La politique des bas salaires
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Re: La politique des bas salaires
Stun'Eneb a écrit:omega95 a écrit: qu'il y en ait beaucoup qui pratiquent
.
omega95, ferait mieux d'apprendre à écrire en français (de souche), plutôt que de se croire obligé de distribuer des leçons de morale
HA, tiens, "le correcteur d'orthographe", j'en trouve un sur chaque forum...
Le type qui n'a aucun autre argument que : "t'écris pas bien la langue de Molière, donc t'as tord..."
Enchanté...
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Jean-Louis de Toqueville aime ce message
Re: La politique des bas salaires
Apprenez à écrire le français avant de faire la morale à vos petits camarades sur leur orthographeStun'Eneb a écrit:Toutes catégories confondues, le nombre de privés d’emploi s’établit
à plus de 6 millions, en France.
Ces chiffres révèlent la forte augmentation de la précarité en France sur l’année écoulée.
Un rapport d’Oxfam démontre qu’un million de personnes serait passé sous le seuil de pauvreté en 2020, en France.
Bon 1 million, ce n'est peut être pas encore assez, pour vous, pour accorder le verbe....
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Localisation : Oise
Re: La politique des bas salaires
bin , la politique des lois de travail macron , c'est des CDD ,l'uberisation , bref des petits boulot ,et non pas des grands travaux !vous croyez que les restos du coeur montre des rentiers du chomage???omega95 a écrit:Quand on est un professionnel du chômage en alternant les emplois et les périodes de chômage en fonction des droits acquis, on est un rentier du chômage ! Et il semble qu'il y en at beaucoup qui pratique cette rente puis que l'exécutif actuel veut revoir la copie de l'assurance chômage...aPOTRE a écrit:
l'assurance chomage reservé au chomeur ayant perdu l'emploi , non ???
,ils sont où ces rentiers du chomage???
Ouvrez un peu les yeux...
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: La politique des bas salaires
C'est petit de chez petitStun'Eneb a écrit:omega95 a écrit: qu'il y en ait beaucoup qui pratiquent
.
omega95, ferait mieux d'apprendre à écrire en français (de souche), plutôt que de se croire obligé de distribuer des leçons de morale
ztylo- Sage
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Re: La politique des bas salaires
Postulant a écrit:Quand on est un professionnel du chômage en alternant les emplois et les périodes de chômage en fonction des droits acquis, on est un rentier du chômage ! Et il semble qu'il y en at beaucoup qui pratique cette rente puis que l'exécutif actuel veut revoir la copie de l'assurance chômage...
Ouvrez un peu les yeux...
Vous fumez de la mauvaise herbe. Wep avec Postulant ils sont rentiers de la pauvreté.
Oh je n'avais pas lu en plus vous en rajoutez une couche en étant du côté de l'assurance chômage.
Effectivement bientôt vous allez nous dire qu'ils sont plus riches que les financiers qui eux sont les vrais rentiers
Ryanne- Connaisseur
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Re: La politique des bas salaires
aPOTRE a écrit:
l'assurance chomage reservé au chomeur ayant perdu l'emploi , non ???
,ils sont où ces rentiers du chomage???
Oui, c'est pour te permettre de te relancer sans être de suite en galère
Le pb reste qu'il y a trop de profiteurs professionnels, je ne parle pas des pauvres gens qui ont tjrs bossé 30 ans et qui se retrouvent mis à la porte pour x raisons et qui risquent de galérer à 50 ans et plus, les profiteurs ce sont qui savent jongler avec les aides, comment peut on accepter qu'aujourd'hui des employeurs ne trouvent pas de bras dans des métiers sans grande qualif, c'est inadmissible,
Toi tu as 58 ans, on pourrait comprendre que tu ne trouves pas de travail en admettant que tu en cherches car tu as l'âge et que tout n'est pas éclairé aux étages mais ces jeunes !!!!!!!
ztylo- Sage
- Messages : 4298
Date d'inscription : 15/07/2021
Localisation : occitanie
Re: La politique des bas salaires
ztylo a écrit: les profiteurs ce sont qui savent jongler avec les aides, comment peut on accepter qu'aujourd'hui des employeurs ne trouvent pas de bras dans des métiers sans grande qualif, c'est inadmissible,
Combien sont-ils ceux qui jonglent avec les aides?
Ne trouvent pas de bras ? Je précise : les métiers sans grande qualification cela signifie des emplois souvent à destination des jeunes, donc serveurs, distributeur de journaux, facteurs, ce genre de métiers.
Des bras j'en vois partout pourtant ! Il existe donc bel et bien un manque d'attractivité par le rapport travail/bénéfice.
Un métier moins bien payé n'attirera jamais quelqu'un qu'il soit avec ou sans qualification, cela ne rentre pas en ligne de compte.
MAIS LA DÉSINFORMATION EST PRÉSENTE PARTOUT EN FRANCE : TAPER SUR LE NET ET VOUS OBTENEZ N'iMPORTE QUOI :
COMMERCIAL LA VERSION FICTION :
Les plus
La rémunération est motivante, d'autant plus que des commissions sur les ventes sont généralement versées.
