Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
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Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
820- OFFICIEL :
PLUS de 2 PERSONNES sur 1000
MEURENT dans le MOIS
SUIVANT la VACCINATION contre le COVID-19
PLUS de 2 PERSONNES sur 1000
MEURENT dans le MOIS
SUIVANT la VACCINATION contre le COVID-19
Le gouvernement britannique a révélé qu'une personne sur 482 vaccinée contre le Covid-19 en Angleterre est malheureusement décédée dans le mois suivant la réception d'une dose d'injection de Covid-19.
Pendant des mois, les institutions gouvernementales ont affirmé qu'elles ne détenaient aucune donnée sur les décès par statut vaccinal. Mais ils vous ont menti.
Le 6 juillet, une institution gouvernementale britannique connue sous le nom d'Office for National Statistics, a publié un ensemble de données sur les décès par statut vaccinal en Angleterre entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022, qui peut être trouvé ici , et cela donne une lecture horrible.
Le tableau 9 de l'ensemble de données contient des chiffres sur « le nombre de périodes entières de tous les décès enregistrés regroupés selon le nombre de semaines après la vaccination où les décès sont survenus ; pour les décès entraînant le COVID-19 et les décès n'impliquant pas le COVID-19, les décès survenus entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022, Angleterre' .
Voici un aperçu de la façon dont l'ONS présente les données -
Comme vous pouvez le voir, l'ONS ne nous facilite toujours pas la tâche en révélant le nombre total de décès, mais avec un peu de patience et des calculs simples, nous pouvons facilement le découvrir nous-mêmes.
Le tableau suivant montre le nombre total de décès dans un délai d'un mois/cinq semaines suivant la vaccination contre le Covid-19 en Angleterre entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022 -
Selon l'Office for National Statistics, entre le 1er janvier 21 et le 31 mars 22, un total de 9 891 personnes sont décédées avec Covid-19 dans le mois suivant la vaccination, et un total de 82 255 personnes sont décédées de toute autre cause dans le mois suivant la vaccination.
Cela signifie qu'au total, 92 146 personnes sont décédées dans le mois suivant la vaccination contre le Covid-19 entre janvier 2021 et mai 2022.
Sur la base du nombre de personnes qui ont reçu au moins une dose d'une injection de Covid-19 en Angleterre, cela équivaut à 1 personne vaccinée sur 482 qui perd malheureusement la vie dans le mois suivant la vaccination contre Covid-19.
L'Agence britannique de sécurité sanitaire a publié discrètement un rapport hebdomadaire intitulé "Rapport hebdomadaire national de surveillance de la grippe et du COVID-19" qui contient des montagnes de données monotones. Cependant, cachés au plus profond de ce rapport se trouvent les chiffres de la vaccination contre le Covid-19 en Angleterre par dose.
Le tableau suivant est tiré de la page 65 du rapport de la semaine 27 et montre la couverture vaccinale en Angleterre par âge –
Nous avons créé le tableau suivant sur la base des chiffres fournis par l'UKHSA ci-dessus, indiquant le taux total de vaccination par rapport au total des refus de vaccination en Angleterre par dose -
Selon l'UKHA, 44,48 millions de personnes ont reçu une dose unique, 41,8 millions de personnes ont reçu deux doses et 32,9 millions de personnes ont reçu trois doses au 3 juillet 2022.
Par conséquent, en utilisant des calculs simples, nous constatons qu'une personne vaccinée sur 482 est décédée dans le mois suivant la vaccination contre le Covid-19 en Angleterre.
44 480 115 (personnes vaccinées) / 92 146 (décès) = 482 = 1 décès pour 482 personnes vaccinées
Beaucoup de gens diront probablement qu'il faut s'y attendre avec autant de personnes vaccinées. Mais ces mêmes personnes ne prendront pas la peine d'étayer leur argument par des preuves. Parce que s'il faut s'y attendre, comment expliquent-ils exactement le fait que les taux de mortalité pour 100 000 sont les plus bas parmi les non vaccinés de chaque groupe d'âge ?
Au cours de chaque mois depuis le début de 2022, les 18 à 39 ans partiellement vaccinés et doublement vaccinés ont été plus à mourir que les 18 à 39 ans non vaccinés. Les 18 à 39 ans triplement vaccinés ont cependant eu un taux de mortalité qui s'est aggravé d'un mois à l'autre après la campagne massive de rappel qui a eu lieu au Royaume-Uni en décembre 2021.
Nous observons également une tendance similaire parmi tous les autres groupes d'âge.
Les graphiques suivants montrent les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge par statut vaccinal parmi chaque groupe d'âge pour les décès non-Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022, les chiffres peuvent être trouvés dans le tableau 2 du même ensemble de données ONS contenant les décès suite à Covid -19 vaccins –
Les chiffres officiels publiés discrètement par le gouvernement britannique fournissent des preuves irréfutables que les vaccins Covid-19 sont mortels et tuent des milliers de personnes.
Sinon, comment expliquez-vous le fait que les vaccinés sont beaucoup plus susceptibles de mourir que les non vaccinés dans chaque groupe d'âge ?
Il n'est pas étonnant qu'une personne sur 482 vaccinée contre le Covid-19 en Angleterre soit malheureusement décédée dans le mois suivant l'injection d'une dose de Covid-19.
Pendant des mois, les institutions gouvernementales ont affirmé qu'elles ne détenaient aucune donnée sur les décès par statut vaccinal. Mais ils vous ont menti.
Le 6 juillet, une institution gouvernementale britannique connue sous le nom d'Office for National Statistics, a publié un ensemble de données sur les décès par statut vaccinal en Angleterre entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022, qui peut être trouvé ici , et cela donne une lecture horrible.
Le tableau 9 de l'ensemble de données contient des chiffres sur « le nombre de périodes entières de tous les décès enregistrés regroupés selon le nombre de semaines après la vaccination où les décès sont survenus ; pour les décès entraînant le COVID-19 et les décès n'impliquant pas le COVID-19, les décès survenus entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022, Angleterre' .
Voici un aperçu de la façon dont l'ONS présente les données -
Comme vous pouvez le voir, l'ONS ne nous facilite toujours pas la tâche en révélant le nombre total de décès, mais avec un peu de patience et des calculs simples, nous pouvons facilement le découvrir nous-mêmes.
Le tableau suivant montre le nombre total de décès dans un délai d'un mois/cinq semaines suivant la vaccination contre le Covid-19 en Angleterre entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022 -
Selon l'Office for National Statistics, entre le 1er janvier 21 et le 31 mars 22, un total de 9 891 personnes sont décédées avec Covid-19 dans le mois suivant la vaccination, et un total de 82 255 personnes sont décédées de toute autre cause dans le mois suivant la vaccination.
Cela signifie qu'au total, 92 146 personnes sont décédées dans le mois suivant la vaccination contre le Covid-19 entre janvier 2021 et mai 2022.
Sur la base du nombre de personnes qui ont reçu au moins une dose d'une injection de Covid-19 en Angleterre, cela équivaut à 1 personne vaccinée sur 482 qui perd malheureusement la vie dans le mois suivant la vaccination contre Covid-19.
L'Agence britannique de sécurité sanitaire a publié discrètement un rapport hebdomadaire intitulé "Rapport hebdomadaire national de surveillance de la grippe et du COVID-19" qui contient des montagnes de données monotones. Cependant, cachés au plus profond de ce rapport se trouvent les chiffres de la vaccination contre le Covid-19 en Angleterre par dose.
Le tableau suivant est tiré de la page 65 du rapport de la semaine 27 et montre la couverture vaccinale en Angleterre par âge –
Nous avons créé le tableau suivant sur la base des chiffres fournis par l'UKHSA ci-dessus, indiquant le taux total de vaccination par rapport au total des refus de vaccination en Angleterre par dose -
Selon l'UKHA, 44,48 millions de personnes ont reçu une dose unique, 41,8 millions de personnes ont reçu deux doses et 32,9 millions de personnes ont reçu trois doses au 3 juillet 2022.
Par conséquent, en utilisant des calculs simples, nous constatons qu'une personne vaccinée sur 482 est décédée dans le mois suivant la vaccination contre le Covid-19 en Angleterre.
44 480 115 (personnes vaccinées) / 92 146 (décès) = 482 = 1 décès pour 482 personnes vaccinées
Beaucoup de gens diront probablement qu'il faut s'y attendre avec autant de personnes vaccinées. Mais ces mêmes personnes ne prendront pas la peine d'étayer leur argument par des preuves. Parce que s'il faut s'y attendre, comment expliquent-ils exactement le fait que les taux de mortalité pour 100 000 sont les plus bas parmi les non vaccinés de chaque groupe d'âge ?
Au cours de chaque mois depuis le début de 2022, les 18 à 39 ans partiellement vaccinés et doublement vaccinés ont été plus à mourir que les 18 à 39 ans non vaccinés. Les 18 à 39 ans triplement vaccinés ont cependant eu un taux de mortalité qui s'est aggravé d'un mois à l'autre après la campagne massive de rappel qui a eu lieu au Royaume-Uni en décembre 2021.
Nous observons également une tendance similaire parmi tous les autres groupes d'âge.
Les graphiques suivants montrent les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge par statut vaccinal parmi chaque groupe d'âge pour les décès non-Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022, les chiffres peuvent être trouvés dans le tableau 2 du même ensemble de données ONS contenant les décès suite à Covid -19 vaccins –
Les chiffres officiels publiés discrètement par le gouvernement britannique fournissent des preuves irréfutables que les vaccins Covid-19 sont mortels et tuent des milliers de personnes.
Sinon, comment expliquez-vous le fait que les vaccinés sont beaucoup plus susceptibles de mourir que les non vaccinés dans chaque groupe d'âge ?
Il n'est pas étonnant qu'une personne sur 482 vaccinée contre le Covid-19 en Angleterre soit malheureusement décédée dans le mois suivant l'injection d'une dose de Covid-19.
(Source : https://numidia-liberum.blogspot.com/2022/08/les-injections-de-covid-ont-tue-5-12.html
+ Original anglais : https://expose-news.com/2022/08/13/1-in-every-482-dead-1-month-covid-vaccination/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
822- DONNÉES CACHÉES ESSAI PFIZER,
un NOUVEAU SCANDALE :
30% des FEMMES ENCEINTES
après la PREMIÈRE DOSE
ont PERDU leur BÉBÉ
par Patrice Gibertie
un NOUVEAU SCANDALE :
30% des FEMMES ENCEINTES
après la PREMIÈRE DOSE
ont PERDU leur BÉBÉ
par Patrice Gibertie
Les documents de l’essai Pfizer multiplient les pièges, j’ai donc tout repris de l’article initial en constatant que 50 femmes se sont retrouvées enceintes dans un essai qui leur était interdit. Des tests de grossesse ont été effectués pour les femmes en âge de procréer lors des visites de dosage avant l’administration du vaccin.
17 ont été retirées officiellement de l’étude dont 13 pour lesquelles aucune info sur le suivi de grossesse n’est donné.
Nous savons que pour 37 femmes suivies quelques mois, 11 ont perdu leur bébé pendant cette période qui couvre la 1ere et les jours suivant la 2ème dose.
Nous ignorons combien de grossesses sont à ce jour parvenues à terme pour les 26 femmes qui restaient et les 4 écartées qui n’ont pas donné de nouvelles.
Il faut chasser les doublons et les triplés mais pour ne pas aider les codes « subjects » fluctuant , il est impossible de retrouver les mêmes codes en comparant la liste des 50 femmes vaccinées enceintes et la liste des femmes pour lesquelles nous avons un avortement (sauf 3).
Toutes les femmes qui ont perdu leur bébé sont dans la liste des 50.
Nous savions que les femmes enceintes NE POUVAIENT PAS PARTICIPER À L’ESSAI et les autres devaient pratiquer abstinence et ou methode contraceptive (p. 120 du protocole).
Aucune femme n’était enceinte avant de se faire vacciner.
Étude des documents
Mais quelques femmes de l’étude se sont pourtant retrouvées enceintes et elles ont été injectées, elles sont listées.
Officiellement 6 femmes enceintes du groupe vacciné et 7 du groupe placebo ont été ecartées de l’étude après la première dose…
Que sont-elles devenues ?
Selon les derniers documents, elles seraient 17. Le sort de la grossesse de 13 d’entre elles est inconnu.
La justice américaine a contraint la FDA de rentre public un document de 3645 pages présentant les adverses events survenus lors du fameux essai Pfizer portant sur 44 000 personnes. Nous savions déja que le suivi moyen ne portait pas sur 6 mois mais sur deux.
Les derniers documents posent de gros problèmes et interrogent sur le sort d’autres femmes enceintes vaccinées.
On découvre que 50 femmes ont été vaccinées, 37 suivies sans doute pendant quelques semaines. 11 ont perdu leur bébé.
Qu’est il advenu des grossesses des femmes enceintes ? Le diable se cache dans les détails. On découvre que 50 femmes sont tombées enceintes lors de l’étude après la première injection (le document, à la page 3643, intitulé « Listing of Subjects Reporting Pregnancy After Dose 1 »). Cependant, il faut fouiller dans le reste du gros document pour apprendre que 11 des 37 femmes suivies ont subi un « avortement spontané », un « avortement spontané complet », un « avortement spontané incomplet » ou une « fausse couche ».
Les femmes répertoriées dans la liste des sujets déclarant une grossesse après la dose 1 ont reçu entre une et quatre injections chacune. 42 des femmes ont reçu le pfizer d’essai immédiatement. Huit ont reçu le placebo, puis ont été levés en aveugle et ont reçu le vaccin. Ainsi, au 31 mars 2021, toutes les femmes enceintes participant à l’essai avaient reçu la version BNT162b2 du vaccin de Pfizer et 11 avaient perdu leur bébé.
Bien entendu aucune relation avec l’injection…
Vérifiez vous-mêmes : 125742_S1_M5_5351_c4591001-interim-mth6-adverse-events Télécharger
42 femmes BNT-162b2 vs 8 placebo Pfizer a ensuite vacciné le groupe placebo et déclaré qu’aucune fausse couche n’était en lien avec le vaccin.
Le sort des grossesses de 13 est inconnu.
Le tout avait disparu avec la complicité de la FDA. 11/37 femmes ont perdu leur bébé1,2.
https://dailyclout.io/pfizer-misleadingly-classified-the-44-percent-of-pregnancies-that-ended-in-miscarriage/
https://pgibertie.com/2022/08/13/dangerosite-de-la-vaccination-pour-les-femmes-enceintesles-journalistes-sont-de-gros-menteurs/
Et les injections ont déjà des effets sur la natalité : la Suisse
17 ont été retirées officiellement de l’étude dont 13 pour lesquelles aucune info sur le suivi de grossesse n’est donné.
Nous savons que pour 37 femmes suivies quelques mois, 11 ont perdu leur bébé pendant cette période qui couvre la 1ere et les jours suivant la 2ème dose.
Nous ignorons combien de grossesses sont à ce jour parvenues à terme pour les 26 femmes qui restaient et les 4 écartées qui n’ont pas donné de nouvelles.
Il faut chasser les doublons et les triplés mais pour ne pas aider les codes « subjects » fluctuant , il est impossible de retrouver les mêmes codes en comparant la liste des 50 femmes vaccinées enceintes et la liste des femmes pour lesquelles nous avons un avortement (sauf 3).
Toutes les femmes qui ont perdu leur bébé sont dans la liste des 50.
Nous savions que les femmes enceintes NE POUVAIENT PAS PARTICIPER À L’ESSAI et les autres devaient pratiquer abstinence et ou methode contraceptive (p. 120 du protocole).
Aucune femme n’était enceinte avant de se faire vacciner.
Étude des documents
Mais quelques femmes de l’étude se sont pourtant retrouvées enceintes et elles ont été injectées, elles sont listées.
Officiellement 6 femmes enceintes du groupe vacciné et 7 du groupe placebo ont été ecartées de l’étude après la première dose…
Que sont-elles devenues ?
Selon les derniers documents, elles seraient 17. Le sort de la grossesse de 13 d’entre elles est inconnu.
La justice américaine a contraint la FDA de rentre public un document de 3645 pages présentant les adverses events survenus lors du fameux essai Pfizer portant sur 44 000 personnes. Nous savions déja que le suivi moyen ne portait pas sur 6 mois mais sur deux.
Les derniers documents posent de gros problèmes et interrogent sur le sort d’autres femmes enceintes vaccinées.
On découvre que 50 femmes ont été vaccinées, 37 suivies sans doute pendant quelques semaines. 11 ont perdu leur bébé.
Qu’est il advenu des grossesses des femmes enceintes ? Le diable se cache dans les détails. On découvre que 50 femmes sont tombées enceintes lors de l’étude après la première injection (le document, à la page 3643, intitulé « Listing of Subjects Reporting Pregnancy After Dose 1 »). Cependant, il faut fouiller dans le reste du gros document pour apprendre que 11 des 37 femmes suivies ont subi un « avortement spontané », un « avortement spontané complet », un « avortement spontané incomplet » ou une « fausse couche ».
