Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
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Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république, aujourd'hui institution politique à dimension quasi-planétaire, est d'essence SATANIQUE
3 septembre 1792: L’effroyable dépeçage de la princesse de Lamballe par les égorgeurs sans-culottes
Non seulement sa tête est promenée dans Paris sur une pique, mais son sexe sert de moustache à un de ses bourreaux.
Sur les 8 heures du matin, le 3 septembre 1792, deux gardes nationaux pénètrent dans la chambre de la princesse de Lamballe à la prison de la Force. Sans égard pour son air défait, ils lui intiment l’ordre de les suivre pour être transférée à la prison de l’Abbaye. Arrêtée le 10 août précédent aux Tuileries avec le couple royal, la surintendante de Marie-Antoinette a une mine de déterrée. Elle n’a pas dormi de la nuit.
Elle a rêvé que Marat l’égorgeait sur un monceau de cadavres avant de lui dévorer le coeur. Elle ne veut pas quitter sa cellule. Les rumeurs des massacres opérés depuis la veille dans les prisons parisiennes sont parvenues jusqu’à elle. Toute la nuit, elle a entendu les cris, les hurlements, les roulements de tambours, les injures et les râles. La tuerie aurait été provoquée par la folle rumeur d’un complot aristocratique. Il se murmure que des royalistes auraient planqué des armes dans les prisons pour fomenter une contre-révolution. Le peuple mené par de sanguinaires sans-culottes égorge des centaines de nobles, mais aussi de prêtres, de femmes et d’enfants. Ils sont éventrés, démembrés, hachés, piétinés, désossés et même bouffés ! Ce matin-là, le soleil hésite à se lever, répugnant à illuminer un Paris rougi par les massacres…
Les détenus égorgés à la chaîne
Les deux gardes nationaux se sont retirés pour aller chercher des ordres. Pendant ce temps, la foule rassemblée autour de la prison commence à scander le nom de Lamballe pour réclamer sa mort. Celle-ci tombe évanouie. Sa femme de chambre, qui n’a pas voulu la quitter, la fait revenir à elle. Elle délire. Vers 11 heures, la porte s’ouvre avec fracas, poussée par les deux mêmes gardes nationaux qui lui ordonnent de venir à l’instant parler à des commissaires de la commune l’attendant au greffe. Le temps de passer une robe blanche toute simple et d’enfermer sa magnifique chevelure blonde dans un bonnet de coton, elle les suit. Comme elle hésite encore, ils l’empoignent sans ménagement par le bras.
Dans le greffe, plusieurs sinistres membres du comité de surveillance de la Commune du 10 août, ceints de leur écharpe, jugent les détenus à la chaîne. Aussitôt condamnés à mort, ils sont égorgés par des hommes couverts de sang. Voilà qui plaît à Manuel Valls… À la vue des cadavres et du sang, la princesse de Lamballe s’évanouit de nouveau. Sa femme de chambre la relève. Les menaces reprennent de plus belle. Elle perd de nouveau connaissance. Elle se tord sur le sol. Enfin, la voilà en état de répondre.
« Si vous ne jurez pas, vous êtes morte »
Un juge brandit trois lettres qui ont été trouvées dans son bonnet, dont une de Marie-Antoinette. L’interrogatoire débute :
– Qui êtes-vous ?
– Marie-Louise, princesse de Savoie.
– Votre qualité ?
– Surintendante de la maison de la reine.
– Aviez-vous connaissance des complots de la cour au 10 août ?
– Je ne sais pas s’il y avait des complots au 10 août, mais je sais que je n’en avais aucune connaissance.
– Jurez la liberté, l’égalité, la haine du roi, de la reine et de la royauté.
– Je jurerai facilement les deux premiers, je ne puis jurer le dernier, il n’est pas dans mon coeur.
