Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
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Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
Postes transférés
La moquerie ça vous connaît M. Trololo.
Cette encyclique la connaissez-vous?
Elle est une réaction contre ceux qui lèsent les travailleurs.
Elle est donc favorable aux travailleurs...
________________________________________________
POSTES TRANSFÉRÉS:
------------------
Ce sont là de très bonnes citations à retrouver dans l'encyclique RERUM NOVARUM...
Ces citations sont-elles comprises?
Perçues hors contexte par moquerie, elles ne correspondent pas à la réalité impliquée,
sauf celle de Trololo...
M. Trololo, pouvez-vous expliquer
ce qui vous dérange dans cette exposé?
Parlons donc de cette encyclique.
François le bienveillant
La moquerie ça vous connaît M. Trololo.
Cette encyclique la connaissez-vous?
Elle est une réaction contre ceux qui lèsent les travailleurs.
Elle est donc favorable aux travailleurs...
________________________________________________
POSTES TRANSFÉRÉS:
----------------------------Monsieur Trololo a écrit:Monsieur Trololo a écrit:Leon 13 à moins que ce ne soit Dany26 a écrit:Les socialistes, pour guérir ce mal, poussent à la haine jalouse des pauvres contre les riches.Leon 13 a écrit:Ils prétendent que toute propriété de biens privés doit être supprimée, que les biens d'un chacun doivent être communs à tous, et que leur administration doit revenir aux municipalités ou à l'Etat.
Mensonge éhonté
-------------------Monsieur Trololo a écrit:Leon 13 a écrit:Si donc, en réduisant ses dépenses, il est arrivé à faire quelques épargnes et si, pour s'en assurer la conservation
Cynisme ou foutage de gueule total ?
On est au 19ème siècle là !
Monsieur Trololo a écrit:Leon 13 a écrit:Ce droit de propriété que Nous avons, au nom même de la nature, revendiqué pour l'individu, doit être maintenant transféré à l'homme, chef de famille.
Un grand féministe manifestement ...
------------------
Monsieur Trololo a écrit:Leon 13 a écrit:Parmi ces devoirs, voici ceux qui regardent le pauvre et l'ouvrier. Il doit fournir intégralement et fidèlement tout le travail auquel il s'est engagé par contrat libre et conforme à l'équité. Il ne doit point léser son patron, ni dans ses biens, ni dans sa personne. Ses revendications mêmes doivent être exemptes de violences et ne jamais revêtir la forme de séditions. Il doit fuir les hommes pervers qui, dans des discours mensongers, lui suggèrent des espérances exagérées et lui font de grandes promesses qui n'aboutissent qu'à de stériles regrets et à la ruine des fortunes.
Revanchisti un commentaire ?
Monsieur Trololo a écrit:Leon 13 a écrit:Quant aux riches et aux patrons, ils ne doivent point traiter l'ouvrier en esclave; il est juste qu'ils respectent en lui la dignité de l'homme, relevée encore par celle du chrétien. Le travail du corps, au témoignage commun de la raison et de la philosophie chrétienne, loin d'être un sujet de honte, fait honneur à l'homme, parce qu'il lui fournit un noble moyen de sustenter sa vie. Ce qui est honteux et inhumain, c'est d'user de l'homme comme d'un vil instrument de lucre, de ne restituer qu'en proportion de la vigueur de ses bras. Le christianisme, en outre, prescrit qu'il soit tenu compte des intérêts spirituels de l'ouvrier et du bien de son âme. Aux patrons, il revient de veiller à ce que l'ouvrier ait un temps suffisant à consacrer à la piété; qu'il ne soit point livré à la séduction et aux sollicitations corruptrices; que rien ne vienne affaiblir en lui l'esprit de famille, ni les habitudes d'économie.
On doit se marrer au boulot avec des patrons chrétiens ...
Ce sont là de très bonnes citations à retrouver dans l'encyclique RERUM NOVARUM...
Ces citations sont-elles comprises?
Perçues hors contexte par moquerie, elles ne correspondent pas à la réalité impliquée,
sauf celle de Trololo...
M. Trololo, pouvez-vous expliquer
ce qui vous dérange dans cette exposé?
Parlons donc de cette encyclique.
François le bienveillant
Dernière édition par François d'Assise le Sam 26 Oct 2024 - 17:30, édité 9 fois
François d'Assise- Maître
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Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
Moi tout ce que je vois c'est que ce pape essaie de justifier par tout les moyen la propriété privé comme si on était dans la "petite maison dans la prairie", or on est dans une société capitaliste ou une minorité détient l'appareil productif et asservit les travailleurs en leur donnant juste de quoi bouffer.
En plus il calomnie les socialiste qui réclament juste la mise en commun des moyens de production (industriels) pas celui de ta brosse à dent ou de ta paire de chaussure !
