Recueil de belles histoires - A méditer
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Recueil de belles histoires - A méditer
Chacun porte son univers dans son coeur
Il était une fois un homme assis près d'une oasis, à l'entrée d'une ville du Moyen-Orient.
Un jeune homme s'approcha et lui demanda :
- Je ne suis jamais venu ici. Comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?
Le vieil homme lui répondit par une question :
- Comment étaient les gens de la ville d'où tu viens ?
- Égoïstes et méchants. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'étais bien content de partir.
- Tu trouveras les mêmes ici, lui répondit le vieil homme.
Un peu plus tard, un autre jeune homme s'approcha et posa la même question :
- Je viens d'arriver dans la région. Comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?
Le vieil homme répondit de même.
- Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens de la ville d'où tu viens ?
- Ils étaient bons, bienveillants, accueillants, honnêtes. J'y avais de nombreux amis et j'ai beaucoup de mal à les quitter.
- Tu trouveras les mêmes ici, lui répondit le vieil homme.
Un marchand qui faisait boire ses chameaux, avait entendu les deux conversations. Dès que le second jeune homme s'éloigna, il s'adressa au vieillard sur un ton de reproche :
- Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la question donnée par deux personnes ?
- Mon fils, dit le vieil homme, chacun porte son univers dans son cœur. D'où qu'il vienne, celui qui n'a rien trouvé de bon par le passé ne trouve rien ici non plus. Par contre, celui qui avait des amis dans l'autre ville trouvera ici aussi des amis loyaux et fidèles.
Car, vois-tu, les gens sont vis-à-vis de nous ce que nous trouvons en eux.
Il était une fois un homme assis près d'une oasis, à l'entrée d'une ville du Moyen-Orient.
Un jeune homme s'approcha et lui demanda :
- Je ne suis jamais venu ici. Comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?
Le vieil homme lui répondit par une question :
- Comment étaient les gens de la ville d'où tu viens ?
- Égoïstes et méchants. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'étais bien content de partir.
- Tu trouveras les mêmes ici, lui répondit le vieil homme.
Un peu plus tard, un autre jeune homme s'approcha et posa la même question :
- Je viens d'arriver dans la région. Comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?
Le vieil homme répondit de même.
- Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens de la ville d'où tu viens ?
- Ils étaient bons, bienveillants, accueillants, honnêtes. J'y avais de nombreux amis et j'ai beaucoup de mal à les quitter.
- Tu trouveras les mêmes ici, lui répondit le vieil homme.
Un marchand qui faisait boire ses chameaux, avait entendu les deux conversations. Dès que le second jeune homme s'éloigna, il s'adressa au vieillard sur un ton de reproche :
- Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la question donnée par deux personnes ?
- Mon fils, dit le vieil homme, chacun porte son univers dans son cœur. D'où qu'il vienne, celui qui n'a rien trouvé de bon par le passé ne trouve rien ici non plus. Par contre, celui qui avait des amis dans l'autre ville trouvera ici aussi des amis loyaux et fidèles.
Car, vois-tu, les gens sont vis-à-vis de nous ce que nous trouvons en eux.
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
- Messages : 8796
Date d'inscription : 22/09/2023
Localisation : Chez moi
J’ai appris
J’ai appris
J’ai appris avec le temps que peu importe ce qui peut arriver aujourd’hui, la vie continue et les choses iront mieux demain.
J’ai appris qu’on peut en dire long sur une personne juste de la façon dont elle réagit devant trois situations : un jour de pluie, un sac de voyage perdu et des lumières de Noël toutes mêlées.
J’ai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents, tu t’ennuieras d’eux le jour où ils ne feront plus partie de ta vie.
J’ai appris la différence entre « réussir dans la vie » et « réussir sa vie ».
J’ai appris que parfois, la vie te donne une deuxième chance.
J’ai compris que tu ne peux pas toujours avancer dans la vie avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper. Tu dois pouvoir lancer la balle à ton tour de temps à autre.
J’ai appris que lorsque je décide avec mon coeur, c’est généralement une bonne décision.
J’ai appris que lorsque je souffre, je n’ai pas à le faire payer aux autres.
J’ai appris que chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un.
Les gens aiment bien qu’on les serre dans nos bras, ou même qu’on leur donne juste une petite tape sur l’épaule.
J’ai appris que les gens finissent par oublier ce qu’on leur a dit, mais jamais ce qu’on leur a fait.
J’ai appris avec le temps que peu importe ce qui peut arriver aujourd’hui, la vie continue et les choses iront mieux demain.
J’ai appris qu’on peut en dire long sur une personne juste de la façon dont elle réagit devant trois situations : un jour de pluie, un sac de voyage perdu et des lumières de Noël toutes mêlées.
J’ai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents, tu t’ennuieras d’eux le jour où ils ne feront plus partie de ta vie.
J’ai appris la différence entre « réussir dans la vie » et « réussir sa vie ».
J’ai appris que parfois, la vie te donne une deuxième chance.
J’ai compris que tu ne peux pas toujours avancer dans la vie avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper. Tu dois pouvoir lancer la balle à ton tour de temps à autre.
J’ai appris que lorsque je décide avec mon coeur, c’est généralement une bonne décision.
J’ai appris que lorsque je souffre, je n’ai pas à le faire payer aux autres.
J’ai appris que chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un.
Les gens aiment bien qu’on les serre dans nos bras, ou même qu’on leur donne juste une petite tape sur l’épaule.
J’ai appris que les gens finissent par oublier ce qu’on leur a dit, mais jamais ce qu’on leur a fait.
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mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
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Localisation : Chez moi
Estimer sa propre valeur
Estimer sa propre valeur
Ne vous laissez jamais atteindre par les jugements des autres.
Votre valeur est bien plus grande que vous ne l'imaginez !
Une jeune femme, Bernadette, a une promotion dans son travail. Les commentaires commencent et vont bon train.
"Elle a eu le poste parce qu'elle est mignonne. Elle a dû taper dans l'oeil de la hiérarchie." " Avec le peu d'expérience qu'elle a, elle ne mérite vraiment pas ce poste." "Savez-vous qu’un jour, elle s'est trompée..." etc.
Bernadette rend visite à son père antiquaire pendant le week-end. Elle lui raconte sa promotion, son stress, les moqueries des autres, et tous ses doutes après toutes ces attaques sournoises.
"Mais pourquoi te laisses-tu atteindre par ces collègues ?" demande le père
"Ils connaissent bien le travail, ont plus d'ancienneté que moi..."
"Ecoute ma chérie, j'ai un service à te demander, et qui va te changer un peu les idées. Pourrais-tu aller au marché demain matin vendre cette théière en faïence ? Je viens de la récupérer dans une vente et j'aimerais m'en débarrasser. Mets-la en vente à 90 euros minimum s'il te plaît." "90 euros, ce n'est pas excessif, comme prix ?"
"Ecoute, compte tenu du prix que je l'ai payée, il me faut cela. Ca te fera un petit exercice de vente."
Le lendemain Bernadette passe sa matinée à essayer de vendre la théière, mais rien à faire. Quelques personnes s'y intéressent, mais aucune ne se décide pour l’achat.
Elle raconte cela à son père, qui lui dit : "Maintenant prend cette théière et visite 5 de mes confrères de la rue Notre-Dame, mais cette fois-ci, demande leur seulement ce qu'ils seraient prêts à payer, mais tu ne vends pas la théière.
Aussitôt dit aussitôt fait. Le premier antiquaire lui propose 400 euros, d'autres plus et l'un va même jusqu'à 1000 euros !!!
Bernadette n'en revient pas. Elle raconte cela à son père qui lui demande : "Pourquoi n'arrivais-tu pas à la vendre 90 euros ce matin ?"
"Parce que je me suis adressé à une clientèle de gens qui ne connaissaient pas le "Staffordshire", et ignoraient sa vraie valeur"
"Et selon toi, pourquoi mes confrères antiquaires t'ont proposé autant pour la théière ?"
"Parce qu'ils sont des professionnels. Ils ont vu tout de suite que ce pot date de 1760 et qu’il a une grande valeur."
"Bien maintenant pense à tes collègues. Pourquoi leur confies-tu le droit de juger ta propre valeur ? Sont-ils des experts ?"
"Non"
"Vois-tu ma chérie, ne te laisse jamais atteindre par les jugements de ceux qui ne sont pas des experts. Ecoute seulement les jugements des professionnels ou des experts en nature humaine. Et tu verras que ta valeur est bien plus grande que tu ne l'imagines."
Auteur inconnu
Ne vous laissez jamais atteindre par les jugements des autres.
Votre valeur est bien plus grande que vous ne l'imaginez !
Une jeune femme, Bernadette, a une promotion dans son travail. Les commentaires commencent et vont bon train.
"Elle a eu le poste parce qu'elle est mignonne. Elle a dû taper dans l'oeil de la hiérarchie." " Avec le peu d'expérience qu'elle a, elle ne mérite vraiment pas ce poste." "Savez-vous qu’un jour, elle s'est trompée..." etc.
Bernadette rend visite à son père antiquaire pendant le week-end. Elle lui raconte sa promotion, son stress, les moqueries des autres, et tous ses doutes après toutes ces attaques sournoises.
"Mais pourquoi te laisses-tu atteindre par ces collègues ?" demande le père
"Ils connaissent bien le travail, ont plus d'ancienneté que moi..."