Entendant cette réponse, un ancien valet de chambre de la princesse mêlée à la foule se penche vers elle. « Jurez donc, si vous ne jurez pas, vous êtes morte. » La princesse se tait. Alors, le juge prononce la phrase : « Qu’on élargisse madame. »
« Je suis perdue »
Comment faut-il interpréter cet ordre ? Certains le prennent au premier degré : le tribunal fait relâcher la princesse. Celle-ci sort donc par le guichet. Voyant les cadavres des détenus assassinés, elle aurait été prise d’un malaise. D’où la méprise des tueurs, qui, la croyant déjà frappée, abattent leurs armes sur elle. Pour d’autres, la phrase du juge est un code arrêté avec les tueurs pour les appeler à frapper. Madame de Lamballe sort donc dans la cour de la prison. Quelqu’un lui recommande de crier « vive la nation ». Mais la vue des cadavres lui fait dire : » Fi ! L’horreur ! » Elle ajoute : « Je suis perdue. » Aussitôt, un garçon perruquier ivre tente de lui enlever sa perruque à la pointe de son sabre. Il fend le front de la malheureuse, qui s’effondre en sang. Deux hommes grimaçant de haine la saisissent sous les bras pour l’obliger à marcher sur les cadavres. Elle est au bord de la syncope. Dans la foule, des voix crient » grâce, grâce ! ». Les assassins hésitent quelques secondes, mais un certain Charlat, tambour de son état, lui porte un terrible coup de bûche à la tête qui l’étend raide. De multiples coups de pique l’achèvent.
Le nègre Delorme, ramené de Saint-Domingue par Fournier l’Américain, s’empare du cadavre pour le déshabiller et éponger le sang afin d’en faire admirer la blancheur aristocratique. Ses gros doigts violent la morte. Il est hilare. La foule s’époumone. Les yeux brillent d’une fureur incontrôlable, les gorges hurlent des insanités, les bras dessinent des obscénités. Un garçon boucher nommé Allaigre s’empare de la tête de la princesse, qu’il sectionne adroitement avec un long couteau de boucher. C’est atroce. L’homme s’enfuit avec son butin sous le bras, bientôt il plantera la tête sur une pique. Pendant ce temps, on continue de profaner le corps dénudé de la princesse. On lui découpe les seins. Le même Charlat déchire les entrailles et arrache le coeur. Plus horrible, un inconnu découpe le sexe, qu’il porte à sa bouche pour en faire une moustache. Certains rapportent des scènes d’anthropophagie.
Insulter le couple royal
Pendant ce temps, la troupe qui s’est emparée de la tête et du coeur entreprend une tournée de Paris pour montrer son trophée. Premier arrêt chez un marchand de vin, rue du cul-de-sac des Prêtres. Les égorgeurs déposent madame de Lamballe sur le comptoir pendant qu’ils vident des pichets de vin. Après avoir obligé le tenancier à boire, la troupe repart. Deuxième arrêt chez un perruquier pour qu’il « accommode la tête de madame de Lamballe ». Menacé de mort, il lui faut obéir. Il lave la longue chevelure blonde collée par le sang, la tresse et la poudre. « Au moins, maintenant, Antoinette peut la reconnaître », lance malicieusement quelqu’un.
Le cortège prend la direction de l’abbaye de Saint-Antoine pour présenter la tête et le coeur à l’abbesse, ancienne amie de la princesse. Cette politesse effectuée, Charlat, qui tient toujours la pique, prend la direction de l’hôtel de Toulouse, demeure de la princesse, pour « faire baiser à cette… ses beaux meubles », mais il y renonce pour se rendre aux Tuileries. Comme on ne les laisse pas entrer avec leur sanglant trophée, ils font demi-tour. C’est alors que surgit l’idée de se rendre à la prison du Temple pour insulter et effrayer le couple royal.
La tête récupérée par un proche
Trois heures viennent de sonner. Sortant de table, Louis XVI et Marie-Antoinette entendent une rumeur enfler. Des tambours battent. Bientôt le cortège est sous leur fenêtre. Des hurlements. Que se passe-t-il ? Un garde municipal, qui découvre le spectacle hideux, referme aussitôt les fenêtres et les rideaux pour épargner le couple royal. L’agitation s’accroît dans la rue. On prend peur. Plusieurs officiers accourent dans la pièce en demandant au Roi de se montrer à la fenêtre pour calmer la foule. Louis XVI exige de savoir ce qui se passe. Un jeune officier répond : « Eh bien, Monsieur, puisque vous voulez le savoir, c’est la tête de madame de Lamballe qu’on veut vous montrer. » Ces mots glacent d’horreur la reine, qui s’évanouit. Ses enfants fondent en larmes. Dehors, les cris se font plus menaçants. On injurie la reine. Les gardes municipaux empêchent l’horrible cortège de pénétrer dans la prison du Temple en plaquant un ruban tricolore sur la porte d’entrée. Colère des tueurs. Finalement, on négocie. Les assassins de la princesse sont autorisés à faire le tour de la tour du Temple, où loge la famille du Roi.
