Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
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Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
263- Les DONNÉES CACHÉES de l'ESSAI PFIZER
MONTRENT que TOUTES les FEMMES
"VACCINÉES" pendant leur GROSSESSE
ont PERDU leur BÉBÉ à NAÎTRE
MONTRENT que TOUTES les FEMMES
"VACCINÉES" pendant leur GROSSESSE
ont PERDU leur BÉBÉ à NAÎTRE
Une action en justice intentée par Public Health and Medical Professionals for Transparency a permis de produire des documents de Pfizer montrant que son "vaccin" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a provoqué une fausse couche chez toutes les femmes enceintes sur lesquelles il a été testé.
Intitulé "Cumulative Analysis of Post-authorization Adverse Event Reports", un rapport de Pfizer décrivant les événements signalés jusqu'en février 2021 - vous pouvez télécharger ce rapport - montre que pas une seule femme enceinte ayant reçu les vaccins de Pfizer n'a donné naissance à un bébé vivant.
Le tableau 6 du rapport, intitulé "Informations manquantes", révèle sous le premier thème "Utilisation pendant la grossesse et l'allaitement" la déclaration suivante :
Pris au pied de la lettre, cela suggère que sur 270 grossesses, il y a eu 23 avortements spontanés, cinq "résultats en attente", deux naissances prématurées avec décès néonatal, deux avortements spontanés avec décès intra-utérin, un avortement spontané avec décès néonatal et un résultat normal. Cependant, il y a aussi cette déclaration délicate : "aucune issue n'a été fournie pour 238 grossesses."
"Donc, en réalité, nous n'avons aucune idée de ce qui s'est passé avec 243 (5 + 238) des grossesses de ces femmes injectées ; elles n'ont tout simplement pas été incluses dans le rapport", a rapporté Principia Scientific International.
"Ce que nous savons, c'est que sur 27 grossesses déclarées (270 moins 243), il y a 28 bébés morts ! Cela semble signifier qu'une personne était enceinte de jumeaux et que 100 % des bébés à naître sont morts."
Les injections de covid de Pfizer mettent fin à la vie humaine
Il est possible que les cinq "résultats en attente" aient abouti à un accouchement normal. Cela signifie que, dans le meilleur des cas, seuls 87,5 % des bébés vivant dans des utérus "entièrement vaccinés" sont morts, et non 100 %.
Quoi qu'il en soit, il s'agit toujours d'un résultat horrible. Aucun bébé ne devrait mourir à la suite de ces injections si elles sont vraiment "sûres et efficaces" comme on le prétend, et pourtant elles semblent tuer la plupart ou tous les bébés à naître.
Il s'avère que Pfizer a tenté de dissimuler tout cela avec un article intitulé "Safety and Efficacy of the BNT162b2 mRNA Covid-19 Vaccine", publié dans le New England Journal of Medicine (NEJM) le 31 décembre 2020.
Ce document tente de dissimuler le fait qu'au cours du premier trimestre de la grossesse, l'injection de Pfizer a provoqué une fausse couche chez 82 % de celles qui l'ont reçue. L'Alliance canadienne Covid Care a rendu compte de cette étude le mois suivant, en la dénonçant comme une imposture totale.
"L'étude favorable à Pfizer est une imposture totale", a rapporté Principia Scientific International. "Elle est truffée de fausses déclarations et de méthodes trompeuses".
"Ces injections sont criminelles ; point final", a ajouté le groupe, soulignant le fait que personne ne devrait en prendre.
Le Conseil mondial de la santé a rédigé une déclaration de cessation et d'abstention qui est adressée à tous les gouvernements, cliniques, hôpitaux, organismes de réglementation médicale, médecins, infirmières, politiciens et "toute personne participant de quelque manière que ce soit à la fabrication, l'expédition, la distribution, la promotion ou l'administration de ces injections".
Le message à toute personne impliquée dans ces campagnes d'injection est le suivant : "Arrêtez maintenant. Ceci est un crime. Vous serez pénalement et civilement responsables. Le chat est sorti du sac. La justice arrive", explique PSI à propos de cette initiative.
"Veuillez conserver des photos et des notes indiquant à qui, quand et où la déclaration et l'avis sont signifiés. Nous sommes en train de finaliser davantage de ressources sur le site web du Conseil mondial de la santé pour télécharger ces photos et détails."
Les dernières nouvelles concernant les blessures et les décès causés par les "vaccins" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont disponibles sur ChemicalViolence.com.
Intitulé "Cumulative Analysis of Post-authorization Adverse Event Reports", un rapport de Pfizer décrivant les événements signalés jusqu'en février 2021 - vous pouvez télécharger ce rapport - montre que pas une seule femme enceinte ayant reçu les vaccins de Pfizer n'a donné naissance à un bébé vivant.
Le tableau 6 du rapport, intitulé "Informations manquantes", révèle sous le premier thème "Utilisation pendant la grossesse et l'allaitement" la déclaration suivante :
Les issues de la grossesse pour les 270 grossesses ont été rapportées comme étant : un avortement spontané (23), une issue en attente (5), une naissance prématurée avec décès néonatal, un avortement spontané avec décès intra-utérin (2 chacun), un avortement spontané avec décès néonatal et une issue normale (1 chacun). Aucune issue n'a été fournie pour 238 grossesses (à noter que 2 issues différentes ont été rapportées pour chaque jumeau, et les deux ont été comptées).
Pris au pied de la lettre, cela suggère que sur 270 grossesses, il y a eu 23 avortements spontanés, cinq "résultats en attente", deux naissances prématurées avec décès néonatal, deux avortements spontanés avec décès intra-utérin, un avortement spontané avec décès néonatal et un résultat normal. Cependant, il y a aussi cette déclaration délicate : "aucune issue n'a été fournie pour 238 grossesses."
"Donc, en réalité, nous n'avons aucune idée de ce qui s'est passé avec 243 (5 + 238) des grossesses de ces femmes injectées ; elles n'ont tout simplement pas été incluses dans le rapport", a rapporté Principia Scientific International.
"Ce que nous savons, c'est que sur 27 grossesses déclarées (270 moins 243), il y a 28 bébés morts ! Cela semble signifier qu'une personne était enceinte de jumeaux et que 100 % des bébés à naître sont morts."
Les injections de covid de Pfizer mettent fin à la vie humaine
Il est possible que les cinq "résultats en attente" aient abouti à un accouchement normal. Cela signifie que, dans le meilleur des cas, seuls 87,5 % des bébés vivant dans des utérus "entièrement vaccinés" sont morts, et non 100 %.
Quoi qu'il en soit, il s'agit toujours d'un résultat horrible. Aucun bébé ne devrait mourir à la suite de ces injections si elles sont vraiment "sûres et efficaces" comme on le prétend, et pourtant elles semblent tuer la plupart ou tous les bébés à naître.
Il s'avère que Pfizer a tenté de dissimuler tout cela avec un article intitulé "Safety and Efficacy of the BNT162b2 mRNA Covid-19 Vaccine", publié dans le New England Journal of Medicine (NEJM) le 31 décembre 2020.
Ce document tente de dissimuler le fait qu'au cours du premier trimestre de la grossesse, l'injection de Pfizer a provoqué une fausse couche chez 82 % de celles qui l'ont reçue. L'Alliance canadienne Covid Care a rendu compte de cette étude le mois suivant, en la dénonçant comme une imposture totale.
"L'étude favorable à Pfizer est une imposture totale", a rapporté Principia Scientific International. "Elle est truffée de fausses déclarations et de méthodes trompeuses".
"Ces injections sont criminelles ; point final", a ajouté le groupe, soulignant le fait que personne ne devrait en prendre.
Le Conseil mondial de la santé a rédigé une déclaration de cessation et d'abstention qui est adressée à tous les gouvernements, cliniques, hôpitaux, organismes de réglementation médicale, médecins, infirmières, politiciens et "toute personne participant de quelque manière que ce soit à la fabrication, l'expédition, la distribution, la promotion ou l'administration de ces injections".
Le message à toute personne impliquée dans ces campagnes d'injection est le suivant : "Arrêtez maintenant. Ceci est un crime. Vous serez pénalement et civilement responsables. Le chat est sorti du sac. La justice arrive", explique PSI à propos de cette initiative.
"Veuillez conserver des photos et des notes indiquant à qui, quand et où la déclaration et l'avis sont signifiés. Nous sommes en train de finaliser davantage de ressources sur le site web du Conseil mondial de la santé pour télécharger ces photos et détails."
Les dernières nouvelles concernant les blessures et les décès causés par les "vaccins" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont disponibles sur ChemicalViolence.com.
(Source : https://www.dcclothesline.com/2022/02/02/hidden-pfizer-trial-data-shows-that-all-vaccinated-women-in-pregnancy-lost-their-unborn-babies/ + Traduction www.DeepL.com/Translator )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
268- INTERVIEW du Professeur PERRONNE
(extrait 1)
(extrait 1)
- Que sont exactement ces pseudos-vaccins ?
- Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike. Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.
- Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?
- Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante. Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.
- Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike. Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.
- Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?
- Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante. Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.
(Source : https://nouveau-monde.ca/pr-christian-perronne-le-but-de-la-pandemie-est-de-prendre-le-controle-mondial-de-la-population/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
270- INTERVIEW du Professeur PERRONNE
(extrait 2)
(extrait 2)
- Encore une fois, ils n’ont pas réussi à vous prendre en défaut ?
- Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ça sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale. Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé. Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.
- Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?
Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.
D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.
- Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ça sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale. Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé. Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.
- Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?
Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.
D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.
(Source : https://nouveau-monde.ca/pr-christian-perronne-le-but-de-la-pandemie-est-de-prendre-le-controle-mondial-de-la-population/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
272- Une INFIRMIÈRE de COLOGNE DEMANDE
« POURQUOI les MOURANTS
sont-ils VACCINÉS contre CORONA ? »
« POURQUOI les MOURANTS
sont-ils VACCINÉS contre CORONA ? »
Encore une preuve de la faillite et de l’effondrement de la médecine occidentale covidiste !
C’est véritablement spectaculaire, la médecine occidentale a sombré dans la folie, le charlatanisme et l’irresponsabilité : vacciner une personne très âgée, voire mourante, relève de la psychiatrie ou de l’imbécillité la plus crasse. C’est inutile, ce n’est pas éthique puisque le patient ne peut donner son avis et totalement stupide au niveau des finances publiques ! Le covidisme est une maladie mentale.
* * *
* * *
La représentation des personnes âgées du centre-ville de Cologne a appelé à des conseils d’éthique indépendants dans les établissements de soins privés et publics pour décider des vaccinations corona pour les patients mourants. C’est ce qu’a annoncé la représentante des seniors de la ville dans une lettre ouverte à la mairesse Henriette Reker.
« Même si les sponsors des institutions devaient initier eux-mêmes les conseils d’éthique, la ville pourrait encourager cela », a déclaré Karl-Heinz Pasch, porte-parole de la représentation des seniors, de la Rundschau. L’arrière-plan de la demande sont des descriptions par des infirmières de maisons de Cologne. Une infirmière écrit par mail au représentant des seniors : « Ce que je ne comprends pas avec la meilleure volonté du monde : pourquoi des gens qui n’ont qu’une ou deux semaines maximum à vivre, ne peuvent ni avaler ni parler, (…) sont vaccinés contre le Covid-19 pour la quatrième fois en mourant ? » La seule chose que ses patients souhaitent, c’est de ne plus avoir mal, d’avoir assez d’air et d’avoir quelqu’un pour leur tenir la main de temps en temps. Ce dont ils n’ont pas besoin, c’est d’un quatrième vaccin.
