1930 contre la collectivisation forcée.
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1930 contre la collectivisation forcée.
https://www.marxists.org/francais/general/staline/works/1930/vertige.htm
Ou bien prenons telles régions du Turkestan où les conditions favorables à l’organisation immédiate des kolkhoz sont encore moins nombreuses que dans les régions septentrionales de la zone consommatrice.
On sait que dans une série de régions du Turkestan, des tentatives ont déjà été faites pour «rejoindre et dépasser» les régions avancées de l’U.R.S.S., en menaçant de faire intervenir la force armée, en menaçant de priver d’eau d’irrigation et ide produits manufacturés les paysans qui, pour l’instant, ne veulent pas entrer au kolkhoz.
Que peut-il y avoir de commun entre cette «politique» du sous-off Prichibéev [Le sous-off Prichibéev, type du soudard qui, sans en être chargé, prétend veiller à l’ordre et aux mœurs. Personnage d’un récit homonyme de A. Tchékhov. (N. des Trad.)] et la politique du Parti, qui s’appuie sur la libre adhésion et la prise en considération des particularités locales en construisant les kolkhoz ?
Il est clair qu’il n’y a et qu’il ne peut y avoir rien de commun entre elles.A qui profitent ces déformations, cette proclamation à coups de décrets bureaucratiques du mouvement kolkhozien, ces menaces indignes contre les paysans ?
A personne, si ce n’est à nos ennemis !
Ou bien prenons telles régions du Turkestan où les conditions favorables à l’organisation immédiate des kolkhoz sont encore moins nombreuses que dans les régions septentrionales de la zone consommatrice.
On sait que dans une série de régions du Turkestan, des tentatives ont déjà été faites pour «rejoindre et dépasser» les régions avancées de l’U.R.S.S., en menaçant de faire intervenir la force armée, en menaçant de priver d’eau d’irrigation et ide produits manufacturés les paysans qui, pour l’instant, ne veulent pas entrer au kolkhoz.
Que peut-il y avoir de commun entre cette «politique» du sous-off Prichibéev [Le sous-off Prichibéev, type du soudard qui, sans en être chargé, prétend veiller à l’ordre et aux mœurs. Personnage d’un récit homonyme de A. Tchékhov. (N. des Trad.)] et la politique du Parti, qui s’appuie sur la libre adhésion et la prise en considération des particularités locales en construisant les kolkhoz ?
Il est clair qu’il n’y a et qu’il ne peut y avoir rien de commun entre elles.A qui profitent ces déformations, cette proclamation à coups de décrets bureaucratiques du mouvement kolkhozien, ces menaces indignes contre les paysans ?
A personne, si ce n’est à nos ennemis !
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
Re: 1930 contre la collectivisation forcée.
Dans l’artel agricole sont collectivisés les principaux moyens de production, notamment ceux qui servent à la culture des céréales : le travail, la jouissance du sol, les machines et autre matériel, les bêtes de trait, les dépendances.
N’y sont pas collectivisés les terres attenant aux fermes (petits potagers, jardinets), les habitations, une partie du bétail laitier, le menu bétail, la volaille, etc. L’artel est le maillon principal du mouvement kolkhozien parce qu’elle est la forme la plus rationnelle, permettant de résoudre le problème des céréales.
Or, le problème des céréales est le maillon principal dans tout le système de l’agriculture, parce que sans l’avoir résolu il est impossible de résoudre ni le problème de l’élevage (gros et petit bétail), ni le problème des cultures industrielles et spéciales qui fournissent les principales matières premières à l’industrie. Voilà pourquoi l’artel agricole est actuellement le principal maillon dans le système du mouvement kolkhozien.
C’est là-dessus que se base le «statut-type» des kolkhoz, dont le texte définitif est publié aujourd’hui. (Pravda, 2 mars 1930.) C’est là-dessus également que doivent se baser nos travailleurs du Parti et des administrations soviétiques. Un de leurs devoirs est d’étudier ce statut quant au fond, et de l’appliquer jusqu’au bout.
