Architecture, cinéma, musique dissimulent les symboles sataniques et conditionnent les esprits
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Architecture, cinéma, musique dissimulent les symboles sataniques et conditionnent les esprits
Dans la France du XXIe siècle, le patrimoine ancien se mêle à un modernisme fortement teinté de maçonnisme. L’architecture est imbibée de satanisme à travers de multiples symboles et autres représentations mystiques. Le 666 marque notre décor de son empreinte. Le plus souvent à notre insu et sans que nous nous en apercevions.
À Paris, on peut observer de nombreux symboles lucifériens sur les monuments. La pyramide du Louvre, architecte Pierre Fontaine, franc-maçon, est consacrée à une puissance que l’Apocalypse de saint Jean désigne comme étant la Bête : forme géométrique, 666 panneaux de verre en forme de losanges. À l’intérieur, toute la symbolique maçonnique, le compas, l’équerre, la lettre H d’Hiram, les images d’Isis et d’Osiris, la pyramide inversée au cœur de l’établissement. Tout ceci est totalement luciférien dans sa conception.
La pyramide du Louvre est symboliquement située de la même façon que d’autres pyramides. Ses proportions sont les mêmes que celles de la pyramide de Gizeh, jusqu’à l’inclinaison de 50,7 degrés.
La statue de Lucifer trône au-dessus de la place de la Bastille. Le dieu des francs-maçons survole les lieux, représenté par un ange doré déchu brandissant un flambeau. Il porte des ailes dans son dos et une étoile à cinq branches sur sa tête. D’après la symbolique, cet ange de Lucifer vient apporter la lumière au peuple sous le régime de la République.
Le Panthéon, situé dans le Quartier latin, architecte Jacques-Germain Soufflot, franc-maçon, (1713-1780), monument national de type maçonnique, fut construit sous Louis XV. Sa racine remonte à l’Ancien Régime, son accomplissement est purement républicain. Il s’agit d’un monument laïque en l’honneur de prétendus grands hommes ayant œuvré pour la République française. De nombreux personnages francs-maçons, des noms célèbres de la Contre-Église et du mondialisme, figurent au Panthéon.
Le monument des droits de l’Homme dans le VIIe arrondissement, établi en 1989, afin de commémorer le bicentenaire de la Révolution, est de type luciférien. On y distingue le triangle maçonnique et la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.
La statue de Marianne, place de la Nation, représente l’emblème, le visage de la République. À ses pieds, d’autres symboles renvoient aux travaux fournis par les initiés, le compas, l’équerre, le tablier, la règle et les ciseaux. Sur le parvis de la mairie de Paris, un chandelier à sept branches, la menorah.
La tour Eiffel, du nom de son auteur Gustave Eiffel, franc-maçon (1823-1932), fut conçue dans la loge Alsace-Lorraine. Son architecture maçonnique ne trompe guère : hauteur vertigineuse, forme pyramidale.
La pyramide du parc Monceau évoque la société secrète par sa forme triangulaire et son décor égyptien. Le fronton de l’Assemblée Nationale nous renvoie à son architecture conçue par Jules de Joly (1788-1865). La Grande Arche rappelle la secte maçonnique : sa forme en cube ouvert est « une fenêtre sur le monde », d’après son architecte danois Otto Von Spreckelsen (1929-1987).
Les colonnes de Büren jouxtent le Palais Royal. Outre leur symbolisme complexe, elles sont un outil servant à anticiper les dates propices aux cultes sanguinaires des démons, permettant d’adorer les civilisations amérindiennes. En effet, les colonnes de Büren forment un gigantesque calendrier comme ceux utilisés par les hauts initiés précolombiens. Les 260 cylindres parfaitement alignés en treize lignes de vingt colonnes sont conformes aux treize mois de vingt jours du calendrier religieux maya qui servait à déterminer les dates des sacrifices humains. Ce calendrier augurait de la réussite des actions humaines en donnant une date propice à leur mise en œuvre. Ces actions étaient soumises à l’approbation préalable des sorciers impitoyables en leur offrant des sacrifices rituels. Quels sont l’utilité et le sens d’un tel calendrier sacrificiel en plein cœur de Paris, sous les fenêtres qui abritent le Conseil constitutionnel et aussi le Conseil d’État, dont le premier rôle est de conseiller le gouvernement au sujet de projets de lois ? En plein cœur de cette République française qui se déclare laïque ?