Les femmes répertoriées dans la liste des sujets déclarant une grossesse après la dose 1 ont reçu entre une et quatre injections chacune. 42 des femmes ont reçu le pfizer d’essai immédiatement. Huit ont reçu le placebo, puis ont été levés en aveugle et ont reçu le vaccin. Ainsi, au 31 mars 2021, toutes les femmes enceintes participant à l’essai avaient reçu la version BNT162b2 du vaccin de Pfizer et 11 avaient perdu leur bébé.
Bien entendu aucune relation avec l’injection…
Vérifiez vous-mêmes : 125742_S1_M5_5351_c4591001-interim-mth6-adverse-events Télécharger
42 femmes BNT-162b2 vs 8 placebo Pfizer a ensuite vacciné le groupe placebo et déclaré qu’aucune fausse couche n’était en lien avec le vaccin.
Le sort des grossesses de 13 est inconnu.
Le tout avait disparu avec la complicité de la FDA. 11/37 femmes ont perdu leur bébé1,2.
https://dailyclout.io/pfizer-misleadingly-classified-the-44-percent-of-pregnancies-that-ended-in-miscarriage/
https://pgibertie.com/2022/08/13/dangerosite-de-la-vaccination-pour-les-femmes-enceintesles-journalistes-sont-de-gros-menteurs/
Et les injections ont déjà des effets sur la natalité : la Suisse
Lire la suite ici : https://pgibertie.com/2022/08/18/donnees-cachees-essai-pfizer-un-nouveau-scandale-44-des-femmes-enceintes-apres-la-premiere-dose-ont-perdu-leur-bebe/
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
824- Une ÉTUDE RÉVÈLE un LIEN « STUPÉFIANT »
entre le VACCIN de PFIZER et la MYOCARDITE
chez les ADOLESCENTS
entre le VACCIN de PFIZER et la MYOCARDITE
chez les ADOLESCENTS
Une étude préliminaire menée auprès d'adolescents pendant la campagne nationale de vaccination contre la COVID-19 en Thaïlande a montré ce qu'un médecin a décrit comme une association « stupéfiante » entre la myocardite et le vaccin de Pfizer-BioNTech.
Une étude prospective menée en Thaïlande pendant la campagne nationale de vaccination des adolescents contre la COVID-19 a montré ce qu’un médecin a décrit comme une association « étonnante » entre la myocardite et le vaccin de Pfizer-BioNTech.
La préimpression, acceptée pour publication dans une revue à comité de lecture, a porté sur 314 participants âgés de 13 à 18 ans qui étaient en bonne santé et ne présentaient aucun symptôme anormal après avoir reçu leur première dose de vaccin.
Les participants ayant des antécédents de cardiomyopathie, de péricardite tuberculeuse ou de péricardite constrictive et une réaction allergique grave au vaccin contre la COVID-19 ont été exclus de l’étude.
Bien que l’étude ait porté sur 314 adolescents, 13 ont été exclus des résultats car ils ont été « perdus de vue ».
Sur les 301 participants restants, 202 (67,1 %) étaient des hommes.
Les chercheurs ont constaté que 18 % des 301 adolescents analysés ont présenté un électrocardiogramme, ou ECG, anormal après avoir reçu leur deuxième dose de Pfizer, 3,5 % des garçons ont développé une myopéricardite ou une myocardite subclinique, deux ont été hospitalisés et un a été admis aux soins intensifs pour des problèmes cardiaques.
Les effets indésirables cardiovasculaires observés au cours de l’étude comprenaient la tachycardie (7,64 %), l’essoufflement (6,64 %), les palpitations (4,32 %), les douleurs thoraciques (4,32 %) et l’hypertension (3,99 %).
Cinquante-quatre adolescents ont présenté des électrocardiogrammes anormaux après la vaccination, trois patients ont eu un épanchement péricardique minime avec des résultats compatibles avec une myopéricardite subaiguë et six patients ont présenté un prolapsus de la valve mitrale.
La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque qui peut entraîner une arythmie cardiaque et la mort. Selon la National Organization for Rare Disorders, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat d’une réaction immunitaire de l’organisme à la lésion cardiaque initiale ».
La péricardite est une inflammation du tissu entourant le cœur qui peut provoquer une douleur thoracique aiguë et d’autres symptômes.
Selon l’étude, le symptôme le plus courant était la douleur thoracique, suivie par la gêne thoracique, la fièvre et les maux de tête.
Trois patients âgés de 13 à 18 ans ont signalé des douleurs thoraciques et les biomarqueurs ont été évalués. Tous trois ont signalé les symptômes dans les 24 à 48 heures après avoir reçu la deuxième dose de Pfizer.
Quatre patients n’avaient aucun symptôme mais présentaient des biomarqueurs élevés.
Tous les patients étaient de sexe masculin et présentaient des électrocardiogrammes anormaux, notamment une tachycardie sinusale. L’évolution clinique était légère dans tous les cas.
La majorité des participants (257/301, soit 85,38 %) ne présentaient aucune maladie sous-jacente avant d’être vaccinés.
Dans le cadre de l’étude, les participants ont reçu une carte journal pour enregistrer les symptômes cardiaques. Ceux qui développaient des effets secondaires du vaccin pouvaient appeler le chercheur principal et être transférés vers une équipe médicale de l’hôpital des maladies tropicales pour évaluation.
Si le participant présentait un ECG anormal, des résultats échocardiographiques ou une augmentation des enzymes cardiaques, l’investigateur principal programmait les patients pour un suivi selon le protocole de l’étude et pour des évaluations de laboratoire au 14ème jour.
Les personnes ont été suivies à l’aide de tests de laboratoire, y compris des biomarqueurs cardiaques, d’un ECG et d’une échocardiographie, lors de trois visites cliniques – au début de l’étude, le troisième, le septième et le quatorzième jour après avoir reçu la deuxième dose du vaccin contre la COVID-19 de Pfizer BioNTech.
Les critères de diagnostic de la myocardite ont été classés en cas probables ou en cas confirmés et étaient basés sur les symptômes cliniques et les tests médicaux.
Les chercheurs ont conclu que la présentation clinique de la myopéricardite après la vaccination était « généralement légère », tous les cas se rétablissant complètement dans les 14 jours et ont recommandé que les adolescents recevant des vaccins à ARNm soient surveillés pour les effets secondaires.
Le Dr Tracy Høeg, épidémiologiste, a déclaré dans un tweet que l’étude était « unique et impressionnante en raison de l’examen approfondi effectué avant et après la vaccination », car elle permettait de « détecter des anomalies cardiaques préexistantes ».
Le journaliste indépendant Jordan Schachtel a noté dans un tweet que les événements cardiaques observés au cours de l’étude se sont produits après une seule injection de Pfizer, les enfants souffrant de problèmes cardiaques ayant été exclus.
Selon les données les plus récentes du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), du 14 décembre 2020 au 29 juillet 2022, 1 292 cas de myocardite et de péricardite ont été signalés chez les 12-17 ans.
Sur les 1 292 rapports, 1 145 cas ont été attribués au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer.
(Source : https://www.mondialisation.ca/une-etude-revele-un-lien-stupefiant-entre-le-vaccin-de-pfizer-et-la-myocardite-chez-les-adolescents/5670572 )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
826- Pr. Dolores CAHILL :
« TOUTE PERSONNE
qui REÇOIT une INJECTION d'ARNm
MOURRA dans les 3 à 5 ANS,
même si elle n'a reçu qu'une seule injection. »
(31/05/22)
« TOUTE PERSONNE
qui REÇOIT une INJECTION d'ARNm
MOURRA dans les 3 à 5 ANS,
même si elle n'a reçu qu'une seule injection. »
(31/05/22)
https://gloria.tv/post/Jqhyz3mxSfyR1TgzDg3QugrGi
>>> Les VACCINS-COVID TUENT au moins 10 000 PERSONNES par JOUR dans le MONDE
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
828- La MYOCARDITE POST-VACCINALE
n’est PAS « BÉNIGNE »,
AVERTISSENT les MÉDECINS
n’est PAS « BÉNIGNE »,
AVERTISSENT les MÉDECINS
Le Dr Jonathan Engler et le Dr Clare Craig, coprésidents de HART (Health Advisory & Recovery Team), http://www.hartgroup.org, ainsi que quelque 70 médecins et scientifiques de HART, ont écrit au Dr Jenny Harries, directrice générale de l’UKHSA, pour l’exhorter à prendre les preuves cumulatives et inquiétantes de la myocardite post-vaccinale avec le sérieux qu’elles méritent. Nous publions ci-dessous la lettre, qui explique en détail comment les autorités médicales britanniques ont dangereusement minimisé les effets indésirables de la myocardite, donne des preuves actualisées de sa gravité et de ses effets cumulatifs, et décrit les actions que le gouvernement doit immédiatement entreprendre.
Directrice générale, UKHSA
Copies : Dr Andrew Goddard : RCP, Dame Clare Gerada : RCGP, Professeur Kevin Fenton : FPH,
Dr Jim McManus : ADPH, Dr Camilla Kingdon : RCPCH, Dr Tim Cooksley : Society for Acute Medicine, Dr John Greenwood : British Cardiovascular Soc, Dame Helen Stokes-Lampard : AoMRC
Chère Dre Harries,
Objet : Myocardite associée au vaccin Covid-19 – un risque cumulatif
Nous, soussignés, vous écrivons pour vous faire part de notre profonde inquiétude quant aux recommandations concernant la poursuite de la vaccination par ARNm après tout épisode de myocardite, telles qu’elles sont détaillées dans le guide de l’UKHSA destiné aux professionnels de santé.
La gravité de la myocardite a été minimisée :
La majorité des patients atteints de myocardite associée à un vaccin présentent des douleurs thoraciques. Cela peut être mal interprété, par le patient ou le médecin, comme une douleur musculo-squelettique, qui est un effet secondaire non grave reconnu de ces produits, et une pathologie cardiaque pourrait être manquée. Tout patient présentant une douleur thoracique doit être immédiatement examiné à l’hôpital car il peut mettre sa vie en danger.
Pendant la « pandémie de Covid », toute personne admise à l’hôpital avec un résultat de test positif était considérée comme ayant une Covid-19 sévère. Dans le cas de la myocardite, tout patient présentant des symptômes cardiaques doit faire l’objet d’une évaluation à l’hôpital, y compris des ECG, des taux de troponine sanguine et des échocardiogrammes. Cette maladie ne correspond donc pas à la définition d’une maladie bénigne. Une revue récente du BMJ cite « La plupart des personnes ont été admises à l’hôpital (≥84%) pour une courte durée (deux à quatre jours). La revue cite également « des anomalies persistantes à l’échocardiogramme, ainsi que des symptômes continus ou un besoin de traitements médicamenteux ou de restriction d’activités chez plus de 50% des patients ». Lorsque des IRM cardiaques ont été réalisées, 89% des patients ont présenté un rehaussement tardif au gadolinium (LGE), connu pour être un facteur prédictif de mauvais pronostic. L’inflammation du cœur peut entraîner une fibrose et d’autres complications telles que des arythmies et la mort. Si elle n’est pas diagnostiquée et donc non traitée, il existe également un risque réel de dysfonctionnement silencieux du ventricule gauche. La myocardite doit être considérée comme loin d’être une maladie bénigne.
Le pronostic à long terme de la myocardite post-vaccinale est également incertain, mais les premières études de suivi chez les enfants ont montré que deux tiers d’entre eux présentaient des changements persistants sur les scanners IRM cardiaques 3 à 8 mois plus tard, malgré une amélioration clinique. Un rapport détaillé du comité consultatif de la FDA américaine datant de la fin de l’année 2021 a montré que 40% des adolescents affectés étaient toujours symptomatiques après 3 mois de suivi et que 50% d’entre eux restreignaient toujours leur activité physique. La myocardite virale peut avoir de graves conséquences tardives, avec une mortalité à six ans d’environ 20%. En l’absence d’un suivi à long terme approprié, il est imprudent de supposer que la myocardite associée au vaccin a une issue moins grave.
Il est donc inquiétant que les directives de l’UKHSA contiennent des conseils tels que :
– Nous considérons qu’une évaluation en face à face est essentielle et nous pensons que l’expression « lorsque cela est approprié » est mal placée. Si les patients présentent des symptômes légers, ils n’ont pas besoin d’être orientés vers les soins secondaires à ce stade « Encore une fois, tout patient souffrant de douleurs thoraciques ou de palpitations devrait subir un ECG urgent et recevoir du sang pour les troponines cardiaques. Le terme de myocardite légère fait référence à des symptômes qui se résorbent et ne peut donc être considéré que comme un diagnostic rétrospectif. »
– Il est impossible d’étayer l’affirmation selon laquelle « la majorité des cas semblent être légers et se résorber d’eux-mêmes », tout en reconnaissant qu’« aucune donnée de suivi à long terme n’est encore disponible pour les patients hospitalisés ».
L’incidence de la myocardite a été sous-estimée : Le risque de myocardite associé au vaccin varie considérablement, l’âge jeune et le sexe masculin étant les deux principaux facteurs de risque, et la grande majorité des études ont montré un risque plus élevé après une deuxième dose. À Hong Kong, où des informations spécifiques sur la myocardite sont données à tous les vaccinés, un garçon adolescent sur 2 680 a développé une myocardite après sa deuxième dose de Pfizer. On estime qu’un changement de politique en faveur d’une dose unique pour ce groupe d’âge a permis d’éviter plusieurs cas. Chez les garçons âgés de 12 à 17 ans, la myocardite post-vaccinale dépasse les taux d’hospitalisation pour le Covid-19 lui-même. Il est également inquiétant qu’il n’y ait pas eu de tentative sérieuse d’étude prospective de l’incidence de la myocardite. Une étude de l’armée américaine a révélé que la myocardite après la vaccination antivariolique était 200 fois plus élevée que les taux de base lorsqu’on utilisait des fiches d’agenda, alors qu’elle était 7,5 fois plus élevée lorsqu’on utilisait l’autodéclaration de routine. Les tests sanguins effectués après la vaccination ont permis d’identifier des cas asymptomatiques dont le taux était encore 6 fois plus élevé. Une petite étude prospective menée en Thaïlande auprès d’élèves du secondaire, à l’aide de cartes d’agenda et de troponines sanguines au troisième et au septième jour, a révélé que 29% d’entre eux présentaient un symptôme cardiaque potentiel et 18% des ECG anormaux. Il ne s’agit que d’une préimpression, mais elle doit être reproduite.
Risque cumulatif :
Dans la plupart des séries, la myocardite est survenue après la deuxième dose. Pourtant, les directives du gouvernement suggèrent que les patients qui ont souffert d’une myocardite après une première vaccination peuvent tout de même subir d’autres vaccinations :
S’il n’y a pas de preuve d’une myocardite en cours, on peut leur proposer une vaccination avec le vaccin Pfizer (Cominarty) à partir de 12 semaines après leur dernière dose si d’autres doses sont nécessaires. S’il y a des preuves d’effets continus de myocardite aiguë ou subaiguë, une évaluation individuelle des risques et des avantages doit être entreprise ».
Aucun des essais vaccinaux n’a inclus des patients ayant des antécédents de myocardite et nous n’avons connaissance d’aucune donnée permettant d’étayer ce conseil. L’administration d’un vaccin Covid-19 à une personne ayant des antécédents de myocardite, quelle qu’en soit la cause, nécessiterait une évaluation approfondie et une discussion individuelle des avantages et des risques. Tout épisode de myocardite post-vaccinale doit être considéré comme une contre-indication absolue à l’administration de toute autre dose, car le risque de cette affection cardiaque grave est connu pour augmenter après la deuxième dose. L’UKHSA a reconnu l’absence totale de suivi à long terme après une myocardite associée à un vaccin. La poursuite de la politique décrite ci-dessus est donc imprudente.
Actions requises :
– Nous vous demandons de mettre à jour de toute urgence les conseils afin de garantir que tous les patients présentant des symptômes pertinents soient vus en personne et reçoivent au minimum un ECG et des troponines cardiaques, puis un échocardiogramme et une IRM cardiaque si les examens initiaux confirment le diagnostic de myocardite.
– Nous vous demandons également de reconnaître que la myocardite est une affection cardiaque potentiellement grave et de ne pas la qualifier de maladie bénigne. Ce terme est trompeur car nous ne disposons pas de données de sécurité à long terme pour justifier l’utilisation du terme « bénin ». La myocardite s’est sans aucun doute avérée fatale pour certains.
– Le guide devrait également être corrigé pour indiquer qu’un diagnostic de myocardite associée à un vaccin devrait constituer une contre-indication absolue à l’administration de nouvelles doses.
– Ces changements devraient être notifiés à tous les médecins généralistes, centres de vaccination et services de médecine d’urgence.