A qui profite cette précipitation absurde et nuisible pour la cause ? Irriter le paysan kolkhozien par la «collectivisation» des habitations, de tout le bétail laitier, de tout le petit bétail, de la volaille, alors que le problème des céréales n’est pas encore résolu, alors que la forme-artel des kolkhoz n’est pas encore consolidée, — n’est-il pas clair qu’une telle «politique» ne peut être agréable et avantageuse qu’à nos ennemis jurés ?
Un de ces «collectivisateurs» zélés en arrive même à lancer un ordre à l’artel prescrivant d’ «inventorier, dans un délai de trois jours, toute la volaille de chaque ferme», d’établir la fonction de «commandants» spéciaux pour l’enregistrement et la surveillance, d’ «occuper dans l’artel les postes de commande», de «diriger le combat socialiste sans abandonner les postes», et — la chose est claire — de tenir l’artel fermement en mains.
Qu’est-ce donc ? Une politique de direction du kolkhoz ou une politique de sa décomposition et de son discrédit ? Je ne parle même
pas de ces «révolutionnaires», s’il est permis de les appeler ainsi, qui, pour organiser une artel, commencent par décrocher les cloches des églises. Décrocher les cloches, pensez donc comme c’est révolutionnaire !
Comment ont pu se produire dans notre milieu ces pratiques brouillonnes en matière de «collectivisation», ces tentatives grotesques de vouloir sauter par-dessus soi-même, tentatives ayant pour but de passer outre aux classes et à la lutte de classes, mais qui, en réalité, portent l’eau au moulin de nos ennemis de classes ? Elles n’ont pu se produire que dans l’atmosphère de nos succès «faciles» et «inopinés» sur le front de construction des kolkhoz.
Elles n’ont pu se produire que par suite ides tendances brouillonnes qui se manifestent dans les rangs de certaines couches du Parti : «Nous pouvons tout !», «Il ne nous en coûte rien !»
Elles n’ont pu se produire que parce que les succès ont donné le vertige à quelques-uns de nos camarades, qui ont perdu un instant la lucidité d’esprit et la saine compréhension des choses.
Pour redresser la ligne de notre travail en matière de construction des kolkhoz, il faut mettre un terme à ces tendances.
C’est là maintenant une des tâches immédiates du Parti.
L’art de la direction est chose sérieuse. Il ne faut pas rester en arrière du mouvement, car rester en arrière c’est se détacher des masses.
Mais il ne faut pas non plus courir trop vite, car courir trop vite c’est perdre la liaison avec les masses. Celui qui veut diriger le mouvement et conserver en même temps la liaison avec les masses innombrables, doit mener la lutte sur deux fronts — et contre les retardataires, et contre ceux qui courent trop vite.
N’y sont pas collectivisés les terres attenant aux fermes (petits potagers, jardinets), les habitations, une partie du bétail laitier, le menu bétail, la volaille, etc. L’artel est le maillon principal du mouvement kolkhozien parce qu’elle est la forme la plus rationnelle, permettant de résoudre le problème des céréales.
Or, le problème des céréales est le maillon principal dans tout le système de l’agriculture, parce que sans l’avoir résolu il est impossible de résoudre ni le problème de l’élevage (gros et petit bétail), ni le problème des cultures industrielles et spéciales qui fournissent les principales matières premières à l’industrie. Voilà pourquoi l’artel agricole est actuellement le principal maillon dans le système du mouvement kolkhozien.
C’est là-dessus que se base le «statut-type» des kolkhoz, dont le texte définitif est publié aujourd’hui. (Pravda, 2 mars 1930.) C’est là-dessus également que doivent se baser nos travailleurs du Parti et des administrations soviétiques. Un de leurs devoirs est d’étudier ce statut quant au fond, et de l’appliquer jusqu’au bout.