Des médecins qui n’avaient pas été expressément invités à vacciner, par exemple, ont vacciné un patient qui n’était plus en mesure de prendre des décisions à ce moment-là. Des collègues ont signalé des cas similaires à l’infirmière qui a partagé ses expériences sur Facebook. Il existe des cas où des patients ont été vaccinés douze heures avant leur décès. Elle touche principalement des patients « sans tutelle et toujours sans parents ni connaissances », écrit la femme.
(Source : https://reseauinternational.net/une-infirmiere-de-cologne-demande-pourquoi-les-mourants-sont-ils-vaccines-contre-corona/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
274- INTERVIEW du Professeur PERRONNE
(extrait 3)
(extrait 3)
- Tous les intervenants des plateaux télé continuent de seriner que le vaccin protège des formes graves et beaucoup de gens les croient…
- C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël. C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les États-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.
- Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?
- Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin. Rappelons aussi les pertes de chances des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.
- C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël. C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les États-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.
- Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?
- Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin. Rappelons aussi les pertes de chances des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.
(Source : https://nouveau-monde.ca/pr-christian-perronne-le-but-de-la-pandemie-est-de-prendre-le-controle-mondial-de-la-population/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
276- INTERVIEW du Professeur PERRONNE
(extrait 4)
(extrait 4)
- Les vaccins tuent plus ?
- Oui maintenant c’est clair. Récemment Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits
- Et le vaccin chez les enfants ?
- Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid. A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux, criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.
- Oui maintenant c’est clair. Récemment Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits
- Et le vaccin chez les enfants ?
- Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid. A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux, criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.
(Source : https://nouveau-monde.ca/pr-christian-perronne-le-but-de-la-pandemie-est-de-prendre-le-controle-mondial-de-la-population/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
278- « ELLES n’ont PLUS de RÈGLES »
APRÈS le VACCIN COVID :
« OÙ est mon CYCLE »
libère la parole des femmes
APRÈS le VACCIN COVID :
« OÙ est mon CYCLE »
libère la parole des femmes
sur les EFFETS SECONDAIRES
Les troubles menstruels suite à la vaccination :
un déni plus qu'un tabou...
Les troubles menstruels suite à la vaccination :
un déni plus qu'un tabou...
Retard, absence, ou reprise de règles, menstruations continues… « Je ne reconnais plus mon corps » : les témoignages des effets secondaires post-vaccination covid sur le cycle des femmes se multiplient. D’un tabou pour beaucoup en temps normal, on a basculé dans un déni officiel : Mélodie, qui en a été victime après sa vaccination, s’est rendu compte en en parlant autour d’elle qu’elle était loin d’être seule… Mais que rares étaient celles qui abordaient le sujet spontanément.
Il y a deux mois, elle lance donc un compte Instagram, qui recense et publie des témoignages : 231 relayés à ce jour, et des centaines d’autres reçus. En plus de rendre public un sujet invisible ou délaissé, il sert d’espace de partage et de solidarité entre femmes. Le réseau répond à leur besoin de confier leurs mésaventures – du désagrément au vrai drame – et leurs inquiétudes – les effets potentiels sur la fertilité étant très angoissants.
Bienveillance et entraide sont de mise, et ces témoignages réunis débouchent désormais sur un collectif – « Où est mon cycle ? » que Mélodie appelle à rejoindre.
Une initiative simple sur un sujet majeur, qu’elle nous raconte en ce jour où – le hasard d’un calendrier de tournage faisant bien les choses – les projecteurs sont particulièrement braqués sur les femmes.
Mélodie espère ainsi briser le quasi-silence des médias et du corps médical qui, tout à leur paradigme d’un vaccin « efficace et sûr », ont nié – ou minimisé – les problèmes rencontrés par de nombreuses femmes. Une affaire qui remet en question, encore une fois, le bénéfice-risque de cette vaccination de masse. Ce fameux ratio est-il encore convaincant, quand même des désagréments « bénins » post-vaccination sont supérieurs (par leur intensité ou leur durée) à ceux de la maladie ? Et qu’en est-il de tous les plus graves, parfois pérennes, recensés par des jeunes femmes en bonne santé ? La démarche de Mélodie force à prendre de front ces questions dérangeantes, qui ne sont pas réductibles à des « questions de femmes » et concernent bien la société tout entière.
https://app.videas.fr/embed/12970dd3-9bcc-4ce1-b8b1-3612e955aaf1/#
Ses comptes Instagram : "Vaccin menstruel" et "Où est mon cycle ?"Il y a deux mois, elle lance donc un compte Instagram, qui recense et publie des témoignages : 231 relayés à ce jour, et des centaines d’autres reçus. En plus de rendre public un sujet invisible ou délaissé, il sert d’espace de partage et de solidarité entre femmes. Le réseau répond à leur besoin de confier leurs mésaventures – du désagrément au vrai drame – et leurs inquiétudes – les effets potentiels sur la fertilité étant très angoissants.
Voir aussi : Vaccins et règles : cycle menstruel perturbé, des effets secondaires variés
et Vaccination et troubles menstruels : de nombreuses femmes témoignent d’effets secondaires
Bienveillance et entraide sont de mise, et ces témoignages réunis débouchent désormais sur un collectif – « Où est mon cycle ? » que Mélodie appelle à rejoindre.
Une initiative simple sur un sujet majeur, qu’elle nous raconte en ce jour où – le hasard d’un calendrier de tournage faisant bien les choses – les projecteurs sont particulièrement braqués sur les femmes.
Mélodie espère ainsi briser le quasi-silence des médias et du corps médical qui, tout à leur paradigme d’un vaccin « efficace et sûr », ont nié – ou minimisé – les problèmes rencontrés par de nombreuses femmes. Une affaire qui remet en question, encore une fois, le bénéfice-risque de cette vaccination de masse. Ce fameux ratio est-il encore convaincant, quand même des désagréments « bénins » post-vaccination sont supérieurs (par leur intensité ou leur durée) à ceux de la maladie ? Et qu’en est-il de tous les plus graves, parfois pérennes, recensés par des jeunes femmes en bonne santé ? La démarche de Mélodie force à prendre de front ces questions dérangeantes, qui ne sont pas réductibles à des « questions de femmes » et concernent bien la société tout entière.
https://app.videas.fr/embed/12970dd3-9bcc-4ce1-b8b1-3612e955aaf1/#
Pour écrire au collectif : ouestmoncycle@gmail.com
(Source : https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/melodie-ou-est-mon-cycle )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
280- ISABELLE-MARIE TÉMOIGNE
"Il est important de reconnaître qu’il y a des personnes qui ont été atteintes par le vaccin" Sénateur Johnson ; c'est une question de justice la plus élémentaire.
https://nouveau-monde.ca/maddie-de-garay-12-ans-en-fauteuil-roulant-a-cause-du-vaccin-pfizer/?print=pdf
Il est tout aussi objectif de reconnaître que l'espérance de vie d'un adolescent atteint de péricardite ou myocardite qu'il n'aurait pas contractée sans le "vaccin", est fortement compromise (à partir de la 3è mn : https://odysee.com/Doctothon-Sp%C3%A9cial-Enfants--Dr-Beno%C3%AEt-Ochs:4 )
et ce n'est qu'un exemple parmi bien d'autres :
https://odysee.com/@GiletteJaune:8/Marc_DoyerCONY-va-etudier-rapport-vache-folle-et-vaxx-16-02-2022:3
Hier quelqu'un me parlait d'un prêtre qui, après sa troisième dose, a des problèmes de vue, et autres qui le rendent incapables de venir célébrer.
https://nouveau-monde.ca/maddie-de-garay-12-ans-en-fauteuil-roulant-a-cause-du-vaccin-pfizer/?print=pdf
Il est tout aussi objectif de reconnaître que l'espérance de vie d'un adolescent atteint de péricardite ou myocardite qu'il n'aurait pas contractée sans le "vaccin", est fortement compromise (à partir de la 3è mn : https://odysee.com/Doctothon-Sp%C3%A9cial-Enfants--Dr-Beno%C3%AEt-Ochs:4 )
et ce n'est qu'un exemple parmi bien d'autres :
https://odysee.com/@GiletteJaune:8/Marc_DoyerCONY-va-etudier-rapport-vache-folle-et-vaxx-16-02-2022:3
Hier quelqu'un me parlait d'un prêtre qui, après sa troisième dose, a des problèmes de vue, et autres qui le rendent incapables de venir célébrer.
(Source : https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t46504-injection-anti-covid-effets-secondaires#490228 )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
282- MADDIE de GARAY, 12 ANS,
en FAUTEUIL ROULANT à CAUSE du VACCIN PFIZER
en FAUTEUIL ROULANT à CAUSE du VACCIN PFIZER
(pour tourner les pages, maintenir un clic tout en glissant dans le sens souhaité)
https://gloria.tv/post/AN6C8bPz98oU19bKZQ4ZYqKnd/request/download
Source : https://nouveau-monde.ca/maddie-de-garay-12-ans-en-fauteuil-roulant-a-cause-du-vaccin-pfizer/
(26 janvier 2022)
https://gloria.tv/track/HaTJQaDSizFc1xQgAUcn7xvbn
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
284- De NOMBREUX ENFANTS
ATTEINTS de LEUCÉMIE
APRÈS s’être fait ADMINISTRER
les VACCINS CHINOIS
WUHAN, CHINA – NOVEMBER 18: Des enfants se préparent à recevoir un vaccin contre le Covid-19 dans un site de vaccination à Wuhan, dans la province de Hubei, en Chine, le 18 novembre 2021. ATTEINTS de LEUCÉMIE
APRÈS s’être fait ADMINISTRER
les VACCINS CHINOIS
Après avoir reçu sa première dose du vaccin Covid‑19, la petite fille de 4 ans de Li Jun a eu de la fièvre et de la toux, qui ont rapidement disparu après une thérapie intraveineuse à l’hôpital. Mais après la deuxième injection, le père a compris que quelque chose n’allait pas.
Des gonflements sont apparus autour des yeux de sa fille et n’ont pas disparu. Pendant des semaines, la fillette s’est plainte de douleurs aux jambes. Là‑dessus, des ecchymoses ont commencé à apparaître, semblant sortir de nulle part. En janvier, quelques semaines après la deuxième dose, on a diagnostiqué une leucémie lymphoblastique aiguë chez la fillette de 4 ans.
« Mon bébé était en parfaite santé avant la dose de vaccin », a affirmé à Epoch Times Li Jun (un pseudonyme), originaire de la province du Gansu, dans le centre‑nord de la Chine. « Je l’ai emmenée faire un bilan de santé. Tout était normal. »
Il fait partie des centaines de Chinois qui appartiennent à un groupe de médias sociaux affirmant souffrir ou avoir un membre de leur famille souffrant de leucémie, développée après s’être fait administrer des vaccins chinois. Huit d’entre eux ont confirmé la situation lorsqu’ils ont été contactés par Epoch Times. Par mesure de sécurité, les noms des personnes interrogées n’ont pas été divulgués.
Les cas de leucémie concernent différents groupes d’âge et toutes les régions de Chine. Mais Li Jun et d’autres personnes ont souligné l’augmentation du nombre de patients dans la tranche d’âge la plus jeune au cours des derniers mois, coïncidant avec la campagne de vaccination des enfants âgés de 3 à 11 ans lancée par le régime en octobre dernier.
