Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
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Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
351- 15 JOUEURS de TENNIS
ont ABANDONNÉ le TOURNOI de MIAMI
« pour des RAISONS de SANTÉ »
et 95 le PARIS-NICE
ont ABANDONNÉ le TOURNOI de MIAMI
« pour des RAISONS de SANTÉ »
et 95 le PARIS-NICE
« Cette semaine, 15 joueurs de tennis ont abandonné le tournoi de Miami “pour des raisons de santé” — des athlètes ont quitté le terrain en larmes pendant le match en raison de symptômes douloureux soudains dans la région du cœur et des poumons ou ont refusé de poursuivre les duels sur les conseils des médecins qui les surveillaient…
Un événement tout à fait fortuit et qui n’a rien à voir avec le fait que tous ces athlètes sont triplement vaccinés, et que la protéine Spike, qui entraîne des changements dans les tissus musculaires cardiaques, a des effets tangibles sur les personnes ayant une activité physique accrue (ces mêmes athlètes !) en premier lieu… »
Personne ne montre l’évidence. Tous les joueurs doivent être « entièrement vaccinés » pour pouvoir concourir. Comme nous le faisons remarquer depuis plusieurs mois, la plupart des grands sportifs sont frappés par des problèmes médicaux « inexplicables » qui apparaissent chez des athlètes jeunes et en bonne santé, et nous avons notamment signalé la chute de trois cyclistes au cours du seul mois de mars.
Les amis, c’est le coup monté. Il n’y a pas d’autre possibilité viable, surtout si l’on considère que même le CDC et d’autres agences ont reconnu que les « vaccins » Covid provoquent une augmentation des problèmes cardiaques chez les jeunes, notamment des myocardites, des péricardites et des crises cardiaques.
Il n’y a jamais eu autant de manipulation et de propagande visant à dissimuler la vérité que pour ces injections. Les dirigeants de tout le pays et du monde entier ont tellement investi dans les vaccins que l’on peut se demander qui tire les ficelles. Une partie de ces pressions est personnelle : tout politicien qui dévoile la vérité sur les vaccins sera évincé de son poste plus rapidement que la sortie de Will Smith du club des élites d’Hollywood. Il en va de même pour les journalistes. Les médias d’entreprise sont tout aussi investis et peut-être même plus complices de la diffusion des mensonges.
Mais cela pourrait être pire. Comme pour beaucoup de choses dont nous avons été témoins ces trois dernières années, il semble qu’il y ait un effort coordonné pour supprimer la vérité. Le théâtre de la panique pandémique est toujours en action, malgré l’impulsion bizarre donnée en février par les démocrates pour lever la plupart des obligations en matière de masques et de vaccins. On parle déjà des 5e et 6e vaccins, alors que le 4e vaccin est en cours de déploiement aux États-Unis.
Tout cela fait-il partie du programme de la Grande Réinitialisation ? S’agit-il de contrôle ? De dépeuplement ? La réponse à ces trois questions est très probablement « Oui ».
Ces injections sont dangereuses. Des athlètes du monde entier tombent. Les gens ordinaires subissent d’horribles réactions indésirables. Des dizaines, voire des centaines de milliers de personnes en meurent. Cela pourrait même être des millions ; les données sont tellement dissimulées. Pendant ce temps, les politiciens et les médias d’entreprise font semblant de ne rien voir, comme s’il n’y avait rien.
(Source : https://nouveau-monde.ca/15-joueurs-de-tennis-ont-abandonne-le-tournoi-de-miami-pour-des-raisons-de-sante/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
353- Les « VACCINS »
AUGMENTENT-ils le RISQUE de CONTAMINATION
et de MORT par COVID19 ?
CONFIRMATION un AN plus TARD
par le Dr Gérard Delépine (3 avril 2022)
AUGMENTENT-ils le RISQUE de CONTAMINATION
et de MORT par COVID19 ?
CONFIRMATION un AN plus TARD
par le Dr Gérard Delépine (3 avril 2022)
Selon les données fournies par l’OMS, les évolutions récentes de l’épidémie dans les pays actuellement les plus vaccinés font craindre que, loin de prévenir l’épidémie, les injections expérimentales anti-covid pourraient la faciliter, voire en aggraver la mortalité.
Évolution en Israël depuis la vaccination
Les médias ont longtemps sacré Israël champion de la lutte anticovid par le vaccin Pfizer. Excellente opération pour Pfizer qui a obtenu une augmentation de prix de 40 % pour cette priorité accordée à Israël. Depuis le 20 décembre 2020, en 24 jours, plus de 20 % des Israéliens (deux millions de personnes) ont été vaccinés. Et au 1/4/22 ce pourcentage atteint 72 %.
Mais depuis ces injections, selon les chiffres de l’OMS, les nombres quotidiens de contaminations et de morts attribuées au Covid19 n’ont cessé d’augmenter. Les contaminations quotidiennes sont ainsi passées de 1886 cas le 21 décembre 2020 à 8094 le 10 janvier 2021 et a atteint plus de 100 000 en janvier 2022. Avant les injections Israël totalisait 400 000 cas ; ce chiffre est passé à près de 4 millions en avril 2022. Multiplié par dix depuis le début des injections !
La comparaison du nombre quotidien de nouvelles contaminations en Israël très injectée et en Palestine et au Liban peu injecté suggère même que les injections Pfizer faciliteraient la diffusion du variant Omicron.
Et les pics de mortalité journalière israéliens sont passés de 18 le 20 décembre 2020 à 53 le 10 janvier 2021 et 73 en février 2022.
En Grande-Bretagne championne européenne de l’Astra Zeneca, les pseudo vaccins n’ont pas arrêté l’épidémie, mais paraissent au contraire l’avoir exacerbée :
Heureusement la gravité beaucoup plus faible du variant Omicron a limité la hausse de la mortalité. Mais, au total, la Grande-Bretagne qui comptait un peu plus de 60 000 morts avant les injections en a recensé 100 000 de plus depuis les injections massives.
Une évolution semblable est observée au niveau mondial. Depuis l’arrivée d’Omicron, les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont le plus frappés par l’épidémie, suggérant que les injections pourraient favoriser la diffusion d’Omicron.
« Une étude publiée par l’Institut Robert Koch affirme : 95,58 % des cas d’omicron en Allemagne concernent des vaccinés. Une étude officielle danoise donne des chiffres assez proches de ceux de l’Allemagne : sur 27 132 cas d’infection par omicron, 77 % concernent des personnes doublement vaccinées, 13,5 % des personnes ayant reçu une dose de rappel, et moins de 9 % des personnes non vaccinées. Ces chiffres se retrouvent aussi au Royaume-Uni et en Afrique du Sud. Les chiffres de la France, eux, restent secrets[2]».
L’appel de nos gouvernants à « se vacciner pour se protéger d’Omicron » constitue donc là encore une propagande particulièrement infondée.
Ces augmentations considérables des contaminations et celles des décès après injection sont très inquiétantes et confirment que les autorisations de mise sur le marché des vaccins ont été prématurées et que les slogans gouvernementaux « vaccinez-vous pour vous protéger et protéger les autres » constituent une propagande marchande infondée.
Ce résultat paradoxal, qui constitue le plus sévère échec de la vaccination moderne rappelle que ces injections expérimentales ne sont pas des vaccins (ils ne contiennent pas d’antigènes), qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccin sans risque, et qu’ils peuvent parfois augmenter la gravité de la maladie qu’ils sont censés combattre comme dans la catastrophe sanitaire du Dengvaxia.[3]
L’indication de n’importe quel traitement ou vaccin doit reposer sur l’évaluation objective de sa balance avantages/risques par des examinateurs indépendants, avant commercialisation (ici mondiale et forcée dans bon nombre de pays). Une telle évaluation ne peut pas être réalisée en moins d’un an sans risques. Rappelons que les essais ne seront pas terminés avant 2023.
Prôner pour les enfants des injections expérimentales dont ils ne peuvent espérer aucun bénéfice est scandaleux et a toutes chances de constituer dans les années à venir une source considérable de drames et de procès à côté desquels le médiator paraîtra ridicule.[4][5]
On ne peut espérer aucun avantage individuel à vacciner contre le covid les moins de 65 ans, puisque la maladie est chez eux plus bénigne que la grippe ; cette population ne peut donc rien espérer des pseudo vaccins anti-covid si ce n’est des complications.[6]
Les sites Eudravigilance et Vaers publient régulièrement les effets secondaires remontés et validés par leurs services.
Même l’ANSM reconnaît des effets indésirables et des décès malgré les dénégations du ministre devant la représentation nationale
« France : 29 157 cas graves et 1 512 morts
En France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) publie un “point de situation sur la surveillance des vaccins contre la Covid-19” qui détaille les effets secondaires des 4 vaccins administrés. Malgré les quelque 1 200 décès et les 29 157 cas graves (officiels), leur rapport se borne aussi à marteler que cela “ne montre pas de spécificité particulière en faveur d’un rôle du vaccin”, on se s’interroge donc sur l’origine de ces dizaines de milliers de cas graves, jamais vus auparavant…
Les 3/4 des cas d’effets indésirables remontés concernent des personnes âgées de 18 à 64 ans, les personnes qui sont les moins à risque de mourir du COVID (seulement 8 % des décès). Autrement dit, le rapport bénéfice/risque de ces “vaccins” est très mauvais chez les personnes de moins de 65 ans. »[7]
L’argument sociétal : « on se vaccine pour protéger les autres » n’est pas non plus pertinent, puisqu’il est maintenant démontré que les pseudo vaccins sont incapables d’empêcher ou de ralentir les transmissions virales.
QUANT AUX AINES ET HANDICAPÉS OU GRANDS MALADES ?
En l’état actuel des connaissances (début avril 2022), la vaccination des plus âgés présentant des facteurs de risques (population où un vaccin efficace et sans danger pourrait être soi-disant utile) n’a pas été correctement évaluée, car les essais aux reculs insuffisants n’ont pas inclus assez de membres de cette population à risques pour rassurer). L’alerte norvégienne accroît l’inquiétude et aurait dû rendre prudents les médecins soucieux de leurs patients[8] et non de l’obéissance à la doxa et aux menaces de l’Ordre.[9]
Il est clair que les effets secondaires, voire les décès sont encore plus sous-déclarés chez les personnes âgées ou très âgées et chez les grands malades. Qui se préoccupe du décès accéléré d’un cancéreux en rechute (souvent rapide après l’injection, mais il faudra le démontrer)[10] ou d’un centenaire jusque là en forme et pratiquant du vélo ou de la marche, et décédé quelques jours après la mystérieuse injection… Personne…
OK, mais que les médias et les médecins de plateau cessent au moins de répéter que les vieillards et les grands malades jeunes bénéficieraient de ce vaccin. Cela reste un mythe pour tenter de sauver l’injection. Mais a-t-on jamais vu un vaccin nécessitant un rappel tous les trois mois ?