En plus il calomnie les socialiste qui réclament juste la mise en commun des moyens de production (industriels) pas celui de ta brosse à dent ou de ta paire de chaussure !
Monsieur Trololo- Vénérable
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Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
Langage contradictoire incompréhensible...Monsieur Trololo a écrit:Moi tout ce que je vois c'est que ce pape essaie de justifier par tout les moyen la propriété privé comme si on était dans la "petite maison dans la prairie", or on est dans une société capitaliste ou une minorité détient l'appareil productif et asservit les travailleurs en leur donnant juste de quoi bouffer.
En plus il calomnie les socialiste qui réclament juste la mise en commun des moyens de production (industriels) pas celui de ta brosse à dent ou de ta paire de chaussure !
Vous voyez bien que ce sujet ne peut être dans les rubriques d' ''UNIVERSITÉ''.
Dichotomie:
Vous dites:
Nous ne sommes dans dans une société capitaliste... ??
Questions:
1- C'est quoi une société capitaliste?
2-Comment y asservissons-nous les travailleurs?
3-En quoi le Saint-Père a-t-il parler contre les socialistes?
___________________________________
Je m'adresse ;
@tous et non pas seulement ;a monsieur Trololo:
Pour faire honneur à un tel sujet
à partir de cette encyclique
et bien d'autres par la suite:
Je disais sur Université:
Des syndicats ont leur place. L'encyclique fait honneur aux bobs syndicats.
Et la réglementation aussi...
C'est une histoire politique spécifique qui naît à cette époque et donne de bons fruits.
Pas tous cependant.
Reste à connaître la différence...
Ce n'était pas tous de bons dirigeants qui les occupaient...
Pour l'instant:
Ce qu'il faut savoir de l'Église:
c'est qu'elle allait produire sa doctrine sociale,
et la lire vient réfuter tout ce qu'on a pu dite de mal contre elle...
RERUM NOVARUM est un préambule à la doctrine sociale que l'Église va élaborer.
Elle n'est pas politique mais morale...
En résumé:
ce qu'est cette encyclique sociale:
Dans l'encyclique , le pape:
soutient le droit des travailleurs à former des syndicats;
il rejette à la fois
le socialisme
et
le capitalisme sans restriction,
en affirmant par le fait même
le droit à la propriété privée .
Rerum Novarum est considérée comme un préambule
aux écrits textes fondateurs
de l'enseignement social catholique moderne.
Étude non passive et pour les intéressés qui ne se croient pas aussi ''ferrés''
que des diffamateurs amateurs à tout simplifier (non conscients, je veux bien
leur donner le bénéfice du doute... )
facile à aborder.
On n'a faire pour l'instant dans le moteur de recherche un seul mot: celui indiqué en bleu ci-bas:
ouvrir l'encyclique
taper avec votre moteur de recherche, une fois rendu,
le mot ''ouvrier'' 57occurrences
ou encore
le mot ''social'' 13 occurrences
https://www.vatican.va/content/leo-xiii/fr/encyclicals/documents/hf_l-xiii_enc_15051891_rerum-novarum.html
François
bien veillant
François d'Assise- Maître
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Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
François d'Assise a écrit:
Langage contradictoire incompréhensible...
Ce que j'ai dit est parfaitement clair, c'est vous qui ne voulez pas comprendre !
François d'Assise a écrit:
Nous ne sommes dans dans une société capitaliste... ??
J'ai dit nous sommes dans une société capitaliste déjà y compris à l'époque de Leon 13 !
François d'Assise a écrit:
1- C'est quoi une société capitaliste?
Déjà vous même devriez vous renseigner un minimum et lire Marx pour comprendre. Je vais tenter de faire simple pour vous et pour ne pas tuer la discussion :
C'est une société ou la concentration du capital a permis un niveau de production très supérieur à celui des anciennes sociétés rurales (société rurale comme celles où vivait le Christ). Mais ce capital concentré qui permet la grande industrie la science etc ... est détenu par une minorité (les capitalistes ou la grande bourgeoisie).
C'est aussi une société où tout ou presque peut se marchandiser (ce qui n'était pas le cas des anciennes sociétés), et où le travail est parcellaire et travailleur se trouve séparé de son travail (je développerais dans votre 2).
François d'Assise a écrit:
2-Comment y asservissons-nous les travailleurs?