La fille de Li Jun a reçu sa première injection à la mi‑novembre, à la demande de son jardin d’enfants. Elle subit actuellement une chimiothérapie à l’hôpital populaire n°2 de Lanzhou, où au moins 20 enfants sont traités pour des symptômes similaires, la plupart âgés de 3 à 8 ans, selon Li Jun.
« Notre médecin de l’hôpital nous a dit que depuis novembre, le nombre d’enfants venant dans leur division d’hématologie pour traiter la leucémie a doublé par rapport aux années précédentes et qu’ils ont une pénurie de lits. »
Li Jun a affirmé qu’au moins huit enfants du district de Suzhou, où il vit, sont morts récemment de leucémie.
La division d’hématologie de l’hôpital n’a pas pu être jointe immédiatement pour des commentaires.
Pression nationale
Selon les derniers chiffres de la Commission nationale de la santé de Chine, environ 84,4 millions d’enfants âgés de 3 à 11 ans ont été vaccinés au 13 novembre, ce qui représente plus de la moitié de la population de cette tranche d’âge.
Les parents chinois ont manifesté une certaine résistance lors du lancement de la campagne de vaccination des enfants. Ils s’inquiétaient du manque de données sur les effets des vaccins chinois sur les jeunes. Les vaccins sont fournis par deux fabricants de médicaments chinois, Sinopharm et Sinovac, qui affichent un taux d’efficacité de 79 % et 50,4 %, respectivement, sur la base des données disponibles issues d’essais menés sur des adultes.
Il existe peu d’informations sur les effets de ces vaccins sur la santé des enfants, et l’Organisation mondiale de la santé a déclaré fin novembre qu’elle n’avait pas approuvé les deux vaccins pour une utilisation d’urgence chez les mineurs.
Mais les parents qui hésitaient à faire vacciner leurs enfants ont subi des pressions pour s’y conformer. Certains ont perdu leurs primes de travail ou se sont faits sermonnés par leurs supérieurs. Dans d’autres cas, leurs enfants ont été punis, certains ont vu leurs résultats scolaires revus à la baisse, d’autre ont été interdit de fréquenter l’école, comme dans le cas du fils de Wang Long, âgé de 10 ans.
« L’année dernière, l’école nous a dit de l’emmener se faire vacciner à telle ou telle date, sinon il ne pourrait pas aller en classe », a raconté Wang Long, originaire de la province orientale du Shandong, à Epoch Times.
Le garçon a reçu sa deuxième dose le 4 décembre. Un mois plus tard, il a commencé à ressentir de la fatigue et une faible fièvre. Il est maintenant à l’hôpital Qilu de l’université de Shandong, où il est traité pour une leucémie aiguë, diagnostiquée le 18 janvier.
Censure
Sur WeChat, la plateforme chinoise de médias sociaux tout‑en‑un, Li Jun a fait la connaissance de plus de 500 patients ou membres de leur famille partageant la même situation difficile.
Le centre local de contrôle des maladies avait promis une enquête, alors qu’il était appelé par Li Jun et d’autres personnes. Mais ces enquêtes se sont invariablement soldées par des déclarations de responsables répétant que les cas de leucémie étaient « fortuits » et n’avaient donc aucun lien avec les vaccins.
Les autorités ont dit la même chose en 2013, après la mort de plus d’une douzaine de jeunes enfants après des injections contre l’hépatite B.
Mais Li Jun et d’autres dans une situation similaire sont loin d’être convaincus.
« J’ose dire qu’ils n’ont pas fait de vérification, mais qu’ils se sont contentés de faire semblant », explique Li Jun.
Li Jun soupçonne les autorités de lui donner des réponses évasives. Les fonctionnaires lui ont dit qu’un groupe d’experts allait ouvrir une enquête dans sa province, mais lorsqu’il a appelé l’agence de santé provinciale, celle‑ci a nié être au courant, affirmant que les rapports sur ces cas ne leur étaient jamais parvenus.
Li Jun et d’autres personnes qui souhaitent que cette question soit examinée de près avaient vraiment très peu de chances de se faire entendre dans la vaste machinerie de censure chinoise qui filtre constamment tout ce qui est jugé nuisible aux intérêts du régime communiste.
« L’information est bloquée dès l’instant où on essaie de mettre quelque chose en ligne. On ne peut pas l’envoyer », a déploré Li Jun.
Lorsque les deux plus hautes instances politiques de la Chine se sont réunies la semaine dernière pour leur plus importante rencontre annuelle, à l’occasion de ce que Pékin appelle les « Deux Sessions », Li Jun a lancé dans le groupe WeChat l’idée d’une pétition dans la capitale pour attirer l’attention des autorités.
Ce message a immédiatement attiré l’attention des autorités.
« La police nous a appelés un par un », a déclaré Li Jun. « Ils ont dit que nous avions inventé des choses et nous ont ordonné de nous retirer du groupe de discussion. »
Le groupe a rapidement été dissous. Une fiche d’information contenant les détails de plus de 200 patients atteints de leucémie, remplie par les membres du groupe, n’est plus accessible.
Selon Li Jun, certains signes indiquent que les autorités sont bien conscientes de ce problème. Les médecins, lorsqu’ils recevaient des patients présentant des symptômes similaires, leur demandaient d’abord s’ils avaient été vaccinés, citant des informations qu’il a apprises sur le groupe WeChat.
« C’est bon, disaient‑ils en réponse aux questions, et ça s’arrêtait là. »
Li Jun a fait face à la même réaction lorsqu’il a appelé la ligne d’assistance téléphonique de la télévision publique chinoise CCTV dans l’espoir d’obtenir une couverture médiatique.
« Dès que nous avons dit que les enfants avaient été vaccinés contre le Covid‑19, ils m’ont demandé s’ils avaient une leucémie. Ils le savaient », a expliqué Li Jun. « Ils ont dit qu’ils recevaient trop d’appels à cause de ça. »
Désespoir
Le coût du traitement est estimé à environ 400 000 à 500 000 yuans (env. 60 000 à 70 000 €), soit plus de 20 fois le revenu annuel moyen.
Wang Long, dont l’enfant de 10 ans a été diagnostiqué leucémique, est le seul soutien de sa famille et a déjà du mal à rembourser son prêt immobilier. Il n’a reçu que 1 000 yuans (144 €) environ par le biais du programme d’aide sociale de l’État pour l’aider à payer le traitement de son fils.
« Je suis resté à l’hôpital jusqu’à 4 heures du matin la nuit précédente », a déclaré Wang Long, ajoutant que la nouvelle accablante a totalement « brisé » la mère du garçon.
« S’il en avait hérité de la famille, nous l’aurions accepté comme notre lot », concède Wang Long. « Mais il est tombé malade à cause du vaccin. Je ne peux pas m’y faire. »
Li Jun, quant à lui, a emprunté de l’argent à ses proches pour payer les frais d’hospitalisation. Une partie de l’argent arrive en billets de 20 et 30 yuans, l’équivalent de quelques dollars, dit‑il.
Li Jun n’a reçu aucune réponse des autorités ou des médias.
Son ami qui travaille à la commission locale de la santé chargée de superviser la distribution des vaccins lui a dit de ne pas placer trop d’espoir dans cette affaire.
« Les responsables savaient que vous pouviez contracter une leucémie, mais le ‘bras n’est pas de taille face à la cuisse’ », lui a dit l’ami, en référence à une métaphore chinoise. « C’est un problème national. »
La Commission de la santé de la ville de Lanzhou, la Commission de la santé de la province du Gansu, le Centre provincial de contrôle et de prévention des maladies du Gansu, le Centre de prévention et de contrôle des maladies de Lanzhou, le Centre de prévention et de contrôle des maladies de la ville de Jiuquan, Sinopharm et Sinovac n’ont pas répondu aux multiples demandes de commentaires.
La Commission nationale de la santé, Sinopharm et Sinovac n’ont pas répondu aux questions posées par mail par Epoch Times dans l’immédiat.
(Source : https://nouveau-monde.ca/de-nombreux-enfants-atteints-de-leucemie-apres-setre-fait-administrer-les-vaccins-chinois/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
286- ALERTE
sur les NOUVEAUX VACCINS 'CLASSIQUES'
OU POISONS 'CLASSIQUES'
(NOVAVAX et VALNEVA)
sur les NOUVEAUX VACCINS 'CLASSIQUES'
OU POISONS 'CLASSIQUES'
(NOVAVAX et VALNEVA)
Pour ceux qui se posent des questions sur les nouveaux vaccins "classiques" qui arrivent sur le marché, Loretta Bolgan, experte italienne en vaccins et technologies pharmaceutiques, vous alerte sur leur gravité :
Les adjuvants de ces vaccins renforcent la toxicité de la protéine Spike...
https://gloria.tv/post/SShJDZ4mk7Zv1NywGBsp77wvc
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
288- Il FAUT IMPÉRATIVEMENT
SAUVER les ENFANTS
de l’INJECTION INUTILE et DANGEREUSE,
et REFUSER les UKASES de la CPAM
par le Docteur Nicole Delépine (10 mars 2022)
de l’INJECTION INUTILE et DANGEREUSE,
et REFUSER les UKASES de la CPAM
par le Docteur Nicole Delépine (10 mars 2022)
Il ne faut pas se laisser endormir par la suspension transitoire du pass à l’occasion des élections. Le silence des médias sur le covid depuis la guerre Ukraine-Russie ne doit pas vous tromper. Vos enfants restent en danger par la volonté persistante du pouvoir de les injecter.
Même la suppression du masque à l’école reste floue laissant persister la peur chez les enseignants, leurs syndicats et les enfants eux-mêmes. Il est clair que le pouvoir laissera subsister le scénario tragique aussi longtemps qu’il le pourra, menaçant d’autres virus si la peur de sars cov2 tombe trop vite.
Tant que tous ne seront pas injectés, et que les rappels pluriannuels ne seront pas rentrés dans les mœurs, ce pouvoir mondialiste tentera de nous maintenir la tête sous l’eau via les films d’horreur dans un temps où la fiction et la réalité ne sont plus évidentes à distinguer pour chacun d’entre nous tant la désinformation tient le haut du pavé.
La CPAM a osé rappeler aux médecins généralistes leur « devoir » de « vacciner les enfants » !
Faut-il répéter une nouvelle fois que les enfants ne risquent rien du covid, ne contaminent personne, ni les autres enfants, ni les adultes.[1] Faut-il rappeler que les « vaxxins ne protègent pas des contaminations ni des formes graves » ?
Comment accepter ce nouvel ukase ? Alors que l’on dénombre en France déjà 44 enfants décédés de cette injection expérimentale en fin février selon l’ANSM elle-même, et 241 en UE au 1er janvier 2022 selon l’Eudravigilance, site des accidents médicamenteux de l’agence européenne.
La CPAM obéit au gouvernement qui ne « connaît » pas ou ne veut pas connaître les données sur l’inutilité et la dangerosité de la vaccination des enfants. Il a déjà commandé des doses et maintient le mythe de la protection vaccinale en imposant le pass sanitaire à l’hôpital et la vaccination aux soignants. C’est insupportable et le pire est la soumission des patients, des soignants, des médecins, des citoyens. Encore aujourd’hui, vous serez rejeté de l’hôpital si vous accompagnez votre vieille maman pour une urgence médicale, et que vous n’êtes pas vacciné, alors que l’épidémie est terminée selon l’aveu même du pouvoir. Et si vous n’êtes pas injecté, on vous retirera la tutelle de votre proche handicapé qui se verra injecté sans plus de discussion. De quel droit ? De quel droit les handicapés placés sont-ils devenus une chair à canon pour l’expérimentation mondiale avec ces substances géniques en essai ?