Nous attendons une réponse rapide.
Cette lettre sera publiée ouvertement, et nous espérons qu’elle sera largement partagée, ainsi que toute réponse.
Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.
* * *
Dr Jonathan Engler, MBChB, LlB (Hons), DipPharmMed et Dr Clare Craig, BMBCh, FRCPath
Co-présidents de HART (Health Advisory & Recovery Team, http://www.hartgroup.org)
Signataires de HART :
Dr Mark A Bell, MBChB, MRCP (UK), FRCEM, consultant en médecine d’urgence.
Dr Michael D Bell, MBChB, MRCGP, médecin généraliste à la retraite
Dr Alan Black, MBBS, MSc, DipPharmMed, médecin en pharmacie à la retraite
Dr Emma Brierly, MBBS, MRCGP, médecin généraliste
Dr Elizabeth Burton, MB ChB, médecin généraliste à la retraite
Dr David Cartland, MBChB, BMedSci, médecin généraliste
Dr Peter Chan, BM, MRCS, MRCGP, NLP, médecin généraliste, médecine fonctionnelle
Michael Cockayne, MSc, PGDip, SCPHNOH, BA, RN, Praticien de la santé au travail
James Cook, infirmier diplômé du NHS, titulaire d’une licence en soins infirmiers (avec mention) et d’une maîtrise en santé publique
Dr David Critchley, BSc (Hons), PhD, pharmacologue clinique
Dr Elizabeth Evans, MA (Cantab), MBBS, DRCOG, médecin à la retraite, directrice de l’UKMFA.
Dr Ali Haggett, travail communautaire dans le domaine de la santé mentale, 3e secteur, ancien maître de conférences en histoire de la médecine.
M. Anthony Hinton, MBChB, FRCS, Consultant en chirurgie ORL, Londres
Dr Keith Johnson, BA, DPhil (Oxon), consultant IP pour les tests de diagnostic
Dr Rosamond Jones, MBBS, MD, FRCPCH, pédiatre consultant à la retraite, responsable du CCVAC
Dr Tanya Klymenko, PhD, FHEA, FIBMS, maître de conférence en sciences biomédicales
Dr Branko Latinkic, BSc, PhD, Biologiste moléculaire
Dr John Flack, BPharm, PhD, Directeur retraité de l’évaluation de la sécurité chez Beecham Pharmaceuticals, Vice-président senior retraité pour la découverte de médicaments SmithKline Beecham.
Dr Ayiesha Malik, MBChB, médecin généraliste
M. Ian McDermott, MBBS, MS, FRCS(Tr&Orth), FFSEM(UK), consultant en chirurgie orthopédique
Dr Franziska Meuschel, MD, ND, PhD, LFHom, BSEM, médecine nutritionnelle, environnementale et intégrée
Dr Alan Mordue, MBChB, FFPH. Consultant retraité en médecine de santé publique et épidémiologie.
Dr Rachel Nicholl, PhD, chercheuse médicale
Révérend Dr William J U Philip MB ChB, MRCP, BD, ministre principal de la Tron Church, Glasgow, ancien médecin spécialisé en cardiologie.
Dr Jon Rogers, MB ChB (Bristol), médecin généraliste à la retraite
M. James Royle, MBChB, FRCS, MMedEd, chirurgien colorectal
Dr Roland Salmon, MB BS, MRCGP, FFPH, ancien directeur du Centre de surveillance des maladies transmissibles du Pays de Galles
Natalie Stephenson, BSc (Hons) Audiologiste pédiatrique
Dr Zenobia Storah,MA (Oxon), Dip Psych, DClinPsy, Psychologue clinique senior (enfant et adolescent)
Dr Helen Westwood MBChB MRCGP DCH DRCOG, médecin généraliste
M. Lasantha Wijesinghe, FRCS, consultant en chirurgie vasculaire.
Autres signataires
Julie Annakin, RN, infirmière spécialisée en immunisation
Dr Michael Bazlinton, MBCHB, MRCGP, DCH, médecin généraliste
Dr David Bell, MBBS, PhD, FRCP (UK), médecin de santé publique
Dr Michael D Bell, MBChB, MRCGP, médecin généraliste à la retraite
Dr Alan Black, MBBS, MSc, DipPharmMed, médecin en pharmacie à la retraite
Dr Emma Brierly, MBBS, MRCGP, médecin généraliste
M. John Bunni, MBChB (Hons), Dip Lap Surg, FRCS [Médaille ASGBI] – Consultant en chirurgie colorectale et générale.
Professeur Angus Dalgleish, MD, FRCP, FRACP, FRCPath, FMed Sci, Directeur, Institute for Cancer Vaccines & Immunotherapy (ICVI)
Dr Christopher Exley, PhD FRSB, professeur retraité de chimie bioinorganique
Professeur John Fairclough, FRCS FFSEM, chirurgien consultant honoraire à la retraite
Dr Jenny Goodman, MA, MBChB, médecine écologique
Dr Catherine Hatton, MBChB, médecin généraliste
Dr Renée Hoenderkampf, médecin généraliste
Dr Charles Lane, MA, DPhil, biologiste moléculaire
Dr Felicity Lillingstone, IMD DHS PhD ANP, médecin, soins d’urgence, chargée de recherche
Professeur David Livermore, BSc, PhD, professeur retraité de microbiologie médicale
Katherine MacGilchrist, BSc (Hons), MSc, PDG/directrice de l’examen systématique, Epidemica Ltd.
Dr Geoffrey Maidment, MBBS, MD, FRCP, médecin consultant, retraité
Dr Kulvinder Singh Manik, MBBS, médecin généraliste
Dr Fiona Martindale, MBChB, MRCGP, médecin généraliste
Dr S McBride, BSc (Hons) Medical Microbiology & Immunobiology, MBBCh BAO, MSc in Clinical Gerontology, MRCP (UK), FRCEM, FRCP (Edinburgh). Médecine d’urgence NHS et gériatrie
Professeur Dennis McGonagle, PhD, FRCPI, Professeur de rhumatologie investigatrice, Université de Leeds
Dr Scott Mitchell, MBChB, MRCS, médecin en médecine d’urgence
Dr David Morris, MBChB, MRCP (UK), médecin généraliste
Dr Greta Mushet, MBChB, MRCPsych, psychiatre consultant en psychothérapie à la retraite
Dr Sarah Myhill, MBBS, médecin généraliste à la retraite et naturopathe
Dr Christina Peers, MBBS, DRCOG, DFSRH, FFSRH, spécialiste de la ménopause
Anna Phillips, RSCN, BSc Hons, chef de formation clinique sur les systèmes cliniques (soins intensifs pédiatriques)
Dr Angharad Powell, MBChB, BSc (hons), DFRSH, DCP (Irlande), DRCOG, DipOccMed, MRCGP, médecin généraliste
Dr Salmaan Saleem, MBBS, BmedSci, MRCGP, médecin généraliste
Dr Rohaan Seth, Bsc, MBChB, MRCGP, médecin généraliste à la retraite
Dr Noel Thomas, MA, MBChB, DCH, DObsRCOG, DTM&H, MFHom, médecin retraité
Dr Stephen Ting, MB CHB, MRCP, PhD, médecin consultant
Dr Livia Tossici-Bolt, PhD, scientifique clinique
Dr Carmen Wheatley, DPhil, oncologie orthomoléculaire
Dr Ruth Wilde, MB BCh, MRCEM, AFMCP, médecin en médecine intégrative et fonctionnelle
Dr Lucie Wilk, MD, rhumatologue consultant
Dr Stefanie Williams, MD, Dermatologue
* * *
Dre Jenny Harries.Directrice générale, UKHSA
Copies : Dr Andrew Goddard : RCP, Dame Clare Gerada : RCGP, Professeur Kevin Fenton : FPH,
Dr Jim McManus : ADPH, Dr Camilla Kingdon : RCPCH, Dr Tim Cooksley : Society for Acute Medicine, Dr John Greenwood : British Cardiovascular Soc, Dame Helen Stokes-Lampard : AoMRC
Chère Dre Harries,
Objet : Myocardite associée au vaccin Covid-19 – un risque cumulatif
Nous, soussignés, vous écrivons pour vous faire part de notre profonde inquiétude quant aux recommandations concernant la poursuite de la vaccination par ARNm après tout épisode de myocardite, telles qu’elles sont détaillées dans le guide de l’UKHSA destiné aux professionnels de santé.
La gravité de la myocardite a été minimisée :
La majorité des patients atteints de myocardite associée à un vaccin présentent des douleurs thoraciques. Cela peut être mal interprété, par le patient ou le médecin, comme une douleur musculo-squelettique, qui est un effet secondaire non grave reconnu de ces produits, et une pathologie cardiaque pourrait être manquée. Tout patient présentant une douleur thoracique doit être immédiatement examiné à l’hôpital car il peut mettre sa vie en danger.
Pendant la « pandémie de Covid », toute personne admise à l’hôpital avec un résultat de test positif était considérée comme ayant une Covid-19 sévère. Dans le cas de la myocardite, tout patient présentant des symptômes cardiaques doit faire l’objet d’une évaluation à l’hôpital, y compris des ECG, des taux de troponine sanguine et des échocardiogrammes. Cette maladie ne correspond donc pas à la définition d’une maladie bénigne. Une revue récente du BMJ cite « La plupart des personnes ont été admises à l’hôpital (≥84%) pour une courte durée (deux à quatre jours). La revue cite également « des anomalies persistantes à l’échocardiogramme, ainsi que des symptômes continus ou un besoin de traitements médicamenteux ou de restriction d’activités chez plus de 50% des patients ». Lorsque des IRM cardiaques ont été réalisées, 89% des patients ont présenté un rehaussement tardif au gadolinium (LGE), connu pour être un facteur prédictif de mauvais pronostic. L’inflammation du cœur peut entraîner une fibrose et d’autres complications telles que des arythmies et la mort. Si elle n’est pas diagnostiquée et donc non traitée, il existe également un risque réel de dysfonctionnement silencieux du ventricule gauche. La myocardite doit être considérée comme loin d’être une maladie bénigne.
Le pronostic à long terme de la myocardite post-vaccinale est également incertain, mais les premières études de suivi chez les enfants ont montré que deux tiers d’entre eux présentaient des changements persistants sur les scanners IRM cardiaques 3 à 8 mois plus tard, malgré une amélioration clinique. Un rapport détaillé du comité consultatif de la FDA américaine datant de la fin de l’année 2021 a montré que 40% des adolescents affectés étaient toujours symptomatiques après 3 mois de suivi et que 50% d’entre eux restreignaient toujours leur activité physique. La myocardite virale peut avoir de graves conséquences tardives, avec une mortalité à six ans d’environ 20%. En l’absence d’un suivi à long terme approprié, il est imprudent de supposer que la myocardite associée au vaccin a une issue moins grave.
Il est donc inquiétant que les directives de l’UKHSA contiennent des conseils tels que :
– Nous considérons qu’une évaluation en face à face est essentielle et nous pensons que l’expression « lorsque cela est approprié » est mal placée. Si les patients présentent des symptômes légers, ils n’ont pas besoin d’être orientés vers les soins secondaires à ce stade « Encore une fois, tout patient souffrant de douleurs thoraciques ou de palpitations devrait subir un ECG urgent et recevoir du sang pour les troponines cardiaques. Le terme de myocardite légère fait référence à des symptômes qui se résorbent et ne peut donc être considéré que comme un diagnostic rétrospectif. »
– Il est impossible d’étayer l’affirmation selon laquelle « la majorité des cas semblent être légers et se résorber d’eux-mêmes », tout en reconnaissant qu’« aucune donnée de suivi à long terme n’est encore disponible pour les patients hospitalisés ».
L’incidence de la myocardite a été sous-estimée : Le risque de myocardite associé au vaccin varie considérablement, l’âge jeune et le sexe masculin étant les deux principaux facteurs de risque, et la grande majorité des études ont montré un risque plus élevé après une deuxième dose. À Hong Kong, où des informations spécifiques sur la myocardite sont données à tous les vaccinés, un garçon adolescent sur 2 680 a développé une myocardite après sa deuxième dose de Pfizer. On estime qu’un changement de politique en faveur d’une dose unique pour ce groupe d’âge a permis d’éviter plusieurs cas. Chez les garçons âgés de 12 à 17 ans, la myocardite post-vaccinale dépasse les taux d’hospitalisation pour le Covid-19 lui-même. Il est également inquiétant qu’il n’y ait pas eu de tentative sérieuse d’étude prospective de l’incidence de la myocardite. Une étude de l’armée américaine a révélé que la myocardite après la vaccination antivariolique était 200 fois plus élevée que les taux de base lorsqu’on utilisait des fiches d’agenda, alors qu’elle était 7,5 fois plus élevée lorsqu’on utilisait l’autodéclaration de routine. Les tests sanguins effectués après la vaccination ont permis d’identifier des cas asymptomatiques dont le taux était encore 6 fois plus élevé. Une petite étude prospective menée en Thaïlande auprès d’élèves du secondaire, à l’aide de cartes d’agenda et de troponines sanguines au troisième et au septième jour, a révélé que 29% d’entre eux présentaient un symptôme cardiaque potentiel et 18% des ECG anormaux. Il ne s’agit que d’une préimpression, mais elle doit être reproduite.
Risque cumulatif :
Dans la plupart des séries, la myocardite est survenue après la deuxième dose. Pourtant, les directives du gouvernement suggèrent que les patients qui ont souffert d’une myocardite après une première vaccination peuvent tout de même subir d’autres vaccinations :
S’il n’y a pas de preuve d’une myocardite en cours, on peut leur proposer une vaccination avec le vaccin Pfizer (Cominarty) à partir de 12 semaines après leur dernière dose si d’autres doses sont nécessaires. S’il y a des preuves d’effets continus de myocardite aiguë ou subaiguë, une évaluation individuelle des risques et des avantages doit être entreprise ».
Aucun des essais vaccinaux n’a inclus des patients ayant des antécédents de myocardite et nous n’avons connaissance d’aucune donnée permettant d’étayer ce conseil. L’administration d’un vaccin Covid-19 à une personne ayant des antécédents de myocardite, quelle qu’en soit la cause, nécessiterait une évaluation approfondie et une discussion individuelle des avantages et des risques. Tout épisode de myocardite post-vaccinale doit être considéré comme une contre-indication absolue à l’administration de toute autre dose, car le risque de cette affection cardiaque grave est connu pour augmenter après la deuxième dose. L’UKHSA a reconnu l’absence totale de suivi à long terme après une myocardite associée à un vaccin. La poursuite de la politique décrite ci-dessus est donc imprudente.
Actions requises :
– Nous vous demandons de mettre à jour de toute urgence les conseils afin de garantir que tous les patients présentant des symptômes pertinents soient vus en personne et reçoivent au minimum un ECG et des troponines cardiaques, puis un échocardiogramme et une IRM cardiaque si les examens initiaux confirment le diagnostic de myocardite.
– Nous vous demandons également de reconnaître que la myocardite est une affection cardiaque potentiellement grave et de ne pas la qualifier de maladie bénigne. Ce terme est trompeur car nous ne disposons pas de données de sécurité à long terme pour justifier l’utilisation du terme « bénin ». La myocardite s’est sans aucun doute avérée fatale pour certains.
– Le guide devrait également être corrigé pour indiquer qu’un diagnostic de myocardite associée à un vaccin devrait constituer une contre-indication absolue à l’administration de nouvelles doses.
– Ces changements devraient être notifiés à tous les médecins généralistes, centres de vaccination et services de médecine d’urgence.
Nous attendons une réponse rapide.
Cette lettre sera publiée ouvertement, et nous espérons qu’elle sera largement partagée, ainsi que toute réponse.
Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.
* * *
Dr Jonathan Engler, MBChB, LlB (Hons), DipPharmMed et Dr Clare Craig, BMBCh, FRCPath
Co-présidents de HART (Health Advisory & Recovery Team, http://www.hartgroup.org)
Signataires de HART :
Dr Mark A Bell, MBChB, MRCP (UK), FRCEM, consultant en médecine d’urgence.
Dr Michael D Bell, MBChB, MRCGP, médecin généraliste à la retraite
Dr Alan Black, MBBS, MSc, DipPharmMed, médecin en pharmacie à la retraite
Dr Emma Brierly, MBBS, MRCGP, médecin généraliste
Dr Elizabeth Burton, MB ChB, médecin généraliste à la retraite
Dr David Cartland, MBChB, BMedSci, médecin généraliste
Dr Peter Chan, BM, MRCS, MRCGP, NLP, médecin généraliste, médecine fonctionnelle
Michael Cockayne, MSc, PGDip, SCPHNOH, BA, RN, Praticien de la santé au travail
James Cook, infirmier diplômé du NHS, titulaire d’une licence en soins infirmiers (avec mention) et d’une maîtrise en santé publique
Dr David Critchley, BSc (Hons), PhD, pharmacologue clinique
Dr Elizabeth Evans, MA (Cantab), MBBS, DRCOG, médecin à la retraite, directrice de l’UKMFA.