Contrairement aux anciennes sociétés comme celle de la petite maison dans la prairie, chaque paysan vivait de fruits de son travail sur ça parcelle en quasi autonomie, et éventuellement s'échangeait des productions avec ses voisins, dans une société capitaliste les moyens de production y compris la terre (même si dans certains pays c'est a nuancer pour la terre) sont détenus par une minorité de capitalistes, qui a les grosses machines qui permettent de produire beaucoup à bas cout. Le travail est organisé de tel manière que le travailleur :
1/ ne peut être autonome. Un type qui passe sa journée a visser des boulons sur une chaine de montage ne peut vivre en soi de son travail en soi (je veux dire il ne va pas manger des boulons. Il faut qu'il recoive un paie pour son travail pour en vivre, or cette paie dépend du patron capitaliste, et son travail dépend de la machine détenue par le patron capitaliste.
2/ N'a que peut d'espérance d'accéder à une autonomie véritable. Car ces machines qui produisent en masse valent des millions, et il ne gagnera jamais de quoi s'acheter une usine et payer les gens qui y travaillent.
3/ Ils est organisé de façon très hiérarchique et en haut de la hiérarchie nous avons donc ces fameux capitalistes
François d'Assise a écrit:
3-En quoi le Saint-Père a-t-il parler contre les socialistes?
Je t'ai mis le passage françois.
Il a dit que ce sont des gens qui excitent la haine contre les riches, qui veulent tout casser, t'obliger à partager taa brosse à dents etc ... Alors que ca n'est vraiment pas leur propos. Leur propos (aus socialistes) est de mettre en commun démocratiquement l'appareil productif capitaliste. Après ça c'est la théorie pour la pratique c'est autre chose qu'on pourra effectivement critiquer mais cela est un autre débat.
Monsieur Trololo- Vénérable
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Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
Monsieur Trololo a écrit:François d'Assise a écrit:
Langage contradictoire incompréhensible...
Ce que j'ai dit est parfaitement clair, c'est vous qui ne voulez pas comprendre !François d'Assise a écrit:
Nous ne sommes dans dans une société capitaliste... ??
J'ai dit nous sommes dans une société capitaliste déjà y compris à l'époque de Leon 13 !François d'Assise a écrit:
1- C'est quoi une société capitaliste?
Déjà vous même devriez vous renseigner un minimum et lire Marx pour comprendre. Je vais tenter de faire simple pour vous et pour ne pas tuer la discussion :
C'est une société ou la concentration du capital a permis un niveau de production très supérieur à celui des anciennes sociétés rurales (société rurale comme celles où vivait le Christ). Mais ce capital concentré qui permet la grande industrie la science etc ... est détenu par une minorité (les capitalistes ou la grande bourgeoisie).
C'est aussi une société où tout ou presque peut se marchandiser (ce qui n'était pas le cas des anciennes sociétés), et où le travail est parcellaire et travailleur se trouve séparé de son travail (je développerais dans votre 2).François d'Assise a écrit:
2-Comment y asservissons-nous les travailleurs?
Contrairement aux anciennes sociétés comme celle de la petite maison dans la prairie, chaque paysan vivait de fruits de son travail sur ça parcelle en quasi autonomie, et éventuellement s'échangeait des productions avec ses voisins, dans une société capitaliste les moyens de production y compris la terre (même si dans certains pays c'est a nuancer pour la terre) sont détenus par une minorité de capitalistes, qui a les grosses machines qui permettent de produire beaucoup à bas cout. Le travail est organisé de tel manière que le travailleur :
1/ ne peut être autonome. Un type qui passe sa journée a visser des boulons sur une chaine de montage ne peut vivre en soi de son travail en soi (je veux dire il ne va pas manger des boulons. Il faut qu'il recoive un paie pour son travail pour en vivre, or cette paie dépend du patron capitaliste, et son travail dépend de la machine détenue par le patron capitaliste.
2/ N'a que peut d'espérance d'accéder à une autonomie véritable. Car ces machines qui produisent en masse valent des millions, et il ne gagnera jamais de quoi s'acheter une usine et payer les gens qui y travaillent.
3/ Ils est organisé de façon très hiérarchique et en haut de la hiérarchie nous avons donc ces fameux capitalistesFrançois d'Assise a écrit:
3-En quoi le Saint-Père a-t-il parler contre les socialistes?
Je t'ai mis le passage françois.
Il a dit que ce sont des gens qui excitent la haine contre les riches, qui veulent tout casser, t'obliger à partager taa brosse à dents etc ... Alors que ca n'est vraiment pas leur propos. Leur propos (aus socialistes) est de mettre en commun démocratiquement l'appareil productif capitaliste. Après ça c'est la théorie pour la pratique c'est autre chose qu'on pourra effectivement critiquer mais cela est un autre débat.
J'ai mis les deux points d'interrogation en gros.
Vous ne semblez pas les avoir vus...
Vous avez semblé aussi être à la fois ou pour ou contre le capitalisme.
On ne sait pas trop.
Le Saint-Père n'est ni pour l'un ni pour l'autre des régimes qui sont à parfaire.
