Djihadisme, Islam et terrorisme ...
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Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
Hollande avait promis de faire respecter cet interdit
http://fr.sputniknews.com/international/20151024/1019065031/syrie--front-nosra-armee.html#ixzz3pVWry2vT
Le leader du Front al-Nosra abattu par l'armée syrienne
L'armée syrienne a abattu à Alep Abou Suleiman al-Masri, le leader du groupe terroriste Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda, a confirmé une source de Sputnik samedi.
Selon la source, le terroriste a été tué lors de combats près du village de Tal-al-Karsani, dans les environs d'Alep.
La nouvelle avait été annoncée plus tôt dans la journée par le quotidien britannique Daily Mail.
Le Front al-Nosra est une branche d'Al-Qaïda qui cherche à renverser le gouvernement en Syrie. Damas mène pour sa part des opérations militaires contre des combattants de différents groupes djihadistes, notamment l'Etat islamique.
http://fr.sputniknews.com/international/20151024/1019065031/syrie--front-nosra-armee.html#ixzz3pVWry2vT
Le leader du Front al-Nosra abattu par l'armée syrienne
L'armée syrienne a abattu à Alep Abou Suleiman al-Masri, le leader du groupe terroriste Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda, a confirmé une source de Sputnik samedi.
Selon la source, le terroriste a été tué lors de combats près du village de Tal-al-Karsani, dans les environs d'Alep.
La nouvelle avait été annoncée plus tôt dans la journée par le quotidien britannique Daily Mail.
Le Front al-Nosra est une branche d'Al-Qaïda qui cherche à renverser le gouvernement en Syrie. Damas mène pour sa part des opérations militaires contre des combattants de différents groupes djihadistes, notamment l'Etat islamique.
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
Hollande avait promis beaucoup de choses , mais la seule qu'il a respecté c'est le mariage gay .ganem a écrit:Hollande avait promis de faire respecter cet interdit
Pour être honnête ce n'est pas le seul qui fasse des promesses et puis ne les respectent pas .
Mais les français ont la mémoire courte , la dernière fois le slogan c'était" tout sauf Sarkosy" sous entendu quand même Le Pen même pas la peine d'y penser .
Cette fois ci ce sera sans doute 'tout sauf Hollande ", mais une pièce n'a que deux faces .
Pour répondre a ton dernier message .
Tué le leadermachin ? ; il va bien en repousser un autre .Aucun souci à avoir .
Invité- Invité
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
Lysliane a écrit:Hollande avait promis beaucoup de choses , mais la seule qu'il a respecté c'est le mariage gay .ganem a écrit:Hollande avait promis de faire respecter cet interdit
Pour être honnête ce n'est pas le seul qui fasse des promesses et puis ne les respectent pas .
Mais les français ont la mémoire courte , la dernière fois le slogan c'était" tout sauf Sarkosy" sous entendu quand même Le Pen même pas la peine d'y penser .
Cette fois ci ce sera sans doute 'tout sauf Hollande ", mais une pièce n'a que deux faces .
Pour répondre a ton dernier message .
Tué le leadermachin ? ; il va bien en repousser un autre .Aucun souci à avoir .
Et ouais c'est le problème liliane... :/ Suffit de voir après la mort du Mollah Omar, il a été remplacé par un autre peut être encore pire (le Mollah Mansour).
Napoléon III- Chef
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Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
Aslam taslam
Islamise toi et tu auras la vie sauve.
Mahomet PBSL, lui même a reconnu, que il n'a vaincu que par la terreur
"Je suis le prophète du carnage. Je suis le rieur sanglant".
Islamise toi et tu auras la vie sauve.
Mahomet PBSL, lui même a reconnu, que il n'a vaincu que par la terreur
"Je suis le prophète du carnage. Je suis le rieur sanglant".
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
http://www.lorientlejour.com/article/951505/-fatwas-et-caricatures-de-lina-murr-nehme-le-reve-panislamique.html
« Fatwas et caricatures » de Lina Murr Nehmé : le rêve panislamique...
« Fatwas et caricatures » de Lina Murr Nehmé : le rêve panislamique...
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
[fb-post]https://www.facebook.com/notes/david-belhassen/la-bosnie-le-bogomilisme-et-lislam-le-sc%C3%A9nario-mod%C3%A8le-dislamisation-de-leurope/1717443775155354[/fb-post]
https://www.facebook.com/notes/david-belhassen/la-bosnie-le-bogomilisme-et-lislam-le-sc%C3%A9nario-mod%C3%A8le-dislamisation-de-leurope/1717443775155354
La Bosnie, le Bogomilisme et l’islam : le scénario modèle d’islamisation de l’Europe
David Belhassen·vendredi 27 novembre 2015
Quiconque veut comprendre la stratégie d’islamisation de l’Europe, se doit de connaître l’histoire du Bogomilisme et de la Bosnie.
Il n’y a aucune différence d’origine ethnique entre Serbes et Bosniaques. La seule chose qui les séparait était la manière de pratiquer et de croire au christianisme. Les Serbes étaient orthodoxes et catholiques. Et les Bosniaques, étaient des bogomilistes. Du Xèmes siècle et jusqu’au XIVème siècle après J.-C - soit durant 4 siècles! -, ces deux frères ennemis se sont déchirés dans des guerres fratricides dues à leurs divergences en matière de foi et de croyances chrétiennes. Et puis, vers la fin du XIVème et avec l’invasion ottomane musulmane, on découvre tout à coup que les Bosniaques sont devenus musulmans !
Pour comprendre comment cela a t-il pu se passer, il faut d’abord savoir ce qu’était le bogomilisme. Pour faire bref, le bogomilisme - fondé au Xème siècle par un pope d’origine bulgare qui se fit appeler Bogomil -, avait des accointances avec le catharisme. Le bogomilisme croyait au dualisme, s’opposait aux cultes des icones, et à la papauté etc... Il fut considéré par l’Eglise comme une secte néfaste et une dangereuse hérésie. Les Bogomiles subirent alors moult persécutions de la part des Serbes catholiques et orthodoxes, y compris physiques.
Lorsque les Ottomans musulmans entreprirent la conquête de la Serbie et de la Bosnie, ils trouvèrent en Bosnie une population bogomile emplie d’animosité et de ressentiments envers leurs oppresseurs Serbes catholiques et orthodoxes. C’est alors que les Ottomans musulmans leur tinrent le discours suivant : “Les Serbes catholiques et orthodoxes sont des idolâtres ! Ils ne sont pas de vrais monothéistes comme vous, les Bogomiles. Par contre nous sommes, nous, de véritables monothéistes, des purs et durs comme vous. Aidez-nous à vaincre les Serbes catholiques et orthodoxes, et alors nous vous aiderons à les convertir tous au bogomilisme.”
Abusés, les Bogomiles perçurent ces Ottomans musulmans comme une sorte de secte chrétienne intégriste, un bogomilisme déviant certes, mais très proche d’eux. Ils s’allièrent donc aux Ottomans musulmans et leur ouvrirent généreusement et naïvement leurs frontières. Les Ottomans musulmans pénétrèrent alors en Bosnie, et pour “remercier” les Bosniaques de leur collaboration zélée, ils les “invitèrent” à se convertir tous à l’islam pour ne pas avoir la gorge tranchée et la tête décapitée.
La suite est connue : En 1465, tous les nobles Bosniaques bogomiles qui “embrassèrent” l'islam formèrent un corps de plus de trente mille janissaires qui aidèrent le Sultan ottoman à islamiser l’Albanie, le Kossovo et presque toute l’Europe ! Tandis que plus de deux cent mille Bosniaques bogomiles du petit peuple qui refusèrent de se convertir à l’islam, furent trucidés ou vendus sur les marchés musulmans comme esclaves et eunuques, les autres furent convertis à l’islam et, quoique restés fidèles à la langue slave, devinrent parmi les plus farouche dans la diffusion de l’islam.
Ce ne fut pas seulement la fin du Bogomilisme chrétien, mais également la fin du sentiment commun des Bosniaques et des Serbes d’appartenir au même peuple ! Les Bosniaques s’allièrent même à Hitler contre les Serbes, et c’est parmi eux qu’on trouve les pires tortionnaires des camps nazis d’extermination contre les Juifs.
Tel fut le funeste “scénario” qui transforma irrémédiablement le peuple de la Bosnie bogomile en musulman.