"Ecoute ma chérie, j'ai un service à te demander, et qui va te changer un peu les idées. Pourrais-tu aller au marché demain matin vendre cette théière en faïence ? Je viens de la récupérer dans une vente et j'aimerais m'en débarrasser. Mets-la en vente à 90 euros minimum s'il te plaît." "90 euros, ce n'est pas excessif, comme prix ?"
"Ecoute, compte tenu du prix que je l'ai payée, il me faut cela. Ca te fera un petit exercice de vente."
Le lendemain Bernadette passe sa matinée à essayer de vendre la théière, mais rien à faire. Quelques personnes s'y intéressent, mais aucune ne se décide pour l’achat.
Elle raconte cela à son père, qui lui dit : "Maintenant prend cette théière et visite 5 de mes confrères de la rue Notre-Dame, mais cette fois-ci, demande leur seulement ce qu'ils seraient prêts à payer, mais tu ne vends pas la théière.
Aussitôt dit aussitôt fait. Le premier antiquaire lui propose 400 euros, d'autres plus et l'un va même jusqu'à 1000 euros !!!
Bernadette n'en revient pas. Elle raconte cela à son père qui lui demande : "Pourquoi n'arrivais-tu pas à la vendre 90 euros ce matin ?"
"Parce que je me suis adressé à une clientèle de gens qui ne connaissaient pas le "Staffordshire", et ignoraient sa vraie valeur"
"Et selon toi, pourquoi mes confrères antiquaires t'ont proposé autant pour la théière ?"
"Parce qu'ils sont des professionnels. Ils ont vu tout de suite que ce pot date de 1760 et qu’il a une grande valeur."
"Bien maintenant pense à tes collègues. Pourquoi leur confies-tu le droit de juger ta propre valeur ? Sont-ils des experts ?"
"Non"
"Vois-tu ma chérie, ne te laisse jamais atteindre par les jugements de ceux qui ne sont pas des experts. Ecoute seulement les jugements des professionnels ou des experts en nature humaine. Et tu verras que ta valeur est bien plus grande que tu ne l'imagines."
Auteur inconnu
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
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Date d'inscription : 22/09/2023
Localisation : Chez moi
Il a besoin de tous ses outils
Il a besoin de tous ses outils
Il y avait une fois...Il y a bien longtemps de cela, dans un petit village nordique, un atelier de charpentier.
Un jour que le Maître était absent, les outils se réunissent en grand conseil sur l’établi. Les conciliabules furent longs et animés, ils furent même véhéments. Il s’agissait d’exclure de la communauté des outils un certain nombre de membres.
L’un prit la parole : « Il nous faut, dit-il, exclure notre sœur la scie car elle mord et elle grince des dents. Elle a le caractère le plus grincheux du monde ».
Un autre dit : « Nous ne pouvons conserver parmi nous notre frère le rabot qui a un caractère tranchant et qui épluche tout ce qu’il touche ».
« Quant au frère marteau, dit un troisième, je lui trouve un caractère assommant et tapageur. Il cogne toujours et nous tape sur les nerfs. Excluons-le ».
« Et les clous ? Peut-on vivre avec des gens qui ont un caractère aussi pointu ? Qu’ils s’en aillent ! Et qu’on chasse le papier de verre dont il semble que la raison d’être dans cet atelier soit de toujours froisser ».
Ainsi discouraient en grand tumulte les ouvriers du charpentier. Tout le monde parlait à la fois. L’histoire ne dit pas si c’était le marteau qui accusait la scie, et le rabot la lime, mais il est probable que c’était ainsi car, à la fin de la séance, tout le monde était exclu. La réunion bruyante prit fin subitement par l’entrée du charpentier dans l’atelier. On se tut lorsqu’on le vit s’approcher de l’établi.
Il saisit une planche et la scia avec la scie qui grince, la rabota avec le frère rabot au ton tranchant qui épluche tout ce qu’il touche. Le frère ciseau qui blesse cruellement, notre sœur la râpe au langage rude, le frère papier de verre qui froisse ... tous entrèrent successivement en action. Le charpentier prit alors nos frères les clous au caractère pointu et le marteau qui cogne et fait du tapage. Il se servit de tous ses outils au méchant caractère pour fabriquer un berceau, pour accueillir l’enfant à naître, pour accueillir la vie.
Auteur inconnu
Il y avait une fois...Il y a bien longtemps de cela, dans un petit village nordique, un atelier de charpentier.
Un jour que le Maître était absent, les outils se réunissent en grand conseil sur l’établi. Les conciliabules furent longs et animés, ils furent même véhéments. Il s’agissait d’exclure de la communauté des outils un certain nombre de membres.
L’un prit la parole : « Il nous faut, dit-il, exclure notre sœur la scie car elle mord et elle grince des dents. Elle a le caractère le plus grincheux du monde ».
Un autre dit : « Nous ne pouvons conserver parmi nous notre frère le rabot qui a un caractère tranchant et qui épluche tout ce qu’il touche ».
« Quant au frère marteau, dit un troisième, je lui trouve un caractère assommant et tapageur. Il cogne toujours et nous tape sur les nerfs. Excluons-le ».
« Et les clous ? Peut-on vivre avec des gens qui ont un caractère aussi pointu ? Qu’ils s’en aillent ! Et qu’on chasse le papier de verre dont il semble que la raison d’être dans cet atelier soit de toujours froisser ».
Ainsi discouraient en grand tumulte les ouvriers du charpentier. Tout le monde parlait à la fois. L’histoire ne dit pas si c’était le marteau qui accusait la scie, et le rabot la lime, mais il est probable que c’était ainsi car, à la fin de la séance, tout le monde était exclu. La réunion bruyante prit fin subitement par l’entrée du charpentier dans l’atelier. On se tut lorsqu’on le vit s’approcher de l’établi.
Il saisit une planche et la scia avec la scie qui grince, la rabota avec le frère rabot au ton tranchant qui épluche tout ce qu’il touche. Le frère ciseau qui blesse cruellement, notre sœur la râpe au langage rude, le frère papier de verre qui froisse ... tous entrèrent successivement en action. Le charpentier prit alors nos frères les clous au caractère pointu et le marteau qui cogne et fait du tapage. Il se servit de tous ses outils au méchant caractère pour fabriquer un berceau, pour accueillir l’enfant à naître, pour accueillir la vie.
Auteur inconnu
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Elena de Chanteplume- Sage
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Cadeau d´insultes.
Cadeau d´insultes.
Près de Tokyo vivait un grand samouraï, déjà âgé, qui se consacrait désormais à enseigner le bouddhisme Zen aux jeunes. Malgré son âge, on murmurait qu’il était encore capable d’affronter n’importe quel adversaire.
Un jour arriva un guerrier réputé pour son manque total de scrupules. Il était célèbre pour sa technique de provocation : il attendait que son adversaire fasse le premier mouvement et, doué d’une intelligence rare pour profiter des erreurs commises, il contre-attaquait avec la rapidité de l’éclair.
Ce jeune et impatient guerrier n’avait jamais perdu un combat. Comme il connaissait la réputation du samouraï, il était venu pour le vaincre et accroître sa gloire.
Tous les étudiants étaient opposés à cette idée, mais le vieux Maître accepta le défi.
Ils se réunirent tous sur une place de la ville et le jeune guerrier commença à insulter le vieux Maître. Il lui lança des pierres, lui cracha au visage, cria toutes les offenses connues, y compris à ses ancêtres.
Pendant des heures, il fit tout pour le provoquer, mais le vieux resta impassible. A la tombée de la nuit, se sentant épuisé et humilié, l’impétueux guerrier se retira.
Dépités d’avoir vu le Maître accepter autant d’insultes et de provocations, les élèves questionnèrent le Maître :
- Comment avez-vous pu supporter une telle indignité ? Pourquoi ne vous êtes-vous pas servi de votre épée, même sachant que vous alliez perdre le combat, au lieu d’exhiber votre lâcheté devant nous tous ?
- Si quelqu’un vous tend un cadeau et que vous ne l’acceptez pas, à qui appartient le cadeau ? demanda le samouraï.
- A celui qui a essayé de le donner, répondit un des disciples.
- Cela vaut aussi pour l’envie, la rage et les insultes, dit le Maître. Lorsqu’elles ne sont pas acceptées, elles appartiennent toujours à celui qui les porte dans son cœur.
Près de Tokyo vivait un grand samouraï, déjà âgé, qui se consacrait désormais à enseigner le bouddhisme Zen aux jeunes. Malgré son âge, on murmurait qu’il était encore capable d’affronter n’importe quel adversaire.
Un jour arriva un guerrier réputé pour son manque total de scrupules. Il était célèbre pour sa technique de provocation : il attendait que son adversaire fasse le premier mouvement et, doué d’une intelligence rare pour profiter des erreurs commises, il contre-attaquait avec la rapidité de l’éclair.
Ce jeune et impatient guerrier n’avait jamais perdu un combat. Comme il connaissait la réputation du samouraï, il était venu pour le vaincre et accroître sa gloire.
Tous les étudiants étaient opposés à cette idée, mais le vieux Maître accepta le défi.
Ils se réunirent tous sur une place de la ville et le jeune guerrier commença à insulter le vieux Maître. Il lui lança des pierres, lui cracha au visage, cria toutes les offenses connues, y compris à ses ancêtres.
Pendant des heures, il fit tout pour le provoquer, mais le vieux resta impassible. A la tombée de la nuit, se sentant épuisé et humilié, l’impétueux guerrier se retira.
Dépités d’avoir vu le Maître accepter autant d’insultes et de provocations, les élèves questionnèrent le Maître :
- Comment avez-vous pu supporter une telle indignité ? Pourquoi ne vous êtes-vous pas servi de votre épée, même sachant que vous alliez perdre le combat, au lieu d’exhiber votre lâcheté devant nous tous ?