NOUS SOMMES dans ce monde où on doit constamment dialoguer
dans un même but afin de favoriser (invitant au climat pacifique) ce qui doit être amélioré...
On est dans une réalité spécifique, mais on accuse le pape d'avoir dit ce qu'il n'a jamais dit;
En le citant incomplètement... donnant a ses propos une autre dimension,
cela fausse le débat...
Vous ne cherchez pas ce qu'il se dit, dira-t-on,
mais à trouver a tout pris quelque chose qui contrecarrerait les propos de l'Église
qui s'est pourtant rangée auprès des oppressés.... (quels qu'ils soient).
LISEZ et LISONS (entrons dans ce qui se dit)
et trouvons tous de quoi relever les vrais propos de cette encyclique
et non pas rester dans un climat belliqueux
à pestiférer contre l'Église en l'accusant de complicité
à la fois du socialisme et du capitalisme sauvage...
Vous avez semblez nier que le Saint-Père est auprès des travailleurs
qui ont été forcés de s'industrialiser...
On ne sait plus trop.
le centre du sujet doit demeurer sur cette encyclique.
Lisez-la en entier, sinon ça tournera autour du pot...
Du moins relever les phrases avec les mots suggérés, dans un premier temps.
On n'a qu'à faire pour l'instant dans le moteur de recherche un seul mot: l'un ou l'autre
celui indiqué en bleu ci-bas:
ouvrir l'encyclique
taper avec votre moteur de recherche, une fois rendu,
le mot ''ouvrier'' 57occurrences
ou encore
le mot ''social'' 13 occurrences
https://www.vatican.va/content/leo-xiii/fr/encyclicals/documents/hf_l-xiii_enc_15051891_rerum-novarum.html
_____________________.
CE QU'ONT été les socialistes RADICAUX dont il est question à cette époque...
LA VÉRITÉ, est que le socialisme communiste, parce que c'est de lui qu'il s'agit,
poussait les pauvres à la haine des riches. Et ce n'est pas la solution.
La solution existe cependant.
On ne peut faire retour en arrière.
Et quand le Saint-Père parle de propriété, il s'agit encore de la rendre accessibles aux travailleurs
en lui rendant un juste salaire.
DIXIT:
«Mais, parmi les devoirs principaux du patron, il faut mettre au premier rang celui de donner à chacun le salaire qui convient. Assurément, pour fixer la juste mesure du salaire, il y a de nombreux points de vue à considérer. Mais d'une manière générale, que le riche et le patron se souviennent qu'exploiter la pauvreté et la misère, et spéculer sur l'indigence sont choses que réprouvent également les lois divines et humaines. Ce serait un crime à crier vengeance au ciel, que de frustrer quelqu'un du prix de ses labeurs. "Voilà que le salaire que vous avez dérobé par fraude à vos ouvriers crie contre vous, et que leur clameur est montée jusqu'aux oreilles du Dieu des armées". »
Ne râclez pas.
Dites seulement si vous l'avez vu ou non...
François
bien veillant
François d'Assise- Maître
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Localisation : Limitrophe toutes les nations
Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
François d'Assise a écrit:
J'ai mis les deux points d'interrogation en gros.
Vous ne semblez pas les avoir vus...
Moi il me semble que vous n'avez même pas fait l'effort de lire en entier mes réponses car j'ai répondu à vos questions plus haut.
Donc si vous ne lisez même pas ce que j'écris je ne vais pas perdre mon temps continuer à vous répondre !
François d'Assise a écrit:
poussait les pauvres à la haine des riches. Et ce n'est pas la solution..
Non du tout ce sont les riches eux même qui ont poussé à la haine en exploitant odieusement les pauvres et en faisant tirer à balles réelles sur ceux qui osaient manifester pacifiquement pour l'amélioration de leur conditions de travail !
François d'Assise a écrit:
Et quand le Saint-Père parle de propriété, il s'agit encore de la rendre accessibles aux travailleurs
en lui rendant un juste salaire.
Il ne peut y avoir de juste salaire sans contrôle démocratique des travailleurs sur la production !
François d'Assise a écrit:
«Mais, parmi les devoirs principaux du patron, il faut mettre au premier rang celui de donner à chacun le salaire qui convient. Assurément, pour fixer la juste mesure du salaire, il y a de nombreux points de vue à considérer. Mais d'une manière générale, que le riche et le patron se souviennent qu'exploiter la pauvreté et la misère, et spéculer sur l'indigence sont choses que réprouvent également les lois divines et humaines. Ce serait un crime à crier vengeance au ciel, que de frustrer quelqu'un du prix de ses labeurs. "Voilà que le salaire que vous avez dérobé par fraude à vos ouvriers crie contre vous, et que leur clameur est montée jusqu'aux oreilles du Dieu des armées". »
De quel droit le Patron est Patron d'abord ? Pouvez vous répondre à cette simple question François ?