A qui profite cette précipitation absurde et nuisible pour la cause ? Irriter le paysan kolkhozien par la «collectivisation» des habitations, de tout le bétail laitier, de tout le petit bétail, de la volaille, alors que le problème des céréales n’est pas encore résolu, alors que la forme-artel des kolkhoz n’est pas encore consolidée, — n’est-il pas clair qu’une telle «politique» ne peut être agréable et avantageuse qu’à nos ennemis jurés ?
Un de ces «collectivisateurs» zélés en arrive même à lancer un ordre à l’artel prescrivant d’ «inventorier, dans un délai de trois jours, toute la volaille de chaque ferme», d’établir la fonction de «commandants» spéciaux pour l’enregistrement et la surveillance, d’ «occuper dans l’artel les postes de commande», de «diriger le combat socialiste sans abandonner les postes», et — la chose est claire — de tenir l’artel fermement en mains.
Qu’est-ce donc ? Une politique de direction du kolkhoz ou une politique de sa décomposition et de son discrédit ? Je ne parle même
pas de ces «révolutionnaires», s’il est permis de les appeler ainsi, qui, pour organiser une artel, commencent par décrocher les cloches des églises. Décrocher les cloches, pensez donc comme c’est révolutionnaire !
Comment ont pu se produire dans notre milieu ces pratiques brouillonnes en matière de «collectivisation», ces tentatives grotesques de vouloir sauter par-dessus soi-même, tentatives ayant pour but de passer outre aux classes et à la lutte de classes, mais qui, en réalité, portent l’eau au moulin de nos ennemis de classes ? Elles n’ont pu se produire que dans l’atmosphère de nos succès «faciles» et «inopinés» sur le front de construction des kolkhoz.
Elles n’ont pu se produire que par suite ides tendances brouillonnes qui se manifestent dans les rangs de certaines couches du Parti : «Nous pouvons tout !», «Il ne nous en coûte rien !»
Elles n’ont pu se produire que parce que les succès ont donné le vertige à quelques-uns de nos camarades, qui ont perdu un instant la lucidité d’esprit et la saine compréhension des choses.
Pour redresser la ligne de notre travail en matière de construction des kolkhoz, il faut mettre un terme à ces tendances.
C’est là maintenant une des tâches immédiates du Parti.
L’art de la direction est chose sérieuse. Il ne faut pas rester en arrière du mouvement, car rester en arrière c’est se détacher des masses.
Mais il ne faut pas non plus courir trop vite, car courir trop vite c’est perdre la liaison avec les masses. Celui qui veut diriger le mouvement et conserver en même temps la liaison avec les masses innombrables, doit mener la lutte sur deux fronts — et contre les retardataires, et contre ceux qui courent trop vite.
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
Re: 1930 contre la collectivisation forcée.
Tu fait la pub pour les nostalgique staliniens?
Quel est ton but ?
Quel est ton but ?
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
Date d'inscription : 13/12/2022
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Localisation : Lucciana
Re: 1930 contre la collectivisation forcée.
Rétablir les vérités historiques que les trotskard, capitaloches et autres essayent de masquer.
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
Re: 1930 contre la collectivisation forcée.
Sauf que ce sont justement les trotskards comme tu dis qui les ont dévoilés, ils ont même été assassinés pour celà:Revanchisti a écrit:Rétablir les vérités historiques que les trotskard, capitaloches et autres essayent de masquer.
https://www.marxists.org/francais/trotsky/livres/revtrahie/frodcp.htm
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
Date d'inscription : 13/12/2022
Age : 81
Localisation : Lucciana
Re: 1930 contre la collectivisation forcée.
Ou alors ils participent à la propagande bourgeoise.
Là on est sur un texte de Staline qui ferait faire plus d'un AVC aux trotskards.
Là on est sur un texte de Staline qui ferait faire plus d'un AVC aux trotskards.