Le principe de précaution justifie donc de ne pas les vacciner, tant qu’on ne disposera pas de données transparentes en nombre suffisant affirmant l’efficacité réelle et l’absence de toxicité en population réelle. La baisse de l’immunité dans ces populations rend douteux le rôle bénéfique d’un pseudovaccin et inquiète sur les effets délétères qu’il pourrait entraîner. La prudence aurait dû rester reine.
Le silence des évènements dans les Ehpads isolés du monde depuis deux ans devrait conduire à des enquêtes indépendantes pour permettre de faire la part dans les décès des résidents abandonnés et aux injections de Rivotril, du syndrome de glissement par désespoir et isolement,* et des injections imposées.
En tous cas, le gouvernement est totalement « imprudent » par son acharnement à imposer à tous la pseudo vaccination anti-covid et les méthodes qu’il utilise sont totalement antidémocratiques. Mais l’objectif n’est-il pas de vendre à tout prix ces médicaments dangereux au regard des millions de doses commandées par l’UE et des millions de doses déjà mis à la benne par les Africains auxquels on les avait « généreusement » offertes.[11] Pas fous les Africains qui ont déjà goûté aux dons de Bill Gates.
Les résultats actuels des pseudo vaccins dans les populations israélienne et britannique laissent en effet craindre une catastrophe sanitaire vaccinale dans ces pays vaccinés avant le nôtre. Pourquoi le Sénat a-t-il refusé récemment une commission d’enquête sur les effets secondaires des injections ?[12] Pourquoi le refus d’accès aux données des malades décédés dans les années écoulées aux chercheurs spécialisés ? Elles permettraient d’évaluer comme à l’étranger les pourcentages de non vaccinés, mono bi ou triples vaccinés selon les tranches d’âge, etc. Pourquoi tant d’opacité ?[13]
(Source avec Notes : https://nouveau-monde.ca/les-vaccins-augmentent-ils-le-risque-de-contamination-et-de-mort-par-covid19-confirmation-un-an-plus-tard/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
365- RÈGLES DÉRÉGULÉES
"Depuis plusieurs mois, des milliers de femmes rapportent des effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 affectant leur cycle menstruel. Mélodie, fondatrice du collectif "Où est mon cycle", regroupant les témoignages de ces personnes inquiètes, est venue rencontrer des députés européens au Parlement de Strasbourg, lundi 4 avril.
Accompagnée de son avocat Me Diane Protat, du barreau de Paris, de la gynécologue Laurence Kayser, et du député européen la soutenant, Virginie Joron, du groupe Identité & Démocratie, l’ébéniste de profession est revenue sur la détresse de ces femmes de tous âges : « Je me suis fait vacciner, et depuis je n’ai plus mes règles. Mon médecin m’a dit que c’était certainement le stress et que ce n’était pas lié. J’ai plus de mille témoignages. Beaucoup de voix se sont levées, des femmes me disent qu’elles ont mal au ventre, qu’elles ont des règles dérégulées. Vous n’êtes pas folles, et vous n’êtes pas seules non plus. »
(...)
La gynécologue (Laurence Kayser) regrette une « malhonnêteté intellectuelle » de la science qui ne souhaite pas lancer de recherches sur le sujet : « il y a vraiment une volonté de ne pas savoir ».
Accompagnée de son avocat Me Diane Protat, du barreau de Paris, de la gynécologue Laurence Kayser, et du député européen la soutenant, Virginie Joron, du groupe Identité & Démocratie, l’ébéniste de profession est revenue sur la détresse de ces femmes de tous âges : « Je me suis fait vacciner, et depuis je n’ai plus mes règles. Mon médecin m’a dit que c’était certainement le stress et que ce n’était pas lié. J’ai plus de mille témoignages. Beaucoup de voix se sont levées, des femmes me disent qu’elles ont mal au ventre, qu’elles ont des règles dérégulées. Vous n’êtes pas folles, et vous n’êtes pas seules non plus. »
(...)
La gynécologue (Laurence Kayser) regrette une « malhonnêteté intellectuelle » de la science qui ne souhaite pas lancer de recherches sur le sujet : « il y a vraiment une volonté de ne pas savoir ».
(article : https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/ou-est-mon-cycle-parlement-europeen )
Témoignage de la gynécologue qui a participé, avec Me Protat et le collectif "où est mon cycle" à la table ronde du 4 avril :
"Anatomie de deux ans de Covid par une gynécologue" : https://www.twitch.tv/videos/1439350424?
(Source : https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t46504-injection-anti-covid-effets-secondaires#490643 )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
367- MOMOTCHI INTERVIEW Raphaël BERLAND,
réalisateur de "La FACE CACHÉE des VACCINS"
réalisateur de "La FACE CACHÉE des VACCINS"
https://gloria.tv/post/UwrvPomAkBFb4wj7fv73ArZRS
Momotchi a reçu pour cette interview le journaliste et réalisateur, Raphaël Berland, pour nous parler de son documentaire produit avec le magazine Nexus « Effets secondaires : la face cachée des vaccins ». Un documentaire extrêmement poignant, riche en témoignages et intervenants de haut vol. En ces temps de changement brusque d’actualité, ce documentaire met au premier plan des vérités que les coupables aimeraient bien oublier pour se concentrer à l’Est de l’Europe.
« Les victimes du vaccin covid, on ne veut pas les voir, on veut même pas les reconnaître et c’est l’une des grandes violences puisqu’on leur a dit : on ne sait pas d’où ça vient mais ce n’est pas du vaccin. » (Raphaël Berland)
Le documentaire
Effets secondaires : la face cachée des vaccins - OFFICIEL
Effets secondaires : la face cachée des vaccins - OFFICIEL - CrowdBunker
Effets secondaires : la face cachée des vaccins – Covid-19 : ces injections sont-elles réellement « sûres » ?
« Les victimes du vaccin covid, on ne veut pas les voir, on veut même pas les reconnaître et c’est l’une des grandes violences puisqu’on leur a dit : on ne sait pas d’où ça vient mais ce n’est pas du vaccin. » (Raphaël Berland)
Le documentaire
Effets secondaires : la face cachée des vaccins - OFFICIEL
Effets secondaires : la face cachée des vaccins - OFFICIEL - CrowdBunker
Effets secondaires : la face cachée des vaccins – Covid-19 : ces injections sont-elles réellement « sûres » ?
(Source : https://reseauinternational.net/momotchi-interviewe-raphael-berland-realisateur-de-la-face-cachee-des-vaccins/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Les signalements de cas suspects de maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale se multiplient depuis le mois d’octobre en France et dans le monde. Nous avons recensé une dizaine d’études documentant un possible lien avec le vaccin, mais celui-ci est formellement réfuté par l’ANSM. La précipitation de l’État à écarter cette hypothèse l’expose-t-elle demain à un nouveau scandale sanitaire ?
Le 15 octobre 2021, la France entière découvrait sur CNews l’histoire de Mauricette Doyer, cette femme de 72 ans ayant déclaré une forme atypique de maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) 15 jours après sa deuxième injection du vaccin Pfizer-BioNTech. Depuis la diffusion de son témoignage, son mari ne cesse d’alerter les autorités sanitaires et de recevoir des messages de proches de personnes vaccinées (une quarantaine à ce jour) relatant strictement le même récit, caractérisé par les mêmes symptômes et la même chronologie.
À défaut de l’être par les autorités de santé (Olivier Véran n’a jamais pris la peine de contacter Marc Doyer, malgré son engagement à le faire), la situation particulière de Mauricette Doyer a interpellé le Pr Luc Montagnier, biologiste virologue, prix Nobel de médecine en 2008, qui alerte depuis des mois sur un possible lien entre les injections d’ARN messager (ARNm) et le déclenchement de la maladie de Creutzfeldt-Jakob :
« Cette maladie est très rare, normalement, quand elle est sporadique, c’est un cas sur un million. Là, c’est un groupe de 7 personnes indépendantes les unes des autres avec des médecins différents qui sont atteints de cette maladie. Le facteur commun est qu’ils ont été vaccinés par deux doses de vaccin Pfizer. C’est à la deuxième dose que ça apparaît des petits signes et puis les signes généraux de la maladie apparaissent. On ne peut pas prouver que c’est causé par les vaccins, mais il faut quand même regarder cette hypothèse. Parce que le seul facteur commun entre ces personnes, c’est d’avoir été vacciné par le même vaccin. »
(Sud Radio, 17 novembre 2021)
Le Pr Luc Montagnier faisait état en décembre 2021 de 21 décès survenus sur le territoire national post injection. Peu avant son décès, il évoquait 40 cas suspects.
Interrogée par Clémence Houdiakova sur Radio Courtoisie, la généticienne Alexandra Henrion-Caude évoque un « pic d’intérêt » sur Internet (Google Trends) pour cette maladie rarissime, le dernier – de bien moindre amplitude – ayant été observé en 2016, ce qui l’amène à conclure que le cas de Mauricette n’est sans doute pas un cas isolé : « Il y a visiblement un sujet commun au niveau mondial, le dernier pic étant daté du 19 octobre 2021. »
Au Canada, les autorités sanitaires du Nouveau-Brunswick ont en effet annoncé l’ouverture d’une enquête sur une maladie d’atrophie cérébrale présentant des similarités avec la MCJ et ayant touché 42 personnes, dont 5 sont décédées. Faut-il voir là encore un possible lien avec le vaccin ?
Dans le cas de Mauricette, ce lien a été établi par son médecin traitant qui déclarera son cas à la pharmacovigilance comme cas suspect de maladie de Creutzfeldt-Jakob. Elle dénombre dans sa patientèle une seconde personne vaccinée ayant développé un tableau clinique similaire, également à proximité de l’injection.
Marc Doyer, évoquait récemment une incidence anormale de la maladie en Israël, pointée par un professeur du département de Neurologie de l’université de Tel-Aviv.
Omerta, tabou… ce sont les termes qui reviennent dans de nombreux témoignages pour décrire le refus du corps médical d’envisager l’hypothèse d’un possible lien avec le vaccin, à l’instar de celui de l’épouse de Jean-Pierre Pernaut dont les médecins ne parviennent pas à expliquer les 4 accidents vasculaires cérébraux (AVC) consécutifs à l’injection de sa 3e dose, mais qui ont une seule certitude qui les empêche de procéder à des investigations plus poussées : ça ne peut pas être le vaccin.
Peut-on douter du manque de sincérité ou de lucidité du corps médical, et donc de l’exhaustivité des cas déclarés dans les bases de pharmacovigilance ? C’est ce que suggère en tout cas le Dr Amine Umlil, pharmacien et juriste en droit de la santé, responsable du centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP) de Cholet, qui alerte depuis plusieurs mois sur la défaillance et les entorses au droit de la pharmacovigilance dans le cadre de l’actuelle campagne de vaccination.