Est-ce Dieu en personne qui a nommé le patron patron de droit divin ???
Monsieur Trololo- Vénérable
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Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
Vous répondre?Monsieur Trololo a écrit:François d'Assise a écrit:
J'ai mis les deux points d'interrogation en gros.
Vous ne semblez pas les avoir vus...
Moi il me semble que vous n'avez même pas fait l'effort de lire en entier mes réponses car j'ai répondu à vos questions plus haut.
Donc si vous ne lisez même pas ce que j'écris je ne vais pas perdre mon temps continuer à vous répondre !François d'Assise a écrit:
poussait les pauvres à la haine des riches. Et ce n'est pas la solution..
Non du tout ce sont les riches eux même qui ont poussé à la haine en exploitant odieusement les pauvres et en faisant tirer à balles réelles sur ceux qui osaient manifester pacifiquement pour l'amélioration de leur conditions de travail !François d'Assise a écrit:
Et quand le Saint-Père parle de propriété, il s'agit encore de la rendre accessibles aux travailleurs
en lui rendant un juste salaire.
Il ne peut y avoir de juste salaire sans contrôle démocratique des travailleurs sur la production !François d'Assise a écrit:
«Mais, parmi les devoirs principaux du patron, il faut mettre au premier rang celui de donner à chacun le salaire qui convient. Assurément, pour fixer la juste mesure du salaire, il y a de nombreux points de vue à considérer. Mais d'une manière générale, que le riche et le patron se souviennent qu'exploiter la pauvreté et la misère, et spéculer sur l'indigence sont choses que réprouvent également les lois divines et humaines. Ce serait un crime à crier vengeance au ciel, que de frustrer quelqu'un du prix de ses labeurs. "Voilà que le salaire que vous avez dérobé par fraude à vos ouvriers crie contre vous, et que leur clameur est montée jusqu'aux oreilles du Dieu des armées". »
De quel droit le Patron est Patron d'abord ? Pouvez vous répondre à cette simple question François ?
Est-ce Dieu en personne qui a nommé le patron patron de droit divin ???
C'est ce qui est en train de se faire depuis un bon bout de temps.
Le sens du partage est un atout.
On met en évidence ce qui doit l'être.
Tout sera contenu dans les propos qui répondent progressivement aux mises au point
sur un questionnements qu'on veut éclairer, pourvu qu'on ne veuille pas tout nier déjà à l'avance.
Inutile d'écrire en gros...
Le simple bon sens suffit pour reconnaître la haute valeur morale et humanitaire de l'encyclique Rerum Novarum.
Vous savez quoi?
Restons-en là et attendons voir une meilleure participation d'autres qui s'intéresseront au sujet.
.
Après tant de postes, si vous n'avez pas encore compris ce ne sera pas aujourd'hui non plus...
Je disais bien ceci, que vous n'avez pas non plus vu:
Je m'adresse ;
@tous et non pas seulement à monsieur Trololo ...
pour faire honneur à un tel sujet
à partir de cette encyclique
et bien d'autres par la suite:
___________________
En attendant:
Le questionnement que l'on cherche à éclaircir
ne pourra pas donner de bons résultats sans d'abord convenir de l'objectivité du contenu de la lettre encyclique.
À savoir:
Dans la société
le patron est autant là que l'employé.
Chacun a des devoirs et engagements d'ordre différent.
Ils ont tous les deux tant besoin l'un de l'autre.
Et ne supposer que de mauvais patrons,
et d'autres mal intentionnés, est déjà de se fermer a tout dialogue et bonnes interventions proposés.
Le but du dialogue entre employés et patronat, via un intermédiaire,
est de discuter sur l'équité tant d'un salaire que des conditions de travail.
Ce n'est pas François d'assise qui a dit, ce qui suit, citer de ma référence,
: mais Léon XIII:
citation en question:
«Mais, parmi les devoirs principaux du patron,
il faut mettre au premier rang celui de donner à chacun le salaire qui convient.
Assurément, pour fixer la juste mesure du salaire, il y a de nombreux points de vue à considérer.
Mais d'une manière générale, que le riche et le patron se souviennent
qu'exploiter la pauvreté et la misère,
et spéculer sur l'indigence sont choses que réprouvent également les lois divines et humaines.
Ce serait un crime à crier vengeance au ciel, que de frustrer quelqu'un du prix de ses labeurs.
"Voilà que le salaire que vous avez dérobé par fraude à vos ouvriers crie contre vous,
et que leur clameur est montée jusqu'aux oreilles du Dieu des armées" (citation biblique ). »
Il n'y a que reconnaissance
d'admettre le bien fondé de cette encyclique...
C'est le rôle des encycliques et des intervenants qui plaideront en bons intermédiaires
quand on sait se servir de cet écrit, et il le fut grandement, et encore aujourd'hui il est d'actualité.