Un commercial itinérant est autonome. C'est à lui de gérer son emploi du temps.
Les moins
Dans certains cas, lorsque le secteur géographique est vaste, il faut prévoir entre 3 et 4 jours d'absence de son domicile. Une situation parfois peu évidente pour ceux qui souhaitent concilier vie professionnelle et vie familiale.
Il passe beaucoup de temps en voiture. Ce temps de route peut toutefois varier, selon le secteur géographique dont il est responsable.
Qualités et compétences nécessaires
Quelles sont les qualités et compétences nécessaires pour être embauché en tant que Commercial ?
Pour réussir dans ce domaine, les qualités essentielles sont la résistance à l'échec notamment pour la prospection ainsi que l’empathie lors des entretiens de négociation. Il doit évidemment connaître parfaitement ses produits et services ainsi que le marché dans lequel il évolue.
Plusieurs formations diplômantes sont possibles en vue de devenir commercial :
Le Bac Pro Commerce
Le Bac Pro Vente
Le BTS MCO (Management Commercial Opérationnel, Ex BTS MUC)
Le BTS NDRC (Négociation et Digitalisation de la relation client)
Il est possible de suivre des cursus beaucoup plus longs afin de faire carrière dans le domaine du commerce : une école de commerce ou une poursuite d’études jusqu’à Bac + 3 voire Bac + 5 afin d’obtenir une licence ou un master professionnel dans le domaine de la vente, du commerce ou du marketing.
Missions
Quelles sont les missions que vous pouvez réaliser en tant que commercial ?
La fonction du commercial dans l'entreprise est de :
Trouver de nouveaux clients : la prospection est un des aspects essentiels du métier de commercial.
Fidéliser ses clients : le commercial dispose d'un fichier de clients avec lesquels il a déjà signé un ou plusieurs contrats. Son but est de renouveler ces accords commerciaux et d'élargir sa clientèle.
Vendre ses produits : le commercial itinérant présente ses produits à ses clients, met en avant les nouveautés, prend les commandes, établit les contrats et négocie les prix avec les clients.
Les accompagner dans leur démarche d'achat : le commercial est avant tout au service du client.
UN SIMPLE BAC ET VOUS GAGNEREZ en moyenne à 50 000 euros brut, dont un tiers à un quart de salaire variable. Cette rémunération moyenne voit de grands écarts entre les débutants et les cadres expérimentés, mais aussi entre les secteurs d’activité et les régions. Si le métier de commercial dépend beaucoup du secteur et de la clientèle à laquelle il faut vendre, le salaire d’un commercial ne cesse d’augmenter, même dans la part fixe.
Le salaire moyen annuel approche donc les 50 000 euros bruts, soit plus de 4?000 euros bruts mensuels, qui comprend tous les mois un variable qui dépend des secteurs. Le commercial terrain est aussi mieux rémunéré que le commercial sédentaire, le vendeur en B to B mieux que ses collègues avec des clients particuliers. Ainsi dans l’informatique et l’industrie, selon Page Group, le jeune commercial démarre son salaire à 41 000 euros nets annuels, soit 3 416 euros mensuels en moyenne. La grille salariale s’allonge aussi dans les hauts salaires, avec le commercial vente indirecte qui peut compter sur plus de 100 000 euros annuels au bout de quinze ans d’expérience;
LA VERSION RÉALITÉ :
A fuir
Commercial (ancien employé) - Paris (75) - 3 octobre 2021
Ne perdez pas votre temps là bas ils veulent seulement se faire des sous sur votre dos!!!
À bonne entendeur
Points positifs
Aucun
Points négatifs
Beaucoup de mensonge
La pire société d'animation du marché
Animateur commercial (ancien employé) - Lyon (69) - 3 août 2021
Comparé aux autres sociétés d'animation commerciale il s'agit de la pire concernant le salaire, l'organisation calamiteuse et des objectifs inatteignables.
Points positifs
Aucun
Points négatifs
Salaires très faibles
Avez-vous trouvé cet avis utile ?
Ne surtout pas etre embauche fibre
COMMERCIAL FIBRE (ancien employé) - 76 - 6 septembre 2021
Si vous voulez être payé comme une vrai entreprise le 1 ou au pire le 5 de chaque mois, ben c'est pas chez DMF, PAYE LE 12 si tout va bien sinon ben vos ventes seront payés un jour, pour vos frais voiture et repas midi ya rien non plus, à votre charge ben c'est pour vous!!
j'argumente on vous vend le statut VRP mais faut savoir que moi aussi j'ai été VRP et j'avais soit fixe plus com ou avance sur com!! chez DMF BEN ça dépend du temps pour être payé!!!!!!
j'estime le turn over a environ 40% car le commercial qui a un peu d'expèrience part super vite comme moi!! et là j'ai trouvé un nouveau job fixe com 13ème mois RTT 14 euros pour le midi!!! ben cela reste du commerce! mais jai vite choisit mon camp
1 MOIS MERCI J'AI DONNE
Pour conclure par un passage aux prud'hommes
Promoteur des ventes (ancien employé) - Vienne 86 - 20 mai 2021
Il a fallu passer par les prud’hommes pour obtenir la majeure partie de salaire. Celui-ci avait été amputé en raison de l’exécution partielle de la mission, Or la mission est fixée avec une enveloppe horaire et kilométrique et lorsque l’application sur androïde ne fonctionne plus, il est impossible d’accomplir l’intégrité du programme dans les temps en s’appuyant sur des listages extraits du site web. Comme l’entreprise ne répond pas aux lettres recommandées, seule la convocation aux prud’hommes permet de la faire plier, avec le retard que cela entraîne. En outre, DMF a été condamné à payer les frais de mise au rebut du matériel publicitaire démonté dans le cadre de la mission.
