Malik Oussekine
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Malik Oussekine
Affaire Malik Oussekine. Violence policière française. L’affaire Malik Oussekine est une affaire de violence policière française ayant provoqué la mort de Malik Oussekine, dans la nuit du 5 au 6 décembre 1986 à Paris.
A l'époque j'étais étudiant et je manifestais contre la réforme des universités d’Alain Devaquet.
Le gouvernement avait mis en place des patrouilles de voltigeurs en moto, dont le but était d'écraser la contestation physiquement.
Place Beauvau, l'ex-chef du SAC, à l'origine de lois anti-immigrés, ne s'embarrasse pas de libertés et de droits de l'homme. De violents affrontements entre jeunes et forces de l'ordre émaillent quotidiennement les manifestations, Malik Oussekine a été tué par des « voltigeurs ».
Les voltigeurs ont été remis en service par Robert Pandraud, ministre délégué à la Sécurité auprès du ministre de l'Intérieur, Charles Pasqua. Ce sont des policiers montés à deux sur une moto tout-terrain ; l’un conduit, l’autre est armé d’un « bidule », grande matraque de bois dur destinée à faire le vide au passage de la moto.
Tué le 6 décembre 1986 lors de manifestations étudiantes, il est le symbole des violences policières qui font de la France la lanterne rouge de l'Europe en matière de droits humains.
Son nom a laissé son empreinte dans le cœur de toute une génération. Malik Oussekine, massacré par des policiers dans la nuit du 5 au 6 décembre 1986, rue Monsieur-le-Prince, à Paris, est à la fois le symbole des violences policières et de leur impunité, mais aussi d’un racisme très ancré dans la société et jusqu’au plus haut niveau de l’État.
La situation bascule alors. Le projet de loi est retiré, mais un innocent est mort assassiné par des policiers impunis. Un crime couvert par le plus haut niveau de l'état.
Son nom a laissé son empreinte dans le cœur de toute une génération.
A l'époque j'étais étudiant et je manifestais contre la réforme des universités d’Alain Devaquet.
Le gouvernement avait mis en place des patrouilles de voltigeurs en moto, dont le but était d'écraser la contestation physiquement.
Place Beauvau, l'ex-chef du SAC, à l'origine de lois anti-immigrés, ne s'embarrasse pas de libertés et de droits de l'homme. De violents affrontements entre jeunes et forces de l'ordre émaillent quotidiennement les manifestations, Malik Oussekine a été tué par des « voltigeurs ».
Les voltigeurs ont été remis en service par Robert Pandraud, ministre délégué à la Sécurité auprès du ministre de l'Intérieur, Charles Pasqua. Ce sont des policiers montés à deux sur une moto tout-terrain ; l’un conduit, l’autre est armé d’un « bidule », grande matraque de bois dur destinée à faire le vide au passage de la moto.
Tué le 6 décembre 1986 lors de manifestations étudiantes, il est le symbole des violences policières qui font de la France la lanterne rouge de l'Europe en matière de droits humains.
Son nom a laissé son empreinte dans le cœur de toute une génération. Malik Oussekine, massacré par des policiers dans la nuit du 5 au 6 décembre 1986, rue Monsieur-le-Prince, à Paris, est à la fois le symbole des violences policières et de leur impunité, mais aussi d’un racisme très ancré dans la société et jusqu’au plus haut niveau de l’État.
La situation bascule alors. Le projet de loi est retiré, mais un innocent est mort assassiné par des policiers impunis. Un crime couvert par le plus haut niveau de l'état.
Son nom a laissé son empreinte dans le cœur de toute une génération.
Invité- Invité
Re: Malik Oussekine
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Évoquer cet accident, totem d'une extrême gauche aux abois, 36 ans après les faits montre bien qu'il est unique, exceptionnel et tragique en même temps.
Il ne s'est jamais reproduit, merci à vous de le reconnaître !
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Évoquer cet accident, totem d'une extrême gauche aux abois, 36 ans après les faits montre bien qu'il est unique, exceptionnel et tragique en même temps.
Il ne s'est jamais reproduit, merci à vous de le reconnaître !