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
Re: 1930 contre la collectivisation forcée.
Si les millions de morts te réjouissent....pasmoi!Revanchisti a écrit:Ou alors ils participent à la propagande bourgeoise.
Là on est sur un texte de Staline qui ferait faire plus d'un AVC aux trotskards.
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
Date d'inscription : 13/12/2022
Age : 81
Localisation : Lucciana
Re: 1930 contre la collectivisation forcée.
Source pour les Millions de mort que Staline a tué personnellement?
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
Re: 1930 contre la collectivisation forcée.
pourquoi tu dis personnellement , tu sais très bien que Staline avait le role pourri de donner les ordres et de s'en laver les mains!Revanchisti a écrit:Source pour les Millions de mort que Staline a tué personnellement?
Quel jeu tu joue Revanchisti ?
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
Date d'inscription : 13/12/2022
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Localisation : Lucciana
Re: 1930 contre la collectivisation forcée.
Revanchisti a écrit:Source pour les Millions de mort que Staline a tué personnellement?
C'est historiquement reconnu et démontré, Staline a tué 20 millions de personnes. Staline était un sadique, un boucher, un hystérique. Quelques extraits des faits et persécutions de ce monstre:
Staline
Paranoïas d'un tueur
"La plus éminente médiocrité du Parti",dixit son rival Trotski. Un cas psychiatrique atteint d'"hystérie" et de "folie de la persécution", selon son successeur Nikita Khrouchtchev, liquidateur des crimes du stalinisme.
Ce gangster du Caucase a grandi dans une atmosphère de conspiration et de violence mythifiée. Bolchevique à la vie et surtout à la mort, "La mort résout tous les problèmes. Plus d'homme, plus de problème", aurait théorisé celui à qui on attribue la paternité de plus de 20 millions de décès prématurés, auxquels il faut ajouter 28 millions de déportations. Staline ne niait pas un penchant pour le sadisme : "Le plus grand plaisir, c'est de choisir son ennemi, préparer son coup, assouvir sa vengeance, puis aller se coucher."
L'"absurde" famine ukrainienne ? L'occasion de briser les koulaks et de collectiviser les terres. Les innombrables déportations pour conspiration ? Un moyen d'attribuer aux "saboteurs" fantasmés les couacs de l'économie socialiste. Les procès de Moscou ? Une mise en scène - Staline est allé jusqu'à écrire le texte du procureur - destinée à se débarrasser de la vieille garde du Parti.
Conspirateur-né, Staline va jusqu'à amasser des preuves pendant onze mois pour faire arrêter son propre médecin de famille !
Staline a été l'un des artisans les plus sanguinaires de l'immonde saloperie communiste... mais derrière Mao, à qui l'on prête 70 millions de morts.
https://www.lepoint.fr/societe/les-quatre-sanguinaires-04-08-2011-1361749_23.php
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: 1930 contre la collectivisation forcée.
Ni l'un ni l'autre ne battront Hitler cet immonde capitaliste qui a fait 85 millions de morts en 5 ans.Staline a été l'un des artisans les plus sanguinaires de l'immonde saloperie communiste... mais derrière Mao, à qui l'on prête 70 millions de morts.
Franck Dikötter, historien de l’université de Hongkong, estime que 45 millions de Chinois ont péri dans la famine de 1958 à 1962 résultant du Grand Bond en avant, avec des millions d'entre eux battus à mort, un bilan selon lui comparable à la totalité de la Seconde Guerre mondiale ce qui fait parfois dire que « Mao avec Staline et Hitler est l’un des plus grands meurtriers de masse du xxe siècle »
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
Date d'inscription : 13/12/2022
Age : 81
Localisation : Lucciana
Re: 1930 contre la collectivisation forcée.