Il motivait en ces termes sa démission du Comité scientifique permanent de l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM), intervenue en novembre 2021, dénonçant un « tabou bien intériorisé » : « On ne remet pas en cause la vaccination. »
L’ANSM recense sur son site 6 cas de suspicion de MCJ déclarés après une vaccination, dont 4 avec le vaccin Comirnaty (Pfizer-BioNTech), 1 avec Spikevax (Moderna) et 1 avec Vaxzevria (AstraZeneca).
Les enfants de Mauricette Doyer ont fini par obtenir des autorités sanitaires une exemption de vaccination en raison d’un possible terrain familial pouvant favoriser le déclenchement de la maladie. L’État admet donc tacitement que le lien ne peut être à ce stade formellement exclu.
Voici l’analyse du Pr Luc Montagnier :
« C’est une maladie qui normalement arrive lentement mais sûrement et qui détruit les cellules du cerveau. Le temps travaille contre la personne qui reçoit. Plus on reçoit du vaccin, plus on fait une partie de la protéine qui est appelée “prion” car elle est capable de changer de forme, s’aplatir et de faire des agrégats insolubles et de tuer ainsi les cellules du cerveau. C’est une maladie très rare normalement, mais là nous avons déjà 8 cas signalés par des médecins neurologues. Plus on injecte, plus le risque augmente, car il est possible que ces prions se forment, c’est-à-dire s’aplatissent, quand ils sont en très grande quantité. Alors il est possible qu’en injectant à nouveau ce vaccin, on augmente le risque. Donc le danger est là. Donc j’informe les médecins qui injectent le Pfizer qu’ils risquent d’induire les maladies de Creutzfeldt-Jakob. »
(Radio Courtoisie, 9 décembre 2021)
L’ARNm injecté dans le corps est un ARNm synthétique encapsulé dans des nanoparticules lipidiques (LNP), l’ALC-0159 (polyéthylène glycol, PEG) et l’ALC-0315, hautement inflammatoires [15-19]. Le PDG de Moderna évoquait déjà lui-même en 2016 le problème de la toxicité des nanoparticules lipidiques : « Ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. »
Dans un article daté du 10 mars 2021, le British Medical Journal (BMJ) relatait également des inquiétudes formulées par des spécialistes dans le domaine de la biotechnologie pharmaceutique concernant la biodistribution de ces LNP : « Il est essentiel d’avoir des informations plus spécifiques pour savoir précisément où les nanoparticules liposomales vont après l’injection. » [20, 21] Que nous apprend la littérature sur cette question ?
On sait aujourd’hui que les ARNm ne restent pas localisés au point d’injection mais qu’ils circulent dans tout le corps via la circulation sanguine et le système lymphatique, atteignant la plupart des organes, notamment le cerveau.
Le rapport d’évaluation de l’EMA l’a confirmé pour le vaccin Moderna : « De faibles niveaux d’ARNm ont pu être détectés dans tous les tissus examinés à l’exception du rein. Cela comprenait le cœur, les poumons, les testicules et également les tissus cérébraux, indiquant que la plate-forme ARNm/LNP traversait la barrière hématoencéphalique, bien qu’à des niveaux très bas (2 à 4 % du niveau plasmatique). » [29, p. 47]
Ce risque est également évoqué par l’Agence concernant le vaccin Pfizer : « Plusieurs rapports de la littérature indiquent que les ARN formulés par LNP peuvent distribuer de manière plutôt non spécifique à plusieurs organes tels que la rate, le cœur, les reins, les poumons et le cerveau. » [30, p. 54]
Cet ARNm a pour objectif de faire produire massivement (l’équivalent de 6 750 L de fluide nasal infecté pour le vaccin Pfizer, de 23 m3 pour le vaccin Moderna [11, 31]) par les cellules de l’organisme des protéines de pointe (Spike) elles-mêmes circulantes, dont le caractère pathogène et hautement inflammatoire est aujourd’hui démontré [9, 11, 15, 32].
Des études récentes montrent plus spécifiquement que la perturbation de la barrière hématoencéphalique (BHE) par la protéine Spike [15, 33-35] est alors susceptible d’induire l’apparition de neuropathies, d’inflammations du système nerveux central (polyradiculonévrites notamment) et de maladies neurodégénératives [15, 33-45], dont plus spécifiquement des maladies à prions invalidantes [15, 33–34, 38-46].
Selon une étude, les vaccins Pfizer et Moderna contiennent une région de type “prion” susceptible de déclencher un jour une maladie de Creutzfeldt-Jakob
La chercheuse Stefanie Seneff (Massachusetts Institute of Technology) alerte pour sa part depuis plusieurs mois sur ce risque associé aux vaccins ARNm qu’elle estime majeur en raison de la nature de la protéine Spike : « Lorsque l’on considère que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 est une protéine transmembranaire et qu’elle contient cinq motifs GxxxG dans sa séquence, il devient extrêmement plausible qu’elle puisse se comporter comme un prion », expliquait-elle déjà en juillet 2021 [15] en se basant sur les travaux de plusieurs chercheurs [40].
Ce risque est aujourd’hui confirmé par une nouvelle étude, cosignée par le mathématicien J.-C. Perez, V. Lounas et le Pr L. Montagnier, selon laquelle les vaccins Pfizer et Moderna contiennent une région de type « prion » susceptible de déclencher un jour une maladie de Creutzfeldt-Jakob [46] :
« L’ARN messager permet la traduction de son message dans le corps tout entier sans le corps. Personne ne peut dire pour chacun d’entre nous où vont aller ces messages. C’est une inconnue terrible. Et on apprend maintenant, en fait c’est un travail qui a été publié depuis plus d’un an, que ces messages contiennent une région qu’on peut appeler “prion”, qui est une région capable d’induire des modifications de protéines dans notre corps d’une façon imprévisible. »
(L. Montagnier, Parlement luxembourgeois, France, 12 janvier 2022 [1, 13’30”] )
Une étude publiée en preprint depuis la rédaction de cet article, cosignée par la neurologue C. Moret Chalmin, le Pr L. Montagnier et le mathématicien J.-C. Pérez vient confirmer l’hypothèse que nous soutenons ici : « Vers l’émergence d’une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob neurodégénérative : Seize cas de MCJ déclarés quelques jours après un “vaccin” COVID-19 ». Les conclusions de cette étude seront présentées lors du 16e Congrès mondial des controverses en neurologie (CONy) qui se tiendra virtuellement à Londres du 24 au 27 mars 2022.
On rappellera que Luc Montagnier et Alexandra Henrion-Caude avaient annoncé avoir découvert, lors du séquençage du génome du SARS-CoV2 réalisé peu de temps après sa mise à disposition : pour le premier, des séquences de HIV et de malaria ; pour la seconde, une séquence présente au niveau du site de clivage de la furine, retrouvée à l’identique dans un brevet déposé par Moderna en 2016, comme le confirme un article paru le 21 février 2022 dans la revue Frontiers of Virology qui démontre que la probabilité d’une origine naturelle du virus contenant une telle séquence brevetée est statistiquement nulle.
(Source : https://nouveau-monde.ca/maladie-de-creutzfeldt-jakob-postvaccinale-une-epidemie-dans-lepidemie/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
375- EFFETS SECONDAIRES des VACCINS :
les SCIENTIFIQUES ALLEMANDS
JETTENT PLUSIEURS PAVÉS dans la MARE
par Nicole Delépine (9 avril 2022)
les SCIENTIFIQUES ALLEMANDS
JETTENT PLUSIEURS PAVÉS dans la MARE
par Nicole Delépine (9 avril 2022)
Tabou pour certains, scandale pour d’autres, les effets secondaires de la vaccination anti-Covid sont un sujet de plus en plus prégnant, qui prend la forme d’une dangereuse cocotte minute… Médecins et scientifiques allemands travaillent d’arrache-pied à ce que la glace soit brisée. Si bien que la presse mainstream n’arrive plus à éluder la question et se voit bien obligée de rapporter des propos pour le moins inquiétants quant à la campagne de vaccination.
Les observations du généraliste Eric Freisleben
Ainsi, la Berliner Zeitung ou encore la télévision nationale ont dû rapporter ces jours-ci les observations d’un médecin berlinois très en vue, le généraliste Erich Freisleben. Un relai inhabituel étant donné que celui-ci s’est déclaré à maintes reprises contre toute obligation vaccinale, et avait publié en 2021 un livre réquisitoire : Medizin ohne Moral (Médecine sans morale).
En 35 ans d’exercice, Eric Freisleben déclare avoir vu, jusqu’en 2021, environ cinq cas d’effets secondaires graves des vaccins. Or, depuis 2021 et les injections anti-Covid, il a vu « 96 cas avérés » et a dû embaucher un autre médecin à son cabinet pour y faire face. Il explique 3 % de ces patients vaccinés sont en incapacité totale de travailler. Sur un échantillon de 60 patients vaccinés, les D-dimères sont anormalement élevés chez 40 % d’entre eux ; ce sont les signaux de micro-caillots diffus.
Il a également trouvé des « anticorps antagonistes », observés normalement sur environ 3 % des poches de sang, et seulement chez un malade grave ou chronique. Mais, sur les patients présentant des effets secondaires que voit désormais le médecin, « 90 % d’entre eux sont dans ce cas. » Ces récepteurs se trouvant dans le cœur, les yeux, les reins, cela expliquerait la diversité des symptômes. « Nous connaissons leur existence, mais pour combien de temps ces anticorps entraveront-ils le trajet des signaux, nous n’en savons rien encore. De tels incidents n’ont jamais été observés avec d’autres formes de vaccin », explique-t-il.
Déplorant la passivité des autorités et l’absence de toute recherche officielle sur les effets secondaires, Eric Freisleben expérimente actuellement un traitement à la cortisone, qui fonctionne relativement bien chez environ 70 % des blessés, car suppose-t-il, les injections auraient déclenché un processus inflammatoire massif et généralisé. Il relève également, chez 95 % des patients présentant des effets secondaires, un manque flagrant de « Memory-Tc cells », des cellules qui jouent un rôle essentiel dans l’immunité.
À l’instar de ce médecin généraliste, en amont du vote au Parlement qui a eu lieu jeudi 7 avril, d’autres scientifiques de renom ont donné de la voix.
Surmortalité post-vaccinale
55 scientifiques, dont 43 professeurs titulaires d’université, ont décidé de tirer groupés pour défendre le professeur Christof Kuhbandner.
Le 21 janvier 2022, Christof Kuhbandner, expert des techniques statistiques et de modélisation mathématique, avait publié en open source un article de 28 pages intitulé « La surmortalité grimpe en corrélation chronologique avec les vaccinations-COVID« . Il y concluait que « la courbe des décès en 2021, ainsi que celle de la surmortalité, réflètent avec un léger décalage dans le temps, presqu’exactement la courbe de la 1ère et 2ème dose des vaccins puis des rappels ». Cet article a déclenché un barrage hostile, notamment de la part de l’Institut Leibniz pour la recherche en économie, sur la rubrique de leur site : « La non-statistique du mois ». (Unstatistik des Monats: Impfquote und Übersterblichkeit, eine „Spurious Correlation“ = Taux de vaccinés et surmortalité – une corrélation fallacieuse).