Dr Ali Haggett, travail communautaire dans le domaine de la santé mentale, 3e secteur, ancien maître de conférences en histoire de la médecine.
M. Anthony Hinton, MBChB, FRCS, Consultant en chirurgie ORL, Londres
Dr Keith Johnson, BA, DPhil (Oxon), consultant IP pour les tests de diagnostic
Dr Rosamond Jones, MBBS, MD, FRCPCH, pédiatre consultant à la retraite, responsable du CCVAC
Dr Tanya Klymenko, PhD, FHEA, FIBMS, maître de conférence en sciences biomédicales
Dr Branko Latinkic, BSc, PhD, Biologiste moléculaire
Dr John Flack, BPharm, PhD, Directeur retraité de l’évaluation de la sécurité chez Beecham Pharmaceuticals, Vice-président senior retraité pour la découverte de médicaments SmithKline Beecham.
Dr Ayiesha Malik, MBChB, médecin généraliste
M. Ian McDermott, MBBS, MS, FRCS(Tr&Orth), FFSEM(UK), consultant en chirurgie orthopédique
Dr Franziska Meuschel, MD, ND, PhD, LFHom, BSEM, médecine nutritionnelle, environnementale et intégrée
Dr Alan Mordue, MBChB, FFPH. Consultant retraité en médecine de santé publique et épidémiologie.
Dr Rachel Nicholl, PhD, chercheuse médicale
Révérend Dr William J U Philip MB ChB, MRCP, BD, ministre principal de la Tron Church, Glasgow, ancien médecin spécialisé en cardiologie.
Dr Jon Rogers, MB ChB (Bristol), médecin généraliste à la retraite
M. James Royle, MBChB, FRCS, MMedEd, chirurgien colorectal
Dr Roland Salmon, MB BS, MRCGP, FFPH, ancien directeur du Centre de surveillance des maladies transmissibles du Pays de Galles
Natalie Stephenson, BSc (Hons) Audiologiste pédiatrique
Dr Zenobia Storah,MA (Oxon), Dip Psych, DClinPsy, Psychologue clinique senior (enfant et adolescent)
Dr Helen Westwood MBChB MRCGP DCH DRCOG, médecin généraliste
M. Lasantha Wijesinghe, FRCS, consultant en chirurgie vasculaire.
Autres signataires
Julie Annakin, RN, infirmière spécialisée en immunisation
Dr Michael Bazlinton, MBCHB, MRCGP, DCH, médecin généraliste
Dr David Bell, MBBS, PhD, FRCP (UK), médecin de santé publique
Dr Michael D Bell, MBChB, MRCGP, médecin généraliste à la retraite
Dr Alan Black, MBBS, MSc, DipPharmMed, médecin en pharmacie à la retraite
Dr Emma Brierly, MBBS, MRCGP, médecin généraliste
M. John Bunni, MBChB (Hons), Dip Lap Surg, FRCS [Médaille ASGBI] – Consultant en chirurgie colorectale et générale.
Professeur Angus Dalgleish, MD, FRCP, FRACP, FRCPath, FMed Sci, Directeur, Institute for Cancer Vaccines & Immunotherapy (ICVI)
Dr Christopher Exley, PhD FRSB, professeur retraité de chimie bioinorganique
Professeur John Fairclough, FRCS FFSEM, chirurgien consultant honoraire à la retraite
Dr Jenny Goodman, MA, MBChB, médecine écologique
Dr Catherine Hatton, MBChB, médecin généraliste
Dr Renée Hoenderkampf, médecin généraliste
Dr Charles Lane, MA, DPhil, biologiste moléculaire
Dr Felicity Lillingstone, IMD DHS PhD ANP, médecin, soins d’urgence, chargée de recherche
Professeur David Livermore, BSc, PhD, professeur retraité de microbiologie médicale
Katherine MacGilchrist, BSc (Hons), MSc, PDG/directrice de l’examen systématique, Epidemica Ltd.
Dr Geoffrey Maidment, MBBS, MD, FRCP, médecin consultant, retraité
Dr Kulvinder Singh Manik, MBBS, médecin généraliste
Dr Fiona Martindale, MBChB, MRCGP, médecin généraliste
Dr S McBride, BSc (Hons) Medical Microbiology & Immunobiology, MBBCh BAO, MSc in Clinical Gerontology, MRCP (UK), FRCEM, FRCP (Edinburgh). Médecine d’urgence NHS et gériatrie
Professeur Dennis McGonagle, PhD, FRCPI, Professeur de rhumatologie investigatrice, Université de Leeds
Dr Scott Mitchell, MBChB, MRCS, médecin en médecine d’urgence
Dr David Morris, MBChB, MRCP (UK), médecin généraliste
Dr Greta Mushet, MBChB, MRCPsych, psychiatre consultant en psychothérapie à la retraite
Dr Sarah Myhill, MBBS, médecin généraliste à la retraite et naturopathe
Dr Christina Peers, MBBS, DRCOG, DFSRH, FFSRH, spécialiste de la ménopause
Anna Phillips, RSCN, BSc Hons, chef de formation clinique sur les systèmes cliniques (soins intensifs pédiatriques)
Dr Angharad Powell, MBChB, BSc (hons), DFRSH, DCP (Irlande), DRCOG, DipOccMed, MRCGP, médecin généraliste
Dr Salmaan Saleem, MBBS, BmedSci, MRCGP, médecin généraliste
Dr Rohaan Seth, Bsc, MBChB, MRCGP, médecin généraliste à la retraite
Dr Noel Thomas, MA, MBChB, DCH, DObsRCOG, DTM&H, MFHom, médecin retraité
Dr Stephen Ting, MB CHB, MRCP, PhD, médecin consultant
Dr Livia Tossici-Bolt, PhD, scientifique clinique
Dr Carmen Wheatley, DPhil, oncologie orthomoléculaire
Dr Ruth Wilde, MB BCh, MRCEM, AFMCP, médecin en médecine intégrative et fonctionnelle
Dr Lucie Wilk, MD, rhumatologue consultant
Dr Stefanie Williams, MD, Dermatologue
(Source : https://reseauinternational.net/la-myocardite-post-vaccinale-nest-pas-benigne-avertissent-les-medecins/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
830- CYCLISTES :
HÉCATOMBES chez les COUREURS
HÉCATOMBES chez les COUREURS
https://gloria.tv/post/r1fPDTrkLmrh2dbeRQ2T3hPjy
Julien Devilleger, cardiologue réagit à l'hécatombe constatée chez les coureurs cyclistes depuis le début de la saison. Depuis le début de la saison 2022, de nombreux cyclistes français et étrangers ont dit leurs déceptions et leurs inquiétudes quand à leur état de santé. Abandons en masse, lors du Tour de France, lors du Grand Prix de l'Escaut en avril...
Sources : Tour de France : «Impossible de respirer»... Victor Lafay explique son abandon : https://www.leparisien.fr/sports/cyclisme/tour-de-france-impossible-de-respirer-victor-lafay-explique-son-abandon-15-07-2022-4VRIDVPIXZEPHGQ6MI4Q5FDC6Q.php
Citizen-Light : La source c'est vous ! : https://citizen-light.fr/
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
832- Le BILAN PROVISOIRE
des "VACCINS" ANTI-COVID
est TERRIFIANT
des "VACCINS" ANTI-COVID
est TERRIFIANT
En se référant aux données officielles du gouvernement américain, Expose-News.com (28 août) montre les effets délétères des injections de Covid. Des documents confidentiels de Pfizer montrent que les gouvernements savaient que cela se produirait (détails en anglais ici).
• Il y a un excès de décès dans le monde entier par rapport à la moyenne attendue sur cinq ans.
• 1 inoculé sur 73 était mort en mai 2022.
• Les injections sont 75 fois plus mortelles que tous les autres vaccins combinés.
• Les taux de mortalité pour 100 000 sont les plus bas parmi les personnes n'ayant pas reçu d'injection.
• Il faut cinq mois pour que le taux de mortalité élevé chez les inoculés se produise.
• Les "vaccins" affaiblissent le système immunitaire.
• Plus de 9 décès sur 10 dus au Covid en 2022 ont eu lieu parmi les inoculés.
• Les taux de natalité sont en baisse.
• Les "vaccins" augmentent le risque de fausse couche d'au moins 1 517 %.
• Les "vaccins" augmentent le risque de développer un cancer.
• Les documents de Pfizer révèlent que les "vaccins" s'accumulent dans toutes les parties du corps, y compris les ovaires, où les cas de cancer n'ont jamais été aussi nombreux.
• Ils contiennent aussi des preuves de maladies auto-immunes.
• Des dizaines de milliers d'événements indésirables signalés et des milliers de décès ont eu lieu au cours des 90 premiers jours du déploiement du "vaccin" contre le Covid 19.
• Il y a un excès de décès dans le monde entier par rapport à la moyenne attendue sur cinq ans.
• 1 inoculé sur 73 était mort en mai 2022.
• Les injections sont 75 fois plus mortelles que tous les autres vaccins combinés.
• Les taux de mortalité pour 100 000 sont les plus bas parmi les personnes n'ayant pas reçu d'injection.
• Il faut cinq mois pour que le taux de mortalité élevé chez les inoculés se produise.
• Les "vaccins" affaiblissent le système immunitaire.
• Plus de 9 décès sur 10 dus au Covid en 2022 ont eu lieu parmi les inoculés.
• Les taux de natalité sont en baisse.
• Les "vaccins" augmentent le risque de fausse couche d'au moins 1 517 %.
• Les "vaccins" augmentent le risque de développer un cancer.
• Les documents de Pfizer révèlent que les "vaccins" s'accumulent dans toutes les parties du corps, y compris les ovaires, où les cas de cancer n'ont jamais été aussi nombreux.
• Ils contiennent aussi des preuves de maladies auto-immunes.
• Des dizaines de milliers d'événements indésirables signalés et des milliers de décès ont eu lieu au cours des 90 premiers jours du déploiement du "vaccin" contre le Covid 19.
(Source : https://gloria.tv/post/qdiMwn6s3yn44yEKy92Qd1n4G )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
836- Le VACCIN contre la COVID-19
PROVOQUE-t-il DAVANTAGE de MORT SUBITE
de l’ADULTE ?
par la Fondation Hippocrate
PROVOQUE-t-il DAVANTAGE de MORT SUBITE
de l’ADULTE ?
par la Fondation Hippocrate
Primum non nocere
Chers lecteurs,
Le terme mort subite de l’adulte n’envahit pas les articles de presse francophones. Pourtant ce phénomène a augmenté et se trouve désormais souvent commenté dans la presse anglophone au point que certains y voient une manière de cacher un des effets secondaires potentiel des grandes campagnes de vaccination à ARN1.
En soi, le syndrome mort subite de l’adulte n’est pas nouveau même s’il est moins connu que celui qui touche le nourrisson. Il désigne une mort naturelle qui ne pouvait pas être prévue la journée précédente. Ce syndrome peut être lié une rupture d’anévrysme, un infarctus ou un AVC. Il peut être également lié à une myocardite non diagnostiquée ou un à un problème électrique au niveau du cœur. Cette déficience peut être provoquée par une inflammation2.
Une myocardite est une inflammation du myocarde, le tissu musculaire du cœur. Elle est provoquée par une infection virale, une réaction toxique à un médicament ou à une drogue3.
Le syndrome de la mort subite chez l’adulte est étudié depuis les années 70. Jusqu’en 2021, c’était un phénomène rare, qui malgré tout, représentait 10 à 20% des décès chez les jeunes adultes. Depuis 2021, ce syndrome a sensiblement augmenté. Pour de nombreux scientifiques indépendants, ce phénomène pourrait être lié à la vaccination de masse4.
Il existe différents indices allant dans ce sens. Mais ils sont encore très débattus par les scientifiques. Le sujet est délicat et très politique. Il faut donc être prudent. En revanche, il ne serait pas honnête de ne pas parler des doutes qui existent sur le terrain.
Israël, des données qui interrogent
Dans la course à la vaccination, le peloton de tête était constitué d’Israël, des Maldives et des Seychelles. Ces pays ont, avant les autres, fait vacciner la grande majorité de leurs populations adulte, adolescente et infantile. En Israël, la campagne de vaccination pour la 3ème dose est déjà achevée, celle pour la 4ème dose est en cours.
Pourtant, ce pays est aussi celui où le nombre de personnes qui décèdent de la Covid-19 chaque jour est le plus élevé. En juillet 2022, ce pays a compté 80 décès par jour, ce qui ramené à la population française ferait 600 décès par jour. Ces chiffres confirment les limites de la stratégie 100% vaccinale, ce dont beaucoup d’experts se doutaient déjà5.
Toutefois, ce n’est pas le plus grave. Si ces vaccins ARN étaient inoffensifs, on pourrait simplement considérer que la stratégie du tout vaccinal face à un virus qui mute régulièrement n’est juste pas la plus adaptée. Mais, plusieurs études sont venues semer le doute sur l’innocuité des injections ARN.
Dans une publication du 22 avril 2022, les scientifiques passent en revue des données concernant la population entre 16 et 40 ans. Ils se sont appuyés sur les appels téléphoniques d’urgence enregistrés par le système de santé. Ils ont comparé les chiffres de 2019, 2020 et 2021. Ils ont spécifiquement étudié les appels liés aux arrêts cardiaques et ceux liés au syndrome coronarien aigu, aussi appelé angine de poitrine6.
Les auteurs de l’étude n‘ont pas constaté de changement entre 2019 et 2020. Pourtant, 2020 est l’année du pic de la Covid-19. L’évolution des chiffres est intervenue début 2021. Les chercheurs notent qu’entre janvier et mai 2021, il y a eu une augmentation drastique des appels liés aux arrêts cardiaques et aux syndromes coronariens aigus.
Entre janvier et mai 2021, chez les personnes de 16 à 40 ans :
– les appels liés aux arrêt cardiaques ont augmenté de 25% chez les hommes et de 31% chez les femmes ;
– les appels liés aux syndrome coronariens aigus ont quant à eux augmenté de 21% chez les hommes et de 40% chez les femmes.
L’étude rappelle que ces deux pathologies sont responsables de plus de 10% des morts subites chez les jeunes adultes mais n’avance pas de chiffre précis sur la mortalité potentielle liée aux vaccins ARN chez les moins de 40 ans.
Les conclusions de cette étude s’ajoutent à celles tout à fait officielles du ministère de la Santé israélien qui, dans une autre étude, estime qu’il existe un lien entre la 2e dose des injections ARN et un risque accru de myocardite chez les personnes entre 16 et 30 ans7.
Toujours en Israël, une enquête du ministère de la Santé réalisée auprès de 2000 Israéliens vaccinés, pris au hasard, constate que 51% des femmes et 35% des hommes ayant eu des effets secondaires ont du mal à mener leurs activités quotidiennes. En outre, 4,5% des personnes vaccinées auraient subi des effets secondaires neurologiques.
Les données s’accumulent en Israël. Elles montrent que la vaccination a causé de nombreux effets secondaires graves au sein de la population, notamment chez les plus jeunes. Mais pour l’instant personne ne revient sur la stratégie du tout vaccinal. Comment admettre une telle erreur, quand les décisions ont été poussées aussi loin ?
Inquiétude chez les sportifs
La polémique autour du joueur de tennis serbe, Novak Djokovic, ayant refusé la vaccination ARN contre la Covid a fait couler beaucoup d’encre notamment en Australie où il n’a pas obtenu de visa pour jouer l’un des tournois du Grand Chelem les plus prestigieux de l’année. Ce joueur était alors numéro 1 mondial, favori pour remporter l’Open d’Australie ce qui aurait permis de battre le record de Grand Chelem détenu par un joueur de tennis à ce moment-là. En effet, il en avait gagné 20, Rafael Nadal, 20 également et Roger Federer 20 aussi. Mais Novak Djokovic a refusé le vaccin ARN, donc il n’a pas concouru et Rafael Nadal a gagné, passant devant lui. La place de meilleur joueur de tous les temps au tennis s’est jouée sur le choix de faire ou non un vaccin. Ce choix le prive également de la possibilité de jouer à l’US Open, un autres des quatre grands tournois de l’année et peut-être la dernière occasion pour lui d’essayer de rattraper son concurrent. Novak Djokovic a refusé la gloire éternelle au nom de ses convictions et surtout de sa santé8.
Au regard des chiffres publiés sur le syndrome de mort soudaine de l’adulte chez les sportifs, les inquiétudes du sportif par rapport au vaccin ne semblent pas avoir été exagérées. Ainsi, le Comité international olympique lui-même a constaté une augmentation conséquente des morts subites chez les athlètes en 2021. Historiquement, la mort subite chez les athlètes était de 1 sur 40 000 à 1 sur 80 000, ce qui est déjà assez élevé, et s’explique par le fait qu’ils mettent leur corps à rude épreuve.
