Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
""""ce suisse n'est pas fiable à mes yeux , mais je peut me tromper!""""
Ce doit être le cas ...
Ce doit être le cas ...
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Horiel a écrit:Revanchisti a écrit:Mais ça c'est vieux, selon History Legend les Russes dégomment des Bradley depuis l’année dernière et les léopards et Lerclerc depuis le printemps dernier.
Il n'est pas un secret que ces pays ont livré de faibles quantités de chars à Kiev.
Mais vu les quantités on en refera pas Koursk.
... On se demande d'ailleurs comment la "deuxième armée du monde" patine lamentablement et se fait tenir en échec par une nation moins peuplée, moins riche et moins agressive
Décidément, la Russie, c'est une vaste blague.
Horiel ne pas omettre que l'Ukraine est aidée par les USA, qui les USA sont gouvernés par Biden,
L'Ukraine reçoit également appui et aide de certains pays d'Europe. Et pourtant l'Ukraine n'est pas dans l'Europe.
La Russie ne demande pas d'aide extérieure.
Charlotte d'Ortega- Impétrant
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
L'info fut rapportée par de nombreux journaux.
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L'Allemagne ne va pas approuver , mais ...
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Charlotte d'Ortega- Impétrant
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
ce suisse a pris sa position pro poutine dans ce cas , comme vous "peut être" ,et donc à ce stade un souteneur de la maffia russe !!!Vladimir de Volog красны a écrit:""""ce suisse n'est pas fiable à mes yeux , mais je peut me tromper!""""
Ce doit être le cas ...
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Frère Barnabé a écrit:ce suisse a pris sa position pro poutine dans ce cas , comme vous "peut être" ,et donc à ce stade un souteneur de la maffia russe !!!Vladimir de Volog красны a écrit:""""ce suisse n'est pas fiable à mes yeux , mais je peut me tromper!""""
Ce doit être le cas ...
Bon ça va le chrétien pas vraiment chrétien, rien à braire de tes états d'âme.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Frère Barnabé a écrit:ce suisse a pris sa position pro poutine dans ce cas , comme vous "peut être" ,et donc à ce stade un souteneur de la maffia russe !!!Vladimir de Volog красны a écrit:""""ce suisse n'est pas fiable à mes yeux , mais je peut me tromper!""""
Ce doit être le cas ...
Rien à voir avec la Suisse, l'information fut reprise par de nombreux journaux.
Charlotte d'Ortega- Impétrant
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Clavier a écrit:Horiel a écrit:... On se demande d'ailleurs comment la "deuxième armée du monde" patine lamentablement et se fait tenir en échec par une nation moins peuplée, moins riche et moins agressive
Si on examine de près - ce qui n'est pas ton cas - la situation actuelle on s'apercevra que l'armée russe affronte l'ensemble de l'OTAN tout en évitant de mobiliser toute sa population ....pour n'utiliser que son armée de professionels et de volontaires
Si au lieu de t'abreuver au lait de la propagande de LCI ,tu te renseignais auprès de personnes moins suspectes de mentir ( comme les médias US et je n'ose même pas mentionner Moreau à Moscou !), tu saurais que les Russes préfèrent la défensive à l'attaque bien moins coûteuse en pertes humaines ......
Le conflit va tourner à la guerre de Corée mais c'est l'Europe qui va la payer jusqu'à ce qu'on se décide à changer nos élites dirigeantes pour en élire de moins ...défoncées
!
Volog comme d'hab reprend la propagande de la télé russe. Ils ont sorti ce truc, une mensonge gros comme ça, pour essayer de contrer leur bourde d'avoir envoyé un drone dans un pays de l'OTAN, la Roumanie, qui vient d'annoncer qu'ils vont couvrir de leur défense l'espace Ukrainien sur 30km (ce qui va par ailleurs permettre aux navires de blé ukrainiens de passer sur le Danube). A noter que cette propagande à destination des russes, dit carrément que le pilote était dans un uniforme de la Bundeswehr... plus c'est gros, plus ça passe, alors que ça aurait pu être un volontaire allemand, ancien militaire, comme il y a un tas de français volontaires, que l'Allemagne n'aurait pas été impliquée et qu'elle n'aurait pas envoyé elle-même... la propagande russe c'est devenu du no limite, comme en Afrique contre la France. Cette affaire est une fabrication totale de la télé russe.
Pour info, niveau pertes, pour les russes dans les tranchées, ça tourne au massacre. Et ils les remplacent par milliers en continu. Les Ukrainiens balancent des munitions à fragmentation et ça nettoie complètement ces tranchées. Les russes en sont à envoyer des paras dans les tranchées (qui font savoir leur mécontentement sur les réseaux sociaux). Depuis un mois que les ukrainiens nettoient les tranchées russes, on estime à 4 soldats morts russes pour 1 ukrainien, malgré les prises de risques ukrainiennes dans les percées au sol. Depuis le début estime à plus de 300 000 soldats russes morts contre 100 000 ukrainiens maximum mais au moins 150 000 civils ukrainiens, sans prendre en compte les déportés.
On compte plus les estropiés. L'ensemble est en train de dépasser les chiffres des tranchées de la première guerre mondiale de ces pays. Et il y en avait eu comme en France.
Les chiffres officiels estimatifs OTAN qui décomptent les morts avérés avec preuves documentées, de même que les estimations ukrainiennes qui décomptent eux-mêmes sur le terrain sont inférieurs à la réalité, de façon avouée. Quand aux chiffres russes, ils relèvent des affabulations de leur propagande.
Jeannot Lapin- Sage
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
L'Ukraine n'est pas en Europe. C'est nouveau ça. Il faut revoir votre géographie. L'Arménie est en Europe aussi, bien plus à l'Est, et une bonne partie de la Russie aussi.Charlotte d'Ortega a écrit:Horiel a écrit:Revanchisti a écrit:Mais ça c'est vieux, selon History Legend les Russes dégomment des Bradley depuis l’année dernière et les léopards et Lerclerc depuis le printemps dernier.
Il n'est pas un secret que ces pays ont livré de faibles quantités de chars à Kiev.
Mais vu les quantités on en refera pas Koursk.
... On se demande d'ailleurs comment la "deuxième armée du monde" patine lamentablement et se fait tenir en échec par une nation moins peuplée, moins riche et moins agressive
Décidément, la Russie, c'est une vaste blague.
