Sous le général de Gaulle Les communistes étaient tolérés
5 participants
Page 1 sur 1
Sous le général de Gaulle Les communistes étaient tolérés
En Hommage au colonel Fabien et d'Henri ROL TANGUY, le général a accepté la présence d’élément communiste dans l'armée.
Aujourd'hui ce n'est plus le cas.Nous faisons face à une ennemi déshonorable qui nous craint !
Ceci ce n'est pas pour autant que nous somems forcé de déserter ces institutions
#Vigi police.
Aujourd'hui ce n'est plus le cas.Nous faisons face à une ennemi déshonorable qui nous craint !
Ceci ce n'est pas pour autant que nous somems forcé de déserter ces institutions
#Vigi police.
Dernière édition par Plaristes le Lun 22 Nov 2021 - 20:43, édité 1 fois
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Sous le général de Gaulle Les communistes étaient tolérés
Plaristes a écrit:En Hommage au colonel Fabien et d'Henri ROL TANGUY, le général a accepté la présence d’élément communiste dans l'armée.
Aujourd'hui ce n'est plus le cas.Nous faisons face à une ennemi déshonorable qui nous craint !
Ceci ce n'est pas pour autant que nous somems forcé de déserter ces institutions
#Vigi police.
Il avait également 5 communistes dans son gouvernement de 1945 . Il pouvait guère faire autrement en souvenir de leur implication dans la résistance qui aété c'est vrai méritoire .
lepape- Chef
- Messages : 1898
Date d'inscription : 11/11/2021
Localisation : Centre
Re: Sous le général de Gaulle Les communistes étaient tolérés
Ouais mais il a fait la gueule à cause de 3 ministre communiste dans des strapontins de l’exécutif.
Et il s’est barré à cause de ça...
Il eu fallu attendre a trahison du MRP pour qu'il réalise qu'on était pas si immonde que ça, et les attentats du petit clamarts pour qu'ils commence à se méfier plus des collabos qu'il avait toléré que nous.
Et il s’est barré à cause de ça...
Il eu fallu attendre a trahison du MRP pour qu'il réalise qu'on était pas si immonde que ça, et les attentats du petit clamarts pour qu'ils commence à se méfier plus des collabos qu'il avait toléré que nous.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Sous le général de Gaulle Les communistes étaient tolérés
Le deuxième gouvernement du général de Gaulle, formé le 13 novembre 1945, est caractérisé par l'entrée de cinq ministres communistes :
Maurice Thorez, Ambroise Croizat, François Billoux, Marcel Paul et Charles Tillon ..
Maurice Thorez, Ambroise Croizat, François Billoux, Marcel Paul et Charles Tillon ..
Invité- Invité
Re: Sous le général de Gaulle Les communistes étaient tolérés
1944-1946 :
pour la première fois, les communistes participent au pouvoir. Pendant cette période, riche de changements politiques profonds, les cinq ministres communistes vont provoquer une véritable cassure dans la manière d’envisager une nouvelle politique au service de l’humain.
Le 31 août 1944, alors que les troupes alliées se battent encore sur le sol français, le général de Gaulle forme le premier gouvernement provisoire. Il compte deux communistes : François Billoux et Charles Tillon. Le 13 novembre 1945, le deuxième gouvernement du général de Gaulle est caractérisé par l’entrée de cinq ministres communistes : Maurice Thorez, Ambroise Croizat, François Billoux, Marcel Paul et Charles Tillon.
Les ministres communistes vont devenir acteurs de l’invention sociale, provoquant une véritable cassure dans la manière d’envisager une nouvelle politique au service de l’humain.