Büren, l’architecte, nomma sa construction “les deux plateaux”, en référence aux plateaux de la balance de la Justice. Les colonnes matérialisent la place des colonnes de l’antique cité mexicaine de Chichen Itza, cité qui était dominée par les sorciers de l’eau.
Le summum de l’empreinte de Lucifer sur le paysage architectural est atteint avec Astana, capitale depuis 1997 de la république du Kazakhstan. Certains la considèrent comme la capitale du mondialisme des familles oligarchiques. Divers éléments corroborent cette idée : son nom, un anagramme de Satana, l’immense pyramide de la paix, au cœur de cette capitale, conçue par le Britannique Norman Foster, né en 1935. Cette pyramide symbolise l’amitié entre les religions et les peuples, une sorte de syncrétisme religieux doublé de métissage ethno-culturel voulu par la Synagogue de Satan. À l’intérieur de la pyramide, une immense représentation du Soleil occupe le plafond de l’opéra Astana. Dans l’apex, au sommet de la structure, des colombes blanches visibles sur les vitres symbolisent la paix entre les religions et les nations. Dans la salle de réunion, un énorme Soleil se situe au cœur d’une imposante table ronde, signe du symbolisme kabbalistique. Dans cette pyramide de la paix, le symbolisme est omniprésent et le Soleil comme divinisé.
Cette volonté d’unification des religions n’est pas récente. Du parlement des religions à Assise, des rencontres d’Assise en Italie, organisées par Jean-Paul II, pour finir par Astana, cette évolution œcuménique accrédite les écrits prophétiques d’Albert Pike (1809-1991) :
« Autour des autels de la maçonnerie, le chrétien, le juif, le musulman, le bouddhiste, le fidèle de Confucius et de Zoroastre peuvent s’unir comme des frères dans la prière au seul Dieu qui est au-dessus de tous les dieux ». Pour Pike comme pour les hauts degrés de la maçonnerie, il s’agit de Lucifer.
Dès le plus jeune âge, notre esprit baigne dans cette anti-chrétienté, dans cette idéologie naturaliste écartant Dieu, le Christ et son Église de l’espace public. Nos mœurs, nos institutions, la nation entière sont imprégnées par cette idéologie dominante. Nos cerveaux en sont infectés. Favoriser l’athéisme ne fut qu’un marche-pied, un piège tendu par la Maçonnerie pour amener l’humanité à sa perte morale, sociale et spirituelle, pour lui faire accepter in fine le règne de l’Antéchrist. La nature ayant horreur du vide, si une religion est délaissée par les multitudes, une autre doit la remplacer et occuper la place vacante.
L’architecture indique la nature spirituelle de notre cadre de vie. Le cinéma, les dessins animés, la publicité, l’audiovisuel sont contaminés par Lucifer, le satanisme, l’idéologie maçonnique, ses messages et ses symboles. Ceci ne relève ni du hasard, ni de l’exception culturelle.
Satan a investi nos écrans dès la création de la télévision. La marque du 666 a pris place dans la culture, notamment dans le cinéma et la télévision, cet art si séducteur et manipulateur. Israël Lazarovitch, financier bolchévique de Lénine, considérait ainsi le septième art : « Oui le cinéma et la radiophonie formeront la grosse artillerie psychologique de notre révolution. Pour subjuguer les masses et pervertir les esprits, ce sont des armes prodigieuses ». Faire de la culture un instrument de perversion est un objectif clairement avoué.