Points négatifs
Pas de réponse aux courriers.
départ raté
Commercial terrain (ancien employé) - Bretagne - 10 mars 2021
Au départ tout parait trop beau de belle promesses et après quelques jours de terrain on commence à travailler en étant livré à nous même pas de formation pas de tablette que de l'engagement personnel véhicule portable que des frais en perspective / contrat de travail en retard qui ne correspond pas aux promesses de l'entretien d'embauche /un manager qui démissionne après 3 jours les autres commerciaux qui arretent les uns après les autres/le cadeau est bien emballé mais rien à l'intérieur.
Points positifs
aucun
Points négatifs
vehicule perso, pas de tablette, tous les frais à charge
Honteux
Commercial terrain (ancien employé) - Bretagne - 3 juin 2020
Mauvaise conditions de travail , aucun avantages , payer uniquement à la com
Aucune participation aux frais ( essence , déjeuner ) Vous faites 4000 euros de contrats vous touchez 500 euros ...
C’est une catastrophe , à part faire des promesses ils ne savent rien faire d’autres
Pire entreprise que je n’ai jamais vue !!!!!!!
FUYEEEER !!!!!!!
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:ztylo a écrit: les profiteurs ce sont qui savent jongler avec les aides, comment peut on accepter qu'aujourd'hui des employeurs ne trouvent pas de bras dans des métiers sans grande qualif, c'est inadmissible,
Combien sont-ils ceux qui jonglent avec les aides?
Oh!!!ça risque de te surprendre mais bcq trop,
tu n'as jamais vu ceux sur des reportages qui passent des semaines aux frais de la princesse sur des sites touristiques hors hexagone après être venu chercher leurs indemnités mensuelles
Ne trouvent pas de bras ? Je précise : les métiers sans grande qualification cela signifie des emplois souvent à destination des jeunes, donc serveurs, distributeur de journaux, facteurs, ce genre de métiers.
Des bras j'en vois partout pourtant ! Il existe donc bel et bien un manque d'attractivité par le rapport travail/bénéfice.
Un métier moins bien payé n'attirera jamais quelqu'un qu'il soit avec ou sans qualification, cela ne rentre pas en ligne de compte.
C'est pas un manque d'attractivité, tu perçois 1100e de ton dernier job/mois, on te propose 1300e pour aller bosser, quel imbécile irait bosser pour 200e/mois en sachant qu'il y aura des frais de transport et une perte sur le black, donc ta vision de l'attractivité est mise à mal, parlons plus de calculs
Le reste, tu prends un exemple sur le commercial, c'est le pire de tous et tu as raison mais il y a un tas de boulot qui ne pas surexploités par des patrons vicieux, la politique est plus dirigée vers l'apprentissage et la formation vers des métiers demandeurs de bras
ztylo- Sage
- Messages : 4298
Date d'inscription : 15/07/2021
Localisation : occitanie
Re: La politique des bas salaires
Les gens sans qualification veulent être payés comme des qualifiés.
Les métiers sans qualification vont de toute manière disparaitre car la majorité sont automatisable... Les caissières de supermarché commencent à disparaitre au profit des systèmes automatique. Et dans le même temps les gens sans qualification gueulent parce qu'ils ne trouvent pas de boulot bien payé...
QUI serait prêt à payer une fortune pour une personne qui n'apporte aucun valeur ajoutée à l'entreprise ?!
Vous voulez avoir un bon salaire au 21ème siècle : FORMEZ VOUS !!
Sinon ..... Disparaissez comme son disparu les ramasseurs de crottin ou les allumeurs de réverbère !!
Les métiers sans qualification vont de toute manière disparaitre car la majorité sont automatisable... Les caissières de supermarché commencent à disparaitre au profit des systèmes automatique. Et dans le même temps les gens sans qualification gueulent parce qu'ils ne trouvent pas de boulot bien payé...
QUI serait prêt à payer une fortune pour une personne qui n'apporte aucun valeur ajoutée à l'entreprise ?!
Vous voulez avoir un bon salaire au 21ème siècle : FORMEZ VOUS !!
Sinon ..... Disparaissez comme son disparu les ramasseurs de crottin ou les allumeurs de réverbère !!