Selon le comité, entre 1966 et 2004, il y a eu 1101 décès chez les sportifs de moins de 35 ans, soit une moyenne annuelle de 29 décès. Mais entre mars 2021 et mars 2022, on compte déjà 769 athlètes ayant eu un problème cardiaque grave ou mortel. Il y aurait eu 1090 arrêts cardiaques en tout pour 715 décès chez les athlètes olympiques[8]. De même, l’UEFA a noté le décès de 21 joueurs de football professionnels en 2021 par mort subite contre 5 habituellement, soit une augmentation de 420% du nombre de morts[1],9,10.
Ces chiffres ont suscité des polémiques médiatiques importantes. Reuters et l’AFP ont critiqué la journaliste israélienne ayant révélé cette information dans le journal Real Times News11,12. Toutefois, il est également possible que Reuters et l’AFP ait été missionnés par le gouvernement américain pour soutenir la campagne de vaccination ARN, ce qui rend leur prises de positions moins crédibles13.
Le témoignage des compagnies d’assurance-vie américaine
Pierre Korry, pneumologue américain reconnu, rapporte sur son blog les propos du patron de One America, une compagnie d’assurance-vie au chiffre d’affaires de 100 milliards d’euros. Ce dernier a affirmé que les taux de mortalité lors des premiers mois de 2021 chez les 18-64 ans étaient jusqu’à 40% plus élevés que ce qu’ils étaient avant la pandémie. Il a estimé qu’on n’avait jamais vu une telle augmentation de la mortalité dans ce groupe d’âge qui, par ailleurs, constitue les forces vives du pays, ceux qui travaillent et qui permettent à la société de tenir[10].
Pierre Korry cite également Edward Dowd, un analyste financier de haut vol, ancien directeur général chez Blackrock qui constate également une hausse sans précédent de la mortalité aux États-Unis, du point de vue du secteur des assurances-vie. Ainsi, la mortalité a augmenté de 57% pour Lincoln National, 41% pour Prudential, 32% pour Hartford, 24% pour MetLife et 21% pour RGA[10].
Pour ces entreprises, cette augmentation du nombre de décès et donc de personnes à indemniser constitue un enjeu important. Leurs cadres et dirigeants demeurent consternés par l’ampleur du phénomène et le coût que cela représente pour le secteur.
Les militaires américains ne sont pas sereins
Toujours aux États-Unis, une polémique a éclaté lorsque différents sites Internet ont publié des chiffres inquiétants sur les effets secondaires subis par les soldats à l’issue de la campagne de vaccination contre la Covid-19. La plupart de ces articles et de ces discussions ont disparu d’Internet. Étaient mentionnés des problèmes de santé tels que l’infertilité chez les femmes, des problèmes neurologiques, des cancers en augmentation et des morts subites de l’adulte14,15.
L’un des médecins qui soutenaient les témoignages de militaires et la parution sur Internet des chiffres controversés s’appelle le Dr Robert Malone. Il a été directement impliqué dans la fabrication des vaccins.
Mais constatant des signaux inquiétants sur le terrain, il est allé consulter la base de données des militaires. Il a constaté une augmentation des morts subites qui correspondaient aux informations sur le terrain. Et il en a alors informé l’opinion publique.
Dans un premier temps l’armée a confirmé l’existence de ces bases de données. Elle n’a pas non plus remis en cause les chiffres actuels. En revanche, elle a procédé à une réévaluation de ses données entre 2016 et 2020. Elle a considéré que les estimations du passé étaient fausses et qu’il fallait les oublier. Elle a publié de nouvelles données montrant qu’il n’y a pas d’évolution inquiétante du nombre de morts subites dans l’armée américaine. Depuis cette polémique, le Dr Robert Malone est présenté comme un complotiste irresponsable qui diffuse régulièrement de fausses informations sur la pandémie. Il a été expulsé de Twitter16.
La plupart des articles et des données concernant l’armée américaine ne sont plus accessibles sur Internet. L’armée américaine a publié une réponse officielle avec des données réévaluées. L’institution y explique qu’elle travaille de manière étroite avec le CDC, le centre américain des maladies infectieuses. Sur ce sujet, le débat aux États-Unis est clos17.
Et en Europe ?
La notion de mort subite de l’adulte est très peu reprise par les médias européens. Cette réalité semble inexistante. En revanche, le lien entre l’augmentation des myocardites et la vaccination contre la Covid-19 est officiellement établi. En France, une étude financée par l’ANSM et l’assurance maladie le dit en ces termes18 :
« Le risque de myocardite et de péricardite est augmenté au cours de la première semaine suivant l’administration des deux vaccins chez les hommes et les femmes. Le risque de myocardite est le plus marqué après la deuxième dose de mRNA-1273, (…) parmi les hommes et les femmes âgés de 18 à 24 ans. »
Le risque serait plus élevé chez les hommes que chez les femmes. Il aurait été de 5 pour 100 000 pour la deuxième dose. Toutes les myocardites n’ont pas mené à la mort des patients. En revanche, on sait que les myocardites diagnostiquées ou non sont une des causes principales des morts subites chez les adultes.
La population de moins de 50 ans massivement vaccinée a donc probablement été fragilisée par ces injections à ARN expérimentales. S’il est aujourd’hui difficile d’établir un lien direct entre la vaccination et les morts subites des adultes, le doute persiste.
On peut se demander si le vaccin ARN n’a pas eu une incidence sur les faits divers suivants :
– La nageuse professionnelle de 24 ans manque de mourir après avoir eu un malaise dans la piscine où elle venait de plonger19.
– Le chauffeur de car qui meurt subitement, laissant son véhicule s’encastrer dans un bâtiment au milieu de Paris20.
– Le conducteur lyonnais de 51 ans qui a eu un accident, juste après un arrêt cardiaque ele 30 juin dernier21.
On ne connaît pas leur statut vaccinal. C’était peut-être simplement le hasard.
Néanmoins, vu les chiffres et les études sur les effets secondaires des vaccins ARN, je me pose désormais la question lorsque ce type de fait divers survient : cette personne était-elle vaccinée ? Est-ce que cela a joué dans son état de santé ?
Il est temps de changer de stratégie contre la Covid-19 et ses très nombreux variants.
Affaire à suivre…
Jérôme
(Source : https://reseauinternational.net/le-vaccin-contre-la-covid-19-provoque-til-davantage-de-mort-subite-de-ladulte/ )Le terme mort subite de l’adulte n’envahit pas les articles de presse francophones. Pourtant ce phénomène a augmenté et se trouve désormais souvent commenté dans la presse anglophone au point que certains y voient une manière de cacher un des effets secondaires potentiel des grandes campagnes de vaccination à ARN1.
En soi, le syndrome mort subite de l’adulte n’est pas nouveau même s’il est moins connu que celui qui touche le nourrisson. Il désigne une mort naturelle qui ne pouvait pas être prévue la journée précédente. Ce syndrome peut être lié une rupture d’anévrysme, un infarctus ou un AVC. Il peut être également lié à une myocardite non diagnostiquée ou un à un problème électrique au niveau du cœur. Cette déficience peut être provoquée par une inflammation2.
Une myocardite est une inflammation du myocarde, le tissu musculaire du cœur. Elle est provoquée par une infection virale, une réaction toxique à un médicament ou à une drogue3.
Le syndrome de la mort subite chez l’adulte est étudié depuis les années 70. Jusqu’en 2021, c’était un phénomène rare, qui malgré tout, représentait 10 à 20% des décès chez les jeunes adultes. Depuis 2021, ce syndrome a sensiblement augmenté. Pour de nombreux scientifiques indépendants, ce phénomène pourrait être lié à la vaccination de masse4.
Il existe différents indices allant dans ce sens. Mais ils sont encore très débattus par les scientifiques. Le sujet est délicat et très politique. Il faut donc être prudent. En revanche, il ne serait pas honnête de ne pas parler des doutes qui existent sur le terrain.
Israël, des données qui interrogent
Dans la course à la vaccination, le peloton de tête était constitué d’Israël, des Maldives et des Seychelles. Ces pays ont, avant les autres, fait vacciner la grande majorité de leurs populations adulte, adolescente et infantile. En Israël, la campagne de vaccination pour la 3ème dose est déjà achevée, celle pour la 4ème dose est en cours.
Pourtant, ce pays est aussi celui où le nombre de personnes qui décèdent de la Covid-19 chaque jour est le plus élevé. En juillet 2022, ce pays a compté 80 décès par jour, ce qui ramené à la population française ferait 600 décès par jour. Ces chiffres confirment les limites de la stratégie 100% vaccinale, ce dont beaucoup d’experts se doutaient déjà5.
Toutefois, ce n’est pas le plus grave. Si ces vaccins ARN étaient inoffensifs, on pourrait simplement considérer que la stratégie du tout vaccinal face à un virus qui mute régulièrement n’est juste pas la plus adaptée. Mais, plusieurs études sont venues semer le doute sur l’innocuité des injections ARN.
Dans une publication du 22 avril 2022, les scientifiques passent en revue des données concernant la population entre 16 et 40 ans. Ils se sont appuyés sur les appels téléphoniques d’urgence enregistrés par le système de santé. Ils ont comparé les chiffres de 2019, 2020 et 2021. Ils ont spécifiquement étudié les appels liés aux arrêts cardiaques et ceux liés au syndrome coronarien aigu, aussi appelé angine de poitrine6.
Les auteurs de l’étude n‘ont pas constaté de changement entre 2019 et 2020. Pourtant, 2020 est l’année du pic de la Covid-19. L’évolution des chiffres est intervenue début 2021. Les chercheurs notent qu’entre janvier et mai 2021, il y a eu une augmentation drastique des appels liés aux arrêts cardiaques et aux syndromes coronariens aigus.
Entre janvier et mai 2021, chez les personnes de 16 à 40 ans :
– les appels liés aux arrêt cardiaques ont augmenté de 25% chez les hommes et de 31% chez les femmes ;
– les appels liés aux syndrome coronariens aigus ont quant à eux augmenté de 21% chez les hommes et de 40% chez les femmes.
L’étude rappelle que ces deux pathologies sont responsables de plus de 10% des morts subites chez les jeunes adultes mais n’avance pas de chiffre précis sur la mortalité potentielle liée aux vaccins ARN chez les moins de 40 ans.
Les conclusions de cette étude s’ajoutent à celles tout à fait officielles du ministère de la Santé israélien qui, dans une autre étude, estime qu’il existe un lien entre la 2e dose des injections ARN et un risque accru de myocardite chez les personnes entre 16 et 30 ans7.
Toujours en Israël, une enquête du ministère de la Santé réalisée auprès de 2000 Israéliens vaccinés, pris au hasard, constate que 51% des femmes et 35% des hommes ayant eu des effets secondaires ont du mal à mener leurs activités quotidiennes. En outre, 4,5% des personnes vaccinées auraient subi des effets secondaires neurologiques.
Les données s’accumulent en Israël. Elles montrent que la vaccination a causé de nombreux effets secondaires graves au sein de la population, notamment chez les plus jeunes. Mais pour l’instant personne ne revient sur la stratégie du tout vaccinal. Comment admettre une telle erreur, quand les décisions ont été poussées aussi loin ?
Inquiétude chez les sportifs
La polémique autour du joueur de tennis serbe, Novak Djokovic, ayant refusé la vaccination ARN contre la Covid a fait couler beaucoup d’encre notamment en Australie où il n’a pas obtenu de visa pour jouer l’un des tournois du Grand Chelem les plus prestigieux de l’année. Ce joueur était alors numéro 1 mondial, favori pour remporter l’Open d’Australie ce qui aurait permis de battre le record de Grand Chelem détenu par un joueur de tennis à ce moment-là. En effet, il en avait gagné 20, Rafael Nadal, 20 également et Roger Federer 20 aussi. Mais Novak Djokovic a refusé le vaccin ARN, donc il n’a pas concouru et Rafael Nadal a gagné, passant devant lui. La place de meilleur joueur de tous les temps au tennis s’est jouée sur le choix de faire ou non un vaccin. Ce choix le prive également de la possibilité de jouer à l’US Open, un autres des quatre grands tournois de l’année et peut-être la dernière occasion pour lui d’essayer de rattraper son concurrent. Novak Djokovic a refusé la gloire éternelle au nom de ses convictions et surtout de sa santé8.
Au regard des chiffres publiés sur le syndrome de mort soudaine de l’adulte chez les sportifs, les inquiétudes du sportif par rapport au vaccin ne semblent pas avoir été exagérées. Ainsi, le Comité international olympique lui-même a constaté une augmentation conséquente des morts subites chez les athlètes en 2021. Historiquement, la mort subite chez les athlètes était de 1 sur 40 000 à 1 sur 80 000, ce qui est déjà assez élevé, et s’explique par le fait qu’ils mettent leur corps à rude épreuve.
Selon le comité, entre 1966 et 2004, il y a eu 1101 décès chez les sportifs de moins de 35 ans, soit une moyenne annuelle de 29 décès. Mais entre mars 2021 et mars 2022, on compte déjà 769 athlètes ayant eu un problème cardiaque grave ou mortel. Il y aurait eu 1090 arrêts cardiaques en tout pour 715 décès chez les athlètes olympiques[8]. De même, l’UEFA a noté le décès de 21 joueurs de football professionnels en 2021 par mort subite contre 5 habituellement, soit une augmentation de 420% du nombre de morts[1],9,10.
Ces chiffres ont suscité des polémiques médiatiques importantes. Reuters et l’AFP ont critiqué la journaliste israélienne ayant révélé cette information dans le journal Real Times News11,12. Toutefois, il est également possible que Reuters et l’AFP ait été missionnés par le gouvernement américain pour soutenir la campagne de vaccination ARN, ce qui rend leur prises de positions moins crédibles13.
Le témoignage des compagnies d’assurance-vie américaine
Pierre Korry, pneumologue américain reconnu, rapporte sur son blog les propos du patron de One America, une compagnie d’assurance-vie au chiffre d’affaires de 100 milliards d’euros. Ce dernier a affirmé que les taux de mortalité lors des premiers mois de 2021 chez les 18-64 ans étaient jusqu’à 40% plus élevés que ce qu’ils étaient avant la pandémie. Il a estimé qu’on n’avait jamais vu une telle augmentation de la mortalité dans ce groupe d’âge qui, par ailleurs, constitue les forces vives du pays, ceux qui travaillent et qui permettent à la société de tenir[10].
Pierre Korry cite également Edward Dowd, un analyste financier de haut vol, ancien directeur général chez Blackrock qui constate également une hausse sans précédent de la mortalité aux États-Unis, du point de vue du secteur des assurances-vie. Ainsi, la mortalité a augmenté de 57% pour Lincoln National, 41% pour Prudential, 32% pour Hartford, 24% pour MetLife et 21% pour RGA[10].
Pour ces entreprises, cette augmentation du nombre de décès et donc de personnes à indemniser constitue un enjeu important. Leurs cadres et dirigeants demeurent consternés par l’ampleur du phénomène et le coût que cela représente pour le secteur.
Les militaires américains ne sont pas sereins
Toujours aux États-Unis, une polémique a éclaté lorsque différents sites Internet ont publié des chiffres inquiétants sur les effets secondaires subis par les soldats à l’issue de la campagne de vaccination contre la Covid-19. La plupart de ces articles et de ces discussions ont disparu d’Internet. Étaient mentionnés des problèmes de santé tels que l’infertilité chez les femmes, des problèmes neurologiques, des cancers en augmentation et des morts subites de l’adulte14,15.
L’un des médecins qui soutenaient les témoignages de militaires et la parution sur Internet des chiffres controversés s’appelle le Dr Robert Malone. Il a été directement impliqué dans la fabrication des vaccins.
Mais constatant des signaux inquiétants sur le terrain, il est allé consulter la base de données des militaires. Il a constaté une augmentation des morts subites qui correspondaient aux informations sur le terrain. Et il en a alors informé l’opinion publique.
Dans un premier temps l’armée a confirmé l’existence de ces bases de données. Elle n’a pas non plus remis en cause les chiffres actuels. En revanche, elle a procédé à une réévaluation de ses données entre 2016 et 2020. Elle a considéré que les estimations du passé étaient fausses et qu’il fallait les oublier. Elle a publié de nouvelles données montrant qu’il n’y a pas d’évolution inquiétante du nombre de morts subites dans l’armée américaine. Depuis cette polémique, le Dr Robert Malone est présenté comme un complotiste irresponsable qui diffuse régulièrement de fausses informations sur la pandémie. Il a été expulsé de Twitter16.
La plupart des articles et des données concernant l’armée américaine ne sont plus accessibles sur Internet. L’armée américaine a publié une réponse officielle avec des données réévaluées. L’institution y explique qu’elle travaille de manière étroite avec le CDC, le centre américain des maladies infectieuses. Sur ce sujet, le débat aux États-Unis est clos17.
