Une attaque au couteau aujourd'hui
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
oosevelt_vs_Keynes
Coupez les banques, pas la coke !
« La totalité de la planète est recouverte de routes qui servent le trafic de drogue, son infrastructure logistique pour l’approvisionnement et les ventes. Il faut avoir en tête qu’aucun processus au monde n’est déconnecté des flux de drogue : aucun processus politique, militaire, ni même culturel, puisque de nouvelles modes culturelles pro-drogues sont constamment développées. »
« Si on considère la composition financière du trafic de drogue, il y a différentes sphères. Si on prend un producteur en Afghanistan, il produit une héroïne qui est vendue sur les marchés étrangers pour environ 100 milliards de dollars annuels. […] Cet argent ne reste pas à dormir sous l’oreiller, mais nourrit directement le système bancaire.
 Grasso abrazo entre Richard Grasso, président du New York Stock Exchange et le commandant Raul Reyes, trésorier du FARC, le 26 juin 1999
« Nous travaillons à tous les niveaux, et en ce sens, la question devient : il faut interdire les flux d’argent et arrêter les criminels en suivant leur argent à travers le système bancaire, via lequel il circule et est blanchi. »
C’est ce qu’a déclaré Victor Ivanov, qui préside le Service russe de lutte contre le trafic de drogue, lors d’un discours public tenu le 12 décembre à l’université d’Harvard dans le cadre du groupe de travail russo-américain sur la lutte contre le trafic de drogue.
C’est dans ce contexte que le 13 décembre, le journaliste d’investigation Matt Tibi du magazine Rolling Stones accusait le Département de la Justice US de protéger les banques britanniques, dans une interview dans Democracy Now du 13 décembre : « Apparemment, nous avons un scandale similaire impliquant une autre banque britannique, Standard Chartered, qui a payé une énorme amende pour blanchir de l’argent via l’Iran. Ceci vient se mêler au scandale du Libor, qui implique déjà deux grandes banques britanniques, la Royal Bank of Scotland et Barclays.
» Juan Gonzalez de Democracy Now de souligner le contrôle de l’Empire britannique sur HSBC : « la plupart des gens ne sait pas que HSBC signifie Hong-Kong and Shanghai Banking Corporation. C’est une banque britannique qui remonte au temps du colonialisme de l’Empire britannnique. »
C’est dans ce contexte, où est exposé le lien entre trafic de drogue et système financier international, via des « banques universelles » (c’est-à-dire, en l’occurrence, des banques qui mêlent l’argent de la drogue aux comptes-courants des salariés), que Pierre Moscovici va présenter sa réforme bancaire le 19 décembre.
L’enjeu est la ré-instauration, au niveau mondial, du standard bancaire Glass-Steagall(en France, il s’agit de la loi 45-15 du 2 décembre 1945, abrogée par Jacques Delors en 1983) qui consiste à couper les banques en deux.

Coupez les banques, pas la coke !
« La totalité de la planète est recouverte de routes qui servent le trafic de drogue, son infrastructure logistique pour l’approvisionnement et les ventes. Il faut avoir en tête qu’aucun processus au monde n’est déconnecté des flux de drogue : aucun processus politique, militaire, ni même culturel, puisque de nouvelles modes culturelles pro-drogues sont constamment développées. »
« Si on considère la composition financière du trafic de drogue, il y a différentes sphères. Si on prend un producteur en Afghanistan, il produit une héroïne qui est vendue sur les marchés étrangers pour environ 100 milliards de dollars annuels. […] Cet argent ne reste pas à dormir sous l’oreiller, mais nourrit directement le système bancaire.
 Grasso abrazo entre Richard Grasso, président du New York Stock Exchange et le commandant Raul Reyes, trésorier du FARC, le 26 juin 1999
« Nous travaillons à tous les niveaux, et en ce sens, la question devient : il faut interdire les flux d’argent et arrêter les criminels en suivant leur argent à travers le système bancaire, via lequel il circule et est blanchi. »
C’est ce qu’a déclaré Victor Ivanov, qui préside le Service russe de lutte contre le trafic de drogue, lors d’un discours public tenu le 12 décembre à l’université d’Harvard dans le cadre du groupe de travail russo-américain sur la lutte contre le trafic de drogue.
C’est dans ce contexte que le 13 décembre, le journaliste d’investigation Matt Tibi du magazine Rolling Stones accusait le Département de la Justice US de protéger les banques britanniques, dans une interview dans Democracy Now du 13 décembre : « Apparemment, nous avons un scandale similaire impliquant une autre banque britannique, Standard Chartered, qui a payé une énorme amende pour blanchir de l’argent via l’Iran. Ceci vient se mêler au scandale du Libor, qui implique déjà deux grandes banques britanniques, la Royal Bank of Scotland et Barclays.
» Juan Gonzalez de Democracy Now de souligner le contrôle de l’Empire britannique sur HSBC : « la plupart des gens ne sait pas que HSBC signifie Hong-Kong and Shanghai Banking Corporation. C’est une banque britannique qui remonte au temps du colonialisme de l’Empire britannnique. »
C’est dans ce contexte, où est exposé le lien entre trafic de drogue et système financier international, via des « banques universelles » (c’est-à-dire, en l’occurrence, des banques qui mêlent l’argent de la drogue aux comptes-courants des salariés), que Pierre Moscovici va présenter sa réforme bancaire le 19 décembre.
L’enjeu est la ré-instauration, au niveau mondial, du standard bancaire Glass-Steagall(en France, il s’agit de la loi 45-15 du 2 décembre 1945, abrogée par Jacques Delors en 1983) qui consiste à couper les banques en deux.

Invité- Invité
Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
IL ETAIT UNE FOIS LA MAFIA SUR LES BORDS DE LA MEDITERRANEE
mafia homme d’honneur
LES MAFIAS INSTALLÉES SUR LA CÔTE D’AZUR SEVISSENT DEPUIS DES LUSTRES ...
La Chute de l’Empire du Crime organisé à Nice... une véritable hécatombe au siècle dernier et en ce début du XXIème siècle
ville de nice
Le 26 mars 1993, Michel Luisi dit Petit Michel, ancien chef du clan des italo-grenoblois, considéré comme un parrain de Nice et patron de l’iguane café, est abattu par une décharge de chevrotine alors qu’il se trouve au volant de sa voiture devant son établissement de nuit. Il avait 47 ans et avait déjà été impliqué dans un réseau international de proxénétisme, il s’était exilé pendant 7 ans en Italie puis avait pris la suite de l’iguane café a la mort du parrain Bastien Bonventre en 1989.
le 8 octobre 2 corps démembrés sont retrouvé dans les casiers de la gare de Nice. Ils semblent appartenir à 2 petits truands niçois.
Le 25 décembre 1994,c’est une figure de la pègre niçoise qui tombe. Richard Ughetto, âgé d’une quarantaine d’années est abattu par trois hommes armés et masqués devant la boite de nuit de laquelle il sortait en plein centre de Nice. Connu pour vol à main armée il est considéré comme un proche de la bande à Olivero, avant la mort de Luisi, il été également un habitué de l’iguane café.
Le 22 mars 1995 , Jean-Paul Casabianca, truand niçois respecté, est abattu au volant de sa Mercedes-Benz , prés du port de Nice, par des hommes à moto qui tirent une quinzaine de balles de 11,43. Proche du Petit Michel et d’Olivero avec lequel il est suspecté dans la série d’attentat en 1993. Il était un habitué de l’iguane café.
Le 1er avril 1995, c’est Jean-Robert Vincent , alias Bob le grenoblois, 46 ans, qui est blessé a St. Laurent du Var, il riposte mais est touché au bras et à l’abdomen, ses deux agresseurs prennent la fuite à moto. Considéré comme un ambassadeur des italo-grenoblois sur la Côte d’Azur, il est très proche de Luisi et a été condamné à 4 ans de prison dans les années 1980. Il se retire en Espagne d’où il sera extradé en 1999, recherché en France pour un trafic de cannabis et escroquerie aux cartes bancaires.
Le 4 avril Xavier Picat, 36 ans est abattu à Nice par 2 hommes à moto d’une balle de 9 m/m en pleine tête, il portait un gilet pare-balles et était armé d’un pistolet Beretta.
Le 8 juin, un jeune truand porche des italo-grenoblois est blessé aux jambes alors qu’il conduit sa moto, par des tueurs a bord d’une voiture, à Nice, il parvient a s’échapper en conduisant sa moto jusqu’au siège de la police municipale à proximité du casino Ruhl. Considéré comme l’homme de main de Michel Luisi, Pascal Picardo, 23 ans meurt quelques mois plus tard. Il était un habitué de l’iguane café.
Le 11 mai 1996, Michel Borde, 35 ans est abattu dans un parking prés de la faculté des lettre de Nice , proche de la madeleine par 2 hommes. Il est touché de 6 balles 11,43 et de 2 décharges de chevrotine, il était impliqué dans des affaires de racket et de machines à sous. Il fréquentait l’iguane café.
Le 30 mai, Philipe Sarmiento, 30 ans, est abattu devant une école du centre de Nice par 2 tueurs à moto, gros trafiquant de drogue, il pourrait s’agir d’un litige entre dealers.
Le 8 janvier 1997, Michel Marani, 42 ans, proche des italo-grenoblois est abattu chez lui, de 17 balles de 9 m/m, suivi du coup de grâce à la tête. Inquiété dans les années 80 pour une infraction sur les armes, et en 1993 pour extorsion de fonds. Proche de Casabianca et de Luisi, il semblait s’être retiré.
Le 10 janvier, c’est une autre figure du milieu niçois qui tombe, Régis Colpaert, 41 ans, patron du Pape, restaurant de St.Tropez, il est retrouvé criblé d’une dizaine de balles tirées a bout portant dans le garage de sa résidence à Nice. Connu pour proxénétisme, extorsion de fonds et coups mortels, il semblait investir dans le marché de la drogue, évoluant pourtant dans le sillage de Sébastien Bonventre. Il fréquentait l’iguane café.
Le 16 juin, Jean-Charles Taran, 44 ans, et Patrice Meillan, 28 ans, sont assassinés par des hommes en voiture, à St. Laurent-du-Var tout prés de Nice. Les hommes masqués les achèvent de 7 coups de 11,43 dans la tête, après les avoir criblés d’une rafale de mitraillette. Une trentaine de douilles sont retrouvées prés des cadavres. Les Perletto sont soupçonnés d’être impliqués dans cette affaire de meurtre.
Le 16 juillet, Jean-Claude Olivero est abattu . Arrêté à un feu feux rouge, en compagnie de deux jeunes femmes, sur l’avenue de la Californie, 2 hommes à moto criblent Olivero dit « le fou » d’une quinzaine de balles 9 m/m parabellum. Suspecté dans un grand nombre de meurtres au début des années 90, avant la mort de Luisi, il était un habitué de l’iguane café et considéré comme un proche de Borde et Ughetto.
Le 22 septembre, Jean-Louis Ellena, 48 ans, connu pour trafic de drogue et arrêté en 1992 pour trafic d’héroïne est tué à coup de Brenneck, balles à sanglier, dans le sous-sol de sa résidence niçoise.
Le 7 octobre, 2 membres du milieu niçois sont tués dans un parking de Nice, 4 hommes, 3 en voiture et 1 en moto abattent Patrick Fellah de 17 balles de 11,43, Fellah, âgé de 28 ans était connu pour des vols de tableaux commis en 1992 chez l’homme d’affaire Tannouri. Fellah était le neveu de Michel Blanc abattu en 1992 et était considéré comme un ami d’Olivero et de Borde. Le second, Sauveur Coronia,54 ans, connu pour proxénétisme, trafique de stupéfiants et de fausse monnaie, était considéré comme un ex-lieutenant du parrain Zampa.
TANY ZAMPA DIT LE SERPENT A SONNETTES MARSEILLAIS
LE PARRAIN DE MARSEILLE TANY ZAMPA
Le 23 octobre 1998, Noël Fratoni , 50 ans, fils du Napoléon des tapis verts Jean-Dominque Fratoni est retrouvé abattu d’une dizaine de balles de 9 m/m dont 2 dans la tête dans son garage de sa résidence à Nice. Le meurtre pourrait être lié au monde des jeux.
Le 8 décembre, Frédéric Kalka, 24 ans et sous contrôle judiciaire est blessé d’une balle dans le dos dans le hall de son immeuble niçois, par un homme seul et cagoulé.
Le 18 décembre 1998, c’est une figure locale qui tombe. Le « parrain » de Nice est abattu. Marcel Diavaloni, dit Marcel le bègue, est abattu dans le sous-sol de sa résidence, à Nice. Armé, il ouvre le feu contre ses agresseurs, mais il est tué d’une vingtaine de balles provenant de plusieurs armes. Fiché au grand banditisme et considéré comme une figure du milieu du Sud-Est, il avait été arrêté en1980 pour porteur de 500.000 faux dollars, Il est également soupçonné dans un trafic de drogue, notamment avec Regis Colpaert.
Le 15 janvier c’est le bras droit de Diavaloni qui est abattu. Jean-louis Goiran, 47 ans, est criblé d’une vingtaine de balles par 3 ou 4 tueurs. Condamné pour attaques à main armée, fausse monnaie, racket, et soupçonné dans plusieurs règlements de comptes, notamment dans celui de Bonventre en 1989. Il est abattu a bord de son 4x4 prés de chez lui sur les hauteurs de Nice, à Colomars.
Le 2 juin 2000, Roger Generotti, 58 ans, ami de Diavaloni et de Goiran est abattu de 13 balles alors qu’il sort de chez lui à Nice.
Le 6 juin 2000 , c’est Camille Panizolli qui est abattu de 5 balles de gros calibre 45 sur la promenade des anglais à Nice. Proche du père Jean-Dominique Fratoni, il était rentré depuis peu d’Espagne, c’était lui qui avec son complice le Curé s’était laissé enfermé dans une banque à Vence pour la piller, mais n’avait pu en ressortir et avait été cueilli avec son complice dénommé le Curé par la Police.
C’est ici que les choses se calment, après la chute d’un parrain en 1989, Sébastien Bonventre, les têtes sont tombées, les règlements de comptes se sont succédés. Olivero est soupçonné de beaucoup d’entre eux : Jean-Marc Sirvent au Cros-de-Cagne en 1992, Michel Blanc en 1992 à Nice, Jean-Jacques Francesconi, retrouvé dans le coffre de sa voiture carbonisé, à l’aéroport de Nice, Joseph Fernandez, et beaucoup d’autre jusqu’à sa mort.
Les années 90 resteront gravées dans les mémoires des niçois ,comme étant celles qui ont vu la chute progressive des figures locales du grand banditisme.
En moins de 15 ans, Nice a perdu 3 parrains...peut-être pour laisser place à d’autres ?
Aujourd’hui, Soret, Sordi, Agostini sont les noms cités par la justice, comme étant ceux qui tiennent le milieu niçois, mais qui sait ?
mafia homme d’honneur
LES MAFIAS INSTALLÉES SUR LA CÔTE D’AZUR SEVISSENT DEPUIS DES LUSTRES ...
La Chute de l’Empire du Crime organisé à Nice... une véritable hécatombe au siècle dernier et en ce début du XXIème siècle
ville de nice
Le 26 mars 1993, Michel Luisi dit Petit Michel, ancien chef du clan des italo-grenoblois, considéré comme un parrain de Nice et patron de l’iguane café, est abattu par une décharge de chevrotine alors qu’il se trouve au volant de sa voiture devant son établissement de nuit. Il avait 47 ans et avait déjà été impliqué dans un réseau international de proxénétisme, il s’était exilé pendant 7 ans en Italie puis avait pris la suite de l’iguane café a la mort du parrain Bastien Bonventre en 1989.
le 8 octobre 2 corps démembrés sont retrouvé dans les casiers de la gare de Nice. Ils semblent appartenir à 2 petits truands niçois.
Le 25 décembre 1994,c’est une figure de la pègre niçoise qui tombe. Richard Ughetto, âgé d’une quarantaine d’années est abattu par trois hommes armés et masqués devant la boite de nuit de laquelle il sortait en plein centre de Nice. Connu pour vol à main armée il est considéré comme un proche de la bande à Olivero, avant la mort de Luisi, il été également un habitué de l’iguane café.
Le 22 mars 1995 , Jean-Paul Casabianca, truand niçois respecté, est abattu au volant de sa Mercedes-Benz , prés du port de Nice, par des hommes à moto qui tirent une quinzaine de balles de 11,43. Proche du Petit Michel et d’Olivero avec lequel il est suspecté dans la série d’attentat en 1993. Il était un habitué de l’iguane café.
Le 1er avril 1995, c’est Jean-Robert Vincent , alias Bob le grenoblois, 46 ans, qui est blessé a St. Laurent du Var, il riposte mais est touché au bras et à l’abdomen, ses deux agresseurs prennent la fuite à moto. Considéré comme un ambassadeur des italo-grenoblois sur la Côte d’Azur, il est très proche de Luisi et a été condamné à 4 ans de prison dans les années 1980. Il se retire en Espagne d’où il sera extradé en 1999, recherché en France pour un trafic de cannabis et escroquerie aux cartes bancaires.
Le 4 avril Xavier Picat, 36 ans est abattu à Nice par 2 hommes à moto d’une balle de 9 m/m en pleine tête, il portait un gilet pare-balles et était armé d’un pistolet Beretta.
Le 8 juin, un jeune truand porche des italo-grenoblois est blessé aux jambes alors qu’il conduit sa moto, par des tueurs a bord d’une voiture, à Nice, il parvient a s’échapper en conduisant sa moto jusqu’au siège de la police municipale à proximité du casino Ruhl. Considéré comme l’homme de main de Michel Luisi, Pascal Picardo, 23 ans meurt quelques mois plus tard. Il était un habitué de l’iguane café.
Le 11 mai 1996, Michel Borde, 35 ans est abattu dans un parking prés de la faculté des lettre de Nice , proche de la madeleine par 2 hommes. Il est touché de 6 balles 11,43 et de 2 décharges de chevrotine, il était impliqué dans des affaires de racket et de machines à sous. Il fréquentait l’iguane café.
Le 30 mai, Philipe Sarmiento, 30 ans, est abattu devant une école du centre de Nice par 2 tueurs à moto, gros trafiquant de drogue, il pourrait s’agir d’un litige entre dealers.
Le 8 janvier 1997, Michel Marani, 42 ans, proche des italo-grenoblois est abattu chez lui, de 17 balles de 9 m/m, suivi du coup de grâce à la tête. Inquiété dans les années 80 pour une infraction sur les armes, et en 1993 pour extorsion de fonds. Proche de Casabianca et de Luisi, il semblait s’être retiré.
Le 10 janvier, c’est une autre figure du milieu niçois qui tombe, Régis Colpaert, 41 ans, patron du Pape, restaurant de St.Tropez, il est retrouvé criblé d’une dizaine de balles tirées a bout portant dans le garage de sa résidence à Nice. Connu pour proxénétisme, extorsion de fonds et coups mortels, il semblait investir dans le marché de la drogue, évoluant pourtant dans le sillage de Sébastien Bonventre. Il fréquentait l’iguane café.
Le 16 juin, Jean-Charles Taran, 44 ans, et Patrice Meillan, 28 ans, sont assassinés par des hommes en voiture, à St. Laurent-du-Var tout prés de Nice. Les hommes masqués les achèvent de 7 coups de 11,43 dans la tête, après les avoir criblés d’une rafale de mitraillette. Une trentaine de douilles sont retrouvées prés des cadavres. Les Perletto sont soupçonnés d’être impliqués dans cette affaire de meurtre.
Le 16 juillet, Jean-Claude Olivero est abattu . Arrêté à un feu feux rouge, en compagnie de deux jeunes femmes, sur l’avenue de la Californie, 2 hommes à moto criblent Olivero dit « le fou » d’une quinzaine de balles 9 m/m parabellum. Suspecté dans un grand nombre de meurtres au début des années 90, avant la mort de Luisi, il était un habitué de l’iguane café et considéré comme un proche de Borde et Ughetto.