Minos de Rhadamanthe- Sage
- Messages : 7711
Date d'inscription : 21/10/2017
Localisation : Oise
Re: La politique des bas salaires
C'est dit différemment mais c'est bien ça.ztylo a écrit:C'est pas un manque d'attractivité, tu perçois 1100e de ton dernier job/mois, on te propose 1300e pour aller bosser, quel imbécile irait bosser pour 200e/mois en sachant qu'il y aura des frais de transport et une perte sur le black, donc ta vision de l'attractivité est mise à mal, parlons plus de calculs
Le reste, tu prends un exemple sur le commercial, c'est le pire de tous et tu as raison mais il y a un tas de boulot qui ne pas surexploités par des patrons vicieux, la politique est plus dirigée vers l'apprentissage et la formation vers des métiers demandeurs de bras
postulant a écrit:Les caissières de supermarché commencent à disparaitre au profit des systèmes automatique. Et dans le même temps les gens sans qualification gueulent parce qu'ils ne trouvent pas de boulot bien payé..
Justement je préfère garder les caissières. Et ceux qui gueulent sont ceux qui se font plutôt licencier parce que l'entreprise veut faire TOUJOURS PLUS DE PROFITS!
SANS QUALIFICATION C’ÉTAIT MIEUX PAYE AVANT, C'EST là TOUTE LA DIFFÉRENCE!!
Et de plus en plus de métiers sont dévalorisés et mis en concurrence avec la main d'oeuvre pas chère, cela n'a rien à voir avec la formation, ça c'est du baratin!!
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
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Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:Justement je préfère garder les caissières. Et ceux qui gueulent sont ceux qui se font plutôt licencier parce que l'entreprise veut faire TOUJOURS PLUS DE PROFITS!
SANS QUALIFICATION C’ÉTAIT MIEUX PAYE AVANT, C'EST là TOUTE LA DIFFÉRENCE!!
Et de plus en plus de métiers sont dévalorisés et mis en concurrence avec la main d'oeuvre pas chère, cela n'a rien à voir avec la formation, ça c'est du baratin!!
Mais bien sur, vous êtes donc prêt à payer 3000 €/par mois un type qui tond votre pelouse...
Vous seriez donc prêt à payer combien celui qui conçois votre voiture ? Celui qui vous soigne ou vous opère ?
Minos de Rhadamanthe- Sage
- Messages : 7711
Date d'inscription : 21/10/2017
Localisation : Oise
Re: La politique des bas salaires
Vous parlez encore de la tonte de pelouse, vous semblez ne pas connaitre du tout les métiers mal payés et vous me parlez de poste à responsabilités. Vous me faites penser à ztylo qui vit dans sa ville bourgeoise que représente Paris. Mais Paris ne représente en rien le marché du travail et au vu des commentaires que je vois, je ne suis pas étonné que les parisiens vivent dans un monde de bisounours.
D’ailleurs votre réponse parle d’argent pour un emploi qui ne demande pas de qualifications, je vous parle d’emplois qualifiés sous payés. Vous avez le grand remplacement présent partout mais pour le voir il faut avoir occupé des postes sans grandes responsabilités...Tout le monde n’a pas eu la chance de faire une grande école parisienne, les inégalités commencent ici.
D’ailleurs votre réponse parle d’argent pour un emploi qui ne demande pas de qualifications, je vous parle d’emplois qualifiés sous payés. Vous avez le grand remplacement présent partout mais pour le voir il faut avoir occupé des postes sans grandes responsabilités...Tout le monde n’a pas eu la chance de faire une grande école parisienne, les inégalités commencent ici.
Dernière édition par Ryanne le Lun 1 Nov - 17:39, édité 1 fois
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Vous préférez la caissière de supermarché ? le serveur de restaurant ? Le manutentionnaire ? le gardien de parking ? etc...Ryanne a écrit:Vous parlez encore de la tonte de pelouse, vous semblez ne pas connaitre du tout les métiers mal payés et vous me parlez de poste à responsabilités. Vous me faites penser à ztylo qui vit dans sa ville bourgeoise que représente Paris. Mais Paris ne représente en rien le marché du travail et au vu des commentaires que je vois, je ne suis pas étonné que les parisiens vivent dans un monde de bisounours.
D’ailleurs votre réponse parle d’argent pour un emploi qui ne demande pas de qualifications, je vous parle d’emplois qualifiés sous payés.
Qui sont ces gens si mal payés qui devraient gagner plus selon vous ? Et combien êtes vous prêt à les payer ?
On vous attend...
Quel emploi qualifié est donc si sous-payé ? Infirmière ? Electricien ? Plombier ?
Minos de Rhadamanthe- Sage
- Messages : 7711
Date d'inscription : 21/10/2017
Localisation : Oise
Re: La politique des bas salaires
Ce n’est pas à moi d’en décider mais par exemple il y’a énormément d’abus dans le métier de commercial. Le salaire demande plus de réflexions, on manque de bras c’est vrai dans le BTP, mais les métiers de maintenance sont souvent plus difficiles avec aussi des changements d’horaires. Si la retraite est indexée sur des valeurs pourquoi ne pas indexer certains salaires sur ces même valeurs pour les revaloriser chaque année.
Cela me dérange un peu de parler de « combien êtes vous prêt » les économistes donnent une valeur à l’humain, c’est tendancieux. L’objectif est et vous le voyez avec le niveau de vie de permettre aux individus de pouvoir vivre décemment en fonction de leur apport et non pas de leur rentabilité.