- Si quelqu’un vous tend un cadeau et que vous ne l’acceptez pas, à qui appartient le cadeau ? demanda le samouraï.
- A celui qui a essayé de le donner, répondit un des disciples.
- Cela vaut aussi pour l’envie, la rage et les insultes, dit le Maître. Lorsqu’elles ne sont pas acceptées, elles appartiennent toujours à celui qui les porte dans son cœur.
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Elena de Chanteplume- Sage
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Localisation : Chez moi
J'ai pardonné
J'ai pardonné
J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables.
J'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi.
J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger. J'ai ri quand il ne fallait pas.
Je me suis fait des amis éternels.
J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé.
J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer.
J'ai crié et sauté de tant de joies, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois !
J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos.
J'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire.
J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)... Mais j'ai survécu ! Et je vis encore !
Et la vie, je ne m'en passe pas...
Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer. Vis !!!
Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant, parce que le monde appartient à celui qui ose et que LA VIE C'EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante !
Charlie Chaplin
J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables.
J'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi.
J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger. J'ai ri quand il ne fallait pas.
Je me suis fait des amis éternels.
J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé.
J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer.
J'ai crié et sauté de tant de joies, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois !
J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos.
J'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire.
J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)... Mais j'ai survécu ! Et je vis encore !
Et la vie, je ne m'en passe pas...
Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer. Vis !!!
Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant, parce que le monde appartient à celui qui ose et que LA VIE C'EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante !
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mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
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Date d'inscription : 22/09/2023
Localisation : Chez moi
Espérance du monde
Espérance du monde
Aujourd'hui, dans la nuit du monde et dans l'espérance, j'affirme ma foi dans l'avenir de l'humanité.
Je refuse de croire que les circonstances actuelles rendent les hommes incapables de faire une terre meilleure.
Je refuse de partager l'avis de ceux qui prétendent l'homme à ce point captif de la nuit que l'aurore de la paix et de la fraternité ne pourra jamais devenir une réalité.
Je crois que la vérité et l'amour, sans conditions, auront le dernier mot effectivement.
La vie, même vaincue provisoirement, demeure toujours plus forte que la mort.
Je crois fermement qu'il reste l'espoir d'un matin radieux, je crois que la bonté pacifique deviendra un jour la loi.
Chaque homme pourra s'asseoir sous son figuier, dans sa vigne, et plus personne n'aura plus de raison d'avoir peur.
Martin Luther King
Aujourd'hui, dans la nuit du monde et dans l'espérance, j'affirme ma foi dans l'avenir de l'humanité.
Je refuse de croire que les circonstances actuelles rendent les hommes incapables de faire une terre meilleure.
Je refuse de partager l'avis de ceux qui prétendent l'homme à ce point captif de la nuit que l'aurore de la paix et de la fraternité ne pourra jamais devenir une réalité.
Je crois que la vérité et l'amour, sans conditions, auront le dernier mot effectivement.
La vie, même vaincue provisoirement, demeure toujours plus forte que la mort.
Je crois fermement qu'il reste l'espoir d'un matin radieux, je crois que la bonté pacifique deviendra un jour la loi.
Chaque homme pourra s'asseoir sous son figuier, dans sa vigne, et plus personne n'aura plus de raison d'avoir peur.
Martin Luther King
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
Elena de Chanteplume- Sage
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Date d'inscription : 22/09/2023
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Hier, aujourd'hui et demain
Hier, aujourd'hui et demain
Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous faudrait connaître ni crainte, ni appréhension.
Le premier jour, c'est hier, qui porte le fardeau de ses soucis, de ses erreurs, de ses fautes, de ses bévues, de ses souffrances et de ses chagrins. Hier nous a échappé à tout jamais. Tout l'or du monde ne pourrait le faire renaître. Nous ne pouvons défaire les actes accomplis, les paroles prononcées. Hier est un jour révolu.
L'autre jour qu'il convient de mettre à l'abri des soucis, c'est demain, plein de grandes promesses, de piètres résultats, de malheurs possibles et de fardeaux. Demain échappe à notre emprise. Le soleil se lèvera inexorablement dans la splendeur ou derrière un voile de nuages. Jusqu'à son lever, nous ne pouvons miser sur rien, puisque demain n'a pas vu le jour.
Il ne nous reste donc qu'aujourd'hui. Tous nous pouvons livrer bataille pendant une petite journée. Nous ne faiblissons et ne chavirons que si le poids d'hier et de demain - ces deux terribles éternités - s'ajoutent aux inquiétudes d'aujourd'hui.
Ce ne sont pas les expériences d'aujourd'hui qui nous désespèrent, c'est l'amertume du remords de la veille et la crainte de demain.
À CHAQUE JOUR SUFFIT SA PEINE !
(Anonyme)
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Elena de Chanteplume- Sage
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Chaque enfant apprend par l'exemple
Chaque enfant apprend par l'exemple
S'il vit entouré de critiques,...
il apprend à blâmer.
S'il vit entouré d'hostilité,...
il apprend à être agressif.
S'il vit entouré de moquerie,...
il apprend à être timide.
S'il vit entouré de honte,...
il apprend à se sentir coupable.
S'il vit entouré de tolérance,...
il apprend à être patient.
S'il vit entouré d'encouragement,...
il apprend à agir.
S'il vit entouré d'éloges,...
il apprend à complimenter.
S'il vit entouré de probité,...
il apprend à être juste.
S'il vit entouré de sécurité,...
il apprend à faire confiance.
S'il vit entouré d'approbation,...
il apprend à s'accepter.
S'il vit entouré d'amitié,...
il apprend à aimer la vie.
Dorothy LAW NOLTE (1924-2005)
S'il vit entouré de critiques,...
il apprend à blâmer.
S'il vit entouré d'hostilité,...
il apprend à être agressif.
S'il vit entouré de moquerie,...
il apprend à être timide.
S'il vit entouré de honte,...
il apprend à se sentir coupable.
S'il vit entouré de tolérance,...
il apprend à être patient.
S'il vit entouré d'encouragement,...
il apprend à agir.
S'il vit entouré d'éloges,...
il apprend à complimenter.
S'il vit entouré de probité,...
il apprend à être juste.
S'il vit entouré de sécurité,...
il apprend à faire confiance.
S'il vit entouré d'approbation,...
il apprend à s'accepter.
S'il vit entouré d'amitié,...
il apprend à aimer la vie.
Dorothy LAW NOLTE (1924-2005)
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Elena de Chanteplume- Sage
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Combien coûte un miracle?
Combien coûte un miracle?
Tess avait huit ans quand elle entendit sa mère et son père parler de son petit frère, Andrew. Tout ce qu'elle savait c'était qu'il était très malade et ils n'avaient plus un sous. Ils déménageraient dans un mois dans un tout petit appartement parce que son père n'avait plus d'argent pour les factures du médecin et de la maison. Seulement une chirurgie très coûteuse pourrait sauver son petit frère maintenant et il n'y avait personne pour leur prêter l'argent. Elle entendit son père chuchoter à sa mère qui était en larme et désespérée, "seulement un miracle peut le sauver maintenant." Tess alla dans sa chambre et sortit un pot en verre d'une de ses cachettes.
Elle renversa tous les sous sur le plancher et les compta soigneusement. À trois reprises. Le total devait être exact. Pas de place pour une erreur. Soigneusement elle replaça les pièces de monnaie dans son pot et ferma le couvercle, elle sortit par la porte arrière et se rendit à la pharmacie.
Une grande enseigne rouge d'un chef indien au-dessus de la porte. Elle attendit patiemment le pharmacien pour avoir toute son attention mais il était trop occupé. Tess croisa ses pieds de façon à faire du bruit. Rien. Elle s'éclaircit la gorge avec le bruit le plus répugnant qu'elle pouvait faire. Pas bon. Enfin elle prit 25 cents de son pot et l'a cogné sur le comptoir de verre. Cela avait marché! "Et que veux-tu?" demanda le pharmacien, "je parle à mon frère de Chicago que je n'ai pas vu depuis très longtemps," lui dit-il sans attendre une réponse à sa question. "Bien, je veux vous parler au sujet de mon frère," répondit Tess avec le même ton. "Il est vraiment, vraiment malade... et je veux acheter un miracle." "Je te demande pardon?" dit le pharmacien, "son nom est Andrew et il a quelque chose de mauvais qui grossit à l'intérieur de sa tête et mon papa dit que seulement un miracle peut le sauver maintenant, alors combien coûte un miracle?" "Nous ne vendons pas de miracle ici petite fille. 'Je suis désolé mais je ne peux pas t'aider " dit le pharmacien plus doucement. "Écoutez, j'ai l'argent pour payer.
Si ce n'est pas assez, je trouverai le reste, dites-moi juste combien il coûte." Le frère du pharmacien était un homme grand et bien habillé. Il se pencha vers la petite fille et lui demanda, "quel genre de miracle ton frère a t-il besoin?" "Je ne sais pas," répondu Tess. "Je sais juste qu'il est vraiment malade et maman dit qu'il a besoin d'une opération. Mais mon papa ne peut pas payer, alors je veux utiliser mon argent ". "Combien tu as?" demanda l'homme de Chicago, "un dollar et onze cents," répondit Tess tout bas, "et c'est tout l'argent que j'ai, mais je peux en obtenir encore plus s'il le faut. "Bien, quelle coïncidence," a sourit l'homme. "Un dollar et onze cents, le prix exact d'un miracle pour les petits frères." Il prit l'argent dans une main et avec l'autre main il saisit sa mitaine et dit "emmène-moi où tu demeure. Je veux voir ton frère et rencontrer tes parents. Voyons si j'ai le genre de miracle dont tu as besoin."