Horiel ne pas omettre que l'Ukraine est aidée par les USA, qui les USA sont gouvernés par Biden,
L'Ukraine reçoit également appui et aide de certains pays d'Europe. Et pourtant l'Ukraine n'est pas dans l'Europe.
La Russie ne demande pas d'aide extérieure.
Par ailleurs je fais remarquer que de tout temps un pays injustement attaqué à reçu de l'aide d'autres pays ne serait-ce que pour réparer cette injustice et lui permettre de se défendre. Un attitude qui remonte à la nuit des temps.
Et puis mettez des lunettes : la Russie est l'attaquant et l'occupant et elle demande de l'aide extérieure directe à l'Iran (ses seules armes efficace à ce jour) et à la Corée du Nord. La Chine semble se retenir, du moins officiellement. Elle compte les points, avec l'objectif probable de récupérer un jour la Mandchourie.
Dernière édition par Jeannot Lapin le Lun 2 Oct 2023 - 13:30, édité 2 fois
Jeannot Lapin- Sage
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EUKINI et Roussel aiment ce message
Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Frère Barnabé a écrit:Vladimir de Volog красны a écrit:Jacques Baud: “Les Ukrainiens ne veulent plus se battre”ce suisse n'est pas fiable à mes yeux , mais je peut me tromper!
en tout cas sa position n'est pas neutre , il devrait aussi donner sa position sur poutine et sa clique !!!
Vous vous trompez pas. C'est un propagandiste pro-russe. Ca me rappelle ces centre-gauche de l'époque soviétique : plutôt rouge que mort. Et il en a l'age.
La Suisse a toujours navigué en eaux troubles pour ce qui est de défendre sa neutralité pour tirer profit des conflits.
Jeannot Lapin- Sage
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Charlotte d'Ortega a écrit:L'info fut rapportée par de nombreux journaux.
Sources
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L'Allemagne ne va pas approuver , mais ...
Vous reprenez des sources qui démentent l'intox russe, la même. Donc vous ne fournissez en faite aucune autre source que la propagande mensongère russe.
Jeannot Lapin- Sage
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
La Russie ne demande pas d'aide extérieure.
Et pourtant Dieu combien de Nord Coréen Fanatisés gavés d’images de propagande montrant le génocide du peuple Coréen rap les américains et la dictature fasciste fantoche mise en place par les yankees voduraient y aller.
Tu leur montre des immages d’exactions de bataillons de représailles, et tu leur dit "eux sont soutenu par les Yankee" et les mecs ils y vont.
Vont être motivé moi je vous le dit.
L'Armée populaire de Corée (APC) est la force armée de la Corée du Nord. Il s'agit de la quatrième plus importante armée du monde en effectifs avec 1 125 000 militaires actifs et 9 500 000 réservistes et la première en nombre de militaires pour 1 000 habitants (49,03).
Aïdar va douiller.
Alors niveau aviations ils ont que des vieux MIG, mais ça reste solide, pas fiable mais solide, si la défense aérienne est faible ils devraient pouvoir faire le café.
Par contre ils ont pas mals de Katyioucha, et niveau char ça date un peu mais c'est fonctionnel.
Protéges ça avec un peu de DCA et ils sont bon pour l'offensive.
Masse de véhicules de transport légers pour appuyer l’infanterie dans les villes et puis c'est bon.
2 corps d’infanterie, un corps mécanisé un d’artillerie et un peu d'aérien et c'est bon.
Revanchisti- Vénérable
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Jeannot Lapin a écrit:Charlotte d'Ortega a écrit:L'info fut rapportée par de nombreux journaux.
Sources
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L'Allemagne ne va pas approuver , mais ...
Vous reprenez des sources qui démentent l'intox russe, la même. Donc vous ne fournissez en faite aucune autre source que la propagande mensongère russe.
€uronews de l'intoxe Russe?
Le journal de BHL aussi habon? J’espère pour vous que le ridicule ne tue pas.
Revanchisti- Vénérable
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Jeannot Lapin a écrit:L'Ukraine n'est pas en Europe. C'est nouveau ça. Il faut revoir votre géographie. L'Arménie est en Europe aussi, bien plus à l'Est, et une bonne partie de la Russie aussi.Charlotte d'Ortega a écrit:Horiel a écrit:Revanchisti a écrit:Mais ça c'est vieux, selon History Legend les Russes dégomment des Bradley depuis l’année dernière et les léopards et Lerclerc depuis le printemps dernier.
Il n'est pas un secret que ces pays ont livré de faibles quantités de chars à Kiev.
Mais vu les quantités on en refera pas Koursk.
... On se demande d'ailleurs comment la "deuxième armée du monde" patine lamentablement et se fait tenir en échec par une nation moins peuplée, moins riche et moins agressive
Décidément, la Russie, c'est une vaste blague.
Horiel ne pas omettre que l'Ukraine est aidée par les USA, qui les USA sont gouvernés par Biden,
L'Ukraine reçoit également appui et aide de certains pays d'Europe. Et pourtant l'Ukraine n'est pas dans l'Europe.
La Russie ne demande pas d'aide extérieure.
Par ailleurs je fais remarquer que de tout temps un pays injustement attaqué à reçu de l'aide d'autres pays ne serait-ce que pour réparer cette injustice et lui permettre de se défendre. Un attitude qui remonte à la nuit des temps.
Et puis mettez des lunettes : la Russie est l'attaquant et l'occupant et elle demande de l'aide extérieure directe à l'Iran (ses seules armes efficace à ce jour) et à la Corée du Nord. La Chine semble se retenir, du moins officiellement. Elle compte les points, avec l'objectif probable de récupérer un jour la Mandchourie.
L'Ukraine n'est pas entrée dans l'Europe des 27 états membres.
Tout comme la Turquie, elle aimerait y entrer, d'où quelque part cette insistance
à demander aide à l'Europe et aux USA (guerre en Ukraine)
Liste des États membres :
Aujourd'hui, l'Union européenne compte 27 pays membres : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède.
Le Royaume-Uni a quitté l'Union européenne le 31 janvier 2020.
Sources
L'Ukraine n'a pas été injustement attaquée relisez toutes les sources. En voici une :
Sources
Charlotte d'Ortega- Impétrant
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Jeannot Lapin a écrit:Vous reprenez des sources qui démentent l'intox russe, la même. Donc vous ne fournissez en faite aucune autre source que la propagandeCharlotte d'Ortega a écrit:L'info fut rapportée par de nombreux journaux.
Sources
Sources
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L'Allemagne ne va pas approuver , mais ...
mensongère russe.
