Parmi la façon dont la France s'est sabordée sous le gouvernement Jospin, en dehaors du nucléaire le canal Rhin-Rhione
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Parmi la façon dont la France s'est sabordée sous le gouvernement Jospin, en dehaors du nucléaire le canal Rhin-Rhione
On peut compter les projets avortés par le gouvernement écolo-socialiste de Jospin qui éliminé la France de la compétition économique mondiale et même européenne.
En dehors des 35h, qui ont mis un coup d'arrêt à l'économie et ont lancé le désinvestissement global et la délocalisation massive de l'industrie de France, en dehors de l'arrêt de Super-Phénix et de l'investissement dans le nucléaire, et aussi de l'arrêt des voitures électriques pour privilégier les transports en commun (Dominique Voynet a annulé la commande de véhicules électriques chez Peugeot et Renault en pointe sur l'électrique à la fin des années 90 et aussi les avantages fiscaux aux entreprises) il y a aussi, l'élargissement du canal Rhin-Rhone avec un passage du fret directement depuis Marseilles vers le nord de l'Europe avec des haltes industrielles qui auraient intéressé les villes françaises tout du long.
Depuis que cet ouvrage ne s'est pas fait, de même que les projets de transport industriel par le ferroviaire, toujours annulé par Dominique Voynet, toute une organisation de contournement de la France s'est mise en place et aujourd'hui elle est fonctionnelle et touche à sa fin.
Il y a désormais un axe complet de transports de tous types, y compris par avion, entre l'Italie, l'Autriche et la Suisse, puis l'Allemagne, et enfin la Suède et la Norvège. Ils sont autoroutiers avec des tunnels et des ponts tout du long (qui relèguent le tunnel sous la Manche à une niveau de gadget), ils sont aéroportuaires avec les hubs nécessaires, ils sont fluvieaux avec des canaux élargis à tous les niveaux entre les grands fleuves. A cet axe viennent se raccorder la Belgique et les Pays-Bas d'une part et les pays de l'Est de l'autre, notamment la Pologne et la Tchéquie, peut-être bientôt l'Ukraine. L'Espagne a elle-même développé sa liaison portuaire entre Barcelone et Gènes et les hubs industriels des aéroports Espagnols sont connectés aux italiens et allemands.
La France s'est retrouvée complètement exclue du système, marginalisée. Il devient difficile aujourd'hui à une entreprise industrielle française de profiter de cette zone d'échanges sans surcoût, alors que la France aurait pu être au centre du système, si le gouvernement Jospin n'avait pas annulé tous ces projets de liaison, qui comprenant aussi par ailleurs des liaisons électriques qui ont rendu compliqué encore aujourd'hui l'acheminement d'énergie produite par EDF.
Voilà, un petit rappel, car Jospin c'était le type qu'on pouvait pas critiquer au PS. Le maître à penser incontestable de l'époque post-Miterrandienne, et encore la référence de ce parti aujourd'hui.
Voilà son oeuvre, en très peu de temps (5 ans), pendant lesquels il a rasé gratis (pour se faire aimer), que nous payons lourdement aujourd'hui.
Car c'était aussi l'époque, où, suite aux économie budgétaires du gouvernement précédent, Juppé, en vue de diminuer la dépense et commencer à rembourser la dette (on visait une retour à 45% du PIB - les 65% maximum étant consacrés aux périodes de crise) et que le gouvernement Jospin à interprété comme une cagnotte à dépenser, vite diluée dans de nouvelles dépenses sociales et la mise en place des 35h...
En dehors des 35h, qui ont mis un coup d'arrêt à l'économie et ont lancé le désinvestissement global et la délocalisation massive de l'industrie de France, en dehors de l'arrêt de Super-Phénix et de l'investissement dans le nucléaire, et aussi de l'arrêt des voitures électriques pour privilégier les transports en commun (Dominique Voynet a annulé la commande de véhicules électriques chez Peugeot et Renault en pointe sur l'électrique à la fin des années 90 et aussi les avantages fiscaux aux entreprises) il y a aussi, l'élargissement du canal Rhin-Rhone avec un passage du fret directement depuis Marseilles vers le nord de l'Europe avec des haltes industrielles qui auraient intéressé les villes françaises tout du long.
Depuis que cet ouvrage ne s'est pas fait, de même que les projets de transport industriel par le ferroviaire, toujours annulé par Dominique Voynet, toute une organisation de contournement de la France s'est mise en place et aujourd'hui elle est fonctionnelle et touche à sa fin.
Il y a désormais un axe complet de transports de tous types, y compris par avion, entre l'Italie, l'Autriche et la Suisse, puis l'Allemagne, et enfin la Suède et la Norvège. Ils sont autoroutiers avec des tunnels et des ponts tout du long (qui relèguent le tunnel sous la Manche à une niveau de gadget), ils sont aéroportuaires avec les hubs nécessaires, ils sont fluvieaux avec des canaux élargis à tous les niveaux entre les grands fleuves. A cet axe viennent se raccorder la Belgique et les Pays-Bas d'une part et les pays de l'Est de l'autre, notamment la Pologne et la Tchéquie, peut-être bientôt l'Ukraine. L'Espagne a elle-même développé sa liaison portuaire entre Barcelone et Gènes et les hubs industriels des aéroports Espagnols sont connectés aux italiens et allemands.
La France s'est retrouvée complètement exclue du système, marginalisée. Il devient difficile aujourd'hui à une entreprise industrielle française de profiter de cette zone d'échanges sans surcoût, alors que la France aurait pu être au centre du système, si le gouvernement Jospin n'avait pas annulé tous ces projets de liaison, qui comprenant aussi par ailleurs des liaisons électriques qui ont rendu compliqué encore aujourd'hui l'acheminement d'énergie produite par EDF.
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Jeannot Lapin- Sage
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Date d'inscription : 31/07/2021
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