Le 22 septembre, Jean-Louis Ellena, 48 ans, connu pour trafic de drogue et arrêté en 1992 pour trafic d’héroïne est tué à coup de Brenneck, balles à sanglier, dans le sous-sol de sa résidence niçoise.
Le 7 octobre, 2 membres du milieu niçois sont tués dans un parking de Nice, 4 hommes, 3 en voiture et 1 en moto abattent Patrick Fellah de 17 balles de 11,43, Fellah, âgé de 28 ans était connu pour des vols de tableaux commis en 1992 chez l’homme d’affaire Tannouri. Fellah était le neveu de Michel Blanc abattu en 1992 et était considéré comme un ami d’Olivero et de Borde. Le second, Sauveur Coronia,54 ans, connu pour proxénétisme, trafique de stupéfiants et de fausse monnaie, était considéré comme un ex-lieutenant du parrain Zampa.
TANY ZAMPA DIT LE SERPENT A SONNETTES MARSEILLAIS
LE PARRAIN DE MARSEILLE TANY ZAMPA
Le 23 octobre 1998, Noël Fratoni , 50 ans, fils du Napoléon des tapis verts Jean-Dominque Fratoni est retrouvé abattu d’une dizaine de balles de 9 m/m dont 2 dans la tête dans son garage de sa résidence à Nice. Le meurtre pourrait être lié au monde des jeux.
Le 8 décembre, Frédéric Kalka, 24 ans et sous contrôle judiciaire est blessé d’une balle dans le dos dans le hall de son immeuble niçois, par un homme seul et cagoulé.
Le 18 décembre 1998, c’est une figure locale qui tombe. Le « parrain » de Nice est abattu. Marcel Diavaloni, dit Marcel le bègue, est abattu dans le sous-sol de sa résidence, à Nice. Armé, il ouvre le feu contre ses agresseurs, mais il est tué d’une vingtaine de balles provenant de plusieurs armes. Fiché au grand banditisme et considéré comme une figure du milieu du Sud-Est, il avait été arrêté en1980 pour porteur de 500.000 faux dollars, Il est également soupçonné dans un trafic de drogue, notamment avec Regis Colpaert.
Le 15 janvier c’est le bras droit de Diavaloni qui est abattu. Jean-louis Goiran, 47 ans, est criblé d’une vingtaine de balles par 3 ou 4 tueurs. Condamné pour attaques à main armée, fausse monnaie, racket, et soupçonné dans plusieurs règlements de comptes, notamment dans celui de Bonventre en 1989. Il est abattu a bord de son 4x4 prés de chez lui sur les hauteurs de Nice, à Colomars.
Le 2 juin 2000, Roger Generotti, 58 ans, ami de Diavaloni et de Goiran est abattu de 13 balles alors qu’il sort de chez lui à Nice.
Le 6 juin 2000 , c’est Camille Panizolli qui est abattu de 5 balles de gros calibre 45 sur la promenade des anglais à Nice. Proche du père Jean-Dominique Fratoni, il était rentré depuis peu d’Espagne, c’était lui qui avec son complice le Curé s’était laissé enfermé dans une banque à Vence pour la piller, mais n’avait pu en ressortir et avait été cueilli avec son complice dénommé le Curé par la Police.
C’est ici que les choses se calment, après la chute d’un parrain en 1989, Sébastien Bonventre, les têtes sont tombées, les règlements de comptes se sont succédés. Olivero est soupçonné de beaucoup d’entre eux : Jean-Marc Sirvent au Cros-de-Cagne en 1992, Michel Blanc en 1992 à Nice, Jean-Jacques Francesconi, retrouvé dans le coffre de sa voiture carbonisé, à l’aéroport de Nice, Joseph Fernandez, et beaucoup d’autre jusqu’à sa mort.
Les années 90 resteront gravées dans les mémoires des niçois ,comme étant celles qui ont vu la chute progressive des figures locales du grand banditisme.
En moins de 15 ans, Nice a perdu 3 parrains...peut-être pour laisser place à d’autres ?
Aujourd’hui, Soret, Sordi, Agostini sont les noms cités par la justice, comme étant ceux qui tiennent le milieu niçois, mais qui sait ?
Invité- Invité
Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
La totalité de la planète est recouverte de routes qui servent le trafic de drogue, son infrastructure logistique pour l’approvisionnement et les ventes. Il faut avoir en tête qu’aucun processus au monde n’est déconnecté des flux de drogue : aucun processus politique, militaire, ni même culturel, puisque de nouvelles modes culturelles pro-drogues sont constamment développées
Lien Robert GIL ROBERT GIL (---.---.---.196) 22 août 2013 11:33 Le marché de la drogue représente des milliards et sert de financement à différentes activités officielles et non officielles. C’est parfois avec l’argent de la drogue que des gouvernements dit « démocratiques » financent des activités illégales ou des groupes insurrectionnels dans différentes parties du globe........
voir : SALLES DE SHOOT ET HYPOCRISIE
et aussi : LA MAFIA VOUS SALUE BIEN
Lien Robert GIL ROBERT GIL (---.---.---.196) 22 août 2013 11:33 Le marché de la drogue représente des milliards et sert de financement à différentes activités officielles et non officielles. C’est parfois avec l’argent de la drogue que des gouvernements dit « démocratiques » financent des activités illégales ou des groupes insurrectionnels dans différentes parties du globe........
voir : SALLES DE SHOOT ET HYPOCRISIE
et aussi : LA MAFIA VOUS SALUE BIEN
Invité- Invité
Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
zarathustra a écrit:Lou a écrit:Les plus grands trafiquants de drogue en France font partie de la mafia des pays de l’Est, de la mafia corse, de la mafia ju.ive ou de la mafia italienne : ces mafias sont contrôlées par les gros poissons. Toutes ces mafias sont tenues par des groupes d’extrême-droite de divers pays qui se rejoignent tous. En particulier, l’extrême-droite française est reliée à l’extrême-droite des pays de l’Est et à l’extrême-droite israélienne : toutes sont en lien avec l’Etat, avec Israël et les USA et avec les services secrets de ces 3 pays. Ces grands mafieux d’extrême-droite ont assez d’armes pour faire sauter la France mais sont bien protégés par l’Etat qui ne va pas les arrêter et les laisse prospérer. Ce sont justement ces mafieux d’extrême-droite qui abattent un par un les jeunes de banlie. Certes, il y a des règlements de compte entre eux, mais il n’y a pas que ça : cette extrême-droite est liée au Mossad qui abat ces jeunes. D’ailleurs, le GUD (en France) est complètement lié à l’extrême-droite israélienne. Bien sûr, les médias camouflent tous ces meurtres en règlements de comptes, ce qui fait que personne ne se pose de questions et l’extrême-droite avec Israël abat des jeunes un par un. Les sionistes israéliens qui dirigent la France ont importé le conflit israélo-palestinien. N’oublions pas le darknet où les gens de toute condition sociale peuvent commander de la drogue et des armes expédiés directement par la poste.
Ces pauvres habitants qui veulent combattre les dealers, c’est à mourir de rire ! Ils ne sont pas prêts d’y arriver !
Après tout ça le mouton décidera de rester mouton. On l'emmènera à l'abattoir et sera heureux du sacrifice car c'est ainsi que c'est écrit !
Eh oui !
Invité- Invité
Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Paris 16 bourgeois, aristocrates, cathos, et uneforte communauté israélite
présumés de cocaïne avaient décidé d’investir dans la mode…
Les policiers de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) ont déclenché, mardi matin, un important coup de filet. Quatorze personnes soupçonnées d’appartenir à un vaste réseau de trafiquants de drogue ont été interpellées dans le XVIe arrondissement à Paris, à Saint-Mandé (Val-de-Marne) et dans les Yvelines. Plusieurs dizaines de milliers d’euros ont été saisis au cours des perquisitions. Les enquêteurs de l’Ocrtis, épaulés par leurs collègues de l’Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF), ont également mis la main sur quatre voitures — dont une Mercedes SL 63 AMG d’une valeur de 150000 € —, des montres de luxe, un fusil à pompe, un pistolet automatique et un gilet pare-balles.
La cocaïne venait du Pérou
« Cinq trafiquants et neuf blanchisseurs présumés, gérants de boutiques de mode et d’une imprimerie implantées dans le XVIe arrondissement ont été arrêtés, explique une source proche de l’affaire. Les principaux commanditaires, qui appartiennent tous à la communauté ju.ive, sont soupçonnés d’avoir acheminé près de 100 kg de cocaïne depuis un an, en France. » Armand A., 78 ans et son fils Franck sont présentés comme les responsables de ce réseau. Les trafiquants faisaient venir leur drogue depuis le Pérou, via des passeuses, chargées de transporter des valises, sur la ligne régulière entre Lima et Paris. « Plusieurs dizaines de kilos ont également été acheminés, par bateau, dans des conteneurs, avant d’être déchargés à Anvers en Belgique puis ramenés en France, confie un proche de l’affaire. La particularité de ces narcotrafiquants est qu’ils recyclaient eux-mêmes l’argent dégagé du trafic. D’habitude, les trafiquants sous-traitent cette phase. » La direction centrale de la police judiciaire a établi qu’une partie de la drogue importée était réexpédiée vers d’autres pays européens. « Les commerçants, chargés de blanchir le produit du trafic, surévaluaient leurs bénéfices avant d’encaisser plusieurs dizaines de milliers d’euros en argent liquide, ajoute la même source. Ils étaient largement rétribués pour leurs services. » Armand A., déjà connu des services de police et de la justice pour le même type de faits, a été arrêté dans son pavillon cossu à Saint-Mandé. « Les plus jeunes membres de ce réseau sont âgés d’une trentaine d’années, indique une source judiciaire. Ils avaient des contacts directs avec des trafiquants en Amérique du Sud. » Les suspects devraient être déférés, demain, devant un juge d’instruction de la juridiction interrégionale spécialisée
présumés de cocaïne avaient décidé d’investir dans la mode…
Les policiers de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) ont déclenché, mardi matin, un important coup de filet. Quatorze personnes soupçonnées d’appartenir à un vaste réseau de trafiquants de drogue ont été interpellées dans le XVIe arrondissement à Paris, à Saint-Mandé (Val-de-Marne) et dans les Yvelines. Plusieurs dizaines de milliers d’euros ont été saisis au cours des perquisitions. Les enquêteurs de l’Ocrtis, épaulés par leurs collègues de l’Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF), ont également mis la main sur quatre voitures — dont une Mercedes SL 63 AMG d’une valeur de 150000 € —, des montres de luxe, un fusil à pompe, un pistolet automatique et un gilet pare-balles.
La cocaïne venait du Pérou
« Cinq trafiquants et neuf blanchisseurs présumés, gérants de boutiques de mode et d’une imprimerie implantées dans le XVIe arrondissement ont été arrêtés, explique une source proche de l’affaire. Les principaux commanditaires, qui appartiennent tous à la communauté ju.ive, sont soupçonnés d’avoir acheminé près de 100 kg de cocaïne depuis un an, en France. » Armand A., 78 ans et son fils Franck sont présentés comme les responsables de ce réseau. Les trafiquants faisaient venir leur drogue depuis le Pérou, via des passeuses, chargées de transporter des valises, sur la ligne régulière entre Lima et Paris. « Plusieurs dizaines de kilos ont également été acheminés, par bateau, dans des conteneurs, avant d’être déchargés à Anvers en Belgique puis ramenés en France, confie un proche de l’affaire. La particularité de ces narcotrafiquants est qu’ils recyclaient eux-mêmes l’argent dégagé du trafic. D’habitude, les trafiquants sous-traitent cette phase. » La direction centrale de la police judiciaire a établi qu’une partie de la drogue importée était réexpédiée vers d’autres pays européens. « Les commerçants, chargés de blanchir le produit du trafic, surévaluaient leurs bénéfices avant d’encaisser plusieurs dizaines de milliers d’euros en argent liquide, ajoute la même source. Ils étaient largement rétribués pour leurs services. » Armand A., déjà connu des services de police et de la justice pour le même type de faits, a été arrêté dans son pavillon cossu à Saint-Mandé. « Les plus jeunes membres de ce réseau sont âgés d’une trentaine d’années, indique une source judiciaire. Ils avaient des contacts directs avec des trafiquants en Amérique du Sud. » Les suspects devraient être déférés, demain, devant un juge d’instruction de la juridiction interrégionale spécialisée
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
ACCUEILLES DOSSIERSECONOMIE CRIMINELLE ECONOMIE CRIMINELLE Extorsions, détournements, fraudes, sociétés écran, contrefaçons, autant d’activités qui font partie intégrante de l’économie criminelle. Véritable monde souterrain de l’économie mondiale, le système criminel a sa propre logique, ses propres bénéfices, ses domaines d’action et ses stratégies. Trafiquants en tous genres et à toutes les échelles, cols blancs, entrepreneurs, les acteurs de l’économie criminelle ont de nombreux visages, à l’image de tout un système en constante évolution.
Saisie d’armes Saisie d’armes et gilets pare-balles
De part son caractère illégal, l’économie criminelle est difficile à quantifier, à décrire et à analyser. Les données qui sont en libre circulation proviennent des différents organismes de lutte contre les trafics en tous genres Interpol, Europol, ONU, GAFI, etc… Ce n’est qu’en cas d’intrusion de la légalité dans les affaires criminelles que l’on peut avoir une idée même incertaine de l’ampleur de cette économie souterraine. Le renforcement des lois au niveau national et international pour lutter contre les diverses formes de trafic à toutes les échelles a largement modifié au cours des 10 dernières années le paysage de l’économie criminelle. L’image de la mafia d’Al Capone ou de Lucky Luciano est révolue et les légendaires familles ont du se restructurer en petits groupe pour continuer leur activité. La mondialisation économique a d’une part ouvert la porte à la concurrence mais elle a également offert des possibilités d’associations et d’alliance dont l’économie criminelle a largement bénéficié. L’un des avantages que les criminels auront toujours sur les légaux, c’est qu’ils échappent au contrôle de la loi et peuvent faire évoluer leur commerce avec une vitesse inégalable. Fins analystes certains parrains sont des économistes aguerris qui n’ont rien à envier aux plus grands spécialistes de l’économie légale et l’histoire a souvent prouvé que les boss du crime avaient vu bien avant les autres les tournants économiques et les grands changements des 50 dernières années. La multiplication des contrôles, le renforcement des lois, la modification du paysage international, sont autant de moteurs pour une évolution constante, rapide et efficace. Dans le monde de l’illégalité, l’erreur n’est pas une option, la rentabilité est le seul objectif et l’adaptabilité une qualité non négociable. Il faut pouvoir se renouveler, parier sur les nouveaux créneaux économiques, bouger vite, être sur le qui vive tout le temps.
Le marché de l’économie criminelle couvre de nombreux domaines, presque tous investis par les mafias.
Diversité des sources ›
ECONOMIE CRIMINELLE Economie Criminelle Diversité des sources Le trafic de drogue Un nouveau créneau : le textile Le blanchiment d’argent Bibliographie et filmographie VIDÉOS Play Video title Crossing Lines Police sans frontières Exclusif ! La bande-annonce. Chaque lundi à 20h45. Plus de vidéos ET AUSSI Blogs
Boustane et la criminalité invisible Dans le froid de l’hiver rigoureux du Canada, Boustane, passionnée par la... Dossiers Le blanchiment d’argent Le processus de blanchiment d’argent a pour but de donner une apparence...
Le roman noir américain Crise de 29 Genre littéraire à part entière, le roman noir est né aux Etats...
Docteur Mabuse Docteur Mabuse Génie du crime, le Docteur Mabuse est un personnage... Actus
Le ministère des finances victime de hackers ! Lundi 7 mars 2011 le ministère français de l’économie et des finances a déclaré...
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De part son caractère illégal, l’économie criminelle est difficile à quantifier, à décrire et à analyser. Les données qui sont en libre circulation proviennent des différents organismes de lutte contre les trafics en tous genres Interpol, Europol, ONU, GAFI, etc… Ce n’est qu’en cas d’intrusion de la légalité dans les affaires criminelles que l’on peut avoir une idée même incertaine de l’ampleur de cette économie souterraine. Le renforcement des lois au niveau national et international pour lutter contre les diverses formes de trafic à toutes les échelles a largement modifié au cours des 10 dernières années le paysage de l’économie criminelle. L’image de la mafia d’Al Capone ou de Lucky Luciano est révolue et les légendaires familles ont du se restructurer en petits groupe pour continuer leur activité. La mondialisation économique a d’une part ouvert la porte à la concurrence mais elle a également offert des possibilités d’associations et d’alliance dont l’économie criminelle a largement bénéficié. L’un des avantages que les criminels auront toujours sur les légaux, c’est qu’ils échappent au contrôle de la loi et peuvent faire évoluer leur commerce avec une vitesse inégalable. Fins analystes certains parrains sont des économistes aguerris qui n’ont rien à envier aux plus grands spécialistes de l’économie légale et l’histoire a souvent prouvé que les boss du crime avaient vu bien avant les autres les tournants économiques et les grands changements des 50 dernières années. La multiplication des contrôles, le renforcement des lois, la modification du paysage international, sont autant de moteurs pour une évolution constante, rapide et efficace. Dans le monde de l’illégalité, l’erreur n’est pas une option, la rentabilité est le seul objectif et l’adaptabilité une qualité non négociable. Il faut pouvoir se renouveler, parier sur les nouveaux créneaux économiques, bouger vite, être sur le qui vive tout le temps.
Le marché de l’économie criminelle couvre de nombreux domaines, presque tous investis par les mafias.
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
2008 : l’argent liquide de la drogue utilisé pour sauver les banques
Antonio Maria Costa, directeur exécutif de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC), a souligné, dans une interview accordée le 27 janvier 2009 à l’hebdomadaire autrichien Profil , le rôle de l’argent de la drogue dans le renflouement du système financier. Nous en présentons ici un extrait :
Le trafic de drogue en ce moment pourrait être la seule industrie en croissance, avec peu de chômage. L’argent qui est fait revient seulement en partie dans les activités illégales, en partie en Asie et en Amérique du Sud, où il est utilisé pour acheter des politiciens ou des élections, ou pour financer des insurgés comme les Talibans en Afghanistan, les Tigres Tamouls au Sri Lanka ou les FARC en Colombie, par exemple. (...)
[Le reste de l’argent] est injecté dans l’économie réelle grâce au blanchiment. Nous ne savons pas combien, mais le volume est imposant. En tant que tel, du point de vue des effets macro-économiques, il s’agit seulement d’apport en capital d’investissement. Il y a des indications montrant que ces fonds ont terminé dans le secteur financier, qui s’est trouvé sous une énorme pression au cours du deuxième semestre de l’année dernière. (...)
Dans de nombreux cas, l’argent de la drogue est actuellement la seule source de liquidité disponible pour acheter de l’immobilier, par exemple. Pendant la deuxième moitié de 2008, le manque de liquidité étant le principal problème du système bancaire, ces capitaux liquides sont devenus un facteur important. (...)
Nous devons considérer l’interdépendance entre la drogue et la criminalité ; toute autre approche serait irresponsable. (…) La légalisation provoquerait inévitablement une forte augmentation de la dépendance à la drogue. (…) [Lorsque les Britanniques donnèrent plus de 100 millions d’euros pour compenser les fermiers afghans pour leurs récoltes d’opium], cela eut l’effet opposé. En un an, la culture avait doublé car les fermiers savaient que si les trafiquants n’achetaient pas leur opium, alors ils se disaient « j’obtiendrai mon argent des Britanniques ».
Le narco-renflouement des banques, n
Antonio Maria Costa, directeur exécutif de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC), a souligné, dans une interview accordée le 27 janvier 2009 à l’hebdomadaire autrichien Profil , le rôle de l’argent de la drogue dans le renflouement du système financier. Nous en présentons ici un extrait :
Le trafic de drogue en ce moment pourrait être la seule industrie en croissance, avec peu de chômage. L’argent qui est fait revient seulement en partie dans les activités illégales, en partie en Asie et en Amérique du Sud, où il est utilisé pour acheter des politiciens ou des élections, ou pour financer des insurgés comme les Talibans en Afghanistan, les Tigres Tamouls au Sri Lanka ou les FARC en Colombie, par exemple. (...)
