle extrême-droite qui naissait, ni putschiste pro-royaliste, ni pro-nazi. En fait, comme on le sait, le fascisme nie les classes sociales, au nom de l’unité nationale.
C’est un parti d’Ordre, c’est-à-dire ni droite ni gauche. La Rocque considérait le communisme comme absurde et pensait qu’il fallait dépasser la lutte des classes. Il pensait de manière sincère que les rapports employeurs-employés pouvaient être pacifiés, à condition de valoriser les employés. Le PSF était un parti qui prétendait représenter une tradition nationaliste, de type royaliste et catholique, mais qui entendait rassembler au-delà des classes sociales et des religions.
La position est ouvertement laïque et chez les Croix de Feu, des célébrations pour les anciens combattants étaient faites indifféremment dans des églises, des synagogues, des temples.
Comptant un million d’adhérents à la veille de la Seconde Guerre mondiale, ce mouvement dirigé par La Rocque a donc former un parti associant nationalisme et revendications sociales. En 1937, le PSF revendique 2,5 millions de personnes. A la veille de la Seconde Guerre mondiale, le PSF était ainsi en pleine expansion, revendiquant 12 députés, 198 conseillers généraux, 344 conseillers d’arrondissement, 2692 maires, 10 257 conseillers municipaux. Il est à noter que le PSF s’intégrait pleinement dans la politique gouvernementale.
Les députés PSF votèrent l’abrogation des 40 heures, les décrets-lois permettant de faire passer la durée du travail dans certaines usines à 60 heures (tous deux issues du front populaires). Cela alors qu’il prétendait prôner la réglementation de la durée du travail. Les députés du PSF votèrent également en 1938 contre un ajustement des salaires face à l’inflation, ou contre l’amnistie de travailleurs à la suite d’une grande grève de novembre 1938. Il est important de noter l’ambiguïté de sa position pendant la seconde guerre car il insiste à la fois sur son loyalisme à l’égard du maréchal Pétain, mais aussi sur sa réserve à l’égard du gouvernement de Vichy. Aller comprendre....
La défaite face à l’Allemagne nazie fut un coup terrible à sa stratégie, entièrement fondée sur la grandeur française, et en opposition franche à l’Allemagne. En effet la ligne impérialiste française était par définition antagonique à celle de l’Allemagne. 70 ans plus tard, la crise en France est telle que nous sommes en droit de se poser la question si sa théorie n’est pas entrain de réussir ?
Le fascisme français arrivera-t-il à supplanter ses alter ego européens et imposera son impérialisme ?
La crise économique française étant plus aiguë qu’en Allemagne, cette configuration n’est plus à exclure, d’autant que maintenant la droite organise des manifs pour dresser le peuple contre la justice et la presse, ce qui est propre à l’extrême droite, façon février 1934.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32730
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Des Croix-de-feu de feu au FN
Quitte à vous décevoir après ce long "exposé instruit mais à peine tendancieux" et en vous précisant que je ne suis en aucun cas un adhérant du Rassemblement National, ce bien qu'actuellement, certaines de leurs idées et autres principes pour la France SEMBLENT POUR BEAUCOUP, de plus en plus adaptés à une situation nationale gravement décadente, je ne vous rejoins que très peu dans cette analyse politique d'une autre époque !!! Depuis les "années Mitterrand" de bien triste mémoire et les suivantes jusqu'à ce jour, la FRANCE NOTRE SI BEAU[/b] PAYS, dérive vers un naufrage politico économique partiellement consécutif au contexte mondial actuel il est vrai mais qu'il va bien falloir, QUELS QU'ILS SOIENT S'ILS SONT POLITIQUEMENT INTELLIGENTS ET AVEC LA "POIGNE" NECESSAIRE, que nous portions ENFIN A LA TETE DE LA FRANCE, L'EQUIPE SALVATRICE QU'IL NOUS FAUT avant de sombrer corps et biens, ce qui concerne [b]TOUS LES FRANCAIS, (Droite, Gauche, centre, extrêmes et "tutti quanti", [b]même "cloaque" dans lequel NOUS NOUS NOIERONS TOUS[b] !!!...[/b][/b][/b]