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Fabrice Chotard aime ce message
Re: Malik Oussekine
que faisait il dans une manif violente, avec un état de santé déplorable
il est mort que faire de plus 35 ans on passer
il est mort que faire de plus 35 ans on passer
lambertini- Chef
- Messages : 1121
Date d'inscription : 20/10/2012
Localisation : normandie
Re: Malik Oussekine
Trente-six ans après, le destin tragique de Malik Oussekine, étudiant matraqué à mort dans la nuit du 5 au 6 décembre 1986 à Paris par des policiers, fait l’objet d’une série diffusée depuis le 11 mai 2022 sur la plateforme de vidéo à la demande Disney +. Que s’est-il réellement passé il y a trente-six ans ?
En hiver 1986, la France est en pleine cohabitation. Le socialiste François Mitterrand est président de la République tandis que Jacques Chirac occupe les fonctions de Premier ministre depuis que le RPR a remporté les élections législatives en mars 1986.
À cette époque, un mouvement lycéen et étudiant agite le pays. L’objet de la contestation est le projet de loi Devaquet, du nom du ministre chargé de l’Enseignement supérieur : Alain Devaquet. Cette réforme voulue par Jacques Chirac prévoit notamment de sélectionner les étudiants et de mettre en concurrence les universités. Loin de plaire, elle provoque la colère de ces derniers et des lycéens, qui n’hésitent pas à battre le pavé. Petit à petit les actions se durcissent.
« Fragile, solitaire, incapable de violence »
C’est dans ce contexte que des manifestations ont lieu à Paris du 5 au 6 décembre 1986. Après l’évacuation dans le calme de l’université de la Sorbonne dans la nuit, des barricades sont érigées dans le VIe arrondissement de la capitale. Des équipes de « voltigeurs » interviennent. Ce sont des policiers de la préfecture de Paris qui appartiennent aux brigades du même nom. Elles regroupaient entre 1968 et 1986 des fonctionnaires de police à moto. Il y a deux policiers par deux-roues. L’un conduit, l’autre est armé d’une matraque. Ils étaient supposés pénétrer dans les manifestations pour mieux les disperser.
Malik Oussekine, étudiant de 22 ans inscrit à l’École supérieure des professions immobilières (EPSI) se trouve ce soir-là dans la rue. Mais il n’est en rien impliqué dans la mobilisation contre le projet Devaquet.
Le jeune homme, décrit comme « fragile, solitaire, incapable de violence, souffrant de problèmes rénaux et loin du profil de casseur de fin de manif » dans les colonnes de Ouest-France en 1986, sort d’un concert, rue Monsieur-le-Prince. Il s’apprête à rentrer dans sa chambre de bonne située, dans le XVe arrondissement.
« Deux policiers s’engouffrent dans le hall… »
L’étudiant français, issue d’une famille bourgeoise algérienne, se retrouve alors en pleine manifestation au cœur du Quartier Latin. Assimilé à tort aux manifestants, celui qui est membre d’une fratrie de six frères et sœurs est poursuivi par des policiers jusque dans un hall d’immeuble. Un témoin assiste à la scène.
« Je rentrais chez moi. Au moment de refermer la porte après avoir composé le code, je vois le visage affolé d’un jeune homme. Je le fais passer et je veux refermer la porte, avait raconté à l’époque à la presse Paul Bayzelon, un fonctionnaire du ministère des Finances. Deux policiers s’engouffrent dans le hall, se précipitent sur le type réfugié au fond et le frappent avec une violence incroyable. […] La victime se contentait de crier : “Je n’ai rien fait, je n’ai rien fait !” »
« Je ne me souviens plus combien de temps a duré le matraquage, avait confié l’unique témoin dans les colonnes d’Ouest-France peu après. J’étais complètement sonné. Le jeune homme à côté de moi hurlait : “Laissez-moi, laissez-moi ! » Pris en charge à l’hôpital Cochin, Malik Oussekine décède à 3 h 20 du matin, des suites d’une crise cardiaque, le 6 décembre 1986.
30 000 personnes défilent à Paris
Le lendemain, des manifestations silencieuses à la mémoire du jeune homme rassemblent des milliers de personnes partout en France. Pas moins de 30 000 d’entre elles défilent à Paris en silence, portant des pancartes : « Ils ont tué Malik ».
« Sa mort, tel un symbole, a motivé d’autant plus la jeunesse française à sortir dans les rues pour dénoncer les violences policières », soulignait en 2021 Vanity Fair, lors de la commémoration des 35 ans du drame.
Le 8 décembre 1986, le projet de loi universitaire est retiré et le ministre Alain Devaquet démissionne dans la foulée. Trois mois plus tard, le ministre délégué à la Sécurité, Robert Pandraud, déclenchait une nouvelle polémique en déclarant à des journalistes du Monde que Malik Oussekine « n’était pas le héros des étudiants français qu’on a dit » et en ajoutant : « Si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais de faire le con dans la nuit », rappelle l’Agence France-Presse.
Les brigades de voltigeurs sont dissoutes et les deux fonctionnaires directement impliqués dans sa mort, le brigadier Jean Schmitt et le gardien Christophe Garcia, 53 et 23 ans à l’époque des faits, ont été jugés trois ans plus tard aux assises de Paris pour « coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Ils sont condamnés le 27 janvier 1990 à deux et cinq ans de prison avec sursis. Environ 2 000 personnes ont manifesté le surlendemain devant le Palais de Justice contre ce qui a été qualifié de « verdict de clémence ».
En hiver 1986, la France est en pleine cohabitation. Le socialiste François Mitterrand est président de la République tandis que Jacques Chirac occupe les fonctions de Premier ministre depuis que le RPR a remporté les élections législatives en mars 1986.
À cette époque, un mouvement lycéen et étudiant agite le pays. L’objet de la contestation est le projet de loi Devaquet, du nom du ministre chargé de l’Enseignement supérieur : Alain Devaquet. Cette réforme voulue par Jacques Chirac prévoit notamment de sélectionner les étudiants et de mettre en concurrence les universités. Loin de plaire, elle provoque la colère de ces derniers et des lycéens, qui n’hésitent pas à battre le pavé. Petit à petit les actions se durcissent.
« Fragile, solitaire, incapable de violence »
C’est dans ce contexte que des manifestations ont lieu à Paris du 5 au 6 décembre 1986. Après l’évacuation dans le calme de l’université de la Sorbonne dans la nuit, des barricades sont érigées dans le VIe arrondissement de la capitale. Des équipes de « voltigeurs » interviennent. Ce sont des policiers de la préfecture de Paris qui appartiennent aux brigades du même nom. Elles regroupaient entre 1968 et 1986 des fonctionnaires de police à moto. Il y a deux policiers par deux-roues. L’un conduit, l’autre est armé d’une matraque. Ils étaient supposés pénétrer dans les manifestations pour mieux les disperser.
Malik Oussekine, étudiant de 22 ans inscrit à l’École supérieure des professions immobilières (EPSI) se trouve ce soir-là dans la rue. Mais il n’est en rien impliqué dans la mobilisation contre le projet Devaquet.
Le jeune homme, décrit comme « fragile, solitaire, incapable de violence, souffrant de problèmes rénaux et loin du profil de casseur de fin de manif » dans les colonnes de Ouest-France en 1986, sort d’un concert, rue Monsieur-le-Prince. Il s’apprête à rentrer dans sa chambre de bonne située, dans le XVe arrondissement.
« Deux policiers s’engouffrent dans le hall… »
L’étudiant français, issue d’une famille bourgeoise algérienne, se retrouve alors en pleine manifestation au cœur du Quartier Latin. Assimilé à tort aux manifestants, celui qui est membre d’une fratrie de six frères et sœurs est poursuivi par des policiers jusque dans un hall d’immeuble. Un témoin assiste à la scène.
« Je rentrais chez moi. Au moment de refermer la porte après avoir composé le code, je vois le visage affolé d’un jeune homme. Je le fais passer et je veux refermer la porte, avait raconté à l’époque à la presse Paul Bayzelon, un fonctionnaire du ministère des Finances. Deux policiers s’engouffrent dans le hall, se précipitent sur le type réfugié au fond et le frappent avec une violence incroyable. […] La victime se contentait de crier : “Je n’ai rien fait, je n’ai rien fait !” »
« Je ne me souviens plus combien de temps a duré le matraquage, avait confié l’unique témoin dans les colonnes d’Ouest-France peu après. J’étais complètement sonné. Le jeune homme à côté de moi hurlait : “Laissez-moi, laissez-moi ! » Pris en charge à l’hôpital Cochin, Malik Oussekine décède à 3 h 20 du matin, des suites d’une crise cardiaque, le 6 décembre 1986.
30 000 personnes défilent à Paris
Le lendemain, des manifestations silencieuses à la mémoire du jeune homme rassemblent des milliers de personnes partout en France. Pas moins de 30 000 d’entre elles défilent à Paris en silence, portant des pancartes : « Ils ont tué Malik ».
« Sa mort, tel un symbole, a motivé d’autant plus la jeunesse française à sortir dans les rues pour dénoncer les violences policières », soulignait en 2021 Vanity Fair, lors de la commémoration des 35 ans du drame.
Le 8 décembre 1986, le projet de loi universitaire est retiré et le ministre Alain Devaquet démissionne dans la foulée. Trois mois plus tard, le ministre délégué à la Sécurité, Robert Pandraud, déclenchait une nouvelle polémique en déclarant à des journalistes du Monde que Malik Oussekine « n’était pas le héros des étudiants français qu’on a dit » et en ajoutant : « Si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais de faire le con dans la nuit », rappelle l’Agence France-Presse.
Les brigades de voltigeurs sont dissoutes et les deux fonctionnaires directement impliqués dans sa mort, le brigadier Jean Schmitt et le gardien Christophe Garcia, 53 et 23 ans à l’époque des faits, ont été jugés trois ans plus tard aux assises de Paris pour « coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Ils sont condamnés le 27 janvier 1990 à deux et cinq ans de prison avec sursis. Environ 2 000 personnes ont manifesté le surlendemain devant le Palais de Justice contre ce qui a été qualifié de « verdict de clémence ».
Invité- Invité
Re: Malik Oussekine
Guernica a écrit:Trente-six ans après, le destin tragique de Malik Oussekine, étudiant matraqué à mort dans la nuit du 5 au 6 décembre 1986 à Paris par des policiers, fait l’objet d’une série diffusée depuis le 11 mai 2022 sur la plateforme de vidéo à la demande Disney +. Que s’est-il réellement passé il y a trente-six ans ?
En hiver 1986, la France est en pleine cohabitation. Le socialiste François Mitterrand est président de la République tandis que Jacques Chirac occupe les fonctions de Premier ministre depuis que le RPR a remporté les élections législatives en mars 1986.
À cette époque, un mouvement lycéen et étudiant agite le pays. L’objet de la contestation est le projet de loi Devaquet, du nom du ministre chargé de l’Enseignement supérieur : Alain Devaquet. Cette réforme voulue par Jacques Chirac prévoit notamment de sélectionner les étudiants et de mettre en concurrence les universités. Loin de plaire, elle provoque la colère de ces derniers et des lycéens, qui n’hésitent pas à battre le pavé. Petit à petit les actions se durcissent.
« Fragile, solitaire, incapable de violence »
C’est dans ce contexte que des manifestations ont lieu à Paris du 5 au 6 décembre 1986. Après l’évacuation dans le calme de l’université de la Sorbonne dans la nuit, des barricades sont érigées dans le VIe arrondissement de la capitale. Des équipes de « voltigeurs » interviennent. Ce sont des policiers de la préfecture de Paris qui appartiennent aux brigades du même nom. Elles regroupaient entre 1968 et 1986 des fonctionnaires de police à moto. Il y a deux policiers par deux-roues. L’un conduit, l’autre est armé d’une matraque. Ils étaient supposés pénétrer dans les manifestations pour mieux les disperser.
Malik Oussekine, étudiant de 22 ans inscrit à l’École supérieure des professions immobilières (EPSI) se trouve ce soir-là dans la rue. Mais il n’est en rien impliqué dans la mobilisation contre le projet Devaquet.
Le jeune homme, décrit comme « fragile, solitaire, incapable de violence, souffrant de problèmes rénaux et loin du profil de casseur de fin de manif » dans les colonnes de Ouest-France en 1986, sort d’un concert, rue Monsieur-le-Prince. Il s’apprête à rentrer dans sa chambre de bonne située, dans le XVe arrondissement.
« Deux policiers s’engouffrent dans le hall… »
L’étudiant français, issue d’une famille bourgeoise algérienne, se retrouve alors en pleine manifestation au cœur du Quartier Latin. Assimilé à tort aux manifestants, celui qui est membre d’une fratrie de six frères et sœurs est poursuivi par des policiers jusque dans un hall d’immeuble. Un témoin assiste à la scène.
« Je rentrais chez moi. Au moment de refermer la porte après avoir composé le code, je vois le visage affolé d’un jeune homme. Je le fais passer et je veux refermer la porte, avait raconté à l’époque à la presse Paul Bayzelon, un fonctionnaire du ministère des Finances. Deux policiers s’engouffrent dans le hall, se précipitent sur le type réfugié au fond et le frappent avec une violence incroyable. […] La victime se contentait de crier : “Je n’ai rien fait, je n’ai rien fait !” »
« Je ne me souviens plus combien de temps a duré le matraquage, avait confié l’unique témoin dans les colonnes d’Ouest-France peu après. J’étais complètement sonné. Le jeune homme à côté de moi hurlait : “Laissez-moi, laissez-moi ! » Pris en charge à l’hôpital Cochin, Malik Oussekine décède à 3 h 20 du matin, des suites d’une crise cardiaque, le 6 décembre 1986.
30 000 personnes défilent à Paris
Le lendemain, des manifestations silencieuses à la mémoire du jeune homme rassemblent des milliers de personnes partout en France. Pas moins de 30 000 d’entre elles défilent à Paris en silence, portant des pancartes : « Ils ont tué Malik ».
« Sa mort, tel un symbole, a motivé d’autant plus la jeunesse française à sortir dans les rues pour dénoncer les violences policières », soulignait en 2021 Vanity Fair, lors de la commémoration des 35 ans du drame.
Le 8 décembre 1986, le projet de loi universitaire est retiré et le ministre Alain Devaquet démissionne dans la foulée. Trois mois plus tard, le ministre délégué à la Sécurité, Robert Pandraud, déclenchait une nouvelle polémique en déclarant à des journalistes du Monde que Malik Oussekine « n’était pas le héros des étudiants français qu’on a dit » et en ajoutant : « Si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais de faire le con dans la nuit », rappelle l’Agence France-Presse.
Les brigades de voltigeurs sont dissoutes et les deux fonctionnaires directement impliqués dans sa mort, le brigadier Jean Schmitt et le gardien Christophe Garcia, 53 et 23 ans à l’époque des faits, ont été jugés trois ans plus tard aux assises de Paris pour « coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Ils sont condamnés le 27 janvier 1990 à deux et cinq ans de prison avec sursis. Environ 2 000 personnes ont manifesté le surlendemain devant le Palais de Justice contre ce qui a été qualifié de « verdict de clémence ».
Tu l'as déjà dit un fois mec, inutile de répéter....
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Malik Oussekine
Plus récemment il y a le SDF mohammed Gabsi et le libreur Cédric Chouviat !
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Malik Oussekine
Plaristes a écrit:Plus récemment il y a le SDF mohammed Gabsi et le libreur Cédric Chouviat !
Ce sont de regrettables incidents, la justice dira ce qu'il en est.
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Malik Oussekine
La justice intervient toujours après la tragédie c'est à dire quand il est déjà trop tard.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Malik Oussekine
Ouais c'est une bavure ... pour une fois que c'était un "bon arabe" ... y'en a si peu
Compte supprimé Ejainiste- Sage
- Messages : 3041
Date d'inscription : 04/09/2020
Localisation : DentonQ
Re: Malik Oussekine
sinon depuis il y a eu un génocide "vaccinal" mais c'est un détail.
_________________
Ferdinand de Talmont- Vénérable
- Messages : 14241
Date d'inscription : 06/02/2010
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