[Le reste de l’argent] est injecté dans l’économie réelle grâce au blanchiment. Nous ne savons pas combien, mais le volume est imposant. En tant que tel, du point de vue des effets macro-économiques, il s’agit seulement d’apport en capital d’investissement. Il y a des indications montrant que ces fonds ont terminé dans le secteur financier, qui s’est trouvé sous une énorme pression au cours du deuxième semestre de l’année dernière. (...)
Dans de nombreux cas, l’argent de la drogue est actuellement la seule source de liquidité disponible pour acheter de l’immobilier, par exemple. Pendant la deuxième moitié de 2008, le manque de liquidité étant le principal problème du système bancaire, ces capitaux liquides sont devenus un facteur important. (...)
Nous devons considérer l’interdépendance entre la drogue et la criminalité ; toute autre approche serait irresponsable. (…) La légalisation provoquerait inévitablement une forte augmentation de la dépendance à la drogue. (…) [Lorsque les Britanniques donnèrent plus de 100 millions d’euros pour compenser les fermiers afghans pour leurs récoltes d’opium], cela eut l’effet opposé. En un an, la culture avait doublé car les fermiers savaient que si les trafiquants n’achetaient pas leur opium, alors ils se disaient « j’obtiendrai mon argent des Britanniques ».
Le narco-renflouement des banques, n
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Blanchiment : des « cols blancs » peu scrupuleux mêlés à un système bien huilé
Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 15/10
Trafiquants, blanchisseurs et « cols blancs » en quête de liquidités... C’est un véritable réseau de blanchiment de la drogue très bien organisé que les enquêteurs ont découvert, entre la France et la Suisse.
L’enquête sur un vaste réseau franco-suisse de blanchiment d’argent de la drogue, démantelé cette semaine, a mis au jour un système très organisé mêlant trafiquants, blanchisseurs et « cols blancs » peu scrupuleux en quête de liquidités.
A la tête de cette organisation se trouvent les trois frères Elmaleh, mis en examen et écroués, l’un à Paris, les deux autres en Suisse. Ces deux derniers, qui exercent dans la finance à Genève, sont séparés dans leur détention pour éviter tout contact, selon une source suisse proche du dossier. Les enquêteurs disposeraient notamment de « retranscriptions de conversations téléphoniques codées », selon cette source.
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
books.google.fr/books ?...
Jacques Follorou, Vincent Nouzille - 2004 - Aperçu - Autres éditions De 1930 à 1980, les parrains corses ont prospéré, entre Marseille et Paris, grâce à une solidarité clanique, des activités diversifiées, une violence rare, une implantation internationale et de solides appuis politique
Jacques Follorou, Vincent Nouzille - 2004 - Aperçu - Autres éditions De 1930 à 1980, les parrains corses ont prospéré, entre Marseille et Paris, grâce à une solidarité clanique, des activités diversifiées, une violence rare, une implantation internationale et de solides appuis politique
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
France : Comment la maffia ju.ive escroque les grandes entreprises
C’est la nouvelle Jewish connection. Dans les années 1970, les frères Zemmour, ces pieds-noirs venus d’Algérie dont l’histoire a été portée à l’écran dans Le Grand Pardon, un film d’Alexandre Arcady, étaient devenus les caïds du trafic de drogue et du proxénétisme à Paris. Aujourd’hui, ces spécialistes excellent dans les arnaques financières, opérant entre Paris, Hong-kong et Tel-Aviv. Une note de la Direction centrale de la police judiciaire détaille que « trois pays apparaissent régulièrement dans ces escroqueries : Israël où des groupes criminels se sont spécialisés, la France comme pays où sont ciblées les entreprises, la Chine comme lieu de destination première des virements, avant réorientation vers Israël ».
Une vague d’arnaques déferle sur les plus grandes entreprises françaises et met les services secrets français sur les dents. Les aigrefins osent tout, jusqu’à contrefaire la voix des patrons pour passer des ordres de virement à l’étranger. Au siège de Media Participations à Paris, on est encore sous le choc. Ce géant de la bande dessinée (Dargaud, Dupuis...), avec 20 millions d’albums vendus chaque année, a connu des aventures qui auraient pu inspirer les auteurs de Blake et Mortimer, la célèbre BD qui fait partie de son catalogue. Fin janvier, le siège et plusieurs filiales ont été attaqués par des spécialistes de l’arnaque aux faux virements, rebaptisée par les policiers « escroquerie au président ». Première cible, la directrice financière de Dargaud Suisse reçoit un appel de Vincent Montagne, le président du groupe, exigeant de virer de toute urgence 987.000 euros sur un compte HSBC à Hong-kong, afin de financer une acquisition en Asie. Et il lui interdit d’en parler au patron de la filiale suisse. Téméraire, la directrice téléphone à ses correspondants parisiens, le montant du virement dépassant le plafond autorisé. In extremis, la révélation de l’usurpation de l’identité du patron stoppe le processus. Pourtant, dès le lendemain, Vincent Montagne (le vrai) reçoit un coup de fil du commandant Girard, de la brigade financière : « Nous savons que vous avez été attaqués. Faites le virement, cela nous permettra de prendre les escrocs la main dans le sac. »Prudent, Montagne vérifie auprès de ses contacts policiers : le commandant Girard n’existe pas... Puis c’est au tour de la Société générale, la banque de Media Participations, de recevoir un coup de fil de Vincent Montagne (le faux) affirmant appeler depuis la brigade financière et ordonnant d’effectuer le virement afin de pincer les malfaiteurs. La supercherie est à nouveau débusquée. En trois jours, l’éditeur a subi au moins 30 attaques téléphoniques ! « Les escrocs avaient bien planifié leur opération et acquis une connaissance très fine de notre organisation, témoigne Claude Saint Vincent, directeur général de Media Participations. Leur capacité à usurper la voix du président et à exercer une pression psychologique sur leurs cibles est impressionnante. » De Michelin à l’Elysée Une déferlante. En quinze mois, 180 attaques similaires à celle dont Media Participations a été victime ont été recensées par l’Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF), un service d’élite de la police. Areva, Scor, Quick, Nestle, CMA CGM ont repoussé ces offensives, tout comme Michelin, qui vient tout juste de déjouer une série d’escroqueries sur ses filiales belge, suisse, italienne et allemande. « Nous avons porté plainte dans les pays concernés », nous a confirmé une porte-parole du leader mondial des pneumatiques. De grosses PME sont aussi visées, comme Valrhona, le spécialiste du chocolat, ou encore le casino de Trouville (Calvados), qui a échappé de justesse, le 13 mars, à une arnaque de 400.000 euros. Sans oublier l’Elysée, dont les services comptables ont arrêté un faux ordre de virement de 2 millions d’euros en avril 2011. Si leurs tentatives échouent souvent, les escrocs ont fait quelques prises spectaculaires : le transporteur Brittany Ferries, qui s’est fait subtiliser 1 million d’euros ; Vinci, le groupe de BTP, escroqué récemment, mais qui « ne souhaite faire aucun commentaire » ; ou encore Robertet, l’un des leaders mondiaux des parfums implanté à Grasse (Alpes-Maritimes), qui a été délesté de 900.000 euros. Au total, selon la police, plus 20 millions d’euros ont déjà été détournés. Du coup, c’est la mobilisation générale pour protéger nos fleurons du business. Les services secrets - la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) - ont lancé une alerte aux entreprises dans une note sur « la prévention des escroqueries aux virements internationaux », où ils détaillent les techniques des escrocs. « La manipulation fonctionne d’autant mieux que son auteur a la capacité d’y aller au culot, souligne la DCRI. L’air assuré et entendu ne vous incitera alors pas à remettre en cause sa qualité ou sa démarche. » Autre initiative policière : le 6 mars, le commissaire divisionnaire Jean-arc Souvira, chef de l’OCRGDF, a discrètement réuni les responsables financiers et de la sécurité d’une quarantaine de grands groupes dans la salle du conseil du Medef à Paris. « Ils étaient très intéressés, car beaucoup avaient déjà été victimes d’attaques, nous confie Souvira. Et je leur ai donné des outils pour se protéger. »
Suite.....
C’est la nouvelle Jewish connection. Dans les années 1970, les frères Zemmour, ces pieds-noirs venus d’Algérie dont l’histoire a été portée à l’écran dans Le Grand Pardon, un film d’Alexandre Arcady, étaient devenus les caïds du trafic de drogue et du proxénétisme à Paris. Aujourd’hui, ces spécialistes excellent dans les arnaques financières, opérant entre Paris, Hong-kong et Tel-Aviv. Une note de la Direction centrale de la police judiciaire détaille que « trois pays apparaissent régulièrement dans ces escroqueries : Israël où des groupes criminels se sont spécialisés, la France comme pays où sont ciblées les entreprises, la Chine comme lieu de destination première des virements, avant réorientation vers Israël ».
Une vague d’arnaques déferle sur les plus grandes entreprises françaises et met les services secrets français sur les dents. Les aigrefins osent tout, jusqu’à contrefaire la voix des patrons pour passer des ordres de virement à l’étranger. Au siège de Media Participations à Paris, on est encore sous le choc. Ce géant de la bande dessinée (Dargaud, Dupuis...), avec 20 millions d’albums vendus chaque année, a connu des aventures qui auraient pu inspirer les auteurs de Blake et Mortimer, la célèbre BD qui fait partie de son catalogue. Fin janvier, le siège et plusieurs filiales ont été attaqués par des spécialistes de l’arnaque aux faux virements, rebaptisée par les policiers « escroquerie au président ». Première cible, la directrice financière de Dargaud Suisse reçoit un appel de Vincent Montagne, le président du groupe, exigeant de virer de toute urgence 987.000 euros sur un compte HSBC à Hong-kong, afin de financer une acquisition en Asie. Et il lui interdit d’en parler au patron de la filiale suisse. Téméraire, la directrice téléphone à ses correspondants parisiens, le montant du virement dépassant le plafond autorisé. In extremis, la révélation de l’usurpation de l’identité du patron stoppe le processus. Pourtant, dès le lendemain, Vincent Montagne (le vrai) reçoit un coup de fil du commandant Girard, de la brigade financière : « Nous savons que vous avez été attaqués. Faites le virement, cela nous permettra de prendre les escrocs la main dans le sac. »Prudent, Montagne vérifie auprès de ses contacts policiers : le commandant Girard n’existe pas... Puis c’est au tour de la Société générale, la banque de Media Participations, de recevoir un coup de fil de Vincent Montagne (le faux) affirmant appeler depuis la brigade financière et ordonnant d’effectuer le virement afin de pincer les malfaiteurs. La supercherie est à nouveau débusquée. En trois jours, l’éditeur a subi au moins 30 attaques téléphoniques ! « Les escrocs avaient bien planifié leur opération et acquis une connaissance très fine de notre organisation, témoigne Claude Saint Vincent, directeur général de Media Participations. Leur capacité à usurper la voix du président et à exercer une pression psychologique sur leurs cibles est impressionnante. » De Michelin à l’Elysée Une déferlante. En quinze mois, 180 attaques similaires à celle dont Media Participations a été victime ont été recensées par l’Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF), un service d’élite de la police. Areva, Scor, Quick, Nestle, CMA CGM ont repoussé ces offensives, tout comme Michelin, qui vient tout juste de déjouer une série d’escroqueries sur ses filiales belge, suisse, italienne et allemande. « Nous avons porté plainte dans les pays concernés », nous a confirmé une porte-parole du leader mondial des pneumatiques. De grosses PME sont aussi visées, comme Valrhona, le spécialiste du chocolat, ou encore le casino de Trouville (Calvados), qui a échappé de justesse, le 13 mars, à une arnaque de 400.000 euros. Sans oublier l’Elysée, dont les services comptables ont arrêté un faux ordre de virement de 2 millions d’euros en avril 2011. Si leurs tentatives échouent souvent, les escrocs ont fait quelques prises spectaculaires : le transporteur Brittany Ferries, qui s’est fait subtiliser 1 million d’euros ; Vinci, le groupe de BTP, escroqué récemment, mais qui « ne souhaite faire aucun commentaire » ; ou encore Robertet, l’un des leaders mondiaux des parfums implanté à Grasse (Alpes-Maritimes), qui a été délesté de 900.000 euros. Au total, selon la police, plus 20 millions d’euros ont déjà été détournés. Du coup, c’est la mobilisation générale pour protéger nos fleurons du business. Les services secrets - la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) - ont lancé une alerte aux entreprises dans une note sur « la prévention des escroqueries aux virements internationaux », où ils détaillent les techniques des escrocs. « La manipulation fonctionne d’autant mieux que son auteur a la capacité d’y aller au culot, souligne la DCRI. L’air assuré et entendu ne vous incitera alors pas à remettre en cause sa qualité ou sa démarche. » Autre initiative policière : le 6 mars, le commissaire divisionnaire Jean-arc Souvira, chef de l’OCRGDF, a discrètement réuni les responsables financiers et de la sécurité d’une quarantaine de grands groupes dans la salle du conseil du Medef à Paris. « Ils étaient très intéressés, car beaucoup avaient déjà été victimes d’attaques, nous confie Souvira. Et je leur ai donné des outils pour se protéger. »
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Arsène Lupin high-tech Ce sont des escrocs d’un nouveau type, des Arsène Lupin high-tech et fins connaisseurs de la finance qui sèment la terreur au sein du CAC 40. Comme des créateurs de start-up, ils sont à l’affût des nouveaux marchés pour repérer les failles dans la législation et le contrôle. On les a vus multiplier les fraudes à la carte bancaire en créant un réseau international de faussaires. Ils ont bluffé les policiers par leur capacité à utiliser la fonction de la « sécurité sociale des indépendants » (le régime RSI), piégeant des dizaines de milliers de chefs d’entreprise à qui ils ont adressé de faux appels à cotisations. Ces escrocs se sont lancés à une vitesse éclair dans les nouvelles arnaques à la TVA. Et là, ils ont trouvé le Graal : le marché du carbone, sur lequel les entreprises s’échangent des droits à polluer. De mémoire de magistrat, jamais une escroquerie aussi juteuse n’avait été montée avec autant de facilité. « Certains escrocs ont gagné plusieurs dizaines de millions d’euros en quelques semaines », confie un juge du pôle financier parisien, en charge de ces dossiers. La technique : acheter des quotas de CO2 hors taxe dans un pays européen et les revendre avec TVA en France, taxe qu’ils conservent avant de disparaître dans la nature. « En quelques clics, ils achetaient de l’air et revendaient de l’air avec un gros bénéfice », déplore Jean-Marc Souvira. « Le CO2, c’était la Lady Gaga dans les affaires », avait lancé Fabrice Sakoun, l’un des rares fraudeurs à avoir été condamnés. Une affaire qui a coûté 1,6 milliard d’euros à l’Etat, « la fraude fiscale la plus importante jamais enregistrée en France en un temps aussi bref », selon la Cour des comptes. De véritables ingénieurs. Pour arriver à leurs fins, ces aigrefins ont recours à des méthodes très pointues. Dans l’arnaque aux faux virements, ils commencent par mener une enquête fouillée sur leurs cibles. « Pendant un mois, une équipe se renseigne sur la société et ses filiales à l’étranger, témoigne Bernard Petit, sous-directeur à la lutte contre la criminalité organisée, l’un des pontes de la police. Elle collecte les PV d’assemblées générales et de conseils d’administration, et s’imprègne de la culture maison en étudiant les messages des dirigeants aux salariés ou les newsletters internes aux directeurs. » Les filous vont même jusqu’à enquêter sur la vie privée des cadres de l’entreprise. « Grâce aux réseaux sociaux, Facebook ou Twitter, ils peuvent savoir le prénom des enfants ou la date d’anniversaire de la secrétaire », relève Michèle Bruno, chef de la brigade de répression de la délinquance astucieuse. Leur technique est aussi très élaborée pour empêcher la police de les retrouver. D’abord, ils achètent leur « matériel » (par exemple, les informations d’Infogreffe sur les entreprises) avec des cartes de paiement prépayées, totalement anonymes puisqu’elles peuvent être rechargées en liquide sans être associées à un compte bancaire. « C’est un vrai problème, car la police ne peut retrouver la trace des paiements des malfaiteurs », regrette Jean-Marc Souvira. Ensuite, les larrons lancent leurs attaques téléphoniques de l’étranger - en particulier d’Israël, où opèrent beaucoup de spécialistes de cette arnaque -, tout en donnant l’illusion d’être en France. Pour cela, ils ont recours à des « plateformes de dématérialisation », qui permettent d’acquérir des numéros de téléphone ayant l’indicatif du pays visé. « Si l’entreprise cible est en France, les numéros de téléphone et de fax achetés commenceront par l’indicatif français, afin de mettre en confiance l’interlocuteur qui recevra l’appel », détaille une note de l’OCRGDF. Vient ensuite la phase d’attaque téléphonique, confiée à une autre équipe. Elle révèle un pouvoir de persuasion hors pair, comme le montrent les enregistrements de la police, que Challenges a pu écouter : « C’est votre président. [ ...] Vous devez faire partir ce virement exceptionnel dès aujourd’hui. Vous recevrez les documents demain. Je compte sur vous, c’est très important », lance l’escroc à la comptable d’une filiale d’un grand groupe. « Mais, monsieur, j’ai besoin de documents pour un tel montant », répond la salariée. « Je vous dis que c’est un virement exceptionnel, vous comprenez ou quoi ? Vous pouvez le faire », s’énerve l’escroc, qui échouera, la comptable ayant alerté sa hiérarchie. « Ils exercent une pression psychologique énorme en invoquant l’urgence de la situation, ou en menaçant souvent de virer la personne », rapporte la commissaire Michèle Bruno. Parmi ces as de la mise en scène, le champion, c’est Gilbert Chikli, qui aurait escroqué une quarantaine de banques françaises ces dernières années en se faisant passer pour un agent secret. Réfugié en Israël après avoir été mis en examen en 2008 pour « escroquerie à la lutte antiterroriste » par la juge parisienne Sylvie Gagnard, Gilbert Chikli a réalisé l’un de ses coups les plus spectaculaires avec La Poste. Se faisant passer pour Jean-Paul Bailly, le président du groupe, il a appelé la directrice d’une agence postale. « Vous allez recevoir un appel d’un agent de la DGSE [les services de renseignements] », lui a-t-il dit. Quelques minutes plus tard, l’agent secret téléphone à la directrice, l’avertit qu’un dangereux terroriste faisant partie de ses clients va bientôt retirer de l’argent. Et il ordonne à la patronne de l’agence de lui apporter tous les billets en caisse pour qu’il leur appose une puce électronique... Un (mauvais) scénario à la James Bond qui a réussi ! La directrice a remis 350.000 euros dans une mallette, qu’elle a glissée sous la porte des toilettes d’une brasserie parisienne ! Après la découverte de l’arnaque, elle a été licenciée et serait tombée en dépression. « Cet escroc ne réalise pas les dégâts humains que ses agissements ont provoqués », déplore Sylvie Noachovitch, l’avocate de la malheureuse cadre de La Poste. Car, pour Gilbert Chikli, ce n’est pas une escroquerie, c’est un jeu. « Je joue une scène qui apporte une certaine jouissance, une certaine adrénaline », déclarait-il en 2010 à France 2 qui avait retrouvé sa trace. Israël comme base arrière C’est la nouvelle Jewish connection. Dans les années 1970, les frères Zemmour, ces pieds-noirs venus d’Algérie dont l’histoire a été portée à l’écran dans Le Grand Pardon, un film d’Alexandre Arcady, étaient devenus les caïds du trafic de drogue et du proxénétisme à Paris. Aujourd’hui, ces spécialistes excellent dans les arnaques financières, opérant entre Paris, Hong-kong et Tel-Aviv. Une note de la Direction centrale de la police judiciaire détaille que « trois pays apparaissent régulièrement dans ces escroqueries : Israël où des groupes criminels se sont spécialisés, la France comme pays où sont ciblées les entreprises, la Chine comme lieu de destination première des virements, avant réorientation vers Israël ». En septembre, trois Franco-Israéliens spécialisés dans les faux virements ont été arrêtés à Lyon et à Cannes, dans un palace, en pleine partie de poker. Mais ils sont nombreux à avoir échappé à la justice française en se réfugiant en Israël, entre Tel-Aviv et la station balnéaire de Netanya, très appréciée des Français. L’un d’eux, Alex K, aurait même fait venir le groupe américain Black Eyed Peas dans sa somptueuse villa pour fêter son premier milliard de « tève » (l’arnaque à la TVA), selon l’enquête de Jérôme Pierrat, auteur de Mafias, gangs et cartels. La criminalité internationale en France (Folio, 2011). Dans ce business, les Franco-Israéliens ont des alliés, en particulier les mafias chinoises. « Leurs associés chinois leur versent du cash à Paris en échange des faux virements envoyés dans des banques en Chine », explique le policier Bernard Petit. Et en matière d’escroquerie, les criminels chinois sont aussi des pros, notamment dans les fraudes aux cartes bancaires. Ils ont créé de nombreux ateliers clandestins de fabrication de fausses cartes, dont plusieurs ont été démantelés en région parisienne ces derniers mois. Surtout, ils organisent en France la venue d’équipes de « mules chinoises », selon l’expression des policiers, des acheteurs munis de ces fausses cartes qui raflent les produits de grandes marques. « Ils réalisent des raids d’achats fulgurants dans les magasins de luxe parisiens, puis ils renvoient la marchandise en Chine », avance Patrick Yvars, le chef de la brigade des fraudes aux moyens de paiement. Criminels israéliens, mafias chinoises, mais aussi caïds français. La rentabilité record de ces nouvelles escroqueries a attiré également les barons du milieu parisien. « Auparavant, il y avait une séparation entre les délinquants financiers en col blanc et le grand banditisme classique, souligne Bernard Petit. Désormais, il y a une hybridation. Les équipes sont intégrées. »
Conséquence : les différends peuvent se régler à l’arme de poing. Quatre meurtres liés à ces escroqueries ne sont toujours pas élucidés. En janvier 2009, Serge Lepage, une figure du milieu, a été abattu devant chez lui, dans l’Essonne, après sa sortie de prison. Le 30 avril 2010, c’est au tour d’Amar Azzoug, un ancien braqueur reconverti dans les arnaques financières, d’être exécuté, à Saint-Mandé (Val-de-Marne). Le 14 septembre, Samy Souied, surnommé « le caïd des hippodromes », pour avoir trempé dans une affaire de blanchiment dans le monde des courses, a été abattu Porte Maillot, à Paris. Il était soupçonné d’être l’un des cerveaux parisiens de l’arnaque à la taxe carbone. Enfin, le 25 octobre dernier, Claude Dray, 76 ans, un homme d’affaires possédant des hôtels de luxe à Saint-Tropez, à Jérusalem et Miami, a été retrouvé mort dans son hôtel particulier de 1.000 mètres carrés, villa de Madrid à Neuilly, trois balles de 7,65 dans le cou. Sans aucune trace d’effraction ni de vol. Ce riche collectionneur avait des contacts avec des artisans de l’arnaque au CO2. Tellement lucrative que le partage des profils
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Conséquence : les différends peuvent se régler à l’arme de poing. Quatre meurtres liés à ces escroqueries ne sont toujours pas élucidés. En janvier 2009, Serge Lepage, une figure du milieu, a été abattu devant chez lui, dans l’Essonne, après sa sortie de prison. Le 30 avril 2010, c’est au tour d’Amar Azzoug, un ancien braqueur reconverti dans les arnaques financières, d’être exécuté, à Saint-Mandé (Val-de-Marne). Le 14 septembre, Samy Souied, surnommé « le caïd des hippodromes », pour avoir trempé dans une affaire de blanchiment dans le monde des courses, a été abattu Porte Maillot, à Paris. Il était soupçonné d’être l’un des cerveaux parisiens de l’arnaque à la taxe carbone. Enfin, le 25 octobre dernier, Claude Dray, 76 ans, un homme d’affaires possédant des hôtels de luxe à Saint-Tropez, à Jérusalem et Miami, a été retrouvé mort dans son hôtel particulier de 1.000 mètres carrés, villa de Madrid à Neuilly, trois balles de 7,65 dans le cou. Sans aucune trace d’effraction ni de vol. Ce riche collectionneur avait des contacts avec des artisans de l’arnaque au CO2. Tellement lucrative que le partage des profils
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Enfin, le 25 octobre dernier, Claude Dray, 76 ans, un homme d’affaires possédant des hôtels de luxe à Saint-Tropez, à Jérusalem et Miami, a été retrouvé mort dans son hôtel particulier de 1.000 mètres carrés, villa de Madrid à Neuilly, trois balles de 7,65 dans le cou. Sans aucune trace d’effraction ni de vol. Ce riche collectionneur avait des contacts avec des artisans de l’arnaque au CO2. Tellement lucrative que le partage des profits a fini dans le sang
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Les flics oseront toucher aux gros mafieux de la drogue ?
