Re: Colère des agriculteurs : à qui profitent toujours les mobilisations de la FNSEA ?

[Vladimir de Volog]

Soutenir la FNSEA c'est servir du surimi en disant qu'il est pêché par des bateaux fonctionnant à la voile.

[jacques]

Soutenir la FNSEA c'est servir du surimi en disant qu'il est pêché par des bateaux fonctionnant à la voile.

Tout à fait celà!

[Vladimir de Volog]

Soutenir la FNSEA c'est servir du surimi en disant qu'il est pêché par des bateaux fonctionnant à la voile.

Tout à fait celà!

Comme quoi on peut se rejoindre sur certains sujets.

[Vladimir de Volog]

Alors que Bruno Retailleau avait promis une tolérance 0 envers les agriculteurs, au bout de 5 jours de mobilisations il y a eu 0 interpellation.

À Guéret, selon une source sécuritaire locale, les policiers avaient pour consigne de tolérer certaines dégradations.
Face à la colère des agriculteurs, Bruno Retailleau voulait une réponse ferme "Pas d’atteinte aux biens, ni aux personnes, pas de blocage durable, ça sera tolérance zéro."

Réponses des agriculteurs : "qu’il aille se faire foutre."

Bilan de cette opération 0 tolérance :

À Gueret dans la Creuse une trentaine d’agriculteurs sont entrées de force dans la mutuelle sociale agricole. Les policiers sont présents mais aucun ne bouge, alors que le portail est forcé. Pareil au sas d’entrée où un commissaire les regarde.

Les agriculteurs s’attaquent ensuite à l’office française de la biodiversité, la police chargeait de les contrôler.
Ils forcent la porte, déposent des déchets et font des tags sous les regards des policiers, qui ne bougent pas.

La préfecture ni tout traitement de faveur envers les paysans. Pourtant selon les consignes qu’ils ont reçu ils avaient de tolérer certaines dégradations.

"On a regardé et quand les agriculteurs ont forcé la porte on a rien pu faire."

Plusieurs dizaines d’actions ont eu lieu à travers la France ces derniers jours, et il y a toujours 0 interpellation.

Interrogé sur ce laxisme, le ministre de l’intérieur a précisé que la réaction des policiers sera plus ferme, "si les manifestations se durcissent".

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