SOPHIE BINET : « "Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal". »
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SOPHIE BINET : « "Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal". »
SOPHIE BINET : « SI MACRON NE RETIRE PAS LA RÉFORME, IL NE POURRA PLUS GOUVERNER »
Dernière édition par Vladimir de Volog красны le Jeu 18 Mai 2023 - 20:28, édité 1 fois
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: SOPHIE BINET : « "Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal". »
Mais en fait il ne gouverne pas.
Il n'a jamais gouverne.
Il dirige.
Il se prend pour un chef d'entreprise dont il peut mépriser et virer les salariés si ils ne lui obéissent pas au doigt et à l'œil.
Sauf qu'il oublie que c'est lui notre employé et pas le contraire !
Il n'a jamais gouverne.
Il dirige.
Il se prend pour un chef d'entreprise dont il peut mépriser et virer les salariés si ils ne lui obéissent pas au doigt et à l'œil.
Sauf qu'il oublie que c'est lui notre employé et pas le contraire !
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: SOPHIE BINET : « "Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal". »
Le mois de mai arrive ils veulent 64 ans ils vont avoir mai 68.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: SOPHIE BINET : « "Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal". »
"E. Macron a cumulé tous les passages en force" - Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT
Face à la "profonde colère" contre la réforme des retraites, le gouvernement "fait comme si de rien n'était" et "vit dans une réalité parallèle", a affirmé jeudi la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, avant la manifestation parisienne. "Il n'y a pas d'autre issue que le retrait de cette réforme", a-t-elle martelé, dénonçant un "gouvernement bunkerisé" et en "rupture vis-à-vis du pays". "Leur capacité à diriger le pays est remise en cause", a-t-elle insisté, affirmant que "la mobilisation continuera sous une forme ou une autre" après cette onzième journée à l'appel de l'intersyndicale.
Face à la "profonde colère" contre la réforme des retraites, le gouvernement "fait comme si de rien n'était" et "vit dans une réalité parallèle", a affirmé jeudi la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, avant la manifestation parisienne. "Il n'y a pas d'autre issue que le retrait de cette réforme", a-t-elle martelé, dénonçant un "gouvernement bunkerisé" et en "rupture vis-à-vis du pays". "Leur capacité à diriger le pays est remise en cause", a-t-elle insisté, affirmant que "la mobilisation continuera sous une forme ou une autre" après cette onzième journée à l'appel de l'intersyndicale.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: SOPHIE BINET : « "Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal". »
Hé, le colleur d'affiches, t'as plus de colle où t'es tombé dans le pot, après t'être bourré ???
Allez, continue, pilonne, pilonne, pilonne.....
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Date d'inscription : 03/12/2021
Re: SOPHIE BINET : « "Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal". »
[quote="Jean-Louis de Toqueville"]
[color=#000000][size=16]Hé, le colleur d'affiches, t'as plus de colle où t'es tombé dans le pot, après t'être bourré ???
Allez, continue, pilonne, pilonne, pilonne.....[/size][/color]
[/quote]
En conclusion : Toqueville est un fasciste
[color=#000000][size=16]Hé, le colleur d'affiches, t'as plus de colle où t'es tombé dans le pot, après t'être bourré ???
Allez, continue, pilonne, pilonne, pilonne.....[/size][/color]
[/quote]
En conclusion : Toqueville est un fasciste
Invité- Invité
Re: SOPHIE BINET : « "Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal". »
Sophie Binet, Secrétaire générale de la CGT, résume son entretien avec la Première ministre Élisabeth Borne:
"Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal".
"Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal".
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: SOPHIE BINET : « "Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal". »
Invité a écrit:Jean-Louis de Toqueville a écrit:
Hé, le colleur d'affiches, t'as plus de colle où t'es tombé dans le pot, après t'être bourré ???
Allez, continue, pilonne, pilonne, pilonne.....