Toutes les conditions sont réunies en 1945 pour une rupture :
un programme inspiré du Conseil national de la Résistance sous-tendu par la volonté de mettre l’homme au centre de tous les choix ; un rapport de forces pour l’appliquer – 29,9 % des voix au PCF, 5 millions d’adhérents à la CGT ; une classe ouvrière grandie par sa lutte héroïque dans la Résistance ; un patronat déconsidéré par sa collaboration. S’y ajoutent des hommes issus du mouvement ouvrier et capables d’incarner ce mouvement. Des conditions repérables au fil des grands moments de notre histoire sociale et qui fondent tout changement majeur.
Dès la mise en place du deuxième gouvernement de De Gaulle, en novembre 1945, l’objectif est de mettre en application, dans un pays ruiné, les dispositions du programme du CNR.
Son préambule résonne aujourd’hui d’une actualité brûlante :
« Nous réclamons l’instauration d’une véritable démocratie sociale, impliquant l’éviction des féodalités financières de la direction de l’économie et le retour à la nation des moyens de production, de l’énergie, des richesses du sous-sol… »
Empruntons, pour ce faire, le sillage de deux ministres à l’œuvre, sans doute deux des grands innovateurs sociaux du siècle : Ambroise Croizat et Marcel Paul.
Le soir même de sa nomination au ministère du Travail, Croizat, fils de manœuvre, secrétaire de la fédération CGT des métaux, donne le sens de son combat. Ses premiers mots sont pour le peuple :
« Ministre du Travail, j’entends demeurer fidèle à mon origine, à mes attaches ouvrières, et mettre mon expérience syndicale au service de la nation. » Son discours signe la force du changement :
« Nous mettrons l’homme à l’abri du besoin. Nous en finirons enfin avec les angoisses du lendemain ! »
Il lance parallèlement un appel au peuple mobilisé, à l’irruption d’une dynamique sociale nécessaire au changement :
« Il n’y a pas de politique efficace sans l’accompagnement d’un peuple vigilant. Rien ne pourra se faire sans vous. Le changement n’est pas qu’une affaire de lois. Il réclame votre participation dans la rue, la cité, l’entreprise. Il demande vos mains ! »
Cet appel s’accompagne d’une forte présence sur le terrain, qui rompt avec la politique clanique et électoraliste de la IIIe République. François Billoux le rappelle dans son livre, Quand nous étions ministres :
« L’essentiel du temps de nos ministres se passait en réunions directes au cœur des entreprises, dans les hôpitaux, les municipalités. Il s’agissait de vraies discussions, où les gens apportaient leurs propositions, leurs solutions. »
Les premiers pas d’une démocratie participative qui aboutit à la création de 138 caisses de Sécurité sociale gérées par les travailleurs.
Même exigence au ministère de la Production industrielle, où Marcel Paul, le jour de son investiture, s’adresse ainsi aux hauts fonctionnaires :
« On ne vous paie pas pour que vous m’indiquiez les articles du Code m’interdisant de réformer, mais pour y trouver ceux qui vont me le permettre ! » Et les électriciens et gaziers, devenus par le biais de la nationalisation, selon les mots de Paul, « acteurs, citoyens, gérants de leur entreprise », redonneront à la France l’énergie qui lui manquait. « À développement économique à la hauteur des ambitions de la nation, il faut un statut social à la hauteur des besoins des hommes. » Cette phrase de Paul, étonnante de modernité, traverse la politique mise en place sous l’inspiration du CNR.
L’objectif est clair : allier l’essor économique au progrès social. D’où le statut des électriciens et gaziers du 22 juin 1946, celui des mineurs, ou, avec Croizat, l’institution d’une vraie « protection sociale » qui offre les moyens d’espérer des lendemains sereins. Là est l’innovation première de la pratique des ministres communistes à la Libération. Il faut y ajouter la capacité à mener de pair deux politiques : l’une faite de grandes idées transformatrices de la société à long terme (l’instauration de la Sécurité sociale, par exemple) ; l’autre, d’une politique de satisfaction immédiate des besoins des gens : doublement du montant des allocations familiales, institution de la retraite, lois sur les heures supplémentaires, augmentation des salaires, création de la fonction publique… Un corpus de lois sociales impressionnant donne au peuple français la dignité de son identité sociale…
(*) Auteur d’Ambroise Croizat ou l’invention sociale, suivi de Lettres de prisons 1939-1941.