La balade n’est pas achevée. Madame de Lamballe va maintenant se promener sous les fenêtres du Palais-Royal pour saluer le duc d’Orléans, son beau-frère, qui déjeune. Il en perd l’appétit. Direction les Halles, où un boucher s’empare du coeur, le hache et offre à la foule de le manger. Le steak tartare ne faisant pas encore partie de la gastronomie française, tout le monde refuse. Les chiens se régalent. Enfin, la tête et même le corps que les barbares traînaient avec eux sont jetés sur un tas de cadavres devant le Châtelet. Un proche de la famille de Lamballe, qui avait suivi les assassins toute la journée, parvient à récupérer la tête pour la remettre à monsieur le duc de Penthièvre, beau-père de la princesse de Lamballe, qui la fait enterrer à Vernon.
Et c’est cette république qui veut donner des leçons d’humanité…
Source : http://louis-xvi.over-blog.net/2016/09/03-septembre-1792-l-effroyable-depecage-de-la-princesse-de-lamballe-par-les-egorgeurs-sans-culottes.html?utm_source=_ob_share&utm_medium=_ob_twitter&utm_campaign=_ob_share_auto
3 septembre 1792: L’effroyable dépeçage de la princesse de Lamballe par les égorgeurs sans-culottes
Non seulement sa tête est promenée dans Paris sur une pique, mais son sexe sert de moustache à un de ses bourreaux.
Sur les 8 heures du matin, le 3 septembre 1792, deux gardes nationaux pénètrent dans la chambre de la princesse de Lamballe à la prison de la Force. Sans égard pour son air défait, ils lui intiment l’ordre de les suivre pour être transférée à la prison de l’Abbaye. Arrêtée le 10 août précédent aux Tuileries avec le couple royal, la surintendante de Marie-Antoinette a une mine de déterrée. Elle n’a pas dormi de la nuit.
Elle a rêvé que Marat l’égorgeait sur un monceau de cadavres avant de lui dévorer le coeur. Elle ne veut pas quitter sa cellule. Les rumeurs des massacres opérés depuis la veille dans les prisons parisiennes sont parvenues jusqu’à elle. Toute la nuit, elle a entendu les cris, les hurlements, les roulements de tambours, les injures et les râles. La tuerie aurait été provoquée par la folle rumeur d’un complot aristocratique. Il se murmure que des royalistes auraient planqué des armes dans les prisons pour fomenter une contre-révolution. Le peuple mené par de sanguinaires sans-culottes égorge des centaines de nobles, mais aussi de prêtres, de femmes et d’enfants. Ils sont éventrés, démembrés, hachés, piétinés, désossés et même bouffés ! Ce matin-là, le soleil hésite à se lever, répugnant à illuminer un Paris rougi par les massacres…
Les détenus égorgés à la chaîne
Les deux gardes nationaux se sont retirés pour aller chercher des ordres. Pendant ce temps, la foule rassemblée autour de la prison commence à scander le nom de Lamballe pour réclamer sa mort. Celle-ci tombe évanouie. Sa femme de chambre, qui n’a pas voulu la quitter, la fait revenir à elle. Elle délire. Vers 11 heures, la porte s’ouvre avec fracas, poussée par les deux mêmes gardes nationaux qui lui ordonnent de venir à l’instant parler à des commissaires de la commune l’attendant au greffe. Le temps de passer une robe blanche toute simple et d’enfermer sa magnifique chevelure blonde dans un bonnet de coton, elle les suit. Comme elle hésite encore, ils l’empoignent sans ménagement par le bras.
Dans le greffe, plusieurs sinistres membres du comité de surveillance de la Commune du 10 août, ceints de leur écharpe, jugent les détenus à la chaîne. Aussitôt condamnés à mort, ils sont égorgés par des hommes couverts de sang. Voilà qui plaît à Manuel Valls… À la vue des cadavres et du sang, la princesse de Lamballe s’évanouit de nouveau. Sa femme de chambre la relève. Les menaces reprennent de plus belle. Elle perd de nouveau connaissance. Elle se tord sur le sol. Enfin, la voilà en état de répondre.