En conclusion : Toqueville est un fasciste
Pourquoi donc fasciste, "invité" ???? T'as une raison de m'insulter ainsi... donne-là, sinon, je te fous une plainte au cul, à défaut de pourvoir t'y foutre mon pied physiquement !!!
Je te donne 10 minutes pour retirer l'insulte ou t'excuser, tu piges ou je dois répéter, "l'invité"
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
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Re: SOPHIE BINET : « "Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal". »
Vladimir de Volog красны a écrit:Sophie Binet, Secrétaire générale de la CGT, résume son entretien avec la Première ministre Élisabeth Borne:
"Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal".
Vladimir de Volog- Vénérable
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Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: SOPHIE BINET : « "Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal". »
Déclaration de la CGT à la suite du rendez-vous avec Elisabeth Borne
PUBLIÉ LE 17 MAI. 2023
Plus de 4 mois après le début de la mobilisation contre la réforme des retraites, la CGT a été reçue ce jour par la Première ministre, Mme Elisabeth Borne. Aujourd'hui, la CGT s'est déplacée en qualité de porte-parole des salariés·es engagés·es dans un mouvement social historique au sein duquel, par tous les moyens, les syndicats ont essayé de faire entendre raison au gouvernement.
Aujourd'hui, nous avons porté la voix des syndicats, des unions départementales, des fédérations et plus largement des travailleuses et travailleurs qui se passent le relai de la mobilisation depuis plusieurs mois. Notre demande est simple : nous exigeons toujours le retrait de la réforme des retraites.
Nous avons rappelé à Madame la Première Ministre que cette réforme est violente, injuste et injustifiée.
Encore une fois, le gouvernement s'est dérobé alors que des millions de manifestantes et manifestants défilent dans les rues depuis le 19 janvier. Encore une fois, le gouvernement a fait la sourde oreille.
Encore une fois, le gouvernement nous a méprisé.
La CGT a rappelé que les manœuvres pour empêcher l'expression démocratique n'étaient plus possible et qu'il serait gravissime que la majorité gouvernementale retire de l'agenda parlementaire la PPL du groupe LIOT prévoyant la suppression de la réforme des retraites le 8 juin prochain.
Une chose est sûre : il n'y aura pas de retour à la normale tant que cette réforme ne sera pas retirée.
Ce rendez-vous a été aussi l'occasion d'aborder les sujets de préoccupation majeurs des salariés·es et notamment :
l'augmentation des salaires grâce à leur indexation sur l'inflation ;
la révision des ordonnances Macron ;
la conditionnalité des aides publiques aux entreprises ;
la réduction du temps de travail ;
l'égalité salariale et la lutte contre les violences sexistes et sexuelles au travail.
La CGT a rappelé son exigence de négociation tripartite sur les demandes syndicales. L'agenda social est celui des syndicats, pas celui du gouvernement ou du patronat. L'intersyndicale présentera donc le 30 mai ses premières propositions communes.
Nous ne voulons plus de mesures en coquille vide. Nous refuserons également de discuter sur la base d'un agenda patronal ou gouvernemental régressif.
La CGT a notamment rappelé son refus de mesures stigmatisant les salariés·es privés·es d'emploi, son combat contre la réforme des lycées professionnels et son désaccord sur toute mesure discriminant les travaileurs·ses sans papiers.
Ce rendez-vous de « dialogue social » s’est avéré être un monologue patronal.
Sur tout le territoire, dans tous les secteurs nous appelons les salariés·es à la mobilisation générale le 6 juin.
Montreuil, le 17 mai 20233
PUBLIÉ LE 17 MAI. 2023
Plus de 4 mois après le début de la mobilisation contre la réforme des retraites, la CGT a été reçue ce jour par la Première ministre, Mme Elisabeth Borne. Aujourd'hui, la CGT s'est déplacée en qualité de porte-parole des salariés·es engagés·es dans un mouvement social historique au sein duquel, par tous les moyens, les syndicats ont essayé de faire entendre raison au gouvernement.