Le 3 avril, les susnommés 55 scientifiques ont signé et publié une lettre ouverte argumentée, appelant au retrait immédiat de l’article de la rubrique « Unstatistik des Monats » :
« Nous nous agaçons de ce que la rubrique renommée Unstatistik des Monats puisse publier un texte aussi mal recherché et douteux de point de vue factuel, texte qui de surcroît et de manière flagrante désinforme le grand public au sujet d’un signal d’alarme qui existe et qui indique des effets secondaires possibles des injections anti-COVID. Ainsi, nous exigeons le retrait immédiat de ce texte et la publication d’une mise au point. Des publications aussi peu sérieuses entravent la bonne pratique scientifique en vue du développement de médicaments sûrs, ce qui – ainsi que le démontre l’histoire de la pharmacovigilance – met en danger la santé et la vie d’innombrables êtres humains et nourrit la défiance envers tous les vaccins dans la population. »
Le Paul-Ehrlich Institut en prend pour son grade
À la mi-mars, cinq professeurs titulaires de chimie à cinq universités différentes, en Suisse et en Allemagne, avaient cosigné plusieurs lettres au Paul-Ehrlich Institut (PEI, équivalent de l’ANSM), exigeant d’avoir accès aux données « sur le potentiel oncogène des injections à ARNm ». Ils demandaient aussi l’accès aux études validant l’utilisation des adjuvants des injections ALC-0159 et ALC-0350, des réponses précises sur le contrôle qualité des lots, ainsi que le détail des dispositifs officiels prévus pour le signalement des effets secondaires. Ces lettres pointent des manquements notables. Mais, n’ayant pas reçu de réponse satisfaisante dans les 15 jours fixés comme échéance, les professeurs ont fait publier l’une des lettres en précisant leurs exigences dans les journaux allemands.
Les dangers de la protéine Spike
De même, à la mi-mars et depuis son laboratoire de pathologie à Reutlingen, le médecin légiste Arne Burkhardt a envoyé une série de lettres au PEI, dans laquelle il expose les résultats actualisés des 40 autopsies qu’il a supervisées et appelle à un arrêt immédiat à la campagne de vaccination. Dans la lettre du 16 mars, désormais publique, il écrit notamment :
« Dans tous les tissus des organes étudiés, notamment le système vasculaire, le cœur et le cerveau des personnes subitement décédées en relation temporelle avec la vaccination contre le SARS-CoV-2 (dont la majorité ne prenaient aucun traitement et n’étaient pas hospitalisés), apparaissent des lésions correspondant à l’action de substances toxiques, accompagnées de réactions inflammatoires, témoin de lésions intravitales. Les résultats histologiques sont, dans leur combinaison, extrêmement inhabituels et dans certains cas jamais observés auparavant. […] Dans ces lésions et les zones inflammatoires autour des vaisseaux, il a été possible d’identifier nettement l’expression de la protéine Spike grâce à l’immunohistochimie, qui est particulièrement spécifique. Ainsi a-t-on pu démontrer que cela est provoqué par la vaccination plutôt que par une infection au virus SARS-CoV-2. »
Et le Pr Burkhardt conclut sa lettre au PEI ainsi :
« Pour ces motifs, nous vous demandons instamment, en ce qui concerne ces médicaments (appelés vaccins) basés sur l’ARNm ou pro-ARNm :
a. Comirnaty
b. Spikevax
c. Vaxzevria
d. Vaccin Covid-19 Janssen
1. le retrait immédiat desdits médicaments actuellement en circulation ;
2. la suspension immédiate des autorisations de leur mise sur le marché ;
3. la présentation au signataire de cette lettre avant le 18 mars 2022 d’une copie de vos décisions en la matière. »
Si la lettre est restée sans réponse, elle a toutefois été lue par des dizaines de milliers d’Allemands avant le vote sur l’obligation vaccinale.
Lire aussi : En faisant produire la protéine Spike par les cellules, vacciner revient à inoculer la maladie
La BKK Pro Vita avait sonné l’alerte
Fin février 2022, Andreas Schöfbeck, alors président du conseil de BKK ProVita, l’une des caisses d’assurance maladie d’entreprise les plus importantes du pays, pulvérisait les rapports officiels en assurant dans une lettre que le nombre d’effets secondaires était sous-estimé d’un facteur 10.
Lire aussi : Effets secondaires des vaccins: un assureur allemand pulvérise les rapports officiels
Début mars, Andreas Schöfbeck a été congédié, le jour même où il avait prévu sa rencontre avec le Paul-Ehrlich Institut.
Quelques semaines après qu’il a été remplacé, le mathématicien et analyste des données Tom Lausen a déposé une plainte visant le nouveau chef de la mutuelle BKK Pro Vita. Et ce devant une centaine de procureurs allemands.
Lire aussi : Obligation vaccinale en Allemagne: procureurs et magistrats accusent le coup avec force
Dans un premier temps, Tom Lausen avait écrit au PEI pour demander si la nouvelle direction du BKK avait transmis les données chiffrées dont faisait état Andreas Schöfbeck, et si le PEI veillait à ce que les associations de médecins conventionnés transmettent, elles aussi, les données de pharmacovigilance conformément à la loi. Le long silence qui s’ensuivit a incité le mathématicien à prendre un avocat. Puis, il a déposé plainte, car « il est tout à fait possible que la vaccination provoque des blessures que les vaccinés ne peuvent imaginer d’avance. Ce sont des délits potentiels. »
(Source)
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
377- Cyril HANOUNA CONSTERNÉ de VOIR ÉLOÏSE,
32 ANS, VICTIME du VACCIN :
« C’est inadmissible,
elle n’aurait pas dû se faire vacciner ! »
32 ANS, VICTIME du VACCIN :
« C’est inadmissible,
elle n’aurait pas dû se faire vacciner ! »
https://gloria.tv/post/6AaRE4JXKpXW4jTxeATwAXZDB
Lors de l’émission TPMP du 6 mars 2022, l’effervescence des chroniqueurs en faveur du vaccin a totalement disparu du plateau de télévision. Neuf mois après le début de la vaccination de masse, les effets secondaires remontent, les drames s’enchaînent, les victimes s’accumulent, au point que le Sénat se penche sur les effets concernant les menstruations. Une femme a dû subir une ablation de l’utérus pour éviter les douleurs.
Éloïse Soave est venue témoigner des effets du vaccin sur C8. À 32 ans elle a souffert d’une infection bactérienne du rein, puis d’un problème cardiaque, de douleurs très intenses aux jambes, fièvre, fatigue générale, essoufflements importants… Elle témoignait à La Dépêche : « Je vis un enfer. Lors d’un IRM cardiaque, la sentence est tombée : le médecin m’a appris que j’ai 51% du muscle gauche du cœur qui est défaillant. […] J’ai fait onze malaises en neuf mois. Je ne peux plus conduire. »
Consterné de voir une jeune femme, en très bonne santé avant sa vaccination, subir ces effets extrêmement handicapants et pouvant conduire à un drame, Cyril Hanouna ne peut contenir sa colère :
« Éloïse, trente et un ans, elle n’a pas de problèmes de santé… Pourquoi a-t-elle fait le vaccin ? […] Désolé, elle n’avait pas à le faire ! J’aurais préféré qu’elle attrape le Covid, à trente et un ans, elle est en pleine santé. Elle aurait bien moins de problème si elle n’avait pas fait le vaccin ! Sur une personne de 31 ans en bonne santé, je suis désolé, le vaccin n’était pas indispensable et elle n’aurait pas dû le faire ! […]
Sa vie, elle a basculé, alors qu’elle était tranquille, elle n’a rien demandé à personne… Elle va faire le vaccin comme tout le monde parce qu’on lui a dit : “Il faut faire le vaccin sinon tu vas rester chez toi, tu ne pourras rien faire, tu vas rester en dehors de la société”. Et aujourd’hui, qu’est-ce qu’il se passe ? Éloïse, elle a trente-deux ans et elle a une multitude de problèmes de santé. Pour moi, je vous le dis, c’est inadmissible ! »
Lors d’un échange avec la chroniqueuse Delphine Wespiser, cette dernière fait connaître les effets qu’elle subit depuis sa vaccination : perte de mémoire, tremblements et des menstruations totalement déréglées. « Moi je suis hyper saine, je ne bois pas, je ne fume pas, jamais de problèmes de santé et depuis ça [NDLR : la vaccination], mes règles, – alors que j’étais réglée à trente ans – c’est devenu absolument n’importe quoi. » Éloïse répondra à la chroniqueuse ne plus avoir de règles.
Éloïse Soave est venue témoigner des effets du vaccin sur C8. À 32 ans elle a souffert d’une infection bactérienne du rein, puis d’un problème cardiaque, de douleurs très intenses aux jambes, fièvre, fatigue générale, essoufflements importants… Elle témoignait à La Dépêche : « Je vis un enfer. Lors d’un IRM cardiaque, la sentence est tombée : le médecin m’a appris que j’ai 51% du muscle gauche du cœur qui est défaillant. […] J’ai fait onze malaises en neuf mois. Je ne peux plus conduire. »
Consterné de voir une jeune femme, en très bonne santé avant sa vaccination, subir ces effets extrêmement handicapants et pouvant conduire à un drame, Cyril Hanouna ne peut contenir sa colère :
« Éloïse, trente et un ans, elle n’a pas de problèmes de santé… Pourquoi a-t-elle fait le vaccin ? […] Désolé, elle n’avait pas à le faire ! J’aurais préféré qu’elle attrape le Covid, à trente et un ans, elle est en pleine santé. Elle aurait bien moins de problème si elle n’avait pas fait le vaccin ! Sur une personne de 31 ans en bonne santé, je suis désolé, le vaccin n’était pas indispensable et elle n’aurait pas dû le faire ! […]
Sa vie, elle a basculé, alors qu’elle était tranquille, elle n’a rien demandé à personne… Elle va faire le vaccin comme tout le monde parce qu’on lui a dit : “Il faut faire le vaccin sinon tu vas rester chez toi, tu ne pourras rien faire, tu vas rester en dehors de la société”. Et aujourd’hui, qu’est-ce qu’il se passe ? Éloïse, elle a trente-deux ans et elle a une multitude de problèmes de santé. Pour moi, je vous le dis, c’est inadmissible ! »
Lors d’un échange avec la chroniqueuse Delphine Wespiser, cette dernière fait connaître les effets qu’elle subit depuis sa vaccination : perte de mémoire, tremblements et des menstruations totalement déréglées. « Moi je suis hyper saine, je ne bois pas, je ne fume pas, jamais de problèmes de santé et depuis ça [NDLR : la vaccination], mes règles, – alors que j’étais réglée à trente ans – c’est devenu absolument n’importe quoi. » Éloïse répondra à la chroniqueuse ne plus avoir de règles.