« Si vous ne jurez pas, vous êtes morte »
Un juge brandit trois lettres qui ont été trouvées dans son bonnet, dont une de Marie-Antoinette. L’interrogatoire débute :
– Qui êtes-vous ?
– Marie-Louise, princesse de Savoie.
– Votre qualité ?
– Surintendante de la maison de la reine.
– Aviez-vous connaissance des complots de la cour au 10 août ?
– Je ne sais pas s’il y avait des complots au 10 août, mais je sais que je n’en avais aucune connaissance.
– Jurez la liberté, l’égalité, la haine du roi, de la reine et de la royauté.
– Je jurerai facilement les deux premiers, je ne puis jurer le dernier, il n’est pas dans mon coeur.
Entendant cette réponse, un ancien valet de chambre de la princesse mêlée à la foule se penche vers elle. « Jurez donc, si vous ne jurez pas, vous êtes morte. » La princesse se tait. Alors, le juge prononce la phrase : « Qu’on élargisse madame. »
« Je suis perdue »
Comment faut-il interpréter cet ordre ? Certains le prennent au premier degré : le tribunal fait relâcher la princesse. Celle-ci sort donc par le guichet. Voyant les cadavres des détenus assassinés, elle aurait été prise d’un malaise. D’où la méprise des tueurs, qui, la croyant déjà frappée, abattent leurs armes sur elle. Pour d’autres, la phrase du juge est un code arrêté avec les tueurs pour les appeler à frapper. Madame de Lamballe sort donc dans la cour de la prison. Quelqu’un lui recommande de crier « vive la nation ». Mais la vue des cadavres lui fait dire : » Fi ! L’horreur ! » Elle ajoute : « Je suis perdue. » Aussitôt, un garçon perruquier ivre tente de lui enlever sa perruque à la pointe de son sabre. Il fend le front de la malheureuse, qui s’effondre en sang. Deux hommes grimaçant de haine la saisissent sous les bras pour l’obliger à marcher sur les cadavres. Elle est au bord de la syncope. Dans la foule, des voix crient » grâce, grâce ! ». Les assassins hésitent quelques secondes, mais un certain Charlat, tambour de son état, lui porte un terrible coup de bûche à la tête qui l’étend raide. De multiples coups de pique l’achèvent.
Le nègre Delorme, ramené de Saint-Domingue par Fournier l’Américain, s’empare du cadavre pour le déshabiller et éponger le sang afin d’en faire admirer la blancheur aristocratique. Ses gros doigts violent la morte. Il est hilare. La foule s’époumone. Les yeux brillent d’une fureur incontrôlable, les gorges hurlent des insanités, les bras dessinent des obscénités. Un garçon boucher nommé Allaigre s’empare de la tête de la princesse, qu’il sectionne adroitement avec un long couteau de boucher. C’est atroce. L’homme s’enfuit avec son butin sous le bras, bientôt il plantera la tête sur une pique. Pendant ce temps, on continue de profaner le corps dénudé de la princesse. On lui découpe les seins. Le même Charlat déchire les entrailles et arrache le coeur. Plus horrible, un inconnu découpe le sexe, qu’il porte à sa bouche pour en faire une moustache. Certains rapportent des scènes d’anthropophagie.
Insulter le couple royal
Pendant ce temps, la troupe qui s’est emparée de la tête et du coeur entreprend une tournée de Paris pour montrer son trophée. Premier arrêt chez un marchand de vin, rue du cul-de-sac des Prêtres. Les égorgeurs déposent madame de Lamballe sur le comptoir pendant qu’ils vident des pichets de vin. Après avoir obligé le tenancier à boire, la troupe repart. Deuxième arrêt chez un perruquier pour qu’il « accommode la tête de madame de Lamballe ». Menacé de mort, il lui faut obéir. Il lave la longue chevelure blonde collée par le sang, la tresse et la poudre. « Au moins, maintenant, Antoinette peut la reconnaître », lance malicieusement quelqu’un.