Cela me dérange un peu de parler de « combien êtes vous prêt » les économistes donnent une valeur à l’humain, c’est tendancieux. L’objectif est et vous le voyez avec le niveau de vie de permettre aux individus de pouvoir vivre décemment en fonction de leur apport et non pas de leur rentabilité.
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:. Vous me faites penser à ztylo qui vit dans sa ville bourgeoise que représente Paris.
Je vous ai repris sur une citation ridicule que vous m'avez attribuée alors qu'elle venait de vous
Et là, vous venez de me déménager car je n'habite pas Paris et en suis très loin, bien heureux de l'être d'ailleurs
ztylo- Sage
- Messages : 4298
Date d'inscription : 15/07/2021
Localisation : occitanie
Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:Ce n’est pas à moi d’en décider mais par exemple il y’a énormément d’abus dans le métier de commercial.
Ah, vous voilà revenu avec votre truc de commercial, pour souvent mettre en avant ce job, je me demande si en fait c'est pas un peu votre profession dont vous peinez à en vivre
Les bons commerciaux sont les techno-commerciaux qui maitrisent sur le bout des doigts ce qu'ils veulent vendre, les autres, un jour vendent des pneus , le lendemain des boites d'allumettes pour finir par dépit à vendre des missels
Le salaire demande plus de réflexions, on manque de bras c’est vrai dans le BTP, mais les métiers de maintenance sont souvent plus difficiles avec aussi des changements d’horaires.
Oui et on a pas rien sans rien, faut s'adapter au travail, ça semble vous échapper un peu
Si la retraite est indexée sur des valeurs pourquoi ne pas indexer certains salaires sur ces même valeurs pour les revaloriser chaque année.
Cela me dérange un peu de parler de « combien êtes vous prêt » les économistes donnent une valeur à l’humain, c’est tendancieux. L’objectif est et vous le voyez avec le niveau de vie de permettre aux individus de pouvoir vivre décemment en fonction de leur apport et non pas de leur rentabilité.
Comme je l'ai écris à notre moine prêcheur, j'ai prêté mon décodeur à Prince
ztylo- Sage
- Messages : 4298
Date d'inscription : 15/07/2021
Localisation : occitanie
Re: La politique des bas salaires
Le décodeur c’est pour les gens qui ne maitrisent pas l’économie. Et effectivement avec des réponses comme il faut s’adapter vous confirmer votre ignorance.
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:Le décodeur c’est pour les gens qui ne maitrisent pas l’économie. Et effectivement avec des réponses comme il faut s’adapter vous confirmer votre ignorance.
Merci Maitre
ztylo- Sage
- Messages : 4298
Date d'inscription : 15/07/2021
Localisation : occitanie
Re: La politique des bas salaires
De rien. Sur un forum, on est là pour apprendre pas pour spéculer sur la profession des autres.
Lisez ceci :
A la veille du sommet social de lundi à Matignon, le ministère du Travail publie une photographie minutieuse de la population des «travailleurs de la deuxième ligne». De quoi militer pour une augmentation immédiate des plus bas salaires, mais le gouvernement s’y refuse toujours.
Nous y voilà : un an s’est écoulé depuis l’entrée brutale de la France dans la crise sanitaire et économique du Covid-19. Cela fait donc un an, aussi, qu’une forme d’épiphanie collective s’est emparée du pays au sujet de ceux et celles que l’on appelle communément «travailleurs de la deuxième ligne», ou «premiers de corvée». Soit, au-delà des soignants et des enseignants (les «premières lignes»), la multitude de personnes qui exécutent dans l’ombre des tâches essentielles à la bonne santé sociale et sanitaire du pays, et qui continuent à travailler «quoi qu’il en coûte» depuis le premier confinement : aides à domicile, ouvriers agricoles, éboueurs, manutentionnaires, ouvriers du bâtiment, caissières, agents d’entretien…
«Ça a trop duré, maintenant on ne peut pas attendre indéfiniment. On veut des solutions concrètes», a-t-il tonné.
TOUJOURS AUSSI FEIGNANT LE GOUVERNEMENT, TROP OCCUPE A AUGMENTER VOS SALAIRES?
Déconsidérés quoi qu’on en dise
Ce vendredi, les solutions concrètes ne sont toujours pas là, mais quelque chose s’est tout de même passé : la mission a rendu ses conclusions, qui ont été présentées ce matin aux organisations syndicales et patronales par le ministère du Travail. Elles consistent en une synthèse minutieuse, résultat du traitement d’une multitude de données récoltées par la Dares (le service de recherche rattaché au ministère du Travail), au terme duquel 17 métiers ont été identifiés comme répondant aux critères définis pour identifier ces «premiers de corvée» (un contact accru avec le public et les collègues et une présence au poste de travail pendant le premier confinement). Le diagnostic qui en résulte est accablant : en France, au moins 4,6 millions de travailleurs, soit près d’un salarié du secteur privé sur quatre, sont déconsidérés aussi bien matériellement que symboliquement.