Et en Europe ?
La notion de mort subite de l’adulte est très peu reprise par les médias européens. Cette réalité semble inexistante. En revanche, le lien entre l’augmentation des myocardites et la vaccination contre la Covid-19 est officiellement établi. En France, une étude financée par l’ANSM et l’assurance maladie le dit en ces termes18 :
« Le risque de myocardite et de péricardite est augmenté au cours de la première semaine suivant l’administration des deux vaccins chez les hommes et les femmes. Le risque de myocardite est le plus marqué après la deuxième dose de mRNA-1273, (…) parmi les hommes et les femmes âgés de 18 à 24 ans. »
Le risque serait plus élevé chez les hommes que chez les femmes. Il aurait été de 5 pour 100 000 pour la deuxième dose. Toutes les myocardites n’ont pas mené à la mort des patients. En revanche, on sait que les myocardites diagnostiquées ou non sont une des causes principales des morts subites chez les adultes.
La population de moins de 50 ans massivement vaccinée a donc probablement été fragilisée par ces injections à ARN expérimentales. S’il est aujourd’hui difficile d’établir un lien direct entre la vaccination et les morts subites des adultes, le doute persiste.
On peut se demander si le vaccin ARN n’a pas eu une incidence sur les faits divers suivants :
– La nageuse professionnelle de 24 ans manque de mourir après avoir eu un malaise dans la piscine où elle venait de plonger19.
– Le chauffeur de car qui meurt subitement, laissant son véhicule s’encastrer dans un bâtiment au milieu de Paris20.
– Le conducteur lyonnais de 51 ans qui a eu un accident, juste après un arrêt cardiaque ele 30 juin dernier21.
On ne connaît pas leur statut vaccinal. C’était peut-être simplement le hasard.
Néanmoins, vu les chiffres et les études sur les effets secondaires des vaccins ARN, je me pose désormais la question lorsque ce type de fait divers survient : cette personne était-elle vaccinée ? Est-ce que cela a joué dans son état de santé ?
Il est temps de changer de stratégie contre la Covid-19 et ses très nombreux variants.
Affaire à suivre…
Jérôme
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
838- La « VACCINATION »
c’est BON pour les AFFAIRES
mais PAS pour les BÉBÉS :
EFFONDREMENT de la NATALITÉ
9 MOIS après le DÉBUT des INJECTIONS
par Patrice Gibertie
c’est BON pour les AFFAIRES
mais PAS pour les BÉBÉS :
EFFONDREMENT de la NATALITÉ
9 MOIS après le DÉBUT des INJECTIONS
par Patrice Gibertie
Sandrine Rousseau sera heureuse, les injections mettent à mal la virilité et la fertilité !
Encore une excellente analyse de nos amis suisses Data Héros, retransmise par le collectif de médecins suisse : Collectif Sauver la Science @GabinJean3
Situation au 25/08/2022
Analyse complète des taux de natalité dans 18 (23) pays européens avec des preuves significatives du lien entre la vaccination et la baisse du taux de natalité (PDF ci-dessous)
Natalité : « Une baisse significative des naissances caractérise le premier semestre 2022. Dans 15 pays, cette baisse est supérieure à 4%, et dans 7 pays, supérieure à 10%. »
Est-elle liée aux campagnes de vaccination covid ? « Une corrélation négative significative entre la baisse des taux de natalité et la fréquence des vaccinations est constatée dans 14 des 18 pays ». Attention : rho de Spearman = basé sur le rang, pas sur les données chiffrées.
Le cas de la Suisse est l’une des plus spectaculaires. La baisse de la natalité y est massive, et intervient dans une période qui correspond très bien à la vaccination des femmes en âge de procréer avec un décalage de 9 mois.
Si l’on prend du recul historique, la baisse reste absolument spectaculaire en Suisse. En temps ordinaire, médecins, statisticiens, psychologues, sociologues devraient tous être sur le coup pour comprendre ce qui explique cette baisse de la natalité en Suisse et en Europe.
Nos biologistes et profs de médecine préférés (Tatianna et Papanours) en rajoute, la protéine spike c’est pas bon du tout pour les spermatozoides et la reproduction :
Bioweapon : Preuves solides de la capacité à infecter le sperme humain in vitro, l’expression de molécules telles que ACE2,BSG, CTSL et TMPRSS2 et leur rôle dans l’entrée virale dans les cellules hôtes des testicules humains tt comme le sperme éjaculé : https://mdpi.com/2073-4409/11/17/2631 Papanours
Ces ACE2 existent aussi (Douglas et al., 2004) : – sur les ¢ de Sertoli (¢ de soutien à rôle nourricier vis-à-vis des futurs spermatozoïdes, tapissant la paroi des tubes séminifères du testicule, elles sont l’équivalent chez la femme des ¢ folliculaires=cellules de la granulosa) @papanours60
– sur les ¢ de Leydig (=¢ interstitielles qui par le biais de la sécrétion de 85% de la testostérone – reste provenant des surrénales -, contrôlent dév. + maintien des caractères sexuels 1aires et 2aires + fonctionnement de l’appareil repro. masculin + comportement sexuel.) For true and humane medicine
@tatiann69922625 nous annonce en prime la présence d’un toxique fortement cancérigène dans le Moderna , l’Antimoine …
Mais revenons à la natalité
Il y aurait de l’antimoine dans le vaccin.
Moderna covid : https://documentcloud.org/documents/22140176-report-from-working-group-of-vaccine-analysis-in-germany… « Les découvertes sont importantes car l’antimoine est un élément toxique et il faut clarifier quelle est sa fonction dans le vaccin COVID-19 de Moderna ou s’il s’agit d’un contaminant indésirable
(Source : https://reseauinternational.net/la-vaccination-cest-bon-pour-les-affaires-mais-pas-pour-les-bebes-effondrement-de-la-natalite-9-mois-apres-le-debut-des-injections/ )
(à retrouver et télécharger ici : https://gloria.tv/post/72W8WgbHiXXgCokkGZdkyNbAi/request/download )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
840- L'ATTENTAT le PLUS INTRUSIF
contre l'HUMANITÉ :
1- Des BIO-NANO-RÉSEAUX à BASE de GRAPHÈNE
dans les INJECTIONS COVID
La quinta columna, le 25/08/22
https://gloria.tv/post/D1uWLdvo7fth4hSg7HL9Xqqcw
2- De MYSTÉRIEUSES FIBRES MOBILES
dans les MASQUES, les ÉCOUVILLONS et les VACCINS
https://gloria.tv/post/DC2urbVJLHeb33fF4NeWzMKGK
contre l'HUMANITÉ :
1- Des BIO-NANO-RÉSEAUX à BASE de GRAPHÈNE
dans les INJECTIONS COVID
La quinta columna, le 25/08/22
https://gloria.tv/post/D1uWLdvo7fth4hSg7HL9Xqqcw
2- De MYSTÉRIEUSES FIBRES MOBILES
dans les MASQUES, les ÉCOUVILLONS et les VACCINS
https://gloria.tv/post/DC2urbVJLHeb33fF4NeWzMKGK
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
842- Le GOUVERNEMENT BRITANNIQUE
a COMMENCÉ à VERSER 140 000 dollars
aux VICTIMES des DOMMAGES
CAUSÉS par le VACCIN COVID-19
a COMMENCÉ à VERSER 140 000 dollars
aux VICTIMES des DOMMAGES
CAUSÉS par le VACCIN COVID-19
Le Royaume-Uni a mis en place un programme d’indemnisation financière pour les personnes et les familles qui ont été lésées par le vaccin contre la COVID-19, malgré les affirmations répétées des entreprises américaines niant tout impact négatif sur la santé des vaccins.
Dans le cadre du programme, les premiers paiements, qui s’élèvent à un maximum de près de 150 000 $, ont déjà été versés aux membres de la famille de personnes blessées ou tuées à la suite du vaccin expérimental.
Vikki Spit, dont le partenaire de 48 ans, Zion, est tombé malade huit jours après avoir reçu le vaccin d’AstraZeneca, serait le premier bénéficiaire d’une somme provenant du programme gouvernemental de paiement des dommages causés par les vaccins (VDPS).
Le VPDS indemnisera les citoyens britanniques avec un paiement libre d’impôt allant jusqu’à 120 000 £, soit près de 141 000 $. Les vaccins pour environ 20 maladies sont éligibles aux paiements dans le cadre du programme et les archives du site Web du gouvernement britannique montrent que la COVID-19 a été ajoutée entre novembre 2020 et juillet 2021.
Pour recevoir un paiement, les individus doivent démontrer qu’un vaccin les a laissés « gravement handicapés », ce que le gouvernement britannique quantifie à au moins 60% handicapés.
« Il peut s’agir d’une invalidité mentale ou physique et sera basé sur des preuves médicales des médecins ou des hôpitaux impliqués dans votre traitement », expliquent les directives d’application.
Les membres de la famille peuvent également postuler au nom des personnes blessées, comme l’explique le portail du gouvernement britannique : « Vous pouvez également demander ce paiement au nom d’une personne décédée après être devenue gravement handicapée à cause de certaines vaccinations. Vous devez gérer leur succession pour postuler ».
Jusqu’à présent, la National Health Service (NHS) Business Services Authority, l’organisme qui gère le VDPS, a confirmé qu’en mai 2022, elle avait reçu 1681 demandes liées aux vaccins contre la COVID-19.
« Sur la base des délais actuels, une fois que les dossiers médicaux ont été envoyés pour évaluation, nous nous attendons à recevoir un résultat pour la plupart des cas de la part de l’évaluateur médical indépendant dans les 12 semaines », a expliqué un porte-parole.
Le nouveau programme fait suite à la controverse sur l’efficacité imparfaite des vaccins contre la COVID-19 ainsi qu’à des conflits d’intérêts massifs entre les représentants pharmaceutiques et les politiciens qui poussent les mandats de vaccination.
Les agences gouvernementales de santé ont également contribué à masquer les données des essais de vaccins contre la COVID-19, qui, une fois publiées, suggèrent que les vaccins ne confèrent pas le même niveau d’immunité que celui vanté par leurs défenseurs à la Maison Blanche et dans les médias grand public.
(Source : https://reseauinternational.net/le-gouvernement-britannique-a-commence-a-verser-140-000-dollars-aux-victimes-des-dommages-causes-par-le-vaccin-covid-19/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
844- TÉMOIGNAGES CENTRALE d'URGENCE 144
- 03/09/2022 -
- 03/09/2022 -
https://gloria.tv/post/Y8pLtCTyWKfE3tJAznyyAhfcM
La santé des populations semblent dégringoler, et pourrait même inquiéter le plus placide des observateurs. La RTS parle du malaise en titrant Les Suisses se sentent en moins bonne santé que pendant la pandémie, mais sans aborder le sujet de la vaccination et de ses conséquences sur la santé publique. Une courageuse dame relaie des informations collectées auprès des secouristes et ambulanciers.
(Source : https://lilianeheldkhawam.com/2022/09/04/a-quoi-sert-la-vaccination-de-masse-de-linfertilite-au-transhumanisme/ )
845- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 3497 à 3505
https://catholique.forumactif.com/t982p960-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-4#14884
https://catholique.forumactif.com/t982p960-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-4#14884
846- TÉMOIGNAGE de LÉNA
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
848- OÙ est mon CYCLE ?
par Mélodie FERON
par Mélodie FERON
Livre disponible ici :
https://www.editionsmarcopietteur.com/resurgence/326-ou-est-mon-cycle--9782874342059.html
https://www.editionsmarcopietteur.com/resurgence/326-ou-est-mon-cycle--9782874342059.html
(Source : https://twitter.com/ouestmoncycle/status/1567503990895611911 )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
852- LETTRE DÉCHIRANTE
d'un PÈRE qui a PERDU sa FILLE
après sa 3ème DOSE !
d'un PÈRE qui a PERDU sa FILLE
après sa 3ème DOSE !
La députée Virginie Joron lit la lettre déchirante d'un père qui a perdu sa fille (3e dose) tandis que le gouvernement, les médias schizophrènes continuent leur propagande ("n'oubliez pas votre dose de rappel"... )
https://gloria.tv/post/Jk3KiwQw6piC2WvinybmeoUXg
(Source : https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t46504p60-injection-anti-covid-effets-secondaires#494055 )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
854- SUITE aux "VACCINATIONS"
CHUTE de 14% des NAISSANCES
CHUTE de 14% des NAISSANCES
(Source : https://twitter.com/DocteurPEB1/status/1565392080704258050 )
Les naissances en Angleterre se sont effondrées
et ne remontent PAS
et ne remontent PAS
Un nouveau rapport sur l'efficacité des vaccins de l' UKHSA du 1er septembre 2022 est sorti. Le rapport dit qu'il "s'applique à l'Angleterre".
Et il a de très mauvaises nouvelles. Les naissances vivantes ont chuté de 14 % en Angleterre en mai 2022, et la baisse semble s'aggraver et ne pas se redresser.
J'ai mis en évidence les données pertinentes que nous examinerons :
Et il a de très mauvaises nouvelles. Les naissances vivantes ont chuté de 14 % en Angleterre en mai 2022, et la baisse semble s'aggraver et ne pas se redresser.
J'ai mis en évidence les données pertinentes que nous examinerons :
Ce tableau simple montre les baisses des naissances d'une année sur l'autre (en comparant, par exemple, mai 2022 à mai 2021):
Le tableau est ici :
Avant d'aller plus loin, je dois rappeler à mes lecteurs : les taux de natalité sont toujours saisonniers ! La plupart des parents préfèrent faire un "bébé de printemps", ce qui finit souvent par faire un "bébé d'été" car la conception prend plus de temps que prévu. Donc, ne comparez jamais les mois adjacents car ils sont garantis d'avoir des changements spectaculaires qui sont simplement liés à la saisonnalité, avec des différences très reproductibles au fil des ans. Ne comparez que les mois d'une année avec les mêmes mois d'une autre année, s'il vous plaît. C'est exactement ce que j'ai fait, en comparant mai à mai, etc.
La variation habituelle de la fécondité d'une année à l'autre est de 1 à 2 %. Voici la page de l'ONS sur les naissances en 2021 (notant également une augmentation inquiétante de 10 % des mortinaissances en 2021 ).
Donc, vous pouvez voir que les années précédentes, rien de super excitant ne se passait. L'année 2022 est donc une grande et une aberration très inquiétante.
Femmes disparues
Une déclaration très importante de ce rapport doit être abordée. Le rapport manque 2 637 femmes.
2 637 femmes n'ont pas pu être associées à un record NIMS. Leur statut vaccinal est donc inconnu et ils sont exclus de ces chiffres de couverture.
Je ne sais pas quelle année – 2021 ou 2022 – manque ces femmes et combien d'entre elles manquaient au cours de chacune de ces années respectives. Cependant, veuillez comprendre que 2 637 femmes est un petit nombre par rapport aux 189 450 naissances signalées en 2022. Au plus – si toutes les femmes disparues étaient liées à seulement 2022 – cela pourrait changer le résultat de 1,39 % par mois. Je suppose qu'ils manquaient en fait en 2021, alors que le "système de suivi des vaccins" était en cours de mise en place, bien que je n'en ai aucune preuve.
Si la plupart des femmes disparues étaient plutôt liées à 2021, la baisse des naissances en 2022 serait encore plus prononcée. Ces femmes disparues représentent une inconnue qui brouille les cartes, mais ne change rien au fait que 2022 connaît une chute dramatique et inexplicable des naissances.
Appelons-le par ce que c'est : INFERTILITÉ
Un couple qui désire avoir un enfant et qui est incapable de concevoir ou d'avoir une grossesse réussie est appelé infertile . Bien que l'infertilité soit compliquée, le fait le plus fondamental que nous constatons est que malgré la vie continue comme toujours au Royaume-Uni, les couples en 2021 ne pourraient PAS concevoir et terminer au cours des premiers mois de 2022, environ 24 000 grossesses - en raison de l'infertilité. Cela a entraîné jusqu'à 14% de baisse des naissances cette année. Que cette infertilité soit temporaire ou permanente — est une question ouverte . J'espère que c'est temporaire.
La cause est le vaccin Covid
Nous savons tous ce qui se passait 9 mois avant janvier-mai 2022. Le Royaume-Uni était occupé à vacciner ses femmes fertiles et enceintes, affirmant que « le vaccin Covid est sans danger pour la grossesse ».
Et maintenant, nous savons comment cela s'est passé, avec la baisse de 14% du taux de natalité.
La Hongrie est la preuve
Veuillez lire mon article sur la Hongrie, où j'ai comparé les baisses du taux de natalité dans 20 comtés hongrois, avec les taux de vaccination dans les mêmes comtés 9 mois avant les baisses du taux de natalité. Une analyse statistique appelée "régression linéaire" montre la relation entre les taux de vaccination et la baisse du taux de natalité 9 mois plus tard. Cela montre la causalité, en raison de la "relation temporelle" inhérente aux grossesses de 9 mois.