Dans cette entreprise diabolique, l’industrie hollywoodienne s’avère incontournable. Par le biais des films qu’elle produit, Hollywood conditionne les esprits, influe sur comment le monde et la vie en société doivent être pensés. Cette industrie joue un rôle colossal dans l’endoctrinement des masses. Les populations n’ont pas conscience de cette subtile manipulation. Elles vont consommer du divertissement comme elles consomment au supermarché, ne se rendent pas compte de l’idéologie malsaine qu’elles ingurgitent.
Hollywood est la représentation cinématographique de la décadence. Débauche, perversion, haine, violence, pornographie, féminisme, LGBTisme, transhumanisme, toutes sortes de vices y sont diffusés et exaltés. Le cerveau du spectateur est plongé dans la concupiscence pendant des heures. Il est comme happé par le vice et sera perverti. S’il consomme les productions hollywoodiennes à fortes doses, il aura pour référence ce que les films lui renvoient : l’amour de l’argent, de la gloire, du sexe, des prostituées, des bandits et autres stars droguées du showbiz.
Exemples. « Eyes wide shut » de Stanley Kubrick traite de la descente aux enfers d’un médecin. Dans « L’associé du diable », l’acteur Al Pacino traduit l’esprit satanique dans toute sa malice et sa perversité. « La neuvième porte » raconte le parcours initiatique et satanique du héros. On y retrouve des références à la Kabbale, à la magie noire utilisée pour « devenir Dieu ».
« La dernière tentation du Christ » blasphème ouvertement le Dieu fait homme. Dans « Piss Christ », le blasphème est très explicite. Un crucifix d’une soixantaine de centimètres est plongé dans de l’urine. L’image du Christ sur la croix, légèrement éclairée, apparaît en jaune orangé.
Dans la pièce « Golgota picnic », Jésus-Christ est représenté comme fou et insulté.
Dans « Angel Heart, aux portes de l’enfer », l’acteur Robert de Niro est l’incarnation de Lucifer.
Le symbolisme maçonnique envahit les petites et les grandes lucarnes. De nombreuses productions cinématographiques intègrent des symboles : l’œil voyant tout, la pyramide luciférienne, le triangle maçonnique, le 666, le pentagramme, le compas, l’équerre. Ces symboles dissimulés n’ont aucun rapport direct avec le scénario du film. Les cinéastes martèlent les cerveaux d’images subliminales et travaillent le subconscient des spectateurs.
« La vie d’Adèle » glorifie l’homosexualité. Les films de Woody Allen font l’éloge de la perversion sexuelle. « Tomboy » diffusé sur Arte et dans les écoles en 2014, raconte l’histoire d’une petite fille de dix ans se faisant passer pour un garçon. Elle introduit dans son slip un pénis en pâte à modeler.
Dans « Alice au pays des merveilles », dans « Le roi Lion », les symboles lucifériens sont nombreux. Dans « Cannibal Capers », des cannibales dansent, s’amusent avec des crânes humains et jouent de la musique avec des os. Walt Disney, franc-maçon de haut degré, fait l’éloge du cannibalisme.
La vilaine Lulu, bande dessinée écrite par Yves Saint-Laurent, homosexuel, est un livre profondément pervers, satanique, et pornographique. Saint-Laurent fait l’apologie de la dépravation des mœurs, de la pédophilie, de la débauche, du démon. Il décrit la déchéance à l’état brut. Il multiplie les scènes sordides adressées à des enfants. Nous sommes ici dans la subversion des valeurs la plus totale.
La promotion du blasphème et de la violence se retrouve dans les musiques rock, hard rock, métal, rap. Des paroles incitent à la débauche, alcool, sexe, drogue. Elles exaltent le subjectivisme, l’idéologie libertaire, dans le registre « je fais ce que je veux », « je suis totalement libre ». Cette idéologie reprend la devise luciférienne de l’Ordre du Temple Oriental d’Aleister Crowley, écrivain, occultiste, franc-maçon britannique (1875-1947). Mai 68 récupère le « fais ce que tu veux » comme sa règle d’or. Il en découle une transgression absolue et dogmatique des principes traditionnels. Plus aucune règle ne vient au secours de la morale et de la raison. La porte du démon s’ouvre en grand.