Les salaires en sont la preuve la plus éclatante : en moyenne, les «secondes lignes» touchent 11 950 euros net à l’année. C’est moins qu’un smic à temps plein (14 772 euros) et c’est presque deux fois moins que la moyenne nationale dans le privé, qui n’est pas non plus mirobolante : 19 113 euros net annuels. Certains n’atteignent même pas les 10 000 euros par an en moyenne : c’est le cas des maraîchers, des ouvriers non qualifiés du gros œuvre et de la manutention, des agents d’entretien et, en bas de classement, des aides à domicile qui doivent se contenter de 8 188 euros, ce qui représente à peine 700 euros par mois. Dans le cadre de la mission, certains de ces salariés ont été sondés. Chez les aides à do
Lisez ceci :
Ça se confirme, les «premiers de corvée» sont sous-payés et surexploités
A la veille du sommet social de lundi à Matignon, le ministère du Travail publie une photographie minutieuse de la population des «travailleurs de la deuxième ligne». De quoi militer pour une augmentation immédiate des plus bas salaires, mais le gouvernement s’y refuse toujours.
Nous y voilà : un an s’est écoulé depuis l’entrée brutale de la France dans la crise sanitaire et économique du Covid-19. Cela fait donc un an, aussi, qu’une forme d’épiphanie collective s’est emparée du pays au sujet de ceux et celles que l’on appelle communément «travailleurs de la deuxième ligne», ou «premiers de corvée». Soit, au-delà des soignants et des enseignants (les «premières lignes»), la multitude de personnes qui exécutent dans l’ombre des tâches essentielles à la bonne santé sociale et sanitaire du pays, et qui continuent à travailler «quoi qu’il en coûte» depuis le premier confinement : aides à domicile, ouvriers agricoles, éboueurs, manutentionnaires, ouvriers du bâtiment, caissières, agents d’entretien…
On sait depuis toujours que ces gens indispensables sont sous-payés, sous-formés, surexploités, subissant tout à la fois du temps partiel contraint et des journées à rallonge : trois heures de boulot à l’aube, trois autres au crépuscule. On le sait, mais on n’y a jamais remédié. Le gouvernement, lui, a opté pour ce qu’il sait faire de mieux : lancer une «mission».
Celle sur les «travailleurs de la deuxième ligne» a été mise sur pied par la ministre du Travail, Elisabeth Borne, en novembre, afin d’«objectiver» la population de ces travailleurs. Cette tâche a été confiée à Christine Erhel, professeure au Cnam, et Sophie Moreau-Follenfant, DRH de RTE. Et ce, afin que des négociations s’ouvrent ensuite dans les branches concernées pour aboutir à des revalorisations. En janvier, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a pointé du doigt le temps perdu :«Ça a trop duré, maintenant on ne peut pas attendre indéfiniment. On veut des solutions concrètes», a-t-il tonné.
TOUJOURS AUSSI FEIGNANT LE GOUVERNEMENT, TROP OCCUPE A AUGMENTER VOS SALAIRES?
Déconsidérés quoi qu’on en dise
Ce vendredi, les solutions concrètes ne sont toujours pas là, mais quelque chose s’est tout de même passé : la mission a rendu ses conclusions, qui ont été présentées ce matin aux organisations syndicales et patronales par le ministère du Travail. Elles consistent en une synthèse minutieuse, résultat du traitement d’une multitude de données récoltées par la Dares (le service de recherche rattaché au ministère du Travail), au terme duquel 17 métiers ont été identifiés comme répondant aux critères définis pour identifier ces «premiers de corvée» (un contact accru avec le public et les collègues et une présence au poste de travail pendant le premier confinement). Le diagnostic qui en résulte est accablant : en France, au moins 4,6 millions de travailleurs, soit près d’un salarié du secteur privé sur quatre, sont déconsidérés aussi bien matériellement que symboliquement.
Les salaires en sont la preuve la plus éclatante : en moyenne, les «secondes lignes» touchent 11 950 euros net à l’année. C’est moins qu’un smic à temps plein (14 772 euros) et c’est presque deux fois moins que la moyenne nationale dans le privé, qui n’est pas non plus mirobolante : 19 113 euros net annuels. Certains n’atteignent même pas les 10 000 euros par an en moyenne : c’est le cas des maraîchers, des ouvriers non qualifiés du gros œuvre et de la manutention, des agents d’entretien et, en bas de classement, des aides à domicile qui doivent se contenter de 8 188 euros, ce qui représente à peine 700 euros par mois. Dans le cadre de la mission, certains de ces salariés ont été sondés. Chez les aides à do
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
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Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:ztylo a écrit:C'est pas un manque d'attractivité, tu perçois 1100e de ton dernier job/mois, on te propose 1300e pour aller bosser, quel imbécile irait bosser pour 200e/mois en sachant qu'il y aura des frais de transport et une perte sur le black
Le reste, tu prends un exemple sur le commercial, c'est le pire de tous!postulant a écrit:Les caissières de supermarché commencent à disparaitre au profit des systèmes automatique. Et dans le même temps les gens sans qualification gueulent parce qu'ils ne trouvent pas de boulot bien payé..
Justement je préfère garder les caissières. Et ceux qui gueulent sont ceux qui se font plutôt licencier parce que l'entreprise veut faire TOUJOURS PLUS DE PROFITS!