Des morts, des enfants perdus pour leur avenir sportif après une atteinte cardiaque lors d’un effort pour ceux qui survivront, des enfants devenus aveugles… Tout ça pour ça…, pour ne pas dire qu’on s’est fourvoyé en mettant trop vite sur le marché une « sorte de médicament »,[2] une injection expérimentale.
Voici le courrier adressé aux médecins par la CPAM destiné à favoriser la vaccination des enfants dès l’âge de 5 ans ! Comment ne pas tenir compte des chiffres français et internationaux sur le danger de ces vaccins complètement inutiles chez l’enfant ? Ces médecins ou ces administratifs, voire des juges pour les handicapés sous tutelle, qui imposent la vax se rendent-ils compte de la responsabilité pénale qu’ils encourent pour mise en danger de la vie d’autrui en cas de complication, voire de décès de l’enfant injecté ?
Le docteur Denis Agret a rappelé les données publiées par l’ANSM, l’agence du médicament française, le 5 mars 2022 lors d’une manifestation à Montpellier. La vidéo a sauté.
Nous avons fait récemment le point des effets secondaires avoués par les agences des différents pays,[3] bien inférieurs probablement à la réalité, mais quand l’UE reconnaît près de 40 000 décès liés aux injections, que faut-il de plus pour exiger un ARRÊT IMMÉDIAT des pseudovaccins sans utilité contre la pandémie, mais avec d’énormes risques de décès ou aussi de handicaps (pour certains définitifs). De nombreux articles fouillés démontrent que les effets secondaires que nous découvrons avec horreur jour après jour étaient connus d’emblée par Pfizer et que les agences ont néanmoins donné des autorisations « provisoires ».
Lisez la belle mise au point de Patrice Gibertie sur son blog et vous tremblerez. Ils savaient…[4] Et ils continuent : « Le vaccin ARNm produit plus de spike qu’une grosse infection et on a plus de mal à soigner les effets secondaires graves (très nombreux) que le COVID, même avancé. Le scandale : les effets secondaires sont connus depuis longtemps, les risques pour l’ADN, les risques pour les enfants, tout était connu et ils ont recommandé les injections ».
Vous avez eu trois doses, pour de toutes nouvelles études les mécanismes de la protéine spike injectée sont en pire ceux de la maladie contractée, certains ont même contracté un covid vaccinal symptomatique avec des formes aussi graves que la maladie. »
Moratoire, arrêt immédiat : c’est ce qu’ont redemandé une nouvelle fois des médecins anglais[5] et d’autres insistent sur les risques des femmes enceintes pourtant poussées encore récemment par la DGS à la vaccination ![6]
Nous avons fait récemment le point des effets secondaires avoués par les agences des différents pays,[3] bien inférieurs probablement à la réalité, mais quand l’UE reconnaît près de 40 000 décès liés aux injections, que faut-il de plus pour exiger un ARRÊT IMMÉDIAT des pseudovaccins sans utilité contre la pandémie, mais avec d’énormes risques de décès ou aussi de handicaps (pour certains définitifs). De nombreux articles fouillés démontrent que les effets secondaires que nous découvrons avec horreur jour après jour étaient connus d’emblée par Pfizer et que les agences ont néanmoins donné des autorisations « provisoires ».
Lisez la belle mise au point de Patrice Gibertie sur son blog et vous tremblerez. Ils savaient…[4] Et ils continuent : « Le vaccin ARNm produit plus de spike qu’une grosse infection et on a plus de mal à soigner les effets secondaires graves (très nombreux) que le COVID, même avancé. Le scandale : les effets secondaires sont connus depuis longtemps, les risques pour l’ADN, les risques pour les enfants, tout était connu et ils ont recommandé les injections ».
Vous avez eu trois doses, pour de toutes nouvelles études les mécanismes de la protéine spike injectée sont en pire ceux de la maladie contractée, certains ont même contracté un covid vaccinal symptomatique avec des formes aussi graves que la maladie. »
Moratoire, arrêt immédiat : c’est ce qu’ont redemandé une nouvelle fois des médecins anglais[5] et d’autres insistent sur les risques des femmes enceintes pourtant poussées encore récemment par la DGS à la vaccination ![6]
Et pourtant la pandémie si elle a eu lieu est bel et bien terminée. Les chiffres officiels publiés : https://covid.irsan.eu — 21 malades/100 000 habitants le 5 mars 2022. L’IRSAN est dirigé par Laurent Toubiana. Le seuil épidémique est à 170 malades/100 000 h !
QUE FAUDRA-T-IL POUR FAIRE TOMBER LE MYTHE DE LA PANDÉMIE ET DE L’EFFICACITÉ DES INJECTIONS ?
NOTES :
1- https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/03/enfants-et-covid-1-MARS-22.pdf avec le diaporama sur l’absence d’efficacité des masques et leurs nombreuses complications
2- Selon l’expression récente du Pr Delfraissy
3- https://docteur.nicoledelepine.fr/le-point-sur-les-complications-des-pseudovaccins-anticovid-au-4-mars-2022/
4- https://pgibertie.com/2022/03/09/mise-en-danger-de-la-vie-dautrui-ils-savaient-et-pourtant-ils-ont-meme-pique-des-enfants-et-des-femmes-enceintes/
5- Open Letter from the Children’s Covid Vaccines Advisory Group (CCVAG) to the JCVI: Pause vaccines for children pending urgent review — HART (hartgroup.org)
6- FOIA docs reveal Pfizer shot caused avalanche of miscarriages, stillborn babies—LifeSite (lifesitenews.com)
(Source : https://nouveau-monde.ca/il-faut-imperativement-sauver-les-enfants-de-linjection-inutile-et-dangereuse-et-refuser-les-ukases-de-la-cpam/ )
289- Des EFFETS INDÉSIRABLES
Comment pourrait-on connaître correctement les effets indésirables du vaccin Pfizer chez les enfants de 5 à 11 ans alors même que ces données sont « caviardées » sur le site de l’agence européenne du médicament ?
La vaccination des enfants de 5-11 ans est récente. Les données françaises tant sur le bénéfice que sur les effets indésirables sont donc encore limitées à ce jour. Aux Etats Unis, 8 à 10 % des enfants ont manqué un jour d’école au moins suite à la vaccination et 5 à 8 % étaient en incapacité d’assurer leurs activités quotidiennes habituelles14.
Le CDC signale 1,25 évènements indésirables graves pour 100 000 vaccinations notifiés au VAERS (100 pour 8 millions environ d’enfants vaccinés).
Parmi ces effets indésirables graves, on note :
- 15 enfants avec troponine élevée (analyse biologique signant une atteinte cardiaque)
- 10 enfants avec crise d’épilepsie
- 15 suspicions de myocardites dont 11 ont été confirmées
- 2 décès ont été enregistrés chez des enfants ayant des comorbidités associées et qui sont en cours d’étude.
- Le nouveau point de pharmacovigilance de l’ANSM sur l’injection du vaccin Pfizer pour les 5 – 11 ans au 5 novembre indique 48 évènements indésirables dont 4 cas graves notifiés pour 351 056 injections soit 13,67 évènements indésirables pour 100 000 injections dont 1,13 graves15.
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
291- ANALYSE de la TOXICITÉ
des INJECTIONS EXPÉRIMENTALES
des INJECTIONS EXPÉRIMENTALES
(vidéo du 1er mars 2022
avec le Dr Joseph Hickey et le Prof Denis Rancourt
+ retranscription)
avec le Dr Joseph Hickey et le Prof Denis Rancourt
+ retranscription)
https://gloria.tv/post/AgB1qcR1bzza1FUDUHxFQ8S8y
Dans cette période plus qu’étrange, alors que les sous-citoyens français vont redevenir « citoyens » le 14 mars (sauf les soignants suspendus, qui restent sous-citoyens), juste à temps avant les élections présidentielles en France, après 2 ans de « crise Covid », on sait :
1- qu’il n’y a pas eu de pandémie ([1], [2] et [3])
2- que les syantifiques ont relayé le discours dominant par ignorance, naïveté, conformisme ou corruption [4] (je ne parle pas des trop rares vrais scientifiques qui ont fait leur boulot)
3- que la solution magique promue (l’injection expérimentale) pour résoudre la pandémie bidon était non seulement également bidon [5] mais aussi potentiellement dangereuse [6] et [7]
4- que les fabricants de ces injections bidons sont des entreprises habituées à mentir et à fournir des données bidons pour vendre leurs drogues et autres injections plus ou moins expérimentales ([8] et [9]).
Enfin, on s’est même posé la question de l’existence du fameux « virus » SARS-CoV-2, en tout cas de sa pathogénicité s’il existe réellement en dehors des simulations informatiques (existence « in silico ») et il se pourrait qu’il faille revoir complètement notre vision des maladies infectieuses [10]
Aujourd’hui, nous allons voir que les injections bidons censées protéger de la pandémie bidon sont purement et simplement des substances toxiques.
Cette toxicité a pu être analysé de façon très fine par Dr Joseph Hickey et prof Denis Rancourt, de l’Association des Libertés Civiles de l’Ontario (https://ocla.ca/).
Leur publication sur le sujet est disponible ici (en anglais) : https://ocla.ca/ocla-report-nature-of-toxicity-of-covid-19-vaccines-in-usa-version-1/
PDF : https://ocla.ca/wp-content/uploads/2022/02/OCLA-Report-2022-1-v1.pdf
J’ai eu le plaisir de recevoir Joseph Hickey et Denis Rancourt, pour l’émission Science en Conscience pour RéinfoCovid n°21 ce mardi 1er mars.
L’analyse des données du VAERS (Vaccine Adverse Effect Reporting System) aux États-Unis permet de mesurer la toxicité des différentes injections communément appelées « vaccins anti-Covid ».
Compte tenu de l’évolution du nombre de morts et du nombre d’effets indésirables dans le temps après la date des injections, on peut montrer qu’il existe un lien de causalité entre ces effets indésirables (parfois fatals) et l’injection en question. On peut aussi démontrer que l’injection Janssen tue 3 fois plus que l’injection Moderna, et même 4 fois plus que l’injection Pfizer, mais qu'elles sont toutes les trois toxiques.
En outre, Joseph Hickey et Denis Rancourt démontrent :
- que les personnes les plus âgées sont celles qui ont le plus souffert de ces effets indésirables (notamment la mort),
- que le nombre de morts par dose augmente exponentiellement avec l’âge,
- qu'il n’y a pas de preuve de toxicité différente selon les lots, mais la variabilité des effets indésirables est plus probablement due à la variabilité de la vulnérabilité à la toxicité en fonction de l’âge des injectés.
Ainsi, non seulement ces injections n’ont aucune justification scientifique, mais en plus chercher à injecter les personnes âgées les met disproportionnellement en danger.
Bref, si tu as pris ces injections bidons, quelle qu’en soit la raison (pour aller au resto, au ciné, pour voyager, pour pas perdre ton boulot, pour protéger les autres, toi-même ou le narratif), sache au moins que tu t’es fait injecter un produit toxique.
Si tu en réchappes sans effet indésirable, j’espère pour toi que ça va durer et que tu ne vas pas te refaire injecter de truc chelou et toxique à l’avenir (c’est la norme malheureusement).
