"Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
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Héloïse de Salm
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"Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
"Le crématorium n'arrivait plus à suivre": le témoignage glaçant d'un ancien prisonnier au procès d'un ex-garde nazi.
Dans le cadre du procès de l'ancien garde SS Bruno Dey, qui devrait se clore jeudi 23 juillet à Hambourg, un témoin de 93 ans, Marek Dunin-Wasowicz, a livré un témoignage accablant sur les mois qu'il a passé comme prisonnier au camp nazi de Stutthof, en Pologne.
Les bûchers de corps en feu dans les forêts autour du camp de concentration nazi de Stutthof hantent toujours Marek Dunin-Wasowicz, 93 ans, témoin crucial dans le procès de l'ancien garde SS Bruno Dey, qui devrait se clore jeudi à Hambourg.
Pour M. Dunin-Wasowicz, qui a passé dans ce camp allemand plusieurs mois à l'âge de 17 ans, après avoir été arrêté comme membre présumé de la Résistance polonaise, le procès à Hambourg est bien plus qu'un simple jugement visant à établir la culpabilité ou l'innocence de Dey. "Que ce soit indirectement ou directement, il a participé à un meurtre. C'est un criminel", a déclaré à l'AFP cet ancien journaliste et écrivain, lors d'une interview accordée ce mois-ci dans son appartement de Varsovie.
M. Dunin-Wasowicz se déclare "indifférent" aux propos de Bruno Dey, ne souhaitant ni vengeance ni excuses. Pourtant, "tenu par l'honneur", il a décidé de devenir co-plaignant dans ce procès - peut-être l'un des derniers portant sur les crimes nazis - au nom des plus de 60.000 victimes ayant péri dans ce camp et des quelques survivants encore en vie.
L'ancien prisonnier espère que son témoignage sera entendu en Allemagne, pays natal du nazisme, à une époque où la rhétorique d'extrême droite gagne du terrain en Europe. "Nous ne voulons pas voir ces temps renaître", a-t-il insisté. Après avoir témoigné au procès l'an dernier, il se souvient avoir été surpris lorsqu'une file s'est formée devant sa table dans la salle d'audience. "Ils sont venus demander pardon au nom de leurs grands-pères, de leurs pères. J'ai été choqué. Je ne m'y attendais pas. Là, au coeur de l'Allemagne!", a-t-il déclaré à l'AFP.
Dans le cadre du procès de l'ancien garde SS Bruno Dey, qui devrait se clore jeudi 23 juillet à Hambourg, un témoin de 93 ans, Marek Dunin-Wasowicz, a livré un témoignage accablant sur les mois qu'il a passé comme prisonnier au camp nazi de Stutthof, en Pologne.
Les bûchers de corps en feu dans les forêts autour du camp de concentration nazi de Stutthof hantent toujours Marek Dunin-Wasowicz, 93 ans, témoin crucial dans le procès de l'ancien garde SS Bruno Dey, qui devrait se clore jeudi à Hambourg.
Pour M. Dunin-Wasowicz, qui a passé dans ce camp allemand plusieurs mois à l'âge de 17 ans, après avoir été arrêté comme membre présumé de la Résistance polonaise, le procès à Hambourg est bien plus qu'un simple jugement visant à établir la culpabilité ou l'innocence de Dey. "Que ce soit indirectement ou directement, il a participé à un meurtre. C'est un criminel", a déclaré à l'AFP cet ancien journaliste et écrivain, lors d'une interview accordée ce mois-ci dans son appartement de Varsovie.
M. Dunin-Wasowicz se déclare "indifférent" aux propos de Bruno Dey, ne souhaitant ni vengeance ni excuses. Pourtant, "tenu par l'honneur", il a décidé de devenir co-plaignant dans ce procès - peut-être l'un des derniers portant sur les crimes nazis - au nom des plus de 60.000 victimes ayant péri dans ce camp et des quelques survivants encore en vie.