JPP- Postulant
- Messages : 261
Date d'inscription : 29/05/2020
Age : 79
Localisation : JUAN les PINS
Re: Des Croix-de-feu de feu au FN
JPP a écrit:Quitte à vous décevoir après ce long "exposé instruit mais à peine tendancieux" et en vous précisant que je ne suis en aucun cas un adhérant du Rassemblement National, ce bien qu'actuellement, certaines de leurs idées et autres principes pour la France SEMBLENT POUR BEAUCOUP, de plus en plus adaptés à une situation nationale gravement décadente, je ne vous rejoins que très peu dans cette analyse politique d'une autre époque !!! Depuis les "années Mitterrand" de bien triste mémoire et les suivantes jusqu'à ce jour, la FRANCE NOTRE SI BEAU[/b] PAYS, dérive vers un naufrage politico économique partiellement consécutif au contexte mondial actuel il est vrai mais qu'il va bien falloir, QUELS QU'ILS SOIENT S'ILS SONT POLITIQUEMENT INTELLIGENTS ET AVEC LA "POIGNE" NECESSAIRE, que nous portions ENFIN A LA TETE DE LA FRANCE, L'EQUIPE SALVATRICE QU'IL NOUS FAUT avant de sombrer corps et biens, ce qui concerne [b]TOUS LES FRANCAIS, (Droite, Gauche, centre, extrêmes et "tutti quanti", [b]même "cloaque" dans lequel NOUS NOUS NOIERONS TOUS[b] !!!...[/b][/b][/b]
Sur le sujet un avis peut-être ?
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32730
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Des Croix-de-feu de feu au FN
tu veux parler de l'ancien mouvement de François Mitterrand??
Christianne- Expert
- Messages : 926
Date d'inscription : 13/08/2021
Localisation : Vaucluse
Re: Des Croix-de-feu de feu au FN
Mitterand Le Pen il étaient potes, Mitterand c'était le ministre des Colonies !
Pour ça qu'il était aussi pote avec Emile Biasini !
Pour ça qu'il était aussi pote avec Emile Biasini !
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Monsieur Trololo aime ce message
Re: Des Croix-de-feu de feu au FN
Plaristes a écrit:Mitterand Le Pen il étaient potes, Mitterand c'était le ministre des Colonies !
Pour ça qu'il était aussi pote avec Emile Biasini !
Les fréquentations douteuses du Front
La dédiabolisation du Front national a définitivement du plomb dans l’aile. Après son grand-père (Jean-Marie Le Pen) et sa tante (Marine Le Pen) s’est au tour de la figure montante du FN, Marion Maréchal-Le Pen, de s’afficher au côté de militants radicaux d’extrême droite. Skinheads néo-nazis, membres de groupuscules violents, les fréquentations de l’élue du Vaucluse paraissent peu compatibles avec les valeurs républicaines que son parti prétend vouloir défendre. Plutôt que de traiter ses collègues députés de « fascistes » elle ferait peut-être mieux de balayer devant sa propre porte et surtout devant celle de son propre parti. Retour sur quarante ans de liaisons ininterrompues entre le Front national et les organisations d’extrême droite les plus radicales de France et d’Europe à travers cinq clichés.
1- Jean- Marie Le Pen, le grand-père et fondateur du parti, au coté du fondateur du GUD, Alain Robert (à gauche) et de l’ancien collaborationniste Roland Gaucher (au centre)
676564_france-politique-le-pen
Sur l’image ci-dessus, qui date d’un meeting de décembre 1977, on peut apercevoir l’actuel président d’honneur du FN, Jean-Marie Le Pen en pleine discussion avec Alain Robert, fondateur du Groupe union défense (GUD), syndicat étudiant particulièrement violent. En effet, dès son origine le Front national est marqué par ses liens avec l’extrême droite la plus dure. On trouve par exemple parmi ses fondateurs les anciens collaborationnistes Roland Gaucher (responsable des jeunesses nationales populaires entre 1942 et 1944, lui aussi sur l’image) et Léon Gaultier (combattant de la Waffen-SS durant la Seconde Guerre mondiale).
