Il y avait plus de 100.000 manifestants à Prague

[Vladimir de Volog]

Il y avait plus de 100.000 manifestants à Prague contre les politiques antisociales du gouvernement tchèque de Petr Fiala (droite).
Le Parti communiste de Bohême et de Moravie (KSČM) était mobilisé.

Prochain rassemblement le 17 septembre.

[Revanchisti]

Il ne faut jamais oublié que les insurgé de Prague n'étaient pas des libéraux marché libre.

[Vladimir de Volog]

Il ne faut jamais oublié que les insurgé de Prague n'étaient pas des libéraux marché libre.

Alors que la bataille de Berlin faisait rage et que le Troisième Reich était sur le point de s'effondrer, la résistance tchèque (plus de 30 000 personnes), voyant là une occasion de libérer la ville du joug nazi, prend les armes contre les Allemands.

Le 9 mai 1945, la ville est libérée par les Soviétiques du premier front ukrainien (général Koniev) lors de l'offensive sur Prague.

Premier front Ukrainien


Le Premier front ukrainien (en russe : Пéрвый Укрáинский фронт ) est une formation majeure de l'armée soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale, équivalant à un groupe d'armées occidentales.



Mais ce n'est pas le sujet de ce topic.

[Jeannot Lapin]

Blabla communiste classique. Il y avait quelques milliers de manifestants, des proches de la ligne hongroise de collaboration avec les russes, ou des anciens du KGB local, qui n'ont plus trouvé de job depuis la chute du mur... ces derniers étant des potes à Volog.

Pour ce qui est de la ligne hongroise visant à diversifier les approvisionnements après que ces pays se soient fait enfournés par les autres avec la Russie, on peut les comprendre.

Le gazoduc sud-oriental entrepris par l'Autriche et la Hongrie et d'autres états d'Europe Centrale, qui devait se connecter à l'Azerbaidjan et aux Emirats Arabes Unis a été saboté par l'Italie, complice des Russes.
Ensuite la volonté de s'équiper en centrales nucléaires de la Hongrie a été sabotée par la France. Aujourd'hui on demande à ces pays de saborder le peu d'indépendance qui leur reste et de se serrer la ceinture pour une situation commise par les pays qui leur demandent d'accepter aujourd'hui ces contraintes, et qu'ils ont tout entrepris pour éviter.

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