SANS QUALIFICATION C’ÉTAIT MIEUX PAYE AVANT, C'EST là TOUTE LA DIFFÉRENCE!!
Et de plus en plus de métiers sont dévalorisés et mis en concurrence avec la main d'oeuvre pas chère, cela n'a rien à voir avec la formation, ça c'est du baratin!!
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Si tous les salaires sont bas et qu'on produit en France tout, comme il y a 40 ans, nous gagnons en compétitivité sans pour autant que le vie soit plus cher. C'est ce que font les Allemands, qui nous ont copié. Du moins notre politique jusqu'à il y a 40 ans. A l'époque, ils ne pouvaient pas faire cette politique parce qu'on la faisait, en dévaluant le france, ce qui revient au même.
Les Allemands, sont un peu plus éduqués en économie que les Français à qui on cache les réalités économiques à coup d'utopies communistes, dès l'école primaire. Du coup, il ont compris qu'avec l'Euro, ce qui paie c'est de réduire les revenus, mais tout le monde en même temps, ce qui vaut une dévaluation. Quand vous produisez de tout, vous n'êtes pas impacté et ça équivaut une dévaluation. Jusqu'à récemment, il n'y avait pas de SMIC en Allemagne, et il est toujours bien en dessous du français. Mais avec l'effondrement économique française et sa désindustrialisation continue, nul doute qu'un jour il le dépassera, tout en maintenant la souplesse des grilles salariales.
Par exemple, un effet de cette politique c'est que la vie est bien moins chère en Allemagne qu'en France. C'était tout le contraire il y a 40 ans. Non seulement le PIB français était un peu supérieur mais la vie en France était notablement moins chère alors qu'on trouvait de tout et fabriqué en France.
Les Allemands, sont un peu plus éduqués en économie que les Français à qui on cache les réalités économiques à coup d'utopies communistes, dès l'école primaire. Du coup, il ont compris qu'avec l'Euro, ce qui paie c'est de réduire les revenus, mais tout le monde en même temps, ce qui vaut une dévaluation. Quand vous produisez de tout, vous n'êtes pas impacté et ça équivaut une dévaluation. Jusqu'à récemment, il n'y avait pas de SMIC en Allemagne, et il est toujours bien en dessous du français. Mais avec l'effondrement économique française et sa désindustrialisation continue, nul doute qu'un jour il le dépassera, tout en maintenant la souplesse des grilles salariales.
Par exemple, un effet de cette politique c'est que la vie est bien moins chère en Allemagne qu'en France. C'était tout le contraire il y a 40 ans. Non seulement le PIB français était un peu supérieur mais la vie en France était notablement moins chère alors qu'on trouvait de tout et fabriqué en France.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9222
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: La politique des bas salaires
"La politique des bas salaires!"
Dans certains métiers et le non-remplacement des départs à la retraite,Médecins, infirmiers etc...
je pense que la demande va être tellement forte face à la pénurie
"L'immigration positive sera la bienvenue !"
Que l'augmentation des salaires sera la seule solution pour remettre de la motivation
dans certaines professions
oscarire- Sage
- Messages : 5359
Date d'inscription : 16/10/2020
Re: La politique des bas salaires
Arrêtons déjà de payer des gens à ne rien faire !!
Si tout travail mérite salaire, la réciproque DEVRAIT être vraie aussi, tout "salaire" devrait avoir une compensation en temps de travail ! Le RSA, les APL, etc... sont versés par la communauté et financé par les impôts, ceux qui le touchent devraient donc du temps de travail à la communauté !
Combien de chemin ne sont plus nettoyés parce que les municipalités n'ont pas ls moyens ? Combien de graffitis ne sont pas recouvert parce que les municipalités n'ont pas les moyens ? etc... Alors que dans le même temps la communauté paie des millions de gens à rester chez eux à regarder Netflix !!
Quand le travail sera remis au centre du système au lieu de promouvoir en permanence la fainéantise, on aura peut être résolut un point !!
Si tout travail mérite salaire, la réciproque DEVRAIT être vraie aussi, tout "salaire" devrait avoir une compensation en temps de travail ! Le RSA, les APL, etc... sont versés par la communauté et financé par les impôts, ceux qui le touchent devraient donc du temps de travail à la communauté !
Combien de chemin ne sont plus nettoyés parce que les municipalités n'ont pas ls moyens ? Combien de graffitis ne sont pas recouvert parce que les municipalités n'ont pas les moyens ? etc... Alors que dans le même temps la communauté paie des millions de gens à rester chez eux à regarder Netflix !!
Quand le travail sera remis au centre du système au lieu de promouvoir en permanence la fainéantise, on aura peut être résolut un point !!
Minos de Rhadamanthe- Sage
- Messages : 7711
Date d'inscription : 21/10/2017
Localisation : Oise
ztylo aime ce message
Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:Ryanne a écrit:ztylo a écrit:C'est pas un manque d'attractivité, tu perçois 1100e de ton dernier job/mois, on te propose 1300e pour aller bosser, quel imbécile irait bosser pour 200e/mois en sachant qu'il y aura des frais de transport et une perte sur le black
Le reste, tu prends un exemple sur le commercial, c'est le pire de tous!postulant a écrit:Les caissières de supermarché commencent à disparaitre au profit des systèmes automatique. Et dans le même temps les gens sans qualification gueulent parce qu'ils ne trouvent pas de boulot bien payé..
