Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
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Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
S’il fallait ne retenir qu’une seule promesse du candidat Macron, la « moralisation » décrocherait assurément la palme. Au final, la « grande » loi portée par François Bayrou n’aura été qu’une réponse à l’affaire Fillon. Un fait divers, une loi.
Par la suite, la « morale » macronienne n’aura été qu’une suite d’affaires. À se croire dans l’Ancien Monde. Après un quinquennat d’Emmanuel Macron, prenons le temps de revenir sur les déboires de la Macronie.
la suite sur :
http://www.regards.fr/actu/article/cinq-ans-et-demi-en-macronie-10-condamnations-9-mises-en-examen-et-13-enquetes
S’il fallait ne retenir qu’une seule promesse du candidat Macron, la « moralisation » décrocherait assurément la palme. Au final, la « grande » loi portée par François Bayrou n’aura été qu’une réponse à l’affaire Fillon. Un fait divers, une loi.
Par la suite, la « morale » macronienne n’aura été qu’une suite d’affaires. À se croire dans l’Ancien Monde. Après un quinquennat d’Emmanuel Macron, prenons le temps de revenir sur les déboires de la Macronie.
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http://www.regards.fr/actu/article/cinq-ans-et-demi-en-macronie-10-condamnations-9-mises-en-examen-et-13-enquetes
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Il dit quoi le cadresupautoproclamé ?
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Vladimir de Volog красны a écrit:Il dit quoi le cadresupautoproclamé ?
Je dis qu’elle idée de voter pour Macron un financier, y avait d autre choix mais vous êtes trop borné. Après faut pas ce plaindre si vous voulez mon avis
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Edgar de Phelps- Vénérable
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
MrPhelps a écrit:Vladimir de Volog красны a écrit:Il dit quoi le cadresupautoproclamé ?
Je dis qu’elle idée de voter pour Macron un financier, y avait d autre choix mais vous êtes trop borné. Après faut pas ce plaindre si vous voulez mon avis
Mais à qui tu t'adresses ?
Je n'ai pas voté pour le cancer financier,
Je n'ai pas voté pour la peste noire,
ET TOI ?
Vladimir de Volog- Vénérable
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Les affaires judiciaires du repris de justice mélenchon
Parmi les têtes de gondole de partis politiques du moment, il y a un repris de justice, condamné à la prison et qui a eu à faire à la justice à plusieurs reprises: le mélenchon.
Ce délinquant a été à ce jour impliqué dans les affaires suivantes :
1/- Rebellion, provocation, intimidation d’un magistrat
Le 16 octobre 2018, policiers et magistrats étaient venus mener une perquisition au siège de LFI dans le cadre de deux enquêtes préliminaires du parquet de Paris, l'une sur les comptes de la campagne présidentielle de 2017 et sur les conditions d'emploi d'assistants d'eurodéputés de LFI - confiées depuis novembre à des juges d'instruction.
Mélenchon avait bousculé un magistrat du parquet et un policier, appelé ses lieutenants à "enfoncer la porte" pour entrer dans les locaux où la perquisition était en cours, criant "la République c'est moi" ou encore "ma personne est sacrée".
Le 9/12/2019, Mélenchon a été condamné par le tribunal correctionnel de Bobigny à 8 000 € d'amende et à UNE PEINE DE PRISON de 3 mois pour acte d'intimidation d'un magistrat, rébellion et provocation à l'égard d'un représentant de l'autorité publique.
Bastien Lachaud député LFI, Manuel Bompard, président de l'association "L'Ere du peuple", Bernard Pignerol sont quant à eux condamnés à des amendes entre 2000 et 7000 euros.
* https://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/perquisition-a-lfi-jean-luc-melenchon-condamne-a-trois-mois-de-prison-avec-sursis_2110360.html
2/- Emplois fictifs au Parlement européen
- Mélenchon est soupçonné d'emplois fictifs au Parlement européen et fait l'objet de deux enquêtes judiciaires :
- la première concerne les assistants parlementaires de Mélenchon au Parlement européen. La justice le soupçonne d’avoir employé des assistants parlementaires au Parlement européen en les faisant en réalité travailler pour elles-mêmes;
- la seconde enquête concerne les comptes de la campagne de Jean-Luc Mélenchon pour l’élection présidentielle de 2017; Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire en avril pour « escroquerie et tentative d’escroquerie », « abus de confiance », « infraction à la législation sur le financement des campagnes électorales » et « travail dissimulé aggravé ». Le procureur de Paris, François Molins, a saisi l’OCLCIFF afin d’enquêter sur une « éventuelle violation des prescriptions du code électoral relatives au financement des campagnes électorales ».
* https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2018/10/23/soupcons-d-emplois-fictifs-et-comptes-de-campagne-les-deux-affaires-qui-visent-melenchon_5373413_4355770.html
3/- Injures publiques et diffamation
- Mélenchon a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris pour injures publiques et diffamation publique après avoir traité des journalistes de France Info d'« abrutis » et de « menteurs ». Il a écopé d’une amende de 500 euros avec sursis et devra verser 3 000 euros de dommages et intérêts à Radio France.
« Les journalistes de France Info sont des menteurs, sont des tricheurs », avait-il déclaré. « Ils ont l’air de ce qu’ils sont, c’est-à-dire d’abrutis. Pourrissez-les partout où vous pouvez », avait-il aussi lancé.
* https://www.lepoint.fr/politique/proces-en-diffamation-et-injure-publique-jean-luc-melenchon-condamne-11-01-2022-2460009_20.php
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Y'en a t-il un seul qui soit blanc comme neige ? Non, disons qu'ils sont tous propres jusqu'au jour où un scandale éclate au grand jour.
Même si je soutiens sans réserve Philippot, je suis sûr qu'il n'est pas clean non plus mais comme il n'est rien, politiquement et qu'il ne représente aucun danger pour personne, il a rien à craindre mais le jour où il commencera à se montrer dangereux, là, d'un coup, d'un seul, on va découvrir qu'il planque du fric dans un paradis fiscal, qu'il traine sur des sites pédos ou qu'il a harcelé je ne sais qui, comme par hasard.