(Source : https://igorchudov-substack-com.translate.goog/p/uk-births-in-england-collapsed-and?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
856- PAYS EUROPÉENS :
BAISSE de la NATALITÉ jusqu’à 19%
dans la PREMIÈRE MOITIÉ de 2022
BAISSE de la NATALITÉ jusqu’à 19%
dans la PREMIÈRE MOITIÉ de 2022
Reste à savoir si cette baisse est liée aux campagnes de vaccinations massives à l’ARN messager.
Une telle conclusion ne peut pas être publiée aussi vite car il peut y avoir d’autres paramètres mais on ne peut pas ne pas penser immédiatement aux innombrables troubles des cycles menstruels post-vaccinaux. De plus, nous savons aujourd’hui que les autorités sanitaires anglaises déconseillent totalement la vaccination des femmes enceintes et allaitantes car il n’y a aucune étude scientifique qui démontrerait son efficacité et son innocuité surtout pour le développement fœtal. Il peut exister d’autres facteurs comme par exemple le stress et il faut dire que depuis 2 ans et demi, jamais une population n’a été autant terrorisée médiatiquement avec cette crise sanitaire Covid-19, puis vient s’ajouter le risque de guerre nucléaire mondiale depuis 6 mois avec la guerre russo-ukrainienne, sans oublier une propagande insensée concernant le réchauffement climatique et ses prédictions d’un futur sombre pour la planète. Si on ajoute à cela la volonté de nombreuses personnes en Occident de ne plus faire d’enfants à cause d’un découragement et d’une démoralisation complets, de nombreux hommes se portent candidats à la vasectomie, car ils ne veulent pas avoir d’enfants dans un monde tel que le nôtre. Sans oublier bien entendu tous les empoisonnements environnementaux que nous devons subir en Occident et qui sont responsables de la baisse de concentration de spermatozoïdes depuis des décennies maintenant.
Bref, nous avons l’impression que le plan des globalistes du World Economic Forum de Klaus Schwab est en train de se réaliser sous nos yeux étant donné leur volonté de faire baisser la population mondiale, comme ne cessent de le répéter Bill Gates et ses amis depuis 2 décennies maintenant.
* * *
La situation est la même dans le monde entier : neuf mois après le début de la vaccination Covid, les naissances vivantes ont considérablement diminué chez les personnes âgées de 18 à 49 ans, en particulier dans les pays où le taux de vaccination est élevé.
Le fait que ces cas ne sont pas isolés a été clairement démontré : Sur la base des chiffres officiels des offices statistiques nationaux, un analyste de données a effectué des analyses complètes pour 18 pays. Résultat : au cours du premier semestre 2022, on a constaté un net recul des naissances par rapport à la moyenne des années précédentes – dans de nombreux pays, ce recul était nettement supérieur à 10% !
Au total, les données d’un nombre encore plus important de pays ont été analysées, bien que certaines d’entre elles soient encore incomplètes. Néanmoins, l’analyse est tout à fait significative : dans 15 pays, l’analyste de données Raimund Hagemann et son équipe ont constaté un recul des naissances vivantes de plus de 4%, dans sept pays, ce recul était même supérieur à 10%. Hagemann ne prétend pas avoir démontré un lien de cause à effet avec la campagne de vaccination, mais indique que d’autres facteurs (tels que l’impact psychologique du lockdown sur le planning familial ou encore les infections Covid) n’expliquent pas la baisse des taux de natalité :
Mon analyse met en relation le nombre de naissances mensuelles avec la moyenne des trois dernières années. On constate d’emblée que tous les pays européens étudiés présentent une baisse mensuelle des naissances pouvant aller jusqu’à plus de 10% par rapport à la période de référence. Il est possible de prouver que ce signal très alarmant ne peut pas être expliqué par l’épidémie de Covid-19. En revanche, les liens temporels avec la vaccination dans le groupe d’âge des hommes et des femmes entre 18 et 49 ans peuvent être clairement établis. Des analyses statistiques et médicales approfondies doivent donc être exigées1.
Près de 90 000 naissances vivantes en moins ?
La liste suivante donne des informations sur les différences parfois considérables des taux de natalité en 2022 par rapport aux années précédentes :
Tous les pays montrent une corrélation négative entre la fréquence de vaccination et la baisse de la natalité. Il est intéressant de noter que la Roumanie, où le taux de vaccination est relativement faible, a néanmoins enregistré la plus forte baisse de la natalité – d’autres facteurs que la vaccination pourraient donc bien jouer un rôle. Il est cependant un fait que l’EMA a été et est toujours littéralement submergée par des déclarations de troubles des organes génitaux féminins et masculins qui seraient en rapport avec les vaccins Covid. Le nombre de troubles menstruels signalés – plus de 126 000 au 20 août selon Hagemann – est particulièrement inquiétant : Un lien avec la baisse de la natalité devrait absolument être vérifié. Une étude a par ailleurs déjà démontré une influence négative du vaccin BioNTech/Pfizer sur la fertilité masculine.
Un lien de cause à effet évident
Hagemann constate :
Les effets indésirables sur les organes reproducteurs féminins et les résultats des études concernant la fertilité masculine suggèrent une interprétation causale du lien entre la baisse de la natalité et les vaccins Covid-19[1].
Compte tenu du fait qu’en Europe, on observe uniformément une baisse des taux de natalité en relation temporelle frappante avec la campagne de vaccination, l’analyste demande un arrêt immédiat de la vaccination.
En se référant aux critères de Bradford-Hill, il a été possible de démontrer une corrélation temporelle entre la baisse de la natalité et le déroulement de la première campagne de vaccination (doses 1 et 2) neuf mois auparavant. Il y avait une très forte analogie entre les pays européens. La baisse du nombre de naissances observée de manière uniforme avec une corrélation temporelle avec le début de la campagne de vaccination n’est donc pas un phénomène national isolé. Certains pays retiennent encore leurs données. La Norvège a transmis les données des deuxièmes trimestres, mais retient actuellement les données des premiers trimestres.
Compte tenu de l’importance individuelle et sociétale considérable du lien entre les campagnes de vaccination et la baisse des taux de natalité, il convient d’exiger la suspension immédiate de la vaccination Covid-19 pour toutes les personnes en âge de procréer et de se reproduire[1].
Il insiste sur le fait que ses propos ont été aussi objectifs que possible et qu’aucune interprétation des données ne doit être exclue. Il estime toutefois qu’il n’est pas acceptable d’attendre davantage les publications scientifiques traditionnelles : la menace individuelle et sociale évidente que représente le vaccin est trop importante.
Note :
1- https://initiative-corona.info/Geburtenrueckgang-Europe-DE.pdf
(Source : https://reseauinternational.net/pays-europeens-baisse-de-la-natalite-jusqua-19-dans-la-premiere-moitie-de-2022/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Il y a un moment ou votre présence en ce forum ne vous inquiète pas ???
Darbut- Sage
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Date d'inscription : 16/05/2021
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Nan mais c'est vrai le vaccin à tué des millions de gens en France, même que dans ma ville 70% de la population à été décimée et qu'ils ont ouvert un nouveau cimetière. C'est pour ça qu'ils font venir des migrants pour repeupler.
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
858- Ils VEULENT BANALISER
les CRISES CARDIAQUES chez les ÉCOLIERS
sans ASSOCIER celles-ci aux VACCINS
les CRISES CARDIAQUES chez les ÉCOLIERS
sans ASSOCIER celles-ci aux VACCINS
https://gloria.tv/post/j3aZMLWCdcAk6maL1X4qbAtM2
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
860- De JEUNES ADULTES
MEURENT en NOMBRE RECORD
et ce n’est PAS du COVID
MEURENT en NOMBRE RECORD
et ce n’est PAS du COVID
Le Dr John Campbell, professeur en soins infirmiers, lance l’alerte suite à une vague de décès inexpliqués. Selon les chiffres officiels examinés par lui, le nombre de décès est beaucoup plus important que ce qu’on admet communément. Il a examiné les moyennes des cinq à sept dernières années, ainsi que d’autres bien antérieures au Covid. Un grand nombre de ces décès en surplus surviennent parmi les jeunes adultes, dont certains sont initialement en parfaite santé.
Sur sa chaîne YouTube comptant 2,44 millions d’abonnés, le Dr Campbell a récemment partagé certaines statistiques officielles. Ces chiffres montrent que de jeunes personnes en bonne santé continuent à mourir dans des proportions insolites. Elles ne meurent pas du Covid.
Une semaine après avoir été publiée le 28 août, sa vidéo intitulée « Excess deaths, the data » [Surplus de la mortalité : les chiffres, ndt.], a été visionnée plus de 916.000 fois et a suscité plus de 20.000 commentaires.
Généralement, les articles de presse sur la mort d’athlètes, d’acteurs et de célébrités de renom ne rapportent qu’une facette de l’histoire.
Un champion de VTT en parfaite santé meurt à 37 ans
Durant son émission, le Dr Campbell a évoqué un de ces cas : le champion de VTT Rab Wardell. Le 21 août, Wardell a remporté le championnat d’Écosse de VTT, à Dumfries et Galloway, dans les Hautes Terres du Sud. Deux jours plus tard, l’homme de 37 ans est officiellement « mort dans son sommeil », victime d’une crise cardiaque. Sa fiancée s’est exprimée le lendemain de sa mort sur les médias sociaux. Elle a essayé de le maintenir en vie en pratiquant un massage cardiaque jusqu’à l’arrivée des ambulanciers :
« Je ne comprends toujours pas ce qui s’est passé. Si c’est réel, pourquoi est‑il parti maintenant – si sain et heureux ? », a tweeté Katie Archibald le 24 août.
« Il a fait un arrêt cardiaque alors que nous étions allongés dans le lit. J’essayais et essayais [de le maintenir en vie], et les ambulanciers sont arrivés au bout de quelques minutes, mais son cœur s’est arrêté et ils n’ont pas pu le ranimer », a‑t‑elle poursuivi.
« Le mien s’est arrêté avec lui. Je l’aime tellement et j’ai besoin de lui ici avec moi. J’ai tellement besoin de lui ici, mais il est parti. Je ne peux pas décrire cette douleur. »
Une tendance inquiétante
En analysant les données, le Dr Campbell montre que ces témoignages dans les médias font partie d’une tendance extrêmement inquiétante de surmortalité.
Les statistiques confirment un nombre de décès bien plus élevé qu’à l’habitude – au moins 1000 par semaine rien qu’au Royaume‑Uni. Ces décès en surplus ne sont pas dus au Covid‑19.
Selon le Parlement écossais, la surmortalité a augmenté de 11% au cours du dernier semestre. On s’attendait à un pic de mortalité hivernale dû au Covid. Mais au cours des six derniers mois, une fois le pic hivernal passé, la surmortalité est restée considérable.
Cette surmortalité apparaît dans tous les groupes d’âge, y compris chez les jeunes adultes en bonne santé.
Décès soudains chez les athlètes
Le Dr Campbell cite une étude publiée en juin 2022 dans The European Journal of Preventive Cardiology, selon laquelle 80% des morts subites chez les jeunes athlètes surviennent chez des personnes qui n’ont pas de symptômes préalables ou d’antécédents familiaux de maladie cardiaque.
Sans aucun symptôme initial, il n’est pas possible de dépister les personnes vulnérables.
Les décès excédentaires inattendus pourraient dépasser les décès dus au Covid
Selon le professeur Carl Heneghan, directeur du Center for Evidence Based Medicine de l’université d’Oxford, au Royaume‑Uni, la surmortalité a sensiblement commencé à suivre une tendance à la hausse vers la fin du mois d’avril 2022.
Ces décès excédentaires sont associés à des problèmes de circulation sanguine, au diabète ou au cancer selon le gouvernement britannique. Mais, comme le Dr Campbell s’empresse de le souligner, cela n’explique pas le facteur précipitant.
« Le schéma est similaire dans de nombreux autres pays. »
Si cette tendance se poursuit, ces décès excédentaires dépasseront ceux du Covid‑19 d’ici la fin de l’année.
Le Dr Campbell et de nombreuses autres personnes, dont Carl Heneghan, appellent désormais à une enquête nationale et internationale sur cette surmortalité, en utilisant les données des certificats de décès et les diagnostiques médicaux, ainsi que les examens post‑mortem effectués par des pathologistes spécialisés dans la découverte des causes sous‑jacentes des décès inattendus.
« Nous devons savoir pourquoi il en est ainsi. Cela devrait vraiment être fait de toute urgence. »
Comme il l’a mentionné dans des vidéos antérieures, en tant que professeur en soin infirmier, le Dr Campbell a préconisé des protocoles d’hygiène plus sensés face au Covid. À l’origine, il recommandait les vaccins.
Dans ses vidéos, le Dr Campbell n’annonce pas avec une certitude absolue le facteur de la surmortalité : il se contente de partager les chiffres. Il encourage les spectateurs à examiner les statistiques médicales par eux‑mêmes, à rester informer de l’évolution scientifique et à garder un œil critique.
20.000 commentaires associent les complications et les décès aux vaccins
Entretemps, les commentaires sous ses vidéos montre qu’on soupçonne la campagne mondiale de vaccination Covid d’être à l’origine de toutes ses morts excédentaires.
Un internaute, Marko Hart, écrit :
« Un très bon ami à moi est mort deux jours après son 40e anniversaire, cinq jours après sa deuxième injection. Un type en très bonne santé avec plusieurs marathons. Il est mort d’une crise cardiaque chez lui après avoir être sorti de la salle de sport une demi‑heure plus tôt. Aucune autopsie n’a été pratiquée même si sa femme en a fait la demande. C’est arrivé il y a sept mois ici, en Suède. Tu nous manques Michael. »
Un autre, sous le nom de « DonTheFurious », décrit une randonnée extrêmement difficile après avoir reçu son premier vaccin. Il connaissait bien le parcours pourtant et l’avait déjà fait trois fois par le passé. Cette fois‑ci, sa poitrine était lourde et il pouvait sentir un goût acide sous sa langue. Arrivé à l’étape finale, il s’est évanoui, a fait une chute de 30 mètres et a été découvert inconscient par le chien d’un randonneur. Il a dû être transporté par avion à l’hôpital.
« Lorsque j’ai expliqué aux médecins que je soupçonnais le vaccin d’être à l’origine de ce malaise, ils ont refusé d’envisager cette possibilité », écrit‑il. « Leur raisonnement est que je me suis évanoui à cause d’un coup de chaleur/déshydratation ».
L’homme est âgé de 38 ans sans antécédents de problèmes cardiaques.
Un troisième, Joe Macdonald, écrit :
« Une de mes amies est décédée l’année dernière d’une insuffisance cardiaque après avoir reçu sa deuxième injection de vaccin Covid‑19, elle était en bonne santé, âgée d’une trentaine d’années, et n’avait aucun problème de santé sous‑jacent… Les médecins n’ont pas pu trouver la raison de sa soudaine insuffisance cardiaque et lorsque nous leur avons demandé si l’injection de Covid‑19 était la raison de sa mort, ils n’ont pas voulu faire de commentaire et ont refusé de discuter davantage sur le fait que les vaccins Covid‑19 pouvaient être une cause sous‑jacente possible. »
Toutes les histoires de ces internautes restent anecdotiques, ces récits de complications après la vaccination, ou ceux de décès soudains survenus de manière inexpliquée parmi leurs amis ou proches pourtant en parfaite santé – toujours est‑il que sous une vidéo, on en décompte des milliers.
[Voir aussi :
►Surmortalité post boosters — pourquoi ce silence médiatique ? STOPPONS L’INJECTION EXPÉRIMENTALE !
►Surmortalité en Europe chez les jeunes depuis cet été : pourquoi le Sénat refuse-t-il de publier les données de mortalité post-vaccinale ?
►Des médecins allemands confirment à nouveau la corrélation entre vaccin et surmortalité
►Surmortalité hors Covid-19 en Europe]
Matières étrangères dans le sang
Des travaux scientifiques récemment publiés pourraient contribuer à expliquer l’augmentation du nombre de décès excessif. Comme le décrit une étude de 60 pages publiée en août dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, une équipe de médecins italiens a étudié le sang de 1006 patients auxquels on a injecté des vaccins à ARNm COVID‑19 et qui ont ensuite consulté un médecin pour différents symptômes. Des corps étrangers ont été trouvés dans 94% de leur sang. Bien d’autres études rejoignent leurs conclusions.
[Voir aussi :
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays]
Ces résultats concordent avec l’expérience de nombreux professionnels chargés de préparer les corps pour les rites funéraires. Plusieurs embaumeurs de par le monde ont observé de nombreux « caillots fibreux et caoutchouteux de grande taille », assez longs, à l’intérieur des cadavres qu’ils préparaient pour l’enterrement. On ne sait pas encore si la cause de ce qui semble être un nouveau trouble de la coagulation est l’infection au Covid‑19, les vaccins contre le Covid‑19, les deux, voire autre chose.