L'ancien prisonnier espère que son témoignage sera entendu en Allemagne, pays natal du nazisme, à une époque où la rhétorique d'extrême droite gagne du terrain en Europe. "Nous ne voulons pas voir ces temps renaître", a-t-il insisté. Après avoir témoigné au procès l'an dernier, il se souvient avoir été surpris lorsqu'une file s'est formée devant sa table dans la salle d'audience. "Ils sont venus demander pardon au nom de leurs grands-pères, de leurs pères. J'ai été choqué. Je ne m'y attendais pas. Là, au coeur de l'Allemagne!", a-t-il déclaré à l'AFP.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
"Il savait bien ce qui se passait"
C'est en mai 1944 que Marek Dunin-Wasowicz est arrivé dans ce camp situé sur la côte baltique, en Pologne occupée. Il s'en est échappé en février 1945. Il ne se souvient pas de Bruno Dey, mais les archives prouvent que le garde y a servi au même moment. Au cours du procès, Bruno Dey a affirmé n'avoir pas été directement impliqué dans la maltraitance des prisonniers, ne faisant que monter la garde sur un mirador.
Selon Marek Dunin-Wasowicz, des gardes SS comme Bruno Dey escortaient aussi les prisonniers jusqu'aux chambres à gaz et gardaient ceux qui travaillaient à l'extérieur du camp. Selon le parquet, Bruno Dey est coupable, ayant fait partie de la machine à tuer nazie. Une décision historique de 2011 contre l'ancien garde de camp John Demjanjuk a créé un précédent pour de telles poursuites.
Depuis, l'Allemagne a traduit en justice d'autres ex-membres de la SS pour ce même motif. Marek Dunin-Wasowicz rejette les explications de Bruno Dey qui affirme n'avoir pas eu le choix. Il admet tout de même ignorer ce qu'il aurait fait à sa place alors que l'alternative la plus évidente au service au camp aurait été de se voir envoyer sur le front de l'Est. "Il savait ce qui se passait là-bas. Il ne devait pas le faire", déclare l'ancien prisonnier, jugeant par ailleurs "inexcusable" que l'Allemagne ait mis tant de temps pour juger des gens comme Bruno Dey.
Stutthof, le dernier camp libéré par les Alliés
Initialement, Stutthof devait accueillir des dirigeants et des représentants de l'intelligentsia polonaise et fut le premier camp nazi construit en dehors de l'Allemagne, dès septembre 1939. Il fut aussi le dernier camp libéré par les Alliés à la fin de la guerre en mai 1945. Marek Dunin-Wasowicz se souvient avoir été agréablement surpris à la descente du train de marchandises transportant 900 hommes environ, dont lui.
Près du camp, il y avait de belles fleurs, une clôture colorée et des cygnes sur l'eau. "Paradis!", se souvient-il avoir pensé peu avant de passer par le portail du camp, connu comme "porte de la mort". Stutthof était alors en train de passer du statut de camp de concentration à celui de camp d'extermination, dans le cadre du plan nazi d'élimination des ju.ifs européens.
Le jeune homme a dû endosser l'uniforme et chausser des sabots en bois. Il a reçu un numéro - 35.461 - qui le "suivra jusqu'à la fin de (sa) vie". Peu après, il a suivi le conseil d'un médecin bienveillant de s'écraser un orteil pour échapper au labeur exténuant. Cela lui a permis de rester longtemps confiné à l'hôpital. Depuis une fenêtre, il pouvait voir la chambre à gaz et le crématorium du camp.
Il se souvient avoir vu des "silhouettes" avancer vers cette chambre à gaz, se déshabiller devant et, plus tard, des prisonniers qui "sortaient les cadavres". "Le crématorium n'arrivait plus à suivre, alors ils ont commencé à brûler des cadavres sur des bûchers à l'extérieur du camp", juste avant sa liquidation, se souvient Marek Dunin-Wasowicz.
C'est en mai 1944 que Marek Dunin-Wasowicz est arrivé dans ce camp situé sur la côte baltique, en Pologne occupée. Il s'en est échappé en février 1945. Il ne se souvient pas de Bruno Dey, mais les archives prouvent que le garde y a servi au même moment. Au cours du procès, Bruno Dey a affirmé n'avoir pas été directement impliqué dans la maltraitance des prisonniers, ne faisant que monter la garde sur un mirador.
Selon Marek Dunin-Wasowicz, des gardes SS comme Bruno Dey escortaient aussi les prisonniers jusqu'aux chambres à gaz et gardaient ceux qui travaillaient à l'extérieur du camp. Selon le parquet, Bruno Dey est coupable, ayant fait partie de la machine à tuer nazie. Une décision historique de 2011 contre l'ancien garde de camp John Demjanjuk a créé un précédent pour de telles poursuites.