Si vous pensez que ce “scénario” peut se reproduire en France, vous ne vous trompez pas !Déjà, des missionnaires et des propagandistes musulmans sillonnent la France à la rencontre de citoyens français Protestants, Huguenots, Témoins de Jéhovah, Évangélistes et autres courants chrétiens (au total plus de 5 millions!), et leur tiennent le même discours sournois de haine envers les citoyens français catholiques que leurs prédécesseurs ottomans musulmans avaient tenu aux Bosniaques bogomiles.
Les Ottomans avaient alors réussi à “cueillir” les Bosniaques comme une poire juteuse de l’arbre.
Aujourd’hui, c’est le tour des Français. Demain sera celui de tous les autres Européens.
https://www.facebook.com/notes/david-belhassen/la-bosnie-le-bogomilisme-et-lislam-le-sc%C3%A9nario-mod%C3%A8le-dislamisation-de-leurope/1717443775155354
La Bosnie, le Bogomilisme et l’islam : le scénario modèle d’islamisation de l’Europe
David Belhassen·vendredi 27 novembre 2015
Quiconque veut comprendre la stratégie d’islamisation de l’Europe, se doit de connaître l’histoire du Bogomilisme et de la Bosnie.
Il n’y a aucune différence d’origine ethnique entre Serbes et Bosniaques. La seule chose qui les séparait était la manière de pratiquer et de croire au christianisme. Les Serbes étaient orthodoxes et catholiques. Et les Bosniaques, étaient des bogomilistes. Du Xèmes siècle et jusqu’au XIVème siècle après J.-C - soit durant 4 siècles! -, ces deux frères ennemis se sont déchirés dans des guerres fratricides dues à leurs divergences en matière de foi et de croyances chrétiennes. Et puis, vers la fin du XIVème et avec l’invasion ottomane musulmane, on découvre tout à coup que les Bosniaques sont devenus musulmans !
Pour comprendre comment cela a t-il pu se passer, il faut d’abord savoir ce qu’était le bogomilisme. Pour faire bref, le bogomilisme - fondé au Xème siècle par un pope d’origine bulgare qui se fit appeler Bogomil -, avait des accointances avec le catharisme. Le bogomilisme croyait au dualisme, s’opposait aux cultes des icones, et à la papauté etc... Il fut considéré par l’Eglise comme une secte néfaste et une dangereuse hérésie. Les Bogomiles subirent alors moult persécutions de la part des Serbes catholiques et orthodoxes, y compris physiques.
Lorsque les Ottomans musulmans entreprirent la conquête de la Serbie et de la Bosnie, ils trouvèrent en Bosnie une population bogomile emplie d’animosité et de ressentiments envers leurs oppresseurs Serbes catholiques et orthodoxes. C’est alors que les Ottomans musulmans leur tinrent le discours suivant : “Les Serbes catholiques et orthodoxes sont des idolâtres ! Ils ne sont pas de vrais monothéistes comme vous, les Bogomiles. Par contre nous sommes, nous, de véritables monothéistes, des purs et durs comme vous. Aidez-nous à vaincre les Serbes catholiques et orthodoxes, et alors nous vous aiderons à les convertir tous au bogomilisme.”
Abusés, les Bogomiles perçurent ces Ottomans musulmans comme une sorte de secte chrétienne intégriste, un bogomilisme déviant certes, mais très proche d’eux. Ils s’allièrent donc aux Ottomans musulmans et leur ouvrirent généreusement et naïvement leurs frontières. Les Ottomans musulmans pénétrèrent alors en Bosnie, et pour “remercier” les Bosniaques de leur collaboration zélée, ils les “invitèrent” à se convertir tous à l’islam pour ne pas avoir la gorge tranchée et la tête décapitée.
La suite est connue : En 1465, tous les nobles Bosniaques bogomiles qui “embrassèrent” l'islam formèrent un corps de plus de trente mille janissaires qui aidèrent le Sultan ottoman à islamiser l’Albanie, le Kossovo et presque toute l’Europe ! Tandis que plus de deux cent mille Bosniaques bogomiles du petit peuple qui refusèrent de se convertir à l’islam, furent trucidés ou vendus sur les marchés musulmans comme esclaves et eunuques, les autres furent convertis à l’islam et, quoique restés fidèles à la langue slave, devinrent parmi les plus farouche dans la diffusion de l’islam.
Ce ne fut pas seulement la fin du Bogomilisme chrétien, mais également la fin du sentiment commun des Bosniaques et des Serbes d’appartenir au même peuple ! Les Bosniaques s’allièrent même à Hitler contre les Serbes, et c’est parmi eux qu’on trouve les pires tortionnaires des camps nazis d’extermination contre les Juifs.
Tel fut le funeste “scénario” qui transforma irrémédiablement le peuple de la Bosnie bogomile en musulman.
Si vous pensez que ce “scénario” peut se reproduire en France, vous ne vous trompez pas !Déjà, des missionnaires et des propagandistes musulmans sillonnent la France à la rencontre de citoyens français Protestants, Huguenots, Témoins de Jéhovah, Évangélistes et autres courants chrétiens (au total plus de 5 millions!), et leur tiennent le même discours sournois de haine envers les citoyens français catholiques que leurs prédécesseurs ottomans musulmans avaient tenu aux Bosniaques bogomiles.
Les Ottomans avaient alors réussi à “cueillir” les Bosniaques comme une poire juteuse de l’arbre.
Aujourd’hui, c’est le tour des Français. Demain sera celui de tous les autres Européens.
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/matzneff-les-trois-petits-cochons-30-11-2015-1985808_1885.php
Matzneff - Les trois petits cochons
Des attentats de Paris est née une "génération Bataclan" dont le manque de spiritualité, de courage et de profondeur fait horreur à Gabriel Matzneff...
Par Gabriel Matzneff
Les trois petits cochons tiennent à leur vie pépère, le tragique leur fait horreur, ils ne veulent pas entendre parler de la mort, ni de l’éternité, ni du salut de leurs âmes, ni de l’ascèse, ni du jeûne, ni de Dieu ; ce qu’ils désirent, c’est continuer à boire des bocks de bière.
Les trois petits cochons tiennent à leur vie pépère, le tragique leur fait horreur, ils ne veulent pas entendre parler de la mort, ni de l’éternité, ni du salut de leurs âmes, ni de l’ascèse, ni du jeûne, ni de Dieu ; ce qu’ils désirent, c’est continuer à boire des bocks de bière.
Trafalgar Square et la gare de Waterloo sont à Londres. La gare d'Austerlitz et la rue d'Arcole sont, elles, à Paris. Aux lieux, aux monuments, on donne des noms de victoires, non de défaites. De même, dans les écoles militaires les promotions de jeunes officiers prennent les noms de soldats victorieux : « Maréchal de Turenne », « Général Lassalle », « Lieutenant-Colonel Amilakvari ». Quand, par extraordinaire, il s'agit de vaincus, ce sont des vaincus qui se sont battus héroïquement jusqu'au bout, ont été vaincus avec tous les honneurs de la guerre : une des promotions de Saint-Cyr se nomme « Ceux de Diên Biên Phu ».
Quel est le suicidaire crétin qui a donné le nom de « génération Bataclan » aux jeunes femmes et jeunes hommes qui ont l'âge des victimes du vendredi 13 novembre 2015 ? C'est l'État islamique qui doit donner ce nom à ses jeunes citoyens, non la France, pour qui ce vendredi 13 novembre 2015 demeurera la date d'une de ses plus spectaculaires et déprimantes défaites.
La médiocrité de cette « génération Bataclan »
Ce choix de « génération Bataclan » exprime un masochisme, un mépris de soi ahurissant. Et l'on est accablé par la médiocrité petite-bourgeoise, l'insignifiance des propos tenus par les survivants de cette « génération Bataclan » lorsqu'ils sont interrogés par les journalistes ou s'expriment sur les réseaux sociaux. Le zozo qui s'est mis une ceinture de cœurs autour de la taille, l'autre imbécile qui se balade avec une pancarte « Vous êtes tous super ! », le troisième qui déclare fièrement que son but dans la vie est de continuer à se distraire, à voir les copains, ces petits bourgeois qui tiennent pour un acte de courage de dîner au restaurant le vendredi soir.