La Sécurité sociale « Outre le fait qu’elle ouvre le droit à la santé pour tous, la Sécurité sociale a pour objectif de relever la France de ses ruines.
Elle offre au salarié une tranquillité sociale qui lui permettra de reconstruire le pays à l’aune de ses besoins. » Ainsi s’exprime Ambroise Croizat, inaugurant le nouveau système de Sécurité sociale en 1945.
« Nous bâtirons un plan de sécurité sociale visant à assurer à tous les citoyens des moyens d’existence au cas où ils sont incapables de se les procurer par le travail avec gestion des intéressés et de l’État. »
Croizat reprend l’article 21 de la Déclaration des droits de l’homme de 1793 qui établissait le droit au travail et à la santé. Cent trente-huit caisses sont édifiées en moins de huit mois sous sa maîtrise d’œuvre par un peuple anonyme après le travail ou sur le temps des congés.
Quatre principes charpentent l’institution.
L’Unicité : tous les « risques sociaux » sont regroupés dans une seule caisse en proximité des assurés ;
la Solidarité : pilier de l’édifice qui est financé par les richesses créées dans l’entreprise ;
l’Universalité ;
la Démocratie.
pour la première fois, les communistes participent au pouvoir. Pendant cette période, riche de changements politiques profonds, les cinq ministres communistes vont provoquer une véritable cassure dans la manière d’envisager une nouvelle politique au service de l’humain.
Le 31 août 1944, alors que les troupes alliées se battent encore sur le sol français, le général de Gaulle forme le premier gouvernement provisoire. Il compte deux communistes : François Billoux et Charles Tillon. Le 13 novembre 1945, le deuxième gouvernement du général de Gaulle est caractérisé par l’entrée de cinq ministres communistes : Maurice Thorez, Ambroise Croizat, François Billoux, Marcel Paul et Charles Tillon.
Les ministres communistes vont devenir acteurs de l’invention sociale, provoquant une véritable cassure dans la manière d’envisager une nouvelle politique au service de l’humain.
Toutes les conditions sont réunies en 1945 pour une rupture :
un programme inspiré du Conseil national de la Résistance sous-tendu par la volonté de mettre l’homme au centre de tous les choix ; un rapport de forces pour l’appliquer – 29,9 % des voix au PCF, 5 millions d’adhérents à la CGT ; une classe ouvrière grandie par sa lutte héroïque dans la Résistance ; un patronat déconsidéré par sa collaboration. S’y ajoutent des hommes issus du mouvement ouvrier et capables d’incarner ce mouvement. Des conditions repérables au fil des grands moments de notre histoire sociale et qui fondent tout changement majeur.
Dès la mise en place du deuxième gouvernement de De Gaulle, en novembre 1945, l’objectif est de mettre en application, dans un pays ruiné, les dispositions du programme du CNR.
Son préambule résonne aujourd’hui d’une actualité brûlante :
« Nous réclamons l’instauration d’une véritable démocratie sociale, impliquant l’éviction des féodalités financières de la direction de l’économie et le retour à la nation des moyens de production, de l’énergie, des richesses du sous-sol… »
Empruntons, pour ce faire, le sillage de deux ministres à l’œuvre, sans doute deux des grands innovateurs sociaux du siècle : Ambroise Croizat et Marcel Paul.