(Source : https://reseauinternational.net/cyril-hanouna-consterne-de-voir-eloise-32-ans-victime-du-vaccin-cest-inadmissible-elle-naurait-pas-du-se-faire-vacciner/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
379- D-DIMÈRES
380- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 1409 à 1417
https://catholique.forumactif.com/t977p620-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-2#12449
https://catholique.forumactif.com/t977p620-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-2#12449
381- ITALIE :
Les COBAYES représentent
7 DÉCÈS sur 10 DUS au COVID-19
Les COBAYES représentent
7 DÉCÈS sur 10 DUS au COVID-19
Entre le 25 février et le 22 mars, l'Italie a enregistré environ 1,6 million d'infections au Covid-19, dont 81 % chez les personnes ayant reçu toutes leurs doses de "vaccin", écrit DailyExpose.uk (9 mars).
Les triples injections représentaient 919 400 cas (58%). Il y a eu 17 536 hospitalisations liées au Covid-19, dont 13 372 (76%) étaient des cobayes.
L'Italie a enregistré 3 798 décès entre le 4 février et le 6 mars. Parmi ceux-ci, 2 649 (plus de 70 %) étaient dus à des injections.
Selon l'Institut national italien de la santé, les personnes injectées représentent actuellement
• 8 cas de Covid-19 sur 10
• 8 hospitalisations sur 10
• 7 admissions en unité de soins intensifs sur 10
• 7 décès sur 10
Les triples injections représentaient 919 400 cas (58%). Il y a eu 17 536 hospitalisations liées au Covid-19, dont 13 372 (76%) étaient des cobayes.
L'Italie a enregistré 3 798 décès entre le 4 février et le 6 mars. Parmi ceux-ci, 2 649 (plus de 70 %) étaient dus à des injections.
Selon l'Institut national italien de la santé, les personnes injectées représentent actuellement
• 8 cas de Covid-19 sur 10
• 8 hospitalisations sur 10
• 7 admissions en unité de soins intensifs sur 10
• 7 décès sur 10
(Source : https://gloria.tv/post/jWPDkikGM4pg3CaKmugpzDoan )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
383- BAISSE des PERFORMANCES SPORTIVES
après VACCINATION
après VACCINATION
par un VACCIN COVID-ARNm
Étude rétrospective des performances sportives de vingt jeunes athlètes-étudiants de Lycées et Collèges après vaccination par un vaccin anti-COVIDmRNA.
À retenir
- Aucun des sujets vaccinés n’a pu atteindre son niveau antérieur à la vaccination.
- Le temps de récupération après l’effort était plus long chez les vaccinés qu’avant la vaccination ; il était également plus long que chez les non vaccinés.
- Ces effets sont encore observés chez tous les sportifs vaccinés, jusqu’à plusieurs mois après la vaccination des premiers sportifs.
Il s’agit de l’étude rétrospective des performances sportives de vingt jeunes athlètes-étudiants de Lycées et Collèges après vaccination par un vaccin anti-COVIDmRNA1. La moitié d’entre eux était vaccinée et l’autre ne l’était pas (décision prise au préalable par leurs parents). Les activités sportives des deux groupes étaient les mêmes. Les auteurs ont aussi comparé les performances des sujets vaccinés avec leurs résultats antérieurs à la vaccination. On verra que les modifications observées après vaccination sont utiles pour illustrer les modifications cardiovasculaires apparaissant lors de la vaccination.
Les preuves de corrélation entre des lésions et des décès avec l’administration de vaccins CovidmRNA sont en train de s’accumuler et les études cliniques consacrées à ce phénomène se comptent par centaines2. Plus de 1500 types d’effets indésirables, dont beaucoup sont connus pour entraîner un handicap permanent, avec un total dépassant 158 000 cas, ont été trouvés après l’utilisation de vaccin anti-Covid Pfizer, et les auteurs encouragent les lecteurs à en lire la liste sur les 9 dernières pages du rapport joint ici3. Ce document de Pfizer n’avait pas été ouvert au public par la FDA qui voulait le rendre inaccessible avant 75 ans, a été déclassifié en décembre 2021 sur Ordre du Tribunal4. Les médecins et les scientifiques du monde entier se sont alarmés de voir les risques de lésions sévères et de décès dûs à cette vaccination. Le Dr Sucharit BHAKDI, immunologiste et microbiologiste renommé, et le Dr A. BURKHARDT, pathologiste, ont résumé le rôle direct de la vaccination dans les morts observées5. Les résultats d’autopsie montrent plus d’anomalies au niveau cardio-vasculaire que pour n’importe quel autre organe. L’élévation des marqueurs d’inflammation est corrélée avec les vaccins anti-COVID6. Et on pense que les morts soudaines observées parmi les athlètes pendant l’année 2021 depuis l’expansion de l’utilisation des vaccins anti-COVID est principalement dûe à une pathologie cardiaque ou cardiovasculaie sévère.
Deux entraineurs partageaient l’entraînement des athlètes-étudiants et avaient des relations franches et informelles avec leurs élèves. Ils ont ainsi pu connaître leurs réactions après vaccination, de même qu’ils ont pu facilement savoir qui était vacciné et qui ne l’était pas. Une stricte anonymisation des sportifs, de leurs parents et de leurs entraîneurs a été respectée pour éviter l’aspect émotionnel lié à la propagande faite pour la vaccination par les leaders politiques. Le choix des parents, quant à la vaccination de leur enfant, n’a pas été connu ni par les entraîneur ni par les auteurs de l’étude avant que celle-ci soit terminée.
Voici le rapport des entraîneurs obtenu rétrospectivement après leur observation des sujets vaccinés :
1. Aucun des sujets vaccinés n’a pu atteindre son niveau de performance antérieur à la vaccination. Tous ont été en dessous de leur niveau en 2020, selon les évaluations des deux entraîneurs.
2. Aucun des sujets vaccinés ne peut soutenir le même exercice pendant la durée qu’ils toléraient pourtant avant la vaccination.
3. Le temps de récupération après l’effort était plus long chez les vaccinés qu’avant la vaccination ; il était également plus long que chez les non vaccinés.
4. Après les injections de vaccin, la plupart sinon tous les vaccinés se plaignaient de l’une ou plus des réactions suivantes après vaccination :
- Douleur thoracique ;
- Sensation de vertige
- Voir des étoiles
- Se sentir près de s’évanouir
- Souffle court
Les jeunes sportifs parlaient à leur entraîneur spontanément et librement de ces symptômes.
5. Les filles non-vaccinées étaient maintenant capables de battre les garçons vaccinés en compétition. Ceci est inattendu et considéré comme inhabituel par les entraîneurs.
1), 2), 3) et 5) sont encore observés chez tous les sportifs vaccinés, jusqu’à plusieurs mois après la vaccination.
Par contre, les sportifs non-vaccinés n’ont eu aucun des symptômes ou déficit de leurs performances sportives ou de diminution de leur endurance, comme observé par les deux entraîneurs, et continuent à améliorer leurs performances et leur endurance, comme s’y attendaient les entraîneurs.
On peut s’attendre à ce que les athlètes aient une circulation sanguine plus efficace pendant un exercice que s’ils étaient sédentaires. Cette augmentation de la circulation a pour but de suppléer au besoin accru d’Oxygène du corps et à l’élévation d’activité métabolique que requiert cet exercice.
Augmenter le flux sanguin requiert une augmentation du débit cardiaque et une vasodilatation artérielle. La vasodilatation coronaire est contrôlé par des mécanismes autorégulateurs, de même que l’innervation neurologique vasculaire médiée par le système nerveux autonome et les hormones servent à ajuster vasodilatation et vasoconstriction, si c’est rendu nécessaire par une activité physique.
Les vaccins COVIDmRNA démarrent leur activité par la production de protéine Spike partout dans le corps. Les effets de cette protéine Spike sur les récepteurs ACE2 dans l’endothélium vasculaire sont une vasoconstriction. Le résultat peut être l’empêchement d’augmentation de flux sanguin et d’oxygène, au moment où la demande est la plus importante, pendant l’exercice. Les facteurs immunitaires et inflammatoires associés à la protéine Spike peuvent aussi affecter les cellules périvasculaires et périartérielles, aboutissant à une infiltration de lymphocytes T-CD8 et de lymphoctes NK. Tout cela peut diminuer la vasodilatation coronaire.
De plus, les positions et les effets de la protéine Spike viennent compliquer le problème de l’apport de sang aux tissus coronaires et périphériques. Exsudant de la surface endothéliale, les protéines Spike sont arrimées sur les récepteurs ACE2. Ceux-ci sont suspectés d’affecter défavorablement un flux sanguin turbulent plutôt qu’un flux laminaire. Quand le sang stagnant s‘accumule, la cascade des réactions de coagulation démarre de façon ubiquitaire dans tout le corps. De tels micro-caillots s’épaississent et ralentissent le flux sanguin, ce qui va encore plus empêcher la livraison de sang et d’oxygène dans les lits capillaires du cœur et à la périphérie.
Donc, le flux sanguin coronaire peut être défavorablement affecté par une viscosité élevée, qui est aussi causée par une agrégation des globules rouges, provoquée par la protéine Spike par le biais d’une adhésion via la molécule CD 147. En résultat, le cœur se fatigue à pousser au travers des artérioles et des capillaires du corps un liquide plus visqueux que le sang normal.
Un tel mécanisme, décrit plus loin ici7 crée un obstacle au passage optimal du sang, ce qui affectera nécessairement tous les receveurs de vaccins anti-COVID générateurs de protéines Spike. Nous devons donc recommander d’éviter l’utilisation de tout vaccin anti-COVID pour tous les enfants ou jeunes adultes qui prévoient ou réalisent un engagement dans les exercices physiques.
[Voir aussi : Liste de sportifs vax décédés, par un groupe d’avocats
Matt Le Tissier : « Je n’ai jamais rien vu de tel… C’est incroyable le nombre de sportifs qui s’effondrent »
2021 — Liste de sportifs professionnels et amateurs victimes des injections
Brisons le silence, sauvons nos enfants : la liste effroyable des décès de sportifs depuis le début de la vaccination !
Jeune et sportive, sa vie s’effondre après sa première injection
Sportifs de haut niveau, les vaccins covid diminuent vos performances !
15 joueurs de tennis ont abandonné le tournoi de Miami « pour des raisons de santé »
Stop au poison ! Une liste d’athlètes de classe mondiale qui sont morts ou ont subi des blessures graves après le vaccin COVID-19]
(Source : https://reseauinternational.net/baisse-des-performances-sportives-apres-vaccination-par-un-vaccin-covid-mrna/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
385- INJECTION COVIDISTE :
833 ATHLÈTES ont SUBI
des PROBLÈMES de SANTÉ MAJEUR,
540 sont MORTS !!!