Dédé 2B a écrit:Ni l'un ni l'autre ne battront Hitler cet immonde capitaliste qui a fait 85 millions de morts en 5 ans.Staline a été l'un des artisans les plus sanguinaires de l'immonde saloperie communiste... mais derrière Mao, à qui l'on prête 70 millions de morts.
Franck Dikötter, historien de l’université de Hongkong, estime que 45 millions de Chinois ont péri dans la famine de 1958 à 1962 résultant du Grand Bond en avant, avec des millions d'entre eux battus à mort, un bilan selon lui comparable à la totalité de la Seconde Guerre mondiale ce qui fait parfois dire que « Mao avec Staline et Hitler est l’un des plus grands meurtriers de masse du xxe siècle »
Tu exagères des deux côtés, en minimisant le nombre de morts chez Mao et en exagérant les victimes des nazis, estimés par les historiens à 25 millions (cf ci-dessous).
Comme tous les communards, tu veux minimiser, plariste également, le nombre de victimes du communisme, évalué au moins à 100 millions de victimes. Je n'en comprends pas la raison et rien ne sert de minimiser les horreurs que furent à tous égards les holocaustes nazis et communistes, la palme de l'horreur en nombre revenant manifestement au communisme, qui a fait 4 fois plus de victimes environ que le nazisme. Peu importe le nombre, seule doit être soulignée dans les deux cas l'horreur et le martyr qu'ont souffert les victimes de ces totalitarismes.
Pourquoi n'adoptes-tu pas, comme certains communistes le font, le biais de considérer que les dictatures soviétiques, staliniennes et autres des régimes communistes étaient toutes le fait de dictateurs et de malades et non du communisme en lui-même. C'est ça la bonne stratégie et non de verser dans négationnisme imbécile de bas étage.
Enfin, il est à mon sens scandaleux qu'il existe encore aujourd'hui des partis qui se disent communistes et assimilés et des partis ou groupuscules qui se réfèrent aux "valeurs" socialistes, condamnées à jamais par les génocides, assassinats, meurtres, tortures et martyrs de tous ordres des peuples qui ont dû subir par la force le joug communiste.
Depuis plus de 70 ans, les régimes socialistes sont partout en déclin dans le monde et si les conversions entre socialisme et capitalisme se sont comptées par dizaines depuis lors, y compris et surtout celles des deux têtes de pont de ce régime, la Chine et l'URSS, il n'y a eu aucune conversion de sens contraire.
C'est ce constat qui me fait dire qu'on ne peut conjuguer le marxisme et le socialisme qu'au passé et s'y intéresser sur un plan historique, mais en aucun cas il ne peut être une option pour l'avenir
https://www.lepoint.fr/societe/les-quatre-sanguinaires-04-08-2011-1361749_23.php
https://www.courrierinternational.com/sujet/adolf-hitler
https://www.letemps.ch/culture/ecrans/mort-entre-staline-hitler
https://share.america.gov/fr/lamerique-rend-hommage-100-millions-de-victimes-du-communisme/
https://www.lexpress.fr/monde/europe/le-bilan-des-crimes-communistes_497981.html
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: 1930 contre la collectivisation forcée.
Sauf qu'il n'y a jamais eu de systeme économique et politique socialiste et communiste dans le monde (*), que ce soit Staline ou Mao ils détenaient un povoir de capitalisme d'Etat! Du reste ces deux pays le sont TOUJOURS, d'où les liens étroits de nos capitalistes occientaux avec ces régimes, demande a ton amie Marine Le Pen qui posséde avec son père les actions majoritaires de Holcine, une entreprise qui fricote avec la Russie et la Chine, d'où leurs poignées de mains!C'est ce constat qui me fait dire qu'on ne peut conjuguer le marxisme et le socialisme qu'au passé et s'y intéresser sur un plan historique, mais en aucun cas il ne peut être une option pour l'avenir
(*) A moins que tu me le prouve.
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
Date d'inscription : 13/12/2022
Age : 81
Localisation : Lucciana
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