Le soir même de sa nomination au ministère du Travail, Croizat, fils de manœuvre, secrétaire de la fédération CGT des métaux, donne le sens de son combat. Ses premiers mots sont pour le peuple :
« Ministre du Travail, j’entends demeurer fidèle à mon origine, à mes attaches ouvrières, et mettre mon expérience syndicale au service de la nation. » Son discours signe la force du changement :
« Nous mettrons l’homme à l’abri du besoin. Nous en finirons enfin avec les angoisses du lendemain ! »
Il lance parallèlement un appel au peuple mobilisé, à l’irruption d’une dynamique sociale nécessaire au changement :
« Il n’y a pas de politique efficace sans l’accompagnement d’un peuple vigilant. Rien ne pourra se faire sans vous. Le changement n’est pas qu’une affaire de lois. Il réclame votre participation dans la rue, la cité, l’entreprise. Il demande vos mains ! »
Cet appel s’accompagne d’une forte présence sur le terrain, qui rompt avec la politique clanique et électoraliste de la IIIe République. François Billoux le rappelle dans son livre, Quand nous étions ministres :
« L’essentiel du temps de nos ministres se passait en réunions directes au cœur des entreprises, dans les hôpitaux, les municipalités. Il s’agissait de vraies discussions, où les gens apportaient leurs propositions, leurs solutions. »
Les premiers pas d’une démocratie participative qui aboutit à la création de 138 caisses de Sécurité sociale gérées par les travailleurs.
Même exigence au ministère de la Production industrielle, où Marcel Paul, le jour de son investiture, s’adresse ainsi aux hauts fonctionnaires :
« On ne vous paie pas pour que vous m’indiquiez les articles du Code m’interdisant de réformer, mais pour y trouver ceux qui vont me le permettre ! » Et les électriciens et gaziers, devenus par le biais de la nationalisation, selon les mots de Paul, « acteurs, citoyens, gérants de leur entreprise », redonneront à la France l’énergie qui lui manquait. « À développement économique à la hauteur des ambitions de la nation, il faut un statut social à la hauteur des besoins des hommes. » Cette phrase de Paul, étonnante de modernité, traverse la politique mise en place sous l’inspiration du CNR.
L’objectif est clair : allier l’essor économique au progrès social. D’où le statut des électriciens et gaziers du 22 juin 1946, celui des mineurs, ou, avec Croizat, l’institution d’une vraie « protection sociale » qui offre les moyens d’espérer des lendemains sereins. Là est l’innovation première de la pratique des ministres communistes à la Libération. Il faut y ajouter la capacité à mener de pair deux politiques : l’une faite de grandes idées transformatrices de la société à long terme (l’instauration de la Sécurité sociale, par exemple) ; l’autre, d’une politique de satisfaction immédiate des besoins des gens : doublement du montant des allocations familiales, institution de la retraite, lois sur les heures supplémentaires, augmentation des salaires, création de la fonction publique… Un corpus de lois sociales impressionnant donne au peuple français la dignité de son identité sociale…
(*) Auteur d’Ambroise Croizat ou l’invention sociale, suivi de Lettres de prisons 1939-1941.
La Sécurité sociale « Outre le fait qu’elle ouvre le droit à la santé pour tous, la Sécurité sociale a pour objectif de relever la France de ses ruines.
Elle offre au salarié une tranquillité sociale qui lui permettra de reconstruire le pays à l’aune de ses besoins. » Ainsi s’exprime Ambroise Croizat, inaugurant le nouveau système de Sécurité sociale en 1945.
« Nous bâtirons un plan de sécurité sociale visant à assurer à tous les citoyens des moyens d’existence au cas où ils sont incapables de se les procurer par le travail avec gestion des intéressés et de l’État. »
Croizat reprend l’article 21 de la Déclaration des droits de l’homme de 1793 qui établissait le droit au travail et à la santé. Cent trente-huit caisses sont édifiées en moins de huit mois sous sa maîtrise d’œuvre par un peuple anonyme après le travail ou sur le temps des congés.
Quatre principes charpentent l’institution.
L’Unicité : tous les « risques sociaux » sont regroupés dans une seule caisse en proximité des assurés ;
la Solidarité : pilier de l’édifice qui est financé par les richesses créées dans l’entreprise ;
l’Universalité ;
la Démocratie.