Cet homme bien habillé était le DR Carlton Armstrong, un chirurgien, se spécialisant dans la neuro-chirurgie. L'opération a été faite sans coûter un sous et rapidement Andrew était de retour à la maison et se portait bien. Ses parents parlaient de la série d'événements qui les avaient menés au bout de ce chemin, "cette chirurgie", chuchota sa mère, " fût un vrai miracle. Je me demande combien il aurait coûté?" Tess a sourit. Elle savait exactement combien le miracle avait coûté... un dollar et onze cents... plus la foi d'un enfant. Car les miracles ne se produisent que pour ceux qui y croient…
Tess avait huit ans quand elle entendit sa mère et son père parler de son petit frère, Andrew. Tout ce qu'elle savait c'était qu'il était très malade et ils n'avaient plus un sous. Ils déménageraient dans un mois dans un tout petit appartement parce que son père n'avait plus d'argent pour les factures du médecin et de la maison. Seulement une chirurgie très coûteuse pourrait sauver son petit frère maintenant et il n'y avait personne pour leur prêter l'argent. Elle entendit son père chuchoter à sa mère qui était en larme et désespérée, "seulement un miracle peut le sauver maintenant." Tess alla dans sa chambre et sortit un pot en verre d'une de ses cachettes.
Elle renversa tous les sous sur le plancher et les compta soigneusement. À trois reprises. Le total devait être exact. Pas de place pour une erreur. Soigneusement elle replaça les pièces de monnaie dans son pot et ferma le couvercle, elle sortit par la porte arrière et se rendit à la pharmacie.
Une grande enseigne rouge d'un chef indien au-dessus de la porte. Elle attendit patiemment le pharmacien pour avoir toute son attention mais il était trop occupé. Tess croisa ses pieds de façon à faire du bruit. Rien. Elle s'éclaircit la gorge avec le bruit le plus répugnant qu'elle pouvait faire. Pas bon. Enfin elle prit 25 cents de son pot et l'a cogné sur le comptoir de verre. Cela avait marché! "Et que veux-tu?" demanda le pharmacien, "je parle à mon frère de Chicago que je n'ai pas vu depuis très longtemps," lui dit-il sans attendre une réponse à sa question. "Bien, je veux vous parler au sujet de mon frère," répondit Tess avec le même ton. "Il est vraiment, vraiment malade... et je veux acheter un miracle." "Je te demande pardon?" dit le pharmacien, "son nom est Andrew et il a quelque chose de mauvais qui grossit à l'intérieur de sa tête et mon papa dit que seulement un miracle peut le sauver maintenant, alors combien coûte un miracle?" "Nous ne vendons pas de miracle ici petite fille. 'Je suis désolé mais je ne peux pas t'aider " dit le pharmacien plus doucement. "Écoutez, j'ai l'argent pour payer.
Si ce n'est pas assez, je trouverai le reste, dites-moi juste combien il coûte." Le frère du pharmacien était un homme grand et bien habillé. Il se pencha vers la petite fille et lui demanda, "quel genre de miracle ton frère a t-il besoin?" "Je ne sais pas," répondu Tess. "Je sais juste qu'il est vraiment malade et maman dit qu'il a besoin d'une opération. Mais mon papa ne peut pas payer, alors je veux utiliser mon argent ". "Combien tu as?" demanda l'homme de Chicago, "un dollar et onze cents," répondit Tess tout bas, "et c'est tout l'argent que j'ai, mais je peux en obtenir encore plus s'il le faut. "Bien, quelle coïncidence," a sourit l'homme. "Un dollar et onze cents, le prix exact d'un miracle pour les petits frères." Il prit l'argent dans une main et avec l'autre main il saisit sa mitaine et dit "emmène-moi où tu demeure. Je veux voir ton frère et rencontrer tes parents. Voyons si j'ai le genre de miracle dont tu as besoin."
Cet homme bien habillé était le DR Carlton Armstrong, un chirurgien, se spécialisant dans la neuro-chirurgie. L'opération a été faite sans coûter un sous et rapidement Andrew était de retour à la maison et se portait bien. Ses parents parlaient de la série d'événements qui les avaient menés au bout de ce chemin, "cette chirurgie", chuchota sa mère, " fût un vrai miracle. Je me demande combien il aurait coûté?" Tess a sourit. Elle savait exactement combien le miracle avait coûté... un dollar et onze cents... plus la foi d'un enfant. Car les miracles ne se produisent que pour ceux qui y croient…
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
- Messages : 8796
Date d'inscription : 22/09/2023
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La légende du pot félé
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Conte chinois
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mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Il est temps
Il est temps
Il est temps de faire la paix.
Autour de soi et sans délai.
Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur,
Ils sont au seuil de votre coeur.
J'écoute quelquefois le soir
Des nouvelles à la télévision.
On y voit haine et désespoir,
Détruire notre monde sans raison.
On nous annonce au fil des jours
Que femmes et enfants sont agressés
Et qu'aussi certains vautours,
Vont jusqu'à tuer pour dominer
On a beau se parler d'amour,
De partager son amitié.
Qu'aussitôt dans le détour,
La rose sort ses épines acérées.
Pourquoi sommes-nous si violents ?
Pourquoi sommes-nous insouciants ?
Pourquoi sommes-nous si impatients ?
Pourquoi sommes-nous intolérants ?
Il est temps de faire la paix.
Autour de soi et sans délai.
Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur,
Ils sont au seuil de votre coeur.
Roger Kemp
Il est temps de faire la paix.
Autour de soi et sans délai.
Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur,
Ils sont au seuil de votre coeur.
J'écoute quelquefois le soir
Des nouvelles à la télévision.
On y voit haine et désespoir,
Détruire notre monde sans raison.
On nous annonce au fil des jours
Que femmes et enfants sont agressés
Et qu'aussi certains vautours,
Vont jusqu'à tuer pour dominer
On a beau se parler d'amour,
De partager son amitié.
Qu'aussitôt dans le détour,
La rose sort ses épines acérées.
Pourquoi sommes-nous si violents ?
Pourquoi sommes-nous insouciants ?
Pourquoi sommes-nous si impatients ?
Pourquoi sommes-nous intolérants ?
Il est temps de faire la paix.
Autour de soi et sans délai.
Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur,
Ils sont au seuil de votre coeur.
Roger Kemp
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mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
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Re: Recueil de belles histoires - A méditer
Merci Elena pour vos textes, toujours intéressants et beaux, tout comme la façon que vous avez de toujours vous renouveler.
Ah, comme cela nous change de nos platitudes politiques habituelles ! Vous amenez de l'air frais à ce forum, qui en a bien besoin.
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Recueil de belles histoires - A méditer
Jean-Louis, ça fait plaisir de voir quelqu´un qui apprécie.Jean-Louis de Toqueville a écrit:Merci Elena pour vos textes, toujours intéressants et beaux, tout comme la façon que vous avez de toujours vous renouveler.
Ah, comme cela nous change de nos platitudes politiques habituelles ! Vous amenez de l'air frais à ce forum, qui en a bien besoin.
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Emincés de " pourquoi vivre ? " en 50 phrases
Emincés de " pourquoi vivre ? " en 50 phrases
1. Vivre pour qu'un jour de grand soleil, tranquillement assis et l'esprit reposé, pouvoir admirer une fleur, un papillon...
2. Vivre pour qu'un jour de grand soleil, tranquillement assis et l'esprit reposé, pouvoir boire une bière en terrasse, un jus de fruit ou un café...
3. Vivre pour sourire à une personne que l'on aime...
4. Vivre pour essayer d'être heureux et de donner l'espoir...
5. Vivre parce que même s'il y a parfois la pluie et le mauvais temps, le soleil est toujours là...
6. Vivre parce que des personnes ont besoin de nous, de notre chaleur, de notre soutien, de nos paroles, de notre présence...
7. Vivre pour un jour se bronzer à la mer ou se promener sur les sentiers d'une montagne...
8. Vivre pour un jour connaître l'amour...
9. Vivre pour un jour jouer au foot-ball entre amis ou simplement taper dans un ballon jouant avec sa progéniture..
10. Vivre pour connaître un jour les ' joies du mariage ' sans peut-être pour autant aller jusqu'au divorce...
11. Vivre pour faire des efforts parce que vivre, bien souvent, demande des efforts encore et toujours...
12. Vivre pour surmonter ses peines et aller de l'avant...
13. Vivre pour progresser sur soi-même, prendre de ' l'arôme avec le temps '.
14. Vivre pour essayer de faire de son mieux même si le résultat n'est pas toujours à la hauteur de ses espérances...
15. Vivre pour se déplacer sur une ligne du temps et, de temps en temps, se dire : ' je n'ai pas trop mal mené ma barque...
16. Vivre pour gagner en humilité.
17. Vivre pour essayer de trouver des solutions, des arrangements, des issues, à tout ce qui nous pose des problèmes et des difficultés.
18. Vivre pour, entre autre aussi, faire progresser le bien sur la terre et éviter si possible d'apporter de la souffrance.
19. Vivre et faire bouger des choses...
20. Vivre pour un jour partager un bon repas en famille ou entre amis.
21. Vivre pour tous les petits plaisirs de la vie, prendre un bon café, une bonne douche, une pause, un repas, discuter, écouter une belle chanson...