Justement je préfère garder les caissières. Et ceux qui gueulent sont ceux qui se font plutôt licencier parce que l'entreprise veut faire TOUJOURS PLUS DE PROFITS!
SANS QUALIFICATION C’ÉTAIT MIEUX PAYE AVANT, C'EST là TOUTE LA DIFFÉRENCE!!
Et de plus en plus de métiers sont dévalorisés et mis en concurrence avec la main d'oeuvre pas chère, cela n'a rien à voir avec la formation, ça c'est du baratin!!omega95 a écrit:Alors que dans le même temps la communauté paie des millions de gens à rester chez eux à regarder Netflix !!
Quand le travail sera remis au centre du système au lieu de promouvoir en permanence la fainéantise, on aura peut être résolut un point !!
Restez avec vos préjugés sans fondement ni raisonnement. Apparemment cela ne vous réussit pas effectivement de regarder Netflix. Vous n'avez toujours aucun arguments valables.
Ryanne- Connaisseur
- Messages : 807
Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:De rien. Sur un forum, on est là pour apprendre pas pour spéculer sur la profession des autres.
Lisez ceci :
Ça se confirme, les «premiers de corvée» sont sous-payés et surexploités
A la veille du sommet social de lundi à Matignon, le ministère du Travail publie une photographie minutieuse de la population des «travailleurs de la deuxième ligne». De quoi militer pour une augmentation immédiate des plus bas salaires, mais le gouvernement s’y refuse toujours.
Nous y voilà : un an s’est écoulé depuis l’entrée brutale de la France dans la crise sanitaire et économique du Covid-19. Cela fait donc un an, aussi, qu’une forme d’épiphanie collective s’est emparée du pays au sujet de ceux et celles que l’on appelle communément «travailleurs de la deuxième ligne», ou «premiers de corvée». Soit, au-delà des soignants et des enseignants (les «premières lignes»), la multitude de personnes qui exécutent dans l’ombre des tâches essentielles à la bonne santé sociale et sanitaire du pays, et qui continuent à travailler «quoi qu’il en coûte» depuis le premier confinement : aides à domicile, ouvriers agricoles, éboueurs, manutentionnaires, ouvriers du bâtiment, caissières, agents d’entretien…On sait depuis toujours que ces gens indispensables sont sous-payés, sous-formés, surexploités, subissant tout à la fois du temps partiel contraint et des journées à rallonge : trois heures de boulot à l’aube, trois autres au crépuscule. On le sait, mais on n’y a jamais remédié. Le gouvernement, lui, a opté pour ce qu’il sait faire de mieux : lancer une «mission».
Celle sur les «travailleurs de la deuxième ligne» a été mise sur pied par la ministre du Travail, Elisabeth Borne, en novembre, afin d’«objectiver» la population de ces travailleurs. Cette tâche a été confiée à Christine Erhel, professeure au Cnam, et Sophie Moreau-Follenfant, DRH de RTE. Et ce, afin que des négociations s’ouvrent ensuite dans les branches concernées pour aboutir à des revalorisations. En janvier, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a pointé du doigt le temps perdu :
«Ça a trop duré, maintenant on ne peut pas attendre indéfiniment. On veut des solutions concrètes», a-t-il tonné.
TOUJOURS AUSSI FEIGNANT LE GOUVERNEMENT, TROP OCCUPE A AUGMENTER VOS SALAIRES?
Déconsidérés quoi qu’on en dise
Ce vendredi, les solutions concrètes ne sont toujours pas là, mais quelque chose s’est tout de même passé : la mission a rendu ses conclusions, qui ont été présentées ce matin aux organisations syndicales et patronales par le ministère du Travail. Elles consistent en une synthèse minutieuse, résultat du traitement d’une multitude de données récoltées par la Dares (le service de recherche rattaché au ministère du Travail), au terme duquel 17 métiers ont été identifiés comme répondant aux critères définis pour identifier ces «premiers de corvée» (un contact accru avec le public et les collègues et une présence au poste de travail pendant le premier confinement). Le diagnostic qui en résulte est accablant : en France, au moins 4,6 millions de travailleurs, soit près d’un salarié du secteur privé sur quatre, sont déconsidérés aussi bien matériellement que symboliquement.
Les salaires en sont la preuve la plus éclatante : en moyenne, les «secondes lignes» touchent 11 950 euros net à l’année. C’est moins qu’un smic à temps plein (14 772 euros) et c’est presque deux fois moins que la moyenne nationale dans le privé, qui n’est pas non plus mirobolante : 19 113 euros net annuels. Certains n’atteignent même pas les 10 000 euros par an en moyenne : c’est le cas des maraîchers, des ouvriers non qualifiés du gros œuvre et de la manutention, des agents d’entretien et, en bas de classement, des aides à domicile qui doivent se contenter de 8 188 euros, ce qui représente à peine 700 euros par mois. Dans le cadre de la mission, certains de ces salariés ont été sondés. Chez les aides à do
Ryanne- Connaisseur
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