S'il s'agissait de gamins de douze ans, ce serait admissible. Hélas, ce n'est pas le cas. Ceux qui se comportent de manière si niaise, si médiocre sont des adultes, des barbus. J'ai dit « ahurissant », mais le mot juste est « consternant ». Comme a été consternante la cérémonie d'hommage aux victimes dans la cour des Invalides. J'adore Barbara et je connais par cœur certaines de ses chansons, mais ce jour-là, c'est le « Dies irae » qui, après La Marseillaise, devait retentir en ce haut lieu, non une gentille chansonnette, et nous aurions été autrement saisis aux tripes si, à la place du discours fadasse de M. Hollande, un acteur de la Comédie-Française nous avait lu le Sermon sur la mort de Bossuet.
Ils ne vivent pas, ils existent
Cette niaiserie, cette médiocrité s'expliquent par le total vide spirituel de tant de nos compatriotes. Ils ne vivent pas, ils existent, ils ont une vue horizontale des êtres et des choses. Ce sont les trois petits cochons d'une chanson que M. Hollande aurait dû faire chanter aux Invalides, elle lui va comme un gant : « Qui a peur du grand méchant loup ? C'est pas nous, c'est pas nous ! Nous sommes les trois petits cochons qui dansons en rond. »
À part le pape de Rome et le patriarche de Moscou, qui, en Europe, fait appel aux forces de l'Esprit, invite les gens à la transcendance ? Personne. En tout cas, personne en France où les responsables politiques pleurnichent contre la montée de l'islamisme, mais leur unique réponse, pour endiguer cette montée, est d'interdire les crèches de Noël dans les mairies. Bientôt, j'en fais le pari, la passionnante fête de la Nativité, du mystère de l'incarnation, du Verbe qui se fait Chair, du Christ Dieu et homme, sera, comme en Union soviétique à l'époque de la persécution antichrétienne, remplacée par une fête du Bonhomme Hiver, Diadia Moroz, mouture léniniste du père Noël.
Ce qu'ils désirent, c'est continuer à boire des bocks de bière
Jadis, du général de Gaulle à François Mitterrand, certains chefs d'État surent parler de transcendance aux petits cochons à béret basque et baguette de pain, les inviter à se dépasser, à lire Sénèque, Plutarque et Pascal. Aujourd'hui, l'État n'invite pas les Français à renouer avec les vivifiants trésors de leur patrimoine gréco-romain et chrétien, il en est incapable. L'État ne parle jamais de leur âme aux Français de la « génération Bataclan », et ceux-ci persistent à n'avoir d'autre souci que de gagner de l'argent, en foutre le moins possible, partir en vacances et s'amuser. Les trois petits cochons tiennent à leur vie pépère, le tragique leur fait horreur, ils ne veulent pas entendre parler de la mort, ni de l'éternité, ni du salut de leurs âmes, ni de l'ascèse, ni du jeûne, ni de Dieu ; ce qu'ils désirent, c'est continuer à boire des bocks de bière et surtout, surtout, que les vilains terroristes du méchant calife Abou Bakr al-Baghdadi les laissent tranquilles, na !
Pendant ce temps-là, dans nos banlieues où l'on s'ennuie, où au lieu d'inviter les jeunes Français d'origine maghrébine à – comme le firent naguère les jeunes Français d'origine arménienne, russe, espagnole, italienne, polonaise – lire Les Trois Mousquetaires, visiter le Louvre, voir Les Enfants du paradis, l'État n'enseigne que le football et d'abstraites « vertus républicaines » qui ne font bander personne, c'est le méchant calife qui leur parle de leur âme ; leur enseigne la transcendance ; leur explique que ce qui fait la grandeur de l'homme, comme l'enseignèrent jadis le Bouddha, Épicure, le Christ, ce n'est pas le Sum, mais le Sursum ; non pas le soi, mais le dépassement de soi ; non pas le confort, mais le sacrifice. C'est ce que ces adolescents rebelles, écorchés vifs, comme le sont depuis toujours les adolescents sensibles, ont soif d'entendre. Éduqués, instruits, ils pourraient devenir de lumineux Aliocha Karamazov, mais, grandissant parmi des adultes plats comme des limandes, ils basculent du côté du calife, de l'archange noir de la mort, du grand méchant loup. Il faut être très bête, ou d'une extraordinaire mauvaise foi, pour s'en étonner.
Matzneff - Les trois petits cochons
Des attentats de Paris est née une "génération Bataclan" dont le manque de spiritualité, de courage et de profondeur fait horreur à Gabriel Matzneff...
Par Gabriel Matzneff
Les trois petits cochons tiennent à leur vie pépère, le tragique leur fait horreur, ils ne veulent pas entendre parler de la mort, ni de l’éternité, ni du salut de leurs âmes, ni de l’ascèse, ni du jeûne, ni de Dieu ; ce qu’ils désirent, c’est continuer à boire des bocks de bière.
Les trois petits cochons tiennent à leur vie pépère, le tragique leur fait horreur, ils ne veulent pas entendre parler de la mort, ni de l’éternité, ni du salut de leurs âmes, ni de l’ascèse, ni du jeûne, ni de Dieu ; ce qu’ils désirent, c’est continuer à boire des bocks de bière.
Trafalgar Square et la gare de Waterloo sont à Londres. La gare d'Austerlitz et la rue d'Arcole sont, elles, à Paris. Aux lieux, aux monuments, on donne des noms de victoires, non de défaites. De même, dans les écoles militaires les promotions de jeunes officiers prennent les noms de soldats victorieux : « Maréchal de Turenne », « Général Lassalle », « Lieutenant-Colonel Amilakvari ». Quand, par extraordinaire, il s'agit de vaincus, ce sont des vaincus qui se sont battus héroïquement jusqu'au bout, ont été vaincus avec tous les honneurs de la guerre : une des promotions de Saint-Cyr se nomme « Ceux de Diên Biên Phu ».
Quel est le suicidaire crétin qui a donné le nom de « génération Bataclan » aux jeunes femmes et jeunes hommes qui ont l'âge des victimes du vendredi 13 novembre 2015 ? C'est l'État islamique qui doit donner ce nom à ses jeunes citoyens, non la France, pour qui ce vendredi 13 novembre 2015 demeurera la date d'une de ses plus spectaculaires et déprimantes défaites.
La médiocrité de cette « génération Bataclan »
Ce choix de « génération Bataclan » exprime un masochisme, un mépris de soi ahurissant. Et l'on est accablé par la médiocrité petite-bourgeoise, l'insignifiance des propos tenus par les survivants de cette « génération Bataclan » lorsqu'ils sont interrogés par les journalistes ou s'expriment sur les réseaux sociaux. Le zozo qui s'est mis une ceinture de cœurs autour de la taille, l'autre imbécile qui se balade avec une pancarte « Vous êtes tous super ! », le troisième qui déclare fièrement que son but dans la vie est de continuer à se distraire, à voir les copains, ces petits bourgeois qui tiennent pour un acte de courage de dîner au restaurant le vendredi soir.
S'il s'agissait de gamins de douze ans, ce serait admissible. Hélas, ce n'est pas le cas. Ceux qui se comportent de manière si niaise, si médiocre sont des adultes, des barbus. J'ai dit « ahurissant », mais le mot juste est « consternant ». Comme a été consternante la cérémonie d'hommage aux victimes dans la cour des Invalides. J'adore Barbara et je connais par cœur certaines de ses chansons, mais ce jour-là, c'est le « Dies irae » qui, après La Marseillaise, devait retentir en ce haut lieu, non une gentille chansonnette, et nous aurions été autrement saisis aux tripes si, à la place du discours fadasse de M. Hollande, un acteur de la Comédie-Française nous avait lu le Sermon sur la mort de Bossuet.
Ils ne vivent pas, ils existent
Cette niaiserie, cette médiocrité s'expliquent par le total vide spirituel de tant de nos compatriotes. Ils ne vivent pas, ils existent, ils ont une vue horizontale des êtres et des choses. Ce sont les trois petits cochons d'une chanson que M. Hollande aurait dû faire chanter aux Invalides, elle lui va comme un gant : « Qui a peur du grand méchant loup ? C'est pas nous, c'est pas nous ! Nous sommes les trois petits cochons qui dansons en rond. »
À part le pape de Rome et le patriarche de Moscou, qui, en Europe, fait appel aux forces de l'Esprit, invite les gens à la transcendance ? Personne. En tout cas, personne en France où les responsables politiques pleurnichent contre la montée de l'islamisme, mais leur unique réponse, pour endiguer cette montée, est d'interdire les crèches de Noël dans les mairies. Bientôt, j'en fais le pari, la passionnante fête de la Nativité, du mystère de l'incarnation, du Verbe qui se fait Chair, du Christ Dieu et homme, sera, comme en Union soviétique à l'époque de la persécution antichrétienne, remplacée par une fête du Bonhomme Hiver, Diadia Moroz, mouture léniniste du père Noël.
Ce qu'ils désirent, c'est continuer à boire des bocks de bière
Jadis, du général de Gaulle à François Mitterrand, certains chefs d'État surent parler de transcendance aux petits cochons à béret basque et baguette de pain, les inviter à se dépasser, à lire Sénèque, Plutarque et Pascal. Aujourd'hui, l'État n'invite pas les Français à renouer avec les vivifiants trésors de leur patrimoine gréco-romain et chrétien, il en est incapable. L'État ne parle jamais de leur âme aux Français de la « génération Bataclan », et ceux-ci persistent à n'avoir d'autre souci que de gagner de l'argent, en foutre le moins possible, partir en vacances et s'amuser. Les trois petits cochons tiennent à leur vie pépère, le tragique leur fait horreur, ils ne veulent pas entendre parler de la mort, ni de l'éternité, ni du salut de leurs âmes, ni de l'ascèse, ni du jeûne, ni de Dieu ; ce qu'ils désirent, c'est continuer à boire des bocks de bière et surtout, surtout, que les vilains terroristes du méchant calife Abou Bakr al-Baghdadi les laissent tranquilles, na !
Pendant ce temps-là, dans nos banlieues où l'on s'ennuie, où au lieu d'inviter les jeunes Français d'origine maghrébine à – comme le firent naguère les jeunes Français d'origine arménienne, russe, espagnole, italienne, polonaise – lire Les Trois Mousquetaires, visiter le Louvre, voir Les Enfants du paradis, l'État n'enseigne que le football et d'abstraites « vertus républicaines » qui ne font bander personne, c'est le méchant calife qui leur parle de leur âme ; leur enseigne la transcendance ; leur explique que ce qui fait la grandeur de l'homme, comme l'enseignèrent jadis le Bouddha, Épicure, le Christ, ce n'est pas le Sum, mais le Sursum ; non pas le soi, mais le dépassement de soi ; non pas le confort, mais le sacrifice. C'est ce que ces adolescents rebelles, écorchés vifs, comme le sont depuis toujours les adolescents sensibles, ont soif d'entendre. Éduqués, instruits, ils pourraient devenir de lumineux Aliocha Karamazov, mais, grandissant parmi des adultes plats comme des limandes, ils basculent du côté du calife, de l'archange noir de la mort, du grand méchant loup. Il faut être très bête, ou d'une extraordinaire mauvaise foi, pour s'en étonner.
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
-20151201-[Sarkozy__Quand_on_consulte_des_images_de_djihadistes__on_est_un_djihadiste_003INDS]-[RB2D106H0014ILLB]-20151201071800#PMID=eWxvdW5lc0Bob3RtYWlsLmZy]http://www.lexpress.fr/actualite/politique/lr/sarkozy-quand-on-consulte-des-images-de-djihadistes-on-est-un-djihadiste_1741082.html?PMSRC_CAMPAIGN=20151201081601_49_nl_nl_lexpress_quotidienne_565d48f7d3860bca068b4567&xtor=EPR-181-[20151201081601_49_nl_nl_lexpress_quotidienne_565d48f7d3860bca068b4567_001CKA]-20151201-[Sarkozy__Quand_on_consulte_des_images_de_djihadistes__on_est_un_djihadiste_003INDS]-[RB2D106H0014ILLB]-20151201071800#PMID=eWxvdW5lc0Bob3RtYWlsLmZy
Pour Sarkozy, "quand on consulte des images de djihadistes, on est djihadiste"
L'ancien président Nicolas Sarkozy a estimé lundi que "rien n'a été fait" par le gouvernement en matière de sécurité depuis les attentats de janvier, demandant d'aller "plus loin", en créant notamment des "centres de déradicalisation".
"Nous avons approuvé l'état d'urgence, les perquisitions, les décisions qui nous avaient été refusées alors que nous les demandions mais nous voulons savoir ce qui s'est passé et pourquoi après les attentats de janvier rien n'avait été mis en oeuvre".
Lundi soir lors d'un meeting de soutien à la liste de la droite et du centre menée en Normandie par Hervé Morin (UDI) pour les élections régionales, Nicolas Sarkozy, le président des Républicains (LR) a dénoncé "la bien-pensance qui nous empêchait de débattre de ce que nous voulions débattre". "Les familles sont en droit de se tourner vers les responsables et de dire: où a conduit votre attente, cette sorte de démission devant la bien-pensance", a-t-il ajouté.
"Créer des centres de déradicalisation"
Nicolas Sarkozy a rappelé les critiques qu'il avait essuyées après son discours de Grenoble, en juillet 2010, et à l'occasion du débat sur l'identité nationale. "Lorsque j'avais dit que quelqu'un qui a trahi la France doit se voir retirer la nationalité française, c'était à Grenoble", a-t-il rappelé. Désormais, après les derniers attentats, la réponse est "naturellement sécuritaire", a-t-il estimé.
"Je veux dire aux autorités qu'il faut aller plus loin, qu'il faut créer des centres de déradicalisation", a proposé l'ancien président de la République. "Pourquoi n'a t-on pas mis en oeuvre le délit de consultations de sites djihadistes?", a-t-il questionné. "Pardon de cette image mais quand on consulte des images de pédophilie, on est un pédophile, quand on consulte des images de djihadistes on est un djihadiste", a lancé Nicolas Sarkozy, "à moins de démontrer qu'on est un professeur qui fait des recherches".
L'ancien président de la République a ensuite regretté que, dans les médias, "il n'y en a(it) plus que pour la COP 21". Mais lui-même a consacré l'essentiel de son discours à la problématique des derniers attentats, n'abordant les élections régionales de dimanche prochain que pour soutenir la droite normande.
Pour Sarkozy, "quand on consulte des images de djihadistes, on est djihadiste"
L'ancien président Nicolas Sarkozy a estimé lundi que "rien n'a été fait" par le gouvernement en matière de sécurité depuis les attentats de janvier, demandant d'aller "plus loin", en créant notamment des "centres de déradicalisation".
"Nous avons approuvé l'état d'urgence, les perquisitions, les décisions qui nous avaient été refusées alors que nous les demandions mais nous voulons savoir ce qui s'est passé et pourquoi après les attentats de janvier rien n'avait été mis en oeuvre".
Lundi soir lors d'un meeting de soutien à la liste de la droite et du centre menée en Normandie par Hervé Morin (UDI) pour les élections régionales, Nicolas Sarkozy, le président des Républicains (LR) a dénoncé "la bien-pensance qui nous empêchait de débattre de ce que nous voulions débattre". "Les familles sont en droit de se tourner vers les responsables et de dire: où a conduit votre attente, cette sorte de démission devant la bien-pensance", a-t-il ajouté.
"Créer des centres de déradicalisation"
Nicolas Sarkozy a rappelé les critiques qu'il avait essuyées après son discours de Grenoble, en juillet 2010, et à l'occasion du débat sur l'identité nationale. "Lorsque j'avais dit que quelqu'un qui a trahi la France doit se voir retirer la nationalité française, c'était à Grenoble", a-t-il rappelé. Désormais, après les derniers attentats, la réponse est "naturellement sécuritaire", a-t-il estimé.
"Je veux dire aux autorités qu'il faut aller plus loin, qu'il faut créer des centres de déradicalisation", a proposé l'ancien président de la République. "Pourquoi n'a t-on pas mis en oeuvre le délit de consultations de sites djihadistes?", a-t-il questionné. "Pardon de cette image mais quand on consulte des images de pédophilie, on est un pédophile, quand on consulte des images de djihadistes on est un djihadiste", a lancé Nicolas Sarkozy, "à moins de démontrer qu'on est un professeur qui fait des recherches".
L'ancien président de la République a ensuite regretté que, dans les médias, "il n'y en a(it) plus que pour la COP 21". Mais lui-même a consacré l'essentiel de son discours à la problématique des derniers attentats, n'abordant les élections régionales de dimanche prochain que pour soutenir la droite normande.
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
Vidéo de l’état islamique : “Ce qui arrive sera pire que ce que vous avez connu, le sang va couler”
Voilà ce que font les musulmans avec des chrétiens. les média en Europe se détournent des atrocités faites aux chrétiens par ces musulmans fanatiques qui tuent les bébés chrétiens, ceux-la même, qui viennent en Europe comme migrants et qu'on accueille a bras ouvert?
et il faudrait tendre la main à de pareils "fumiers".