22. Vivre pour sentir rentrer l'air dans ses poumons et se dire ' je vis '.
23. Vivre pour grandir.
24. Vivre pour se lever, travailler, avancer, gagner sa vie...
25. Vivre pour un soir regarder un coucher de soleil, vivre pour regarder les étoiles.
26. Vivre pour apporter de l'aide à autrui, vivre pour sourire à un coeur au désespoir.
27. Vivre pour un jour mourir, vivre parce que des personnes ont souhaité que l'on vive heureux.
28. Vivre pour un jour danser et rire...
29. Vivre pour découvrir, pour apprendre, pour créer, pour innover, pour expérimenter...
30. Vivre pour s'amuser, se distraire, vivre pour voyager ...
31. Vivre pour se dépasser, pour maîtriser, vivre pour le sport...
32. Vivre pour faire des choses, vivre pour gagner des défis.
33. Vivre pour embellir sa maison, son quotidien, son look, son apparence...
34. Vivre pour séduire, vivre pour ' avoir '...
35. Vivre pour admirer, vivre pour contempler, vivre pour s'émerveiller...
36. Vivre pour sentir l'odeur de l'herbe coupée ou l'odeur de l'air après l'orage...
37. Vivre pour avoir le plaisir de se réchauffer quand on a eu froid...
38. Vivre pour partager des idées, des émotions voire des sentiments avec des gens, vivre pour l'amitié.
39. Vivre pour organiser, prévoir, planifier, obtenir des résultats, vivre pour ' avancer dans les herbes hautes '...
40. Vivre pour améliorer ses compétences, progresser et aussi s'améliorer humainement.
41. Vivre et essayer de rêver, et se dire que peut-être un jour ses rêves pourraient se réaliser.
42. Vivre pour avoir de nouveaux désirs et de nouvelles envies...
43. Vivre pour voir le sourire des personnes que l'on aime, donner à ses enfants, voir sa famille, ses proches, ses amis, le plus de monde heureux...
44. Vivre pour prendre soin du bonheur fragile.
45. Vivre et essayer de combattre l'injustice, la haine, l'oppression, les inégalités...
46. Vivre et essayer d'apporter un peu de chaleur aux gens.
47. Vivre pour plaisanter, apporter de la bonne humeur.
48. Vivre et essayer de ne pas juger.
49. Vivre et accomplir son destin, si l'on peut dire les choses ainsi...vivre pour des petits moments de joie et de plaisirs...petits moments épars mais qui peuvent redonner tout son sens à la vie...
50. Vivre pour essayer de développer son sens de l'amour et essayer d'être heureux...
François Gagol
1. Vivre pour qu'un jour de grand soleil, tranquillement assis et l'esprit reposé, pouvoir admirer une fleur, un papillon...
2. Vivre pour qu'un jour de grand soleil, tranquillement assis et l'esprit reposé, pouvoir boire une bière en terrasse, un jus de fruit ou un café...
3. Vivre pour sourire à une personne que l'on aime...
4. Vivre pour essayer d'être heureux et de donner l'espoir...
5. Vivre parce que même s'il y a parfois la pluie et le mauvais temps, le soleil est toujours là...
6. Vivre parce que des personnes ont besoin de nous, de notre chaleur, de notre soutien, de nos paroles, de notre présence...
7. Vivre pour un jour se bronzer à la mer ou se promener sur les sentiers d'une montagne...
8. Vivre pour un jour connaître l'amour...
9. Vivre pour un jour jouer au foot-ball entre amis ou simplement taper dans un ballon jouant avec sa progéniture..
10. Vivre pour connaître un jour les ' joies du mariage ' sans peut-être pour autant aller jusqu'au divorce...
11. Vivre pour faire des efforts parce que vivre, bien souvent, demande des efforts encore et toujours...
12. Vivre pour surmonter ses peines et aller de l'avant...
13. Vivre pour progresser sur soi-même, prendre de ' l'arôme avec le temps '.
14. Vivre pour essayer de faire de son mieux même si le résultat n'est pas toujours à la hauteur de ses espérances...
15. Vivre pour se déplacer sur une ligne du temps et, de temps en temps, se dire : ' je n'ai pas trop mal mené ma barque...
16. Vivre pour gagner en humilité.
17. Vivre pour essayer de trouver des solutions, des arrangements, des issues, à tout ce qui nous pose des problèmes et des difficultés.
18. Vivre pour, entre autre aussi, faire progresser le bien sur la terre et éviter si possible d'apporter de la souffrance.
19. Vivre et faire bouger des choses...
20. Vivre pour un jour partager un bon repas en famille ou entre amis.
21. Vivre pour tous les petits plaisirs de la vie, prendre un bon café, une bonne douche, une pause, un repas, discuter, écouter une belle chanson...
22. Vivre pour sentir rentrer l'air dans ses poumons et se dire ' je vis '.
23. Vivre pour grandir.
24. Vivre pour se lever, travailler, avancer, gagner sa vie...
25. Vivre pour un soir regarder un coucher de soleil, vivre pour regarder les étoiles.
26. Vivre pour apporter de l'aide à autrui, vivre pour sourire à un coeur au désespoir.
27. Vivre pour un jour mourir, vivre parce que des personnes ont souhaité que l'on vive heureux.
28. Vivre pour un jour danser et rire...
29. Vivre pour découvrir, pour apprendre, pour créer, pour innover, pour expérimenter...
30. Vivre pour s'amuser, se distraire, vivre pour voyager ...
31. Vivre pour se dépasser, pour maîtriser, vivre pour le sport...
32. Vivre pour faire des choses, vivre pour gagner des défis.
33. Vivre pour embellir sa maison, son quotidien, son look, son apparence...
34. Vivre pour séduire, vivre pour ' avoir '...
35. Vivre pour admirer, vivre pour contempler, vivre pour s'émerveiller...
36. Vivre pour sentir l'odeur de l'herbe coupée ou l'odeur de l'air après l'orage...
37. Vivre pour avoir le plaisir de se réchauffer quand on a eu froid...
38. Vivre pour partager des idées, des émotions voire des sentiments avec des gens, vivre pour l'amitié.
39. Vivre pour organiser, prévoir, planifier, obtenir des résultats, vivre pour ' avancer dans les herbes hautes '...
40. Vivre pour améliorer ses compétences, progresser et aussi s'améliorer humainement.
41. Vivre et essayer de rêver, et se dire que peut-être un jour ses rêves pourraient se réaliser.
42. Vivre pour avoir de nouveaux désirs et de nouvelles envies...
43. Vivre pour voir le sourire des personnes que l'on aime, donner à ses enfants, voir sa famille, ses proches, ses amis, le plus de monde heureux...
44. Vivre pour prendre soin du bonheur fragile.
45. Vivre et essayer de combattre l'injustice, la haine, l'oppression, les inégalités...
46. Vivre et essayer d'apporter un peu de chaleur aux gens.
47. Vivre pour plaisanter, apporter de la bonne humeur.
48. Vivre et essayer de ne pas juger.
49. Vivre et accomplir son destin, si l'on peut dire les choses ainsi...vivre pour des petits moments de joie et de plaisirs...petits moments épars mais qui peuvent redonner tout son sens à la vie...
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
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Re: Recueil de belles histoires - A méditer
Merci Elena !
Quel contraste saisissant avec les mots, les rudesses et autres quolibets habituels que l'on entend ici tous les jours.
Votre élégance scripturale n'a d'égale que la bonté de vos propos.
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Je continuerai...
Je continuerai...
Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir.
Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine .
Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.
Je continuerai à parler de paix, même au milieu d'une guerre.
Je continuerai à illuminer, même au milieu de l'obscurité.
Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte.
Et je continuerai à crier, même si les autres se taisent.
Et je dessinerai des sourires sur des visages en larmes .
Et j'apporterai le soulagement, quand on verra la douleur.
Et j'offrirai des motifs de joie là où il n'y a que tristesse .
J'inviterai à marcher celui qui a décidé de s'arrêter..
Et je tendrai les bras à ceux qui se sentent épuisés.
Car au milieu de la désolation, il y aura toujours un enfant qui nous regardera, plein d'espoir, attendant quelque chose de notre part et même si nous sommes au mileu de la tourmente, le soleil surgira toujours de quelque part et au milieu du désert poussera une plante.
Il y aura toujours un oiseau qui chantera pour nous, un enfant qui nous sourira et un papillon qui nous fera cadeau de sa beauté.
Mais... si un jour tu vois que je ne marche pas, que je ne souris pas ou que je me tais, alors approche-toi seulement de moi et donne-moi un baiser, tiens-moi dans tes bras ou offre-moi un sourire.
Ce sera suffisant, car j'aurai sûrement oublié que la vie m'a accablé et m'a surpris pendant un moment. Seulement un geste de ta part me fera retourner à mon chemin
Ne l'oublie jamais.....
(L´abbé Pierre)
Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir.
Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine .
Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.
Je continuerai à parler de paix, même au milieu d'une guerre.
Je continuerai à illuminer, même au milieu de l'obscurité.
Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte.
Et je continuerai à crier, même si les autres se taisent.
Et je dessinerai des sourires sur des visages en larmes .
Et j'apporterai le soulagement, quand on verra la douleur.
Et j'offrirai des motifs de joie là où il n'y a que tristesse .
J'inviterai à marcher celui qui a décidé de s'arrêter..
Et je tendrai les bras à ceux qui se sentent épuisés.
Car au milieu de la désolation, il y aura toujours un enfant qui nous regardera, plein d'espoir, attendant quelque chose de notre part et même si nous sommes au mileu de la tourmente, le soleil surgira toujours de quelque part et au milieu du désert poussera une plante.