Satan occupe une grande place dans la musique qui abonde de symboles sexuels, sataniques et de haine, afin de faire ressortir les plus bas sentiments de l’homme. Alors, la musique, divertissement pour certains, devient un outil culturel de propagande pour d’autres.
Exemples. Dans « Sympathy for the devil », les Rolling Stones établissent le portrait élogieux de Satan. « Hell bells », « Les cloches de l’enfer », du groupe AC-DC exalte le mal sur Terre et la domination de Satan. Dans « Imagine », John Lennon affirme : pas de paradis, pas d’enfer, plus de nations ni de religions, pas de propriété privée, juste une fraternité d’hommes se partageant le monde. Ceci ressemble à la société sans classe voulue par Lucifer. Les Beatles furent imprégnés du satanisme de Crowley.
Madonna, égérie des familles oligarchiques, kabbaliste bisexuelle, dévouée à la cause de l’ennemi du genre humain, grande prêtresse luciférienne du showbiz américain, vante l’homosexualité et la famille monoparentale, inverse les valeurs. Rihanna, adoratrice du diable, dans ses clips, multiplie les postures à caractère sexuel et les symboles maçonniques, et fait allégeance au prince des ténèbres. Lady Gaga a conclu un pacte avec le diable, son clip Bad romance effectue un festival de symboles ésotériques : 666, l’Oeil d’Horus, le roi soleil, les incantations, la pyramide, le bain de sang se substituant au baptême, les deux boucs.
L’œil qui voit tout, l’œil d’Horus de Lucifer est omniprésent dans le star-système. Les maîtres occultes de la gouvernance mondiale préparent les esprits au culte de Lucifer et au règne de l’Antéchrist par divers outils. Hollywood, la télévision, le divertissement sont des relais cinématographiques et musicaux. Par leur intermédiaire, un contrôle des esprits s’opère sur les enfants, adolescents et jeunes adultes.
Les masses baignent dans cette atmosphère infernale, elles sont irrémédiablement impactées et affectées par le satanisme, comme en témoignent le pullulement des tatouages et l’adhésion aux composants du mondialisme. Tout est fait pour que l’idéologie luciférienne triomphe.
Jean Saunier
À Paris, on peut observer de nombreux symboles lucifériens sur les monuments. La pyramide du Louvre, architecte Pierre Fontaine, franc-maçon, est consacrée à une puissance que l’Apocalypse de saint Jean désigne comme étant la Bête : forme géométrique, 666 panneaux de verre en forme de losanges. À l’intérieur, toute la symbolique maçonnique, le compas, l’équerre, la lettre H d’Hiram, les images d’Isis et d’Osiris, la pyramide inversée au cœur de l’établissement. Tout ceci est totalement luciférien dans sa conception.
La pyramide du Louvre est symboliquement située de la même façon que d’autres pyramides. Ses proportions sont les mêmes que celles de la pyramide de Gizeh, jusqu’à l’inclinaison de 50,7 degrés.
La statue de Lucifer trône au-dessus de la place de la Bastille. Le dieu des francs-maçons survole les lieux, représenté par un ange doré déchu brandissant un flambeau. Il porte des ailes dans son dos et une étoile à cinq branches sur sa tête. D’après la symbolique, cet ange de Lucifer vient apporter la lumière au peuple sous le régime de la République.
Le Panthéon, situé dans le Quartier latin, architecte Jacques-Germain Soufflot, franc-maçon, (1713-1780), monument national de type maçonnique, fut construit sous Louis XV. Sa racine remonte à l’Ancien Régime, son accomplissement est purement républicain. Il s’agit d’un monument laïque en l’honneur de prétendus grands hommes ayant œuvré pour la République française. De nombreux personnages francs-maçons, des noms célèbres de la Contre-Église et du mondialisme, figurent au Panthéon.