Le cortège prend la direction de l’abbaye de Saint-Antoine pour présenter la tête et le coeur à l’abbesse, ancienne amie de la princesse. Cette politesse effectuée, Charlat, qui tient toujours la pique, prend la direction de l’hôtel de Toulouse, demeure de la princesse, pour « faire baiser à cette… ses beaux meubles », mais il y renonce pour se rendre aux Tuileries. Comme on ne les laisse pas entrer avec leur sanglant trophée, ils font demi-tour. C’est alors que surgit l’idée de se rendre à la prison du Temple pour insulter et effrayer le couple royal.
La tête récupérée par un proche
Trois heures viennent de sonner. Sortant de table, Louis XVI et Marie-Antoinette entendent une rumeur enfler. Des tambours battent. Bientôt le cortège est sous leur fenêtre. Des hurlements. Que se passe-t-il ? Un garde municipal, qui découvre le spectacle hideux, referme aussitôt les fenêtres et les rideaux pour épargner le couple royal. L’agitation s’accroît dans la rue. On prend peur. Plusieurs officiers accourent dans la pièce en demandant au Roi de se montrer à la fenêtre pour calmer la foule. Louis XVI exige de savoir ce qui se passe. Un jeune officier répond : « Eh bien, Monsieur, puisque vous voulez le savoir, c’est la tête de madame de Lamballe qu’on veut vous montrer. » Ces mots glacent d’horreur la reine, qui s’évanouit. Ses enfants fondent en larmes. Dehors, les cris se font plus menaçants. On injurie la reine. Les gardes municipaux empêchent l’horrible cortège de pénétrer dans la prison du Temple en plaquant un ruban tricolore sur la porte d’entrée. Colère des tueurs. Finalement, on négocie. Les assassins de la princesse sont autorisés à faire le tour de la tour du Temple, où loge la famille du Roi.
La balade n’est pas achevée. Madame de Lamballe va maintenant se promener sous les fenêtres du Palais-Royal pour saluer le duc d’Orléans, son beau-frère, qui déjeune. Il en perd l’appétit. Direction les Halles, où un boucher s’empare du coeur, le hache et offre à la foule de le manger. Le steak tartare ne faisant pas encore partie de la gastronomie française, tout le monde refuse. Les chiens se régalent. Enfin, la tête et même le corps que les barbares traînaient avec eux sont jetés sur un tas de cadavres devant le Châtelet. Un proche de la famille de Lamballe, qui avait suivi les assassins toute la journée, parvient à récupérer la tête pour la remettre à monsieur le duc de Penthièvre, beau-père de la princesse de Lamballe, qui la fait enterrer à Vernon.
Et c’est cette république qui veut donner des leçons d’humanité…
Source : http://louis-xvi.over-blog.net/2016/09/03-septembre-1792-l-effroyable-depecage-de-la-princesse-de-lamballe-par-les-egorgeurs-sans-culottes.html?utm_source=_ob_share&utm_medium=_ob_twitter&utm_campaign=_ob_share_auto
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
- Messages : 14241
Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
Prince a écrit:
Et c’est cette république qui veut donner des leçons d’humanité…
Voyons on en est à la 5ème république on s'est quand même améliorés depuis !
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
j'avoue
- Attention:
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
- Messages : 14241
Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
avec interdit d'interdire , et en même temps des zones interdites à la république !Monsieur Trololo a écrit:Prince a écrit:
Et c’est cette république qui veut donner des leçons d’humanité…
Voyons on en est à la 5ème république on s'est quand même améliorés depuis !
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
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Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
Prince a écrit:j'avoue
- Attention:
N'empêche que c'est vous qui avez commençé la colonisation de l'Algérie, et pas de façon très sympa.
Monsieur Trololo- Vénérable
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Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
L'Afrique du nord, terre originelle des Berbères, a été colonisée par les Arabes, puis par les Turcs.
Les Français ont lancé l'expédition d'Alger afin de réduire à néant les barbaresques, ces pirates sanguinaires qui pillaient, massacraient et déportaient les populations en esclavage.
Ce faisant ils ont créé un pays qui n'avait jamais existé avant eux, un pays dont même le nom a été créé par eux : l'Algérie.
Les Français ont lancé l'expédition d'Alger afin de réduire à néant les barbaresques, ces pirates sanguinaires qui pillaient, massacraient et déportaient les populations en esclavage.
Ce faisant ils ont créé un pays qui n'avait jamais existé avant eux, un pays dont même le nom a été créé par eux : l'Algérie.