Voilà ce que font les musulmans avec des chrétiens. les média en Europe se détournent des atrocités faites aux chrétiens par ces musulmans fanatiques qui tuent les bébés chrétiens, ceux-la même, qui viennent en Europe comme migrants et qu'on accueille a bras ouvert?
et il faudrait tendre la main à de pareils "fumiers".
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
DAESH est le vrai islam pratiqué par Mahomet PBSL.
islam, islam, quand tu nous tiens
islam, islam, quand tu nous tiens
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
La RATP a encore frappé au Yémen.
http://www.france24.com/fr/20151206-yemen-gouverneur-aden-tue-attaque-suicide-voiture-piegee-saad
Le gouverneur d'Aden tué dans une attaque-suicide à la voiture piégée
Le gouverneur de la province d'Aden, le général Jaafar Mohamed Saad, a été tué ce dimanche dans une attaque-suicide à la voiture piégée contre son convoi. L'organisation de l'État islamique a revendiqué l'attentat.
Le gouverneur de la province d'Aden, le général Jaafar Mohamed Saad, a été tué, dimanche 6 décembre, dans un attentat à la voiture piégée dans la deuxième grande ville du Yémen.
Au moins six membres de son convoi ont également été tués et plusieurs autres blessés dans cette attaque-suicide, revendiquée par l'organisation de l'État islamique (EI), qui s'est produite dans le quartier de Tawahi, alors que le gouverneur se rendait à son bureau.
Ce quartier de Aden est connu pour être un fief de jihadistes d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa), que les autorités peinent à déloger.
Le général Jaafar Saad avait pris récemment ses fonctions de gouverneur d'Aden. Cet ancien général de l'armée du Yémen du Sud marxiste, avant la réunification du pays en 1990, est un proche du président Abd Rabbo Mansour Hadi, qui s'est installé à la mi-novembre dans cette ville déclarée capitale "provisoire" du pays, en lieu et place de Sanaa.
Ce pays pauvre de la péninsule arabique est ravagé par des combats entre les forces loyalistes soutenues par une coalition militaire arabe formée par l'Arabie saoudite et les rebelles chiites houthis pro-iraniens qui se sont emparés de vastes régions, dont la capitale.
http://www.france24.com/fr/20151206-yemen-gouverneur-aden-tue-attaque-suicide-voiture-piegee-saad
Le gouverneur d'Aden tué dans une attaque-suicide à la voiture piégée
Le gouverneur de la province d'Aden, le général Jaafar Mohamed Saad, a été tué ce dimanche dans une attaque-suicide à la voiture piégée contre son convoi. L'organisation de l'État islamique a revendiqué l'attentat.
Le gouverneur de la province d'Aden, le général Jaafar Mohamed Saad, a été tué, dimanche 6 décembre, dans un attentat à la voiture piégée dans la deuxième grande ville du Yémen.
Au moins six membres de son convoi ont également été tués et plusieurs autres blessés dans cette attaque-suicide, revendiquée par l'organisation de l'État islamique (EI), qui s'est produite dans le quartier de Tawahi, alors que le gouverneur se rendait à son bureau.
Ce quartier de Aden est connu pour être un fief de jihadistes d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa), que les autorités peinent à déloger.
Le général Jaafar Saad avait pris récemment ses fonctions de gouverneur d'Aden. Cet ancien général de l'armée du Yémen du Sud marxiste, avant la réunification du pays en 1990, est un proche du président Abd Rabbo Mansour Hadi, qui s'est installé à la mi-novembre dans cette ville déclarée capitale "provisoire" du pays, en lieu et place de Sanaa.
Ce pays pauvre de la péninsule arabique est ravagé par des combats entre les forces loyalistes soutenues par une coalition militaire arabe formée par l'Arabie saoudite et les rebelles chiites houthis pro-iraniens qui se sont emparés de vastes régions, dont la capitale.
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
http://www.lejdd.fr/Societe/L-assaillant-du-commissariat-identifie-par-son-entourage-767471
L'assaillant du commissariat identifié par son entourage
Même s'"il est encore trop tôt pour parler d'identification formelle",
plusieurs personnes de l'entourage de l'homme abattu jeudi à Paris
l'ont reconnu sur sa photo vendredi : l'assaillant s’appellerait Tarek
Belgacem. L'homme est Tunisien et non Marocain, comme il l'avait
déclaré lors d'une affaire de vol en 2013.
Commissariat de Paris
Le commissariat de la Goutte d'Or, jeudi. (Reuters)
Tarek Belgacem. Ce serait le véritable nom de l'homme abattu jeudi
devant un commissariat parisien et non Sallah Ali, comme l'assaillant
l'avait déclaré quand il avait été arrêté pour vol en 2013. "Plusieurs
personnes de l'entourage de Tarek Belgacem, se présentant comme son
cousin et ses parents, ont notamment reconnu sa photo", a déclaré à
l'AFP une source proche de l'enquête. "Il y a donc une très forte
probabilité" que ce soit lui "mais il est encore trop tôt pour parler
d'identification formelle", a ajouté cette source.
Itélé et BFMTV affirmaient vendredi après-midi que l'homme
s'appellerait Tarek Belkacem. Ce nom correspond à celui écrit dans sa
revendication trouvée la veille sur son corps. Car, selon une autre
source proche de l'enquête, le message indiquait : "Je suis Abou Jihad
Tounsi, Tarek Belgacem (Tunis)."
En 2013, il se présentait comme un SDF né en 1995 au Maroc
Aucun des deux noms, Tarek Belgacem et Sallah Ali, n'est connu des
services antiterroristes. Mais jeudi soir, les analyses des empreintes
relevées sur l'homme, tué par des policiers alors qu'il forçait les
barrières placées devant le commissariat de la Goutte d'Or en
brandissant un hachoir de boucher, au cri de "Allah Akbar" (Dieu est
le plus grand, en arabe) ont révélé qu'il était connu des services de
police. Mis en cause en 2013 dans une affaire de vol à Sainte-Maxime
(Var), ses empreintes avaient alors été prises et l'homme avait
déclaré aux gendarmes s'appeler Sallah Ali. Il se présentait comme un
sans domicile fixe, né en 1995 à Casablanca au Maroc.
Vendredi matin, le procureur de Paris François Molins se disait
néanmoins "pas du tout certain que l'identité qu'il a donnée soit
réelle". "Cette identité est contredite par un papier manuscrit"
trouvé sur lui, "sur lequel il y a la profession de foi musulmane, un
drapeau de Daech dessiné, et son nom, mais (...) il se dit Tunisien et
pas Marocain", disait-il sur France Inter.
Outre l'identification, les enquêteurs s'intéressent également à un
téléphone portable trouvé en sa possession et "doté d'une puce
allemande", selon le procureur de Paris
L'assaillant du commissariat identifié par son entourage
Même s'"il est encore trop tôt pour parler d'identification formelle",
plusieurs personnes de l'entourage de l'homme abattu jeudi à Paris
l'ont reconnu sur sa photo vendredi : l'assaillant s’appellerait Tarek
Belgacem. L'homme est Tunisien et non Marocain, comme il l'avait
déclaré lors d'une affaire de vol en 2013.
Commissariat de Paris
Le commissariat de la Goutte d'Or, jeudi. (Reuters)
Tarek Belgacem. Ce serait le véritable nom de l'homme abattu jeudi
devant un commissariat parisien et non Sallah Ali, comme l'assaillant
l'avait déclaré quand il avait été arrêté pour vol en 2013. "Plusieurs
personnes de l'entourage de Tarek Belgacem, se présentant comme son
cousin et ses parents, ont notamment reconnu sa photo", a déclaré à
l'AFP une source proche de l'enquête. "Il y a donc une très forte
probabilité" que ce soit lui "mais il est encore trop tôt pour parler
d'identification formelle", a ajouté cette source.
Itélé et BFMTV affirmaient vendredi après-midi que l'homme
s'appellerait Tarek Belkacem. Ce nom correspond à celui écrit dans sa
revendication trouvée la veille sur son corps. Car, selon une autre
source proche de l'enquête, le message indiquait : "Je suis Abou Jihad
Tounsi, Tarek Belgacem (Tunis)."