______
Avant même le règne de Léon XIII
par exemple, de ceux qui ont su voir arriver ce courant anarchique que l'on nommera le socialisme en question:
Un parmi d'autres:
Alexis-Charles-Henri Clérel, de Tocqueville né en 1805 à Paris et mort en 1859 à Cannes,
est un magistrat, «écrivain, historien, académicien, philosophe, voyageur, politologue,
précurseur de la sociologie et homme politique français.»
citation:
«Le socialisme, c’est une attaque tantôt directe, tantôt indirecte mais toujours continue aux principes mêmes de la propriété individuelle ; c’est une défiance profonde de la liberté, de la raison humaine ; c’est un profond mépris pour l’individu pris en lui-même, à l’état d’homme ; ce qui caractérise [les systèmes (connus à l'époque)
qui portent le nom de socialisme],
c’est une tentative continue, variée, incessante, pour mutiler, pour écourter,
pour gêner la liberté humaine de toutes les manières ;
c’est l’idée que l’État ne doit pas seulement être le directeur de la société,
mais doit être, pour ainsi dire, le maître de chaque homme – que dis-je ! son maître, son précepteur, son pédagogue ;
que de peur de le laisser faillir, il doit se placer sans cesse à côté de lui, au-dessus de lui, autour de lui,
pour le guider, le garantir, le retenir, le maintenir ; en un mot, c’est la confiscation de la liberté humaine.
À ce point que si en définitive j’avais à trouver une formule générale pour exprimer ce que m’apparaît
être le socialisme dans son ensemble, je dirais que c’est une nouvelle formule de la servitude...»
À suivre pour les intéressés.
François le bienvellant
Dernière édition par François d'Assise le Sam 26 Oct 2024 - 17:32, édité 1 fois
François d'Assise- Maître
- Messages : 2674
Date d'inscription : 10/03/2023
Localisation : Limitrophe toutes les nations
Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
François d'Assise a écrit:...
À savoir:
Dans la société
le patron est autant là que l'employé.
Chacun ont des devoirs et engagements d'ordre différent.
Ils ont tous les deux tant besoin l'un de l'autre.
Et ne supposer que de mauvais patrons,
et d'autres mal intentionnés, est déjà de se fermer a tout dialogue et bonnes interventions proposés.
Le but du dialogue entre employés et patronat, via un intermédiaire,
est de discuter sur l'équité tant d'un salaire que des conditions de travail.....
Une des réponses peut être synthétisée par: tout est une question de différentiels concitoyens/inter-humains, de décence (indécent ou pas, entre ceux qui "méritent" et ceux qui "déméritent" ) et pour réguler tout ça dans le temporel, il faut des limites légales (une fourchette maxi comme mini, en revenus et pénibilités et patrimoine)
... car définir globalement les "mérites et/ou démérites" de façon exhaustive et précise est complètement impossible (même les IAs ne savent pas, car trop subjectif).
Mais éthiquement, il n'y a aucune raison raisonnable de dire qu'un homme vaut 100 fois plus qu'un autre.
Notre société actuelle a déjà franchis largement les bornes du raisonnable.
IA a écrit:
Cette question touche à des questions éthiques complexes et philosophiques. Voici une analyse possible :
### Analyse
La déclaration selon laquelle un homme vaut 100 fois plus qu'un autre est extrêmement subjective et peut être considérée comme éthiquement problématique pour plusieurs raisons :
1. Égalité des droits : Cette affirmation va à l'encontre du principe d'égalité des droits et de la dignité humaine. Chaque individu a une valeur inhérente indépendamment de ses réalisations ou de sa position sociale.
2. Principe de non-discrimination : Cette déclaration pourrait être utilisée pour justifier des discriminations arbitraires entre les personnes, ce qui est contraire aux principes éthiques modernes.
3. Risque de stigmatisation : Une telle affirmation pourrait conduire à la stigmatisation de ceux qui ne sont pas considérés comme ayant une "valeur" élevée selon cette mesure.
4. Manque de précision : La notion de "valeur" , "mérite" est subjective et varie selon les cultures et les sociétés. Il n'est pas possible de mesurer ou de comparer la valeur d'un individu à celle d'un autre avec précision.
### Conclusion
Il est faux de dire qu'un homme vaut 100 fois plus qu'un autre. Cette affirmation est ethiquement discutable car elle va à l'encontre de nombreux principes éthiques fondamentaux tels que l'égalité, le respect de la dignité humaine et le principe de non-discrimination.