Il y aura toujours un oiseau qui chantera pour nous, un enfant qui nous sourira et un papillon qui nous fera cadeau de sa beauté.
Mais... si un jour tu vois que je ne marche pas, que je ne souris pas ou que je me tais, alors approche-toi seulement de moi et donne-moi un baiser, tiens-moi dans tes bras ou offre-moi un sourire.
Ce sera suffisant, car j'aurai sûrement oublié que la vie m'a accablé et m'a surpris pendant un moment. Seulement un geste de ta part me fera retourner à mon chemin
Ne l'oublie jamais.....
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mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
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L´eau qui coule ne revient pas
L´eau qui coule ne revient pas
accompagnée d´une belle chanson
A tous les retraités et ceux qui le seront un jour
accompagnée d´une belle chanson
A tous les retraités et ceux qui le seront un jour
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Je me choisis
Je me choisis
Je ne veux plus me nier, nier mes sentiments , mes besoins , mes attentes
Je veux être respectée, écoutée , entendue
J'ai le droit de respirer , de me dire ...
J'ai le droit de dénoncer , de penser , de crier, j'ai le droit d'exister
Je veux vivre debout .. être en paix avec moi même
Je veux grandir, changer ,m'aimer
Je veux rêver , rire , m'épanouir
J'ai besoin d'air , j'ai besoin de m'écouter
J'ai besoin de décider pour moi , avec moi en fonction de mes besoins à moi
De ce que je veux faire de ma vie.
J'en ai marre de vivre en fonction des autres , pour être aimée
J'en ai marre de faire des courbettes pour acheter la paix ou ne pas être seule
Je choisis de VIVRE de vivre MA VIE
Je choisis de vivre mes sentiments , mes émotions , mes rêves , mes espoirs
Je veux vivre jusqu'au bout telle que je suis
Je me réserve le droit d'essayer encore , et de réussir
De me tromper et recommencer
Pendant la transition j'accepte ma souffrance , ma déception
J'accepte mon insécurité , mon désespoir
J'accepte ma colère contre les autres
J'accepte ma colère contre moi...
De m'être si longtemps niée et oubliée
Je suis en sevrage car je sais qu'avec le temps
Ces sentiments vont s'attenuer et disparaître , remplacés par le pardon
Je sais qu'avec le temps mon coeur va guérir d'avoir mal aimé
Et peut-être qu'avec le temps
J'accepterais d'Oser à nouveau..
Tenter l'expérience d'aimer et d'être aimée .
Nicole Charest (Petites douceurs pour le cœur)
Je ne veux plus me nier, nier mes sentiments , mes besoins , mes attentes
Je veux être respectée, écoutée , entendue
J'ai le droit de respirer , de me dire ...
J'ai le droit de dénoncer , de penser , de crier, j'ai le droit d'exister
Je veux vivre debout .. être en paix avec moi même
Je veux grandir, changer ,m'aimer
Je veux rêver , rire , m'épanouir
J'ai besoin d'air , j'ai besoin de m'écouter
J'ai besoin de décider pour moi , avec moi en fonction de mes besoins à moi
De ce que je veux faire de ma vie.
J'en ai marre de vivre en fonction des autres , pour être aimée
J'en ai marre de faire des courbettes pour acheter la paix ou ne pas être seule
Je choisis de VIVRE de vivre MA VIE
Je choisis de vivre mes sentiments , mes émotions , mes rêves , mes espoirs
Je veux vivre jusqu'au bout telle que je suis
Je me réserve le droit d'essayer encore , et de réussir
De me tromper et recommencer
Pendant la transition j'accepte ma souffrance , ma déception
J'accepte mon insécurité , mon désespoir
J'accepte ma colère contre les autres
J'accepte ma colère contre moi...
De m'être si longtemps niée et oubliée
Je suis en sevrage car je sais qu'avec le temps
Ces sentiments vont s'attenuer et disparaître , remplacés par le pardon
Je sais qu'avec le temps mon coeur va guérir d'avoir mal aimé
Et peut-être qu'avec le temps
J'accepterais d'Oser à nouveau..
Tenter l'expérience d'aimer et d'être aimée .
Nicole Charest (Petites douceurs pour le cœur)
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mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Re: Recueil de belles histoires - A méditer
Entretien d'un fils avec son Père…
Un homme arrive chez lui un soir, fatigué après une dure journée de travail, pour trouver son petit garçon de 5 ans assis sur les marches du perron.
* Papa, est-ce que je peux te poser une question?
* Bien sûr!
* Combien gagnes-tu de l'heure?
* Mais ça ne te regarde pas fiston!
* Je veux juste savoir. Je t'en prie, dis-le moi!
* Bon, si tu veux absolument savoir. $35.00 de l'heure.
Le petit garçon s'en retourne dans la maison avec un air triste.
Il revient vers son père et lui demande :
* Papa, pourrais-tu me prêter $10.00?
* Bon, c'est pour ça que tu voulais savoir.
Pour m'emprunter de l'argent!
* Va dans ta chambre et couche-toi.
J'ai eu une journée éprouvante, je suis fatigué et je n'ai pas le goût de me faire achaler avec des niaiseries semblables.
Une heure plus tard, le père qui avait eu le temps de décompresser un peu se demande s'il n'avait pas réagi trop fort à la demande de son fils.
Peut-être bien qu'il voulait s'acheter quelque chose d'important…
Il décide donc d'aller dans la chambre du petit.
* Dors-tu fiston?
* Non, papa!
* Écoute, j'ai réfléchi et voici le $10.00 que tu m'as demandé.
* Oh merci papa!
Le petit gars fouille sous son oreiller et en sort $25.00.
Le père, en voyant l'argent, devient encore irrité.
* Mais pourquoi voulais-tu $10.00 ?
Tu en as $25.00! Qu'est-ce que tu veux faire avec cet argent?
* C'est que... il m'en manquait. Mais maintenant, j'en ai juste assez.
* Papa…est-ce que je pourrais t'acheter une heure de ton temps ?
Demain soir, arrive à la maison plus tôt, j'aimerais dîner avec toi!!!
Prenez toujours le temps de vous rapprocher de ceux que vous aimez !
Un homme arrive chez lui un soir, fatigué après une dure journée de travail, pour trouver son petit garçon de 5 ans assis sur les marches du perron.
* Papa, est-ce que je peux te poser une question?
* Bien sûr!
* Combien gagnes-tu de l'heure?
* Mais ça ne te regarde pas fiston!
* Je veux juste savoir. Je t'en prie, dis-le moi!
* Bon, si tu veux absolument savoir. $35.00 de l'heure.
Le petit garçon s'en retourne dans la maison avec un air triste.
Il revient vers son père et lui demande :
* Papa, pourrais-tu me prêter $10.00?
* Bon, c'est pour ça que tu voulais savoir.
Pour m'emprunter de l'argent!
* Va dans ta chambre et couche-toi.
J'ai eu une journée éprouvante, je suis fatigué et je n'ai pas le goût de me faire achaler avec des niaiseries semblables.
Une heure plus tard, le père qui avait eu le temps de décompresser un peu se demande s'il n'avait pas réagi trop fort à la demande de son fils.
Peut-être bien qu'il voulait s'acheter quelque chose d'important…
Il décide donc d'aller dans la chambre du petit.
* Dors-tu fiston?
* Non, papa!
* Écoute, j'ai réfléchi et voici le $10.00 que tu m'as demandé.
* Oh merci papa!
Le petit gars fouille sous son oreiller et en sort $25.00.
Le père, en voyant l'argent, devient encore irrité.
* Mais pourquoi voulais-tu $10.00 ?
Tu en as $25.00! Qu'est-ce que tu veux faire avec cet argent?
* C'est que... il m'en manquait. Mais maintenant, j'en ai juste assez.
* Papa…est-ce que je pourrais t'acheter une heure de ton temps ?
Demain soir, arrive à la maison plus tôt, j'aimerais dîner avec toi!!!
Prenez toujours le temps de vous rapprocher de ceux que vous aimez !
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
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Re: Recueil de belles histoires - A méditer
Chiots à vendre
Le gérant d'une boutique clouait une pancarte au-dessus de sa porte, sur laquelle on pouvait lire : "Chiots à vendre".
Comme les affiches ont la faculté d'attirer les enfants, bientôt un petit garçon fut séduit par l'annonce et demanda :
« À quel prix vendez-vous ces chiots ? »
Le propriétaire du magasin répondit :
« Autour de trente - cinquante dollars »
Le petit garçon chercha dans sa poche et sortit de la monnaie.
«J'ai 2.37$. Est-ce que je peux les regarder ?»
Le propriétaire du magasin sourit et siffla. Sa chienne nommée Lady, courut hors du chenil vers l'allée de sa boutique, suivie par cinq petits chiots. Mais un des chiots restait loin derrière.
Immédiatement, le petit garçon sélectionna le chiot boiteux resté à l'arrière. Il demanda :
« De quoi souffre ce petit chien, monsieur ? »
L'homme expliqua qu'à sa naissance, le vétérinaire lui avait annoncé que le chiot avait une malformation de la hanche, le laissant boiter pour le restant de sa vie.