Depuis, l'Allemagne a traduit en justice d'autres ex-membres de la SS pour ce même motif. Marek Dunin-Wasowicz rejette les explications de Bruno Dey qui affirme n'avoir pas eu le choix. Il admet tout de même ignorer ce qu'il aurait fait à sa place alors que l'alternative la plus évidente au service au camp aurait été de se voir envoyer sur le front de l'Est. "Il savait ce qui se passait là-bas. Il ne devait pas le faire", déclare l'ancien prisonnier, jugeant par ailleurs "inexcusable" que l'Allemagne ait mis tant de temps pour juger des gens comme Bruno Dey.
Stutthof, le dernier camp libéré par les Alliés
Initialement, Stutthof devait accueillir des dirigeants et des représentants de l'intelligentsia polonaise et fut le premier camp nazi construit en dehors de l'Allemagne, dès septembre 1939. Il fut aussi le dernier camp libéré par les Alliés à la fin de la guerre en mai 1945. Marek Dunin-Wasowicz se souvient avoir été agréablement surpris à la descente du train de marchandises transportant 900 hommes environ, dont lui.
Près du camp, il y avait de belles fleurs, une clôture colorée et des cygnes sur l'eau. "Paradis!", se souvient-il avoir pensé peu avant de passer par le portail du camp, connu comme "porte de la mort". Stutthof était alors en train de passer du statut de camp de concentration à celui de camp d'extermination, dans le cadre du plan nazi d'élimination des ju.ifs européens.
Le jeune homme a dû endosser l'uniforme et chausser des sabots en bois. Il a reçu un numéro - 35.461 - qui le "suivra jusqu'à la fin de (sa) vie". Peu après, il a suivi le conseil d'un médecin bienveillant de s'écraser un orteil pour échapper au labeur exténuant. Cela lui a permis de rester longtemps confiné à l'hôpital. Depuis une fenêtre, il pouvait voir la chambre à gaz et le crématorium du camp.
Il se souvient avoir vu des "silhouettes" avancer vers cette chambre à gaz, se déshabiller devant et, plus tard, des prisonniers qui "sortaient les cadavres". "Le crématorium n'arrivait plus à suivre, alors ils ont commencé à brûler des cadavres sur des bûchers à l'extérieur du camp", juste avant sa liquidation, se souvient Marek Dunin-Wasowicz.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
"Nous ne voulons pas que les livres soient brûlés"
En janvier 1945, il se souvient avoir entendu de premiers tirs d'artillerie. La ligne de front se rapprochait du camp. Des détenus, dont lui, ont été forcés de marcher sous escorte des SS, à travers champs, dans la neige jusqu'aux genoux. "Quiconque n'a pu suivre, n'avait plus de force et s'est effondré, ne s'est plus jamais relevé parce que les SS les tuaient à coup de fusils", raconte-t-il.
Après avoir marché pendant deux semaines, lui et son frère ont pris la fuite. "Je ne sais toujours pas comment j'ai réussi", se souvient-il avoir dit au prince William lors d'une visite royale au musée de Stutthof en 2017. Marek Dunin-Wasowicz ressent un "besoin difficile et douloureux" de s'exprimer pour s'opposer "au fascisme, au néo-fascisme et à tous les autres maux qui ont eu pour conséquence l'hitlérisme et les camps de concentration".
"Nous, prisonniers des camps de concentration, ne voulons plus que les mains se lèvent en signe de salut parce que les mains sont faites pour des poignées de main (...) Nous ne voulons pas de cris parce que nous nous souvenons des cris de la Gestapo et des SS dans les camps de concentration", insiste-t-il. "Nous ne voulons pas que les livres soient brûlés parce qu'à l'époque, on a commencé par brûler les livres, et puis ce sont les gens qui ont été brûlés... Je vais le répéter jusqu'à la nausée, jusqu'à ce que je meure".
https://www.geo.fr/histoire/le-crematorium-narrivait-plus-a-suivre-le-temoignage-glacant-dun-ancien-prisonnier-au-proces-dun-ex-garde-nazi-201341
En janvier 1945, il se souvient avoir entendu de premiers tirs d'artillerie. La ligne de front se rapprochait du camp. Des détenus, dont lui, ont été forcés de marcher sous escorte des SS, à travers champs, dans la neige jusqu'aux genoux. "Quiconque n'a pu suivre, n'avait plus de force et s'est effondré, ne s'est plus jamais relevé parce que les SS les tuaient à coup de fusils", raconte-t-il.
Après avoir marché pendant deux semaines, lui et son frère ont pris la fuite. "Je ne sais toujours pas comment j'ai réussi", se souvient-il avoir dit au prince William lors d'une visite royale au musée de Stutthof en 2017. Marek Dunin-Wasowicz ressent un "besoin difficile et douloureux" de s'exprimer pour s'opposer "au fascisme, au néo-fascisme et à tous les autres maux qui ont eu pour conséquence l'hitlérisme et les camps de concentration".
"Nous, prisonniers des camps de concentration, ne voulons plus que les mains se lèvent en signe de salut parce que les mains sont faites pour des poignées de main (...) Nous ne voulons pas de cris parce que nous nous souvenons des cris de la Gestapo et des SS dans les camps de concentration", insiste-t-il. "Nous ne voulons pas que les livres soient brûlés parce qu'à l'époque, on a commencé par brûler les livres, et puis ce sont les gens qui ont été brûlés... Je vais le répéter jusqu'à la nausée, jusqu'à ce que je meure".
https://www.geo.fr/histoire/le-crematorium-narrivait-plus-a-suivre-le-temoignage-glacant-dun-ancien-prisonnier-au-proces-dun-ex-garde-nazi-201341
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32747
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
volog a écrit:"Le crématorium n'arrivait plus à suivre": le témoignage glaçant d'un ancien prisonnier au procès d'un ex-garde nazi.
Dans le cadre du procès de l'ancien garde SS Bruno Dey, qui devrait se clore jeudi 23 juillet à Hambourg, un témoin de 93 ans, Marek Dunin-Wasowicz, a livré un témoignage accablant sur les mois qu'il a passé comme prisonnier au camp nazi de Stutthof, en Pologne.
Les bûchers de corps en feu dans les forêts autour du camp de concentration nazi de Stutthof hantent toujours Marek Dunin-Wasowicz, 93 ans, témoin crucial dans le procès de l'ancien garde SS Bruno Dey, qui devrait se clore jeudi à Hambourg............;
..................
Source:
https://www.geo.fr/histoire/le-crematorium-narrivait-plus-a-suivre-le-temoignage-glacant-dun-ancien-prisonnier-au-proces-dun-ex-garde-nazi-201341
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Date d'inscription : 03/12/2021
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
Jean-Louis de Toqueville a écrit:]Source: https://www.geo.fr/histoire/le-crematorium-narrivait-plus-a-suivre-le-temoignage-glacant-dun-ancien-prisonnier-au-proces-dun-ex-garde-nazi-201341
C'est marqué tête de piaf :
Editer/Supprimer ce message"Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
Message par Vladimir de Volog красны Aujourd'hui à 19:58
"Nous ne voulons pas que les livres soient brûlés"
En janvier 1945, il se souvient avoir entendu de premiers tirs d'artillerie. La ligne de front se rapprochait du camp. Des détenus, dont lui, ont été forcés de marcher sous escorte des SS, à travers champs, dans la neige jusqu'aux genoux. "Quiconque n'a pu suivre, n'avait plus de force et s'est effondré, ne s'est plus jamais relevé parce que les SS les tuaient à coup de fusils", raconte-t-il.
Après avoir marché pendant deux semaines, lui et son frère ont pris la fuite. "Je ne sais toujours pas comment j'ai réussi", se souvient-il avoir dit au prince William lors d'une visite royale au musée de Stutthof en 2017. Marek Dunin-Wasowicz ressent un "besoin difficile et douloureux" de s'exprimer pour s'opposer "au fascisme, au néo-fascisme et à tous les autres maux qui ont eu pour conséquence l'hitlérisme et les camps de concentration".
"Nous, prisonniers des camps de concentration, ne voulons plus que les mains se lèvent en signe de salut parce que les mains sont faites pour des poignées de main (...) Nous ne voulons pas de cris parce que nous nous souvenons des cris de la Gestapo et des SS dans les camps de concentration", insiste-t-il. "Nous ne voulons pas que les livres soient brûlés parce qu'à l'époque, on a commencé par brûler les livres, et puis ce sont les gens qui ont été brûlés... Je vais le répéter jusqu'à la nausée, jusqu'à ce que je meure".
https://www.geo.fr/histoire/le-crematorium-narrivait-plus-a-suivre-le-temoignage-glacant-dun-ancien-prisonnier-au-proces-dun-ex-garde-nazi-201341
encore une occasion ratée de te taire ..
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32747
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
respect au peuple ju.ifs
nous somme aussi responsable
surtout la CGT sncf qui na pas bloquer les trains
les us, qui n ont pas bombarder les gares de triages
nous somme aussi responsable
surtout la CGT sncf qui na pas bloquer les trains
les us, qui n ont pas bombarder les gares de triages
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
Vladimir de Volog красны a écrit:"Le crématorium n'arrivait plus à suivre": le témoignage glaçant d'un ancien prisonnier au procès d'un ex-garde nazi.
bizarre quand même, c'est quoi comme marque ?
Héloïse de Salm- Chef
- Messages : 1351
Date d'inscription : 14/08/2022
Couillatris Mouchabière aime ce message
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
Héloïse de Salm a écrit:Vladimir de Volog красны a écrit:"Le crématorium n'arrivait plus à suivre": le témoignage glaçant d'un ancien prisonnier au procès d'un ex-garde nazi.
bizarre quand même, c'est quoi comme marque ?
pas une marque allemande
mais une saloperie chinoise
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
michou a écrit: respect au peuple ju.ifs nous somme aussi responsablesurtout la CGT sncf qui na pas bloquer les trainsles us, qui n ont pas bombarder les gares de triages
Et le gouvernement collabo de vichy qui déportait les ju.ifs, rien pas responsable ?
Et les nazis qui avaient déclenché la solution finale, rien pas responsable.
Tu déconnes mec.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32747
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
le pauvre général Pétain
dieu le garde
n avait pas les moyens de supposé aux nazis
les socialistes, et communismes, étaient aussi anti ju.ifs
dieu le garde
n avait pas les moyens de supposé aux nazis
les socialistes, et communismes, étaient aussi anti ju.ifs
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
il ne faut jamais oublier
Héloïse de Salm- Chef
- Messages : 1351
Date d'inscription : 14/08/2022
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
le GVT de vichy c'était pierre laval (officiellement de gauche et athée)michou a écrit:le pauvre général Pétain
dieu le garde
n avait pas les moyens de supposé aux nazis
les socialistes, et communismes, étaient aussi anti ju.ifs
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
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Localisation : saint Etienne
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
J’ai lu la mort est mon métier.
Plaristes Evariste- Vénérable
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André de Montalembert- Vénérable
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Localisation : Lucciana
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
Bon, gogol j'imagine que tu n'as pas posté cette histoire juste pour le plaisir de nous apprendre un truc...
Alors c'est quoi le continuum avec la strêmdrouate actuelle ?
Alors c'est quoi le continuum avec la strêmdrouate actuelle ?
Couillatris Mouchabière- Maître
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Date d'inscription : 28/07/2020
Age : 56
Localisation : Champagne !
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
Frère Barnabé a écrit:le GVT de vichy c'était pierre laval (officiellement de gauche et athée)michou a écrit:le pauvre général Pétain
dieu le garde
n avait pas les moyens de supposé aux nazis
les socialistes, et communismes, étaient aussi anti ju.ifs
michou- Sage
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Date d'inscription : 16/09/2022
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
André de Montalembert- Vénérable
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Age : 81
Localisation : Lucciana
michou- Sage
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Date d'inscription : 16/09/2022
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
Le saint siège a hautement collaboré avec le régime nazi, il a été jusqu'à la conversion forcée de nos frère Orthodoxe dans les Balkans et en Ukraine.
Avec extermination de tous les lettrés (jugés impossibles à convertir) par leur copains oustachis et SS.
Avec extermination de tous les lettrés (jugés impossibles à convertir) par leur copains oustachis et SS.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: "Le crématorium n'arrivait plus à suivre"
Vladimir de Volog красны a écrit:michou a écrit: respect au peuple ju.ifs nous somme aussi responsablesurtout la CGT sncf qui na pas bloquer les trainsles us, qui n ont pas bombarder les gares de triages
Et le gouvernement collabo de vichy qui déportait les ju.ifs, rien pas responsable ?
Et les nazis qui avaient déclenché la solution finale, rien pas responsable.
Tu déconnes mec.
Vladimir de Volog- Vénérable
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