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
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Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
une révolution; c est pas une partie de plaisir, il y a des morts
mais les crimes de la noblesse , envers les paysans ??
la noblesse paye ses crimes envers le peuple
combien de jacquerie écrasé dans le sang
pour moi, c est match nul
mais les crimes de la noblesse , envers les paysans ??
la noblesse paye ses crimes envers le peuple
combien de jacquerie écrasé dans le sang
pour moi, c est match nul
lambertini- Chef
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Date d'inscription : 20/10/2012
Localisation : normandie
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
on ne vas pas pleuré sur des nobles, bien nourris
bien éduquer qui vivaient sur la populace
vive la république
bien éduquer qui vivaient sur la populace
vive la république
lambertini- Chef
- Messages : 1121
Date d'inscription : 20/10/2012
Localisation : normandie
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
Pure propagande républicaine.
A votre avis, pourquoi les paysans vendéens sont-ils allé chercher les nobles pour aller se battre contre les révolutionnaires ?
A votre avis, pourquoi les paysans vendéens sont-ils allé chercher les nobles pour aller se battre contre les révolutionnaires ?
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
- Messages : 14241
Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
propagande franc maçon !lambertini a écrit:on ne vas pas pleuré sur des nobles, bien nourris
bien éduquer qui vivaient sur la populace
vive la république
Frère Barnabé- Vénérable
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Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
Prince a écrit:L'Afrique du nord, terre originelle des Berbères, a été colonisée par les Arabes, puis par les Turcs.
Les Français ont lancé l'expédition d'Alger afin de réduire à néant les barbaresques, ces pirates sanguinaires qui pillaient, massacraient et déportaient les populations en esclavage.
Ce faisant ils ont créé un pays qui n'avait jamais existé avant eux, un pays dont même le nom a été créé par eux : l'Algérie.
C'est la république qui aboli l'esclavage en 1848 !
Ni Louis XVIII, ni Charles X, ni Louis-Phillipe ne l'ont aboli !
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
source LE POINT
Jules Ferry, un athée qui se croyait de "race supérieure"
"Il faut dire ouvertement qu'en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. (...) Il y a pour les races supérieures un droit, parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures." Dans ce même discours, il dénonce "la traite des nègres", mais n'éprouve aucun scrupule à piller leurs richesses territoriales en échange de la transmission de "notre civilisation"
Jules Ferry, un athée qui se croyait de "race supérieure"
"Il faut dire ouvertement qu'en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. (...) Il y a pour les races supérieures un droit, parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures." Dans ce même discours, il dénonce "la traite des nègres", mais n'éprouve aucun scrupule à piller leurs richesses territoriales en échange de la transmission de "notre civilisation"
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
aPOTRE a écrit:source LE POINT
Jules Ferry, un athée qui se croyait de "race supérieure"
"Il faut dire ouvertement qu'en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. (...) Il y a pour les races supérieures un droit, parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures." Dans ce même discours, il dénonce "la traite des nègres", mais n'éprouve aucun scrupule à piller leurs richesses territoriales en échange de la transmission de "notre civilisation"
Jules ferry n'est pas une référence pour moi, je lui préfère Clémenceau.
Clémenceau a écrit:Que les Noirs aient bientôt le droit de vote, du moment que l’esclavage est aboli, cela ne fait de doute pour personne. Cela doit être et cela sera
...
L’occasion est unique, en effet, pour régler cette question tant controversée de la couleur et de faire disparaître à jamais les derniers vestiges de l’esclavage. Égalité absolue de tous les citoyens, sans exception, devant la loi
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
Concernant les Colonnes infernales, les plus fervents républicains ont tous considéré ça comme un fiasco.
Concernant 70% de la justice expéditive durnat la guerre ----> Etat de siège. Pas de pitié pour les ennemis de la France et encore on a été généreux, on a laissé la noblesse organiser des bals où été invité tout un tas de ocmploteurs et conspirateurs.
Concernant le Tribunal révolutionnaire :
C'était ça ou des massacres comem celui de septembre tous les mois.
Concernant les atrocités mené par Fouché et tout un tas de gas que Robespierre voulais faire passer sur l'echafaud pour leur excès de zèle et pratiques barbares.
Louis XVIII s'est servi d'eux pour sa terreur Blanche !