Le monument des droits de l’Homme dans le VIIe arrondissement, établi en 1989, afin de commémorer le bicentenaire de la Révolution, est de type luciférien. On y distingue le triangle maçonnique et la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.
La statue de Marianne, place de la Nation, représente l’emblème, le visage de la République. À ses pieds, d’autres symboles renvoient aux travaux fournis par les initiés, le compas, l’équerre, le tablier, la règle et les ciseaux. Sur le parvis de la mairie de Paris, un chandelier à sept branches, la menorah.
La tour Eiffel, du nom de son auteur Gustave Eiffel, franc-maçon (1823-1932), fut conçue dans la loge Alsace-Lorraine. Son architecture maçonnique ne trompe guère : hauteur vertigineuse, forme pyramidale.
La pyramide du parc Monceau évoque la société secrète par sa forme triangulaire et son décor égyptien. Le fronton de l’Assemblée Nationale nous renvoie à son architecture conçue par Jules de Joly (1788-1865). La Grande Arche rappelle la secte maçonnique : sa forme en cube ouvert est « une fenêtre sur le monde », d’après son architecte danois Otto Von Spreckelsen (1929-1987).
Les colonnes de Büren jouxtent le Palais Royal. Outre leur symbolisme complexe, elles sont un outil servant à anticiper les dates propices aux cultes sanguinaires des démons, permettant d’adorer les civilisations amérindiennes. En effet, les colonnes de Büren forment un gigantesque calendrier comme ceux utilisés par les hauts initiés précolombiens. Les 260 cylindres parfaitement alignés en treize lignes de vingt colonnes sont conformes aux treize mois de vingt jours du calendrier religieux maya qui servait à déterminer les dates des sacrifices humains. Ce calendrier augurait de la réussite des actions humaines en donnant une date propice à leur mise en œuvre. Ces actions étaient soumises à l’approbation préalable des sorciers impitoyables en leur offrant des sacrifices rituels. Quels sont l’utilité et le sens d’un tel calendrier sacrificiel en plein cœur de Paris, sous les fenêtres qui abritent le Conseil constitutionnel et aussi le Conseil d’État, dont le premier rôle est de conseiller le gouvernement au sujet de projets de lois ? En plein cœur de cette République française qui se déclare laïque ?
Büren, l’architecte, nomma sa construction “les deux plateaux”, en référence aux plateaux de la balance de la Justice. Les colonnes matérialisent la place des colonnes de l’antique cité mexicaine de Chichen Itza, cité qui était dominée par les sorciers de l’eau.
Le summum de l’empreinte de Lucifer sur le paysage architectural est atteint avec Astana, capitale depuis 1997 de la république du Kazakhstan. Certains la considèrent comme la capitale du mondialisme des familles oligarchiques. Divers éléments corroborent cette idée : son nom, un anagramme de Satana, l’immense pyramide de la paix, au cœur de cette capitale, conçue par le Britannique Norman Foster, né en 1935. Cette pyramide symbolise l’amitié entre les religions et les peuples, une sorte de syncrétisme religieux doublé de métissage ethno-culturel voulu par la Synagogue de Satan. À l’intérieur de la pyramide, une immense représentation du Soleil occupe le plafond de l’opéra Astana. Dans l’apex, au sommet de la structure, des colombes blanches visibles sur les vitres symbolisent la paix entre les religions et les nations. Dans la salle de réunion, un énorme Soleil se situe au cœur d’une imposante table ronde, signe du symbolisme kabbalistique. Dans cette pyramide de la paix, le symbolisme est omniprésent et le Soleil comme divinisé.
Cette volonté d’unification des religions n’est pas récente. Du parlement des religions à Assise, des rencontres d’Assise en Italie, organisées par Jean-Paul II, pour finir par Astana, cette évolution œcuménique accrédite les écrits prophétiques d’Albert Pike (1809-1991) :
« Autour des autels de la maçonnerie, le chrétien, le juif, le musulman, le bouddhiste, le fidèle de Confucius et de Zoroastre peuvent s’unir comme des frères dans la prière au seul Dieu qui est au-dessus de tous les dieux ». Pour Pike comme pour les hauts degrés de la maçonnerie, il s’agit de Lucifer.