En 2013, il se présentait comme un SDF né en 1995 au Maroc
Aucun des deux noms, Tarek Belgacem et Sallah Ali, n'est connu des
services antiterroristes. Mais jeudi soir, les analyses des empreintes
relevées sur l'homme, tué par des policiers alors qu'il forçait les
barrières placées devant le commissariat de la Goutte d'Or en
brandissant un hachoir de boucher, au cri de "Allah Akbar" (Dieu est
le plus grand, en arabe) ont révélé qu'il était connu des services de
police. Mis en cause en 2013 dans une affaire de vol à Sainte-Maxime
(Var), ses empreintes avaient alors été prises et l'homme avait
déclaré aux gendarmes s'appeler Sallah Ali. Il se présentait comme un
sans domicile fixe, né en 1995 à Casablanca au Maroc.
Vendredi matin, le procureur de Paris François Molins se disait
néanmoins "pas du tout certain que l'identité qu'il a donnée soit
réelle". "Cette identité est contredite par un papier manuscrit"
trouvé sur lui, "sur lequel il y a la profession de foi musulmane, un
drapeau de Daech dessiné, et son nom, mais (...) il se dit Tunisien et
pas Marocain", disait-il sur France Inter.
Outre l'identification, les enquêteurs s'intéressent également à un
téléphone portable trouvé en sa possession et "doté d'une puce
allemande", selon le procureur de Paris
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
Tant que l'on voudra se voiler la face sur la dangerosité des écrits islamiques, rien n'avancera vraiment et le terrorisme mahométan continuera car s'il s'est assoupi quand il n'était plus en force , l'or noir l'a ravivé. Le pouvoir de l'argent lui permet d'entrevoir comme tout à fait possible le pouvoir absolu et mondial. Le pouvoir sur l'Occident non musulman et chrétien par sa culture, rêve des frères musulmans, des salafis, des wahhabites ... Le plus triste ce n'est pas le fait que ces musulmans veulent imposer l'islam mais le fait que l'Occident le laisse s'imposer en parlant par ex de pas d'amalgame entre l'islam et le terrorisme coranique/mahométan, alors que l'amalgame est de fait.
Ces musulmanes zélées de l'EI qui torturent d'autres femmes qui ne seraient pas assez vertueuses car donnant le sein à leur enfant hors de chez elles, sont le résultat d'une idéologie nuisible et haineuse via ses écrits (coran, hadiths, etc...). La femme qui attendait un enfant hors mariage et que mahomet a fait lapider après la naissance de son bébé, montre une violence intrinsèque à l'idéologie islamique/mahométane. Le mahométisme est l'oeuvre d'un sociopathe qui n'est surement pas un modèle à suivre. Le bons suiveurs des pas de mahomet, donnent l'EI et copains.
Violées, lapidées, martyrisées...au nom d'Allah Puissant et Sage
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
Autant donner de la confiture aux cochons que de démocratiser les musulmans : cas de la Tunisie
Le régime théocratique liberticide est le seul destin politique pour les musulmans (Art. 17 décembre 2011)
La Tunisie est en pleine déliquescence morale, politique, sociale et économique. Elle était au bord du gouffre hier et ses propres enfants lui ont fait faire un grand bond en avant en lui voilant les yeux avec le hijab de l’islam. Comme si les tunisiens avaient cassé ce fil tenu qui les séparent de l’anti-histoire.
En pensant écrire une nouvelle histoire de leur pays, ils lui font emprunter un chemin qui va à contre-sens de l’histoire.
En effet, les tunisiens qui se sont soulevés un jour comme un seul homme dans un grand sursaut d’orgueil et de fierté nationale en espérant redonner la dignité nécessaire à leur pays, or, c’est bien tout le contraire qui s’est produit. Pire qu’avant, qu’au point -je demeure convaincu- que certains tunisiens doivent regretter l’ère de Ben Ali et leur relative sécurité matérielle et tranquillité d’esprit (ils ne vivaient pas dans l’angoisse de vivre dans l’islam régentant tous les aspects de leur vie).
Aujourd’hui en guise d’espoir d’une vie meilleure ici-bas, leurs nouveaux gouvernants plus préoccupés par l’application des décrets canon que par l’intérêt public leur font miroiter sous la contrainte et l’opprobre l’espérance d’une vie meilleure dans l’au-delà.
Manoeuvre pernicieuse pour masquer leurs incompétences. Instrumentaliser la religion est une ficelle grossière surtout symptomatique de la confiscation pouvoir, de l’octroi des privilèges et de l’accaparement des richesses par des gouvernants qui faute de légitimité politique se servent de Dieu pour asseoir leur domination sur leurs peuples. Les tunisiens sont tombés dans le piège du nouveau messianisme politique tel que l’incarne la coalition tripartite au pouvoir.
Leur pays prend l’allure d’une mosquée géante à ciel ouvert où prédomine les signes ostentatoires de l’appartenance à des groupements communalistes sectaires. l’espace public est devenu le champ de l’exercice de pouvoir du sacré. Où l’interdit est devenu la seule norme sociale et la vie des gens doit être en conformité avec les prescrits de la religion. Ni sphère privée, ni sphère publique.
Tout s’entremêle et se confond. Seule l’obéissance à la Loi de la religion doit être leur seule guidance. Ce qui laisse augurer un avenir des plus sombres et inquiétants à la démocratie car elle est contraire aux dogmes de l’Islam alors que c’est elle qui lui a remis les clés du pouvoir en Tunisie. Ce qu’on peut qualifier des effets pervers de la révolution tunisienne. Eux qui croyaient améliorer leurs conditions matérielles de vie sur terre, brisant les chaînes du despotisme pour instaurer un nouvel ordre social et politique en totale rupture avec l’ancien en s’attaquant aux causes de leurs maux voilà que ceux dont les urnes de l’avanie démocratique ont désigné comme nouveaux maîtres du pays leur font prendre le chemin de l’indignité, du mépris et de l’ignominie. Au lieu de s’inscrire dans la logique de l’esprit de la révolution tunisienne, ils préfèrent d’ores et déjà dévoiler aux tunisiens leur vrai visage anti-national, anti-patriotique et en décalage avec l’identité plurielle tunisienne.
Plutôt que de mener politique citoyenne et responsable , ils se mettent à vilipender, vitupérer et invectiver la femme tunisienne responsable et indépendante qui a fait le choix de sa liberté d’esprit et de conscience en tenant à son propos des paroles blessantes et intolérables qui touchent à sa dignité et sa probité morale tel que le terme de safirate employé par le Président fantoche et homme luge d’Ennahdha.
Ils jettent l’anathème sur tous ceux qui ne font pas publiquement allégeance à leur système de valeur régressif et réactionnaire.
La censure religieuse et morale s’est substituée à la liberté. Ils menacent de les envoyer dans les bûchers de l’enfer s’ils ne se soumettent pas à loi naturelle des choses. Celle qui assimile la résignation à son sort comme soumission à la volonté de Dieu et la résilience comme un sacrilège. Celle qui interdit toute revendication pour une meilleure justice sociale.
Les règles du jeu politique et social sont prédéterminées, les cartes sont attribuées à l’avance, tout un chacun se doit de les conserver et les préserver même si les modalités de distribution sont ésotériques, irrationnelles, injustes, arbitraires, dégradantes et humiliantes pour la condition de vie humaine.
Peu importe les frustrations que cet ordre inégalitaire et partial peut induire, seule chose qui importe est le respect total de la Charte abscons et déséquilibré qui lie les joueurs qui errent sur le terrain du jeu comme des âmes perdues, ne comprenant objectivement pas grand’chose aux mécanismes obscurs et qui verrouillent les rapports de force entre eux car il rend a fortiori le jeu impraticable et la partie injouable
.
Dans une partie de jeu cartes où les règles de jeu sont définies par les joueurs eux-mêmes , on peut concevoir et imaginer des stratégies pour gagner les cartes et de son adversaire et modifier l’équilibre du pouvoir, or dans une partie où les joueurs ne sont pas partie prenante dans l’élaboration de ses règles et dont l’issue est connue d’avance par tous les joueurs dont le seul rôle consiste ine fine à remplir leur rôle de figurant.
La frénésie, la montée de l’adrénaline, l’ivresse de la victoire, les émotions fortes, le chagrin de la défaite, l’esprit de compétition, la concurrence loyale, l’esprit de combat, la ténacité, le sens du défi, la non-résignation à la défaite, prendre l’adversaire dans son propre jeu, croire en ses chances, renverser les pronostics sur la base du principe qu’une partie n’est jamais joué d’avance, renverser la vapeur, ne jamais s’avouer vaincu, se prendre en mains, ne pas se laisser gagner par le doute, se révéler à soi dans l’adversité, performances, exploits, réussite, l’égalité des chances entre les joueurs, autant d’ingrédients qui donnent à une partie de jeu de cartes où les joueurs sont ses vrais concepteurs et acteurs toute sa saveur, sa richesse et sa beauté dont ils essayent à chaque fois d’en améliorer le contenu et de la portée.