Les pires crimes dont personne ne parle jamais sont ceux qui ont eu lieu sous le directoire !
On les tait car l'histoire est écrite par les vainqueurs.
Les crimes du comité de Salut publique dépassent de loin ceux de la sûreté générale.
Lisez à propos de l’insurrection du 12 germinal an III, et sa répression sanglante.
Concernant 70% de la justice expéditive durnat la guerre ----> Etat de siège. Pas de pitié pour les ennemis de la France et encore on a été généreux, on a laissé la noblesse organiser des bals où été invité tout un tas de ocmploteurs et conspirateurs.
Concernant le Tribunal révolutionnaire :
C'était ça ou des massacres comem celui de septembre tous les mois.
Concernant les atrocités mené par Fouché et tout un tas de gas que Robespierre voulais faire passer sur l'echafaud pour leur excès de zèle et pratiques barbares.
Louis XVIII s'est servi d'eux pour sa terreur Blanche !
Les pires crimes dont personne ne parle jamais sont ceux qui ont eu lieu sous le directoire !
On les tait car l'histoire est écrite par les vainqueurs.
Les crimes du comité de Salut publique dépassent de loin ceux de la sûreté générale.
Lisez à propos de l’insurrection du 12 germinal an III, et sa répression sanglante.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
Monsieur Trololo a écrit:
C'est la république qui aboli l'esclavage en 1848 !
Ni Louis XVIII, ni Charles X, ni Louis-Phillipe ne l'ont aboli !
La première puissance à avoir condamné l'esclavage c'est l'église, des siècles avant la déclaration hypocrite de la république.
Hypocrite car il n'y a jamais eu d'esclaves en France sous les rois, alors que la république a plongé des millions de Français dans l'esclavage infernal des mines et des usines.
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
- Messages : 14241
Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
une bonne purge, était indispensable , les nobles vivaient en parasites sur le dos du peuple
le roi, la cour , se gaver , quand le peuple criait famine
les nobles on payer leurs mépris , et leurs arrogances
je seul regret , c est que la révolution, na pas été assez loin
dans la recherche de ses criminels
le roi, la cour , se gaver , quand le peuple criait famine
les nobles on payer leurs mépris , et leurs arrogances
je seul regret , c est que la révolution, na pas été assez loin
dans la recherche de ses criminels
lambertini- Chef
- Messages : 1121
Date d'inscription : 20/10/2012
Localisation : normandie
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
vous avez le cerveau lavé par la propagande, en réalité vous ne connaissez rien de cette époque.
La république a saigné les populations comme jamais, sous la Terreur elle a fait plus de victimes parmi elles que parmi les nobles.
Vous n'avez toujours pas répondu à ma question : comment se fait-il selon vous que les paysans aient pris les armes contre la révolution ? (laquelle les a exterminé de la façon la plus effroyable).
La république a saigné les populations comme jamais, sous la Terreur elle a fait plus de victimes parmi elles que parmi les nobles.
Vous n'avez toujours pas répondu à ma question : comment se fait-il selon vous que les paysans aient pris les armes contre la révolution ? (laquelle les a exterminé de la façon la plus effroyable).
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
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Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
Prince a écrit:
La première puissance à avoir condamné l'esclavage c'est l'église, des siècles avant la déclaration hypocrite de la république..
Tout à fait, l'Eglise à condamné l'esclavage, mais la monarchie française ne l'a pas condamné l'esclavage. Preuve supplémentaire que l'Eglise n'a rien à faire avec la monarchie !
Prince a écrit:
Hypocrite car il n'y a jamais eu d'esclaves en France sous les rois, alors que la république a plongé des millions de Français dans l'esclavage infernal des mines et des usines.
Et Louis XVIII, Charles X, et Louis-Phillipe n'y étaient pas étrangers à l'esclavage des mines et des usines ! Car c'est bien sous leurs règnes qu'il a prospéré !
Monsieur Trololo- Vénérable
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Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
Prince a écrit:vous avez le cerveau lavé par la propagande, en réalité vous ne connaissez rien de cette époque.
La république a saigné les populations comme jamais, sous la Terreur elle a fait plus de victimes parmi elles que parmi les nobles.