Morderire hahahahahahahahahaha
Mafia israélienne Date de fondation années 1970 Lieu Israël, Géorgie, Pays-Bas, États-Unis, Canada, Ukraine, Allemagne, Biélorussie, Tchétchénie, Royaume-Uni, France Territoire Israël Année active années 1970 à nos jours Ethnies présentes Israélienne Nombre de membres 18 familles[1]. Activités criminelles Trafic de stupéfiants (ecstasy) Racket et extorsion de fonds auprès des boites de nuit, restaurants Usure Contrats d’assassinat Vente d’armes Proxénétisme Vols de voiture Trafic d’antiquités Casinos clandestins Corruption de fonctionnaires de police Racket sur les nouveaux émigrants Infiltration de l’économie légale (recyclage de bouteilles en plastique et marché des fleurs) Évasion fiscale Menace sur témoins Assassinats Alliés Mafia Russe Rivaux lutte entre les différentes familles du crime modifier Consultez la documentation du modèle La « mafia israélienne » désigne de façon générique le crime organisé opérant dans l’État d’Israël ou ayant pour épicentre celui-ci.
Historique Modifier
La mafia israélienne, aussi appelée Israeli Connection, s’est constituée depuis les années 1970 et s’est renforcée avec l’apport de milliers de ju.ifs originaires de l’ex-Union soviétique. Mais aussi parce que la police a longtemps délaissé le crime organisé au profit de la lutte contre le terrorisme, plus urgente. Elle possède des antennes partout dans le monde. Une de leurs grandes spécialités est le trafic de drogue synthétique de type ecstasy.
Selon le journaliste Serge Dumont, « la mafia israélienne compte 18 familles, en majorité séfarades, descendant de ju.ifs venus du Maghreb. L’Ashkénaze Amir Mulner, un des chefs les plus importants et fils d’un officier de police, fait figure d’exception »[2].
Une des premières grosses équipes criminelles date du début des années 1990. Le New-York Gang était expert dans l’import-export de stupéfiants, l’extorsion de fonds et les paris clandestins. Toutes ces activités constituent l’essentiel des activités des organisations criminelles israéliennes. Un de leurs membres, Ephraïm « Freddy » Ran, 60 ans et ancien trafiquant de drogue, qui s’était recyclé dans le marché de l’art a été abattu en janvier 2004[3].
La police israélienne créé en 2006, "l’unité 443″, pour lutter contre le crime organisé[réf. souhaitée].
Un des « Rois de l’ecstasy », Yoram El-AL, un israélien de 35 ans, a été arrêté en décembre 2006 sur une plage de Rio de Janeiro. Il était soupçonné d’irriguer Las Vegas avec des pilules faites aux Pays-Bas. Impliqué selon certains dans la tentative d’assassinat de Zeev Rosenstein, il était recherché depuis son évasion d’une prison uruguayenne[3].
En janvier 2007, Zeev Rosenstein, alias « Fat man » (le Gros), 52 ans, considéré par les autorités américaines comme un des plus gros trafiquant au monde, plaidait coupable devant un tribunal fédéral américain pour l’importation de 850 000 pilules d’ecstasy. Condamné à 12 ans de prison, il purgera sa peine en Israël, son pays d’origine. Cette figure de l’Israeli Connection était présente sur quatre continents et avait recours aux petites mains de latino-américain pour distribuer sa drogue synthétique. Rosenstein a fait l’objet de sept attentats dont l’une sous la forme d’une attaque à la bombe qui tua trois personnes à Tel-Aviv en décembre 2003[3].
À la suite de cela sont apparus Yossi Musseli et son frère Eli qui lorgnait sur le casino de Rosenstein, monté en Roumanie[4].
En avril 2014, Charlie Aboutboul, un des patrons de la pègre israélienne dont la famille d’origine nord-africaine est Implantée à Netanya, se suicide par arme à feu[réf. souhaitée].
Pénétration de la mafia russe en Israël
Morderire hahahahahahahahahaha
Mafia israélienne Date de fondation années 1970 Lieu Israël, Géorgie, Pays-Bas, États-Unis, Canada, Ukraine, Allemagne, Biélorussie, Tchétchénie, Royaume-Uni, France Territoire Israël Année active années 1970 à nos jours Ethnies présentes Israélienne Nombre de membres 18 familles[1]. Activités criminelles Trafic de stupéfiants (ecstasy) Racket et extorsion de fonds auprès des boites de nuit, restaurants Usure Contrats d’assassinat Vente d’armes Proxénétisme Vols de voiture Trafic d’antiquités Casinos clandestins Corruption de fonctionnaires de police Racket sur les nouveaux émigrants Infiltration de l’économie légale (recyclage de bouteilles en plastique et marché des fleurs) Évasion fiscale Menace sur témoins Assassinats Alliés Mafia Russe Rivaux lutte entre les différentes familles du crime modifier Consultez la documentation du modèle La « mafia israélienne » désigne de façon générique le crime organisé opérant dans l’État d’Israël ou ayant pour épicentre celui-ci.
Historique Modifier
La mafia israélienne, aussi appelée Israeli Connection, s’est constituée depuis les années 1970 et s’est renforcée avec l’apport de milliers de ju.ifs originaires de l’ex-Union soviétique. Mais aussi parce que la police a longtemps délaissé le crime organisé au profit de la lutte contre le terrorisme, plus urgente. Elle possède des antennes partout dans le monde. Une de leurs grandes spécialités est le trafic de drogue synthétique de type ecstasy.
Selon le journaliste Serge Dumont, « la mafia israélienne compte 18 familles, en majorité séfarades, descendant de ju.ifs venus du Maghreb. L’Ashkénaze Amir Mulner, un des chefs les plus importants et fils d’un officier de police, fait figure d’exception »[2].
Une des premières grosses équipes criminelles date du début des années 1990. Le New-York Gang était expert dans l’import-export de stupéfiants, l’extorsion de fonds et les paris clandestins. Toutes ces activités constituent l’essentiel des activités des organisations criminelles israéliennes. Un de leurs membres, Ephraïm « Freddy » Ran, 60 ans et ancien trafiquant de drogue, qui s’était recyclé dans le marché de l’art a été abattu en janvier 2004[3].
La police israélienne créé en 2006, "l’unité 443″, pour lutter contre le crime organisé[réf. souhaitée].
Un des « Rois de l’ecstasy », Yoram El-AL, un israélien de 35 ans, a été arrêté en décembre 2006 sur une plage de Rio de Janeiro. Il était soupçonné d’irriguer Las Vegas avec des pilules faites aux Pays-Bas. Impliqué selon certains dans la tentative d’assassinat de Zeev Rosenstein, il était recherché depuis son évasion d’une prison uruguayenne[3].
En janvier 2007, Zeev Rosenstein, alias « Fat man » (le Gros), 52 ans, considéré par les autorités américaines comme un des plus gros trafiquant au monde, plaidait coupable devant un tribunal fédéral américain pour l’importation de 850 000 pilules d’ecstasy. Condamné à 12 ans de prison, il purgera sa peine en Israël, son pays d’origine. Cette figure de l’Israeli Connection était présente sur quatre continents et avait recours aux petites mains de latino-américain pour distribuer sa drogue synthétique. Rosenstein a fait l’objet de sept attentats dont l’une sous la forme d’une attaque à la bombe qui tua trois personnes à Tel-Aviv en décembre 2003[3].
À la suite de cela sont apparus Yossi Musseli et son frère Eli qui lorgnait sur le casino de Rosenstein, monté en Roumanie[4].
En avril 2014, Charlie Aboutboul, un des patrons de la pègre israélienne dont la famille d’origine nord-africaine est Implantée à Netanya, se suicide par arme à feu[réf. souhaitée].
Pénétration de la mafia russe en Israël
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
L’Arnaque du Siècle. Comparée aux diverses escroqueries venant d’Israël et affidés, comme celle du Sentier, la taxe Carbone, faux présidents ou du trading en ligne, l’arnaque identitaire est la plus terrifiante et plus ravageuse. Cependant, leur plus grand fait d’armes en la matière reste après tout l’arnaque mère, celle-là même qui est à l’origine d’Israël : à savoir le fallacieux slogan mensonger d’ « une terre sans peuple, pour un peuple sans terre ». C’est que le tout fait partie de la même et seule entourloupe. L’arnaque du Siècle.
Pour une revanche de l’histoire, c’en est une. Du moins aux yeux de ceux qui, sceptiques comme tout, n’ont jamais vu dans la parasynthèse républicaine qu’une escroquerie qui n’a que trop duré.
C’est donc de sa naissance jusqu’à sa mort, annoncée proche, que la République a vécu dans la mystification et le mensonge. Au point qu’elle semble mourir aujourd’hui de ses propres armes. Et surtout de la plus redoutable de toutes, l’arnaque identitaire.
Comparée aux autres venant d’Israël et affidés, comme celle du Sentier [1], taxe au Carbone [2], aux faux présidents [3] et du trading en ligne [4], l’arnaque identitaire est en effet plus terrifiante et plus ravageuse.
Et pour cause, au-delà les intérêts pécuniaires qu’elle engendre, elle s’attaque en plus aux fondements de la nation et ceux de l’État de droit, et par conséquent à la paix civile. Et ses auteurs sont plutôt doués.
Connaissant parfaitement les névroses existentialistes de plus en plus accrues en France, et confortés par une donne géopolitique explosive, ils font feu de tout bois afin de distiller au sein de la Société française les germes des dissensions et des troubles. Et pour arriver à leur fin macabre ils n’hésitent devant rien.
Plus chrétiens que chrétiens, ils s’improvisent fallacieusement chevaliers « blancs » de la chrétienté en galop héroïque permanent envers cet Orient honni pour défendre leurs « coreligionnaires » persécutés.
Ou, en grand bâtisseurs d’Églises, ils accourent les premiers au secours des celles de France menacées par ces Mosquées qui poussent ici ou là. Voire, nostalgiques d’un glorieux passé français, qui étant souvent immigrés de fraîche date n’ont pas connu, ils sonnent régulièrement l’alerte quant à la présence en France de ceux-là mêmes qui, eux, ont largement contribué à sa réalisation.
Dans leur esprit comme dans leur souhait, le Christianisme est la haine envers les Musulmans. Le nationalisme, la xénophobie. Le patriotisme, du racisme. Et leur but est la guerre civile. C’est dire combien leur succès est synonyme de la perte du pays.
Or cette escroquerie n’est devenue possible que par un affaiblissement général sans précédent du corps immunitaire français. Elle est en effet le paravent de la déliquescence et la médiocrité de la pseudo élite « intellectualiste » qui, de nos jours, fait la pluie et le beau temps en France.
Celle-ci est en effet prompte à concevoir que ceux dont les enfants ne servent que le drapeau israélien sont plus patriotes que les Musulmans de France. Autrement dit ceux dont les morts s’entassent dignement dans les cimetières militaires de France et de Navarre et même leurs enfants représentent aujourd’hui au bas mot le quart de l’effectif total de l’armée française. Et ce avec une crédulité déconcertante. La même crédulité que celle de ces comptables naïfs à qui on demande par téléphone d’effectuer en toute urgence un virement sur un compte inconnu pour un agent secret en embuscade. Ou ces sociétés qui achètent le droit d’émettre du carbone.
Cependant, leur plus grand fait d’armes en la matière reste après tout l’arnaque mère, celle-là même qui est à l’origine d’Israël : à savoir le fallacieux slogan mensonger d’ « une terre sans peuple, pour un peuple sans terre ». Surtout que le « non peuple » en question s’est montré depuis plutôt combatif. C’est que le tout fait partie de la même et seule entourloupe. L’arnaque du Siècle.
Pour une revanche de l’histoire, c’en est une. Du moins aux yeux de ceux qui, sceptiques comme tout, n’ont jamais vu dans la parasynthèse républicaine qu’une escroquerie qui n’a que trop duré.
C’est donc de sa naissance jusqu’à sa mort, annoncée proche, que la République a vécu dans la mystification et le mensonge. Au point qu’elle semble mourir aujourd’hui de ses propres armes. Et surtout de la plus redoutable de toutes, l’arnaque identitaire.
Comparée aux autres venant d’Israël et affidés, comme celle du Sentier [1], taxe au Carbone [2], aux faux présidents [3] et du trading en ligne [4], l’arnaque identitaire est en effet plus terrifiante et plus ravageuse.
Et pour cause, au-delà les intérêts pécuniaires qu’elle engendre, elle s’attaque en plus aux fondements de la nation et ceux de l’État de droit, et par conséquent à la paix civile. Et ses auteurs sont plutôt doués.
Connaissant parfaitement les névroses existentialistes de plus en plus accrues en France, et confortés par une donne géopolitique explosive, ils font feu de tout bois afin de distiller au sein de la Société française les germes des dissensions et des troubles. Et pour arriver à leur fin macabre ils n’hésitent devant rien.
Plus chrétiens que chrétiens, ils s’improvisent fallacieusement chevaliers « blancs » de la chrétienté en galop héroïque permanent envers cet Orient honni pour défendre leurs « coreligionnaires » persécutés.
Ou, en grand bâtisseurs d’Églises, ils accourent les premiers au secours des celles de France menacées par ces Mosquées qui poussent ici ou là. Voire, nostalgiques d’un glorieux passé français, qui étant souvent immigrés de fraîche date n’ont pas connu, ils sonnent régulièrement l’alerte quant à la présence en France de ceux-là mêmes qui, eux, ont largement contribué à sa réalisation.
Dans leur esprit comme dans leur souhait, le Christianisme est la haine envers les Musulmans. Le nationalisme, la xénophobie. Le patriotisme, du racisme. Et leur but est la guerre civile. C’est dire combien leur succès est synonyme de la perte du pays.
Or cette escroquerie n’est devenue possible que par un affaiblissement général sans précédent du corps immunitaire français. Elle est en effet le paravent de la déliquescence et la médiocrité de la pseudo élite « intellectualiste » qui, de nos jours, fait la pluie et le beau temps en France.
Celle-ci est en effet prompte à concevoir que ceux dont les enfants ne servent que le drapeau israélien sont plus patriotes que les Musulmans de France. Autrement dit ceux dont les morts s’entassent dignement dans les cimetières militaires de France et de Navarre et même leurs enfants représentent aujourd’hui au bas mot le quart de l’effectif total de l’armée française. Et ce avec une crédulité déconcertante. La même crédulité que celle de ces comptables naïfs à qui on demande par téléphone d’effectuer en toute urgence un virement sur un compte inconnu pour un agent secret en embuscade. Ou ces sociétés qui achètent le droit d’émettre du carbone.
Cependant, leur plus grand fait d’armes en la matière reste après tout l’arnaque mère, celle-là même qui est à l’origine d’Israël : à savoir le fallacieux slogan mensonger d’ « une terre sans peuple, pour un peuple sans terre ». Surtout que le « non peuple » en question s’est montré depuis plutôt combatif. C’est que le tout fait partie de la même et seule entourloupe. L’arnaque du Siècle.