Dès le plus jeune âge, notre esprit baigne dans cette anti-chrétienté, dans cette idéologie naturaliste écartant Dieu, le Christ et son Église de l’espace public. Nos mœurs, nos institutions, la nation entière sont imprégnées par cette idéologie dominante. Nos cerveaux en sont infectés. Favoriser l’athéisme ne fut qu’un marche-pied, un piège tendu par la Maçonnerie pour amener l’humanité à sa perte morale, sociale et spirituelle, pour lui faire accepter in fine le règne de l’Antéchrist. La nature ayant horreur du vide, si une religion est délaissée par les multitudes, une autre doit la remplacer et occuper la place vacante.
L’architecture indique la nature spirituelle de notre cadre de vie. Le cinéma, les dessins animés, la publicité, l’audiovisuel sont contaminés par Lucifer, le satanisme, l’idéologie maçonnique, ses messages et ses symboles. Ceci ne relève ni du hasard, ni de l’exception culturelle.
Satan a investi nos écrans dès la création de la télévision. La marque du 666 a pris place dans la culture, notamment dans le cinéma et la télévision, cet art si séducteur et manipulateur. Israël Lazarovitch, financier bolchévique de Lénine, considérait ainsi le septième art : « Oui le cinéma et la radiophonie formeront la grosse artillerie psychologique de notre révolution. Pour subjuguer les masses et pervertir les esprits, ce sont des armes prodigieuses ». Faire de la culture un instrument de perversion est un objectif clairement avoué.
Dans cette entreprise diabolique, l’industrie hollywoodienne s’avère incontournable. Par le biais des films qu’elle produit, Hollywood conditionne les esprits, influe sur comment le monde et la vie en société doivent être pensés. Cette industrie joue un rôle colossal dans l’endoctrinement des masses. Les populations n’ont pas conscience de cette subtile manipulation. Elles vont consommer du divertissement comme elles consomment au supermarché, ne se rendent pas compte de l’idéologie malsaine qu’elles ingurgitent.
Hollywood est la représentation cinématographique de la décadence. Débauche, perversion, haine, violence, pornographie, féminisme, LGBTisme, transhumanisme, toutes sortes de vices y sont diffusés et exaltés. Le cerveau du spectateur est plongé dans la concupiscence pendant des heures. Il est comme happé par le vice et sera perverti. S’il consomme les productions hollywoodiennes à fortes doses, il aura pour référence ce que les films lui renvoient : l’amour de l’argent, de la gloire, du sexe, des prostituées, des bandits et autres stars droguées du showbiz.
Exemples. « Eyes wide shut » de Stanley Kubrick traite de la descente aux enfers d’un médecin. Dans « L’associé du diable », l’acteur Al Pacino traduit l’esprit satanique dans toute sa malice et sa perversité. « La neuvième porte » raconte le parcours initiatique et satanique du héros. On y retrouve des références à la Kabbale, à la magie noire utilisée pour « devenir Dieu ».
« La dernière tentation du Christ » blasphème ouvertement le Dieu fait homme. Dans « Piss Christ », le blasphème est très explicite. Un crucifix d’une soixantaine de centimètres est plongé dans de l’urine. L’image du Christ sur la croix, légèrement éclairée, apparaît en jaune orangé.
Dans la pièce « Golgota picnic », Jésus-Christ est représenté comme fou et insulté.
Dans « Angel Heart, aux portes de l’enfer », l’acteur Robert de Niro est l’incarnation de Lucifer.