Tu peux aussi tenter de reprendre ta santé en main, notamment avec cette approche également bizarre, mais pour le coup très efficace pour pas mal de problèmes, et pas du tout bidon.
Bonne résistance à la propagande (qui repart de plus belle avec l’Ukraine), et bonne reprise en main de ta santé !
1- qu’il n’y a pas eu de pandémie ([1], [2] et [3])
2- que les syantifiques ont relayé le discours dominant par ignorance, naïveté, conformisme ou corruption [4] (je ne parle pas des trop rares vrais scientifiques qui ont fait leur boulot)
3- que la solution magique promue (l’injection expérimentale) pour résoudre la pandémie bidon était non seulement également bidon [5] mais aussi potentiellement dangereuse [6] et [7]
4- que les fabricants de ces injections bidons sont des entreprises habituées à mentir et à fournir des données bidons pour vendre leurs drogues et autres injections plus ou moins expérimentales ([8] et [9]).
Enfin, on s’est même posé la question de l’existence du fameux « virus » SARS-CoV-2, en tout cas de sa pathogénicité s’il existe réellement en dehors des simulations informatiques (existence « in silico ») et il se pourrait qu’il faille revoir complètement notre vision des maladies infectieuses [10]
Aujourd’hui, nous allons voir que les injections bidons censées protéger de la pandémie bidon sont purement et simplement des substances toxiques.
Cette toxicité a pu être analysé de façon très fine par Dr Joseph Hickey et prof Denis Rancourt, de l’Association des Libertés Civiles de l’Ontario (https://ocla.ca/).
Leur publication sur le sujet est disponible ici (en anglais) : https://ocla.ca/ocla-report-nature-of-toxicity-of-covid-19-vaccines-in-usa-version-1/
PDF : https://ocla.ca/wp-content/uploads/2022/02/OCLA-Report-2022-1-v1.pdf
J’ai eu le plaisir de recevoir Joseph Hickey et Denis Rancourt, pour l’émission Science en Conscience pour RéinfoCovid n°21 ce mardi 1er mars.
L’analyse des données du VAERS (Vaccine Adverse Effect Reporting System) aux États-Unis permet de mesurer la toxicité des différentes injections communément appelées « vaccins anti-Covid ».
Compte tenu de l’évolution du nombre de morts et du nombre d’effets indésirables dans le temps après la date des injections, on peut montrer qu’il existe un lien de causalité entre ces effets indésirables (parfois fatals) et l’injection en question. On peut aussi démontrer que l’injection Janssen tue 3 fois plus que l’injection Moderna, et même 4 fois plus que l’injection Pfizer, mais qu'elles sont toutes les trois toxiques.
En outre, Joseph Hickey et Denis Rancourt démontrent :
- que les personnes les plus âgées sont celles qui ont le plus souffert de ces effets indésirables (notamment la mort),
- que le nombre de morts par dose augmente exponentiellement avec l’âge,
- qu'il n’y a pas de preuve de toxicité différente selon les lots, mais la variabilité des effets indésirables est plus probablement due à la variabilité de la vulnérabilité à la toxicité en fonction de l’âge des injectés.
Ainsi, non seulement ces injections n’ont aucune justification scientifique, mais en plus chercher à injecter les personnes âgées les met disproportionnellement en danger.
Bref, si tu as pris ces injections bidons, quelle qu’en soit la raison (pour aller au resto, au ciné, pour voyager, pour pas perdre ton boulot, pour protéger les autres, toi-même ou le narratif), sache au moins que tu t’es fait injecter un produit toxique.
Si tu en réchappes sans effet indésirable, j’espère pour toi que ça va durer et que tu ne vas pas te refaire injecter de truc chelou et toxique à l’avenir (c’est la norme malheureusement).
Tu peux aussi tenter de reprendre ta santé en main, notamment avec cette approche également bizarre, mais pour le coup très efficace pour pas mal de problèmes, et pas du tout bidon.
Bonne résistance à la propagande (qui repart de plus belle avec l’Ukraine), et bonne reprise en main de ta santé !
(pour tourner les pages, maintenir un clic tout en glissant dans le sens souhaité)
https://gloria.tv/post/EbZQFJ3g7YQS11q7AjWHTtCsm
(Source : https://nouveau-monde.ca/toxicite-des-vaccins-anti-covid/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
299- EFFETS NÉFASTES des VAX ANTI-COVID
sur les FEMMES ENCEINTES et les ENFANTS
par Gérard et Nicole DELÉPINE (18 mars 2022 sur leur compte Télégram)
sur les FEMMES ENCEINTES et les ENFANTS
par Gérard et Nicole DELÉPINE (18 mars 2022 sur leur compte Télégram)
(26 janvier 2022)
La lettre suivante de 16 pages, prenant en compte 1 019 études évaluées par des pairs sur les dangers du vaccin Covid-19, a été rédigée par le Dr James Thorp, un obstétricien, gynécologue et spécialiste en médecine fœto-maternelle, à l’American Board of Obstetrics and Gynecology en réponse à leur déclaration Concernant la diffusion de fausses informations sur le COVID-19.
Ses conclusions sont sans appel.
En seulement 12 mois depuis le déploiement du vaccin COVID 19, j’ai examiné environ 1 019 références mentionnées ci-dessous. J’encourage TOUT le personnel et les examinateurs de l’American Board of Obstetrics and Gynecology à examiner toutes ces études, comme je l’ai fait. Après avoir lu l’ensemble de ces 1 019 publications évaluées par des pairs, et listées ci-dessous dans les références, vous ne pouvez arriver à aucune autre conclusion que celle que les injections de thérapie génique expérimentale COVID-19 sont hautement morbides et mortelles chez les femmes en âge de procréer, les femmes enceintes, leur progéniture et les enfants qui recevront cette injection de thérapie génique expérimentale. Les dangers de la thérapie génique expérimentale COVID-19sont irréfutables et l’American Board of Obstetrics and Gynecology doit se rétracter de ses menaces de septembre 2021 et faire une déclaration forte concernant les risques de cette injection de thérapie génique expérimentale chez les femmes en âge de procréer et pendant la grossesse. Veuillez faire preuve de diligence raisonnable et lire ces références, comme je l’ai fait.
https://www.rodefshalom613.org/wp-content/uploads/2022/01/Thorp-ABOG-Letter-.01.12.2021.pdf?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp
(pour tourner les pages, maintenir un clic tout en glissant dans le sens souhaité)
https://gloria.tv/post/43sDgDNLchQJ6YGcXADceUCjT
(Source : https://nouveau-monde.ca/effets-nefastes-des-vax-anti-covid-sur-les-femmes-enceintes-et-les-enfants/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
301- QUESTION-RÉPONSE
Bonjour je voudrai poser une question sur la page ?
J'aimerai savoir si parmi ceux qui ont été vacciner certains ont une tachycardie lié au stress et voir si après le vaccin ça s est empiré/ évoluer vers des problèmes de cœur.
Merci
21 décembre 2021
Laila Lony a écrit:Tachycardie, baisse et hausse de tension à la 1 ère dose le 19 décembre. Appelle au 15 car j’étais très mal, vu le médecin de garde qui m'envoie aux urgences. L'hôpital m'a gardé 2 heures le temps que ça se calme puis renvoyé chez moi avec 1 cachet d'alprazolam. 2 heures après ça recommencé. Revu le médecin qui m'a prescrit un bêtabloquant et depuis ( quand même 1 semaine) ça va un peu mieux. Je précise que je suis anxieuse mais n'ai jamais vécu cela avant. Je pense que c'est du au syndrome de Raynault et mon déficit en facteur 7 lié au vaccin. Je me permet des hypothèses car à ce jours aucunes réponses des soignants sur ce qui m'est arrivé. On m'a juste conseillé Pfizer pour la 2nd dose et non moderna. Je précise que je n'ai aucun diplôme médical, juste un ressenti et malheureusement aucunes écoute, ni conseil des médecins consultés.
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
303- CINQ COMMENTAIRES
Delph Colib a écrit:
Bonjour
Pfizer vient de sortir (par obligation) son compte rendu de 8 pages d'effets secondaires soit 1291 effets recensés.... la liste est tellement longues que je ne peux la joindre ici..
Rebbie Wel a écrit:J'ai acheté du "glutathion" du nac 800 et du chlorella pour pouvoir nettoyer mon corps de ce vaccin.... je fais de la tachycardie, baisse de tension, vertige, crise d angoisse....l'hôpital voit rien...j ai fait une analyse de diatomées pour voir si risque d'avc si à plus de 50....bref....
Jacqueline Noel a écrit:Quand comprendrez vous que ces vax sont dangereux, vous aller en plus perdre toutes vos immunités .
Sindy Robinson a écrit:Je suis du Québec ma plus vieille des filles à 18 ans a sa première dose elle a fait une énorme crise d anxiété sa crise a duré 1 semaine et plus jamais qu elle va reprendre des vaccins contre la covid
Aicha Aksoy, il y a 8 semaines, a écrit:
Bonjour à tous,
Une pétition a été mise en ligne via le sénat sur une demande de commission d'enquête sur les effets secondaires des injections. Il fait qu'elle atteigne les 100000 signatures pour qu'elle se fasse.
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
305- La THAÏLANDE
VERSERA 45 MILLIONS de DOLLARS
à 15 933 PERSONNES
qui ont SUBI des DOMMAGES causés PAR le VACCIN
VERSERA 45 MILLIONS de DOLLARS
à 15 933 PERSONNES
qui ont SUBI des DOMMAGES causés PAR le VACCIN
En France c’est impossible car ça n’existe pas les effets indésirables des injections d’ARN messager !
En France c’est impossible que cela arrive car les effets indésirables des injections d’ARN messager n’existent pas, parole de Vérantanplan ou de Rémi Salomon ! Du coup, on se demande bien d’où sortent ces 15 933 personnes en Thaïlande ? Sont-elles toutes folles ? Les médecins qui les ont auscultées et la justice qui a décidé de les indemniser sont-ils tous fous ? Est-ce un complot ? À vous de voir…
phnompenhpost.com rapporte : Du 19 mai 2021 au 8 mars de cette année, l’Agence nationale thaïlandaise de sécurité sanitaire (NHSO) a versé environ 1,509 milliard de bahts (45,65 millions de dollars) en aide financière aux personnes décédées après avoir reçu le vaccin COVID-19 et subi des réactions indésirables.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire (ONSS) est responsable du programme de soutien financier.
« En cas de décès ou d’invalidité permanente, chaque famille recevra 400 000 bahts (11 900 dollars). 240 000 bahts (7 178 $) seront versés à ceux qui perdent un membre ou souffrent d’un handicap qui affecte leurs moyens de subsistance, et 100 000 bahts (2 990 $) seront versés à ceux qui souffrent d’une maladie chronique », a rapporté Thai à PBS.
Selon le NHSO, un total de 15 933 personnes ont jusqu’à présent déposé des plaintes concernant les effets indésirables des vaccins Covid-19, et 2 328 plaintes ont été rejetées.
La Poste de Phnom Penh rapporte :
« L’Agence nationale thaïlandaise de sécurité sanitaire (NHSO) a jusqu’à présent versé 1,509 milliard de bahts (45,65 millions de dollars) en compensation à 12 714 personnes qui ont développé des effets secondaires après avoir reçu des vaccins Covid-19.
Le NHSO a rapporté le 9 mars que du 19 mai 2021 au 8 mars de cette année, un total de 15 933 personnes avaient déposé des plaintes pour réactions indésirables aux vaccins Covid-19.
Le NHSO a déclaré que 2 328 plaintes avaient été rejetées après avoir décidé que les effets secondaires n’étaient pas liés aux vaccinations.
Parmi les cas rejetés, 875 plaignants ont fait appel de la décision antérieure de l’ONSS.
Dans 891 cas, l’examen n’est pas encore terminé ».
(Source : https://reseauinternational.net/la-thailande-versera-45-millions-de-dollars-a-15-933-personnes-qui-ont-subi-des-dommages-causes-par-le-vaccin-apres-avoir-recu-le-vaccin-covid/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
307- CLAUDE DÉNONCE :
« Ma FEMME est DÉCÉDÉE
« Ma FEMME est DÉCÉDÉE
Claude Lannes a perdu son épouse Marie-France, le 25 mars dernier. D'après l’autopsie pratiquée après son décès, ce serait la première injection du vaccin AstraZeneca qui aurait provoqué sa mort. L'Ariègeois et son fils ont porté plainte contre X à la gendarmerie de Saverdun.
Claude ne réalise toujours pas ce qui s’est passé ce 25 mars dernier. « Tout est allé tellement vite, j’ai perdu Marie-France en quelques heures seulement. C’est le vaccin AstraZenena qui l’a tué », confie-t-il encore ému.
Le 6 mars dernier, Claude Lannes et sa femme Marie-France, tous deux âgés de 70 ans, se rendent dans un cabinet médical pour recevoir leur première injection du vaccin AstraZena. Ils sont confiants, et veulent comme de nombreux Français faire stopper l’épidémie et retrouver une vie ordinaire : « au mois de mars, on ne parlait pas trop des risques liés à ce vaccin et encore moins de morts. Notre médecin nous avait dit qu'il était très efficace. ».
Mais quinze jours après la première injection, le 21 mars, Marie-France ressent des symptômes inhabituels : « elle avait un mal de tête très violent. La douleur ne passait pas. » Le lendemain, le couple se rend chez leur médecin généraliste : « il lui a demandé de faire un bilan sanguin. Après les résultats, elle a dû être hospitalisée d’urgence. » En attendant les secours, Marie-France fait un AVC, et est transportée d’urgence à l’hôpital Purpan à Toulouse.
Dans la nuit, la mauvaise nouvelle tombe : « le neurochirurgien qui s’occupait de ma femme m’a annoncé que son état était critique, ils ont essayé plusieurs opérations, sans succès, elle est décédée le 25 mars d’une thrombose cérébrale. »
Claude ne réalise toujours pas ce qui s’est passé ce 25 mars dernier. « Tout est allé tellement vite, j’ai perdu Marie-France en quelques heures seulement. C’est le vaccin AstraZenena qui l’a tué », confie-t-il encore ému.
Le 6 mars dernier, Claude Lannes et sa femme Marie-France, tous deux âgés de 70 ans, se rendent dans un cabinet médical pour recevoir leur première injection du vaccin AstraZena. Ils sont confiants, et veulent comme de nombreux Français faire stopper l’épidémie et retrouver une vie ordinaire : « au mois de mars, on ne parlait pas trop des risques liés à ce vaccin et encore moins de morts. Notre médecin nous avait dit qu'il était très efficace. ».
Mais quinze jours après la première injection, le 21 mars, Marie-France ressent des symptômes inhabituels : « elle avait un mal de tête très violent. La douleur ne passait pas. » Le lendemain, le couple se rend chez leur médecin généraliste : « il lui a demandé de faire un bilan sanguin. Après les résultats, elle a dû être hospitalisée d’urgence. » En attendant les secours, Marie-France fait un AVC, et est transportée d’urgence à l’hôpital Purpan à Toulouse.
Dans la nuit, la mauvaise nouvelle tombe : « le neurochirurgien qui s’occupait de ma femme m’a annoncé que son état était critique, ils ont essayé plusieurs opérations, sans succès, elle est décédée le 25 mars d’une thrombose cérébrale. »
Une autopsie demandée par le médecin
Marie-France n’avait pas d’antécédents, son époux assure qu’elle était en forme : « elle était régulièrement suivie, elle avait juste du cholestérol mais rien de particulier. » Le lendemain du décès, le chirurgien demande à la famille de pratiquer une autopsie : « le médecin avait des doutes sur les causes réelles de la mort de ma femme. Moi, je voulais savoir ce qui lui était arrivée. » Le 3 mai dernier, Claude Lannes reçoit les résultats : « l’autopsie a confirmé que ma femme était décédée d’une thrombose cérébrale causée par le vaccin AstraZeneca. ».
Une plainte déposée contre X
Malgré les mois passés, la douleur est toujours présente. Le 17 juin, Claude Lannes et son fils ont déposé plainte contre X à la gendarmerie de Saverdun en Ariège : « c’est la première fois que je porte plainte, je ne suis pas un procédurier. Je veux aujourd’hui que le vaccin AstraZenaca ne soit plus utilisé. Je n’attends que ça de cette procédure. ».
Encore sous le choc, Claude espère que son témoignage servira à d’autres : « après la mort de ma femme, je me suis renseigné, j’ai découvert qu’il y avait des personnes, même plus jeunes qui étaient elles aussi décédées de la même manière que ma femme. Aujourd’hui, je veux que ces personnes témoignent elles-aussi et qu’elles n’hésitent pas à porter plainte. »
Le procureur de la République n'a pas encore qualifié la plainte. Claude, lui, continue son combat pour sa femme et sa famille.
(Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/ariege/foix/temoignage-ariege-claude-denonce-ma-femme-est-decedee-d-une-thrombose-cerebrale-a-cause-du-vaccin-astrazenaca-2149762.html )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
309- STOP au POISON !
Une LISTE d’ATHLÈTES de CLASSE MONDIALE
qui sont MORTS
Une LISTE d’ATHLÈTES de CLASSE MONDIALE
qui sont MORTS
ou ont SUBI des BLESSURES GRAVES
après le VACCIN COVID-19
après le VACCIN COVID-19
Il y a 18 mois à peine, le décès de plusieurs athlètes de classe mondiale sur le terrain, devant leurs fans et en direct à la télévision, aurait fait la une des journaux sur toutes les chaînes du monde entier – pourtant, nous sommes maintenant confrontés exactement à cette situation et les médias d’information sont silencieux.
Voici une liste des meilleurs athlètes du monde entier qui, au cours des dernières semaines et des derniers mois seulement, sont morts ou ont été blessés par les vaccins COVID-19.
Kjeld Nuis : 31 ans, double médaillé d’or olympique et détenteur du record du monde de patinage de vitesse, a développé une péricardite après un vaccin Pfizer
Patineur de vitesse néerlandaise, Kjeld Nuis a reçu un diagnostic de péricardite une semaine après son premier vaccin Pfizer en juillet. Le double médaillé d’or olympique a publié sur son Instagram qu’il souffrait de graves symptômes de grippe et d’une pression thoracique avant d’être diagnostiqué par son médecin et cardiologue avec un péricarde enflammé.
Nuis a d’abord signalé qu’il était très malade, mais posté plus tard sur son Instagram qu’il se remettait bien heureusement grâce au diagnostic précoce de son médecin du sport et cardiologue.
« Il y a exactement 2 semaines aujourd’hui, j’étais à l’hôpital avec un péricarde enflammé. Heureusement, mon médecin du sport était là très tôt et m’a examiné avec le cardiologue.
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Pedro Obiang : un footballeur professionnel de 29 ans a souffert de myocardite après le vaccin contre le COVID-19, toujours sur la touche 5 mois plus tard
Ancien joueur de West Ham United, Pedro Obiang a reçu un diagnostic de myocardite après sa vaccination contre le COVID-19 en juillet. L’homme de 29 ans a été hospitalisé pour des problèmes cardiaques pendant 10 à 15 jours et a été exclu de toute activité sportive pendant au moins 6 mois après son diagnostic.
Un médecin a été cité en disant:
« Le joueur [Obiang] est venu nous voir pour son bilan de santé annuel afin de confirmer sa forme physique compétitive. Nous avons remarqué des anomalies qui n’étaient pas censées être là, nous avons donc programmé un test cardiaque le lendemain à l’hôpital Humanitas de Milan.
Le lendemain, vendredi (9 juillet), en accord avec les médecins de Sassuolo, nous l’avons fait admettre à la Polyclinique, où il est resté environ 10-15 jours. Il y était diagnostiqué avec une myocardite.
Il avait été vacciné trois à cinq jours auparavant, comme tous les joueurs.
Obiang, qui joue actuellement comme milieu de terrain pour le club de football italien Sassuolo et l’équipe nationale de Guinée équatoriale, n’est pas revenu sur le terrain depuis son diagnostic en juillet.
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Yusuke Kinoshita : Un joueur de baseball professionnel de 27 ans est décédé 5 semaines après avoir été vacciné contre le COVID-19
Joueur de baseball japonais, Yusuke Kinoshita est décédé 5 semaines après sa vaccination contre le COVID-19. Le joueur de 27 ans, qui a joué pour le Dragons Chunichi , s’est effondré lors d’un entraînement de rééducation sur son épaule droite le 6 juillet et a été transporté d’urgence à l’hôpital où il a été mis sous ventilateur. Kinoshita est décédé sans avoir repris connaissance le 3 août.
Le joueur de baseball avait reçu son vaccin COVID huit jours avant son effondrement.
Le propriétaire des Dragons Chunichi, Uichiro Oshima, mentionné peu avant sa mort :
« J’ai entendu dire qu’il était tombé malade après sa vaccination. Il est hospitalisé et se bat actuellement pour sa vie. Je ne connais pas le lien de cause à effet entre sa vaccination et l’effondrement.
Le lanceur de 27 ans d’Osaka aurait fait de l’exercice intensément immédiatement après sa vaccination, ce qui pourrait avoir été la cause de son effondrement et de sa mort.
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Brandon Goodwin: Un joueur de la NBA de 26 ans a souffert de caillots sanguins peu de temps après sa vaccination contre le COVID-19, toujours mis à l’écart 7 mois plus tard
Ancien meneur des Atlanta Hawks, Brandon Goodwin a développé des caillots sanguins après le vaccin COVID-19 qui l’a entraîné disparu la fin de la saison NBA 2020-21.
Dans une vidéo publiée sur Tic le 29 septembre, Goodwin a déclaré : « Oui, le vaccin a mis fin à ma saison. Mille pour cent. Il a également dit qu’on lui avait dit : « de ne rien en dire, de ne le dire à personne ».
Il a continué :
« Je suis tombé malade et je ne m’en suis jamais tout à fait remis. J’avais toujours mal au dos, j’étais juste super fatigué pendant les matchs. J’avais l’impression que je ne pouvais pas courir d’un bout à l’autre du court. Mon dos me faisait mal. Mon dos a vraiment commencé à me faire très mal. Ensuite, je me dis, ‘OK. Je dois aller chez le médecin. C’est alors que j’ai découvert que j’avais des caillots sanguins. Tout s’est passé en l’espace d’un mois. J’allais bien jusque-là. J’allais bien jusqu’à ce que je prenne le vaccin, j’allais bien.
Goodwin a admis dans la vidéo qu’il avait des inquiétudes quant à son avenir en NBA :
« Je ne sais pas où je joue cette année. Je ne vais pas vous mentir, je ne sais pas.
Le meneur n’est pas revenu en NBA depuis qu’il a développé des caillots sanguins à cause du vaccin il y a 7 mois.
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Greg Van Avermaet: l’ancien champion olympique de cyclisme sur route quitte la Coupe du monde de cyclisme en raison des effets secondaires des vaccins
Le cycliste médaillé d’or olympique 2016 Greg Van Avermaet n’a pas participé aux Championnats du monde de cette année après en disant son système immunitaire avait été compromis par le vaccin Pfizer qu’il avait reçu en juin.
« Mes valeurs sanguines ne montrent rien. Parfait, comme toujours, ce qui est aussi ma grande force. Mais d’autres données montrent qu’il y a quelque chose qui ne va pas avec mon système immunitaire. Mon corps combat un adversaire inconnu et c’est probablement le vaccin. Je dors bien, je m’entraîne bien et je me sens bien, mais il me manque 3 % de ma meilleure forme.
Van Avermaet n’a pas été le premier cycliste professionnel de haut niveau à s’inquiéter des effets du vaccin sur ses performances. En juillet, après le Tour de France, Jakob Fuglsang d’Astana-Premier Tech, qui n’a pas pris le départ de la dernière étape de la course pour cause de maladie et s’est classé 38e au général après le contre-la-montre individuel de la veille, a déclaré qu’il pensait que la vaccination était derrière son performance médiocre dans la course de trois semaines.
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Francesca Marcon : une joueuse de volley-ball de 38 ans a développé une péricardite après son deuxième vaccin contre Pfizer
Joueuse de volley-ball italienne, Francesca Marcon a immédiatement souffert d’essoufflement et de douleurs à la poitrine après sa vaccination Pfizer le 3 août. Elle est allée aux urgences le lendemain où les médecins diagnostiqué elle avec une péricardite.
La volleyeuse a partagé son expérience sur Instagram:
« Peut-être que mon discours est un peu blasphématoire, mais je me demande : n’y a-t-il aucune forme d’indemnisation pour ceux qui souffrent de problèmes de santé après avoir été vaccinés ? Je précise que je ne suis pas anti-vax mais je n’ai jamais été convaincu de prendre ce vaccin et maintenant je comprends pourquoi. Je ne sais pas si cela vous intéresse mais j’ai eu et j’ai toujours une péricardite post-vaccinale. Qui paie le prix de tout cela ?
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Antoine Méchin : le triathlète de 32 ans a souffert de caillots sanguins après le vaccin Moderna, possible fin de carrière
Le triathlète français Antoine Méchin a été contraint de suspendre sa saison en septembre après une grave réaction indésirable au vaccin Moderna. Méchin a reçu sa première dose le 28 juin et sa deuxième le 16 août et souffrait d’essoufflement et de douleurs lombaires après les injections. Plusieurs tests ont montré plus tard qu’il avait développé une embolie pulmonaire suite au vaccin.
Le triathlète a déclaré après son diagnostic:
« Je suis actuellement sous traitement et j’espère retrouver ma capacité pulmonaire (en 3-6-9-12 mois ?) D’ici là : repos et faible intensité pendant plusieurs mois.
Endommager les personnes saines pour préserver la santé des plus faibles, un choix de logique rétrograde. Je ne me ferais pas vacciner si c’était à refaire.
Méchin est toujours en convalescence à ce jour.
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Kyle Warner : un vététiste professionnel a souffert de plusieurs problèmes de santé après le vaccin Pfizer, possible fin de carrière
Le vététiste professionnel Kyle Warner a reçu un diagnostic de péricardite et de syndrome de tachycardie orthostatique posturale après le vaccin Pfizer. Warner a partagé sa blessure au vaccin début octobre dans une vidéo sur son Chaîne Youtube.
« La deuxième chose [en plus de la péricardite] à laquelle j’ai eu affaire pendant tout ce temps a été quelque chose appelé POTS (syndrome de tachycardie orthostatique posturale). J’ai reçu ce diagnostic l’autre jour au bureau du cardiologue, et ce qui était vraiment difficile, c’est qu’il m’a dit qu’ils ne savaient pas comment le traiter.
Il m’a ensuite dit que cela pourrait prendre 12 à 18 mois pour guérir de cela. J’étais un peu choqué quand j’ai entendu ça. Je suis rentré à la maison et j’ai éclaté en sanglots, principalement de frustration. Frustration qu’il n’y ait pas vraiment de voie claire à suivre. Je pense que ça a été la chose la plus difficile avec cette situation.
Warner aussi partagé son histoire lors d’une table ronde avec des experts médicaux et blessés par le vaccin COVID-19 sur les mandats fédéraux en matière de vaccins au Sénat américain le 3 novembre. Des citoyens souffrant de blessures causées par des vaccins sont venus de partout aux États-Unis pour partager leurs histoires dans la capitale nationale.
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Jeremy Chardy: l’ancien joueur de tennis n ° 25 mondial de 34 ans termine la saison après une «douleur violente, presque paralysante» due à une blessure causée par un vaccin
Joueur de tennis française, Jérémy Chardy a été contraint de suspendre sa saison en septembre après Souffrance une réaction débilitante au vaccin Pfizer COVID-19.
Chardy a déclaré à la presse :
Chardy a déclaré à la presse :
« Depuis que j’ai eu mon vaccin (entre les JO et l’US Open), j’ai un problème. Je me bats. Je ne peux pas m’entraîner, je ne peux pas jouer. Dans ma tête, c’est difficile parce que je ne sais pas combien de temps ça va durer. Pour l’instant, ma saison est terminée et je ne sais pas quand elle reprendra.
C’est frustrant parce que j’ai très bien commencé l’année. Je jouais très bien et puis je suis allé aux Jeux Olympiques où je me sentais aussi très bien. C’est frustrant, surtout que je n’ai plus dix ans pour jouer. Je regrette d’avoir été vacciné, mais je ne pouvais pas savoir que cela arriverait. ”
Le joueur de 35 ans a admis qu’il était préoccupé par sa carrière de tennis :
« J’aurai 35 ans en février, donc en ce moment, je suis peut-être un peu négatif, mais c’est la première fois que je pense que cette saison pourrait être ma dernière. Je ne veux pas y penser… c’est difficile parce que je m’amusais et je veux jouer plus longtemps.
Chardy n’est pas revenu sur le terrain depuis sa blessure au vaccin début septembre.
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Florian Dagoury : détenteur du record du monde d’apnée en apnée statique a développé une myocardite et une péricardite après un vaccin Pfizer, possible fin de carrière
Florian Dagoury, actuellement le meilleur plongeur au monde en apnée statique, a reçu un diagnostic de myocardite et de péricardite 40 jours après sa deuxième dose du vaccin Pfizer. Dagoury est connu pour retenir son souffle pendant 10 minutes et 30 secondes.
L’élite Freedriver, d’origine française et basée en Thaïlande, a connu une diminution significative de sa capacité d’apnée et s’est rendue chez un cardiologue qui lui a dit que c’est un effet secondaire courant du vaccin Pfizer.
Dagoury a écrit sur Instagram:
« Après ma 2e dose, j’ai remarqué que mon rythme cardiaque était bien plus élevé que la normale et que mes capacités d’apnée ont considérablement diminué. Pendant le sommeil, je suis à 65-70bpm au lieu de 37-45bpm. Pendant la journée, je suis maintenant toujours au-dessus de 100 bpm au lieu de 65 bpm, même lorsque je m’assois et que je me détends. J’ai même atteint une fois 177bpm en dînant avec des amis !!!! 10 jours après mon 2e vaccin, je suis allé voir un cardiologue et il m’a dit que c’était un effet secondaire courant du vaccin Pfizer, rien d’inquiétant, reposez-vous, ça passera.
40 jours après mon 2e jab, je n’avais aucun progrès alors je suis allé voir un autre cardiologue et j’ai reçu un diagnostic de myocardite, de péricardite et de régurgitation mitrale triviale ! Ce qui est essentiellement une inflammation des muscles cardiaques causée par le système immunitaire et quelques infimes fuites de sang des valves qui ne se ferment plus correctement. J’ai maintenant du mal à atteindre 8min d’apnée, 150m dyn et j’ai même une forte envie de respirer en faisant des plongeons de 40m. 30% de baisse sur mes performances en plongée environ.
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Haziq Kamaruddin : un archer olympique à deux reprises de 27 ans est décédé 10 jours après le vaccin contre Pfizer
Archer malaisien, Haziq Kamaruddin est décédé à l’âge de 27 ans le 14 mai après s’être effondré chez lui quelques jours après recevoir Le vaccin COVID-19 de Pfizer. L’archer olympique à deux reprises est décédé d’une artère coronaire bloquée.
Kamaruddin a reçu la première dose du vaccin le 13 avril et la seconde le 4 mai et a publié un photo sur Instagram.
Kamaruddin a représenté la Malaisie aux Jeux de Londres 2012 et de Rio 2016 et espérait se qualifier pour le Jeux olympiques de Tokyo cet été, avec le concours de qualification qui se déroulera à Paris en juin. Il était également membre de l’équipe classique de son pays qui a remporté l’argent aux Jeux asiatiques d’Incheon en 2014.
(Source : https://nouveau-monde.ca/stop-au-poison-une-liste-dathletes-de-classe-mondiale-qui-sont-morts-ou-ont-subi-des-blessures-graves-apres-le-vaccin-covid-19/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
311- Une NOUVELLE LISTE d’ATHLÈTES
de CLASSE MONDIALE
qui sont MORTS
qui sont MORTS
ou ont SUBI des BLESSURES GRAVES
APRÈS le VACCIN COVID-19
APRÈS le VACCIN COVID-19
En novembre dernier, Le monde COVID a publié un premier article avec 11 athlètes de classe mondiale décédés ou blessés peu de temps après avoir reçu le vaccin COVID-19. Nous n’avions pas prévu que les choses allaient si mal, qu’à peine deux mois plus tard, il y aurait suffisamment d’histoires pour faire une autre liste.
Cependant, ce qui suit est encore une fois une liste de 11 athlètes de classe mondiale du monde entier qui sont décédés ou ont été blessés au cours des derniers mois après avoir reçu le vaccin COVID-19.
Ricardo Gomes : un joueur de football de 30 ans s’est effondré pendant l’entraînement 6 semaines après avoir reçu le vaccin contre le COVID-19
Footballeur capverdien, Ricardo Gomes s’est effondré lors d’une séance d’entraînement en décembre dernier et a été transporté d’urgence à l’hôpital. Le joueur de 30 ans, qui joue pour le club de football serbe FK Partizan Belgrade, avait reçu le vaccin COVID-19 six semaines seulement avant l’incident.
L’entraîneur-chef de l’équipe, Aleksandar Stanojevic , aurait déclaré après l’incident :
« Il [Gomes] s’est effondré à l’entraînement et la situation est extrêmement grave. ”
Gomes, qui est considéré comme l’un des meilleurs joueurs du Super Liga serbe, a reçu son vaccin COVID en octobre de l’année dernière avec son coéquipier Quincy Menig et l’entraîneur Stanojevic, qui ont personnellement emmené l’ international capverdien sur le site de vaccination, prétendument parce qu’il hésitait à recevoir le coup.
Lire l’histoire complète ici.
Ian Matos : un plongeur olympique brésilien de 32 ans est décédé des mois après avoir reçu le vaccin contre le COVID-19
Plongeur olympique brésilienne, Ian Matos est décédé à l’âge de 32 ans à la suite d’une hospitalisation de deux mois pour une infection pulmonaire, qui s’était développée peu de temps après sa vaccination contre la COVID-19.
Le Comité olympique brésilien a déclaré dans un communiqué après sa mort :
« Nous sommes profondément attristés d’avoir appris la nouvelle du décès prématuré du plongeur olympique Ian Matos , âgé de seulement 32 ans.
L’équipe du Brésil reconnaît sa contribution à l’ évolution de la discipline.
Nos sincères condoléances à sa famille et ses amis. »
Le plongeur olympique avait déjà remporté trois médailles de bronze aux Jeux sud-américains de 2010 avant de concourir dans le tremplin synchronisé masculin de trois mètres compétition aux Jeux olympiques d’été de 2016 à Rio.
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Sarah Gigante : une cycliste olympique australienne de 21 ans a développé une myopéricardite après avoir été vaccinée contre le COVID-19
Cycliste olympique australienne, Sarah Gigante a développé des problèmes cardiaques en août de l’année dernière, quelques jours seulement après avoir participé aux Jeux olympiques d’été de 2020 à Tokyo. Gigante a été hospitalisée à plusieurs reprises et a finalement reçu un diagnostic de myopéricardite, qui est une combinaison d’inflammation du muscle cardiaque et du péricarde, le sac entourant le cœur.
La jeune femme de 21 ans avait été entièrement vaccinée avant la crise sanitaire.
Gigante a été interrogé dans un Questions et réponses l’année dernière si elle croyait que son problème cardiaque était le résultat du vaccin COVID , auquel elle a répondu :
«Je ne sais pas ce qui a déclenché ma maladie (et il y a beaucoup de chances – certaines personnes dans la section des commentaires semblent positives que c’était le vaccin COVID ), mais peu importe ce que c’était, le fait est que j’étais extrêmement malheureux.
Je dois simplement dire que les vaccins fonctionnent, et ces vaccins surtout sauvent des vies. J’ai beaucoup de chance d’avoir été en mesure d’être protégé contre l’horrible maladie qu’est le COVID-19 et j’encourage tous ceux qui ont la chance de l’embrasser à bras ouverts et la manche relevée. ”
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Sergio Aguero : la star du football entièrement vaccinée a été forcée de prendre sa retraite après une grave maladie cardiaque
Attaquant argentin, Sergio Agüero a annoncé sa retraite du football le mois dernier après avoir reçu un diagnostic de grave maladie cardiaque. L’attaquant de 33 ans l’a décrit en larmes comme « l’un des moments les plus difficiles de sa vie ».
Agüero a déclaré lors de la conférence de presse du mois dernier :
« J’ai décidé d’ arrêter de jouer au football professionnel. C’est un moment très difficile.
La décision que j’ai prise est pour ma santé ; après le problème [maladie cardiaque] qui avait commencé il y a un mois et demi. ”
Les premiers problèmes médicaux d’Agüero sont apparus en octobre de l’année dernière lorsqu’il a été hospitalisé après un match de championnat contre Alaves, au cours duquel il a ressenti des douleurs à la poitrine et des difficultés respiratoires .
L’attaquant argentin avait été très favorable aux vaccins COVID, promouvoir fortement sur les réseaux sociaux et encourageant l’adoption du jab chez les enfants dès l’âge de 5 ans .
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Daniel Aakervik : un skieur norvégien de 17 ans a été contraint de suspendre sa saison après une grave réaction au vaccin COVID-19
Le skieur de fond norvégien Daniel Aakervik a été contraint de suspendre sa saison l’année dernière après avoir développé des problèmes de santé causés par le vaccin COVID-19. Aakervik a déclaré qu’il « a immédiatement senti que quelque chose n’allait pas » et a déclaré que les médecins lui avaient dit que c’était » probablement un effet secondaire du vaccin ».
Aakervik, qui est souvent appelé le plus grand talent norvégien en ski de fond et en biathlon, a remporté le Hovedlandsrennet (une compétition de ski de fond) à deux reprises et a remporté plusieurs victoires en biathlon, un sport d’hiver qui allie ski de fond et tir à la carabine.
Le joueur de 17 ans a récemment partagé qu’il était revenu à la compétition, écrivant sur son Instagram:
« Après un automne difficile, ça fait du bien de sentir que le corps fonctionne à nouveau et j’espère remporter une victoire dans la Norgescup . ”
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Richard Harward : Un joueur de basket-ball universitaire a développé des caillots sanguins et des problèmes cardiaques pouvant mettre fin à sa carrière après avoir reçu le vaccin Pfizer COVID-19
Joueur de basket-ball universitaire Richard Harward annoncé son congé du sport le mois dernier après avoir reçu un diagnostic de caillots sanguins et d’une maladie cardiaque à la suite du vaccin Pfizer COVID-19.
Le joueur Cougars BYU a dit à propos de l’épreuve:
« La condition affectant mon cœur a développé d’autres complications. Pour ma santé et ma sécurité, il a été déterminé que je serai absent pour le reste de la saison. ”
Il reste à voir si Harward , qui était auparavant en pleine forme, se rétablira un jour.
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Craig Jones: un combattant australien de MMA et champion du monde de Jiu-Jitsu de 29 ans a abandonné le combat de l’UFC après une blessure au vaccin Pfizer
Le combattant australien de l’UFC et champion du monde de jiu-jitsu Craig Jones a dû abandonner un combat l’année dernière après avoir subi une grave blessure suite à sa première dose du vaccin Pfizer COVID-19 qui avait fait que son estomac se remplissait de liquide.
Jones a posté ceci sur Instagram trois jours avant le combat.
«Je suis sorti les gars. Un des malchanceux qui a eu une réaction indésirable au vaccin Covid. Je ne vais pas vous ennuyer avec tous mes symptômes, mais j’ai fini par transporter beaucoup de liquide autour de mon estomac et je ne peux pas m’entraîner et encore moins concourir.
Le combattant australien, qui possède une ceinture noire de jiu-jitsu brésilien , est considéré comme l’un des meilleurs grapplers de sa génération en remportant de nombreuses épreuves prestigieuses, dont plusieurs titres de ceinture. Jones a également terminé 2e au Championnat du monde ADCC en 2019.
Tout en grimpant les échelons du jiu-jitsu , en compétition internationale, le joueur de 29 ans a également réussi à décrocher un diplôme en Sciences du comportement (Psychologie).
John Fleck : un joueur de football écossais s’est effondré et a eu des convulsions pendant un match quelques mois seulement après avoir reçu le vaccin contre le COVID-19
Footballeur écossais, Jean Fleck s’est effondré et a convulsé lors d’un match de championnat en novembre de l’année dernière et a été transporté d’urgence à l’hôpital. Fleck, qui joue comme milieu de terrain pour le club anglais Royaume-Uni de Sheffield, avait reçu sa deuxième dose du vaccin COVID en août de l’année dernière.
Le Dailymail a publié un article peu de temps après l’incident en disant que « les scientifiques avaient confirmé » que l’effondrement de Fleck n’était pas dû au vaccin COVID. Cependant, aucun détail n’a été donné sur la manière dont cette conclusion a été tirée, à l’exception d’un cardiologue du sport, le professeur Guido Pieles en disant:
« A l’heure actuelle, je dirais que c’est encore une coïncidence . »
Fleck a commencé sa carrière avec Rangers de Glasgow et a fait ses débuts senior en 2008 à l’âge de 16 ans seulement. Il a rejoint Sheffield United en 2016, aidant le club à obtenir deux promotions en trois ans, passant de la Ligue 1 à la Premier League.
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Filip Ingebrigtsen : un athlète olympique de 28 ans a lutté pendant 7 mois après une grave réaction au vaccin COVID-19
Athlète olympique norvégien, Philippe Ingebrigtsen a subi une réaction « débilitante » du vaccin COVID-19 qui a duré plus de sept mois.
Ingebrigtsen, qui court dans la compétition de 1500 mètres , a réalisé des performances bien en deçà de son niveau habituel aux Jeux olympiques d’été de 2020 à Tokyo , sans aucune explication évidente de sa part et de son équipe. Cependant, des tests ont révélé plus tard qu’il souffrait des effets secondaires du premier vaccin COVID qu’il avait reçu en mars 2020.
Interrogé en octobre de l’année dernière sur le vaccin, le joueur de 28 ans a déclaré qu’il » aurait refait la même chose « , reflétant une attitude quelque peu stoïque face à ses » résultats négatifs « .
« Rétrospectivement, lorsque vous obtenez des résultats négatifs et que cela limite votre capacité à faire votre travail, vous le regrettez. Mais je suis sûr que j’aurais refait la même chose.
Je me sens mal que cela ait eu un effet si négatif et j’aimerais ne pas avoir ces problèmes. Je ne savais pas que ça se passerait comme ça. Malheureusement, cette fois, ça a mal tourné pour moi. ”
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Paul Zipser : L’ancien joueur des Chicago Bulls a subi une hémorragie cérébrale après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson COVID-19
Basketteur du Bayern Munich, Paul Zipser a été hospitalisé après être tombé malade peu de temps avant un match éliminatoire le 4 juin de l’année dernière. Le joueur de 27 ans a reçu un diagnostic de tumeur au cerveau sur son tronc cérébral un jour plus tard et a subi une intervention chirurgicale d’urgence, faisant craindre à sa famille et à son club pour sa vie.
La star allemande du basket-ball a développé la tumeur peu de temps après avoir été vaccinée avec une seule dose du vaccin Johnson & Johnson COVID-19.
Zipser a lentement repris une vie normale depuis la chirurgie cérébrale d’urgence il y a 9 mois, cependant, il reste beaucoup de doutes s’il pourra à nouveau jouer au basket à un niveau élevé. Néanmoins, dans un podcast récent entretien, Zipser est resté optimiste quant à sa carrière :
« En dehors de la (bonne) formation au contact, il manque encore quelques choses, mais [mon retour] n’est plus qu’une question de temps maintenant. ”
Zipser a été sélectionné par le Chicago Bulls avec le 48e choix au total lors du repêchage de la NBA 2016 . L’Allemand a marqué un sommet en carrière de 21 points la même année lors d’une victoire de 112 à 73 contre les Brooklyn Nets.
Fabienne Schlumpf : une coureuse de marathon olympique suisse de 31 ans a développé une myocardite après avoir reçu une injection de rappel COVID-19
Recordman suisse du marathon et athlète olympique, Fabienne Schlumpf a reçu un diagnostic de myocardite plus tôt ce mois-ci après avoir été vaccinée avec le vaccin de rappel COVID-19.
Schlumpf , spécialisé dans la 3000 mètres steeple, avait déclaré se sentir « fatigué » dans la vie de tous les jours peu de temps après le troisième coup.
La joueuse de 31 ans ne sait plus quand elle pourra à nouveau concourir :
« Personne ne peut dire combien de temps je dois mettre ma carrière entre parenthèses. »
L’athlète suisse avait déjà remporté une médaille d’argent aux Championnats d’Europe 2018 et est l’actuel détenteur du record national suisse au 3000 mètres steeple avec un record personnel de 9:37.81.
Lire l’histoire complète ici.
(Source : https://nouveau-monde.ca/stop-au-poison-une-liste-dathletes-de-classe-mondiale-qui-sont-morts-ou-ont-subi-des-blessures-graves-apres-le-vaccin-covid-19/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
J'ai eu envi de lâcher une caisse, et vous ?
Georges Baladin- Sage
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