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
dans le métier par des escroqueriers aux trousseaux et au vin, puis font tapiner quelques filles pour le compte des frères Atlan, chefs de file de la communauté pieds-noirs de Paris. Une fois dans le bain, les « Z » se détachent petit à petit de la houlette des Atlan et se mettent à leur compte, faisant toujours dans le tapin et organisant aussi un trafic de femmes en partance pour les Eros Center allemands.
Soudés, les Zemmour tirent leur force de leur complémentarité et de leur union fraternelle. William, l’aîné des trois, est le chef de la bande. Gilbert, lui, est organisé et dur en affaire. Quand à Edgard, c’est un fou furieux. Chaque jour, des rapatriés d’Algérie arrivent à Paris et grossissent la communauté pieds-noirs. Parmis eux, bon nombre de truands. Et ces nouveaux venus préfèrent se ranger du côté des Zemmour, la valeur montante du Faubourg Montmartre (haut-lieu de la prostitution), plutôt que chez les Atlan ou les Perret, dont le déclin est amorcé.
Mais bien que les « Z » soient désormais réputés à Paris, ils n’ont pas encore véritablement percés. Trop de fratries pieds-noirs dans le IXe. Et la plus génante, c’est celle des Atlan, suivit de près par les Perret.
Dès lors les Zemmour décident de se charger de ces personnes génantes. Le 2 octobre 1965, Sion Atlan est abattu dans un café-restaurant. Les regards se tournent vers les Perret, et les Zemmour font tout pour que la rumeur circule dans tous les coins de la capitale. Le plan marche : durant l’année 1966, les vengeurs de Sion Atlan mitraillent les deux frères Perret (sans concéquence) et tuent deux de leurs associers. Entre temps, le 2 décembre 1966, c’est le second Atlan, René, qui est tué. Appeurés et vieillissants, les Perret se retirent et vont s’installer dans l’ouest de la France. La voie est libre. Les Zemmour sont les nouveaux maîtres du Faubourg Montmartre.
Les Dalton parisiens
Les « Z » tranquilles, ils investissent dans le IXe, puis sortent des limites de leur arrondissement et deviennent les maîtres de toute la prostitution parisienne, contrôlants hôtels de passe, bars à putes et cabarets. Avec les bénéfices tirés du proxénétisme, ils investissent dans un Eros Center de Francfort et dans l ?immobilier à Paris.
William, marié, mène en apparence une vie rangée mais continue de diriger le clan, avec son frère Edgard. Celui-là aime à flamber, et le monde d’argent et de violence qu’est le milieu lui plaît. Gilbert fait, lui, bande à part. Marié et père de deux enfants, il est en quête d’honnorabilité et aimerait s’extraire de sa condition de voyou. Pour cela, il se met à acheter des affaires légales. Devenu un homme d’affaire avisé, il tient un restaurant et possède des parts dans trois night-club parisiens. Puis en 1970, il part vivre au Canada, se retirant ainsi complètement du milieu, et y monte une grosse compagnie immobilière. La fortune est au rendez-vous.
Avant cela, ne possédant qu ?un petit club de jeu à Montmartre (le Bridge Club), les Zemmour veulent se faire une place dans le jeu parisien. C ?est dans ce but qu ?ils se sont rapprochés de Marcel Francisci. En 1967, ils poussent ce dernier à relancer les hostilités contre son rival Jean-Baptiste Andréani. En plus d ?être lui aussi un roi du jeu parisien, il a eut l ?affront de refuser l ?aide que leur proposaient les frères pieds-noirs, préférant celle des deux frères Panzani. De la fin 1967 à l ?automne 1968, six corps tomberont. Et au final, les Zemmour se sépareront de Francisci.
Par ailleurs, les ?Z ? fournissent avec leurs associés Riwen Liwer et Roger Bacry des colleurs d ?affiches et des agents électoraux aux candidats gaullistes, ce qui leur permet d ?avoir des protections jusqu ?au début des années 70. Vers ce moment, William et Edgard tentent une implantation en Israël, en association avec les frères Abitbol. Ils veulent ouvrir des boîtes à Tel-Aviv, mais cette tentative est un échec. Ils abandonnent l’idée en 1972.
Pieds-Noirs contre Pseudo-Siciliens
En 1970, un membre du clan Zemmour, Roger Bacry, dit Petit Roger, propose aux « Z » de faire dans la came. Ces derniers refusent. Bacry, avec ses copains de la banlieue sud, dont entre autres Jean-Claude Vella, Marcel Gauthier et Daniel le Polonais, fait sécession et monte sa propre filière en association avec André Condemine. Le trafic tourne mal et la filière est démantelée. Bacry et compagnie reviennent penauds chercher du travail chez les Zemmour, qui rejettent leur réintégration. Dès lors, ils vont trouver du soutient chez des truands lyonnais, et se font appeler le « gang des siciliens ».
Les hostilités commencent en 1973. Le premier a tomber est Raphaël Dadoun, fidèle des « Z ». Pour cette seule année 73, on compte dix morts. En 1974, Bacry se suicide. Vella et Gauthier sont abattus respectivement en 1975 et en 1976. Le 2 février 1975, une fusillade au bar Laetitia visant les frères Panzani fait quatre blessés et un mort. Cette même année voit se dérouler un épisode des plus tragiques pour les Zemmour : le 28 février, William, Edgard et deux amis doivent s’expliquer avec des membres de la bande adverse au bar Thélème. La police, avertit, prévoit une fusillade et aperçoit les parrains parisiens. Dès lors, elle décide d’intervenir. Edgard les a vu et prévoit la riposte. Les policiers entrent dans le bar et tirent sans sommation. La fusillade fera deux morts : William et son garde du corps Joseph Elbaz. Edgard, lui, est grièvement blessé. Les combats s’étaleront jusqu’à la fin des années 70 et auront fait au total près de trente morts.
C’est le début de la fin pour les « Z ». Gilbert perd ses établissements parisiens ainsi qu’une partie de sa fortune du Canada. Les bien immobiliers de la prostitution qui étaient géré par William ferment, font faillites, sont rachetés... En 1976, une fois rétablit et après quelques mois de préventive, Edgard part se mettre au vert à Miami. Là-bas, il ouvre un restaurant et, acculé à la faillite, y met le feu.
En 1981 Edgard est de retour à Paris. Il veut récupérer un million de dollars que lui devrait Marcel Francisci. Ce dernier, menacé de mort, ne prend pas les menaces au sérieux. Pourtant, le 14 janvier 1981, il est abattu dans son parking. Edgard est innocenté mais préfère repartir vivre à Miami. Cela ne l’empêche pas, le 8 avril de la même année, d ?être tué dans sa villa de quatre coups de feu tirés par un tireur armé d ?un fusil à lunette caché à quatre cent mètres de là. Ce serait un ami de Francisci d ?un poids important au sein du Milieu, Paul Mondoloni, qui aurait envoyé l ?un de ses lieutenants, Gilbert le Libanais, abattre Edgard Zemmour. Le 28 juillet, c’est Gilbert qui s’écroule, abattu à Paris alors qu’il promène ses caniches.
À lire : « Les Derniers Seigneurs de la Pègre » de Le Taillanter.
Soudés, les Zemmour tirent leur force de leur complémentarité et de leur union fraternelle. William, l’aîné des trois, est le chef de la bande. Gilbert, lui, est organisé et dur en affaire. Quand à Edgard, c’est un fou furieux. Chaque jour, des rapatriés d’Algérie arrivent à Paris et grossissent la communauté pieds-noirs. Parmis eux, bon nombre de truands. Et ces nouveaux venus préfèrent se ranger du côté des Zemmour, la valeur montante du Faubourg Montmartre (haut-lieu de la prostitution), plutôt que chez les Atlan ou les Perret, dont le déclin est amorcé.
Mais bien que les « Z » soient désormais réputés à Paris, ils n’ont pas encore véritablement percés. Trop de fratries pieds-noirs dans le IXe. Et la plus génante, c’est celle des Atlan, suivit de près par les Perret.
Dès lors les Zemmour décident de se charger de ces personnes génantes. Le 2 octobre 1965, Sion Atlan est abattu dans un café-restaurant. Les regards se tournent vers les Perret, et les Zemmour font tout pour que la rumeur circule dans tous les coins de la capitale. Le plan marche : durant l’année 1966, les vengeurs de Sion Atlan mitraillent les deux frères Perret (sans concéquence) et tuent deux de leurs associers. Entre temps, le 2 décembre 1966, c’est le second Atlan, René, qui est tué. Appeurés et vieillissants, les Perret se retirent et vont s’installer dans l’ouest de la France. La voie est libre. Les Zemmour sont les nouveaux maîtres du Faubourg Montmartre.
Les Dalton parisiens
Les « Z » tranquilles, ils investissent dans le IXe, puis sortent des limites de leur arrondissement et deviennent les maîtres de toute la prostitution parisienne, contrôlants hôtels de passe, bars à putes et cabarets. Avec les bénéfices tirés du proxénétisme, ils investissent dans un Eros Center de Francfort et dans l ?immobilier à Paris.
William, marié, mène en apparence une vie rangée mais continue de diriger le clan, avec son frère Edgard. Celui-là aime à flamber, et le monde d’argent et de violence qu’est le milieu lui plaît. Gilbert fait, lui, bande à part. Marié et père de deux enfants, il est en quête d’honnorabilité et aimerait s’extraire de sa condition de voyou. Pour cela, il se met à acheter des affaires légales. Devenu un homme d’affaire avisé, il tient un restaurant et possède des parts dans trois night-club parisiens. Puis en 1970, il part vivre au Canada, se retirant ainsi complètement du milieu, et y monte une grosse compagnie immobilière. La fortune est au rendez-vous.
Avant cela, ne possédant qu ?un petit club de jeu à Montmartre (le Bridge Club), les Zemmour veulent se faire une place dans le jeu parisien. C ?est dans ce but qu ?ils se sont rapprochés de Marcel Francisci. En 1967, ils poussent ce dernier à relancer les hostilités contre son rival Jean-Baptiste Andréani. En plus d ?être lui aussi un roi du jeu parisien, il a eut l ?affront de refuser l ?aide que leur proposaient les frères pieds-noirs, préférant celle des deux frères Panzani. De la fin 1967 à l ?automne 1968, six corps tomberont. Et au final, les Zemmour se sépareront de Francisci.
Par ailleurs, les ?Z ? fournissent avec leurs associés Riwen Liwer et Roger Bacry des colleurs d ?affiches et des agents électoraux aux candidats gaullistes, ce qui leur permet d ?avoir des protections jusqu ?au début des années 70. Vers ce moment, William et Edgard tentent une implantation en Israël, en association avec les frères Abitbol. Ils veulent ouvrir des boîtes à Tel-Aviv, mais cette tentative est un échec. Ils abandonnent l’idée en 1972.
Pieds-Noirs contre Pseudo-Siciliens
En 1970, un membre du clan Zemmour, Roger Bacry, dit Petit Roger, propose aux « Z » de faire dans la came. Ces derniers refusent. Bacry, avec ses copains de la banlieue sud, dont entre autres Jean-Claude Vella, Marcel Gauthier et Daniel le Polonais, fait sécession et monte sa propre filière en association avec André Condemine. Le trafic tourne mal et la filière est démantelée. Bacry et compagnie reviennent penauds chercher du travail chez les Zemmour, qui rejettent leur réintégration. Dès lors, ils vont trouver du soutient chez des truands lyonnais, et se font appeler le « gang des siciliens ».
Les hostilités commencent en 1973. Le premier a tomber est Raphaël Dadoun, fidèle des « Z ». Pour cette seule année 73, on compte dix morts. En 1974, Bacry se suicide. Vella et Gauthier sont abattus respectivement en 1975 et en 1976. Le 2 février 1975, une fusillade au bar Laetitia visant les frères Panzani fait quatre blessés et un mort. Cette même année voit se dérouler un épisode des plus tragiques pour les Zemmour : le 28 février, William, Edgard et deux amis doivent s’expliquer avec des membres de la bande adverse au bar Thélème. La police, avertit, prévoit une fusillade et aperçoit les parrains parisiens. Dès lors, elle décide d’intervenir. Edgard les a vu et prévoit la riposte. Les policiers entrent dans le bar et tirent sans sommation. La fusillade fera deux morts : William et son garde du corps Joseph Elbaz. Edgard, lui, est grièvement blessé. Les combats s’étaleront jusqu’à la fin des années 70 et auront fait au total près de trente morts.
C’est le début de la fin pour les « Z ». Gilbert perd ses établissements parisiens ainsi qu’une partie de sa fortune du Canada. Les bien immobiliers de la prostitution qui étaient géré par William ferment, font faillites, sont rachetés... En 1976, une fois rétablit et après quelques mois de préventive, Edgard part se mettre au vert à Miami. Là-bas, il ouvre un restaurant et, acculé à la faillite, y met le feu.
En 1981 Edgard est de retour à Paris. Il veut récupérer un million de dollars que lui devrait Marcel Francisci. Ce dernier, menacé de mort, ne prend pas les menaces au sérieux. Pourtant, le 14 janvier 1981, il est abattu dans son parking. Edgard est innocenté mais préfère repartir vivre à Miami. Cela ne l’empêche pas, le 8 avril de la même année, d ?être tué dans sa villa de quatre coups de feu tirés par un tireur armé d ?un fusil à lunette caché à quatre cent mètres de là. Ce serait un ami de Francisci d ?un poids important au sein du Milieu, Paul Mondoloni, qui aurait envoyé l ?un de ses lieutenants, Gilbert le Libanais, abattre Edgard Zemmour. Le 28 juillet, c’est Gilbert qui s’écroule, abattu à Paris alors qu’il promène ses caniches.
À lire : « Les Derniers Seigneurs de la Pègre » de Le Taillanter.
Invité- Invité
Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Le Zemmour qui passe dans les médias israéliens comme quelqu’un d"irréprochable et accuse souvent les maghrébins d’être des délinquants
Qu’il balaye devant sa porte
Qu’il balaye devant sa porte
Invité- Invité
Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Crime organisé:la mafia ju.ive en France et le marché des drogues lourdes
Une photo rare dans les journeaux,en France : un ju.if sioniste mafieux en état d’arrestation. Une photo rare dans les journeaux,en France : un ju.if sioniste mafieux en état d’arrestation.
Le 27 novembre 2010, après plusieurs semaines d’enquête, la police judiciaire parisienne a mis la main sur cent-dix kilos de cocaïne en provenance de Colombie (7 millions d’euros à la revente au détail). La drogue était stockée dans un luxueux appartement de Neuilly-sur-Seine en travaux. Sa propriétaire, absente, est une princesse saoudienne, qui a rapidement été mise hors de cause. Outre la drogue, les policiers ont également saisi près de 170 000 euros en liquide lors des différentes perquisitions qui ont eu lieu, ainsi que des vêtements et des objets de luxe.
Deux hommes et deux femmes ont été placés en garde à vue. L’un d’entre eux est de nationalité iranienne ; l’autre est de nationalité vénézuélienne, selon Libération. Le Figaro précise que quatre personnes ont été arrêtées : « un Vénézuélien, un Iranien et deux Français, dont une femme, compagne du chef de réseau, et un homme “bien inséré”, qui réside dans le XVIe arrondissement de Paris. Deux autres Français, mêlés à ce trafic, sont en fuite. »
En juillet 2010, les douaniers de Roissy avaient déjà saisi, dans un bagage non accompagné, 134 kilos de cocaïne dans un avion en provenance de Bogota. En juin, les douanes avaient réalisé la saisie de cocaïne la plus importante de leur histoire en découvrant 1,39 tonne de cocaïne sur un voilier, près des côtes de la Martinique.
Le 14 avril 2010 avait aussi eu lieu une grosse prise de drogue en Espagne : 814 kilos de cocaïne saisis dans un vrai faux camion du Paris-Dakar doté de 32 double-fonds. Le véhicule, couvert d’autocollants et de logos de grandes marques, avait été transformé pour faire croire à sa participation au Rallye Paris-Dakar comme camion ravitailleur, et avait suivi l’ensemble du parcours de la course. Il y avait même, à l’intérieur, des publicités qui étaient distribuées aux foules en liesse à chaque étape. La cocaïne avait été chargée au point de départ du Rallye, près de Buenos-Aires en Argentine, qui accueillait cet hiver le Paris-Dakar, et devait être acheminée à Ibiza, dans les Baléares, via le port de Bilbao.
Curieusement, la presse occidentale ne livre quasiment jamais les noms des trafiquants, sauf exception. Le magazine Times du 18 novembre 2009, par exemple, nous apprenait qu’un rabbin de Manchester, Baruch Chalomish, 54 ans, passait en procès pour trafic de cocaïne. La police avait retrouvé chez lui plus de 100 grammes de coke, une balance pour la peser, des billets roulés pour la sniffer, des cartes bancaires pour la mettre en ligne et 17 000 livres de cash. Le rabbin Chalomish, membre de la communauté ju.ive orthodoxe de Manchester, distribuait aussi la drogue à des jeunes prostituées en échange de “faveurs sexuelles”. A son procès, il apparut avec sa barbe et son chapeau de fourrure. Dans le box des accusés, un interprète lui traduisait en hébreu les propos des magistrats.
La presse israélienne est moins vigilante, semble-t-il. Dans le Haaretz du 15 mai 2009, on apprend qu’un ju.if hassidique de la communauté de Satmar, en Israël, a été condamné au Japon à huit années de prison pour trafic d’ecstatsy. Il était le plus jeune de trois étudiants ju.ifs arrêtés l’année précédente avec 90 000 pilules dans leurs valises. Les deux autres, Yoel Goldstein and Yaakov Yosef Grinwald, attendaient toujours leur procès. Tout trois avaient été arrêtés en avril 2008 à l’aéroport de Tokyo, dans un avion venant d’Amsterdam.
Le 3 juin 2009, selon Haaretz, deux Israéliens avaient été arrêtés par la police anglaise avec pas moins de douze tonnes et demi (12,5 tonnes) de marijuana(environ cinquante millions de dollars). Moshe Kedar, un homme de 81 ans, et son complice Mordechai Hersch, 67 ans, avaient été appréhendés après une filature.
En novembre 2008, un citoyen israélien d’une cinquantaine d’années était arrêté dans un appartement de Lima, au Pérou. Chez lui, les policiers avaient trouvé une demi-tonne de cocaïne. Son activité d’import-export de textile lui servait de couverture.
Le 4 septembre 2008, le tribunal correctionnel de Papeete avait condamné l’israélien Teiva Spector à dix ans d’emprisonnement pour un trafic de stupéfiants entre les Etats-Unis et Tahiti. L’homme avait aussi des passeports français et américain. Parmi les 18 autres prévenus, beaucoup étaient ressortis menottés et avaient été emmenés en prison, des mandats de dépôt ayant été prononcés à leur encontre. Ce réseau de trafiquants de drogues (ice et cocaïne) avait été baptisé par les médiats locaux, “Vahine connexion”, parce que Teiva Spector employait des femmes (“vahine”, en tahitien) pour faire transiter la drogue entre les Etats-Unis et Tahiti. Ces dernières, recrutées par son ex-concubine, condamnée à 8 ans d’emprisonnement, cachaient la drogue enroulée dans du film étirable entre deux culottes pour passer les frontières. Elles transportaient entre 300 et 500g d’ice ou de cocaïne et étaient rémunérées 8000 euros par passage. Ce vaste trafic, à l’échelle de Tahiti, se poursuivit de 2004 à 2006. C’est le contrôle douanier d’une des prévenues à l’aéroport international de Tahiti-Faa’a, en juillet 2006, qui avait fait tomber le réseau.
En février 2008, le rabbin hassidique Simcha Aschlag et son assistant, avaient été arrêtés à l’aéroport de Roissy. Ils transportaient dans leurs valises quelques 20 kilos de drogues. Le rabbin, petit fils de Yehuda Leiv Ha-Levi Ashlag, célèbre commentateur du Zohar, était assigné à résidence à Paris avec son complice. Mais au mois d’octobre, les représentants parisiens des avocats Yitzhak Osbicher et Moti Zivin parvinrent à obtenir du juge français leur libération provisoire afin qu’il puissent se rendre en Israël pour les fêtes, et ce, sans apporter aucune garantie de leur retour en France !
Nous ne prétendons pas que les malfrats ju.ifs soient les seuls à faire du trafic international de drogue, mais enfin, certains signes permettent de supposer qu’ils sont en situation dominante. Le trafic d’ecstasy, en tout cas, est bel et bien un monopole de la mafia ju.ive. Il suffit de voir les noms et les passeports de tous ceux qui ont été arrêtés, aux Etats-Unis, en France, en Allemagne, en Belgique, en Hollande, en Afrique du Sud ou en Australie. S’ils s’étaient appelés Martin ou Pont l’Evêque, les coupables auraient eu le droit au journal de vingt heures, avec leurs tronches de blondinets en gros sur l’écran. S’ils s’étaient appelés Mohammed ou Aristide N’Goulou, la presse aurait discrètement cité leur nom avec quelques jours de retard. Mais quand les trafiquants internationaux s’appellent Shapiro, Lasry, Goldblum ou Rappaport, tous les journalistes du système la mettent en veilleuse.
Le fait est que les gros trafiquants de drogue internationaux sont des ju.ifs ; les grands proxénètes internationaux sont des ju.ifs ; les grands escrocs internationaux sont des ju.ifs ; les grands négociants de matières premières sont des ju.ifs, etc. Il a fallu six livres de 400 pages à l’écrivain Hervé Ryssen pour tenter de faire le tour de la question. Et encore… Il s’est arrêté à mi-chemin !
Une photo rare dans les journeaux,en France : un ju.if sioniste mafieux en état d’arrestation. Une photo rare dans les journeaux,en France : un ju.if sioniste mafieux en état d’arrestation.
Le 27 novembre 2010, après plusieurs semaines d’enquête, la police judiciaire parisienne a mis la main sur cent-dix kilos de cocaïne en provenance de Colombie (7 millions d’euros à la revente au détail). La drogue était stockée dans un luxueux appartement de Neuilly-sur-Seine en travaux. Sa propriétaire, absente, est une princesse saoudienne, qui a rapidement été mise hors de cause. Outre la drogue, les policiers ont également saisi près de 170 000 euros en liquide lors des différentes perquisitions qui ont eu lieu, ainsi que des vêtements et des objets de luxe.
Deux hommes et deux femmes ont été placés en garde à vue. L’un d’entre eux est de nationalité iranienne ; l’autre est de nationalité vénézuélienne, selon Libération. Le Figaro précise que quatre personnes ont été arrêtées : « un Vénézuélien, un Iranien et deux Français, dont une femme, compagne du chef de réseau, et un homme “bien inséré”, qui réside dans le XVIe arrondissement de Paris. Deux autres Français, mêlés à ce trafic, sont en fuite. »
En juillet 2010, les douaniers de Roissy avaient déjà saisi, dans un bagage non accompagné, 134 kilos de cocaïne dans un avion en provenance de Bogota. En juin, les douanes avaient réalisé la saisie de cocaïne la plus importante de leur histoire en découvrant 1,39 tonne de cocaïne sur un voilier, près des côtes de la Martinique.
Le 14 avril 2010 avait aussi eu lieu une grosse prise de drogue en Espagne : 814 kilos de cocaïne saisis dans un vrai faux camion du Paris-Dakar doté de 32 double-fonds. Le véhicule, couvert d’autocollants et de logos de grandes marques, avait été transformé pour faire croire à sa participation au Rallye Paris-Dakar comme camion ravitailleur, et avait suivi l’ensemble du parcours de la course. Il y avait même, à l’intérieur, des publicités qui étaient distribuées aux foules en liesse à chaque étape. La cocaïne avait été chargée au point de départ du Rallye, près de Buenos-Aires en Argentine, qui accueillait cet hiver le Paris-Dakar, et devait être acheminée à Ibiza, dans les Baléares, via le port de Bilbao.
Curieusement, la presse occidentale ne livre quasiment jamais les noms des trafiquants, sauf exception. Le magazine Times du 18 novembre 2009, par exemple, nous apprenait qu’un rabbin de Manchester, Baruch Chalomish, 54 ans, passait en procès pour trafic de cocaïne. La police avait retrouvé chez lui plus de 100 grammes de coke, une balance pour la peser, des billets roulés pour la sniffer, des cartes bancaires pour la mettre en ligne et 17 000 livres de cash. Le rabbin Chalomish, membre de la communauté ju.ive orthodoxe de Manchester, distribuait aussi la drogue à des jeunes prostituées en échange de “faveurs sexuelles”. A son procès, il apparut avec sa barbe et son chapeau de fourrure. Dans le box des accusés, un interprète lui traduisait en hébreu les propos des magistrats.
La presse israélienne est moins vigilante, semble-t-il. Dans le Haaretz du 15 mai 2009, on apprend qu’un ju.if hassidique de la communauté de Satmar, en Israël, a été condamné au Japon à huit années de prison pour trafic d’ecstatsy. Il était le plus jeune de trois étudiants ju.ifs arrêtés l’année précédente avec 90 000 pilules dans leurs valises. Les deux autres, Yoel Goldstein and Yaakov Yosef Grinwald, attendaient toujours leur procès. Tout trois avaient été arrêtés en avril 2008 à l’aéroport de Tokyo, dans un avion venant d’Amsterdam.
Le 3 juin 2009, selon Haaretz, deux Israéliens avaient été arrêtés par la police anglaise avec pas moins de douze tonnes et demi (12,5 tonnes) de marijuana(environ cinquante millions de dollars). Moshe Kedar, un homme de 81 ans, et son complice Mordechai Hersch, 67 ans, avaient été appréhendés après une filature.
En novembre 2008, un citoyen israélien d’une cinquantaine d’années était arrêté dans un appartement de Lima, au Pérou. Chez lui, les policiers avaient trouvé une demi-tonne de cocaïne. Son activité d’import-export de textile lui servait de couverture.
Le 4 septembre 2008, le tribunal correctionnel de Papeete avait condamné l’israélien Teiva Spector à dix ans d’emprisonnement pour un trafic de stupéfiants entre les Etats-Unis et Tahiti. L’homme avait aussi des passeports français et américain. Parmi les 18 autres prévenus, beaucoup étaient ressortis menottés et avaient été emmenés en prison, des mandats de dépôt ayant été prononcés à leur encontre. Ce réseau de trafiquants de drogues (ice et cocaïne) avait été baptisé par les médiats locaux, “Vahine connexion”, parce que Teiva Spector employait des femmes (“vahine”, en tahitien) pour faire transiter la drogue entre les Etats-Unis et Tahiti. Ces dernières, recrutées par son ex-concubine, condamnée à 8 ans d’emprisonnement, cachaient la drogue enroulée dans du film étirable entre deux culottes pour passer les frontières. Elles transportaient entre 300 et 500g d’ice ou de cocaïne et étaient rémunérées 8000 euros par passage. Ce vaste trafic, à l’échelle de Tahiti, se poursuivit de 2004 à 2006. C’est le contrôle douanier d’une des prévenues à l’aéroport international de Tahiti-Faa’a, en juillet 2006, qui avait fait tomber le réseau.
En février 2008, le rabbin hassidique Simcha Aschlag et son assistant, avaient été arrêtés à l’aéroport de Roissy. Ils transportaient dans leurs valises quelques 20 kilos de drogues. Le rabbin, petit fils de Yehuda Leiv Ha-Levi Ashlag, célèbre commentateur du Zohar, était assigné à résidence à Paris avec son complice. Mais au mois d’octobre, les représentants parisiens des avocats Yitzhak Osbicher et Moti Zivin parvinrent à obtenir du juge français leur libération provisoire afin qu’il puissent se rendre en Israël pour les fêtes, et ce, sans apporter aucune garantie de leur retour en France !
Nous ne prétendons pas que les malfrats ju.ifs soient les seuls à faire du trafic international de drogue, mais enfin, certains signes permettent de supposer qu’ils sont en situation dominante. Le trafic d’ecstasy, en tout cas, est bel et bien un monopole de la mafia ju.ive. Il suffit de voir les noms et les passeports de tous ceux qui ont été arrêtés, aux Etats-Unis, en France, en Allemagne, en Belgique, en Hollande, en Afrique du Sud ou en Australie. S’ils s’étaient appelés Martin ou Pont l’Evêque, les coupables auraient eu le droit au journal de vingt heures, avec leurs tronches de blondinets en gros sur l’écran. S’ils s’étaient appelés Mohammed ou Aristide N’Goulou, la presse aurait discrètement cité leur nom avec quelques jours de retard. Mais quand les trafiquants internationaux s’appellent Shapiro, Lasry, Goldblum ou Rappaport, tous les journalistes du système la mettent en veilleuse.
Le fait est que les gros trafiquants de drogue internationaux sont des ju.ifs ; les grands proxénètes internationaux sont des ju.ifs ; les grands escrocs internationaux sont des ju.ifs ; les grands négociants de matières premières sont des ju.ifs, etc. Il a fallu six livres de 400 pages à l’écrivain Hervé Ryssen pour tenter de faire le tour de la question. Et encore… Il s’est arrêté à mi-chemin !
Invité- Invité
Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
French connection en Israël : un trafic de drogue découvert à Tel-Aviv
Actualités, International, Israël - le 29 décembre 2015 - par Noga Bar-Noye
Ils ont gagné des millions de shekels en faisant passer de la cocaïne, ils vivaient dans des appartements résidentiels de luxe à Tel-Aviv, l’aventure des 3 franco-israéliens et d’un habitant de Jérusalem s’est arrêtée. Jusqu’à présent, aucune information sur l’affaire n’était disponible en raison d’une interdiction de publication afin de ne pas compromettre l’enquête des « stups ».
Dans le cadre de l’enquête « French Connection », nous venons d’apprendre que de la drogue en provenance de France était importée en Israël. La police a arrêté quatre suspects Emanuel Amoyal, Dan Ben Tolila et Sarah Ben Abou (qui sont franco- israéliens) et Yossi Gabay, résident de Jérusalem.
La police soupçonne les quatre d’avoir établi récemment un trafic de drogue de la France vers Israël qui leur aurait rapporté des millions. « Ces gens-là sont intelligents, pas stupides, ils ont travaillé correctement et savaient comment faire de l’argent sans se faire prendre », a déclaré un proche de l’enquête. Les suspects ont grandi en France et ont immigré en Israël et y vivent depuis plusieurs mois voire plusieurs années.
L’enquête des stups a révélé qu’Amoyal et Ben Tolila se connaissaient et servaient de mules. Conformément à l’accord entre la passeuse et les deux suspects, ces derniers prenaient l’avion de France et effectuaient leurs livraisons en échange de 3.000 euros. D’après l’enquête, il s’est avéré que la passeuse cachait elle-aussi la cocaïne dans son vagin. Après l’atterrissage, ils se rendaient dans les appartements de luxe où les suspects vivaient à Tel-Aviv et livraient la marchandise.
Le principal suspect, Emmanuel Amoyal, a été arrêté en novembre. Les autres suspects ont été arrêtés plus tard. L’enquête de la police a révélé qu’entre Amoyal et Tolila un désaccord financier est apparu, de plus, l’ancienne petite amie d’Amoyal Sarah ben Abu qui servait de passeuse de drogue, aurait eu une aventure avec Ben Tolila.
Jaloux, Amoyal par vengeance aurait décidé de le tuer. La police soupçonne qu’Amoyal avait prévu de venir en Israël afin d’accomplir l’acte, mais à son arrivée en Israël, il a été arrêté à Tel-Aviv dans le cadre de l’enquête,
Les autres suspects quant à eux nient toute implication. Affaire à suivre….
Source : ynet.co.il
Actualités, International, Israël - le 29 décembre 2015 - par Noga Bar-Noye
Ils ont gagné des millions de shekels en faisant passer de la cocaïne, ils vivaient dans des appartements résidentiels de luxe à Tel-Aviv, l’aventure des 3 franco-israéliens et d’un habitant de Jérusalem s’est arrêtée. Jusqu’à présent, aucune information sur l’affaire n’était disponible en raison d’une interdiction de publication afin de ne pas compromettre l’enquête des « stups ».
Dans le cadre de l’enquête « French Connection », nous venons d’apprendre que de la drogue en provenance de France était importée en Israël. La police a arrêté quatre suspects Emanuel Amoyal, Dan Ben Tolila et Sarah Ben Abou (qui sont franco- israéliens) et Yossi Gabay, résident de Jérusalem.
La police soupçonne les quatre d’avoir établi récemment un trafic de drogue de la France vers Israël qui leur aurait rapporté des millions. « Ces gens-là sont intelligents, pas stupides, ils ont travaillé correctement et savaient comment faire de l’argent sans se faire prendre », a déclaré un proche de l’enquête. Les suspects ont grandi en France et ont immigré en Israël et y vivent depuis plusieurs mois voire plusieurs années.
L’enquête des stups a révélé qu’Amoyal et Ben Tolila se connaissaient et servaient de mules. Conformément à l’accord entre la passeuse et les deux suspects, ces derniers prenaient l’avion de France et effectuaient leurs livraisons en échange de 3.000 euros. D’après l’enquête, il s’est avéré que la passeuse cachait elle-aussi la cocaïne dans son vagin. Après l’atterrissage, ils se rendaient dans les appartements de luxe où les suspects vivaient à Tel-Aviv et livraient la marchandise.
Le principal suspect, Emmanuel Amoyal, a été arrêté en novembre. Les autres suspects ont été arrêtés plus tard. L’enquête de la police a révélé qu’entre Amoyal et Tolila un désaccord financier est apparu, de plus, l’ancienne petite amie d’Amoyal Sarah ben Abu qui servait de passeuse de drogue, aurait eu une aventure avec Ben Tolila.
Jaloux, Amoyal par vengeance aurait décidé de le tuer. La police soupçonne qu’Amoyal avait prévu de venir en Israël afin d’accomplir l’acte, mais à son arrivée en Israël, il a été arrêté à Tel-Aviv dans le cadre de l’enquête,
Les autres suspects quant à eux nient toute implication. Affaire à suivre….
Source : ynet.co.il
Invité- Invité
Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Pourquoi Tant D’Israéliens De La Mafia ju.ive Sioniste Sont-Ils Sous Les Verrous ?
Actuellement on compte 7 trafiquants d’armes ju.ifs israéliens détenus dans 4 pays : USA, Russie, France et Grande Bretagne. Israël se targue d’avoir des exportations d’armes en plein boom. L’entité sioniste survit grâce à ses ventes d’armes légales mais aussi son réseau mondial mafieux ju.if israélien d’ex militaires trafiquants d’armes.
Certains de ses criminels ju.ifs israéliens sont non seulement accusés de trafic d’armes mais aussi de corruption, falsification, blanchiment d’argent, et de violer les différents embargos du CSONU. Tous ces criminels ju.ifs sionistes - qui font partie d’un réseau mondial qu’on peut appeler la Mafia ju.ive Sioniste au même titre qu’il existe une Mafia Sicilienne s’appuyant elle aussi sur un réseau mondial ou une Mafia Russe etc... présentent plusieurs points communs.
Tous sont des hommes de 50- 60 ans qui se sont enrichis par le passé dans le trafic mondial d’armes ou l’exportation de services de sécurité et d’équipements en provenance d’Israël. Tous ont bien sûr servi dans l’armée israélienne à des grades divers allant de celui de capitaine à celui de lieutenant colonel, et tous lors de leur arrestation ont nié les accusations portées contre eux, le mensonge étant une profession de foi très répandue dans l’armée et les milieux politiques sionistes.
Ces 7 criminels ju.ifs Sionistes sont tous connus au sein de l’establishment militaire israélien, ayant arpenté des centaines de fois les couloirs des institutions militaires où ils ont reçu les permis d’exportation d’armes et la bénédiction politico militaire - active ou passive - des plus hauts responsables israéliens.
Autrement dit ce trafic d’armes mondial criminel est toléré voire encouragé au plus haut niveau de l’entité sioniste et constitue en fait un mode opérationnel mondial indirect de déstabilisation sioniste - dépeçage d’états * : monter les minorités les unes contre les autres en exacerbant les conflits ethniques, diviser, et faire éclater les états nations - d’états situés principalement en Afrique et en Amérique Latine mais aussi au Moyen Orient, en Europe de l’Est, Asie etc…
A cela bien sûr viennent s’ajouter les activités « légales » publiques elles de tous ces ex militaires ju.ifs israéliens qui servent de conseillers, formateurs etc… pour les dictatures ou régimes autoritaires qui ont besoin du « savoir faire » sioniste en matière de répression violente de toute forme d’opposition.
Tous ces trafiquants d’armes ju.ifs sionistes ont dans le cadre de leurs activités criminelles juteuses toujours cherché à « expédier les procédures » en violation des règles locales et internationales, et l’ont fait par pure avidité. A cause de cette recherche du profit à tous prix, de cette convoitise tous sont à un moment ou un autre tombés dans les filets de ceux qui essaient honnêtement de faire cesser ce trafic d’armes. Ces criminels ju.ifs sionistes purgent ou risquent de purger de longues années de prison.
Shimon Naor - Hershkowitz est détenu en France et sera probablement extradé vers la Roumanie où il a été condamné à une peine de prison de 11 ans. Il a été reconnu coupable d’avoir contrefait des documents (certificats de destinataire) qu’il a utilisé pour acheter des armes roumaines en partenariat avec un Roumain qui l’a ensuite dénoncé aux autorités roumaines. Ces armes étaient supposées destinées au Togo mais en réalité ont été envoyées aux rebelles en Angola.
Yair Klein a été détenu plus d’un an dans une prison en Russie après avoir été arrêté à la demande de la Colombie qui a demandé son extradition l’accusant d’entraîner les gardes du corps des barons de la drogue. Klein qui va sur ses 70 ans est très certainement le type de ju.if israélien qu’on peut qualifier de « mercenaire » de la pire espèce. Il a auparavant été emprisonné en Sierra Léone. Malgré cela les autorités russes viennent de renoncer à l’extrader vers la Colombie et l’ont renvoyé en Israël refuge d’un grand nombre de criminels mafieux ju.ifs de la même espèce venant du monde entier assurés que le régime sioniste n’acceptera jamais leur extradition.
Exemple de ces ju.ifs sionistes mafieux réfugiés en Israël : Arkadi Gaydamak, milliardaire Russo-Israelien jugé par contumace en France -où il a vécu pendant un certain temps - pour trafic d’armes devenu en Israël une célébrité. Il a même brigué, sans succès, la mairie de la ville de Jérusalem sous occupation. Il se déplace régulièrement entre Tel Aviv et Moscou sans que les autorités françaises n’aient à ce jour tenté de le faire extrader.
En Grande Bretagne, Gidon Sarig, 58 ans, qui a d’abord été condamné à plusieurs mois de prison a ensuite été condamné à 7 ans de prison pour avoir vendu des armes et d’autres équipements de combat à des partis au Venezuela, Pérou, Sénégal, Nigeria, Gabon, et surtout au Sri Lanka.
En Janvier de cette année, Ofer Pazaf, 50 ans, président de la société Kfar Sava qui travaille comme intermédiaire et représente des consultants en sécurité et des industries militaires, a été arrêté à Las Végas. Deux autres criminels ju.ifs israéliens ont été arrêtés en même temps que lui ces deux derniers vivant aux US depuis plusieurs années. Yohanan Cohen, 47 ans, président du conseil d’administration d’une société de San Francisco qui fabrique des équipements de sécurité et Haïm Gary, 50 ans, président de la société Miami qui agit comme intermédiaire pour le compte d’entreprises d’armement.
Tous les trois, de même que 20 Américains et personnes d’autres nationalités ont été arrêtés lors d’une opération coup de filet menée par le FBI. L’un des agents du FBI s’est fait passé pour un représentant du ministère de la défense d’un pays africain et a prétendu vouloir acheter des armes en échange d’un pot de vin- qu’on appelle en terme « professionnel » une « commission ».
Dernier - pour le moment - ju.if israélien trafiquant d’armes mafieux à se retrouver sous les verrous, Hanoch Miller, 53 ans, a été arrêté fin Juin aux USA. Il a été accusé avec son trafiquant de partenaire américain, le colonel à la retrait de l’ US Air Force, Joseph O’ Toole, d’avoir tenté d’obtenir et de vendre des milliers d’AK-47 (Kalashnikov) au « gouvernement » de Somaliland, région séparatiste du Nord de la Somalie. Les armes devaient être achetées aux US et envoyées par avion au Panama et en Bosnie et de là au Somaliland. Mais ce projet a échoué car un troisième partenaire dans cette affaire crapuleuse qui devait acheter les armes de Miller et O’Toole, travaillait en fait pour les autorités douanières.
Et ce ne sont là que quelques exemples des activités de la Mafia ju.ive Sioniste - rapportées comme simples faits divers dans la presse israélienne et qui ne font d’ailleurs même plus scandales là bas- qui a su tisser un réseau mondial dont le nœud central se trouve à Tel Aviv véritable plaque tournante de cette Mafia ju.ive Sioniste.
Actuellement on compte 7 trafiquants d’armes ju.ifs israéliens détenus dans 4 pays : USA, Russie, France et Grande Bretagne. Israël se targue d’avoir des exportations d’armes en plein boom. L’entité sioniste survit grâce à ses ventes d’armes légales mais aussi son réseau mondial mafieux ju.if israélien d’ex militaires trafiquants d’armes.
Certains de ses criminels ju.ifs israéliens sont non seulement accusés de trafic d’armes mais aussi de corruption, falsification, blanchiment d’argent, et de violer les différents embargos du CSONU. Tous ces criminels ju.ifs sionistes - qui font partie d’un réseau mondial qu’on peut appeler la Mafia ju.ive Sioniste au même titre qu’il existe une Mafia Sicilienne s’appuyant elle aussi sur un réseau mondial ou une Mafia Russe etc... présentent plusieurs points communs.
Tous sont des hommes de 50- 60 ans qui se sont enrichis par le passé dans le trafic mondial d’armes ou l’exportation de services de sécurité et d’équipements en provenance d’Israël. Tous ont bien sûr servi dans l’armée israélienne à des grades divers allant de celui de capitaine à celui de lieutenant colonel, et tous lors de leur arrestation ont nié les accusations portées contre eux, le mensonge étant une profession de foi très répandue dans l’armée et les milieux politiques sionistes.
Ces 7 criminels ju.ifs Sionistes sont tous connus au sein de l’establishment militaire israélien, ayant arpenté des centaines de fois les couloirs des institutions militaires où ils ont reçu les permis d’exportation d’armes et la bénédiction politico militaire - active ou passive - des plus hauts responsables israéliens.
Autrement dit ce trafic d’armes mondial criminel est toléré voire encouragé au plus haut niveau de l’entité sioniste et constitue en fait un mode opérationnel mondial indirect de déstabilisation sioniste - dépeçage d’états * : monter les minorités les unes contre les autres en exacerbant les conflits ethniques, diviser, et faire éclater les états nations - d’états situés principalement en Afrique et en Amérique Latine mais aussi au Moyen Orient, en Europe de l’Est, Asie etc…
A cela bien sûr viennent s’ajouter les activités « légales » publiques elles de tous ces ex militaires ju.ifs israéliens qui servent de conseillers, formateurs etc… pour les dictatures ou régimes autoritaires qui ont besoin du « savoir faire » sioniste en matière de répression violente de toute forme d’opposition.
Tous ces trafiquants d’armes ju.ifs sionistes ont dans le cadre de leurs activités criminelles juteuses toujours cherché à « expédier les procédures » en violation des règles locales et internationales, et l’ont fait par pure avidité. A cause de cette recherche du profit à tous prix, de cette convoitise tous sont à un moment ou un autre tombés dans les filets de ceux qui essaient honnêtement de faire cesser ce trafic d’armes. Ces criminels ju.ifs sionistes purgent ou risquent de purger de longues années de prison.
Shimon Naor - Hershkowitz est détenu en France et sera probablement extradé vers la Roumanie où il a été condamné à une peine de prison de 11 ans. Il a été reconnu coupable d’avoir contrefait des documents (certificats de destinataire) qu’il a utilisé pour acheter des armes roumaines en partenariat avec un Roumain qui l’a ensuite dénoncé aux autorités roumaines. Ces armes étaient supposées destinées au Togo mais en réalité ont été envoyées aux rebelles en Angola.
Yair Klein a été détenu plus d’un an dans une prison en Russie après avoir été arrêté à la demande de la Colombie qui a demandé son extradition l’accusant d’entraîner les gardes du corps des barons de la drogue. Klein qui va sur ses 70 ans est très certainement le type de ju.if israélien qu’on peut qualifier de « mercenaire » de la pire espèce. Il a auparavant été emprisonné en Sierra Léone. Malgré cela les autorités russes viennent de renoncer à l’extrader vers la Colombie et l’ont renvoyé en Israël refuge d’un grand nombre de criminels mafieux ju.ifs de la même espèce venant du monde entier assurés que le régime sioniste n’acceptera jamais leur extradition.
Exemple de ces ju.ifs sionistes mafieux réfugiés en Israël : Arkadi Gaydamak, milliardaire Russo-Israelien jugé par contumace en France -où il a vécu pendant un certain temps - pour trafic d’armes devenu en Israël une célébrité. Il a même brigué, sans succès, la mairie de la ville de Jérusalem sous occupation. Il se déplace régulièrement entre Tel Aviv et Moscou sans que les autorités françaises n’aient à ce jour tenté de le faire extrader.
En Grande Bretagne, Gidon Sarig, 58 ans, qui a d’abord été condamné à plusieurs mois de prison a ensuite été condamné à 7 ans de prison pour avoir vendu des armes et d’autres équipements de combat à des partis au Venezuela, Pérou, Sénégal, Nigeria, Gabon, et surtout au Sri Lanka.
En Janvier de cette année, Ofer Pazaf, 50 ans, président de la société Kfar Sava qui travaille comme intermédiaire et représente des consultants en sécurité et des industries militaires, a été arrêté à Las Végas. Deux autres criminels ju.ifs israéliens ont été arrêtés en même temps que lui ces deux derniers vivant aux US depuis plusieurs années. Yohanan Cohen, 47 ans, président du conseil d’administration d’une société de San Francisco qui fabrique des équipements de sécurité et Haïm Gary, 50 ans, président de la société Miami qui agit comme intermédiaire pour le compte d’entreprises d’armement.
Tous les trois, de même que 20 Américains et personnes d’autres nationalités ont été arrêtés lors d’une opération coup de filet menée par le FBI. L’un des agents du FBI s’est fait passé pour un représentant du ministère de la défense d’un pays africain et a prétendu vouloir acheter des armes en échange d’un pot de vin- qu’on appelle en terme « professionnel » une « commission ».
Dernier - pour le moment - ju.if israélien trafiquant d’armes mafieux à se retrouver sous les verrous, Hanoch Miller, 53 ans, a été arrêté fin Juin aux USA. Il a été accusé avec son trafiquant de partenaire américain, le colonel à la retrait de l’ US Air Force, Joseph O’ Toole, d’avoir tenté d’obtenir et de vendre des milliers d’AK-47 (Kalashnikov) au « gouvernement » de Somaliland, région séparatiste du Nord de la Somalie. Les armes devaient être achetées aux US et envoyées par avion au Panama et en Bosnie et de là au Somaliland. Mais ce projet a échoué car un troisième partenaire dans cette affaire crapuleuse qui devait acheter les armes de Miller et O’Toole, travaillait en fait pour les autorités douanières.
Et ce ne sont là que quelques exemples des activités de la Mafia ju.ive Sioniste - rapportées comme simples faits divers dans la presse israélienne et qui ne font d’ailleurs même plus scandales là bas- qui a su tisser un réseau mondial dont le nœud central se trouve à Tel Aviv véritable plaque tournante de cette Mafia ju.ive Sioniste.
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Les « Z » débarquent
ju.ifs pieds-noirs originaires de Sétif, en Algérie, ceux que le Milieu surnomera les « Z », ce sont cinq frères : Roland, né en 1925, Théodore, né en 1927, William en 1930, Gilbert en 1935, et Edgard, né en 1937. L’aîné, Roland, part pour Paris le premier, en 1945. Petit proxénète, il est assassiné en 1947, rue Blondel. Les quatre autres frères débarquent eux durant l’année ’55. Ensemble, ils vengent leur frère. Puis Théodore prend le large tandis que les trois autres restent à Paris.
Suivant la voix du crime que leur frère a tracé, William, Gilbert et Edgard démarrent dans le métier par des escroqueriers aux trousseaux et au vin, puis font tapiner quelques filles pour le compte des frères Atlan, chefs de file de la communauté pieds-noirs de Paris. Une fois dans le bain, les « Z » se détachent petit à petit de la houlette des Atlan et se mettent à leur compte, faisant toujours dans le tapin et organisant aussi un trafic de femmes en partance pour les Eros Center allemands.
Soudés, les Zemmour tirent leur force de leur complémentarité et de leur union fraternelle. William, l’aîné des trois, est le chef de la bande. Gilbert, lui, est organisé et dur en affaire. Quand à Edgard, c’est un fou furieux. Chaque jour, des rapatriés d’Algérie arrivent à Paris et grossissent la communauté pieds-noirs. Parmis eux, bon nombre de truands. Et ces nouveaux venus préfèrent se ranger du côté des Zemmour, la valeur montante du Faubourg Montmartre (haut-lieu de la prostitution), plutôt que chez les Atlan ou les Perret, dont le déclin est amorcé.
Mais bien que les « Z » soient désormais réputés à Paris, ils n’ont pas encore véritablement percés. Trop de fratries pieds-noirs dans le IXe. Et la plus génante, c’est celle des Atlan, suivit de près par les Perret.
Dès lors les Zemmour décident de se charger de ces personnes génantes. Le 2 octobre 1965, Sion Atlan est abattu dans un café-restaurant. Les regards se tournent vers les Perret, et les Zemmour font tout pour que la rumeur circule dans tous les coins de la capitale. Le plan marche : durant l’année 1966, les vengeurs de Sion Atlan mitraillent les deux frères Perret (sans concéquence) et tuent deux de leurs associers. Entre temps, le 2 décembre 1966, c’est le second Atlan, René, qui est tué. Appeurés et vieillissants, les Perret se retirent et vont s’installer dans l’ouest de la France. La voie est libre. Les Zemmour sont les nouveaux maîtres du Faubourg Montmartre.
Les Dalton parisiens
Les « Z » tranquilles, ils investissent dans le IXe, puis sortent des limites de leur arrondissement et deviennent les maîtres de toute la prostitution parisienne, contrôlants hôtels de passe, bars à putes et cabarets. Avec les bénéfices tirés du proxénétisme, ils investissent dans un Eros Center de Francfort et dans l ?immobilier à Paris.
William, marié, mène en apparence une vie rangée mais continue de diriger le clan, avec son frère Edgard. Celui-là aime à flamber, et le monde d’argent et de violence qu’est le milieu lui plaît. Gilbert fait, lui, bande à part. Marié et père de deux enfants, il est en quête d’honnorabilité et aimerait s’extraire de sa condition de voyou. Pour cela, il se met à acheter des affaires légales. Devenu un homme d’affaire avisé, il tient un restaurant et possède des parts dans trois night-club parisiens. Puis en 1970, il part vivre au Canada, se retirant ainsi complètement du milieu, et y monte une grosse compagnie immobilière. La fortune est au rendez-vous.
Avant cela, ne possédant qu ?un petit club de jeu à Montmartre (le Bridge Club), les Zemmour veulent se faire une place dans le jeu parisien. C ?est dans ce but qu ?ils se sont rapprochés de Marcel Francisci. En 1967, ils poussent ce dernier à relancer les hostilités contre son rival Jean-Baptiste Andréani. En plus d ?être lui aussi un roi du jeu parisien, il a eut l ?affront de refuser l ?aide que leur proposaient les frères pieds-noirs, préférant celle des deux frères Panzani. De la fin 1967 à l ?automne 1968, six corps tomberont. Et au final, les Zemmour se sépareront de Francisci.
Par ailleurs, les ?Z ? fournissent avec leurs associés Riwen Liwer et Roger Bacry des colleurs d ?affiches et des agents électoraux aux candidats gaullistes, ce qui leur permet d ?avoir des protections jusqu ?au début des années 70. Vers ce moment, William et Edgard tentent une implantation en Israël, en association avec les frères Abitbol. Ils veulent ouvrir des boîtes à Tel-Aviv, mais cette tentative est un échec. Ils abandonnent l’idée en 1972.
Pieds-Noirs contre Pseudo-Siciliens
En 1970, un membre du clan Zemmour, Roger Bacry, dit Petit Roger, propose aux « Z » de faire dans la came. Ces derniers refusent. Bacry, avec ses copains de la banlieue sud, dont entre autres Jean-Claude Vella, Marcel Gauthier et Daniel le Polonais, fait sécession et monte sa propre filière en association avec André Condemine. Le trafic tourne mal et la filière est démantelée. Bacry et compagnie reviennent penauds chercher du travail chez les Zemmour, qui rejettent leur réintégration. Dès lors, ils vont trouver du soutient chez des truands lyonnais, et se font appeler le « gang des siciliens ».
Les hostilités commencent en 1973. Le premier a tomber est Raphaël Dadoun, fidèle des « Z ». Pour cette seule année 73, on compte dix morts. En 1974, Bacry se suicide. Vella et Gauthier sont abattus respectivement en 1975 et en 1976. Le 2 février 1975, une fusillade au bar Laetitia visant les frères Panzani fait quatre blessés et un mort. Cette même année voit se dérouler un épisode des plus tragiques pour les Zemmour : le 28 février, William, Edgard et deux amis doivent s’expliquer avec des membres de la bande adverse au bar Thélème. La police, avertit, prévoit une fusillade et aperçoit les parrains parisiens. Dès lors, elle décide d’intervenir. Edgard les a vu et prévoit la riposte. Les policiers entrent dans le bar et tirent sans sommation. La fusillade fera deux morts : William et son garde du corps Joseph Elbaz. Edgard, lui, est grièvement blessé. Les combats s’étaleront jusqu’à la fin des années 70 et auront fait au total près de trente morts.
C’est le début de la fin pour les « Z ». Gilbert perd ses établissements parisiens ainsi qu’une partie de sa fortune du Canada. Les bien immobiliers de la prostitution qui étaient géré par William ferment, font faillites, sont rachetés... En 1976, une fois rétablit et après quelques mois de préventive, Edgard part se mettre au vert à Miami. Là-bas, il ouvre un restaurant et, acculé à la faillite, y met le feu.
En 1981 Edgard est de retour à Paris. Il veut récupérer un million de dollars que lui devrait Marcel Francisci. Ce dernier, menacé de mort, ne prend pas les menaces au sérieux. Pourtant, le 14 janvier 1981, il est abattu dans son parking. Edgard est innocenté mais préfère repartir vivre à Miami. Cela ne l’empêche pas, le 8 avril de la même année, d ?être tué dans sa villa de quatre coups de feu tirés par un tireur armé d ?un fusil à lunette caché à quatre cent mètres de là. Ce serait un ami de Francisci d ?un poids important au sein du Milieu, Paul Mondoloni, qui aurait envoyé l ?un de ses lieutenants, Gilbert le Libanais, abattre Edgard Zemmour. Le 28 juillet, c’est Gilbert qui s’écroule, abattu à Paris alors qu’il promène ses caniches.
À lire : « Les Derniers Seigneurs de la Pègre » de Le Taillanter.
ju.ifs pieds-noirs originaires de Sétif, en Algérie, ceux que le Milieu surnomera les « Z », ce sont cinq frères : Roland, né en 1925, Théodore, né en 1927, William en 1930, Gilbert en 1935, et Edgard, né en 1937. L’aîné, Roland, part pour Paris le premier, en 1945. Petit proxénète, il est assassiné en 1947, rue Blondel. Les quatre autres frères débarquent eux durant l’année ’55. Ensemble, ils vengent leur frère. Puis Théodore prend le large tandis que les trois autres restent à Paris.
Suivant la voix du crime que leur frère a tracé, William, Gilbert et Edgard démarrent dans le métier par des escroqueriers aux trousseaux et au vin, puis font tapiner quelques filles pour le compte des frères Atlan, chefs de file de la communauté pieds-noirs de Paris. Une fois dans le bain, les « Z » se détachent petit à petit de la houlette des Atlan et se mettent à leur compte, faisant toujours dans le tapin et organisant aussi un trafic de femmes en partance pour les Eros Center allemands.
Soudés, les Zemmour tirent leur force de leur complémentarité et de leur union fraternelle. William, l’aîné des trois, est le chef de la bande. Gilbert, lui, est organisé et dur en affaire. Quand à Edgard, c’est un fou furieux. Chaque jour, des rapatriés d’Algérie arrivent à Paris et grossissent la communauté pieds-noirs. Parmis eux, bon nombre de truands. Et ces nouveaux venus préfèrent se ranger du côté des Zemmour, la valeur montante du Faubourg Montmartre (haut-lieu de la prostitution), plutôt que chez les Atlan ou les Perret, dont le déclin est amorcé.
Mais bien que les « Z » soient désormais réputés à Paris, ils n’ont pas encore véritablement percés. Trop de fratries pieds-noirs dans le IXe. Et la plus génante, c’est celle des Atlan, suivit de près par les Perret.
Dès lors les Zemmour décident de se charger de ces personnes génantes. Le 2 octobre 1965, Sion Atlan est abattu dans un café-restaurant. Les regards se tournent vers les Perret, et les Zemmour font tout pour que la rumeur circule dans tous les coins de la capitale. Le plan marche : durant l’année 1966, les vengeurs de Sion Atlan mitraillent les deux frères Perret (sans concéquence) et tuent deux de leurs associers. Entre temps, le 2 décembre 1966, c’est le second Atlan, René, qui est tué. Appeurés et vieillissants, les Perret se retirent et vont s’installer dans l’ouest de la France. La voie est libre. Les Zemmour sont les nouveaux maîtres du Faubourg Montmartre.
Les Dalton parisiens
Les « Z » tranquilles, ils investissent dans le IXe, puis sortent des limites de leur arrondissement et deviennent les maîtres de toute la prostitution parisienne, contrôlants hôtels de passe, bars à putes et cabarets. Avec les bénéfices tirés du proxénétisme, ils investissent dans un Eros Center de Francfort et dans l ?immobilier à Paris.
William, marié, mène en apparence une vie rangée mais continue de diriger le clan, avec son frère Edgard. Celui-là aime à flamber, et le monde d’argent et de violence qu’est le milieu lui plaît. Gilbert fait, lui, bande à part. Marié et père de deux enfants, il est en quête d’honnorabilité et aimerait s’extraire de sa condition de voyou. Pour cela, il se met à acheter des affaires légales. Devenu un homme d’affaire avisé, il tient un restaurant et possède des parts dans trois night-club parisiens. Puis en 1970, il part vivre au Canada, se retirant ainsi complètement du milieu, et y monte une grosse compagnie immobilière. La fortune est au rendez-vous.
Avant cela, ne possédant qu ?un petit club de jeu à Montmartre (le Bridge Club), les Zemmour veulent se faire une place dans le jeu parisien. C ?est dans ce but qu ?ils se sont rapprochés de Marcel Francisci. En 1967, ils poussent ce dernier à relancer les hostilités contre son rival Jean-Baptiste Andréani. En plus d ?être lui aussi un roi du jeu parisien, il a eut l ?affront de refuser l ?aide que leur proposaient les frères pieds-noirs, préférant celle des deux frères Panzani. De la fin 1967 à l ?automne 1968, six corps tomberont. Et au final, les Zemmour se sépareront de Francisci.