Le symbolisme maçonnique envahit les petites et les grandes lucarnes. De nombreuses productions cinématographiques intègrent des symboles : l’œil voyant tout, la pyramide luciférienne, le triangle maçonnique, le 666, le pentagramme, le compas, l’équerre. Ces symboles dissimulés n’ont aucun rapport direct avec le scénario du film. Les cinéastes martèlent les cerveaux d’images subliminales et travaillent le subconscient des spectateurs.
« La vie d’Adèle » glorifie l’homosexualité. Les films de Woody Allen font l’éloge de la perversion sexuelle. « Tomboy » diffusé sur Arte et dans les écoles en 2014, raconte l’histoire d’une petite fille de dix ans se faisant passer pour un garçon. Elle introduit dans son slip un pénis en pâte à modeler.
Dans « Alice au pays des merveilles », dans « Le roi Lion », les symboles lucifériens sont nombreux. Dans « Cannibal Capers », des cannibales dansent, s’amusent avec des crânes humains et jouent de la musique avec des os. Walt Disney, franc-maçon de haut degré, fait l’éloge du cannibalisme.
La vilaine Lulu, bande dessinée écrite par Yves Saint-Laurent, homosexuel, est un livre profondément pervers, satanique, et pornographique. Saint-Laurent fait l’apologie de la dépravation des mœurs, de la pédophilie, de la débauche, du démon. Il décrit la déchéance à l’état brut. Il multiplie les scènes sordides adressées à des enfants. Nous sommes ici dans la subversion des valeurs la plus totale.
La promotion du blasphème et de la violence se retrouve dans les musiques rock, hard rock, métal, rap. Des paroles incitent à la débauche, alcool, sexe, drogue. Elles exaltent le subjectivisme, l’idéologie libertaire, dans le registre « je fais ce que je veux », « je suis totalement libre ». Cette idéologie reprend la devise luciférienne de l’Ordre du Temple Oriental d’Aleister Crowley, écrivain, occultiste, franc-maçon britannique (1875-1947). Mai 68 récupère le « fais ce que tu veux » comme sa règle d’or. Il en découle une transgression absolue et dogmatique des principes traditionnels. Plus aucune règle ne vient au secours de la morale et de la raison. La porte du démon s’ouvre en grand.
Satan occupe une grande place dans la musique qui abonde de symboles sexuels, sataniques et de haine, afin de faire ressortir les plus bas sentiments de l’homme. Alors, la musique, divertissement pour certains, devient un outil culturel de propagande pour d’autres.
Exemples. Dans « Sympathy for the devil », les Rolling Stones établissent le portrait élogieux de Satan. « Hell bells », « Les cloches de l’enfer », du groupe AC-DC exalte le mal sur Terre et la domination de Satan. Dans « Imagine », John Lennon affirme : pas de paradis, pas d’enfer, plus de nations ni de religions, pas de propriété privée, juste une fraternité d’hommes se partageant le monde. Ceci ressemble à la société sans classe voulue par Lucifer. Les Beatles furent imprégnés du satanisme de Crowley.
Madonna, égérie des familles oligarchiques, kabbaliste bisexuelle, dévouée à la cause de l’ennemi du genre humain, grande prêtresse luciférienne du showbiz américain, vante l’homosexualité et la famille monoparentale, inverse les valeurs. Rihanna, adoratrice du diable, dans ses clips, multiplie les postures à caractère sexuel et les symboles maçonniques, et fait allégeance au prince des ténèbres. Lady Gaga a conclu un pacte avec le diable, son clip Bad romance effectue un festival de symboles ésotériques : 666, l’Oeil d’Horus, le roi soleil, les incantations, la pyramide, le bain de sang se substituant au baptême, les deux boucs.
L’œil qui voit tout, l’œil d’Horus de Lucifer est omniprésent dans le star-système. Les maîtres occultes de la gouvernance mondiale préparent les esprits au culte de Lucifer et au règne de l’Antéchrist par divers outils. Hollywood, la télévision, le divertissement sont des relais cinématographiques et musicaux. Par leur intermédiaire, un contrôle des esprits s’opère sur les enfants, adolescents et jeunes adultes.