Il est important de reconnaître la valeur et la dignité de chaque personne, quelles que soient ses réalisations ou sa position sociale. Les jugements sur la valeur d'une personne doivent être basés sur des critères objectifs et équitables, plutôt que sur des estimations subjectives ou arbitraires.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
- Messages : 20650
Date d'inscription : 02/01/2022
Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
Exact dans la conclusion!Edouard de Montmonrency a écrit:François d'Assise a écrit:...
À savoir:
Dans la société
le patron est autant là que l'employé.
Chacun ont des devoirs et engagements d'ordre différent.
Ils ont tous les deux tant besoin l'un de l'autre.
Et ne supposer que de mauvais patrons,
et d'autres mal intentionnés, est déjà de se fermer a tout dialogue et bonnes interventions proposés.
Le but du dialogue entre employés et patronat, via un intermédiaire,
est de discuter sur l'équité tant d'un salaire que des conditions de travail.....
Une des réponses peut être synthétisée par: tout est une question de différentiels concitoyens/inter-humains, de décence (indécent ou pas, entre ceux qui "méritent" et ceux qui "déméritent" ) et pour réguler tout ça dans le temporel, il faut des limites légales (une fourchette maxi comme mini, en revenus et pénibilités et patrimoine)
... car définir globalement les "mérites et/ou démérites" de façon exhaustive et précise est complètement impossible (même les IAs ne savent pas, car trop subjectif).
Mais éthiquement, il n'y a aucune raison raisonnable de dire qu'un homme vaut 100 fois plus qu'un autre.
Notre société actuelle a déjà franchis largement les bornes du raisonnable.IA a écrit:
Cette question touche à des questions éthiques complexes et philosophiques. Voici une analyse possible :
### Analyse
La déclaration selon laquelle un homme vaut 100 fois plus qu'un autre est extrêmement subjective et peut être considérée comme éthiquement problématique pour plusieurs raisons :
1. Égalité des droits : Cette affirmation va à l'encontre du principe d'égalité des droits et de la dignité humaine. Chaque individu a une valeur inhérente indépendamment de ses réalisations ou de sa position sociale.
2. Principe de non-discrimination : Cette déclaration pourrait être utilisée pour justifier des discriminations arbitraires entre les personnes, ce qui est contraire aux principes éthiques modernes.
3. Risque de stigmatisation : Une telle affirmation pourrait conduire à la stigmatisation de ceux qui ne sont pas considérés comme ayant une "valeur" élevée selon cette mesure.
4. Manque de précision : La notion de "valeur" , "mérite" est subjective et varie selon les cultures et les sociétés. Il n'est pas possible de mesurer ou de comparer la valeur d'un individu à celle d'un autre avec précision.
### Conclusion
Il est faux de dire qu'un homme vaut 100 fois plus qu'un autre. Cette affirmation est ethiquement discutable car elle va à l'encontre de nombreux principes éthiques fondamentaux tels que l'égalité, le respect de la dignité humaine et le principe de non-discrimination.
Il est important de reconnaître la valeur et la dignité de chaque personne, quelles que soient ses réalisations ou sa position sociale. Les jugements sur la valeur d'une personne doivent être basés sur des critères objectifs et équitables, plutôt que sur des estimations subjectives ou arbitraires.
L'effort humain reconnu aura sa juste évaluation et l'acceptation d'embauche reconnaîtrait déjà
la valeur d'un homme qui mériterait par conséquent son salaire.
Les rendements peuvent être différents, et la valeur de l'utilité d'un plus petit reconnu
et ainsi rémunérable d'une juste part (au coût de la vie ) dès qu' on le conçoit utile dans une entreprise.
F l b
François d'Assise- Maître
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Localisation : Limitrophe toutes les nations
Edouard de Montmonrency aime ce message
Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
François d'Assise a écrit:
Exact dans la conclusion!
L'effort humain reconnu aura sa juste évaluation et l'acceptation d'embauche reconnaîtrait déjà
la valeur d'un homme qui mériterait par conséquent son salaire.
Les rendements peuvent être différents, et la valeur de l'utilité d'un plus petit reconnu
et ainsi rémunérable d'une juste part (au coût de la vie ) dès qu' on le conçoit utile dans une entreprise.
F l b
Nan mais ça c'est du flan !
Qui décide de qui à de la valeur ou non déjà de base ?
Qui est légitime pour faire ça???
Qui le fait réellement dans une société capitaliste ???
Qui décide quoi produire et comment rémunérer les gens en fonction ?
Commencez déjà par répondre à ces questions avant d'aller plus loin.
Monsieur Trololo- Vénérable
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Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
Monsieur Trololo a écrit:François d'Assise a écrit:
Exact dans la conclusion!
L'effort humain reconnu aura sa juste évaluation et l'acceptation d'embauche reconnaîtrait déjà
la valeur d'un homme qui mériterait par conséquent son salaire.