833 ATHLÈTES ont SUBI
des PROBLÈMES de SANTÉ MAJEUR,
540 sont MORTS !!!
Les lésions consécutives à l'injection de pseudo-vaccins chez les athlètes comprennent l'arrêt cardiaque (le plus fréquent), la thrombose, l'accident vasculaire cérébral, l'arythmie, la neuropathie et le décès, écrit DailyExpose.uk (8 avril).
Au total, 15 joueurs n'ont pas pu terminer le tournoi de tennis Miami Open 2022, y compris les favoris masculins et féminins. Tous les joueurs ont été entièrement injectés.
Fin mars, Good Sciencing - une équipe d'enquêteurs - a recensé 833 athlètes, dans le monde entier, qui ont eu des arrêts cardiaques ou d'autres problèmes graves, dont 540 sont morts après avoir reçu une injection.
Au total, 15 joueurs n'ont pas pu terminer le tournoi de tennis Miami Open 2022, y compris les favoris masculins et féminins. Tous les joueurs ont été entièrement injectés.
Fin mars, Good Sciencing - une équipe d'enquêteurs - a recensé 833 athlètes, dans le monde entier, qui ont eu des arrêts cardiaques ou d'autres problèmes graves, dont 540 sont morts après avoir reçu une injection.
(Source : https://gloria.tv/post/awXc1Rb4SUrr4F4MuL7yAFSG4 )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
(Source : https://reaction19.fr/reaction19/enquetes-reaction19/070422-donnees-publiees-par-eudravigilance-au-03-avril-2022/ )
388- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 1445 à 1453
https://catholique.forumactif.com/t977p660-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-2#12491
https://catholique.forumactif.com/t977p660-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-2#12491
389- TÉMOIGNAGE d'une VICTIME à VIE
du VACCIN PFIZER
du VACCIN PFIZER
https://gloria.tv/post/PxzBh6SoFXsP2hRzJcw8RJmPE
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
391- VACCINS de PERLIMPINPIN :
le DÉSASTRE S'AMPLIFIE
le DÉSASTRE S'AMPLIFIE
Pendant que Boris Johnson se produisait à Kiev, le gouvernement britannique a discrètement publié des données confirmant que les personnes entièrement injectées représentaient 92 % de tous les décès dus au Covid-19 en mars, DailyExpose.uk (12 avril).
Entre le 28 février et le 27 mars, il y a eu un total de 1 486 973 cas de Covid-19 à travers l'Angleterre, 1 011 153 (83%) étaient des triples injections.
En un mois, les cas parmi les personnes non injectées ont diminué de 36%. Les cas parmi les triplement injectés ont augmenté de 34%.
En d'autres termes : Les adultes triplement injectés ont cinq fois plus de risques d'être infectés par le Covid-19 que les adultes non injectés.
Entre le 28 février et le 27 mars, il y a eu un total de 1 486 973 cas de Covid-19 à travers l'Angleterre, 1 011 153 (83%) étaient des triples injections.
En un mois, les cas parmi les personnes non injectées ont diminué de 36%. Les cas parmi les triplement injectés ont augmenté de 34%.
En d'autres termes : Les adultes triplement injectés ont cinq fois plus de risques d'être infectés par le Covid-19 que les adultes non injectés.
(Source : https://gloria.tv/post/8AdtbJeN2GLhDcThp98xSKhxi )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
393- SÉNAT :
une FEMME DOIT SUBIR
une « ABLATION de l’UTÉRUS »
après AVOIR été VACCINÉE…
une FEMME DOIT SUBIR
une « ABLATION de l’UTÉRUS »
après AVOIR été VACCINÉE…
Le Sénat va auditionner cette semaine [début avril 2022] des femmes qui affirment que le vaccin contre le Covid-19 a eu des effets sur leurs menstruations. L'une d'elles a dû subir une ablation de l'utérus pour éviter les douleurs.
« J’ai fait ma deuxième vaccination début août. Quinze jours après, j’ai commencé à avoir des douleurs extrêmement fortes qu’on peut comparer à des douleurs d’accouchement, non-stop jour et nuit et qui ont duré pratiquement trois semaines », raconte Julie. La jeune femme est membre du collectif « Où est mon cycle ». Elle a été auditionnée lundi au Parlement européen et sera entendue mercredi par une commission d’études sur les effets secondaires des vaccins au Sénat — une audition non publique…
« J’ai fait ma deuxième vaccination début août. Quinze jours après, j’ai commencé à avoir des douleurs extrêmement fortes qu’on peut comparer à des douleurs d’accouchement, non-stop jour et nuit et qui ont duré pratiquement trois semaines », raconte Julie. La jeune femme est membre du collectif « Où est mon cycle ». Elle a été auditionnée lundi au Parlement européen et sera entendue mercredi par une commission d’études sur les effets secondaires des vaccins au Sénat — une audition non publique…
Très inquiète, la jeune femme consulte. Les examens révèlent une adénomyose, une endométriose qui touche l’utérus. Aucun médicament ne la soulage. Intolérante au traitement hormonal, Julie opte alors pour la chirurgie.
« L’ablation de l’utérus, c’est la seule solution qui se présentait à moi, explique-t-elle, j’ai trouvé un chirurgien qui a accepté de me faire une hystérectomie et depuis j’ai retrouvé une vie normale. »
Pour Julie, l’apparition des premiers symptômes peu de temps après l’injection est la preuve que la survenue brutale de sa maladie est liée au vaccin.
« L’adénomyose est une maladie qui évolue lentement donc c’est surprenant », fait remarquer Julia Maruani, gynécologue libéral et hospitalier à Marseille, qui ajoute prudemment « maintenant, il y a des mécanismes qu’on ne connaît pas sur la vaccination et les effets sur l’utérus… »
(Source : https://lemediaen442.fr/senat-une-femme-doit-subir-une-ablation-de-luterus-apres-avoir-ete-vaccinee/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
395- Un ALBUM à CONSULTER
Je vous engage à regarder ici : https://gloria.tv/post/cDfD8k6UrVzM4xJQaXzMNs9sm où j'ai répertorié pour le moment plus de 2100 témoignages relatifs aux effets indésirables de la maudite piquouse, et tous les jours j'en ajoute une dizaine d'autres. Ne vous privez donc pas d'aller consulter cet album avant d'avoir la mauvaise idée de vous faire piquer, car ainsi vous serez vaccinés contre ce maudit vaccin.
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
397- Un MÉDECIN de l’ARMÉE AMÉRICAINE
RÉVÈLE que les MÉDECINS ont REÇU l’ORDRE
de ne PAS SIGNALER les EFFETS INDÉSIRABLES
LIÉS aux « VACCINS » ANTI-COVID
RÉVÈLE que les MÉDECINS ont REÇU l’ORDRE
de ne PAS SIGNALER les EFFETS INDÉSIRABLES
LIÉS aux « VACCINS » ANTI-COVID
Un lieutenant-colonel et médecin militaire de l’armée américaine a décrit comment on a dit à des médecins de l’armée de ne pas enregistrer de dossiers sur les effets indésirables du vaccin contre le COVID dans les bases de données officielles.
« Soit ils détournent le regard, soit ils disent simplement : « Eh bien, je ne peux pas faire ça. Cela n’existe pas », a déclaré le Dr Peter Chambers, lieutenant-colonel de l’armée américaine, béret vert des forces spéciales et médecin militaire.
Chambers a fait ces commentaires dans le cadre de la neuvième conférence en ligne de la Truth For Health Foundation, qui traitait le sujet des effets secondaires des injection de « vaccin » anti-COVID.
Alors qu’il débattait de la vaccination au sein des forces armées avec le Dr Elizabeth Lee Vliet, présidente et chef de la direction de la Fondation, le Dr Chambers a fait la lumière sur sa récente expérience en tant que chirurgien du groupe de travail pour l’opération Lone Star, une mission de sécurité frontalière de l’armée à la frontière avec le Mexique.
Le Dr Chambers, un vétéran de 39 ans et récipiendaire de la Purple Heart, a reçu l’injection de Moderna en janvier 2021, ignorant les effets secondaires potentiels. Il se considère désormais comme un défenseur des « blessés du vaccin » en raison des effets indésirables qu’il a subis par la suite.
Il a rapidement développé un « brouillard cérébral » d’un genre qu’il n’avait jamais connu.
À la suite d’une éventuelle IRM, après des épisodes de vertiges, d’étourdissements et de nausées qui l’ont amené à faire un accident avec un camion en revenant d’une patrouille de nuit, le Dr Chambers a reçu un diagnostic de démyélinisation, une maladie qui affecte le tissu nerveux.
Il a raconté comment il avait vu « plusieurs soldats » souffrir également des effets secondaires similaires des injections, ainsi que « six soldats qui ont été aux soins intensifs », et un soldat qui a été forcé de prendre une deuxième injection alors qu’il avait déjà souffert de micro-coagulation après sa première injection.
Le Dr Chambers a noté les détails de ses constats et les a enregistrés dans le système de notification des effets indésirables liés aux vaccins (VAERS) du CDC. Cependant, il a révélé au Dr Vliet que les chirurgiens des hôpitaux militaires ne signalaient aucun des effets indésirables qu’ils constataient. « On leur avait dit de ne pas entrer de cas dans le VAERS ».
« Les médecins m’ont dit personnellement dans le service actif qui fonctionnait à Fort Sam Houston, qu’ils ne devaient pas entrer les cas d’effets secondaires dans le système VAERS », a-t-il ajouté.
« Ainsi, lorsque vous essayez de parler à d’autres collègues, soit ils détournent le regard, soit ils disent simplement : « Eh bien, je ne peux pas faire ça ».
En tant que chirurgien du groupe de travail pour l’opération Lone Star, le Dr Chambers a dû remplir des formulaires de consentement éclairé, conformément aux règlements de l’armée, pour les soldats prenant les vaccins anti-COVID.
Le Dr Chambers a ensuite témoigné lors d’une audience devant un tribunal fédéral le 10 mars à Tampa dans l’affaire Navy SEAL 1 c. Austin . Le Dr Chambers a déclaré qu’il avait subi des pressions pour faire vacciner les soldats et a présenté comme pièce à conviction une instruction sur les exemptions religieuses qui disait : « Les soldats vont essayer. Les soldats échoueront. »
(Source : https://www.medias-presse.info/un-medecin-de-larmee-americaine-revele-que-les-medecins-ont-recu-lordre-de-ne-pas-signaler-les-effets-indesirables-lies-aux-vaccins-anti-covid/154901/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
399- APPEL à l'AIDE
https://gloria.tv/post/6fap4FVeYLvf2P39cLQdVDqjg#115
"VACCINÉE" depuis bientôt 1 AN, cette JEUNE FEMME vit un CAUCHEMAR et n'a aucun soutien ni médecin compétent et honnête.
Est-ce que quelqu'un sait qui elle est et comment la contacter pour la soutenir ?
Une adresse : https://www.verity-france.org/
Est-ce que quelqu'un sait qui elle est et comment la contacter pour la soutenir ?