Plus terrible qu’il n’y paraît ?
Le Dr Campbell a également souligné qu’au cours des deux dernières années, un grand nombre de personnes officiellement mortes de vieillesse naturellement et d’autres causes naturelles sont mortes du Covid. Le Covid a touché de manière disproportionnée les adultes plus âgés et ceux ayant des problèmes de santé sous‑jacents. Comme ces personnes sont déjà décédées, les taux de surmortalité devraient logiquement être devenu plus bas que ceux des années antérieures au Covid.
C’est pourtant l’inverse, au lieu d’observer une baisse des décès non liés au Covid, ces décès sont en hausse.
Par conséquent, l’augmentation de la surmortalité est d’autant plus terrible. Selon le Dr Campbell, les États‑Unis ont plus souffert, cumulativement, de la surmortalité que tout autre pays. Toute mort inutile est tragique. Mais une surmortalité de cette ampleur, en particulier chez les jeunes, est un sujet de préoccupation nationale et internationale.
(Source : https://nouveau-monde.ca/de-jeunes-adultes-meurent-en-nombre-record-et-ce-nest-pas-du-covid/ )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
Des médecins, des physiciens, des chimistes, des microbiologistes, des pharmacologues et des naturopathes, soutenus par des juristes et des journalistes, se sont réunis en un groupe de travail interdisciplinaire qui fait désormais partie d'un réseau international. Leur objectif est d'analyser en permanence le contenu et les substances actives des nouveaux vaccins Covid-19 et d'étudier leurs effets sur l'organisme et le sang, afin de les présenter au public pour une discussion critique. Ils ont ainsi découvert des résultats très inquiétants. Leur conclusion en forme d'avertissement est donc la suivante : « Afin d'éviter un danger concret et imminent pour la vie et la sécurité publique, les programmes de vaccination Covid-19 doivent être immédiatement interrompus. »
À la fin de l'été 2021, les autorités japonaises ont retiré de la circulation trois lots de vaccins Moderna contenant 1,63 millions de doses en raison d'une contamination métallique. Pour la même raison, une suspension de la vaccination a suivi dans la province d'Okinawa en raison d'autres contaminations détectées dans d'autres lots. Peu après, des scandales ont à nouveau éclaté au Japon dans différentes villes en raison de vaccins contaminés de Pfizer. Début avril 2022, Moderna a retiré elle-même 764 900 doses en Europe en raison d'une contamination constatée.
Poussés par les événements alarmants survenus au Japon et par des observations inquiétantes issues de leur propre pratique et de leurs recherches, qui ont révélé d'importantes modifications sanguines chez tous les vaccinés examinés, des médecins, physiciens, chimistes, microbiologistes, pharmacologues et naturopathes se sont réunis en un groupe de travail interdisciplinaire. Leur objectif est d'analyser en permanence le contenu et les substances actives des nouveaux vaccins Covid-19 et d'étudier leurs effets sur l'organisme et le sang, afin de les présenter au public pour un débat critique.
« Sur la base de nombreuses observations et indications » - selon les auteurs – « il semble que l'Institut Paul-Ehrlich ne remplisse pas ses tâches de manière suffisante ou suffisamment transparente. La population n'a pas la possibilité d'en prendre connaissance. »
L'équipe scientifique s'appelle « Groupe de travail Information sur les vaccins » et est également soutenue par des juristes, des psychologues, des analystes et des journalistes. Selon ses propres dires, elle utilise « des méthodes de mesure médicales et physiques modernes dont les résultats se sont confirmés et complétés mutuellement. »
Parmi les vaccins examinés figurent les produits des entreprises AstraZeneca, BioNTech/Pfizer, Moderna, Johnson&Johnson, pour ne citer que les plus connus.
Le « Groupe Information sur les Vaccins » est relié à plusieurs autres groupes de travail avec « divers collègues hautement qualifiés » au niveau international, qui, selon le communiqué de presse, « mènent des études similaires avec des résultats concordants. Les résultats peuvent donc être validés à plusieurs reprises. »
Le fait qu'il s'agisse de recherches menées indépendamment de tout intérêt politique ou financier revêt une importance particulière.
Le 5 juillet 2022, le groupe de travail a alors présenté au public, dans un premier recueil, ses résultats consternants. Dans la préface, les auteurs décrivent l'urgence de l'entreprise comme suit : « Nous avons uni nos compétences et nos moyens techniques pour contribuer à l'élucidation de ce que nous considérons comme la plus grande expérience pharmacologique menée sur l'humanité. Jamais dans l'histoire de la science et de la médecine on n'a osé faire d'une population entière, d'une espèce presque complète, l'objet d'expériences médicales ou génétiques. »
Mais passons maintenant aux résultats en détail.
1) « Des composants toxiques ont été trouvés dans tous les échantillons de vaccins Covid-19, sans exception. »
Il s'agit « en grande partie de composants métalliques » qui n'ont pas été déclarés par les entreprises pharmaceutiques. En raison notamment de leur quantité, ils ne peuvent pas être expliqués comme des « impuretés liées à la fabrication », c'est-à-dire comme involontaires. Cependant, aucune recherche approfondie n'a encore été menée sur les objectifs qu'ils servent et les effets qu'ils peuvent finalement produire chez les personnes vaccinées.
2) « Des modifications notables ont été observées dans les échantillons de sang de toutes les personnes vaccinées. »
Des examens comparatifs au microscope à fond noir et des analyses d'images à l'aide de l'intelligence artificielle ont révélé les différences frappantes suivantes :
Des structures cristallines inhabituelles qui n'avaient jamais été trouvées auparavant dans le sang des humains. « Ces structures ont été trouvées le plus souvent dans le vaccin Comirnaty de BioNTech/Pfizer ». Outre la taille souvent inadmissible de ces particules, cela est inquiétant en soi « parce que personne ne sait où le corps va déplacer ces structures », préviennent les scientifiques. L'apparition de telles structures est si nombreuse et systématique qu'il ne peut probablement pas s'agir de contaminations liées à la fabrication.
Des déformations et des processus de décomposition inhabituellement rapides des structures cellulaires des globules rouges, que l'on ne trouve normalement que chez les malades chroniques ou les personnes atteintes de maladies dégénératives graves.
La formation de « rouleaux », c'est-à-dire d'agrégats sanguins, qui n'apparaissent normalement que dans le sang de personnes présentant un risque d'accident vasculaire cérébral ou de thrombose.
Toutes les modifications mentionnées ont également été observées dans le sang de tous ceux qui n'avaient pas encore constaté d'effets secondaires suite à la vaccination.
3) Un lien statistique a pu être établi entre la fréquence des dommages vaccinaux dans les différents lots de vaccination et la qualité des vaccins ARNm utilisés.
Les vaccins ARNm entièrement nouveaux de BioNTech/Pfizer et Moderna sont introduits dans les cellules à l'aide de nanolipides. Ces lipides sont stabilisés par ce que l'on appelle un revêtement PEG. « Plus cette enveloppe PEG des nanolipides d'ARNm est stable, plus l'ARNm pénètre dans les cellules, dans lesquelles la production de protéines spike a alors lieu. »
« Et plus le vaccin y parvient facilement, plus le risque pour le vacciné de subir des dommages suite à la vaccination est élevé », expliquent les scientifiques.
Cela ne signifie pas pour autant qu'il n'y aura pas de complications dans les lots dont les nanolipides sont recouverts de PEG de moindre qualité.
Il existe « de nombreuses questions ouvertes concernant la manipulation des nanoparticules et de l'ARNm en tant que tel ; malgré cela, l'utilisation des vaccins dans le cadre d'un essai sur le terrain se fait par milliards sur des êtres humains », peut-on lire dans le rapport.
Quels sont les risques à long terme pour toutes ces personnes vaccinées ?
Après avoir cité l'artériosclérose comme première conséquence à prévoir à long terme, les auteurs résument leur hypothèse comme suit : « Les maladies auto-immunes, l'affaiblissement du système immunitaire, les processus inflammatoires, l'artériosclérose, etc. sont des maladies insidieuses qui peuvent entraîner des lésions organiques, de l'hypertension, des infarctus du myocarde, des maladies neurodégénératives et des cancers, et raccourcir l'espérance de vie.
L’apparition de maladies occulte le fait que les vaccins Covid-19 pourraient en être une cause possible. Un nombre croissant de pathologies multiples devrait être examiné pour déterminer cette cause. »
Dans son excellente recherche, le groupe de travail arrive à la conclusion suivante : « Afin d'éviter un danger concret et imminent pour la vie, l'intégrité physique et la sécurité publique, les programmes de vaccination Covid 19 doivent être immédiatement interrompus. »
Cela aurait déjà dû être fait depuis longtemps.
Ce n'est que lorsqu’un large public se réveille enfin et se lève dans son propre intérêt que ce changement de cap urgent pourra être atteint dans la société et la politique.
Vous aussi, aidez-nous de toutes vos forces et de toutes vos possibilités et diffusez toute information intéressante.
À la fin de l'été 2021, les autorités japonaises ont retiré de la circulation trois lots de vaccins Moderna contenant 1,63 millions de doses en raison d'une contamination métallique. Pour la même raison, une suspension de la vaccination a suivi dans la province d'Okinawa en raison d'autres contaminations détectées dans d'autres lots. Peu après, des scandales ont à nouveau éclaté au Japon dans différentes villes en raison de vaccins contaminés de Pfizer. Début avril 2022, Moderna a retiré elle-même 764 900 doses en Europe en raison d'une contamination constatée.
Poussés par les événements alarmants survenus au Japon et par des observations inquiétantes issues de leur propre pratique et de leurs recherches, qui ont révélé d'importantes modifications sanguines chez tous les vaccinés examinés, des médecins, physiciens, chimistes, microbiologistes, pharmacologues et naturopathes se sont réunis en un groupe de travail interdisciplinaire. Leur objectif est d'analyser en permanence le contenu et les substances actives des nouveaux vaccins Covid-19 et d'étudier leurs effets sur l'organisme et le sang, afin de les présenter au public pour un débat critique.
« Sur la base de nombreuses observations et indications » - selon les auteurs – « il semble que l'Institut Paul-Ehrlich ne remplisse pas ses tâches de manière suffisante ou suffisamment transparente. La population n'a pas la possibilité d'en prendre connaissance. »
L'équipe scientifique s'appelle « Groupe de travail Information sur les vaccins » et est également soutenue par des juristes, des psychologues, des analystes et des journalistes. Selon ses propres dires, elle utilise « des méthodes de mesure médicales et physiques modernes dont les résultats se sont confirmés et complétés mutuellement. »
Parmi les vaccins examinés figurent les produits des entreprises AstraZeneca, BioNTech/Pfizer, Moderna, Johnson&Johnson, pour ne citer que les plus connus.
Le « Groupe Information sur les Vaccins » est relié à plusieurs autres groupes de travail avec « divers collègues hautement qualifiés » au niveau international, qui, selon le communiqué de presse, « mènent des études similaires avec des résultats concordants. Les résultats peuvent donc être validés à plusieurs reprises. »
Le fait qu'il s'agisse de recherches menées indépendamment de tout intérêt politique ou financier revêt une importance particulière.
Le 5 juillet 2022, le groupe de travail a alors présenté au public, dans un premier recueil, ses résultats consternants. Dans la préface, les auteurs décrivent l'urgence de l'entreprise comme suit : « Nous avons uni nos compétences et nos moyens techniques pour contribuer à l'élucidation de ce que nous considérons comme la plus grande expérience pharmacologique menée sur l'humanité. Jamais dans l'histoire de la science et de la médecine on n'a osé faire d'une population entière, d'une espèce presque complète, l'objet d'expériences médicales ou génétiques. »
Mais passons maintenant aux résultats en détail.
1) « Des composants toxiques ont été trouvés dans tous les échantillons de vaccins Covid-19, sans exception. »
Il s'agit « en grande partie de composants métalliques » qui n'ont pas été déclarés par les entreprises pharmaceutiques. En raison notamment de leur quantité, ils ne peuvent pas être expliqués comme des « impuretés liées à la fabrication », c'est-à-dire comme involontaires. Cependant, aucune recherche approfondie n'a encore été menée sur les objectifs qu'ils servent et les effets qu'ils peuvent finalement produire chez les personnes vaccinées.
2) « Des modifications notables ont été observées dans les échantillons de sang de toutes les personnes vaccinées. »
Des examens comparatifs au microscope à fond noir et des analyses d'images à l'aide de l'intelligence artificielle ont révélé les différences frappantes suivantes :
Des structures cristallines inhabituelles qui n'avaient jamais été trouvées auparavant dans le sang des humains. « Ces structures ont été trouvées le plus souvent dans le vaccin Comirnaty de BioNTech/Pfizer ». Outre la taille souvent inadmissible de ces particules, cela est inquiétant en soi « parce que personne ne sait où le corps va déplacer ces structures », préviennent les scientifiques. L'apparition de telles structures est si nombreuse et systématique qu'il ne peut probablement pas s'agir de contaminations liées à la fabrication.
Des déformations et des processus de décomposition inhabituellement rapides des structures cellulaires des globules rouges, que l'on ne trouve normalement que chez les malades chroniques ou les personnes atteintes de maladies dégénératives graves.
La formation de « rouleaux », c'est-à-dire d'agrégats sanguins, qui n'apparaissent normalement que dans le sang de personnes présentant un risque d'accident vasculaire cérébral ou de thrombose.
Toutes les modifications mentionnées ont également été observées dans le sang de tous ceux qui n'avaient pas encore constaté d'effets secondaires suite à la vaccination.
3) Un lien statistique a pu être établi entre la fréquence des dommages vaccinaux dans les différents lots de vaccination et la qualité des vaccins ARNm utilisés.
Les vaccins ARNm entièrement nouveaux de BioNTech/Pfizer et Moderna sont introduits dans les cellules à l'aide de nanolipides. Ces lipides sont stabilisés par ce que l'on appelle un revêtement PEG. « Plus cette enveloppe PEG des nanolipides d'ARNm est stable, plus l'ARNm pénètre dans les cellules, dans lesquelles la production de protéines spike a alors lieu. »
« Et plus le vaccin y parvient facilement, plus le risque pour le vacciné de subir des dommages suite à la vaccination est élevé », expliquent les scientifiques.
Cela ne signifie pas pour autant qu'il n'y aura pas de complications dans les lots dont les nanolipides sont recouverts de PEG de moindre qualité.
Il existe « de nombreuses questions ouvertes concernant la manipulation des nanoparticules et de l'ARNm en tant que tel ; malgré cela, l'utilisation des vaccins dans le cadre d'un essai sur le terrain se fait par milliards sur des êtres humains », peut-on lire dans le rapport.
Quels sont les risques à long terme pour toutes ces personnes vaccinées ?
Après avoir cité l'artériosclérose comme première conséquence à prévoir à long terme, les auteurs résument leur hypothèse comme suit : « Les maladies auto-immunes, l'affaiblissement du système immunitaire, les processus inflammatoires, l'artériosclérose, etc. sont des maladies insidieuses qui peuvent entraîner des lésions organiques, de l'hypertension, des infarctus du myocarde, des maladies neurodégénératives et des cancers, et raccourcir l'espérance de vie.
L’apparition de maladies occulte le fait que les vaccins Covid-19 pourraient en être une cause possible. Un nombre croissant de pathologies multiples devrait être examiné pour déterminer cette cause. »
Dans son excellente recherche, le groupe de travail arrive à la conclusion suivante : « Afin d'éviter un danger concret et imminent pour la vie, l'intégrité physique et la sécurité publique, les programmes de vaccination Covid 19 doivent être immédiatement interrompus. »
Cela aurait déjà dû être fait depuis longtemps.
Ce n'est que lorsqu’un large public se réveille enfin et se lève dans son propre intérêt que ce changement de cap urgent pourra être atteint dans la société et la politique.
Vous aussi, aidez-nous de toutes vos forces et de toutes vos possibilités et diffusez toute information intéressante.
(Source avec vidéo : https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr )
Re: Les MÉFAITS de la PIQUOUSE
864- « Le COVID-19 TUAIT les TRÈS VIEUX,
le VACCIN s’OCCUPE des JEUNES… »,
explique le Professeur SELIGMANN
le VACCIN s’OCCUPE des JEUNES… »,
explique le Professeur SELIGMANN
https://gloria.tv/post/Ze6g2BRUrcjZ2CdgxJvCmXKAb
Entretien avec le Professeur Hervé Seligmann, chercheur biomédical qui a travaillé cinq ans à l’IHU de Marseille dans l’équipe de Didier Raoult, au sujet des effets secondaires du « vaccin » contre le Covid sur les jeunes.
(Source : https://www.medias-presse.info/le-covid-19-tuait-les-tres-vieux-le-vaccin-soccupe-des-jeunes-explique-le-professeur-seligmann/162847/ )
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