Il semblerait que personne n'ose vous contredire actuellement à cet effet Guerre Ukraine contre Russie (et vice versa)
Pourtant, nous sommes nombreux à savoir ce qui se passe réellement.
Les sources que je vous fournirais , de toute façon, seraient critiquées, par habitude je suppose, ou par jeu !
Et si je vous disais " que je n'aime pas jouer" , qu'auriez-vous à dire!
Et même, si j'utilisais un VPN (ce qui n'est pas mon cas actuellement)
J'aurais bien du mal à jouer le jeu, du contraire de mes convictions. Cela je ne pourrais pas le faire!
Car cela ne m'amuserait aucunement.
Charlotte d'Ortega- Impétrant
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Jeannot Lapin a écrit:Vous vous trompez pas. C'est un propagandiste pro-russe..
....Et le clan des lapins crétins est pro Biden......
Tu es vraiment un cas, le lapinou de mes deux...
même pas capable de te faire une opinion en écoutant ceux qui savent et qui ont l'intelligence d'argumenter !
Après, avec de pareils citoyens on s'étonne des malheurs qui nous tombent sur la tête....
Clavier- Sage
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Charlotte d'Ortega a écrit:Horiel a écrit:Revanchisti a écrit:Mais ça c'est vieux, selon History Legend les Russes dégomment des Bradley depuis l’année dernière et les léopards et Lerclerc depuis le printemps dernier.
Il n'est pas un secret que ces pays ont livré de faibles quantités de chars à Kiev.
Mais vu les quantités on en refera pas Koursk.
... On se demande d'ailleurs comment la "deuxième armée du monde" patine lamentablement et se fait tenir en échec par une nation moins peuplée, moins riche et moins agressive
Décidément, la Russie, c'est une vaste blague.
Horiel ne pas omettre que l'Ukraine est aidée par les USA, qui les USA sont gouvernés par Biden,
L'Ukraine reçoit également appui et aide de certains pays d'Europe. Et pourtant l'Ukraine n'est pas dans l'Europe.
La Russie ne demande pas d'aide extérieure.
Ah non? A la Chine, à L'Iran, à la Turquie, à la Corée du Nord entre autres elle demande quoi la Russie?
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Charlotte d'Ortega a écrit:Jeannot Lapin a écrit:L'Ukraine n'est pas en Europe. C'est nouveau ça. Il faut revoir votre géographie. L'Arménie est en Europe aussi, bien plus à l'Est, et une bonne partie de la Russie aussi.Charlotte d'Ortega a écrit:Horiel a écrit:Revanchisti a écrit:Mais ça c'est vieux, selon History Legend les Russes dégomment des Bradley depuis l’année dernière et les léopards et Lerclerc depuis le printemps dernier.
Il n'est pas un secret que ces pays ont livré de faibles quantités de chars à Kiev.
Mais vu les quantités on en refera pas Koursk.
... On se demande d'ailleurs comment la "deuxième armée du monde" patine lamentablement et se fait tenir en échec par une nation moins peuplée, moins riche et moins agressive
Décidément, la Russie, c'est une vaste blague.
Horiel ne pas omettre que l'Ukraine est aidée par les USA, qui les USA sont gouvernés par Biden,
L'Ukraine reçoit également appui et aide de certains pays d'Europe. Et pourtant l'Ukraine n'est pas dans l'Europe.
La Russie ne demande pas d'aide extérieure.
Par ailleurs je fais remarquer que de tout temps un pays injustement attaqué à reçu de l'aide d'autres pays ne serait-ce que pour réparer cette injustice et lui permettre de se défendre. Un attitude qui remonte à la nuit des temps.
Et puis mettez des lunettes : la Russie est l'attaquant et l'occupant et elle demande de l'aide extérieure directe à l'Iran (ses seules armes efficace à ce jour) et à la Corée du Nord. La Chine semble se retenir, du moins officiellement. Elle compte les points, avec l'objectif probable de récupérer un jour la Mandchourie.
L'Ukraine n'est pas entrée dans l'Europe des 27 états membres.
Tout comme la Turquie, elle aimerait y entrer, d'où quelque part cette insistance
à demander aide à l'Europe et aux USA (guerre en Ukraine)
Liste des États membres :
Aujourd'hui, l'Union européenne compte 27 pays membres : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède.
Le Royaume-Uni a quitté l'Union européenne le 31 janvier 2020.
Sources
L'Ukraine n'a pas été injustement attaquée relisez toutes les sources. En voici une :
Sources
Si, si l'Ukraine a été injustement attaquée par la Russie, parce que son peuple s'est majoritairement prononcé pour l'Europe. Le Donbass territoire ukrainien reconnu par la Russie elle même en 1991 a été perturbé par les colons russes qui s'y sont installés et qui, manipulés par Moscou ont voulu faire sécession. L'Ukraine, très légitimement a voulu s'y opposer ce que son voisin impérialiste n'a pas accepté, il a donc décidé dans un premier temps de soutenir les factieux, puis devant l'échec militaire de ces derniers a envahi le Donbass en 2014. L'actuelle agression russe depuis 2022 est le prolongement de la politique impérialiste caractéristique de cette nation et exacerbée par Poutine.
FONTSESTIAN- Expert
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Le Donbass territoire ukrainien reconnu par la Russie elle même en 1991 a été perturbé par les colons russes qui s'y sont installés et qui, manipulés par Moscou ont voulu faire sécession
C'est ce que je tente d'expliquer a ce pov Clavier depuis plus d'un an. Je ne rajouterai rien car si je parlais d'escadrille...Hum.
EUKINI- Connaisseur
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
1990-1991 : les années Kravtchouk
L'appareil soviétique résiste au changement, jusqu'à la fin de 1989, en Ukraine, face au Roukh (Mouvement démocratique ukrainien) constitué tardivement à l'initiative d'anciens dissidents (Loukianenko, Tchornovyl, Dratch) rejoints par des membres de mouvements de défense de la langue ukrainienne et d'associations écologiques, particulièrement actives depuis la catastrophe nucléaire de Tchernobyl en avril 1986. Cet événement impulse une réflexion sur la responsabilité du pouvoir central et sur la place de l'Ukraine – la deuxième république soviétique par sa population – au sein de l'URSS : abritant la moitié des réacteurs nucléaires du pays, est-elle destinée, après avoir été, sous Staline, un « grenier à blé » surexploité, à devenir la « poubelle nucléaire » de l'URSS ?