Le petit garçon devint vraiment enthousiasmé et dit :
« C'est le chiot que je veux acheter ! »
L'homme répondit :
« Mais non! Tu ne peux pas acheter ce petit chien voyons! Si tu le veux vraiment, je te le donne! »
Le petit garçon vint bouleversé. Il regarda l'homme droit dans les yeux et dit :
« Je ne veux pas que vous me le donniez. Il vaut tout autant que les autres chiens et je vous paierai le plein prix. En fait, je vous donnerai 2.37$ aujourd'hui et 50 cents chaque mois, jusqu'à ce que j'ai fini de le payer. »
L'homme répondit :
« Tu ne veux pas acheter ce chiot pour vrai? Il ne sera jamais capable de courir, de sauter et de jouer. Tu devrais aimer d'autres chiots! »
Alors le petit garçon se pencha vers le bas, il roula la manche de son pantalon et montra une jambe malade, tordue, estropiée, supportée par une grande tige de métal.
Il regarda l'homme et dit :
« Bien, je ne cours pas si bien et le petit chiot aura besoin de quelqu'un qui le comprenne. »
L'homme mordit sa lèvre inférieure... des larmes lui piquaient les yeux. Il sourit au garçon et lui dit :
« Mon garçon, j'espère et prie que chacun de ces chiots trouvera un propriétaire tel que toi. »
Dans la vie, peut importe qui vous êtes, en autant que quelqu'un vous apprécie pour ce que vous êtes, vous accepte et vous aime inconditionnellement.
Par Christiane Kolly dans Contes
Le gérant d'une boutique clouait une pancarte au-dessus de sa porte, sur laquelle on pouvait lire : "Chiots à vendre".
Comme les affiches ont la faculté d'attirer les enfants, bientôt un petit garçon fut séduit par l'annonce et demanda :
« À quel prix vendez-vous ces chiots ? »
Le propriétaire du magasin répondit :
« Autour de trente - cinquante dollars »
Le petit garçon chercha dans sa poche et sortit de la monnaie.
«J'ai 2.37$. Est-ce que je peux les regarder ?»
Le propriétaire du magasin sourit et siffla. Sa chienne nommée Lady, courut hors du chenil vers l'allée de sa boutique, suivie par cinq petits chiots. Mais un des chiots restait loin derrière.
Immédiatement, le petit garçon sélectionna le chiot boiteux resté à l'arrière. Il demanda :
« De quoi souffre ce petit chien, monsieur ? »
L'homme expliqua qu'à sa naissance, le vétérinaire lui avait annoncé que le chiot avait une malformation de la hanche, le laissant boiter pour le restant de sa vie.
Le petit garçon devint vraiment enthousiasmé et dit :
« C'est le chiot que je veux acheter ! »
L'homme répondit :
« Mais non! Tu ne peux pas acheter ce petit chien voyons! Si tu le veux vraiment, je te le donne! »
Le petit garçon vint bouleversé. Il regarda l'homme droit dans les yeux et dit :
« Je ne veux pas que vous me le donniez. Il vaut tout autant que les autres chiens et je vous paierai le plein prix. En fait, je vous donnerai 2.37$ aujourd'hui et 50 cents chaque mois, jusqu'à ce que j'ai fini de le payer. »
L'homme répondit :
« Tu ne veux pas acheter ce chiot pour vrai? Il ne sera jamais capable de courir, de sauter et de jouer. Tu devrais aimer d'autres chiots! »
Alors le petit garçon se pencha vers le bas, il roula la manche de son pantalon et montra une jambe malade, tordue, estropiée, supportée par une grande tige de métal.
Il regarda l'homme et dit :
« Bien, je ne cours pas si bien et le petit chiot aura besoin de quelqu'un qui le comprenne. »
L'homme mordit sa lèvre inférieure... des larmes lui piquaient les yeux. Il sourit au garçon et lui dit :
« Mon garçon, j'espère et prie que chacun de ces chiots trouvera un propriétaire tel que toi. »
Dans la vie, peut importe qui vous êtes, en autant que quelqu'un vous apprécie pour ce que vous êtes, vous accepte et vous aime inconditionnellement.
Par Christiane Kolly dans Contes
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«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
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Re: Recueil de belles histoires - A méditer
La leçon du papillon
"Un jour, apparut un petit trou dans un cocon. Un homme, qui passait là par hasard, s’arrêta, et durant de longues heures, observa le papillon qui s’efforçait de sortir par le petit trou. Après un long moment, le papillon semblait avoir abandonné, et le trou demeurait toujours aussi petit. On aurait dit que le papillon avait fait tout ce qu’il pouvait, et ne pouvait plus rien tenter d’autre.
Alors l'homme décida d'aider le papillon. Il prit un canif et ouvrit le cocon. Le papillon sortit aussitôt. Mais son corps était maigre et engourdi; ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine. L'homme continua à observer le papillon, pensant que, d'un moment à l'autre, ses ailes s'ouvriraient et qu'elles seraient capables de supporter son corps pour qu'il puisse enfin s'envoler.
Hélas, il n'en fut rien ! Le papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais, il ne put voler." Ce que l'homme, avec son geste de gentillesse et son intention d'aider, ne comprenait pas, c'est que le passage par le trou étroit du cocon, était l'effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre le liquide de son corps à ses ailes, de manière à pouvoir voler. C'était le moule à travers lequel la vie le faisait passer pour grandir et se développer.
Parfois, l'effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie. Si l'on nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles, nous serions limités. Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes. Nous ne pourrions jamais voler.
J'ai demandé la force... Et la vie m'a donné des difficultés pour me rendre fort.
J'ai demandé la sagesse... Et la vie m'a donné des problèmes à résoudre.
J'ai demandé la prospérité... Et la vie m'a donné un cerveau et des muscles pour travailler.
J'ai demandé à pouvoir voler... Et la vie m'a donné des obstacles à surmonter.
J'ai demandé l'amour... Et la vie m'a donné des gens à aider dans leurs problèmes
J'ai demandé des faveurs... Et la vie m'a donné des potentialités.
Je n'ai rien reçu de ce que j'avais demandé... Mais j'ai reçu tout ce dont j'avais besoin.
(Traduit de l'italien par H.Hien)
"Un jour, apparut un petit trou dans un cocon. Un homme, qui passait là par hasard, s’arrêta, et durant de longues heures, observa le papillon qui s’efforçait de sortir par le petit trou. Après un long moment, le papillon semblait avoir abandonné, et le trou demeurait toujours aussi petit. On aurait dit que le papillon avait fait tout ce qu’il pouvait, et ne pouvait plus rien tenter d’autre.
Alors l'homme décida d'aider le papillon. Il prit un canif et ouvrit le cocon. Le papillon sortit aussitôt. Mais son corps était maigre et engourdi; ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine. L'homme continua à observer le papillon, pensant que, d'un moment à l'autre, ses ailes s'ouvriraient et qu'elles seraient capables de supporter son corps pour qu'il puisse enfin s'envoler.
Hélas, il n'en fut rien ! Le papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais, il ne put voler." Ce que l'homme, avec son geste de gentillesse et son intention d'aider, ne comprenait pas, c'est que le passage par le trou étroit du cocon, était l'effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre le liquide de son corps à ses ailes, de manière à pouvoir voler. C'était le moule à travers lequel la vie le faisait passer pour grandir et se développer.
Parfois, l'effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie. Si l'on nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles, nous serions limités. Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes. Nous ne pourrions jamais voler.
J'ai demandé la force... Et la vie m'a donné des difficultés pour me rendre fort.
J'ai demandé la sagesse... Et la vie m'a donné des problèmes à résoudre.
J'ai demandé la prospérité... Et la vie m'a donné un cerveau et des muscles pour travailler.
J'ai demandé à pouvoir voler... Et la vie m'a donné des obstacles à surmonter.
J'ai demandé l'amour... Et la vie m'a donné des gens à aider dans leurs problèmes
J'ai demandé des faveurs... Et la vie m'a donné des potentialités.
Je n'ai rien reçu de ce que j'avais demandé... Mais j'ai reçu tout ce dont j'avais besoin.
(Traduit de l'italien par H.Hien)
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mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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Elena de Chanteplume- Sage
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Re: Recueil de belles histoires - A méditer
Bouton d'espoir, bouton de rêve...
Je conserve dans le coeur une photographie superbe aperçue il y a quelques années dans une revue.
Une vue d'ensemble d'un de ces paysages presque désertiques des Etats-Unis, sillonné par une longue route sinueuse. De part et d'autre, des herbes sèches brûlées par un soleil implacable. La chaleur semble se dégager sans netteté au ras du sol, et s'élever doucement en petites vagues aériennes et troubles. Pas âme qui vive.
Et pourtant, d'une fente de l'asphalte a surgi, irréelle et fragile, une petite fleur. Tranquille, ou insouciante de l'univers hostile dans lequel elle s'épanouit, elle s'ouvre lentement au monde, bouton d'espoir, bouton de rêve. Elle s'offre à ce soleil meurtrier qui lui accorde la grâce de fleurir un instant et de défier à elle seule la nature et l'homme. Beauté éphémère et insolite qui accroche l'oeil et touche l'âme.
J'ai dans le coeur un précieux bouton d'espoir. Il me plaît de croire qu'il saura vaincre aussi le dur asphalte des désespérances qui parfois recouvre mon chemin de vie. Bouton de rêve qui restera au fond de moi toujours vivace, promesse éternelle d'une vie qui jamais ne se fane, et qui même jamais ne finit vraiment d'éclore.
Marie-Anne Morel, samedi 8 juillet 2000
Je conserve dans le coeur une photographie superbe aperçue il y a quelques années dans une revue.