Les masses baignent dans cette atmosphère infernale, elles sont irrémédiablement impactées et affectées par le satanisme, comme en témoignent le pullulement des tatouages et l’adhésion aux composants du mondialisme. Tout est fait pour que l’idéologie luciférienne triomphe.
Jean Saunier
Héloïse de Salm- Chef
- Messages : 1351
Date d'inscription : 14/08/2022
Re: Architecture, cinéma, musique dissimulent les symboles sataniques et conditionnent les esprits
Ça fait 600 ans que vous avez perdu la guerre culturelle et que nombre d'artiste y compris en Russie tsariste de Peirre le grand sont satanistes.
Vous pPropos insultants violant la charte du forumrde la sur ce domaine avouez-le.
Vous pPropos insultants violant la charte du forumrde la sur ce domaine avouez-le.
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
Re: Architecture, cinéma, musique dissimulent les symboles sataniques et conditionnent les esprits
Je ne regarderais plus jamais une pyramide de la même manière ...
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Architecture, cinéma, musique dissimulent les symboles sataniques et conditionnent les esprits
Alors faut savoir que tous les tarés d’Égypte du culte de Mithra etc était pas forcément satanistes d'ailleurs les premières sectes du culte de Mithra était chrétiennes, Mithra était juste considéré comme un saint.
Et toujours à ce jour certains satanistes sont juste des libertins sans vraiment être satanistes et certains satanistes s’ignorent eux-même il y a un flou et une confusion afin de maintenir une certaine opacité.
Mais c'est vrai que si les conservateur avaient gardé le contrôle de la culture qu'est-ce qu'on se ferait chier.
Non vraiment les mecs ne faisaient que de repomper des classiques sans jamais rien inventer.
Molière remaniait un peu de veille comédie romaines et c'était génial mais rien de folichon comparé au Lysistrata d'Aristophane.
C'est un comble du comble que l'originalité soit venu de débiles gâteaux d'antiquités.
A vrai dire ils avaient l'esprit plus créatif.
Et toujours à ce jour certains satanistes sont juste des libertins sans vraiment être satanistes et certains satanistes s’ignorent eux-même il y a un flou et une confusion afin de maintenir une certaine opacité.
Mais c'est vrai que si les conservateur avaient gardé le contrôle de la culture qu'est-ce qu'on se ferait chier.
Non vraiment les mecs ne faisaient que de repomper des classiques sans jamais rien inventer.
Molière remaniait un peu de veille comédie romaines et c'était génial mais rien de folichon comparé au Lysistrata d'Aristophane.
C'est un comble du comble que l'originalité soit venu de débiles gâteaux d'antiquités.
A vrai dire ils avaient l'esprit plus créatif.
Dernière édition par Revanchisti le Sam 27 Juil 2024 - 12:39, édité 2 fois
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
Re: Architecture, cinéma, musique dissimulent les symboles sataniques et conditionnent les esprits
C'est vrai qu'après avoir réalisé une toiture à 4 pentes j'ai tout de suite pensé que cette pyramide était une inspiration de l'être de lumière, le Grand Architecte, alors j'ai décidé de lui adjoindre une cheminée d'un côté et une lucarne de l'autre, pour lui donner deux cornes.Monsieur Trololo a écrit:Je ne regarderais plus jamais une pyramide de la même manière ...
Je jouais au Tarot en partie courte à 4, 4 tirages et j'ai gagné... 666 points. La Bête est venue m'aider. Preuve que je suis sur la bonne voie.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9223
Date d'inscription : 31/07/2021
Monsieur Trololo aime ce message
Re: Architecture, cinéma, musique dissimulent les symboles sataniques et conditionnent les esprits
https://youtu.be/oaXkK1OGEgI
Je le savais depuis le début !
Je jouais au Tarot en partie courte à 4, 4 tirages et j'ai gagné... 666 points. La Bête est venue m'aider. Preuve que je suis sur la bonne voie. lool
Je le savais depuis le début !
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
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