Aujourd'hui, nous avons porté la voix des syndicats, des unions départementales, des fédérations et plus largement des travailleuses et travailleurs qui se passent le relai de la mobilisation depuis plusieurs mois. Notre demande est simple : nous exigeons toujours le retrait de la réforme des retraites.
Nous avons rappelé à Madame la Première Ministre que cette réforme est violente, injuste et injustifiée.
Encore une fois, le gouvernement s'est dérobé alors que des millions de manifestantes et manifestants défilent dans les rues depuis le 19 janvier. Encore une fois, le gouvernement a fait la sourde oreille.
Encore une fois, le gouvernement nous a méprisé.
La CGT a rappelé que les manœuvres pour empêcher l'expression démocratique n'étaient plus possible et qu'il serait gravissime que la majorité gouvernementale retire de l'agenda parlementaire la PPL du groupe LIOT prévoyant la suppression de la réforme des retraites le 8 juin prochain.
Une chose est sûre : il n'y aura pas de retour à la normale tant que cette réforme ne sera pas retirée.
Ce rendez-vous a été aussi l'occasion d'aborder les sujets de préoccupation majeurs des salariés·es et notamment :
l'augmentation des salaires grâce à leur indexation sur l'inflation ;
la révision des ordonnances Macron ;
la conditionnalité des aides publiques aux entreprises ;
la réduction du temps de travail ;
l'égalité salariale et la lutte contre les violences sexistes et sexuelles au travail.
La CGT a rappelé son exigence de négociation tripartite sur les demandes syndicales. L'agenda social est celui des syndicats, pas celui du gouvernement ou du patronat. L'intersyndicale présentera donc le 30 mai ses premières propositions communes.
Nous ne voulons plus de mesures en coquille vide. Nous refuserons également de discuter sur la base d'un agenda patronal ou gouvernemental régressif.
La CGT a notamment rappelé son refus de mesures stigmatisant les salariés·es privés·es d'emploi, son combat contre la réforme des lycées professionnels et son désaccord sur toute mesure discriminant les travaileurs·ses sans papiers.
Ce rendez-vous de « dialogue social » s’est avéré être un monologue patronal.
Sur tout le territoire, dans tous les secteurs nous appelons les salariés·es à la mobilisation générale le 6 juin.
Montreuil, le 17 mai 20233
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32725
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: SOPHIE BINET : « "Nous avons assisté à deux heures de monologue patronal". »
Déclaration de la CGT à la suite du rendez-vous avec Elisabeth Borne
PUBLIÉ LE 17 MAI. 2023
Plus de 4 mois après le début de la mobilisation contre la réforme des retraites, la CGT a été reçue ce jour par la Première ministre, Mme Elisabeth Borne. Aujourd'hui, la CGT s'est déplacée en qualité de porte-parole des salariés·es engagés·es dans un mouvement social historique au sein duquel, par tous les moyens, les syndicats ont essayé de faire entendre raison au gouvernement.
Aujourd'hui, nous avons porté la voix des syndicats, des unions départementales, des fédérations et plus largement des travailleuses et travailleurs qui se passent le relai de la mobilisation depuis plusieurs mois. Notre demande est simple : nous exigeons toujours le retrait de la réforme des retraites.
Nous avons rappelé à Madame la Première Ministre que cette réforme est violente, injuste et injustifiée.
Encore une fois, le gouvernement s'est dérobé alors que des millions de manifestantes et manifestants défilent dans les rues depuis le 19 janvier. Encore une fois, le gouvernement a fait la sourde oreille.
Encore une fois, le gouvernement nous a méprisé.
La CGT a rappelé que les manœuvres pour empêcher l'expression démocratique n'étaient plus possible et qu'il serait gravissime que la majorité gouvernementale retire de l'agenda parlementaire la PPL du groupe LIOT prévoyant la suppression de la réforme des retraites le 8 juin prochain.
Une chose est sûre : il n'y aura pas de retour à la normale tant que cette réforme ne sera pas retirée.
Ce rendez-vous a été aussi l'occasion d'aborder les sujets de préoccupation majeurs des salariés·es et notamment :
l'augmentation des salaires grâce à leur indexation sur l'inflation ;
la révision des ordonnances Macron ;
la conditionnalité des aides publiques aux entreprises ;
la réduction du temps de travail ;
l'égalité salariale et la lutte contre les violences sexistes et sexuelles au travail.
La CGT a rappelé son exigence de négociation tripartite sur les demandes syndicales. L'agenda social est celui des syndicats, pas celui du gouvernement ou du patronat. L'intersyndicale présentera donc le 30 mai ses premières propositions communes.
Nous ne voulons plus de mesures en coquille vide. Nous refuserons également de discuter sur la base d'un agenda patronal ou gouvernemental régressif.
La CGT a notamment rappelé son refus de mesures stigmatisant les salariés·es privés·es d'emploi, son combat contre la réforme des lycées professionnels et son désaccord sur toute mesure discriminant les travaileurs·ses sans papiers.
Ce rendez-vous de « dialogue social » s’est avéré être un monologue patronal.
Sur tout le territoire, dans tous les secteurs nous appelons les salariés·es à la mobilisation générale le 6 juin.
Montreuil, le 17 mai 20233
PUBLIÉ LE 17 MAI. 2023
Plus de 4 mois après le début de la mobilisation contre la réforme des retraites, la CGT a été reçue ce jour par la Première ministre, Mme Elisabeth Borne. Aujourd'hui, la CGT s'est déplacée en qualité de porte-parole des salariés·es engagés·es dans un mouvement social historique au sein duquel, par tous les moyens, les syndicats ont essayé de faire entendre raison au gouvernement.
Aujourd'hui, nous avons porté la voix des syndicats, des unions départementales, des fédérations et plus largement des travailleuses et travailleurs qui se passent le relai de la mobilisation depuis plusieurs mois. Notre demande est simple : nous exigeons toujours le retrait de la réforme des retraites.
Nous avons rappelé à Madame la Première Ministre que cette réforme est violente, injuste et injustifiée.
Encore une fois, le gouvernement s'est dérobé alors que des millions de manifestantes et manifestants défilent dans les rues depuis le 19 janvier. Encore une fois, le gouvernement a fait la sourde oreille.
Encore une fois, le gouvernement nous a méprisé.
La CGT a rappelé que les manœuvres pour empêcher l'expression démocratique n'étaient plus possible et qu'il serait gravissime que la majorité gouvernementale retire de l'agenda parlementaire la PPL du groupe LIOT prévoyant la suppression de la réforme des retraites le 8 juin prochain.
Une chose est sûre : il n'y aura pas de retour à la normale tant que cette réforme ne sera pas retirée.
Ce rendez-vous a été aussi l'occasion d'aborder les sujets de préoccupation majeurs des salariés·es et notamment :
l'augmentation des salaires grâce à leur indexation sur l'inflation ;
la révision des ordonnances Macron ;
la conditionnalité des aides publiques aux entreprises ;
la réduction du temps de travail ;
l'égalité salariale et la lutte contre les violences sexistes et sexuelles au travail.
La CGT a rappelé son exigence de négociation tripartite sur les demandes syndicales. L'agenda social est celui des syndicats, pas celui du gouvernement ou du patronat. L'intersyndicale présentera donc le 30 mai ses premières propositions communes.
Nous ne voulons plus de mesures en coquille vide. Nous refuserons également de discuter sur la base d'un agenda patronal ou gouvernemental régressif.
La CGT a notamment rappelé son refus de mesures stigmatisant les salariés·es privés·es d'emploi, son combat contre la réforme des lycées professionnels et son désaccord sur toute mesure discriminant les travaileurs·ses sans papiers.
Ce rendez-vous de « dialogue social » s’est avéré être un monologue patronal.
Sur tout le territoire, dans tous les secteurs nous appelons les salariés·es à la mobilisation générale le 6 juin.
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