Par ailleurs, les ?Z ? fournissent avec leurs associés Riwen Liwer et Roger Bacry des colleurs d ?affiches et des agents électoraux aux candidats gaullistes, ce qui leur permet d ?avoir des protections jusqu ?au début des années 70. Vers ce moment, William et Edgard tentent une implantation en Israël, en association avec les frères Abitbol. Ils veulent ouvrir des boîtes à Tel-Aviv, mais cette tentative est un échec. Ils abandonnent l’idée en 1972.
Pieds-Noirs contre Pseudo-Siciliens
En 1970, un membre du clan Zemmour, Roger Bacry, dit Petit Roger, propose aux « Z » de faire dans la came. Ces derniers refusent. Bacry, avec ses copains de la banlieue sud, dont entre autres Jean-Claude Vella, Marcel Gauthier et Daniel le Polonais, fait sécession et monte sa propre filière en association avec André Condemine. Le trafic tourne mal et la filière est démantelée. Bacry et compagnie reviennent penauds chercher du travail chez les Zemmour, qui rejettent leur réintégration. Dès lors, ils vont trouver du soutient chez des truands lyonnais, et se font appeler le « gang des siciliens ».
Les hostilités commencent en 1973. Le premier a tomber est Raphaël Dadoun, fidèle des « Z ». Pour cette seule année 73, on compte dix morts. En 1974, Bacry se suicide. Vella et Gauthier sont abattus respectivement en 1975 et en 1976. Le 2 février 1975, une fusillade au bar Laetitia visant les frères Panzani fait quatre blessés et un mort. Cette même année voit se dérouler un épisode des plus tragiques pour les Zemmour : le 28 février, William, Edgard et deux amis doivent s’expliquer avec des membres de la bande adverse au bar Thélème. La police, avertit, prévoit une fusillade et aperçoit les parrains parisiens. Dès lors, elle décide d’intervenir. Edgard les a vu et prévoit la riposte. Les policiers entrent dans le bar et tirent sans sommation. La fusillade fera deux morts : William et son garde du corps Joseph Elbaz. Edgard, lui, est grièvement blessé. Les combats s’étaleront jusqu’à la fin des années 70 et auront fait au total près de trente morts.
C’est le début de la fin pour les « Z ». Gilbert perd ses établissements parisiens ainsi qu’une partie de sa fortune du Canada. Les bien immobiliers de la prostitution qui étaient géré par William ferment, font faillites, sont rachetés... En 1976, une fois rétablit et après quelques mois de préventive, Edgard part se mettre au vert à Miami. Là-bas, il ouvre un restaurant et, acculé à la faillite, y met le feu.
En 1981 Edgard est de retour à Paris. Il veut récupérer un million de dollars que lui devrait Marcel Francisci. Ce dernier, menacé de mort, ne prend pas les menaces au sérieux. Pourtant, le 14 janvier 1981, il est abattu dans son parking. Edgard est innocenté mais préfère repartir vivre à Miami. Cela ne l’empêche pas, le 8 avril de la même année, d ?être tué dans sa villa de quatre coups de feu tirés par un tireur armé d ?un fusil à lunette caché à quatre cent mètres de là. Ce serait un ami de Francisci d ?un poids important au sein du Milieu, Paul Mondoloni, qui aurait envoyé l ?un de ses lieutenants, Gilbert le Libanais, abattre Edgard Zemmour. Le 28 juillet, c’est Gilbert qui s’écroule, abattu à Paris alors qu’il promène ses caniches.
À lire : « Les Derniers Seigneurs de la Pègre » de Le Taillanter.
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Meyer, Nessim et Mardoché El Maleh sont en prison, . Les trois frères sont soupçonnés d’être à la tête d’un réseau international mêlant habilement drogue et blanchiment d’argent. Chacun aurait eu un rôle spécifique qui permettait à l’ensemble du réseau de s’articuler : depuis la récolte de cannabis, dans le Rif marocain, jusqu’au blanchiment de l’argent à Genève, dans les banques les mieux introduites de la plaque financière suisse. Mardoché : Le cannabis parisien Mardoché aurait été le premier maillon de la chaîne. Il aurait organisé le trafic de drogue depuis le Maroc, en passant par l’Espagne, jusqu’à Paris. Là, le cannabis était vendu. L’enquête a permis d’établir que ce manège ne touchait pas la seule banlieue de Nanterre, mais une grande partie du marché du deal de cannabis parisien, rapporte Le Matin.ch. Mardoché aurait alors eu pour rôle de collecter tous les fonds retirés de la vente. Il aurait donné une partie de cet argent à de riches Français disposant de comptes illégaux en Suisse mais qui avaient besoin de liquidités. Meyer : La compensation financière En échange, Meyer Elmaleh, l’aîné des frères, aurait débité de leurs comptes suisses la somme équivalente à celle offerte en liquide par Mardoché. Ainsi, le transport d’argent en liquide de la Suisse vers la France n’était pas nécessaire, il ne quittait pas l’hexagone et la fraude fiscale des riches Français restait invisible. Simultanément, l’argent de la drogue ressortait blanchi par ce système de compensation. Meyer Elmaleh est un gestionnaire de fortune indépendant. Il était responsable, depuis 2010, de la société de gestion de fortune, GPF, dans le quartier de Rive, au centre de Genève. Cet établissement, créé par son beau-père il y a 35 ans, est réputé pour son sérieux sur la place financière. Nessim : HSBC GPF possède un compte chez la banque britannique HSBC de Genève, or le frère cadet Nessim Elmaleh, était employé pour cette banque. Il aurait utilisé sa position privilégiée dans l’établissement pour ouvrir des comptes et transférer les sommes d’argent retirés des comptes des évadés fiscaux. A partir de là, l’argent était réinvestit dans différentes affaires de la famille. Un quatrième membre de la famille possède un poste à la direction générale de la banque. Il n’aurait toutefois pas été inquiété par la justice. La spécificité de ce trafic de drogue réside dans son ampleur, dans la complexité du système financier qui blanchissait l’argent, mais aussi dans la faible connexion entre les deux. Meyer Elmaleh devrait jouer de cette faiblesse. Alors que lors de la perquisition de son domicile, la police genevoise a découvert 1,1 million d’euros en liquide et 160 montres de luxe, Me Stickel-Cicurel, son avocat fait savoir que son client « admet avoir fait ces opérations de compensation mais conteste avoir travaillé avec de l’argent issu d’un trafic de drogue
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
La nouvelle prend de l’ampleur : une conspiration ju.ive internationale kidnappe des enfants pour s’emparer de leurs organes. Une nouvelle affaire choquante révèle un complot israélien visant à récolter les organes d’enfants algériens.
L’affaire, publiée dans le quotidien algérien de langue arabe al-Khabar, rapporte qu’Interpol, l’organisation policière internationale, a révélé l’existence d’un ’gang ju.if’ qui était ’impliqué dans l’enlèvement d’enfants en Algérie et dans le trafic de leurs organes.’ Selon l’article, des groupes de marocains et algériens parcouraient les rues de villes algériennes, dans le but de chasser de jeunes enfants. Ils faisaient ensuite le trafic de ces enfants de l’autre côté de la frontière du Maroc voisin. Les enfants étaient ensuite vendus à des ju.ifs israéliens et américains à Oujda, la capitale du Maroc de l’Est, afin de prendre les organes pour Israël et les Etats-Unis. L’article se base sur les déclarations de Mustafa Khayatti, directeur du Comité National Algérien pour le Développement de la Recherche sur la Santé. Khayatti soutient que l’enlèvement des enfants en Algérie est lié aux arrestations faites à New York et dans le New Jersey à la fin du mois de juillet, dans lesquelles plusieurs hommes ju.ifs ont été arrêtés dans le cadre d’une enquête sur le trafic illicite d’organes et la corruption politique. L’affaire est dans la lignée de l’article publié le mois dernier dans Aftonbladet, le quotidien suédois au plus fort tirage, qui suggérait que l’armée israélienne enlevait et tuait de jeunes palestiniens pour récoler leurs organes. L’article faisait la lumière sur le cas de Bilal Ahmed Ghanem, un jeune homme palestinien de 19 ans, qui a été abattu en 1992 par les forces israéliennes à Imatin, un village de Cisjordanie. Bostrom, qui a assisté à l’assassinat de l’homme, a dit que le corps de Ghanem a été enlevé suite à la fusillade et a été rapporté à minuit — pendant un couvre-feu imposé — quelques jours plus tard par l’armée israélienne avec une incision de l’estomac jusqu’au cou qui n’a jamais été recousue. Bostrom a soutenu qu’une autopsie était nécessaire si la cause de la mort n’était pas apparente, tandis que pour ce cas il était clair que Bilal avait été abattu. Après cet incident, au moins 20 familles palestiniennes ont dit à Bostrom qu’elles soupçonnaient l’armée israélienne d’avoir pris les organes de leurs fils après leur assassinat, et l’enlèvement de leurs corps.
L’affaire, publiée dans le quotidien algérien de langue arabe al-Khabar, rapporte qu’Interpol, l’organisation policière internationale, a révélé l’existence d’un ’gang ju.if’ qui était ’impliqué dans l’enlèvement d’enfants en Algérie et dans le trafic de leurs organes.’ Selon l’article, des groupes de marocains et algériens parcouraient les rues de villes algériennes, dans le but de chasser de jeunes enfants. Ils faisaient ensuite le trafic de ces enfants de l’autre côté de la frontière du Maroc voisin. Les enfants étaient ensuite vendus à des ju.ifs israéliens et américains à Oujda, la capitale du Maroc de l’Est, afin de prendre les organes pour Israël et les Etats-Unis. L’article se base sur les déclarations de Mustafa Khayatti, directeur du Comité National Algérien pour le Développement de la Recherche sur la Santé. Khayatti soutient que l’enlèvement des enfants en Algérie est lié aux arrestations faites à New York et dans le New Jersey à la fin du mois de juillet, dans lesquelles plusieurs hommes ju.ifs ont été arrêtés dans le cadre d’une enquête sur le trafic illicite d’organes et la corruption politique. L’affaire est dans la lignée de l’article publié le mois dernier dans Aftonbladet, le quotidien suédois au plus fort tirage, qui suggérait que l’armée israélienne enlevait et tuait de jeunes palestiniens pour récoler leurs organes. L’article faisait la lumière sur le cas de Bilal Ahmed Ghanem, un jeune homme palestinien de 19 ans, qui a été abattu en 1992 par les forces israéliennes à Imatin, un village de Cisjordanie. Bostrom, qui a assisté à l’assassinat de l’homme, a dit que le corps de Ghanem a été enlevé suite à la fusillade et a été rapporté à minuit — pendant un couvre-feu imposé — quelques jours plus tard par l’armée israélienne avec une incision de l’estomac jusqu’au cou qui n’a jamais été recousue. Bostrom a soutenu qu’une autopsie était nécessaire si la cause de la mort n’était pas apparente, tandis que pour ce cas il était clair que Bilal avait été abattu. Après cet incident, au moins 20 familles palestiniennes ont dit à Bostrom qu’elles soupçonnaient l’armée israélienne d’avoir pris les organes de leurs fils après leur assassinat, et l’enlèvement de leurs corps.
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Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Des ju.ifs sionistes trafiquants d’ovocytes Des fanatiques menés par des extrémistes ju.ifs vivant aux crochets de la société roumaine ont exaspéré la population roumaine lorsque ces derniers ont découvert un monstrueux trafique d’ovocytes humains. 30 ju.ifs sionistes menés par des rabbins ont été arrêtés sous les preuves de trafiques d’ovocytes en Roumanie. Ils payaient leurs victimes pour s’enrichir du trafique d’humain. Voici comment les fanatiques ju.ifs sionistes gagnent leur vie sur le dos de pauvres occidentaux. Ils ont d’ailleurs été arrêtés dans une clinique de fertilité de Bucarest.
Après l’opération d’escroquerie de madoff, l’opération vidange des comptes d’association par dray selon le rapport, le monstrueux centre de cinq rabbins trafiquants d’organes, nous retrouvons donc d’autres ju.ifs sionistes dans le trafiques d’ovocytes en Roumanie.
Parmi ces 30 ju.ifs sionistes, 28 ont été libérés sous caution. Le porte parole du ministère des affaires étrangères yossi levi a confirmé ces arrestations et le paiement de la caution pour les 28 trafiquants d’ovocytes sur la radio ju.ifs sionistes « radio sionistan ». Il a d’ailleurs déclaré que l’ambassade du sionistan de Roumanie a collaboré avec les autorités locales.
Le porte parole levi a déclaré « nous avons pleinement confiance en la Roumanie »… bien sur que tu as confiance coco, tu ne peux faire autrement. A moins que ces dires voudraient suggérer que la justice puisse être indulgente parce que ce sont des ju.ifs sionistes.
Selon les medias roumains, une unité spéciale a perquisitionné la clinique et a arrêté des dizaines de personnes y compris les membres de gestion important de l’institution. La clinique était suspectée par la police sur un possible traitement des cellules souches et des ovocytes. Certaines femmes Ju.ives ont vendu leurs œufs dans cette clinique.
Selon le rapport de police, des femmes Ju.ives faisaient le trajet jusqu’en Roumanie dans cette clinique pour vendre leur ovules après un traitement de fertilité. Les femmes ont reçus des milliers de dollars pour la vente de leurs ovules, des œufs humains. Ce qui est illégale en Roumanie et d’ailleurs dans toutes l’Europe.
Le traitement in vitro est un processus sans frais, pris en charge par la santé et ne peut donc faire l’objet de trafique international ni national. Mais les femmes stériles, qui voulaient avoir des enfants étaient obligés de verser des sommes considérables pour recevoir ces ovules. Il y a quelques années, le gynécologue et professeur expert en fécondité zion ben raphael et rabbin du centre médical ont été reconnu coupable de vol d’œufs des patientes. Il a été constaté que leurs ovaires ont été stimulés par des médicaments pour qu’ils puissent produire un excédent d’œufs murs pour l’extraction.
La morale ju.ive sioniste : tous est de l’argent même les êtres humains…
Après l’opération d’escroquerie de madoff, l’opération vidange des comptes d’association par dray selon le rapport, le monstrueux centre de cinq rabbins trafiquants d’organes, nous retrouvons donc d’autres ju.ifs sionistes dans le trafiques d’ovocytes en Roumanie.
Parmi ces 30 ju.ifs sionistes, 28 ont été libérés sous caution. Le porte parole du ministère des affaires étrangères yossi levi a confirmé ces arrestations et le paiement de la caution pour les 28 trafiquants d’ovocytes sur la radio ju.ifs sionistes « radio sionistan ». Il a d’ailleurs déclaré que l’ambassade du sionistan de Roumanie a collaboré avec les autorités locales.
Le porte parole levi a déclaré « nous avons pleinement confiance en la Roumanie »… bien sur que tu as confiance coco, tu ne peux faire autrement. A moins que ces dires voudraient suggérer que la justice puisse être indulgente parce que ce sont des ju.ifs sionistes.
Selon les medias roumains, une unité spéciale a perquisitionné la clinique et a arrêté des dizaines de personnes y compris les membres de gestion important de l’institution. La clinique était suspectée par la police sur un possible traitement des cellules souches et des ovocytes. Certaines femmes Ju.ives ont vendu leurs œufs dans cette clinique.
Selon le rapport de police, des femmes Ju.ives faisaient le trajet jusqu’en Roumanie dans cette clinique pour vendre leur ovules après un traitement de fertilité. Les femmes ont reçus des milliers de dollars pour la vente de leurs ovules, des œufs humains. Ce qui est illégale en Roumanie et d’ailleurs dans toutes l’Europe.
Le traitement in vitro est un processus sans frais, pris en charge par la santé et ne peut donc faire l’objet de trafique international ni national. Mais les femmes stériles, qui voulaient avoir des enfants étaient obligés de verser des sommes considérables pour recevoir ces ovules. Il y a quelques années, le gynécologue et professeur expert en fécondité zion ben raphael et rabbin du centre médical ont été reconnu coupable de vol d’œufs des patientes. Il a été constaté que leurs ovaires ont été stimulés par des médicaments pour qu’ils puissent produire un excédent d’œufs murs pour l’extraction.
La morale ju.ive sioniste : tous est de l’argent même les êtres humains…
Invité- Invité
Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Lutter contre les trafics en tous genres dans les quartiers et dans la campagne, c’est aussi exposer le rôle de la haute finance.
Nous avons eu le scandale HSBC qui a révélé le blanchiment de l’argent de la drogue à grande échelle. HSBC a ouvert des guichets spéciaux dans ses locaux à Mexico, où les narcotrafiquants pouvaient déposer des caisses emplies d’argent liquide, pour faciliter le processus de blanchie ment.
L’auteur de Gomorrah, Roberto Saviano a pointé du doigt le rôle néfaste de la City de Londres de Wall Street de la filiale paradis fiscaux dans le blanchiment d’argent du trafic de drogue. Il souligne notamment que les banques britanniques et les services financiers ignorent délibérément la règle implicite qui prévaut dans la finance : « Connais tes clients ». Londres est devenu une véritable plaque tournante du trafic de drogue international.
En France, c’est la stupeur quand le reportage sur France 3, à propos du crédit mutuel et de sa filiale Pash, expose le rôle de la Banque « mutualiste » française dans le blanchiment d’argent liquide provenant de la mafia.
La sécurité, c’est une lutte acharnée contre la finance de l’ombre, le blanchiment d’argent. Les lois et les moyens doivent être mis en place pour lutter contre les criminels en col blanc.
Seul ce travail contre la base jusqu’au sommet du crime organisé pourra mettre à mal l’insécurité quotidienne, le trafic en tous genres, ainsi que le terrorisme.
Nous avons eu le scandale HSBC qui a révélé le blanchiment de l’argent de la drogue à grande échelle. HSBC a ouvert des guichets spéciaux dans ses locaux à Mexico, où les narcotrafiquants pouvaient déposer des caisses emplies d’argent liquide, pour faciliter le processus de blanchie ment.
L’auteur de Gomorrah, Roberto Saviano a pointé du doigt le rôle néfaste de la City de Londres de Wall Street de la filiale paradis fiscaux dans le blanchiment d’argent du trafic de drogue. Il souligne notamment que les banques britanniques et les services financiers ignorent délibérément la règle implicite qui prévaut dans la finance : « Connais tes clients ». Londres est devenu une véritable plaque tournante du trafic de drogue international.
En France, c’est la stupeur quand le reportage sur France 3, à propos du crédit mutuel et de sa filiale Pash, expose le rôle de la Banque « mutualiste » française dans le blanchiment d’argent liquide provenant de la mafia.
La sécurité, c’est une lutte acharnée contre la finance de l’ombre, le blanchiment d’argent. Les lois et les moyens doivent être mis en place pour lutter contre les criminels en col blanc.
Seul ce travail contre la base jusqu’au sommet du crime organisé pourra mettre à mal l’insécurité quotidienne, le trafic en tous genres, ainsi que le terrorisme.
Invité- Invité
Re: Une attaque au couteau aujourd'hui
Ancien commissaire MICHEL NEYRET « C’EST TRÈS DUR D’ENTRER DANS LA MAFIA ju.ive » BENNICHOU - _michel-neyret-c-est-tres-dur-d-entrer-dans-la-mafia-ju.ive-bennichou_news
La mafia ju.ive est la pègre la plus dangereuse du monde se servant des organismes d’état bien infiltrés par les ju.ifs sionistes ,des criminels sans état d’ame, dont les agences des services secrets.sarko en est un bel exemple formé par la mafia corse et la cia,sa mère étant en seconde noce avec l’ex directeur de la cia
La mafia ju.ive est la pègre la plus dangereuse du monde se servant des organismes d’état bien infiltrés par les ju.ifs sionistes ,des criminels sans état d’ame, dont les agences des services secrets.sarko en est un bel exemple formé par la mafia corse et la cia,sa mère étant en seconde noce avec l’ex directeur de la cia
Invité- Invité
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