Une vue d'ensemble d'un de ces paysages presque désertiques des Etats-Unis, sillonné par une longue route sinueuse. De part et d'autre, des herbes sèches brûlées par un soleil implacable. La chaleur semble se dégager sans netteté au ras du sol, et s'élever doucement en petites vagues aériennes et troubles. Pas âme qui vive.
Et pourtant, d'une fente de l'asphalte a surgi, irréelle et fragile, une petite fleur. Tranquille, ou insouciante de l'univers hostile dans lequel elle s'épanouit, elle s'ouvre lentement au monde, bouton d'espoir, bouton de rêve. Elle s'offre à ce soleil meurtrier qui lui accorde la grâce de fleurir un instant et de défier à elle seule la nature et l'homme. Beauté éphémère et insolite qui accroche l'oeil et touche l'âme.
J'ai dans le coeur un précieux bouton d'espoir. Il me plaît de croire qu'il saura vaincre aussi le dur asphalte des désespérances qui parfois recouvre mon chemin de vie. Bouton de rêve qui restera au fond de moi toujours vivace, promesse éternelle d'une vie qui jamais ne se fane, et qui même jamais ne finit vraiment d'éclore.
Marie-Anne Morel, samedi 8 juillet 2000
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Re: Recueil de belles histoires - A méditer
Cadeau
Hier soir, dans la cuisine, je préparais le dîner,
Quand mon petit garçon est entré.
Il m'a tendu un morceau de papier griffonné,
J'ai essuyé mes mains sur mon tablier,
Je l'ai lu, et voici ce qu'il disait :
Pour avoir fait mon lit toute la semaine : 2 €
Pour avoir été aux commissions : 1 €
Pour avoir surveillé le bébé pendant que toi
Tu allais aux commissions : 0,5 €
Pour avoir descendu la corbeille à papiers : 0,5 €
Pour avoir remonté la corbeille à papiers : 1 €
Pour avoir arrosé les fleurs sur le balcon : 1 €
Total : 6 €
Je l'ai regardé, il se tortillait en mâchant son crayon,
Et une foule de souvenirs sont revenus à ma mémoire.
Alors j'ai pris son crayon, j'ai retourné la feuille,
Et voilà ce que j'ai écrit :
Pour neuf mois de patience et douze heures d'accouchement : CADEAU,
Pour tant de nuits de veille surveillant ton sommeil : CADEAU,
Pour toutes les inquiétudes : CADEAU,
Pour tes jouets, ta nourriture, tes vêtements : CADEAU,
Pour tous les conseils, les connaissances transmises et le prix de tes études : CADEAU,
Pour t'essuyer les larmes et te moucher : CADEAU,
Et quand on fait le tour, le total de mon amour, c'est : CADEAU.
Quand il a eu fini de lire,
Il avait un gros chagrin dans les yeux.
Il a levé la tête, il a dit :
M'man, je t'aime beaucoup.
Il a repris son papier, il l'a retourné,
Et en grosses lettres, il a marqué :
C'est CADEAU.
Et quand on fait le tour, le total de l'Amour,
c'est : CADEAU.
Adapté d'une chanson de Marie Laforêt
Hier soir, dans la cuisine, je préparais le dîner,
Quand mon petit garçon est entré.
Il m'a tendu un morceau de papier griffonné,
J'ai essuyé mes mains sur mon tablier,
Je l'ai lu, et voici ce qu'il disait :
Pour avoir fait mon lit toute la semaine : 2 €
Pour avoir été aux commissions : 1 €
Pour avoir surveillé le bébé pendant que toi
Tu allais aux commissions : 0,5 €
Pour avoir descendu la corbeille à papiers : 0,5 €
Pour avoir remonté la corbeille à papiers : 1 €
Pour avoir arrosé les fleurs sur le balcon : 1 €
Total : 6 €
Je l'ai regardé, il se tortillait en mâchant son crayon,
Et une foule de souvenirs sont revenus à ma mémoire.
Alors j'ai pris son crayon, j'ai retourné la feuille,
Et voilà ce que j'ai écrit :
Pour neuf mois de patience et douze heures d'accouchement : CADEAU,
Pour tant de nuits de veille surveillant ton sommeil : CADEAU,
Pour toutes les inquiétudes : CADEAU,
Pour tes jouets, ta nourriture, tes vêtements : CADEAU,
Pour tous les conseils, les connaissances transmises et le prix de tes études : CADEAU,
Pour t'essuyer les larmes et te moucher : CADEAU,
Et quand on fait le tour, le total de mon amour, c'est : CADEAU.
Quand il a eu fini de lire,
Il avait un gros chagrin dans les yeux.
Il a levé la tête, il a dit :
M'man, je t'aime beaucoup.
Il a repris son papier, il l'a retourné,
Et en grosses lettres, il a marqué :
C'est CADEAU.
Et quand on fait le tour, le total de l'Amour,
c'est : CADEAU.
Adapté d'une chanson de Marie Laforêt
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L'Étrangère
L'Étrangère
Quelques années avant ma naissance, mon père connut une étrangère récemment arrivée dans notre village. Depuis le début, mon père fut subjugué par cette personne, si bien que nous en arrivâmes à l'inviter à demeurer chez nous. L'étrangère accepta et depuis lors elle fit partie de la famille.
Moi je grandissais, je n'ai jamais demandé d'où elle venait, tout me paraissait évident.
Mes parents étaient enseignants : ma maman m'apprit ce qu'était le bien et ce qu'était le mal et mon père m'apprit l'obéissance. Mais l'étrangère c'était une conteuse, une enjôleuse. Elle nous maintenait, pendant des heures, fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
Elle avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l'histoire ou les sciences.
Elle connaissait tout du passé, du présent, elle aurait presque pu parler du futur !
Elle fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.
Elle me faisait rire et elle me faisait pleurer.
L'étrangère n'arrêtait jamais de parler, ça ne dérangeait pas ma Maman.
Parfois maman se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire ses paroles.
Je pense qu'en réalité, elle était partie à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité
(Maintenant je me demande si elle n'espérait pas avec impatience qu'elle s'en aille.)
Mon père avait ses convictions morales, mais l'étrangère ne semblait pas en être concernée.
Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, ne s'en seraient permis. Ce n'était pas le cas de l'étrangère qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman.
Mon père nous avait totalement interdit l'alcool. Elle, l'étrangère, nous incitait à en boire souvent. Elle nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué. Elle parlait librement (peut-être trop) du sexe. Ses commentaires étaient évidents, suggestifs, et souvent dévergondés.
Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cette étrangère pendant mon adolescence.
Nous la critiquions, elle ne faisait aucun cas de la valeur de mes parents, et malgré cela, elle était toujours là !
Cinquante ans sont passés depuis notre départ du foyer paternel.
Et depuis lors beaucoup de choses ont changé : nous n'avons plus cette fascination.
Il n'empêche que, si vous pouviez pénétrer chez mes parents, vous la retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu'un vienne écouter ses parlotes ou lui consacrer son temps libre…
Voulez-vous connaître son nom ?
Nous, nous l'appelons… Télévision !
Il faudrait que cette belle histoire soit lue par tout le monde.
Attention :
Maintenant, elle a un époux qui s'appelle Ordinateur…
…un fils qui s'appelle Portable…
…et un neveu pire que tous : Lui c'est Smartphone !
(Auteur inconnu)
Quelques années avant ma naissance, mon père connut une étrangère récemment arrivée dans notre village. Depuis le début, mon père fut subjugué par cette personne, si bien que nous en arrivâmes à l'inviter à demeurer chez nous. L'étrangère accepta et depuis lors elle fit partie de la famille.
Moi je grandissais, je n'ai jamais demandé d'où elle venait, tout me paraissait évident.
Mes parents étaient enseignants : ma maman m'apprit ce qu'était le bien et ce qu'était le mal et mon père m'apprit l'obéissance. Mais l'étrangère c'était une conteuse, une enjôleuse. Elle nous maintenait, pendant des heures, fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
Elle avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l'histoire ou les sciences.
Elle connaissait tout du passé, du présent, elle aurait presque pu parler du futur !
Elle fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.
Elle me faisait rire et elle me faisait pleurer.
L'étrangère n'arrêtait jamais de parler, ça ne dérangeait pas ma Maman.
Parfois maman se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire ses paroles.
Je pense qu'en réalité, elle était partie à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité
(Maintenant je me demande si elle n'espérait pas avec impatience qu'elle s'en aille.)
Mon père avait ses convictions morales, mais l'étrangère ne semblait pas en être concernée.
Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, ne s'en seraient permis. Ce n'était pas le cas de l'étrangère qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman.
Mon père nous avait totalement interdit l'alcool. Elle, l'étrangère, nous incitait à en boire souvent. Elle nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué. Elle parlait librement (peut-être trop) du sexe. Ses commentaires étaient évidents, suggestifs, et souvent dévergondés.
Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cette étrangère pendant mon adolescence.
Nous la critiquions, elle ne faisait aucun cas de la valeur de mes parents, et malgré cela, elle était toujours là !
Cinquante ans sont passés depuis notre départ du foyer paternel.
Et depuis lors beaucoup de choses ont changé : nous n'avons plus cette fascination.
Il n'empêche que, si vous pouviez pénétrer chez mes parents, vous la retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu'un vienne écouter ses parlotes ou lui consacrer son temps libre…
Voulez-vous connaître son nom ?
Nous, nous l'appelons… Télévision !
Il faudrait que cette belle histoire soit lue par tout le monde.
Attention :
Maintenant, elle a un époux qui s'appelle Ordinateur…
…un fils qui s'appelle Portable…
…et un neveu pire que tous : Lui c'est Smartphone !
(Auteur inconnu)
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