2- Marine Le Pen, la fille et actuelle présidente du parti, au coté de l’ancien Waffen SS, Franz Schönhuber
h-20-2430703-1299779108
Il est impossible de dater ou de préciser les circonstances dans lesquelles a été prise cette photo. Cependant, ce qui est certain, c’est que l’ancien militant des jeunesses hitlériennes et combattant SS, Franz Schönhuber, a été un proche de la famille Le Pen. Il a siégé à l’Assemblée européenne dans le même groupe que l’actuel président d’honneur du parti et a même écrit sa biographie. Il n’est donc pas curieux de le retrouver au coté de Marine Le Pen sur cette photo.
3- Marine Le Pen, la fille et actuelle présidente du parti, entourée de deux militants néo-nazis
mlp
Cette photographie date de 2006. On y voit la présidente du Front national, Marine Le Pen, entourée de deux militants néonazis de la région lyonnaise. Le premier (à gauche) arbore fièrement un t-shirt sur lequel le sigle du parti hitlérien NSDAP apparait, le second (à droite) porte un autre t-shirt dont le logo est composé d’une tête de mort et d’une croix gammée…
4- Marine Le Pen, la fille et actuelle présidente du parti, lors d’un bal organisé par des nostalgiques du IIIe Reich à Vienne
892201
Début 2012, ce cliché a fait le tour d’internet. On y aperçoit Marine Le Pen et son compagnon, Louis Aliot (vice-président du FN), lors d’un bal organisé par des organisations d’extrême droite autrichiennes. A l’époque en campagne présidentielle et en pleine tentative de dédiabolisation de son parti, la présidente du Front national n’hésite cependant pas à traverser l’Europe pour aller se trémousser au coté de nostalgiques du IIIème Reich (partis nationalistes autrichiens, corporations interdites aux juifs…).
5- Marion Maréchal-Le Pen, la petite-fille et actuelle députée du parti
PHOda879bc2-a27c-11e2-b279-5b8cebaf6336-805x453
C’est le Point1, qui dans son édition du jour, publie cette photo. Elle date de la fin 2012, lors de la soirée du 40ème anniversaire du Front national. On y aperçoit au centre, la députée FN Marion Maréchal-Le Pen entourée de membres de groupes radicaux d’extrême droite comme le leader du GUD Edouard Klein (accroupi sur la droite) ou encore une figure du mouvement skinhead Baptiste Coquelle (au centre de l’image et portant un casque SS sur l’image en médaillon)2.
La tentative de dédiabolisation du Front national a échoué. Les exclusions médiatiques de militants radicaux n’ont en rien changé la nature même de ce qu’est ce parti. Un parti d’extrême droite, antirépublicain et profondément antisocial. Ces images en attestent, le FN est depuis sa création lié aux organisations les plus dures de France et d’Europe. L’arrivée de Marine Le Pen à la tête du parti n’a rien changé à cela. Il est temps que le traitement de faveur réservé qui lui réserve certains médias cesse et que le véritable visage du FN soit dévoilé sur la scène publique.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32730
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Sujets similaires
» Après la destruction de la croix du pic Saint-Loup, des jeunes érigent une croix provisoire
» La croix du Christ
» Des croix gammées à l'envers sur un commerce halal ravagé par le feu
» Aprés le burkini le CROIX-KINI
» EXTREME DROITE . Des croix gammées fleurissent !!
» La croix du Christ
» Des croix gammées à l'envers sur un commerce halal ravagé par le feu
» Aprés le burkini le CROIX-KINI
» EXTREME DROITE . Des croix gammées fleurissent !!
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum