La politique des bas salaires
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Re: La politique des bas salaires
Sagesse Libérale a écrit:omega95 a écrit:
Les métiers sans qualification vont de toute manière disparaitre car la majorité sont automatisable...
Je pense que ceux qui parlent de métiers non qualifiés sont des gens qui n'ont jamais fait ces boulots.
En réalité tous ces métiers nécessitent des qualifications : dextérité, endurance, force, mémoire qualité relationnelle, par exemple.
Prenez un employé de drive de fast food, il faut être capable de prendre la commande d’un client via une oreillette tout en la saisissant dans un programme qui la transmet en cuisine, récupérer des sacs de nourriture pour les donner à d’autres clients, encaisser les paiements grâce à des terminaux électroniques, le tout dans un laps de temps très court, et toujours avec le sourire, malgré de longues journées éreintantes physiquement et psychiquement.
Je ne sais pas si ces métiers sont voués à disparaître mais si c'est exact c'est aussi le cas de métiers dits "qualifiés" comme par exemple manager
Comment interprétez vous : "la majorité sont automatisable." ?
Vous semblez le comprendre comme : "ils sont tous automatisable."
JE le re-re-re-dis : Je ne suis responsable QUE de ce que j'écris, PAS de ce que VOUS COMPRENEZ !!
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Re: La politique des bas salaires
omega95 a écrit:Comment interprétez vous : "la majorité sont automatisable." ?
Vous semblez le comprendre comme : "ils sont tous automatisable."
JE le re-re-re-dis : Je ne suis responsable QUE de ce que j'écris, PAS de ce que VOUS COMPRENEZ !!
Relisez-moi et relisez-vous et pardonnez-moi de vous faire la leçon.
omega95 a écrit:
Les métiers sans qualification vont de toute manière disparaitre car la majorité sont automatisable.
Soit votre phrase se contredit elle-même (puisque vous passez de Les métiers à la majorité.
Soit votre phrase est approximative ou plutôt ambigüe et dans ce cas, plutôt que de rejeter la faute sur les autres, veillez à être plus rigoureux.
Quant à ce que j'ai écrit :
Sagesse Libérale a écrit:Je ne sais pas si ces métiers sont voués à disparaître mais si c'est exact c'est aussi le cas de métiers dits "qualifiés" comme par exemple manager
Je n'affirme pas que ces métiers vont disparaître, j'exprime au contraire ma circonspection.
Sagesse Libérale- Postulant
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Re: La politique des bas salaires
Sagesse Libérale a écrit:omega95 a écrit:Comment interprétez vous : "la majorité sont automatisable." ?
Vous semblez le comprendre comme : "ils sont tous automatisable."
JE le re-re-re-dis : Je ne suis responsable QUE de ce que j'écris, PAS de ce que VOUS COMPRENEZ !!
Relisez-moi et relisez-vous et pardonnez-moi de vous faire la leçon.omega95 a écrit:
Les métiers sans qualification vont de toute manière disparaitre car la majorité sont automatisable.
Soit votre phrase se contredit elle-même (puisque vous passez de Les métiers à la majorité.
Soit votre phrase est approximative ou plutôt ambigüe et dans ce cas, plutôt que de rejeter la faute sur les autres, veillez à être plus rigoureux.
Quant à ce que j'ai écrit :Sagesse Libérale a écrit:Je ne sais pas si ces métiers sont voués à disparaître mais si c'est exact c'est aussi le cas de métiers dits "qualifiés" comme par exemple manager
Je n'affirme pas que ces métiers vont disparaître, j'exprime au contraire ma circonspection.
JE CONFIRME :
Je ne suis responsable QUE de ce que j'écris, PAS de ce que VOUS COMPRENEZ !!
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Re: La politique des bas salaires
omega95 a écrit:
JE CONFIRME :
Je ne suis responsable QUE de ce que j'écris, PAS de ce que VOUS COMPRENEZ !!
Merci d'avoir reconnu vos torts !
Sagesse Libérale- Postulant
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Re: La politique des bas salaires
Sagesse Libérale a écrit:omega95 a écrit:
JE CONFIRME :
Je ne suis responsable QUE de ce que j'écris, PAS de ce que VOUS COMPRENEZ !!
Merci d'avoir reconnu vos torts !
Merci de reconnaitre implicitement votre appartenance au groupe des non-comprenants...
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Re: La politique des bas salaires
@omega Vous êtes pardonné
Sagesse Libérale- Postulant
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Re: La politique des bas salaires
Sagesse Libérale a écrit:
Je pense que ceux qui parlent de métiers non qualifiés sont des gens qui n'ont jamais fait ces boulots.
En réalité tous ces métiers nécessitent des qualifications : dextérité, endurance, force, mémoire qualité relationnelle, par exemple.
Exactement ! Mais Omega95 n'arrive pas à l'intégrer.
Sagesse Libérale a écrit:
Prenez un employé de drive de fast food, il faut être capable de prendre la commande d’un client via une oreillette tout en la saisissant dans un programme qui la transmet en cuisine, récupérer des sacs de nourriture pour les donner à d’autres clients, encaisser les paiements grâce à des terminaux électroniques, le tout dans un laps de temps très court, et toujours avec le sourire, malgré de longues journées éreintantes physiquement et psychiquement.
Je ne sais pas si ces métiers sont voués à disparaître mais si c'est exact c'est aussi le cas de métiers dits "qualifiés" comme par exemple manager
D'avis que le métier de Omega95 disparaitra probablement avant ces métiers là.
Rappelez vous dans les années 90 le métier qui rapportait un max c'était Trader, ces gars se faisaient des couilles en or, ils avaient leur rail de coke tout les matins au petit dej, et allaient aux putes tout les soirs.
Aujourd'hui la plupart on été remplacés par des Bots une énorme économie pour les banques, mais d'ici qu'un robot fasse le boulot qu'on fait en cuisine dans la restauration rapide ou collective à moins cher, j'ai le temps de prendre ma retraite à 70 ans.
Francis XV- Sage
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Sagesse Libérale aime ce message
Re: La politique des bas salaires
Pas du tout, juste que la dextérité ou la force d'un manutentionnaire est remplacé par des robots biens plus dextre et fort...Francis XV a écrit:Sagesse Libérale a écrit:
Je pense que ceux qui parlent de métiers non qualifiés sont des gens qui n'ont jamais fait ces boulots.
En réalité tous ces métiers nécessitent des qualifications : dextérité, endurance, force, mémoire qualité relationnelle, par exemple.
Exactement ! Mais Omega95 n'arrive pas à l'intégrer.
Quand à la qualité relationnelle des hôtesses de caisse... Vous n'allez pas beaucoup au supermarché ?!
Sauf si le métier d'Oméga était justement d'automatiser tous ces métiers...Francis XV a écrit:Sagesse Libérale a écrit:
Prenez un employé de drive de fast food, il faut être capable de prendre la commande d’un client via une oreillette tout en la saisissant dans un programme qui la transmet en cuisine, récupérer des sacs de nourriture pour les donner à d’autres clients, encaisser les paiements grâce à des terminaux électroniques, le tout dans un laps de temps très court, et toujours avec le sourire, malgré de longues journées éreintantes physiquement et psychiquement.
Je ne sais pas si ces métiers sont voués à disparaître mais si c'est exact c'est aussi le cas de métiers dits "qualifiés" comme par exemple manager
D'avis que le métier de Omega95 disparaitra probablement avant ces métiers là.
Rappelez vous dans les années 90 le métier qui rapportait un max c'était Trader, ces gars se faisaient des couilles en or, ils avaient leur rail de coke tout les matins au petit dej, et allaient aux putes tout les soirs.
Aujourd'hui la plupart on été remplacés par des Bots une énorme économie pour les banques, mais d'ici qu'un robot fasse le boulot qu'on fait en cuisine dans la restauration rapide ou collective à moins cher, j'ai le temps de prendre ma retraite à 70 ans.
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Localisation : Oise
Re: La politique des bas salaires
omega95 a écrit:
Pas du tout, juste que la dextérité ou la force d'un manutentionnaire est remplacé par des robots biens plus dextre et fort...
Les Robots ne sont pas aussi polyvalents, ils vont remplacer les humains dans toutes les tâches très répétitives type travail la chaine, mais dès que les tâches sont un peu variés et changeantes ils ne suivent plus.
Ca m'étonnerait qu'on ai de si tôt des robots qui remplacent les employés polyvalent de Fast food. Même une société comme Amazon qui pourtant est au top niveau techno emploie toujours des petites mains dans ses hangars, tout n'est pas automatisable. Pareil pour le ménage, les robots ménagers ou aide à la personne c'est pas encore ça.
omega95 a écrit:
Sauf si le métier d'Oméga était justement d'automatiser tous ces métiers...
Faut voir, même ça et surtout ça même est en train d'être attaqué en ce moment par les grands progrès de l'IA, tout ce qui est programation à l'ancienne disparait ...
Vous concevez des algorithmes pour les IA vous ? D'avis que si c'était le cas vous seriez plus conscient de l'importance des petites mains.
Avec les progrès de l'IA les seuls métiers qui vont survivre, ceux qui les créent ou les programment comme vous dites mais uniquement à haut niveau, les bots étant capables de gérer le bas niveau à présent. Et à l'autre bout de la chaine ceux qui alimentent en données les systèmes d'IA pour leur apprentissage (pour peu qu'on les paie), et les petites mains qui réalisent les tâches trop changeantes et non automatisables.
Francis XV- Sage
- Messages : 6981
Date d'inscription : 28/07/2020
Re: La politique des bas salaires
Inégalités. Sous le quinquennat Macron, 9 millions de pauvres en France
Une étude de l’Insee met en avant une augmentation du nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté. La plus forte progression depuis 2010, selon l’institut.
C’est la fin d’un secret de Polichinelle. Les réformes économiques et fiscales du gouvernement creusent les inégalités et accroissent la pauvreté. C’est ce que démontre une note de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) parue mercredi 16 octobre, intitulée « Estimation avancée du taux de pauvreté et des indicateurs d’inégalités ». Dans son étude, l’institut fait une évaluation du coefficient Gini, un outil statistique qui permet de calculer les écarts de revenus. En 2018, l’indice de Gini progresse de 0,005 point pour atteindre 0,294. C’est la première fois qu’autant de Français vivent sous le seuil de pauvreté depuis 2010.
Comment expliquer cette tendance sombre ? La hausse de l’indice de Gini est le fruit de la réforme du prélèvement forfaitaire unique (PFU), la flat tax qui limite à 30 % la taxation sur tous les revenus du capital. Cet allègement fiscal a généré un gain de 1 000 euros au profit des 5 % « les plus aisés », précise la note. Grâce au PFU, les versements des dividendes en 2018 ont largement grimpé à hauteur environ de 60 %, selon l’Insee. Rien qu’avec ces deux mesures, cet indice grimpe de 0,004 point. Le PFU est donc un mécanisme bien huilé pour aggraver les inégalités. Contrairement aux promesses du gouvernement, ces gains n’ont pas été réinvestis dans « l’appareil productif ». Point important, l’étude de l’Insee ne prend pas en compte les effets de la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune.
Les plus bas revenus sont les grands perdants des politiques économiques et fiscales
À cette hausse des inégalités, s’ajoute la progression de la pauvreté. Cette augmentation est surtout portée par la baisse des APL dans les logements sociaux, selon l’Insee. Une diminution qui « aurait le plus fort effet sur l’évolution du taux de pauvreté (+0.4 point environ) », relève l’étude. Toutefois, cette hausse est à relativiser car elle ne prend pas en compte la baisse des loyers. Le taux de pauvreté est calculé seulement sur les revenus, une diminution des dépenses n’étant pas prise en compte. L’Insee estime ainsi que l’indice de pauvreté s’élève à 14,3 %, soit 0,2 point de plus qu’en 2017. Au total, pas moins de 9 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté en 2018.
Quel guignol Macaron! Il aurait du rester faire son stage chez Rothschild, il aurait pas pu de taper sur les chômeurs qui n'ont déjà rien pour vivre.
« Les mesures sur les prélèvements, comme la baisse de la taxe d’habitation, la bascule CSG/cotisations et l’extension du crédit d’impôt pour l’emploi de salariés à domicile aux retraités, bénéficieraient davantage aux ménages au-dessus du seuil de pauvreté », indique la note. Ces dispositifs « contribueraient donc à la hausse du seuil et du taux de pauvreté », ajoute l’Insee.
Que ce soit la hausse de 50 euros en 2018 de l’allocation adulte handicapé, ou celle de l’allocation de solidarité pour les personnes âgées, revalorisée de 30 euros, ces mesures n’améliorent pas la situation des plus fragiles.
Et les coupes successives dans les prestations sociales sont trop importantes pour compenser les pertes de revenu. « Avec 2 milliards mobilisés par an,
la stratégie de lutte contre la pauvreté n’est pas à la hauteur des enjeux sociaux, c’est deux fois moins que les cadeaux fiscaux aux plus riches…
Nous avons une pauvre politique pour les pauvres », a résumé Louis Maurin, fondateur de l’Observatoire des inégalités.Les ultra-riches, eux, voient leur revenu en hausse de 2 % en 2020
Même si le gouvernement a lâché quelques miettes pour calmer les colères des gilets jaunes, les mesures fiscales annoncées restent favorables aux plus riches. C’est ce que souligne la nouvelle étude de l’Institut des politiques publiques (IPP) de l’École d’économie de Paris, qui s’est penchée sur « les impacts du budget 2020 sur les ménages et les entreprises ». Pour les Français situés entre les 3 % et les 20 % les plus riches, le revenu augmente à hauteur de 1 %. Les ultra-riches, eux, voient leur revenu en hausse de 2 % en 2020, soit un gain de près de 4 500 euros. Le ruissellement promis par Emmanuel Macron fonctionne donc à merveille, pour les plus aisés.
Ryanne- Connaisseur
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Re: La politique des bas salaires
ET OUI LE GRAND RETOUR DE LA POLITIQUE DES BAS SALAIRES !!!
Les investissements des entreprises étrangères détruisent la France car ils n'ont pas cessé de détruire des emplois avant, pendant et après la crise Covid.
Ce n'est donc clairement pas un problème de chômage, la logique est erronée mais bien de TEMPS DE TRAVAIL. Les chômeurs ne travaillent pas assez car les offres d'emploi sont des contrats précaires.
Dans cette étude, percevoir un bas salaire ne correspond pas à être payé au Smic. C’est principalement le faible volume d’heures travaillées qui fait basculer les personnes en dessous du seuil de bas salaire, et ce, même avec un salaire horaire perçu supérieur au seuil minimum légal. Inversement, plus de 80 % des salariés rémunérés sur la base du Smic perçoivent un salaire plus élevé, car s’y ajoutent d’autres revenus comme des primes ou des heures supplémentaires.
Le taux de pauvreté correspond à la proportion de ménages dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté (exprimé en euros), fixé à 60 % du niveau de vie médian soit 1 015 euros en 2015.
Le salaire utilisé dans cette étude est celui perçu pendant les périodes de travail. Lorsqu’ils sont en activité, les salariés perçoivent un salaire issu de leur travail ; il est, en moyenne, de 1 908 euros net par mois dans la région. Cette rémunération peut correspondre à des conditions d’emploi diverses. Le salarié peut ainsi avoir travaillé à temps complet ou à temps partiel sur la période.
Par convention, un bas salaire correspond à un salaire inférieur aux deux tiers du salaire médian de l’ensemble des salariés. Ce salaire médian est de 1 700 euros net par mois en France métropolitaine en 2015, ce qui place le seuil de bas salaire à 1 140 euros.
Les investissements des entreprises étrangères détruisent la France car ils n'ont pas cessé de détruire des emplois avant, pendant et après la crise Covid.
Ce n'est donc clairement pas un problème de chômage, la logique est erronée mais bien de TEMPS DE TRAVAIL. Les chômeurs ne travaillent pas assez car les offres d'emploi sont des contrats précaires.
Dans cette étude, percevoir un bas salaire ne correspond pas à être payé au Smic. C’est principalement le faible volume d’heures travaillées qui fait basculer les personnes en dessous du seuil de bas salaire, et ce, même avec un salaire horaire perçu supérieur au seuil minimum légal. Inversement, plus de 80 % des salariés rémunérés sur la base du Smic perçoivent un salaire plus élevé, car s’y ajoutent d’autres revenus comme des primes ou des heures supplémentaires.
Le taux de pauvreté correspond à la proportion de ménages dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté (exprimé en euros), fixé à 60 % du niveau de vie médian soit 1 015 euros en 2015.
Le salaire utilisé dans cette étude est celui perçu pendant les périodes de travail. Lorsqu’ils sont en activité, les salariés perçoivent un salaire issu de leur travail ; il est, en moyenne, de 1 908 euros net par mois dans la région. Cette rémunération peut correspondre à des conditions d’emploi diverses. Le salarié peut ainsi avoir travaillé à temps complet ou à temps partiel sur la période.
Par convention, un bas salaire correspond à un salaire inférieur aux deux tiers du salaire médian de l’ensemble des salariés. Ce salaire médian est de 1 700 euros net par mois en France métropolitaine en 2015, ce qui place le seuil de bas salaire à 1 140 euros.
Ryanne- Connaisseur
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Date d'inscription : 10/10/2021
Re: La politique des bas salaires
Le nombre d’emplois vacants reste cependant très largement inférieur au nombre de demandeurs d’emploi : si on s’en tient aux chômeurs de catégorie A (sans aucune activité), il y a aujourd’hui un poste vacant pour treize chômeurs. En élargissant aux demandeurs d’emploi au sens plus large (avec les chômeurs de catégorie B et C), on arrive à un poste pour 22 demandeurs d’emploi. Sachant que pour qu’un emploi soit considéré comme vacant, il faut que «des démarches actives soient entreprises pour trouver un candidat convenable». Il correspond dans seulement 48 % des cas à un emploi réellement inoccupé. Dans les autres, cas, le poste à pourvoir est soit nouvellement créé, soit sur le point de se libérer.
1 chance sur 13 ou 22 ils devraient en trouver rapidos
Ryanne- Connaisseur
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Re: La politique des bas salaires
Notre définition de l’emploi précaire
Nous définissons comme précaires les emplois à durée déterminée, l’intérim et l’apprentissage. Il s’agit des emplois salariés dont la durée est limitée dans le temps. Notre définition est liée au choix de l’Insee de regrouper ces « formes particulières d’emploi ». Il est discutable d’y intégrer l’apprentissage car il associe emploi et formation. Inversement, nous ne comptons pas les emplois des non-salariés (environ 10 % de l’emploi total) dont certains sont très précaires.
Nous définissons comme précaires les emplois à durée déterminée, l’intérim et l’apprentissage. Il s’agit des emplois salariés dont la durée est limitée dans le temps. Notre définition est liée au choix de l’Insee de regrouper ces « formes particulières d’emploi ». Il est discutable d’y intégrer l’apprentissage car il associe emploi et formation. Inversement, nous ne comptons pas les emplois des non-salariés (environ 10 % de l’emploi total) dont certains sont très précaires.
Ryanne- Connaisseur
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Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:Notre définition de l’emploi précaire
Nous définissons comme précaires les emplois à durée déterminée, l’intérim et l’apprentissage. Il s’agit des emplois salariés dont la durée est limitée dans le temps. Notre définition est liée au choix de l’Insee de regrouper ces « formes particulières d’emploi ». Il est discutable d’y intégrer l’apprentissage car il associe emploi et formation. Inversement, nous ne comptons pas les emplois des non-salariés (environ 10 % de l’emploi total) dont certains sont très précaires.
La championne des emplois CDD c'est la poste banque postale malgré les millions qu'elle reçoit de l'état en subvention et aide a l'embauche . Une honte , un comportement de voyou .
lepape- Chef
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Re: La politique des bas salaires
lepape a écrit:Ryanne a écrit:Notre définition de l’emploi précaire
Nous définissons comme précaires les emplois à durée déterminée, l’intérim et l’apprentissage. Il s’agit des emplois salariés dont la durée est limitée dans le temps. Notre définition est liée au choix de l’Insee de regrouper ces « formes particulières d’emploi ». Il est discutable d’y intégrer l’apprentissage car il associe emploi et formation. Inversement, nous ne comptons pas les emplois des non-salariés (environ 10 % de l’emploi total) dont certains sont très précaires.
La championne des emplois CDD c'est la poste banque postale malgré les millions qu'elle reçoit de l'état en subvention et aide a l'embauche . Une honte , un comportement de voyou .
LA POSTE COMPORTEMENT DE VOYOU DÉNONCE A JUSTE TITRE PAR LE PAPE !!
Beaucoup de gens n'ont plus reçu leurs courriers depuis le début du confinement. Ils ont en conséquence critiqué les services de La Poste.
La majorité des bureaux de La Poste sont fermés depuis le début du confinement. On en recense que 1 600 ouverts sur 7 700. Face à ce fait, les clients ne sont pas contents. Les élus locaux non plus d'ailleurs. A noter que La Poste, ce n'est pas que le courrier, c'est aussi la Banque postale. Ce service public est-il défaillant ?
Ryanne- Connaisseur
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Re: La politique des bas salaires
en plus le facteur passe 3 fois par semaine , et non plus tout les jours ! bref ils sont où à la poste ces créations d'emploi ???lepape a écrit:Ryanne a écrit:Notre définition de l’emploi précaire
Nous définissons comme précaires les emplois à durée déterminée, l’intérim et l’apprentissage. Il s’agit des emplois salariés dont la durée est limitée dans le temps. Notre définition est liée au choix de l’Insee de regrouper ces « formes particulières d’emploi ». Il est discutable d’y intégrer l’apprentissage car il associe emploi et formation. Inversement, nous ne comptons pas les emplois des non-salariés (environ 10 % de l’emploi total) dont certains sont très précaires.
La championne des emplois CDD c'est la poste banque postale malgré les millions qu'elle reçoit de l'état en subvention et aide a l'embauche . Une honte , un comportement de voyou .
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La politique des bas salaires
aPOTRE a écrit:en plus le facteur passe 3 fois par semaine , et non plus tout les jours ! bref ils sont où à la poste ces créations d'emploi ???lepape a écrit:Ryanne a écrit:Notre définition de l’emploi précaire
Nous définissons comme précaires les emplois à durée déterminée, l’intérim et l’apprentissage. Il s’agit des emplois salariés dont la durée est limitée dans le temps. Notre définition est liée au choix de l’Insee de regrouper ces « formes particulières d’emploi ». Il est discutable d’y intégrer l’apprentissage car il associe emploi et formation. Inversement, nous ne comptons pas les emplois des non-salariés (environ 10 % de l’emploi total) dont certains sont très précaires.
La championne des emplois CDD c'est la poste banque postale malgré les millions qu'elle reçoit de l'état en subvention et aide a l'embauche . Une honte , un comportement de voyou .
Il rallonge les tournées des facteur et embauche pas , le pognon est placé dans d'autres choses que l'emploi . Ils ont raison tous , poste et autres sociètés usines etc ...on leur demande aucun justificatifs .
lepape- Chef
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Re: La politique des bas salaires
rien ne nous dit que la poste est devenu la caisse noire de l'état !lepape a écrit:aPOTRE a écrit:en plus le facteur passe 3 fois par semaine , et non plus tout les jours ! bref ils sont où à la poste ces créations d'emploi ???lepape a écrit:Ryanne a écrit:Notre définition de l’emploi précaire
Nous définissons comme précaires les emplois à durée déterminée, l’intérim et l’apprentissage. Il s’agit des emplois salariés dont la durée est limitée dans le temps. Notre définition est liée au choix de l’Insee de regrouper ces « formes particulières d’emploi ». Il est discutable d’y intégrer l’apprentissage car il associe emploi et formation. Inversement, nous ne comptons pas les emplois des non-salariés (environ 10 % de l’emploi total) dont certains sont très précaires.
La championne des emplois CDD c'est la poste banque postale malgré les millions qu'elle reçoit de l'état en subvention et aide a l'embauche . Une honte , un comportement de voyou .
Il rallonge les tournées des facteur et embauche pas , le pognon est placé dans d'autres choses que l'emploi . Ils ont raison tous , poste et autres sociètés usines etc ...on leur demande aucun justificatifs .
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: La politique des bas salaires
aPOTRE a écrit:rien ne nous dit que la poste est devenu la caisse noire de l'état !lepape a écrit:aPOTRE a écrit:en plus le facteur passe 3 fois par semaine , et non plus tout les jours ! bref ils sont où à la poste ces créations d'emploi ???lepape a écrit:Ryanne a écrit:Notre définition de l’emploi précaire
Nous définissons comme précaires les emplois à durée déterminée, l’intérim et l’apprentissage. Il s’agit des emplois salariés dont la durée est limitée dans le temps. Notre définition est liée au choix de l’Insee de regrouper ces « formes particulières d’emploi ». Il est discutable d’y intégrer l’apprentissage car il associe emploi et formation. Inversement, nous ne comptons pas les emplois des non-salariés (environ 10 % de l’emploi total) dont certains sont très précaires.
La championne des emplois CDD c'est la poste banque postale malgré les millions qu'elle reçoit de l'état en subvention et aide a l'embauche . Une honte , un comportement de voyou .
Il rallonge les tournées des facteur et embauche pas , le pognon est placé dans d'autres choses que l'emploi . Ils ont raison tous , poste et autres sociètés usines etc ...on leur demande aucun justificatifs .
J'en serais même pas étonné . Il y a plus rien qui m'étonne chez les politicards .
lepape- Chef
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BAS SALAIRES MAIS "HONNËTEMENT" POUR QUI ?????....
BAS SALAIRES !!!... Pas pour cette pléthore de personnages politiques, ministres et Président y compris qui, depuis "des générations" se gavent sur le dos des Pékins que nous sommes, ce qui serait normal s'ils étaient VRAIMENT A LA HAUTEUR DE LEUR TÂCHE, (ce qui est fort loin d'être aujourd'hui le cas malheureusement !!!)...
JPP- Postulant
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Re: La politique des bas salaires
JPP a écrit:BAS SALAIRES !!!... Pas pour cette pléthore de personnages politiques,
ministres et Président y compris qui, depuis "des générations" se gavent sur le dos des Pékins que nous sommes, ce qui serait normal s'ils étaient VRAIMENT A LA HAUTEUR DE LEUR TÂCHE, (ce qui est fort loin d'être aujourd'hui le cas malheureusement !!!)...
VIVEMENT QU'ILS DÉGAGENT !! CES IMPOSTEURS!!
Ryanne- Connaisseur
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Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:JPP a écrit:BAS SALAIRES !!!... Pas pour cette pléthore de personnages politiques,
VIVEMENT QU'ILS DÉGAGENT !! CES IMPOSTEURS!!
Ah ! oui alors vivement qu'ils dégagent ses profiteurs , que d'autres arrivent lol lol lol .
lepape- Chef
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Re: La politique des bas salaires
Ryanne a écrit:Inégalités. Sous le quinquennat Macron, 9 millions de pauvres en France
Une étude de l’Insee met en avant une augmentation du nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté. La plus forte progression depuis 2010, selon l’institut.
C’est la fin d’un secret de Polichinelle. Les réformes économiques et fiscales du gouvernement creusent les inégalités et accroissent la pauvreté. C’est ce que démontre une note de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) parue mercredi 16 octobre, intitulée « Estimation avancée du taux de pauvreté et des indicateurs d’inégalités ». Dans son étude, l’institut fait une évaluation du coefficient Gini, un outil statistique qui permet de calculer les écarts de revenus. En 2018, l’indice de Gini progresse de 0,005 point pour atteindre 0,294. C’est la première fois qu’autant de Français vivent sous le seuil de pauvreté depuis 2010.
Comment expliquer cette tendance sombre ? La hausse de l’indice de Gini est le fruit de la réforme du prélèvement forfaitaire unique (PFU), la flat tax qui limite à 30 % la taxation sur tous les revenus du capital. Cet allègement fiscal a généré un gain de 1 000 euros au profit des 5 % « les plus aisés », précise la note. Grâce au PFU, les versements des dividendes en 2018 ont largement grimpé à hauteur environ de 60 %, selon l’Insee. Rien qu’avec ces deux mesures, cet indice grimpe de 0,004 point. Le PFU est donc un mécanisme bien huilé pour aggraver les inégalités. Contrairement aux promesses du gouvernement, ces gains n’ont pas été réinvestis dans « l’appareil productif ». Point important, l’étude de l’Insee ne prend pas en compte les effets de la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune.
Les plus bas revenus sont les grands perdants des politiques économiques et fiscales
À cette hausse des inégalités, s’ajoute la progression de la pauvreté. Cette augmentation est surtout portée par la baisse des APL dans les logements sociaux, selon l’Insee. Une diminution qui « aurait le plus fort effet sur l’évolution du taux de pauvreté (+0.4 point environ) », relève l’étude. Toutefois, cette hausse est à relativiser car elle ne prend pas en compte la baisse des loyers. Le taux de pauvreté est calculé seulement sur les revenus, une diminution des dépenses n’étant pas prise en compte.
L’Insee estime ainsi que l’indice de pauvreté s’élève à 14,3 %, soit 0,2 point de plus qu’en 2017. Au total, pas moins de 9 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté en 2018.
Quel guignol Macaron! Il aurait du rester faire son stage chez Rothschild, il aurait pas pu de taper sur les chômeurs qui n'ont déjà rien pour vivre.
« Les mesures sur les prélèvements, comme la baisse de la taxe d’habitation, la bascule CSG/cotisations et l’extension du crédit d’impôt pour l’emploi de salariés à domicile aux retraités, bénéficieraient davantage aux ménages au-dessus du seuil de pauvreté », indique la note. Ces dispositifs « contribueraient donc à la hausse du seuil et du taux de pauvreté », ajoute l’Insee.Que ce soit la hausse de 50 euros en 2018 de l’allocation adulte handicapé, ou celle de l’allocation de solidarité pour les personnes âgées, revalorisée de 30 euros, ces mesures n’améliorent pas la situation des plus fragiles.
Et les coupes successives dans les prestations sociales sont trop importantes pour compenser les pertes de revenu. « Avec 2 milliards mobilisés par an,la stratégie de lutte contre la pauvreté n’est pas à la hauteur des enjeux sociaux, c’est deux fois moins que les cadeaux fiscaux aux plus riches…
Nous avons une pauvre politique pour les pauvres », a résumé Louis Maurin, fondateur de l’Observatoire des inégalités.Les ultra-riches, eux, voient leur revenu en hausse de 2 % en 2020
Même si le gouvernement a lâché quelques miettes pour calmer les colères des gilets jaunes, les mesures fiscales annoncées restent favorables aux plus riches. C’est ce que souligne la nouvelle étude de l’Institut des politiques publiques (IPP) de l’École d’économie de Paris, qui s’est penchée sur « les impacts du budget 2020 sur les ménages et les entreprises ». Pour les Français situés entre les 3 % et les 20 % les plus riches, le revenu augmente à hauteur de 1 %. Les ultra-riches, eux, voient leur revenu en hausse de 2 % en 2020, soit un gain de près de 4 500 euros. Le ruissellement promis par Emmanuel Macron fonctionne donc à merveille, pour les plus aisés.
Ryanne- Connaisseur
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