Même si je soutiens sans réserve Philippot, je suis sûr qu'il n'est pas clean non plus mais comme il n'est rien, politiquement et qu'il ne représente aucun danger pour personne, il a rien à craindre mais le jour où il commencera à se montrer dangereux, là, d'un coup, d'un seul, on va découvrir qu'il planque du fric dans un paradis fiscal, qu'il traine sur des sites pédos ou qu'il a harcelé je ne sais qui, comme par hasard.
Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Hé le toqué, va polluer ailleurs, tu fais relou avec ton hors sujet.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Henri-Gatien Bertrand a écrit:Y'en a t-il un seul qui soit blanc comme neige ? Non, disons qu'ils sont tous propres jusqu'au jour où un scandale éclate au grand jour.
Même si je soutiens sans réserve Philippot, je suis sûr qu'il n'est pas clean non plus mais comme il n'est rien, politiquement et qu'il ne représente aucun danger pour personne, il a rien à craindre mais le jour où il commencera à se montrer dangereux, là, d'un coup, d'un seul, on va découvrir qu'il planque du fric dans un paradis fiscal, qu'il traine sur des sites pédos ou qu'il a harcelé je ne sais qui, comme par hasard.
Asselineau ses affaires d'attouchement c'était du hoax, Philippot lui, il triane dans des cercles franc mac chelou...
Pensez à ça avant de choisir vos poulains.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Lequel est bien sans être francmac ? Besancenot ? Poutou ?
Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Plaristes Evariste a écrit: Philippot lui, il triane dans des cercles franc mac chelou...
Pensez à ça avant de choisir vos poulains.
J'y pense.... surtout après une vidéo vue sur Youtube où on voit un Phillipot très excité, la pupille complètement dilatée et le nez frétillant .....tenir des propos décousus !
A mon avis il file un mauvais coton....!
Clavier- Sage
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Date d'inscription : 18/02/2019
Localisation : Golfe du Morbihan
Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Clavier a écrit:Plaristes Evariste a écrit: Philippot lui, il triane dans des cercles franc mac chelou...
Pensez à ça avant de choisir vos poulains.
J'y pense.... surtout après une vidéo vue sur Youtube où on voit un Phillipot très excité, la pupille complètement dilatée et le nez frétillant .....tenir des propos décousus !
A mon avis il file un mauvais coton....!
Ne parlons pas de ce salopard de zemmour.... qui va être rejugé pour ses propos ultra racistes.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Onze condamnations
Alain Griset
Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargé des Petites et Moyennes Entreprises, Alain Griset n’est peut-être pas le plus médiatique des membres du gouvernement, mais il est plutôt bien connu de la justice. Ainsi lit-on sur Le Monde ce mercredi 8 décembre 2021 qu’il a été « condamné à six mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité avec sursis pour déclaration incomplète de son patrimoine ». Une « maladresse » qui s’élève à 171.000 euros. Sitôt condamné, Alain Griset a fait appel de cette décision et démissionné du gouvernement. En appel, l’ex-ministre a été condamné à quatre mois de prison avec sursis.
Sira Sylla
Harcèlement moral, non-paiement d’heures supplémentaires et de journées de repos, manquement à l’obligation de sécurité. Voilà le beau palmarès de Sira Sylla, députée LREM de 2017 à 2022. Le 6 septembre 2022, elle a été reconnue coupable de ces faits par le conseil des prud’hommes de Rouen. Ainsi lit-on sur le site de France 3 Normandie : « L’ancienne parlementaire investie par la majorité devra verser un total de près de 80.000€ à la victime dont près de 20.000€ d’heures supplémentaires impayées, 20.000€ pour les faits de harcèlement moral et près de 21.000€ de dommages et intérêts pour le licenciement. » Au moins trois de ses anciens assistants parlementaires avaient saisi la justice. À l’époque, Bruno Roger-Petit, conseiller d’Emmanuel Macron, avait publiquement exprimé sa solidarité envers Sira Sylla. Sur Mediapart, on apprenait alors qu’un de ses collaborateurs avait ainsi « été "forcé à ne pas respecter le couvre-feu" pour lui apporter du champagne, tandis qu’un autre salarié a expliqué qu’avant son licenciement, la députée lui avait souhaité par téléphone "une bonne mort" à son grand-père, alors hospitalisé. »
Benoit Simian
Ce député membre du groupe Libertés et Territoires à l’Assemblée (mais élu LREM) fait l’objet d’une enquête « pour harcèlement moral par conjoint [...] dans le cadre d’une "séparation houleuse" assortie de "plaintes croisées" pour violences » , lit-on dans Sud Ouest. Déjà interdit d’approcher du domicile conjugal, une demande de levée d’immunité a été formulée auprès du bureau de l’Assemblée, lequel, début décembre 2020, l’a... rejetée.
En juin 2022, Benoît Simian est condamné à huit mois de prison avec sursis. Il doit également verser 5000 euros à son ex-compagne et a interdiction de s’approcher d’elle pendant un an. Toutefois, il échappe à une peine d’inéligibilité. À noter que l’imminence de cette condamnation ne l’avait pas empêché d’être candidat à sa réélection aux législatives.
Benoît Simian fait parallèlement l’objet d’une enquête judiciaire pour harcèlement à l’encontre d’une collaboratrice.
M’Jid El Guerrab
Le 31 août 2017, M’Jid El Guerrab, alors député LREM, frappe violemment à coups de casque Boris Faure, un cadre du PS. Deux coups qui causeront un traumatisme crânien au socialiste. Pour sa défense, il accuse Boris Faure d’« insultes racistes ».
Depuis, M’Jid El Guerrab a exclu du groupe LREM à l’Assemblée nationale. Il a aussi été mis en examen pour violences volontaires avec arme.
Le 12 mai 2022, Boris Faure tweete : « Mon agresseur est reconnu coupable pleinement. 3 ans de prison dont 2 avec sursis et 2 ans d’inéligibilité. »
Jean-Paul Delevoye
Lu dans Le Parisien, le 2 décembre 2021 : « L’ancien haut-commissaire aux retraites a écopé de quatre mois de prison avec sursis et 15.000 euros d’amende pour ne pas avoir déclaré plusieurs mandats à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique. »
Alexandre Benalla et Vincent Crase
Faut-il encore présenter le feuilleton de l’été ? Alors qu’Emmanuel Macron profitait de sa piscine à 34.000 euros à Brégançon, une vidéo montrant son homme de main élyséen molestant des manifestants le 1er-Mai venait assombrir le ciel estival macroniste.
Alexandre Benalla n’est pas seulement un barbouze. Il intervient comme bon lui semble, en marge des manifestations, brassard « police » autour du bras. La loi, c’est lui. Le jeune homme de 26 ans dispose aussi d’une voiture (avec chauffeur) équipée de gyrophares, d’un badge lui permettant de se rendre dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale et et de porter des armes à feu. À ce propos, ces armes étaient conservées dans un coffre-fort au domicile de Benalla. Depuis que la justice s’est saisie de l’affaire, le coffre-fort a disparu. Le 5 novembre, une information judiciaire a été ouverte contre X (coucou Alexandre Benalla) par le parquet de Paris pour « soustraction de documents ou objets concernant un crime ou un délit en vue de faire obstacle à la manifestation de la vérité ».
Pour la première fois du quinquennat, Emmanuel Macron est pris de court. Sa communication s’avère catastrophique. Lui et ses sbires accusent les journalistes de ne pas chercher la « vérité ». Même les plus conservateurs des syndicats de police s’offusqueront de voir Benalla invité du JT de TF1. Eux n’ont pas droit à autant de considération.
L’Assemblée et le Sénat tenteront de jouer leur rôle de contre-pouvoir face à un super-Président. Le Palais-Bourbon, aux mains de LREM, abdiquera rapidement, se félicitant d’avoir fait la lumière sur cette affaire, alors que le ministre de l’Intérieur, le préfet de police ou encore Patrick Strzoda, directeur de cabinet du président de la République, ont menti sous serment.
Un scandale d’Etat que les marcheurs qualifieront de « tempête dans un verre d’eau ». L’Elysée aurait mis à pied Benalla 15 jours, après le 1er mai, avant de le licencier une fois l’affaire rendue public. Un « fait-divers » qui poussera Macron à réorganiser l’Elysée.
Alexandre Benalla a été mis en examen le 22 juillet pour violences volontaires, immixtion dans l’exercice d’une fonction publique, port public et sans droit d’insignes réglementés, recel de détournement d’images issues d’un système de vidéo-protection et recel de violation du secret professionnel. Vincent Crase, un gendarme réserviste salarié du parti LREM, a lui aussi été mis en examen pour les mêmes faits.
De plus, Mediapart révèle que Ismaël Emelien, conseiller spécial d’Emmanuel Macron, devrait se voir lui aussi inquiété dans cette affaire. Il est accusé d’avoir détenu le CD montrant les images volées de la vidéosurveillance des violences du 1er mai.
Le 29 novembre 2018, Alexandre Benalla a également été mis en examen pour violences volontaires, des faits commis au Jardin des plantes, toujours le 1er mai. De plus, une enquête préliminaire a été ouverte à son encontre pour la non-restitution de deux passeports diplomatiques qu’il a continué à utiliser malgré son licenciement de l’Élysée.
Le 5 novembre 2021, Alexandre Benalla a été condamné à trois ans de prison, dont un an ferme. Et, comme on peut le lire sur franceinfo, « l’ancien collaborateur de l’Élysée n’ira toutefois pas en prison. S’il ne fait pas appel, il devra porter un bracelet électronique en Normandie, au domicile de sa mère. »
En parallèle, Vincent Crase a été condamné à deux ans d’emprisonnement avec sursis, 500 euros d’amende, l’interdiction de port d’arme de dix ans et la confiscation de celles qui détient pour notamment « violence en réunion », « port d’arme prohibé » et « suppression de données » dans l’affaire des violences du 1er mai 2018 à Paris. Toujours sur franceinfo : « Enfin, deux policiers de la préfecture de police de Paris, Maxence Creusat et Laurent Simonin, jugés pour avoir transmis des images de vidéosurveillance à Alexandre Benalla, ont respectivement été condamnés à 500 euros amende et à trois mois de prison avec sursis, sans inscription pour les deux au casier judiciaire. »
« Tout va bien », pourrait commenter le Président.
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Jérôme Peyrat
En septembre 2020, ce conseiller d’Emmanuel Macron quitte son poste élyséen. Et pour cause : il vient d’être condamné pour violences envers son ex-compagne à 3000 euros d’amende avec sursis. Fidèle à l’idée macronnienne de faire des violences faites aux femmes la « grande cause du quinquennat », il sera nommé conseiller politique auprès de Stanislas Guérini, la patron du parti...Par la suite, LREM fera de Jérôme Peyrat sa tête de liste en Dordogne pour les élections régionales.
Stéphane Trompille
Lu sur Mediapart en mai 2020 : « Stéphane Trompille a été condamné par le conseil des prud’hommes de Bourg-en-Bresse pour "harcèlement sexuel" envers une ex-collaboratrice. Il va faire appel. Après moult hésitations, son groupe parlementaire lui a demandé de "se mettre en retrait". »
Mustapha Laabid
Le 6 août 2019, le député LREM Mustapha Laabid a été condamné à six mois de prison avec sursis, trois ans d’inéligibilité et 10.000 euros d’amende pour abus de confiance. Il avait utilisé l’argent d’une association qu’il présidait à des fins personnelles. Le montant du préjudice est de 21.930,54 euros. L’élu a fait appel et la cour d’appel de Rennes a renvoyé le procès au 1er avril 2020.
Claire O’Petit
L’affaire remonte au mois d’octobre 2017. La députée LREM a été condamnée par la Cour d’appel de Paris pour « des fautes de gestion » lorsqu’elle était la représentante légale de l’Agence de développement et de proximité (ADCP), lit-on dans Le Parisien. Conséquence : elle n’a plus le droit de « diriger, gérer, administrer ou contrôler directement ou indirectement toute entreprise commerciale ou artisanale [...] pour une durée de cinq ans ». Une condamnation qui, visiblement, n’a pas perturbé la parlementaire, laquelle s’est félicitée de ne pas avoir été condamnée ni pour détournement, ni pour enrichissement. On l’applaudie bien fort !
Alain Griset
Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargé des Petites et Moyennes Entreprises, Alain Griset n’est peut-être pas le plus médiatique des membres du gouvernement, mais il est plutôt bien connu de la justice. Ainsi lit-on sur Le Monde ce mercredi 8 décembre 2021 qu’il a été « condamné à six mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité avec sursis pour déclaration incomplète de son patrimoine ». Une « maladresse » qui s’élève à 171.000 euros. Sitôt condamné, Alain Griset a fait appel de cette décision et démissionné du gouvernement. En appel, l’ex-ministre a été condamné à quatre mois de prison avec sursis.
Sira Sylla
Harcèlement moral, non-paiement d’heures supplémentaires et de journées de repos, manquement à l’obligation de sécurité. Voilà le beau palmarès de Sira Sylla, députée LREM de 2017 à 2022. Le 6 septembre 2022, elle a été reconnue coupable de ces faits par le conseil des prud’hommes de Rouen. Ainsi lit-on sur le site de France 3 Normandie : « L’ancienne parlementaire investie par la majorité devra verser un total de près de 80.000€ à la victime dont près de 20.000€ d’heures supplémentaires impayées, 20.000€ pour les faits de harcèlement moral et près de 21.000€ de dommages et intérêts pour le licenciement. » Au moins trois de ses anciens assistants parlementaires avaient saisi la justice. À l’époque, Bruno Roger-Petit, conseiller d’Emmanuel Macron, avait publiquement exprimé sa solidarité envers Sira Sylla. Sur Mediapart, on apprenait alors qu’un de ses collaborateurs avait ainsi « été "forcé à ne pas respecter le couvre-feu" pour lui apporter du champagne, tandis qu’un autre salarié a expliqué qu’avant son licenciement, la députée lui avait souhaité par téléphone "une bonne mort" à son grand-père, alors hospitalisé. »
Benoit Simian
Ce député membre du groupe Libertés et Territoires à l’Assemblée (mais élu LREM) fait l’objet d’une enquête « pour harcèlement moral par conjoint [...] dans le cadre d’une "séparation houleuse" assortie de "plaintes croisées" pour violences » , lit-on dans Sud Ouest. Déjà interdit d’approcher du domicile conjugal, une demande de levée d’immunité a été formulée auprès du bureau de l’Assemblée, lequel, début décembre 2020, l’a... rejetée.
En juin 2022, Benoît Simian est condamné à huit mois de prison avec sursis. Il doit également verser 5000 euros à son ex-compagne et a interdiction de s’approcher d’elle pendant un an. Toutefois, il échappe à une peine d’inéligibilité. À noter que l’imminence de cette condamnation ne l’avait pas empêché d’être candidat à sa réélection aux législatives.
Benoît Simian fait parallèlement l’objet d’une enquête judiciaire pour harcèlement à l’encontre d’une collaboratrice.
M’Jid El Guerrab
Le 31 août 2017, M’Jid El Guerrab, alors député LREM, frappe violemment à coups de casque Boris Faure, un cadre du PS. Deux coups qui causeront un traumatisme crânien au socialiste. Pour sa défense, il accuse Boris Faure d’« insultes racistes ».
Depuis, M’Jid El Guerrab a exclu du groupe LREM à l’Assemblée nationale. Il a aussi été mis en examen pour violences volontaires avec arme.
Le 12 mai 2022, Boris Faure tweete : « Mon agresseur est reconnu coupable pleinement. 3 ans de prison dont 2 avec sursis et 2 ans d’inéligibilité. »
Jean-Paul Delevoye
Lu dans Le Parisien, le 2 décembre 2021 : « L’ancien haut-commissaire aux retraites a écopé de quatre mois de prison avec sursis et 15.000 euros d’amende pour ne pas avoir déclaré plusieurs mandats à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique. »
Alexandre Benalla et Vincent Crase
Faut-il encore présenter le feuilleton de l’été ? Alors qu’Emmanuel Macron profitait de sa piscine à 34.000 euros à Brégançon, une vidéo montrant son homme de main élyséen molestant des manifestants le 1er-Mai venait assombrir le ciel estival macroniste.
Alexandre Benalla n’est pas seulement un barbouze. Il intervient comme bon lui semble, en marge des manifestations, brassard « police » autour du bras. La loi, c’est lui. Le jeune homme de 26 ans dispose aussi d’une voiture (avec chauffeur) équipée de gyrophares, d’un badge lui permettant de se rendre dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale et et de porter des armes à feu. À ce propos, ces armes étaient conservées dans un coffre-fort au domicile de Benalla. Depuis que la justice s’est saisie de l’affaire, le coffre-fort a disparu. Le 5 novembre, une information judiciaire a été ouverte contre X (coucou Alexandre Benalla) par le parquet de Paris pour « soustraction de documents ou objets concernant un crime ou un délit en vue de faire obstacle à la manifestation de la vérité ».
Pour la première fois du quinquennat, Emmanuel Macron est pris de court. Sa communication s’avère catastrophique. Lui et ses sbires accusent les journalistes de ne pas chercher la « vérité ». Même les plus conservateurs des syndicats de police s’offusqueront de voir Benalla invité du JT de TF1. Eux n’ont pas droit à autant de considération.
L’Assemblée et le Sénat tenteront de jouer leur rôle de contre-pouvoir face à un super-Président. Le Palais-Bourbon, aux mains de LREM, abdiquera rapidement, se félicitant d’avoir fait la lumière sur cette affaire, alors que le ministre de l’Intérieur, le préfet de police ou encore Patrick Strzoda, directeur de cabinet du président de la République, ont menti sous serment.
Un scandale d’Etat que les marcheurs qualifieront de « tempête dans un verre d’eau ». L’Elysée aurait mis à pied Benalla 15 jours, après le 1er mai, avant de le licencier une fois l’affaire rendue public. Un « fait-divers » qui poussera Macron à réorganiser l’Elysée.
Alexandre Benalla a été mis en examen le 22 juillet pour violences volontaires, immixtion dans l’exercice d’une fonction publique, port public et sans droit d’insignes réglementés, recel de détournement d’images issues d’un système de vidéo-protection et recel de violation du secret professionnel. Vincent Crase, un gendarme réserviste salarié du parti LREM, a lui aussi été mis en examen pour les mêmes faits.
De plus, Mediapart révèle que Ismaël Emelien, conseiller spécial d’Emmanuel Macron, devrait se voir lui aussi inquiété dans cette affaire. Il est accusé d’avoir détenu le CD montrant les images volées de la vidéosurveillance des violences du 1er mai.
Le 29 novembre 2018, Alexandre Benalla a également été mis en examen pour violences volontaires, des faits commis au Jardin des plantes, toujours le 1er mai. De plus, une enquête préliminaire a été ouverte à son encontre pour la non-restitution de deux passeports diplomatiques qu’il a continué à utiliser malgré son licenciement de l’Élysée.
Le 5 novembre 2021, Alexandre Benalla a été condamné à trois ans de prison, dont un an ferme. Et, comme on peut le lire sur franceinfo, « l’ancien collaborateur de l’Élysée n’ira toutefois pas en prison. S’il ne fait pas appel, il devra porter un bracelet électronique en Normandie, au domicile de sa mère. »
En parallèle, Vincent Crase a été condamné à deux ans d’emprisonnement avec sursis, 500 euros d’amende, l’interdiction de port d’arme de dix ans et la confiscation de celles qui détient pour notamment « violence en réunion », « port d’arme prohibé » et « suppression de données » dans l’affaire des violences du 1er mai 2018 à Paris. Toujours sur franceinfo : « Enfin, deux policiers de la préfecture de police de Paris, Maxence Creusat et Laurent Simonin, jugés pour avoir transmis des images de vidéosurveillance à Alexandre Benalla, ont respectivement été condamnés à 500 euros amende et à trois mois de prison avec sursis, sans inscription pour les deux au casier judiciaire. »
« Tout va bien », pourrait commenter le Président.
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Jérôme Peyrat
En septembre 2020, ce conseiller d’Emmanuel Macron quitte son poste élyséen. Et pour cause : il vient d’être condamné pour violences envers son ex-compagne à 3000 euros d’amende avec sursis. Fidèle à l’idée macronnienne de faire des violences faites aux femmes la « grande cause du quinquennat », il sera nommé conseiller politique auprès de Stanislas Guérini, la patron du parti...Par la suite, LREM fera de Jérôme Peyrat sa tête de liste en Dordogne pour les élections régionales.
Stéphane Trompille
Lu sur Mediapart en mai 2020 : « Stéphane Trompille a été condamné par le conseil des prud’hommes de Bourg-en-Bresse pour "harcèlement sexuel" envers une ex-collaboratrice. Il va faire appel. Après moult hésitations, son groupe parlementaire lui a demandé de "se mettre en retrait". »
Mustapha Laabid
Le 6 août 2019, le député LREM Mustapha Laabid a été condamné à six mois de prison avec sursis, trois ans d’inéligibilité et 10.000 euros d’amende pour abus de confiance. Il avait utilisé l’argent d’une association qu’il présidait à des fins personnelles. Le montant du préjudice est de 21.930,54 euros. L’élu a fait appel et la cour d’appel de Rennes a renvoyé le procès au 1er avril 2020.
Claire O’Petit
L’affaire remonte au mois d’octobre 2017. La députée LREM a été condamnée par la Cour d’appel de Paris pour « des fautes de gestion » lorsqu’elle était la représentante légale de l’Agence de développement et de proximité (ADCP), lit-on dans Le Parisien. Conséquence : elle n’a plus le droit de « diriger, gérer, administrer ou contrôler directement ou indirectement toute entreprise commerciale ou artisanale [...] pour une durée de cinq ans ». Une condamnation qui, visiblement, n’a pas perturbé la parlementaire, laquelle s’est félicitée de ne pas avoir été condamnée ni pour détournement, ni pour enrichissement. On l’applaudie bien fort !
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Les années de Macron sont rien à côté de la belle époque de "PASQUA AND c° ".... ou de VGE et ses diamants, ou de SARKO avec ses déboires financiers... la liste pourrait être très longue !
Henry- Connaisseur
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Henry a écrit:Les années de Macron sont rien à côté de la belle époque de "PASQUA AND c° ".... ou de VGE et ses diamants, ou de SARKO avec ses déboires financiers... la liste pourrait être très longue !
Et nous ne savons pas tout !!
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Vladimir de Volog красны a écrit:Et nous ne savons pas tout !!Henry a écrit:Les années de Macron sont rien à côté de la belle époque de "PASQUA AND c° ".... ou de VGE et ses diamants, ou de SARKO avec ses déboires financiers... la liste pourrait être très longue !
Non ... dommage ça fait vendre du papier et fait tourner les boutiques TV
Henry- Connaisseur
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Henry a écrit:Vladimir de Volog красны a écrit:Et nous ne savons pas tout !!Henry a écrit:Les années de Macron sont rien à côté de la belle époque de "PASQUA AND c° ".... ou de VGE et ses diamants, ou de SARKO avec ses déboires financiers... la liste pourrait être très longue !
Non ... dommage ça fait vendre du papier et fait tourner les boutiques TV
On en saura plus en 2027 .... les langues se délieront...
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Henri-Gatien Bertrand a écrit:Lequel est bien sans être francmac ? Besancenot ? Poutou ?
Troskard et NPA ---> Aux chiottes.
Ça toujours été des oppositions contrôlée.
Jean LASSALLE, c'est le Asselienau du pauvre, plus simple, moins gros melon, mais pas une éducation politique poussée.
Il fait copincopain avec Du pont aignan car il a pas bien réfléchit au frexit.
Là où le vendu Philippot lâche as le mot.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Je ne vois pas en quoi Philippot est un lâche, il est peut-être franmac et après ?
J'ai beau réfléchir, je ne vois rien à lui reprocher.
J'ai beau réfléchir, je ne vois rien à lui reprocher.
Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Henri-Gatien Bertrand a écrit:Je ne vois pas en quoi Philippot est un lâche, il est peut-être franmac et après ?
J'ai beau réfléchir, je ne vois rien à lui reprocher.
Philippot n'est pas un lâche, faut pas croire les fadaises communo-révolotes du veau-sous-la-mère plariste, le frère de classe du veau-log.
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Philippot ? qui est ce personnage ...pas vu de mandat !
Henry- Connaisseur
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
ATTENTION Quelque chose de grave va avoir lieu. Une polémique, un faux attentat, une fausse attaque au couteau ou un fait divers bidon ou un vrai fait divers retentissant va probablement se produire pour faire diversion face au problème des retraites
Soral à sorti hier le 21 février 2023 une actualité
Daniel Guichard est de retour dans l'actualité aujourd'hui 22 février 2023
Attaque au couteau à Saint de Luz 22 février
Leurs dernières actualités de ces 2 agents du système étaient sorties quelques jours avant l'affaire Pierre Palmade
Des signes prédisent les fausses attaques : par ex lorsque Soral (agent du système, agent du Mossad, faux opposant) fait une vidéo ou bien a une actualité ou encore d’autres personnes comme Daniel Guichard (un j russe polonais ukrainien) étonnamment, est dans le même cas de figure. Ce dernier est par exemple passé à la télévision récemment et poussait les gens à s’armer, il a précisé ne pas croire au vivre ensemble. Exactement ce que dit Soral depuis des années.
Ils font donc une propagande pro-système en nous préparant à une guerre civile.
Ce genre d’assertion pro-guerre civile sert les intérêts du système. Et eux amènent vers cette réflexion.
Idem pour lagent du Mossad Alexandre Benalla par exemple. Il faut donc s’attendre à quelque chose lorsque ces individus ont une actualité et qui est relayée par les média
Soral c’est plus sur son site crypto sioniste d’extrême droite Égalité Réconciliation
Exemple quand Daniel Guichard avait appelé les français a prendre les armes, il y a eu une attaque contre les Kurdes à Paris 10 arrondissement 2 ou 3 jours après
Quelques semaines après Daniel Guichard revient au devant de l’actualité. 2/3 jours après, attaque au couteau à Gare du Nord paris 10 la veille de la contestation sociale contre la réforme des retraites. Quelques semaines après encore Guichard revient et au même moment, meurtre de Sihem par l’extrême droite (parce que dans cette histoire il faut être bien con pour croire que c’est l’accusé qui est coupable de sa mort).
Le 6 février, Guichard revient dans l’actualité...Idem pour Soral qui a sorti une actu le même jour.
Accident de Pierre Palmade le 10 février 2023
il faut donc s’attendre à quelque chose dans quelques jours
Soral à sorti hier le 21 février 2023 une actualité
Daniel Guichard est de retour dans l'actualité aujourd'hui 22 février 2023
Attaque au couteau à Saint de Luz 22 février
Leurs dernières actualités de ces 2 agents du système étaient sorties quelques jours avant l'affaire Pierre Palmade
Des signes prédisent les fausses attaques : par ex lorsque Soral (agent du système, agent du Mossad, faux opposant) fait une vidéo ou bien a une actualité ou encore d’autres personnes comme Daniel Guichard (un j russe polonais ukrainien) étonnamment, est dans le même cas de figure. Ce dernier est par exemple passé à la télévision récemment et poussait les gens à s’armer, il a précisé ne pas croire au vivre ensemble. Exactement ce que dit Soral depuis des années.
Ils font donc une propagande pro-système en nous préparant à une guerre civile.
Ce genre d’assertion pro-guerre civile sert les intérêts du système. Et eux amènent vers cette réflexion.
Idem pour lagent du Mossad Alexandre Benalla par exemple. Il faut donc s’attendre à quelque chose lorsque ces individus ont une actualité et qui est relayée par les média
Soral c’est plus sur son site crypto sioniste d’extrême droite Égalité Réconciliation
Exemple quand Daniel Guichard avait appelé les français a prendre les armes, il y a eu une attaque contre les Kurdes à Paris 10 arrondissement 2 ou 3 jours après
Quelques semaines après Daniel Guichard revient au devant de l’actualité. 2/3 jours après, attaque au couteau à Gare du Nord paris 10 la veille de la contestation sociale contre la réforme des retraites. Quelques semaines après encore Guichard revient et au même moment, meurtre de Sihem par l’extrême droite (parce que dans cette histoire il faut être bien con pour croire que c’est l’accusé qui est coupable de sa mort).
Le 6 février, Guichard revient dans l’actualité...Idem pour Soral qui a sorti une actu le même jour.
Accident de Pierre Palmade le 10 février 2023
il faut donc s’attendre à quelque chose dans quelques jours
Dernière édition par Marie 24 le Mer 22 Fév 2023 - 21:14, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Marie, ce n'est pas en répétant dans plusieurs post tes âneries complotistes et antisémites que tu vas convaincre qui que ce soit...
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Huit mises en examen
François Bayrou et Sylvie Goulard
Mai 2017. Emmanuel Macron commence tout juste son mandat. Trois membres du MoDem font partie du gouvernement, à des postes majeurs : François Bayrou à la Justice, Marielle de Sarnez aux Affaires européennes et Sylvie Goulard aux Armées. François Bayrou aura tout juste le temps de porter sa « grande » réforme de « moralisation ».
En juillet 2017, le parquet de Paris ouvre une information judiciaire pour abus de confiance, recel d’abus de confiance et escroqueries concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen.
Les trois démissionneront dès juin 2017.
Première et éphémère ministre des Armées d’Emmanuel Macron, Sylvie Goulard a été mise en examen le 29 novembre 2019 par la juge chargée de l’enquête sur les emplois présumés fictifs des assistants de députés européens. Le 4 décembre 2019, Marielle de Sarnez est mise en examen pour « détournement de fonds publics ». Le 6 décembre 2019, c’est François Bayrou qui est mis en examen à son tour. « Au total, une douzaine de responsables du Modem ont été mis en examen dans cette affaire », peut-on lire dans Les Échos. Par fair-play, nous n’intégrons dans la Macronie que les capitaines de l’équipe.
Le 13 janvier 2021, François Bayrou annonce le décès de Marielle de Sarnez.
Le 31 janvier 2023, le parquet de Paris demande le renvoi du parti et d’une douzaine de ses responsables devant le tribunal correctionnel pour « détournement de fonds publics ».
Alexis Kohler
Outre son rôle dans l’affaire Benalla – Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, avait eu connaissance des agissements violents dès le mois de mai et n’a rien fait savoir à la justice, à l’instar de l’Intérieur et de l’Élysée – ce très proche d’Emmanuel Macron est embourbé dans une affaire de conflit d’intérêts.
Alexis Kohler a été directeur financier d’août 2016 à mai 2017 de l’armateur italo-suisse MSC, fondé par des membres de sa famille. Or, depuis 2010, il a aussi représenté l’Agence des participations de l’Etat auprès des Chantiers de l’Atlantique/STX France, dont MSC est client. Il siégeait également au conseil de surveillance du Grand Port maritime du Havre.
Selon Mediapart, avec cette double (triple !) casquette, Alexis Kohler a ainsi pu conclure en 2011 des contrats entre MSC et le port du Havre. Le beurre, l’argent du beurre et la crémière.
Anticor a porté plainte pour « prise illégale d’intérêt », « corruption passive » et « trafic d’influence ». Début juin 2018, le parquet national financier (PNF) a ouvert une enquête à l’encontre du secrétaire général de l’Elysée.
En juin 2020, on apprend via Mediapart que « Emmanuel Macron a écrit au PNF à l’été 2019 pour disculper Alexis Kohler, au lendemain d’un rapport de police l’accablant. À la suite de cette lettre, un second rapport d’enquête a été écrit, aboutissant à des conclusions inverses. Un mois plus tard, l’enquête sera classée sans suite. »
Rebondissement le 3 octobre 2022, où l’on apprend de franceinfo que « le secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, a été mis en examen le 23 septembre dernier pour "prise illégale d’interêts" [...] une information confirmée ensuite par le parquet national financier. Alexis Kohler a par ailleurs été placé sous le statut de témoin assisté pour "trafic d’influence". » Du côté du président de la République, on ne tortille pas : Alexis Kohler est et restera à son poste. Coûte que coûte.
Thierry Solère
Au tout début de l’actuelle législature, en juin 2017, le député « constructif » Thierry Solère avait magouillé avec la majorité pour obtenir le poste de questeur (celui qui gère les finances de l’Assemblée nationale), traditionnellement réservé à l’opposition. Depuis, il a rejoint les rangs de LREM et laissé ce poste prestigieux à Eric Ciotti. Mais les magouilles n’ont pas l’air de s’arrêter.
Début février 2019, le tribunal de grande instance de Nanterre a ouvert une information judiciaire contre le parlementaire pour des soupçons de « fraude fiscale, manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, détournement de fonds publics par dépositaire de l’autorité publique et recel, recel de violation du secret professionnel, trafic d’influence et recel [...] abus de biens sociaux et recel, abus de confiance et recel, financement illicite de dépenses électorales, détournement de la finalité de fichiers nominatifs, portant sur une période comprise entre 2005 et 2017 ». Rien que ça.
Le 11 octobre 2019, Thierry Solère est mis en examen pour fraude fiscale, détournement de fonds publics et trafic d’influence.
En février 2022, on apprend que Thierry Solère est « mis en examen pour cinq nouvelles infractions ». Voici ce que l’on peut alors lire sur Libération : « L’élu LREM des Hauts-de-Seine, déjà visé par sept mises en examen [...] a été mis en examen pour cinq nouvelles infractions. Thierry Solère est notamment soupçonné d’avoir utilisé à des fins personnelles une partie de ses frais de mandat entre 2012 et 2019. Il est mis en examen pour "détournement de fonds publics", "trafic d’influence passif" dans le but de faire "obtenir des marchés" à des sociétés immobilières et à une société de conseil, et pour manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. »
Éric Dupond-Moretti
Lu sur franceinfo, le 16 juillet 2021 : « Le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, a été mis en examen pour "prise illégale d’intérêts" par les magistrats de la Cour de la justice de la République (CJR) chargés d’enquêter sur de possibles conflits d’intérêts avec ses anciennes activités de pénaliste, ont annoncé ses avocats. [...] Dans cette affaire, l’ancien ténor du barreau est soupçonné d’avoir profité de sa fonction de ministre pour régler ses comptes avec des magistrats avec lesquels il avait eu maille à partir quand il était avocat, ce qu’il réfute. »
Le directeur financier et le trésorier du Modem
Alors que le parti allié d’Emmanuel Macron est déjà visé par une information judiciaire concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen, le 16 novembre 2019, l’étau se resserre. Son directeur financier Alexandre Nardella – « premier responsable du parti centriste à être entendu par les juges d’instruction chargés de l’enquête », peut-on lire dans Le Monde – est mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics » et « recel de détournement de fonds publics ». Quelques jours plus tard, c’est Michel Mercier, ancien ministre de la Justice et trésorier du Modem, qui est mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics ».
Richard Ferrand
Au printemps 2017, Richard Ferrand fut, l’espace d’un mois, ministre de la Cohésion des territoires. En juin 2017, le parquet de Brest a ouvert une enquête préliminaire sur son passé à la tête des Mutuelles de Bretagne de 1998 à 2012. Le ministre fut alors remercié et devint président du groupe LREM puis président de l’Assemblée nationale.
En 2011, Richard Ferrand a favorisé la société immobilière de sa compagne Sandrine Doucen pour l’obtention d’un marché lors de la location d’un local commercial par les Mutuelles de Bretagne.
Après avoir été classée sans suite en octobre 2017, l’affaire est relancée en janvier 2018 avec l’ouverture par le PNF d’une information judiciaire pour prise illégale d’intérêts. La Cour de Cassation a ordonné en juillet 2018 le dépaysement à Lille de l’information judiciaire ouverte à Paris. Fin septembre 2018, trois juges d’instruction ont été désignés à Lille.
Le 11 septembre 2019, Richard Ferrand est mis en examen pour prise illégale d’intérêts. Une première pour un président de l’Assemblée.
François Bayrou et Sylvie Goulard
Mai 2017. Emmanuel Macron commence tout juste son mandat. Trois membres du MoDem font partie du gouvernement, à des postes majeurs : François Bayrou à la Justice, Marielle de Sarnez aux Affaires européennes et Sylvie Goulard aux Armées. François Bayrou aura tout juste le temps de porter sa « grande » réforme de « moralisation ».
En juillet 2017, le parquet de Paris ouvre une information judiciaire pour abus de confiance, recel d’abus de confiance et escroqueries concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen.
Les trois démissionneront dès juin 2017.
Première et éphémère ministre des Armées d’Emmanuel Macron, Sylvie Goulard a été mise en examen le 29 novembre 2019 par la juge chargée de l’enquête sur les emplois présumés fictifs des assistants de députés européens. Le 4 décembre 2019, Marielle de Sarnez est mise en examen pour « détournement de fonds publics ». Le 6 décembre 2019, c’est François Bayrou qui est mis en examen à son tour. « Au total, une douzaine de responsables du Modem ont été mis en examen dans cette affaire », peut-on lire dans Les Échos. Par fair-play, nous n’intégrons dans la Macronie que les capitaines de l’équipe.
Le 13 janvier 2021, François Bayrou annonce le décès de Marielle de Sarnez.
Le 31 janvier 2023, le parquet de Paris demande le renvoi du parti et d’une douzaine de ses responsables devant le tribunal correctionnel pour « détournement de fonds publics ».
Alexis Kohler
Outre son rôle dans l’affaire Benalla – Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, avait eu connaissance des agissements violents dès le mois de mai et n’a rien fait savoir à la justice, à l’instar de l’Intérieur et de l’Élysée – ce très proche d’Emmanuel Macron est embourbé dans une affaire de conflit d’intérêts.
Alexis Kohler a été directeur financier d’août 2016 à mai 2017 de l’armateur italo-suisse MSC, fondé par des membres de sa famille. Or, depuis 2010, il a aussi représenté l’Agence des participations de l’Etat auprès des Chantiers de l’Atlantique/STX France, dont MSC est client. Il siégeait également au conseil de surveillance du Grand Port maritime du Havre.
Selon Mediapart, avec cette double (triple !) casquette, Alexis Kohler a ainsi pu conclure en 2011 des contrats entre MSC et le port du Havre. Le beurre, l’argent du beurre et la crémière.
Anticor a porté plainte pour « prise illégale d’intérêt », « corruption passive » et « trafic d’influence ». Début juin 2018, le parquet national financier (PNF) a ouvert une enquête à l’encontre du secrétaire général de l’Elysée.
En juin 2020, on apprend via Mediapart que « Emmanuel Macron a écrit au PNF à l’été 2019 pour disculper Alexis Kohler, au lendemain d’un rapport de police l’accablant. À la suite de cette lettre, un second rapport d’enquête a été écrit, aboutissant à des conclusions inverses. Un mois plus tard, l’enquête sera classée sans suite. »
Rebondissement le 3 octobre 2022, où l’on apprend de franceinfo que « le secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, a été mis en examen le 23 septembre dernier pour "prise illégale d’interêts" [...] une information confirmée ensuite par le parquet national financier. Alexis Kohler a par ailleurs été placé sous le statut de témoin assisté pour "trafic d’influence". » Du côté du président de la République, on ne tortille pas : Alexis Kohler est et restera à son poste. Coûte que coûte.
Thierry Solère
Au tout début de l’actuelle législature, en juin 2017, le député « constructif » Thierry Solère avait magouillé avec la majorité pour obtenir le poste de questeur (celui qui gère les finances de l’Assemblée nationale), traditionnellement réservé à l’opposition. Depuis, il a rejoint les rangs de LREM et laissé ce poste prestigieux à Eric Ciotti. Mais les magouilles n’ont pas l’air de s’arrêter.
Début février 2019, le tribunal de grande instance de Nanterre a ouvert une information judiciaire contre le parlementaire pour des soupçons de « fraude fiscale, manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, détournement de fonds publics par dépositaire de l’autorité publique et recel, recel de violation du secret professionnel, trafic d’influence et recel [...] abus de biens sociaux et recel, abus de confiance et recel, financement illicite de dépenses électorales, détournement de la finalité de fichiers nominatifs, portant sur une période comprise entre 2005 et 2017 ». Rien que ça.
Le 11 octobre 2019, Thierry Solère est mis en examen pour fraude fiscale, détournement de fonds publics et trafic d’influence.
En février 2022, on apprend que Thierry Solère est « mis en examen pour cinq nouvelles infractions ». Voici ce que l’on peut alors lire sur Libération : « L’élu LREM des Hauts-de-Seine, déjà visé par sept mises en examen [...] a été mis en examen pour cinq nouvelles infractions. Thierry Solère est notamment soupçonné d’avoir utilisé à des fins personnelles une partie de ses frais de mandat entre 2012 et 2019. Il est mis en examen pour "détournement de fonds publics", "trafic d’influence passif" dans le but de faire "obtenir des marchés" à des sociétés immobilières et à une société de conseil, et pour manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. »
Éric Dupond-Moretti
Lu sur franceinfo, le 16 juillet 2021 : « Le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, a été mis en examen pour "prise illégale d’intérêts" par les magistrats de la Cour de la justice de la République (CJR) chargés d’enquêter sur de possibles conflits d’intérêts avec ses anciennes activités de pénaliste, ont annoncé ses avocats. [...] Dans cette affaire, l’ancien ténor du barreau est soupçonné d’avoir profité de sa fonction de ministre pour régler ses comptes avec des magistrats avec lesquels il avait eu maille à partir quand il était avocat, ce qu’il réfute. »
Le directeur financier et le trésorier du Modem
Alors que le parti allié d’Emmanuel Macron est déjà visé par une information judiciaire concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen, le 16 novembre 2019, l’étau se resserre. Son directeur financier Alexandre Nardella – « premier responsable du parti centriste à être entendu par les juges d’instruction chargés de l’enquête », peut-on lire dans Le Monde – est mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics » et « recel de détournement de fonds publics ». Quelques jours plus tard, c’est Michel Mercier, ancien ministre de la Justice et trésorier du Modem, qui est mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics ».
Richard Ferrand
Au printemps 2017, Richard Ferrand fut, l’espace d’un mois, ministre de la Cohésion des territoires. En juin 2017, le parquet de Brest a ouvert une enquête préliminaire sur son passé à la tête des Mutuelles de Bretagne de 1998 à 2012. Le ministre fut alors remercié et devint président du groupe LREM puis président de l’Assemblée nationale.
En 2011, Richard Ferrand a favorisé la société immobilière de sa compagne Sandrine Doucen pour l’obtention d’un marché lors de la location d’un local commercial par les Mutuelles de Bretagne.
Après avoir été classée sans suite en octobre 2017, l’affaire est relancée en janvier 2018 avec l’ouverture par le PNF d’une information judiciaire pour prise illégale d’intérêts. La Cour de Cassation a ordonné en juillet 2018 le dépaysement à Lille de l’information judiciaire ouverte à Paris. Fin septembre 2018, trois juges d’instruction ont été désignés à Lille.
Le 11 septembre 2019, Richard Ferrand est mis en examen pour prise illégale d’intérêts. Une première pour un président de l’Assemblée.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Cinq ans et demi en Macronie : 11 condamnations, 8 mises en examen et 12 enquêtes en cours
Daniell Guichard est par exemple passé à la télévision récemment et poussait les gens à s’armer... en effet il a prononcé cette phrase mais tout n'est pas dit... très malsain de sortir une phrase du contexte de la discussion !
Henry- Connaisseur
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