Bien davantage que l'activisme du Roukh, c'est la grande grève des mineurs du Donbass à l'été 1989 qui fait plier la direction du PC ukrainien, dirigé depuis quinze ans par Vladimir Chtcherbitski, remplacé, fin 1989, par Leonid Kravtchouk. Celui-ci joue habilement la carte nationale ukrainienne pour ne pas se faire déborder par le Roukh. A l'issue des élections locales de mars 1990, favorables aux communistes, Kravtchouk est élu à la tête du Soviet suprême de l'Ukraine.
« Homme du sérail », Leonid Kravtchouk a noué, depuis longtemps, des liens étroits avec Boris Eltsine, la figure montante du Parti à Moscou. A la tête des deux principales républiques soviétiques, ces deux hommes vont jouer un rôle capital dans la crise finale de l'URSS.
La dernière année d'existence de l'URSS est marquée par le conflit croissant entre Mikhaïl Gorbatchev et Boris Eltsine. Leur querelle porte d'abord sur le plan à adopter pour les réformes économiques : Boris Eltsine propose un passage résolu à l'économie de marché (le « Plan de 500 jours) ; tandis que Mikhaïl Gorbatchev souhaite ménager une longue transition entre l'économie étatisée et l'économie de marché. Leur deuxième désaccord concerne le projet du nouveau traité d'Union. Le 23 novembre 1990 un texte est présenté aux républiques. Toutes ont participé aux consultations, sauf les républiques baltes et la Géorgie. Si ce document accorde des droits nouveaux aux républiques et si toute référence au socialisme disparaît (l'Union des républiques soviétiques souveraines remplaçant l'Union des républiques socialistes soviétiques), les prérogatives fédérales restent très fortes.
Mais, dans les faits, ce texte est déjà caduc : le 20 novembre Boris Eltsine a signé avec Leonid Kravtchouk un accord bilatéral, par lequel la Russie et l'Ukraine reconnaissent mutuellement leur souveraineté et s'engagent à coopérer économiquement « sur une base d'égalité et d'avantages mutuels [...] sans passer par le centre ».
Dans l'affrontement entre les deux hommes, Mikhaïl Gorbatchev marque néanmoins un ultime point : lors du référendum organisé, en mars 1991, dans 9 des 15 républiques qui n'ont pas encore fait sécession, le projet de nouveau traité d'Union est approuvé par 77 % des votants en moyenne (70 % en Ukraine). Les Soviétiques, dans leur majorité, restent encore attachés à la construction fédérale.
Boris Eltsine décide alors d'accélérer le processus de désintégration de l'Union et la marche à l'indépendance de la Russie. Le 12 juin 1991 il se fait élire, au suffrage universel, dès le premier tour, avec 57 % des voix, président de la Russie. Face à Mikhaïl Gorbatchev, élu président de l'URSS au suffrage indirect un an auparavant, il acquiert une légitimité supérieure.
Inquiets devant ces développements qu'ils jugent « populistes », révulsés par la marche, à étapes forcées, vers l'économie de marché, entreprise par Boris Eltsine, les éléments les plus conservateurs fomentent, maladroitement, un putsch les 19 et 21 août 1991, qui échoue lamentablement devant la résistance résolue de Boris Eltsine, soutenu par la population de Moscou et de Leningrad.
L'échec du putsch signe la victoire du président élu de la Russie sur son rival, qui a assisté, impuissant, depuis son lieu de villégiature sur la mer Noire, aux événements. Mikhaïl Gorbatchev démissionne de son poste de secrétaire général du PCUS ; Boris Eltsine suspend les activités du Parti communiste. Le coup de grâce est donné par Leonid Kravtchouk : le Parlement ukrainien proclame l'indépendance de l'Ukraine, ratifiée par référendum le 1er décembre (avec 90 % de « oui »).
Une semaine plus tard, Boris Eltsine, Leonid Kravtchouk et Stanislav Chouchkevitch (le président de la Biélorussie), réunis à Belovej (à la frontière entre la Biélorussie et la Pologne), adoptent un document stipulant que « l'URSS cesse son existence en tant que sujet de droit international et réalité géopolitique ». Il est décidé de créer à la place une Communauté des États indépendants (CEI) « ouverte à tous les États de l'ex-URSS ». Le 21 décembre 11 des 15 ex-républiques soviétiques (à l'exception donc des pays Baltes et de la Géorgie) signent à Alma-Ata, où Mikhaïl Gorbatchev n'a pas été convié, le traité fondateur de la CEI, une association très lâche qui laisse à chacun de ses membres une grande latitude de décision.
Le 23, Mikhaïl Gorbatchev et Boris Eltsine se rencontrent pour mettre au point la procédure scellant la fin de l'URSS et la sortie de scène de son président. Le 25 décembre, à 19 heures, Mikhaïl Gorbatchev lit à la télévision un bref discours d'adieu. Aussitôt après, le drapeau rouge est amené et le drapeau tricolore russe hissé sur les tours du Kremlin. L'année 1991 entre ainsi dans l'histoire, de manière remarquablement pacifique, comme le terme d'une expérience commencée dans la violence guerrière et révolutionnaire soixante-quatorze ans plus tôt, en octobre 1917.
En 1991 le territoire de l'Ukraine indépendante est le fruit d'une histoire mouvementée, qui explique un rapport différent au passé selon les régions. Les régions de l'est proviennent de l'ancien Empire russe tandis que celles de l'ouest ont été rattachées entre 1939 et 1945 aux dépens de la Pologne, de la Roumanie ou de la Tchécoslovaquie. La Crimée, donnée par Nikita Khrouchtchev en 1954, fut annexée par la Russie en 2014. Dans le Donbass, des affrontements continuent d’opposer des mouvements séparatistes au pouvoir central ukrainien.
L'originalité de l'Ukraine – par rapport aux pays baltes, par exemple – tient au fait que les dirigeants communistes se sont réappropriés une partie des thèmes nationalistes. C'est ainsi qu'au moment où, le 1er décembre 1991, l'indépendance est approuvée par référendum à plus de 90 % des voix, le premier président de la République élu au suffrage universel est Leonid Kravtchouk, un haut responsable du Parti communiste ukrainien.
Derrière les manifestations de novembre et décembre 2004 à Kiev [La « révolution orange], comment ne pas voir, au-delà de l'indignation suscitée par les fraudes électorales, une critique portée contre ces élites formées sous l'ère soviétique et qui sont aujourd'hui à la tête des clans oligarchiques du pays ? En ce sens, ces manifestations sont plus politiques que nationalistes même si elles révèlent l'existence d'une nation citoyenne.