Une adresse : https://www.verity-france.org/
400- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 1499 à 1507
https://catholique.forumactif.com/t977p720-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-2#12555
https://catholique.forumactif.com/t977p720-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-2#12555
Un fil à consulter sur les effets secondaires de la maudite piquouse est précisément celui que vous lisez en ce moment. Il se compose d'une première partie de 100 pages dont le début se trouve ici : https://catholique.forumactif.com/t961-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-1#10246 , et d'une seconde partie commençant ici : https://catholique.forumactif.com/t977-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-2#11812 et qui aura aussi 100 pages, et il se continuera par d'autres parties toujours de 100 pages jusqu'à ce que la matière manque, ce qui est peu probable puisque l'hystérie piquousale continue.
En lisant tous ces témoignages, dont le numéro 1 est ici : https://catholique.forumactif.com/t961p20-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-1#10620 , personne ne pourra dire qu'il n'est pas au courant, et donc aucune excuse n'est possible.
En lisant tous ces témoignages, dont le numéro 1 est ici : https://catholique.forumactif.com/t961p20-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-1#10620 , personne ne pourra dire qu'il n'est pas au courant, et donc aucune excuse n'est possible.
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
403- EFFETS GRAVES des VACCINS :
des CHIFFRES AVEUGLANTS
des CHIFFRES AVEUGLANTS
qui RESTENT dans l’OMBRE
par le Docteur Nicole DELÉPINE
par le Docteur Nicole DELÉPINE
La réalité des cas graves et des morts semble apparaître au grand jour aux États-Unis, révélée par des études solides. Mais les médias accaparés par la guerre en Ukraine peuvent-ils s’y intéresser ?
La vérité et l’étendue des effets graves des «vaccins» Covid deviennent de plus en plus évidentes, notamment suite à l’obligation imposée par la justice étasunienne à Pfizer de révéler l’ensemble de ses données sur les essais cliniques et les effets secondaires cachés. Pourtant, la guerre en Ukraine semble éclipser fort «opportunément» des preuves alarmantes qui devraient normalement faire la Une des médias.
Les documents relatifs au vaccin de Pfizer contredisent le récit «sûr et efficace» qui avait conduit à autoriser dans la hâte les injections géniques dès fin 2020. 9 pages d’effets secondaires, 158 893 effets secondaires, 42 086 rapports de cas pathologiques, 1 223 décès au cours des trois premiers mois d’utilisation du Pfizer et un taux de mortalité record chez les jeunes américains au cours du second semestre de 2021.
Les documents relatifs au vaccin de Pfizer contredisent le récit «sûr et efficace» qui avait conduit à autoriser dans la hâte les injections géniques dès fin 2020. 9 pages d’effets secondaires, 158 893 effets secondaires, 42 086 rapports de cas pathologiques, 1 223 décès au cours des trois premiers mois d’utilisation du Pfizer et un taux de mortalité record chez les jeunes américains au cours du second semestre de 2021.
Demande judiciaire
Demande judiciaire
L’avocat Aaron Siri et un groupe de scientifiques et de professionnels de la santé appelé Public Health and Medical Professionals for Transparency (PHMPT) ont déposé une demande en vertu de la loi sur la liberté d’information (FOIA) auprès de la Food and Drug Administration des États-Unis afin d’obtenir les documents utilisés pour approuver le vaccin à ARNm de Pfizer en août 2021.
La FDA avait réussi à examiner l’ensemble des 329 000 pages de données et à accorder une autorisation d’urgence au vaccin Pfizer en seulement 108 jours, mais a ensuite demandé 75 ans pour divulguer intégralement ces informations au PHMPT et au public.
«Le gouvernement protège Pfizer»
«Le gouvernement protège Pfizer»
Siri a écrit sur son Substack :
« Alors, mettons les choses au clair. Le gouvernement fédéral protège Pfizer de toute responsabilité. Lui donne des milliards de dollars. Oblige les Américains à se faire injecter son produit. Mais ne vous laisse pas voir les données prouvant la sécurité et l’efficacité de son produit. Pour qui le gouvernement travaille-t-il ? »
Alors que l’affaire judiciaire était en cours, les 91 premières pages de documents de Pfizer publiées en novembre 2021 ont révélé que dans les 90 premiers jours suivant l’autorisation d’utilisation d’urgence du vaccin à ARNm de Pfizer, la société avait déjà reçu 158 893 rapports d’effets secondaires et 42 086 rapports de cas pathologiques, dont 1 223 décès.
Ces effets secondaires indésirables comprenaient 25 957 troubles du système nerveux, 17 283 troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif, 14 096 troubles gastro-intestinaux, 1 972 troubles du système sanguin et lymphatique et 1 098 troubles cardiaques.
La FDA sommée de divulguer les données
La FDA sommée de divulguer les données
En janvier, un juge a ordonné à la FDA de publier ses données cliniques sur les vaccins Covid-19 de Pfizer, ce qui a entraîné la publication d’une partie des documents de Pfizer – plus de 10 000 pages – par la FDA le 1er mars 2022.
Cette tranche de documents comprenait 9-pages d’effets secondaires qui énumèrent 1 291 effets indésirables potentiels par ordre alphabétique.
Dans un tableau distinct intitulé « Problèmes de sécurité« , Pfizer a informé la FDA que l’anaphylaxie était un « risque identifié« , que la sur-maladie associée au vaccin (VAED) était un « risque potentiel » et que le géant pharmaceutique manquait d’informations concernant l’utilisation pendant la grossesse, l’utilisation chez les enfants et l’efficacité du vaccin.
Des centaines d’employés embauchés pour suivre les effets secondaires
Des centaines d’employés embauchés pour suivre les effets secondaires
Une autre série de documents publiés fin mars a révélé que Pfizer a reçu tellement de rapports d’effets secondaires indésirables au cours des trois premiers mois suivant le lancement du vaccin qu’elle a embauché 600 employés à temps plein uniquement pour traiter les rapports d’événements indésirables liés aux effets secondaires du vaccin, et qu’elle prévoit d’en embaucher 1200 autres d’ici juin 2021.
Le site d’information The Blaze a également révélé le mois dernier que le gouvernement américain a payé des centaines d’entreprises médiatiques pour faire la publicité des vaccins contre le Covid-19, tandis que ces mêmes médias répétaient les mantras « sûr et efficace » et « pandémie de non-vaccination » sans informer le public de toute étude ou donnée scientifique contraire.
Orchestration d’une campagne médiatique «positive»
Orchestration d’une campagne médiatique «positive»
En réponse à une demande déposée par Blaze Media en vertu de la loi sur la liberté de l’information, le HHS (Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis – WIKI) a révélé qu’il avait acheté de la publicité à ABC, CBS et NBC, ainsi qu’aux chaînes d’information câblées Fox News, CNN et MSNBC, à d’anciennes publications médiatiques comme le New York Post, le Los Angeles Times et le Washington Post, à des sociétés de médias numériques comme BuzzFeed News et Newsmax, et à des centaines de journaux et de chaînes de télévision locaux.
« Ces médias ont été collectivement responsables de la publication d’un nombre incalculable d’articles et de segments vidéo concernant le vaccin, qui étaient presque uniformément positifs sur le vaccin en termes d’efficacité et de sécurité« , a rapporté Blaze Media.
Les mantras «sûr et efficace» contredits par les décès constatés
Les mantras «sûr et efficace» contredits par les décès constatés
Alors que le gouvernement fédéral et les médias d’entreprise répétaient les mantras «sûr et efficace» et «pandémie des non-vaccinés», les données d’Israël, d’Islande et de Singapour ont montré que la majorité des cas de Covid-19 se sont produits chez les personnes présentant un parcours vaccinal complet au cours de l’été 2021, et les données d’Angleterre ont montré que plus de 70% des décès dus au Covid-19 se sont produits chez les personnes présentant un parcours vaccinal complet depuis septembre 2021.
En outre, de nombreuses bases de données gouvernementales officielles ont émis des signaux d’alarme indiquant que les vaccins à ARNm sont loin d’être aussi sûrs que prévu.
Le nombre total de décès associés aux vaccins Covid-19 dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS – Système de pharmacovigilence recensant les effets secondaires dus aux vaccins, NdT) des CDC est de 26 396, soit près du triple des 9 619 décès associés à tous les autres vaccins combinés au cours des 32 dernières années.
1,2 million de cas rapportés
1,2 million de cas rapportés
ll y a eu un total de 1 205 753 rapports associés aux vaccins contre le Covid-19 dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des CDC, y compris :
- 145 781 hospitalisations
- 125 791 soins urgents
- 48 852 handicapés permanents
- 41 320 réactions allergiques graves
- 37 579 myocardite/péricardite
- 26 396 décès
- 14 949 paralysie de Bell
- 13 527 crises cardiaques
- 13 224 bardeaux
- 9 533 anaphylaxie
- 6 256 thrombocytopénie
- 4 423 fausses couches
Les CDC affirment qu’aucun de ces décès n’a été causé par les vaccins Covid-19, mais leurs propres données montrent que 50 % des décès surviennent dans les 48 heures suivant la vaccination, avec une corrélation directe entre le nombre de décès et le nombre de jours après la vaccination.
Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les réactions indésirables aux vaccins aux États-Unis. (Réd. Covidhub: les estimations généralement admises indiquent qu’à peine 10% des effets secondaires sont rapportés)
Explosion de maladies dans l’armée
Explosion de maladies dans l’armée
Des lanceurs d’alerte ont publié la base de données épidémiologiques médicales du ministère de la Défense (DMED) et ont signé des déclarations sous serment selon lesquelles les données correspondaient à leur expérience clinique dans le traitement des soldats en 2021. Les données ont montré ces pourcentages d’augmentation des maladies parmi le personnel militaire par rapport à la moyenne des cinq dernières années :
- Hypertension – augmentation de 2 181 %.
- Crises cardiaques – augmentation de 269%.
- Cancer : augmentation de 300 %.
- Péricardite – augmentation de 175 %.
- Myocardite – augmentation de 285 %.
- Embolies pulmonaires – augmentation de 467 %.
- Infarctus cérébral – augmentation de 393 %.
- Paralysie de Bell – augmentation de 319 %.
- Syndrôme de Guillain-Barré – augmentation de 250 %.
- Immunodéficiences – augmentation de 275 %.
- Irrégularité menstruelle – augmentation de 476 %.
- Sclérose en plaques – augmentation de 487 %.
- Fausse couche – augmentation de 306%.
- VIH – augmentation de 590 %.
- Douleur thoracique – augmentation de 1 529 %.
- Respiration difficile – augmentation de 905 %.
- Problèmes neurologiques – augmentation de 1048%.
Le ministère de la Défense a répondu, par l’intermédiaire d’un site Web de fact-checking, qu’il s’agissait d’un problème dans sa base de données, qui a entraîné une sous-déclaration des données des cinq dernières années, et que ce problème n’a été découvert qu’après que ces médecins militaires ont attiré son attention sur l’augmentation de la maladie.