Les rendements peuvent être différents, et la valeur de l'utilité d'un plus petit reconnu
et ainsi rémunérable d'une juste part (au coût de la vie ) dès qu' on le conçoit utile dans une entreprise.
F l b
Nan mais ça c'est du flan !
Qui décide de qui à de la valeur ou non déjà de base ?
Qui est légitime pour faire ça???
Qui le fait réellement dans une société capitaliste ???
Qui décide quoi produire et comment rémunérer les gens en fonction ?
Commencez déjà par répondre à ces questions avant d'aller plus loin.
Sur un plan Global, Mondial, c'est utopique ... sur un plan National ou Régional, c'est faisable (avec une Loi du maximum souveraine basée sur le médian et le smic pour le mini).
Bref il faut quantifier la décence acceptable sur les différentiels concitoyens.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
Nan mais vous êtes autistes les mecs ou quoi ?
J'ai posé une question simple :
Qui est légitime pour décider qui a de la valeur ou pas ? Sur quelle base fondez vous cette légitimité ?
J'ai posé une question simple :
Qui est légitime pour décider qui a de la valeur ou pas ? Sur quelle base fondez vous cette légitimité ?
Monsieur Trololo- Vénérable
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Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
Monsieur Trololo a écrit:Nan mais vous êtes autistes les mecs ou quoi ?
J'ai posé une question simple :
Qui est légitime pour décider qui a de la valeur ou pas ? Sur quelle base fondez vous cette légitimité ?
Il n'y a pas de question ... En Démocratie c'est le peuple , les plus de 50% (la gouvernance du peuple, par le peuple, pour le peuple) ... en Théocratie c'est normalement à Dieu de décider, en Oligarchie c'est aux déjà ultra-riches de décider, en Dictature c'est au dictateur de décider, etc etc).
Et on est en Démocratie. (encore pour le moment)
Edouard de Montmonrency- Vénérable
- Messages : 20650
Date d'inscription : 02/01/2022
Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
Edouard de Montmonrency a écrit:Monsieur Trololo a écrit:Nan mais vous êtes autistes les mecs ou quoi ?
J'ai posé une question simple :
Qui est légitime pour décider qui a de la valeur ou pas ? Sur quelle base fondez vous cette légitimité ?
Il n'y a pas de question ... En Démocratie c'est le peuple , les plus de 50% (la gouvernance du peuple, par le peuple, pour le peuple) ... en Théocratie c'est normalement à Dieu de décider, en Oligarchie c'est aux déjà ultra-riches de décider, etc etc).
Et on est en Démocratie. (encore pour le moment)
OK donc manifestement nous ne sommes pas en démocratie, puisque ceux qui décident des salaires sont les patrons capitalistes et certainement pas le peuple.
CQFD mon Doudou
Quand au système théocratique manifestement Dieu n'a rien dit sur les rémunérations des travailleurs, alors on fait quoi on construit un radio-telescope pour écouter ses pensées ?
Monsieur Trololo- Vénérable
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Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
... On est depuis le référendum de 2005 bafoué, dans une Démocratie qui n'écoute plus assez son peuple. Une Démocratie sourde dingue.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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Date d'inscription : 02/01/2022
Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
Edouard de Montmonrency a écrit:... On est depuis le référendum de 2005 bafoué, dans une Démocratie qui n'écoute plus assez son peuple.
On ne l'était pas plus avant 2005 mon Doudou, puisque le peuple n'a jamais décidé des salaires.
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
... Plus, déjà il y avait des référendums, et en plus ils n'étaient pas bafoués.
... On est depuis le référendum de 2005 bafoué, dans une Démocratie qui n'écoute plus assez son peuple. Une Démocratie sourde dingue. C'est pour ça que ça crie de plus en plus fort.
... On est depuis le référendum de 2005 bafoué, dans une Démocratie qui n'écoute plus assez son peuple. Une Démocratie sourde dingue. C'est pour ça que ça crie de plus en plus fort.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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Date d'inscription : 02/01/2022
Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
Edouard de Montmonrency a écrit:... Plus, déjà il y avait des référendums, et en plus ils n'étaient pas bafoués.
... On est depuis le référendum de 2005 bafoué, dans une Démocratie qui n'écoute plus assez son peuple. Une Démocratie sourde dingue.
On n'a jamais été dans une Démocratie véritable dans ce pays, à part durant quelques épisodes révolutionnaires de courte durée.
Ni après 2005 ni avant 2005.
Une Démocratie qui n'écoute plus son peuple ça ne veut juste rien dire, puisque par définition la Démocratie est le pouvoir du peuple !
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Monsieur Trololo et pour ceux qui voudraient parler du pape Léon XIII et de son encyclique RERUM NOVARUM VS les socialismes radicaux de l'époque...
C'est pour ça que ça crie de plus en plus fort.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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Date d'inscription : 02/01/2022
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