La crise russo-ukrainienne de 2014
Le 22 février 2014 un millier de personnes se rassemblent sur la place Lénine à Dnipropetrovsk, une grande ville industrielle de l'est de l'Ukraine. Elles entourent, pour la déboulonner, une imposante statue de Lénine, érigée là en 1957 pour célébrer le 40e anniversaire de la révolution d'Octobre. Ni les quelques communistes présents ni des policiers au demeurant bien passifs ne parviennent à les en empêcher. A 1 heure du matin, après sept heures d'efforts, Lénine chute de son piédestal.
Le jour même, on avait appris que le président ukrainien Viktor Ianoukovitch venait de quitter précipitamment son pays face à une situation qui échappait totalement à son contrôle. Kiev pleurait 82 morts depuis le 20 février. Des centaines de milliers de manifestants dénonçaient, depuis fin novembre 2013, le refus du gouvernement de signer un accord de coopération avec l'Union européenne pour favoriser un partenariat avec la Russie.
Au moment de la fin de l’URSS, la Crimée fait partie de l’Ukraine indépendante. Cette dernière accorde une relative autonomie à cette région très largement russophone tandis que pour les Russes, l’Ukraine est traditionnellement la « petite Russie ». Par ailleurs, des accords avec la Russie permettent le partage de l'ancienne flotte soviétique de la mer Noire et l'établissement d'un bail pour les Russes sur le port de Sébastopol, fondé en 1783 après la conquête de la Crimée sous Catherine II.
En novembre 2013 le Donbass s'oppose à la révolution à Kiev. En avril 2014 des activistes séparatistes prennent le contrôle des régions de Donetsk et Louhansk et déclarent leur autonomie en mai après l'organisation de référendums, jugés illégaux par Kiev. Des miliciens locaux encadrés par des mercenaires russes se heurtent à l'armée ukrainienne et à des « bataillons volontaires » qui lancent une opération militaire. Les combats font 13 000 morts au total et au moins 1,5 million de déplacés internes dans le pays. En février 2015 les accords de Minsk II « gèlent » le conflit sans y mettre fin. Si l'armée régulière russe n'est pas officiellement engagée en Ukraine, le soutien de Moscou aux séparatistes est avéré.
Sources
L'appareil soviétique résiste au changement, jusqu'à la fin de 1989, en Ukraine, face au Roukh (Mouvement démocratique ukrainien) constitué tardivement à l'initiative d'anciens dissidents (Loukianenko, Tchornovyl, Dratch) rejoints par des membres de mouvements de défense de la langue ukrainienne et d'associations écologiques, particulièrement actives depuis la catastrophe nucléaire de Tchernobyl en avril 1986. Cet événement impulse une réflexion sur la responsabilité du pouvoir central et sur la place de l'Ukraine – la deuxième république soviétique par sa population – au sein de l'URSS : abritant la moitié des réacteurs nucléaires du pays, est-elle destinée, après avoir été, sous Staline, un « grenier à blé » surexploité, à devenir la « poubelle nucléaire » de l'URSS ?
Bien davantage que l'activisme du Roukh, c'est la grande grève des mineurs du Donbass à l'été 1989 qui fait plier la direction du PC ukrainien, dirigé depuis quinze ans par Vladimir Chtcherbitski, remplacé, fin 1989, par Leonid Kravtchouk. Celui-ci joue habilement la carte nationale ukrainienne pour ne pas se faire déborder par le Roukh. A l'issue des élections locales de mars 1990, favorables aux communistes, Kravtchouk est élu à la tête du Soviet suprême de l'Ukraine.
« Homme du sérail », Leonid Kravtchouk a noué, depuis longtemps, des liens étroits avec Boris Eltsine, la figure montante du Parti à Moscou. A la tête des deux principales républiques soviétiques, ces deux hommes vont jouer un rôle capital dans la crise finale de l'URSS.
La dernière année d'existence de l'URSS est marquée par le conflit croissant entre Mikhaïl Gorbatchev et Boris Eltsine. Leur querelle porte d'abord sur le plan à adopter pour les réformes économiques : Boris Eltsine propose un passage résolu à l'économie de marché (le « Plan de 500 jours) ; tandis que Mikhaïl Gorbatchev souhaite ménager une longue transition entre l'économie étatisée et l'économie de marché. Leur deuxième désaccord concerne le projet du nouveau traité d'Union. Le 23 novembre 1990 un texte est présenté aux républiques. Toutes ont participé aux consultations, sauf les républiques baltes et la Géorgie. Si ce document accorde des droits nouveaux aux républiques et si toute référence au socialisme disparaît (l'Union des républiques soviétiques souveraines remplaçant l'Union des républiques socialistes soviétiques), les prérogatives fédérales restent très fortes.
Mais, dans les faits, ce texte est déjà caduc : le 20 novembre Boris Eltsine a signé avec Leonid Kravtchouk un accord bilatéral, par lequel la Russie et l'Ukraine reconnaissent mutuellement leur souveraineté et s'engagent à coopérer économiquement « sur une base d'égalité et d'avantages mutuels [...] sans passer par le centre ».
Dans l'affrontement entre les deux hommes, Mikhaïl Gorbatchev marque néanmoins un ultime point : lors du référendum organisé, en mars 1991, dans 9 des 15 républiques qui n'ont pas encore fait sécession, le projet de nouveau traité d'Union est approuvé par 77 % des votants en moyenne (70 % en Ukraine). Les Soviétiques, dans leur majorité, restent encore attachés à la construction fédérale.
Boris Eltsine décide alors d'accélérer le processus de désintégration de l'Union et la marche à l'indépendance de la Russie. Le 12 juin 1991 il se fait élire, au suffrage universel, dès le premier tour, avec 57 % des voix, président de la Russie. Face à Mikhaïl Gorbatchev, élu président de l'URSS au suffrage indirect un an auparavant, il acquiert une légitimité supérieure.
Inquiets devant ces développements qu'ils jugent « populistes », révulsés par la marche, à étapes forcées, vers l'économie de marché, entreprise par Boris Eltsine, les éléments les plus conservateurs fomentent, maladroitement, un putsch les 19 et 21 août 1991, qui échoue lamentablement devant la résistance résolue de Boris Eltsine, soutenu par la population de Moscou et de Leningrad.
L'échec du putsch signe la victoire du président élu de la Russie sur son rival, qui a assisté, impuissant, depuis son lieu de villégiature sur la mer Noire, aux événements. Mikhaïl Gorbatchev démissionne de son poste de secrétaire général du PCUS ; Boris Eltsine suspend les activités du Parti communiste. Le coup de grâce est donné par Leonid Kravtchouk : le Parlement ukrainien proclame l'indépendance de l'Ukraine, ratifiée par référendum le 1er décembre (avec 90 % de « oui »).
Une semaine plus tard, Boris Eltsine, Leonid Kravtchouk et Stanislav Chouchkevitch (le président de la Biélorussie), réunis à Belovej (à la frontière entre la Biélorussie et la Pologne), adoptent un document stipulant que « l'URSS cesse son existence en tant que sujet de droit international et réalité géopolitique ». Il est décidé de créer à la place une Communauté des États indépendants (CEI) « ouverte à tous les États de l'ex-URSS ». Le 21 décembre 11 des 15 ex-républiques soviétiques (à l'exception donc des pays Baltes et de la Géorgie) signent à Alma-Ata, où Mikhaïl Gorbatchev n'a pas été convié, le traité fondateur de la CEI, une association très lâche qui laisse à chacun de ses membres une grande latitude de décision.
Le 23, Mikhaïl Gorbatchev et Boris Eltsine se rencontrent pour mettre au point la procédure scellant la fin de l'URSS et la sortie de scène de son président. Le 25 décembre, à 19 heures, Mikhaïl Gorbatchev lit à la télévision un bref discours d'adieu. Aussitôt après, le drapeau rouge est amené et le drapeau tricolore russe hissé sur les tours du Kremlin. L'année 1991 entre ainsi dans l'histoire, de manière remarquablement pacifique, comme le terme d'une expérience commencée dans la violence guerrière et révolutionnaire soixante-quatorze ans plus tôt, en octobre 1917.
En 1991 le territoire de l'Ukraine indépendante est le fruit d'une histoire mouvementée, qui explique un rapport différent au passé selon les régions. Les régions de l'est proviennent de l'ancien Empire russe tandis que celles de l'ouest ont été rattachées entre 1939 et 1945 aux dépens de la Pologne, de la Roumanie ou de la Tchécoslovaquie. La Crimée, donnée par Nikita Khrouchtchev en 1954, fut annexée par la Russie en 2014. Dans le Donbass, des affrontements continuent d’opposer des mouvements séparatistes au pouvoir central ukrainien.
L'originalité de l'Ukraine – par rapport aux pays baltes, par exemple – tient au fait que les dirigeants communistes se sont réappropriés une partie des thèmes nationalistes. C'est ainsi qu'au moment où, le 1er décembre 1991, l'indépendance est approuvée par référendum à plus de 90 % des voix, le premier président de la République élu au suffrage universel est Leonid Kravtchouk, un haut responsable du Parti communiste ukrainien.
Derrière les manifestations de novembre et décembre 2004 à Kiev [La « révolution orange], comment ne pas voir, au-delà de l'indignation suscitée par les fraudes électorales, une critique portée contre ces élites formées sous l'ère soviétique et qui sont aujourd'hui à la tête des clans oligarchiques du pays ? En ce sens, ces manifestations sont plus politiques que nationalistes même si elles révèlent l'existence d'une nation citoyenne.
La crise russo-ukrainienne de 2014
Le 22 février 2014 un millier de personnes se rassemblent sur la place Lénine à Dnipropetrovsk, une grande ville industrielle de l'est de l'Ukraine. Elles entourent, pour la déboulonner, une imposante statue de Lénine, érigée là en 1957 pour célébrer le 40e anniversaire de la révolution d'Octobre. Ni les quelques communistes présents ni des policiers au demeurant bien passifs ne parviennent à les en empêcher. A 1 heure du matin, après sept heures d'efforts, Lénine chute de son piédestal.
Le jour même, on avait appris que le président ukrainien Viktor Ianoukovitch venait de quitter précipitamment son pays face à une situation qui échappait totalement à son contrôle. Kiev pleurait 82 morts depuis le 20 février. Des centaines de milliers de manifestants dénonçaient, depuis fin novembre 2013, le refus du gouvernement de signer un accord de coopération avec l'Union européenne pour favoriser un partenariat avec la Russie.
Au moment de la fin de l’URSS, la Crimée fait partie de l’Ukraine indépendante. Cette dernière accorde une relative autonomie à cette région très largement russophone tandis que pour les Russes, l’Ukraine est traditionnellement la « petite Russie ». Par ailleurs, des accords avec la Russie permettent le partage de l'ancienne flotte soviétique de la mer Noire et l'établissement d'un bail pour les Russes sur le port de Sébastopol, fondé en 1783 après la conquête de la Crimée sous Catherine II.
En novembre 2013 le Donbass s'oppose à la révolution à Kiev. En avril 2014 des activistes séparatistes prennent le contrôle des régions de Donetsk et Louhansk et déclarent leur autonomie en mai après l'organisation de référendums, jugés illégaux par Kiev. Des miliciens locaux encadrés par des mercenaires russes se heurtent à l'armée ukrainienne et à des « bataillons volontaires » qui lancent une opération militaire. Les combats font 13 000 morts au total et au moins 1,5 million de déplacés internes dans le pays. En février 2015 les accords de Minsk II « gèlent » le conflit sans y mettre fin. Si l'armée régulière russe n'est pas officiellement engagée en Ukraine, le soutien de Moscou aux séparatistes est avéré.
Sources
Charlotte d'Ortega- Impétrant
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Date d'inscription : 02/08/2020
Localisation : Côte-Ouest
Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Léonild Koutchma Premier ministre d'Ukraine de 1992 à 1993 et président du pays de 1994 à 2005. Il joue ensuite un rôle de médiation dans le cadre de la guerre du Donbass.
Politique étrangère
Leonid Koutchma et Vladimir Poutine, président de la fédération de Russie, en 2002.
Koutchma a signé un « traité d'amitié, de coopération et de partenariat » avec la Russie, et a approuvé une série de pourparlers avec la CEI. En outre, il désigna la langue russe comme « l'une des langues officielles ». Il a signé un accord de partenariat spécial avec l'OTAN, et même évoqué la possibilité d'adhésion à l'Alliance atlantique.
La popularité de Koutchma en Ukraine et à l'étranger a chuté par la suite car il est embourbé dans des scandales de corruption et tourné vers la Russie comme son nouvel allié, ce qu’il justifie en disant que l'Ukraine a besoin d'une politique étrangère qui équilibre les intérêts de l'Est et l'Ouest
Peu après l'investiture de Viktor Iouchtchenko, de peur d'être inculpé dans son pays pour des affaires de corruption, Koutchma quitte le pays pour Moscou. Il revient en Ukraine en 2009. Il se prononce en faveur de Viktor Ianoukovytch à l'élection présidentielle de 20108.
Le 24 mars 2011, Leonid Koutchma est inculpé d'abus de pouvoir dans le cadre de l'enquête sur la mort du journaliste d'opposition Gueorgui Gongadzé en 20009. L'ancien président est accusé de longue date d'être un des responsables de cet assassinat9. Plusieurs suicides de témoins-clé sont relevés dans cette affaire
En juillet 2014, Leonid Koutchma est choisi par le président Petro Porochenko pour représenter l'Ukraine aux négociations de Minsk, avec les séparatistes de l'Est ukrainien. Le 3 juin 2019, le président Volodymyr Zelensky le nomme représentant de l'Ukraine au sein du groupe de contact pour la paix dans le Donbass.
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Politique étrangère
Leonid Koutchma et Vladimir Poutine, président de la fédération de Russie, en 2002.
Koutchma a signé un « traité d'amitié, de coopération et de partenariat » avec la Russie, et a approuvé une série de pourparlers avec la CEI. En outre, il désigna la langue russe comme « l'une des langues officielles ». Il a signé un accord de partenariat spécial avec l'OTAN, et même évoqué la possibilité d'adhésion à l'Alliance atlantique.
La popularité de Koutchma en Ukraine et à l'étranger a chuté par la suite car il est embourbé dans des scandales de corruption et tourné vers la Russie comme son nouvel allié, ce qu’il justifie en disant que l'Ukraine a besoin d'une politique étrangère qui équilibre les intérêts de l'Est et l'Ouest
Peu après l'investiture de Viktor Iouchtchenko, de peur d'être inculpé dans son pays pour des affaires de corruption, Koutchma quitte le pays pour Moscou. Il revient en Ukraine en 2009. Il se prononce en faveur de Viktor Ianoukovytch à l'élection présidentielle de 20108.
Le 24 mars 2011, Leonid Koutchma est inculpé d'abus de pouvoir dans le cadre de l'enquête sur la mort du journaliste d'opposition Gueorgui Gongadzé en 20009. L'ancien président est accusé de longue date d'être un des responsables de cet assassinat9. Plusieurs suicides de témoins-clé sont relevés dans cette affaire
En juillet 2014, Leonid Koutchma est choisi par le président Petro Porochenko pour représenter l'Ukraine aux négociations de Minsk, avec les séparatistes de l'Est ukrainien. Le 3 juin 2019, le président Volodymyr Zelensky le nomme représentant de l'Ukraine au sein du groupe de contact pour la paix dans le Donbass.
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Charlotte d'Ortega- Impétrant
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Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Bonsoir Charlotte !!Charlotte d'Ortega a écrit:Frère Barnabé a écrit:ce suisse a pris sa position pro poutine dans ce cas , comme vous "peut être" ,et donc à ce stade un souteneur de la maffia russe !!!Vladimir de Volog красны a écrit:""""ce suisse n'est pas fiable à mes yeux , mais je peut me tromper!""""
Ce doit être le cas ...
Rien à voir avec la Suisse, l'information fut reprise par de nombreux journaux.
Je parlait du suisse de la vidéo et non pas de la Suisse !!!
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Je suis pas pro-Biden, loin de là, mais le parti Républicain est en déconfiture : de drôles de zozos, anti-Bush et anti-Reagan aux commandes, souvent pro-russes contre l'Europe.Clavier a écrit:Jeannot Lapin a écrit:Vous vous trompez pas. C'est un propagandiste pro-russe..
....Et le clan des lapins crétins est pro Biden......
Tu es vraiment un cas, le lapinou de mes deux...
même pas capable de te faire une opinion en écoutant ceux qui savent et qui ont l'intelligence d'argumenter !
Après, avec de pareils citoyens on s'étonne des malheurs qui nous tombent sur la tête....
Les américains de ma famille me disent que le trumpisme correspond à une déseuropénisation des Etats-Unis, qui ne reconnaissent plus leurs racines européennes. Je remarque que Biden arrive à luter contre ça dans son propre parti, les wokiste et autres socialistes islamistes et pro-cubains.
Ca veut dire quoi cette déseuropénisation ? Démantèlement de l'OTAN avec un déplacement de l'organisation militaire vers ses intérêts principaux en Asie, et en cas de guerre Russie - Europe, les Etats-Unis compteront les points.
Il y a une solution contre ça : militariser nos pays. Restaurer les services militaires, d'au moins un an, remettre des dépenses au niveau de 5% du PIB et se mettre à parité d'armes nucléaires avec la Russie. Pour info, la Chine se dote massivement de capacités nucléaires actuellement, devrait arriver à une niveau comparable aux USA et à la Russie à terme. Le problème en Europe c'est qu'à part une force Européenne de défense et pourquoi pas nucléaire, on ne pourra pas s'entendre sur un force d'intervention, avec des pays européens, sur l'Afrique par exemple, plus favorables aux russes qu'aux français.
Actuellement tout le monde est capable de fabriquer des armes nucléaires. Il est anormal que tous les pays européens n'en soient pas massivement dotés.
Jeannot Lapin- Sage
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Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Charlotte d'Ortega a écrit:Léonild Koutchma Premier ministre d'Ukraine de 1992 à 1993 et président du pays de 1994 à 2005. Il joue ensuite un rôle de médiation dans le cadre de la guerre du Donbass.
Politique étrangère
Leonid Koutchma et Vladimir Poutine, président de la fédération de Russie, en 2002.
Koutchma a signé un « traité d'amitié, de coopération et de partenariat » avec la Russie, et a approuvé une série de pourparlers avec la CEI. En outre, il désigna la langue russe comme « l'une des langues officielles ». Il a signé un accord de partenariat spécial avec l'OTAN, et même évoqué la possibilité d'adhésion à l'Alliance atlantique.
La popularité de Koutchma en Ukraine et à l'étranger a chuté par la suite car il est embourbé dans des scandales de corruption et tourné vers la Russie comme son nouvel allié, ce qu’il justifie en disant que l'Ukraine a besoin d'une politique étrangère qui équilibre les intérêts de l'Est et l'Ouest
Peu après l'investiture de Viktor Iouchtchenko, de peur d'être inculpé dans son pays pour des affaires de corruption, Koutchma quitte le pays pour Moscou. Il revient en Ukraine en 2009. Il se prononce en faveur de Viktor Ianoukovytch à l'élection présidentielle de 20108.
Le 24 mars 2011, Leonid Koutchma est inculpé d'abus de pouvoir dans le cadre de l'enquête sur la mort du journaliste d'opposition Gueorgui Gongadzé en 20009. L'ancien président est accusé de longue date d'être un des responsables de cet assassinat9. Plusieurs suicides de témoins-clé sont relevés dans cette affaire
En juillet 2014, Leonid Koutchma est choisi par le président Petro Porochenko pour représenter l'Ukraine aux négociations de Minsk, avec les séparatistes de l'Est ukrainien. Le 3 juin 2019, le président Volodymyr Zelensky le nomme représentant de l'Ukraine au sein du groupe de contact pour la paix dans le Donbass.
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Blabla russophile. La Russie a occupé des territoires ukrainiens par la force. Point ! même les soi-disant résistants du Donbass en 2014, étaient dirigés par l'armée russe. C'est eux qui ont dégommé un avion de ligne.
La propagande russe, les assassinats dans le monde, c'est du no limit depuis l'arrivée de Poutine au pouvoir. Ca fait longtemps qu'on laisse faire.
RT News par exemple : 80% d'infos intéressantes sans politiquement correct, mais 20% de propagande russe, qui passait crème du coup. On l'a subi pendant près de 20 ans, discrètement. Tout ça repris ensuite pas des journaux soit par des journalistes complices soit par des ignares. RT News diffusée sur Orange alors qu'Orange refusait de diffuser la moindre chaîne hongroise - pourtant dans l'UE - pour protester contre Orban).
Un peu comme le Times qui a repris aux USA à la lettre toute la propagande Wagner en Afrique de facebook, comme si c'était l'expression des Africains, ce qui a créé un mouvement anti-français aux Etats-Unis, animé notamment autour de la famille Traoré (très active aux USA au point que Louboutin s'est senti obligé de l'utiliser pour se protéger) et parmi les noirs wokistes.
Non seulement la Russie n'a rien à foutre là, mais il faudra un jour leur reprendre la Carélie, Finlandaise, la région de Königsberg des chevaliers teuroniques, allemande (ou Lituanienne) et la région de Pétrograd, Suédoise. Tout ça dans l'UE.La dictature de Loukatchenko n'a l'air par ailleurs de tenir qu'à un cheveu.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9222
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
On parlait des deux. C'est parce qu'il est Suisse qu'il peut formuler ses idées collabo au nom de sa fonction en Suisse sans avoir de contestataire chez lui.Frère Barnabé a écrit:Bonsoir Charlotte !!Charlotte d'Ortega a écrit:Frère Barnabé a écrit:ce suisse a pris sa position pro poutine dans ce cas , comme vous "peut être" ,et donc à ce stade un souteneur de la maffia russe !!!Vladimir de Volog красны a écrit:""""ce suisse n'est pas fiable à mes yeux , mais je peut me tromper!""""
Ce doit être le cas ...
Rien à voir avec la Suisse, l'information fut reprise par de nombreux journaux.
Je parlait du suisse de la vidéo et non pas de la Suisse !!!
Pour info, le Suisse a refusé le rachat par l'Allemagne de matériel militaire obsolète, d'origine allemande, parce qu'il pourrait être destiné à l'Ukraine. Ils vont le mettre à la casse. Pendant ce temps la Suisse compte sur le parapluie américain pour la protéger de la Russie. Bien plus efficace que le parapluie français d'où l'achat, au lieu de Rafales, de F35 totalement inapproprié pour les missions pour lesquels il se destinera, mais excellents pour aller bombarder incognito aux radars, la Russie aux sein de missions communes éventuelles avec l'OTAN, dont elle ne fait pas partie. Les galipettes de la Suisse dont l'intervenant était une représentant en haut lieu, relèvent d'une duplicité qu'on a du mal à comprendre en France. On les protège pendant qu'eux, sabotent tout ce que nous entreprenons et avantagent nos ennemis... mais les investissements en Suisse ne s'en portent que mieux, et c'est tout ce qui compte, pour eux.
On sent toute cette stratégie au sein d'un discours adipeux sur les explications ménageant la Russie, par l'intervenant.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9222
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Il y a toujours eu des français à côté de leurs pompes à l'égard de la Russie.EUKINI a écrit:Le Donbass territoire ukrainien reconnu par la Russie elle même en 1991 a été perturbé par les colons russes qui s'y sont installés et qui, manipulés par Moscou ont voulu faire sécession
C'est ce que je tente d'expliquer a ce pov Clavier depuis plus d'un an. Je ne rajouterai rien car si je parlais d'escadrille...Hum.
Notamment ceux qui ont cru que l'emprunt russe aller mener quelque part.
Déjà au début du siècle pas mal d'analystes et journalistes qui allaient voir sur place remarquaient l'emprunt russe partait à fond perdu. Rien ne s'était amélioré et ne s'améliorait en Russie qui restait très en retard sur l'Europe et le monde développé des Européens. Quand il se sont pris un déculottée de la part de la marine japonaise, on a compris que les russes ne faisaient pas le poids et commençaient par être dépassés par les pays asiatiques les plus avancés.
Mais malgré tout ça, beaucoup de français avaient une autre image, de la Russie, que celle de la réalité russe.
Aujourd'hui c'est pareil.
D'ailleurs, si vous regardez, les seuls succès russes se font grâce leur propagande. Wagner en Afrique et les pro-russes, un peu partout, résultat d'une stratégie médiatique et d'infiltration rondement menée.
La Russie c'est tout l'opposé de la France. La France a généralement toujours été sous-estimée, faute d'une promotion du pays à la hauteur.
On peut estimer qu'ils ont réussi grâce à un pro-russe patent, Matt Gaetz, dans le parti républicain a déboulonner leur propre chef républicain de la chambre des représentants.
Le profil des pro-russes en politique est très varié : du connard au type qui a des relations d'intérêt ou sentimentales avec la Russie. Matt Gaetz fait clairement partie des connards.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9222
Date d'inscription : 31/07/2021
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