Vous n'avez toujours pas répondu à ma question : comment se fait-il selon vous que les paysans aient pris les armes contre la révolution ? (laquelle les a exterminé de la façon la plus effroyable).
les paysans ont été manipulé par l église, c est les curés qui ont fermenté la révolte
des paysans
les nobles au abois, ont pris la tète de la révolte
pour sauver leurs privilèges
le duo noblesse , et église , a été fatal aux paysans
lambertini- Chef
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Localisation : normandie
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
répondez a ma question , les nobles se gavés a la cour, fêtes en tout genre, et démesure
alors que les paysans subissaient la misère, voir la famine
(il y a des tas de liens sur la misère des villes et des paysans, sous la
dictature du roi )
alors que les paysans subissaient la misère, voir la famine
(il y a des tas de liens sur la misère des villes et des paysans, sous la
dictature du roi )
lambertini- Chef
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Date d'inscription : 20/10/2012
Localisation : normandie
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
c est une bonne chose que l histoire a balayer ses parasites, qui doivent maintenant travailler pour vivre
lambertini- Chef
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Date d'inscription : 20/10/2012
Localisation : normandie
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
lambertini a écrit:
les paysans ont été manipulé par l église, c est les curés qui ont fermenté la révolte
des paysans
les nobles au abois, ont pris la tète de la révolte
pour sauver leurs privilèges
le duo noblesse , et église , a été fatal aux paysans
Loin de moi l'idée de défendre la monarchie, mais la révolte des paysans vendéens et bretons étaient légitime, pourquoi devait-ils subir une conscription pour une guerre de conquête qui n'était pas la leur, et qui aurait du être Stoppée !
Les paysans vendéens et bretons ce sont revoltés contre la conscription et la guerre, mais certainement pas pour ramener l'ancien régime !
@Prince
Si comme vous je condamne ces guerres de conquête de la première République puis de l'empereur, si comme vous je condamne la terreur, je suis au regret de constater que vous les monarchistes avez eu 2 magnifiques chances de revenir et de faire mieux mais vous avez été incapables de faire mieux vous avez été lamentables et le peuple vous a à nouveau chassé !
En 1830 le peuple a chassé Charles X ! La Fayette vous a rattrappé le coup,mais Louis-Philippe n'a pas suivi ses conseils et est reparti dans les même travers que ses prédécesseurs, et le peuple de nouveau à chassé la monarchie en 1848 !
On peut vous accorder 1789, mais pas 1830 ni 1848 !
Monsieur Trololo- Vénérable
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Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
Il n'y a que moi qui ait les mots pour clore le débat.
Bien que Dumas& autre aient déplorée les colonnes infernales, qui touchaient toute la population indépendamment de leur convictions politiques.
Bachelier dira :
Ceci dit je maintient que la répression devait avoir lieu !
Des pégus excités par un des prêtres ultramontains, donc des agents du Vatican ennemi de la France, et armés par les anglais....
On Notera que certains excités comme Charette relanceront la guerre après qu'une paix fut signé et que les chouans eu aquis partiellement gain de cause !
Bien que Dumas& autre aient déplorée les colonnes infernales, qui touchaient toute la population indépendamment de leur convictions politiques.
Bachelier dira :
Nous étions tous enfiévrés, nous croyons que quand on agit pour le peuple, rien ne peut-être mal, erreur ou crime.
Ceci dit je maintient que la répression devait avoir lieu !
Des pégus excités par un des prêtres ultramontains, donc des agents du Vatican ennemi de la France, et armés par les anglais....
On Notera que certains excités comme Charette relanceront la guerre après qu'une paix fut signé et que les chouans eu aquis partiellement gain de cause !
Plaristes Evariste- Vénérable
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Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
Plaristes a écrit:
Ceci dit je maintient que la répression devait avoir lieu !
Non Plaristes, les paysans se sont soulevés contre cette guerre illégitime contre la Prusse et l'Autriche décrétée par les bourgeois de la convention, ils ont refusé d'aller servir de chair à canon dans une guerre de conquête et à leur place j'aurais fait pareil !
Le reste n'est que prétexte pour la repression !
Monsieur Trololo- Vénérable
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Re: Souvenons-nous de ses crimes, souvenons-nous que la république
Ça ne les a pas empêché à ces paysans de suivre des gourous qui les ont emmené crever la dalle loins de leur terres !
Plaristes Evariste- Vénérable
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Date d'inscription : 04/06/2020
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