Invité- Invité
Re: Sous le général de Gaulle Les communistes étaient tolérés
Ecoutez Friot sur la solidarité au passage.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Sous le général de Gaulle Les communistes étaient tolérés
lepape a écrit:Plaristes a écrit:En Hommage au colonel Fabien et d'Henri ROL TANGUY, le général a accepté la présence d’élément communiste dans l'armée.
Aujourd'hui ce n'est plus le cas.Nous faisons face à une ennemi déshonorable qui nous craint !
Ceci ce n'est pas pour autant que nous somems forcé de déserter ces institutions
#Vigi police.
Il avait également 5 communistes dans son gouvernement de 1945 . Il pouvait guère faire autrement en souvenir de leur implication dans la résistance qui aété c'est vrai méritoire .
C'était aussi pour mettre en application le programme du CNR
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32751
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Sous le général de Gaulle Les communistes étaient tolérés
Stun'Eneb a écrit:Le deuxième gouvernement du général de Gaulle, formé le 13 novembre 1945, est caractérisé par l'entrée de cinq ministres communistes :
Maurice Thorez, Ambroise Croizat, François Billoux, Marcel Paul et Charles Tillon ..
Thorez , déserteur en 1939 planqué à Moscou pendant toute la durée de la guerre , il était quand même un peu con mongénéral .
Dites donc les cocos vous n'en avez pas marre de falsifier l'histoire , pendant que d'Estienne d'Orves action française était fusillé pour fait de résistance , vos ainés léchaient le cul des allemands pour demander la reparution de votre torchon l'humanité .
Bande de pourriture !
don Salluste- Impétrant
- Messages : 502
Date d'inscription : 03/05/2021
Re: Sous le général de Gaulle Les communistes étaient tolérés
don Salluste a écrit:
Thorez , déserteur en 1939 planqué à Moscou pendant toute la durée de la guerre , il était quand même un peu con mongénéral .
!
Mais pas Charles Tillon ni Ambroise Croizat quand même respect ce sont des héros de la résistance !
(Bon c'est vrai que Charles Tillon sera écarté de la direction PC en suite)
Francis XV- Sage
- Messages : 6981
Date d'inscription : 28/07/2020
Re: Sous le général de Gaulle Les communistes étaient tolérés
Volog a écrit:lepape a écrit:Plaristes a écrit:En Hommage au colonel Fabien et d'Henri ROL TANGUY, le général a accepté la présence d’élément communiste dans l'armée.
Aujourd'hui ce n'est plus le cas.Nous faisons face à une ennemi déshonorable qui nous craint !
Ceci ce n'est pas pour autant que nous somems forcé de déserter ces institutions
#Vigi police.
Il avait également 5 communistes dans son gouvernement de 1945 . Il pouvait guère faire autrement en souvenir de leur implication dans la résistance qui aété c'est vrai méritoire .
C'était aussi pour mettre en application le programme du CNR
EEEEErrmm Certaines force politique (socialopes MRP) l'ont signé avec la volonté de pas l'appliquer, les gaullistes inclus.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Sujets similaires
» Discours de Pierre de Gaulle, petit-fils du général de Gaulle à l’occasion de la Fête Nationale de la Fédération de Russie.
» 99% des sabotages d'usine par les communistes étaient pour empêcher la livraison d'armes aux fachos.
» Pourquoi les patriotes doivent être communistes? Demandons à de Gaulle.
» La fermeté du général de Gaulle vis-à-vis des Soviétiques
» Le petit fils du général de Gaulle assite à la comémmoration de Stalinegrad.
» 99% des sabotages d'usine par les communistes étaient pour empêcher la livraison d'armes aux fachos.
» Pourquoi les patriotes doivent être communistes? Demandons à de Gaulle.
» La fermeté du général de Gaulle vis-à-vis des Soviétiques
» Le petit fils du général de Gaulle assite à la comémmoration de Stalinegrad.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum