L’école de la république, agent de la perversion
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L’école de la république, agent de la perversion
« Le 29 septembre 2021, Jean-Michel Blanquer publiait une Circulaire adressée à tous les membres de la communauté éducative intitulée ‘’Pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l'identité de genre en milieu scolaire’’ » (Le Figaro du 15/11/2021). En voici un extrait : « La transidentité est un fait qui concerne l'institution scolaire. Celle-ci est en effet confrontée, à l'instar de leur famille, à des situations d'enfants - parfois dès l'école primaire - ou d'adolescents qui se questionnent sur leur identité de genre. Concrètement, si chaque situation est unique, celle-ci se manifeste souvent - chez les enfants, les adolescents et les adolescentes - par un ensemble d'actes visant à affirmer socialement leur identité de genre vécue, par exemple un changement d'allure vestimentaire et/ou la demande d'être désigné par un nouveau prénom. Elle peut également se traduire par une certaine souffrance psychique et être, parfois, la cause de harcèlement. »
SOS-Education commente : « Le phénomène se répand comme une traînée de poudre chez les adolescents. En France, c’est même devenu tendance ». Et SOS-Education cite cet appel au secours d’un père de famille, désemparé : sa fille de 15 ans, Lucie, se fait désormais appeler Lucas. Avec l’appui de son lycée, elle a entamé son « changement de genre social ». Et ce, dans le dos de ses parents, que personne n’a jugé bon de prévenir.
Certes, la circulaire Blanquer n’exclut pas les parents de la démarche de l’enfant, mais se place a priori dans le rôle de défenseur de l’enfant face aux parents : « Ainsi, si les parents de l'élève mineur s'opposent à l'utilisation d'un prénom d'usage demandé par leur enfant dans son cadre scolaire, il conviendra alors, dans l'intérêt de l'élève et à son initiative, d'instaurer un dialogue avec sa famille ». C’est d’ailleurs confirmé par l’encouragement des enseignants à soutenir le jeune dans sa démarche : « Les enseignants ont le devoir d'accompagner les jeunes et de faire preuve à leur endroit de la plus grande bienveillance, de leur laisser la possibilité d'explorer une variété de cheminements sans les stigmatiser ou les enfermer dans l'une ou l'autre voie ».
Et les cas sont nombreux de jeunes qui, après avoir subi la transformation chirurgicale de leur corps, sans retour en arrière possible, s’aperçoivent tardivement de leur erreur et restent traumatisés pour le restant de leurs jours, voire se suicident. Cette « neutralité bienveillante » est proprement criminelle.
C’est d’ailleurs totalement contraire aux enseignements de Dieu : « Aussi Dieu les a-t-il livrés selon les convoitises de leur cœur à une impureté où ils avilissent eux-mêmes leurs propres corps » (Rom 1, 24).
Il est bon de rappeler les « trois points non négociables » de Benoît XVI, dont le troisième est : la protection du droit des parents d'éduquer leurs enfants. Ce droit ne se délègue pas, surtout pas à l’Education Nationale.
SOS-Education commente : « Le phénomène se répand comme une traînée de poudre chez les adolescents. En France, c’est même devenu tendance ». Et SOS-Education cite cet appel au secours d’un père de famille, désemparé : sa fille de 15 ans, Lucie, se fait désormais appeler Lucas. Avec l’appui de son lycée, elle a entamé son « changement de genre social ». Et ce, dans le dos de ses parents, que personne n’a jugé bon de prévenir.
Certes, la circulaire Blanquer n’exclut pas les parents de la démarche de l’enfant, mais se place a priori dans le rôle de défenseur de l’enfant face aux parents : « Ainsi, si les parents de l'élève mineur s'opposent à l'utilisation d'un prénom d'usage demandé par leur enfant dans son cadre scolaire, il conviendra alors, dans l'intérêt de l'élève et à son initiative, d'instaurer un dialogue avec sa famille ». C’est d’ailleurs confirmé par l’encouragement des enseignants à soutenir le jeune dans sa démarche : « Les enseignants ont le devoir d'accompagner les jeunes et de faire preuve à leur endroit de la plus grande bienveillance, de leur laisser la possibilité d'explorer une variété de cheminements sans les stigmatiser ou les enfermer dans l'une ou l'autre voie ».
Et les cas sont nombreux de jeunes qui, après avoir subi la transformation chirurgicale de leur corps, sans retour en arrière possible, s’aperçoivent tardivement de leur erreur et restent traumatisés pour le restant de leurs jours, voire se suicident. Cette « neutralité bienveillante » est proprement criminelle.
C’est d’ailleurs totalement contraire aux enseignements de Dieu : « Aussi Dieu les a-t-il livrés selon les convoitises de leur cœur à une impureté où ils avilissent eux-mêmes leurs propres corps » (Rom 1, 24).
Voilà où conduit la défense de la laïcité
Le fait d’avoir voulu construire, il y a deux cents ans, une société sans Dieu conduit une population entière à vivre sans aucun repère et, pour certains, à s’auto-détruire. Rappelons que la volonté du Diable est de détruire la Création voulue par Dieu et qu’il a trouvé dans la franc-maçonnerie un allié prêt à mettre en œuvre cet objectif.Il est bon de rappeler les « trois points non négociables » de Benoît XVI, dont le troisième est : la protection du droit des parents d'éduquer leurs enfants. Ce droit ne se délègue pas, surtout pas à l’Education Nationale.
Non à la laïcité
Primauté des racines chrétiennes de la France
Tancrède de Hauteville- Chef
- Messages : 1118
Date d'inscription : 08/09/2021
Age : 84
Localisation : Paris
Re: L’école de la république, agent de la perversion
" Qui tient les écoles tient tout ! "
( Jean Macé )
( Jean Macé )
Paul Daumier- Impétrant
- Messages : 667
Date d'inscription : 23/10/2023
Re: L’école de la république, agent de la perversion
Ah bah si c'est Dieu qu'à dit que c'était pô bien ...
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: L’école de la république, agent de la perversion
paulau a écrit:" Qui tient les écoles tient tout ! "
( Jean Macé )
De nos jours, il faudrait passer toute sa vie à l'école pour que ça marche encore ;-)
Car après l'école, ce n'est plus l'usine à vie, mais le chômage ou la précarité (pour le plus grand nombre)
Quand il n'y a plus d'aboutissants, les tenants s'écroulent. Et la servitude volontaire n'est plus à la mode.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
- Messages : 20644
Date d'inscription : 02/01/2022
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