Le risque cardiaque pour les jeunes
Le risque cardiaque pour les jeunes
Le risque de myocardite ou d’inflammation cardiaque, en particulier chez les jeunes hommes, a été établi par de nombreux gouvernements dans le monde, ce qui a conduit huit pays à suspendre les vaccins contre le Covid-19 pour les groupes d’âge plus jeunes en raison du risque de myocardite.
- Taiwan suspend le 2ème vaccin Pfizer pour les 12-17 ans
- L’Islande suspend Moderna pour tous les âges
- La Suède suspend Moderna pour les moins de 30 ans
- La Finlande suspend Moderna pour les moins de 30 ans
- Le Danmark suspend Moderna pour les moins de 18 ans
- La Norvège suspend Moderna pour les moins de 18 ans
- La France suspend Moderna pour les moins de 30 ans
- L’Allemagne suspend Moderna pour les moins de 30 ans
En outre, la Suède et la Norvège ne recommandent pas les vaccins contre le Covid-19 pour les enfants de moins de 12 ans et le Royaume-Uni ne recommande pas les vaccins contre le Covid-19 pour la majorité des enfants de moins de 18 ans.
Les grands médias ne répercutent pas
Les grands médias ne répercutent pas
Alors que les médias grand public et les grandes entreprises technologiques ont occulté tout ce qui s’opposait au mantra de Pfizer, «sûr et efficace», plus de 17 000 médecins et scientifiques ont signé la déclaration de Rome recommandant de ne pas vacciner les enfants en bonne santé en raison du risque d’effets secondaires, du profil de sécurité à long terme inconnu de ces vaccins à ARNm et du risque négligeable de Covid-19 pour les enfants.
Les médias grand public ont supprimé les études d’autopsie qui montrent que les vaccins Covid-19 sont la cause du décès.
Les médias grand public ont supprimé les études d’autopsie qui montrent que les vaccins Covid-19 sont la cause du décès.
Le Dr Peter Schirmacher, pathologiste allemand de renommée mondiale, a publié en août 2021 un rapport d’autopsie de 40 personnes décédées dans les deux semaines suivant leur vaccination avec les vaccins COVID-19.
Il a déterminé que 30 à 40 % de ces personnes sont mortes à cause de la vaccination.
Médecin allemand de haut vol réduit au silence
Médecin allemand de haut vol réduit au silence
Le Dr Shirmacher a estimé que la fréquence des conséquences fatales de la vaccination est sous-estimée. Le pathologiste a cité « des effets secondaires rares et graves de la vaccination – comme une thrombose veineuse cérébrale ou des maladies auto-immunes. »
Le Dr Peter Schirmacher est président par intérim de la Société allemande de pathologie, directeur de l’Institut de pathologie de l’hôpital universitaire de Heidelberg et président de l’Association allemande pour l’étude du foie.
Les médias n’en ont pas parlé et les géants d’internet ont interdit les comptes qui tentaient de partager le rapport du Dr Schirmacher. L’entrepreneur et mécène Steve Kirsch a révélé que la « famille de Schirmacher était menacée s’il continuait à parler. Alors il a arrêté de parler. C’est la façon dont la science fonctionne aujourd’hui. »
Autopsies alarmantes ignorées
Autopsies alarmantes ignorées
Les docteurs Sucharit Bhakdi et Arne Burkhardt ont réalisé des autopsies séparées de personnes décédées dans un délai de 7 jours à 6 mois après avoir été vaccinées avec les vaccins contre le COVID-19.
Ils ont déterminé que 14 des 15 (93%) personnes autopsiées sont mortes d’affections causées par le vaccin contre le COVID-19. Leur étude, publiée le ou vers le 10 décembre 2021, est également confrontée au désintérêt des médias. Les médecins ont conclu :
«L’analyse histopathologique montre des preuves évidentes de pathologie de type auto-immune induite par le vaccin dans de multiples organes. Il est évident que l’on doit s’attendre à ce qu’une myriade d’événements indésirables dérivant de tels processus d’auto-attaque se produisent très fréquemment chez tous les individus, en particulier après des injections de rappel. Il ne fait aucun doute que l’injection de vaccins génétiques COVID-19 met des vies en danger de maladie et de mort. Nous notons que les vaccins à ARNm et à vecteur sont représentés parmi ces cas, de même que les quatre principaux fabricants. »
Les docteurs Arne Burkhardt et Sucharit Bhakdi ont présenté leur étude d’autopsie le 10 décembre 2021, mais elle a été largement ignorée, dénigrée ou censurée par les médias grand public et les grandes entreprises technologiques.
Les sociétés d’assurance révèlent la mortalité en hausse des 18-64 ans
Les sociétés d’assurance révèlent la mortalité en hausse des 18-64 ans
Les données du CDC et le PDG d’une compagnie d’assurance de 100 milliards de dollars ont déclaré que le taux de mortalité en 2021 pour les personnes âgées de 18 à 64 ans a augmenté de façon étonnante de 40% par rapport aux niveaux pré-pandémiques et que la majorité des décès ne sont pas classés comme étant dus au Covid-19.
« Nous constatons actuellement les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons jamais vus dans l’histoire de ce secteur, et pas seulement chez OneAmerica« , a déclaré Scott Davison, directeur de la compagnie d’assurance OneAmerica, basée à Indianapolis, qui existe depuis 1877 et compte environ 2 400 employés.
Cette augmentation représente «un nombre énorme», parmi «principalement les personnes en âge de travailler» qui ont des plans d’assurance-vie de groupe parrainés par l’employeur par le biais de OneAmerica, selon The Center Square.
«Du jamais vu»
«Du jamais vu»
«Et ce que nous avons vu juste au troisième trimestre, nous le voyons se poursuivre au quatrième trimestre, c’est que les taux de mortalité sont en hausse de 40% par rapport à ce qu’ils étaient avant la pandémie« , a déclaré Davison lors d’une conférence de presse en ligne la semaine dernière. « Pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe de trois sigmas (c’est-à-dire d’une gravité qui n’arrive en moyenne qu’une année sur 200) correspondrait à une augmentation de 10 % par rapport à la prépandémie. »
« Donc 40%, c’est du jamais vu« , a-t-il ajouté.
Cette augmentation record des taux de mortalité chez les personnes âgées de 25 à 64 ans, qui a débuté en juillet 2021, peut être observée dans les données de mortalité (toutes causes) des CDC présentées ci-dessous par le site USMortality.com :
Davantage de vaccinés parmi les morts
Comme l’a déjà publié Kanekoa’s Newsletter, une analyse critique des données originales de l’essai clinique de Pfizer montre que davantage de personnes sont mortes dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo.
Pfizer a supprimé l’essai en double-aveugle au bout de deux mois, n’a pas testé les biomarqueurs qui auraient constitué des signes précurseurs de la maladie et a qualifié de «douleur abdominale fonctionnelle» l’un des participants à l’essai, âgé de 12 ans, paralysé dans un fauteuil roulant et contraint de s’alimenter par sonde.
Déjà en 2008, le New York Times a publié un article intitulé « Des experts concluent que Pfizer a manipulé des études« .
Pfizer : des milliards versés aux médecins… et à la justice
Pfizer : des milliards versés aux médecins… et à la justice
Pfizer a retardé la publication d’études négatives, a déformé des données négatives pour les présenter sous un jour plus positif et a contrôlé le flux de données de recherche clinique afin de promouvoir son médicament contre l’épilepsie Neurontin.
En 2010, le New York Times a publié un article intitulé « Pfizer donne des détails sur les paiements aux médecins« .
Pfizer a admis avoir versé environ 20 millions de dollars à 4 500 médecins et autres professionnels de la santé pour des consultations et des interventions en son nom au cours des six derniers mois de 2009. Pfizer a également versé 15,3 millions de dollars à 250 centres médicaux universitaires et autres groupes de recherche pour des essais cliniques au cours de la même période.
Pfizer, qui a payé pendant plusieurs décennies des milliards de dollars d’amendes pénales, a réussi à s’emparer des médias, des grandes entreprises technologiques et des agences de réglementation pendant la crise du Covid-19, mais ses propres documents contredisent le récit « sûr et efficace » qui a été servi au public américain.
(Source : https://nouveau-monde.ca/effets-graves-des-vaccins-des-chiffres-aveuglants-qui-restent-dans-lombre/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
405- PFIZER SAVAIT
que les INJECTIONS COVIDISTES
SUPPRIMAIENT l'IMMUNITÉ
que les INJECTIONS COVIDISTES
SUPPRIMAIENT l'IMMUNITÉ
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a publié le 1er avril 11 000 autres documents de Pfizer (DailyExpose.uk, 15 avril). Points saillants.
• Les effets secondaires des injections sont plus graves chez les moins de 55 ans et augmentent avec les doses supplémentaires.
• Les effets sur le sperme, les fœtus et les enfants allaités sont "inconnus".
• Les personnes de tous âges souffrent d'une suppression transitoire de l'immunité pendant une semaine après la première dose, ce qui fausse les taux d'infection des personnes non injectées, car les personnes sont considérées comme "partiellement injectées" seulement 14 jours après leur première injection.
• Au cours de la première semaine suivant l'injection, le covid est beaucoup plus fréquent chez les personnes injectées (409) que chez les personnes injectées par placebo (287).
• Les injections entraînent un taux de myocardite de 10/100 000 (avant l'injection : 2/100 000), les jeunes hommes présentant un risque nettement plus élevé.
• Pfizer n'exclut pas que les injections rendent plus grave un covid ultérieur
• Les essais cliniques de phase 3 destinés à découvrir les effets secondaires fréquents/graves avant l'approbation d'un vaccin seront achevés pour les injections de Covid en février 2024.
• Les effets secondaires des injections sont plus graves chez les moins de 55 ans et augmentent avec les doses supplémentaires.
• Les effets sur le sperme, les fœtus et les enfants allaités sont "inconnus".
• Les personnes de tous âges souffrent d'une suppression transitoire de l'immunité pendant une semaine après la première dose, ce qui fausse les taux d'infection des personnes non injectées, car les personnes sont considérées comme "partiellement injectées" seulement 14 jours après leur première injection.
• Au cours de la première semaine suivant l'injection, le covid est beaucoup plus fréquent chez les personnes injectées (409) que chez les personnes injectées par placebo (287).
• Les injections entraînent un taux de myocardite de 10/100 000 (avant l'injection : 2/100 000), les jeunes hommes présentant un risque nettement plus élevé.
• Pfizer n'exclut pas que les injections rendent plus grave un covid ultérieur
• Les essais cliniques de phase 3 destinés à découvrir les effets secondaires fréquents/graves avant l'approbation d'un vaccin seront achevés pour les injections de Covid en février 2024.
(Source : https://gloria.tv/post/gr9NyXjoXFuh6EqFvqeCmjx1E )
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