Une partie où l’incertitude n’est pas de mise, où chaque joueur doit se cantonner à al place qui lui est fixée d’avance sans savoir si cela correspond à sa vocation, à ses désirs et ses envies, lui interdisant toute possibilité de remise en cause du rôle qui lui est assigné et surtout l’empêchant de contrer l’adversaire surtout quand ledit adversaire jouit de privilèges exorbitants sous prétexte que c’est Dieu qui l’aurait doté ainsi, il ne reste à ce joueur qu’une seule alternative se remettre à la volonté de celui a élaboré lesdites règles.
Renoncer au combat et se laisser gagner par la fatalité de l’échec au nom de l’ordre de droit canon reste aujourd’hui pour le joueur, en l’occurrence le fidèle, la seule issue possible qui donne du sens à sa vie. Il ne peut avoir pour lui un autre vecteur pédagogique que celui qui lui enseigne le refus de toute forme de combat visant à lui conférer le statut d’acteur et non de serviteur.
Par voie de conséquence, leurs gouvernants qui sont censées les arbitrer et les guider dans leur quête de Graal spirituel, les considérant comme des joueurs immatures, dépourvus facultés de discernement et incapables de réfléchir et penser par eux-mêmes, se font fort d’employer des méthodes de gouvernement attentatoires à la dignité humaine et oppressantes, en leur rappelant que le curseur musulman ne doit pas être déplacé du centre de gravitation de la vie des musulmans. Voile intégral pour les femmes comme le recommande le nouveau Président d’opérette en Tunisie et dévotion à Dieu.
En dehors de cela, point de salut. Ni progrès social, ni démocratie, , ni progrès humain, ni libertés politiques, ni conscience de soi, ni libertés individuelles, ni égalitarisme, ni générations futures, ni bien-être. Imaginer et concevoir la Tunisie du futur c’est comme si on demandait à un musulman de concevoir sa vie sans l’Islam.
Seule perspective qui s’offre aujourd’hui à ce peuple frustré des libertés depuis la destruction de Carthage est la consolidation de la voie qui le mènera au paradis. A n’en pas douter ses nouveaux maîtres sauront remplir leur mission cosmique qui épargnera à leur peuple le chemin de l’enfer aux dépens des libertés démocratiques.
Le régime théocratique liberticide est le seul destin politique pour les musulmans (Art. 17 décembre 2011)
La Tunisie est en pleine déliquescence morale, politique, sociale et économique. Elle était au bord du gouffre hier et ses propres enfants lui ont fait faire un grand bond en avant en lui voilant les yeux avec le hijab de l’islam. Comme si les tunisiens avaient cassé ce fil tenu qui les séparent de l’anti-histoire.
En pensant écrire une nouvelle histoire de leur pays, ils lui font emprunter un chemin qui va à contre-sens de l’histoire.
En effet, les tunisiens qui se sont soulevés un jour comme un seul homme dans un grand sursaut d’orgueil et de fierté nationale en espérant redonner la dignité nécessaire à leur pays, or, c’est bien tout le contraire qui s’est produit. Pire qu’avant, qu’au point -je demeure convaincu- que certains tunisiens doivent regretter l’ère de Ben Ali et leur relative sécurité matérielle et tranquillité d’esprit (ils ne vivaient pas dans l’angoisse de vivre dans l’islam régentant tous les aspects de leur vie).
Aujourd’hui en guise d’espoir d’une vie meilleure ici-bas, leurs nouveaux gouvernants plus préoccupés par l’application des décrets canon que par l’intérêt public leur font miroiter sous la contrainte et l’opprobre l’espérance d’une vie meilleure dans l’au-delà.
Manoeuvre pernicieuse pour masquer leurs incompétences. Instrumentaliser la religion est une ficelle grossière surtout symptomatique de la confiscation pouvoir, de l’octroi des privilèges et de l’accaparement des richesses par des gouvernants qui faute de légitimité politique se servent de Dieu pour asseoir leur domination sur leurs peuples. Les tunisiens sont tombés dans le piège du nouveau messianisme politique tel que l’incarne la coalition tripartite au pouvoir.
Leur pays prend l’allure d’une mosquée géante à ciel ouvert où prédomine les signes ostentatoires de l’appartenance à des groupements communalistes sectaires. l’espace public est devenu le champ de l’exercice de pouvoir du sacré. Où l’interdit est devenu la seule norme sociale et la vie des gens doit être en conformité avec les prescrits de la religion. Ni sphère privée, ni sphère publique.
Tout s’entremêle et se confond. Seule l’obéissance à la Loi de la religion doit être leur seule guidance. Ce qui laisse augurer un avenir des plus sombres et inquiétants à la démocratie car elle est contraire aux dogmes de l’Islam alors que c’est elle qui lui a remis les clés du pouvoir en Tunisie. Ce qu’on peut qualifier des effets pervers de la révolution tunisienne. Eux qui croyaient améliorer leurs conditions matérielles de vie sur terre, brisant les chaînes du despotisme pour instaurer un nouvel ordre social et politique en totale rupture avec l’ancien en s’attaquant aux causes de leurs maux voilà que ceux dont les urnes de l’avanie démocratique ont désigné comme nouveaux maîtres du pays leur font prendre le chemin de l’indignité, du mépris et de l’ignominie. Au lieu de s’inscrire dans la logique de l’esprit de la révolution tunisienne, ils préfèrent d’ores et déjà dévoiler aux tunisiens leur vrai visage anti-national, anti-patriotique et en décalage avec l’identité plurielle tunisienne.
Plutôt que de mener politique citoyenne et responsable , ils se mettent à vilipender, vitupérer et invectiver la femme tunisienne responsable et indépendante qui a fait le choix de sa liberté d’esprit et de conscience en tenant à son propos des paroles blessantes et intolérables qui touchent à sa dignité et sa probité morale tel que le terme de safirate employé par le Président fantoche et homme luge d’Ennahdha.
Ils jettent l’anathème sur tous ceux qui ne font pas publiquement allégeance à leur système de valeur régressif et réactionnaire.
La censure religieuse et morale s’est substituée à la liberté. Ils menacent de les envoyer dans les bûchers de l’enfer s’ils ne se soumettent pas à loi naturelle des choses. Celle qui assimile la résignation à son sort comme soumission à la volonté de Dieu et la résilience comme un sacrilège. Celle qui interdit toute revendication pour une meilleure justice sociale.
Les règles du jeu politique et social sont prédéterminées, les cartes sont attribuées à l’avance, tout un chacun se doit de les conserver et les préserver même si les modalités de distribution sont ésotériques, irrationnelles, injustes, arbitraires, dégradantes et humiliantes pour la condition de vie humaine.
Peu importe les frustrations que cet ordre inégalitaire et partial peut induire, seule chose qui importe est le respect total de la Charte abscons et déséquilibré qui lie les joueurs qui errent sur le terrain du jeu comme des âmes perdues, ne comprenant objectivement pas grand’chose aux mécanismes obscurs et qui verrouillent les rapports de force entre eux car il rend a fortiori le jeu impraticable et la partie injouable
.
Dans une partie de jeu cartes où les règles de jeu sont définies par les joueurs eux-mêmes , on peut concevoir et imaginer des stratégies pour gagner les cartes et de son adversaire et modifier l’équilibre du pouvoir, or dans une partie où les joueurs ne sont pas partie prenante dans l’élaboration de ses règles et dont l’issue est connue d’avance par tous les joueurs dont le seul rôle consiste ine fine à remplir leur rôle de figurant.
La frénésie, la montée de l’adrénaline, l’ivresse de la victoire, les émotions fortes, le chagrin de la défaite, l’esprit de compétition, la concurrence loyale, l’esprit de combat, la ténacité, le sens du défi, la non-résignation à la défaite, prendre l’adversaire dans son propre jeu, croire en ses chances, renverser les pronostics sur la base du principe qu’une partie n’est jamais joué d’avance, renverser la vapeur, ne jamais s’avouer vaincu, se prendre en mains, ne pas se laisser gagner par le doute, se révéler à soi dans l’adversité, performances, exploits, réussite, l’égalité des chances entre les joueurs, autant d’ingrédients qui donnent à une partie de jeu de cartes où les joueurs sont ses vrais concepteurs et acteurs toute sa saveur, sa richesse et sa beauté dont ils essayent à chaque fois d’en améliorer le contenu et de la portée.
Une partie où l’incertitude n’est pas de mise, où chaque joueur doit se cantonner à al place qui lui est fixée d’avance sans savoir si cela correspond à sa vocation, à ses désirs et ses envies, lui interdisant toute possibilité de remise en cause du rôle qui lui est assigné et surtout l’empêchant de contrer l’adversaire surtout quand ledit adversaire jouit de privilèges exorbitants sous prétexte que c’est Dieu qui l’aurait doté ainsi, il ne reste à ce joueur qu’une seule alternative se remettre à la volonté de celui a élaboré lesdites règles.
Renoncer au combat et se laisser gagner par la fatalité de l’échec au nom de l’ordre de droit canon reste aujourd’hui pour le joueur, en l’occurrence le fidèle, la seule issue possible qui donne du sens à sa vie. Il ne peut avoir pour lui un autre vecteur pédagogique que celui qui lui enseigne le refus de toute forme de combat visant à lui conférer le statut d’acteur et non de serviteur.
Par voie de conséquence, leurs gouvernants qui sont censées les arbitrer et les guider dans leur quête de Graal spirituel, les considérant comme des joueurs immatures, dépourvus facultés de discernement et incapables de réfléchir et penser par eux-mêmes, se font fort d’employer des méthodes de gouvernement attentatoires à la dignité humaine et oppressantes, en leur rappelant que le curseur musulman ne doit pas être déplacé du centre de gravitation de la vie des musulmans. Voile intégral pour les femmes comme le recommande le nouveau Président d’opérette en Tunisie et dévotion à Dieu.
En dehors de cela, point de salut. Ni progrès social, ni démocratie, , ni progrès humain, ni libertés politiques, ni conscience de soi, ni libertés individuelles, ni égalitarisme, ni générations futures, ni bien-être. Imaginer et concevoir la Tunisie du futur c’est comme si on demandait à un musulman de concevoir sa vie sans l’Islam.
Seule perspective qui s’offre aujourd’hui à ce peuple frustré des libertés depuis la destruction de Carthage est la consolidation de la voie qui le mènera au paradis. A n’en pas douter ses nouveaux maîtres sauront remplir leur mission cosmique qui épargnera à leur peuple le chemin de l’enfer aux dépens des libertés démocratiques.
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
Un appel à la prière ne fera pas de mal ici aussi.
Kristale- Habitué
- Messages : 98
Date d'inscription : 31/05/2015
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
Hier le monde avait offert les Juifs aux nazis, aujourd’hui il en fait autant avec les Chrétiens d’Orient livrés à l’hydre islamique
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
Comment les faux experts du jihadisme influencent le débat public
Samuel Laurent, Claude Moniquet, Roland Jacquard et Mohamed Sifaoui (captures d'écran)
Qui sont ces faux experts du jihadisme qui “trustent” les plateaux télé et radio à chaque fois que la question revient au centre de l’actualité, et quelles conséquences leur omniprésence peut-elle avoir ? David Thomson, spécialiste de cette question, analyse la situation.
A chaque attentat ou arrestation de terroriste, les plateaux télé se remplissent d'”experts en terrorisme” qui commentent en direct les événements. Sur toutes les chaînes – en particulier celles d’info en continu -, les mêmes visages sérieux et prétendument doctes se succèdent. Ils s’appellent Roland Jacquard, Samuel Laurent, Mohamed Sifaoui, Claude Moniquet (entre autres) et se retrouvent sommés d’accomplir une mission des plus acrobatique : “Comprendre un fait d’actualité, l’interpréter et le qualifier au moment même où il se déroule”, selon la formule du chercheur au Celsa Thierry Devars. N’y-a-t-il pas contradiction dans les termes ?
Le journaliste à RFI David Thomson, réalisateur de Tunisie, la tentation du jihad et auteur du livre Les Français jihadistes, spécialiste reconnu du mouvement jihadiste, a poussé un coup de gueule à ce sujet dans C à vous, le 23 mars. Entretien.
Vous avez pointé du doigt dans C à vous la médiatisation d'”experts” en terrorisme qui n’en sont pas vraiment : à quoi leur présence sur les plateaux télé est-elle due ?
David Thomson – C’est un enjeu qui concerne tous les médias audiovisuels sans exclusion et c’est une équation relativement insoluble. Le phénomène jihadiste est aujourd’hui omniprésent dans l’actualité et les médias ont besoin de “nourrir la bête” pour reprendre l’expression d’une rédactrice en chef que je tentais de sensibiliser à cette question il y a quelques mois. Quand une arrestation ou un attentat se produit, le passage en mode “breaking news” et “live” nécessite par définition des intervenants qui sont invités pour analyser, apporter des éléments de contexte et de compréhension mais qui, la plupart du temps, meublent en réalité le vide avec du vide. Les rédactions généralistes n’ont pas toujours les armes pour déceler le mouton noir, parfois elles savent qu’elles ouvrent leurs micros à des personnalités douteuses mais elles estiment ne pas avoir d’alternative.
L’offre de “spécialistes” est limitée parce qu’il existe peu de personnes qui travaillent sérieusement, sur le long terme, de façon empirique, sur ce sujet très particulier. Lorsqu’un intervenant considéré comme légitime n’est pas disponible, faute de mieux les rédactions en appellent second. Lorsque le second n’est pas disponible, celles-ci se rabattent sur une troisième, voire un quatrième couteau, et ainsi de suite. Ce cercle vicieux médiatique légitime ainsi des “spécialistes de la non-spécialité” qui eux se bousculent sur les plateaux télé et radio. Et pour paraphraser Pierre Bourdieu, on assiste ainsi à une “circulation circulaire” de la non-expertise. Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que dans les 24h ou 48h qui suivent un attentat, aucun analyste n’a d’information et n’est en mesure de livrer un commentaire fiable. Le mieux est donc de ne pas s’exprimer. Dans ces moments médiatiques, les seuls à détenir des éléments sont les journalistes présents sur les lieux des faits ou les journalistes police/justice qui se bornent à décrire ce qu’ils voient ou l’avancée de l’enquête.
Quel est en général le profil des faux experts ? Sur quel CV s’appuient-ils pour légitimer leur parole ?
Il est en effet primordial de comprendre d’où parlent ces gens. Il y a d’abord ceux qui se prévalent d’une expérience au sein des services de renseignements intérieurs ou extérieurs. Dans certains cas, il s’agit d’individus à la retraite parfois déconnectés de la réalité des dossiers actuels. Il s’agit aussi d’individus qui se prévalent d’un passage dans les services mais qui a souvent été de très courte durée mais surtout durant lequel ils n’ont pas été en charge des questions jihadistes. Mais il y a pire avec la catégorie des “experts” qui après avoir effectué un bref passage dans un ministère, interviennent au titre d’un “observatoire” ou d’un “institut” qui est en réalité une coquille vide, qui ne produit jamais aucun rapport, aucune recherche, et dont ils sont l’unique membre.
Il y a aussi des universitaires qui interviennent sur la foi d’une légitimité scientifique réelle mais qui sortent de leur domaine de spécialité en s’exprimant sur un sujet qui n’est pas leur champ de recherche direct. Ceux-ci abreuvent en général les pages débats de tribunes qui ne sont fondées sur aucune recherche empirique, aucun entretien direct de terrain avec des sources primaires. Enfin, il y a la catégorie des journalistes, baroudeurs ou consultants privés qui prétendent indûment avoir infiltré une organisation jihadiste. Certains ont déjà été démasqués mais de nouveaux apparaissent régulièrement. Le problème, c’est que dans chacune de ces catégories il y aussi des acteurs légitimes qui fournissent un vrai travail. Toute la difficulté pour les rédactions est de déceler les imposteurs dans ce magma.
S’ils sont vraiment des imposteurs, ils doivent parfois dire des choses fausses. Quelles conséquences cela peut-il avoir ?
Omniprésente dans les médias, la non-expertise finit par influer sur le débat public et sur l’opinion. Dans la mesure où elle n’est fondée sur aucun travail, elle oriente forcément le débat sur une compréhension erronée. Par exemple, expliquer il y a deux ans sur le plateau d’une émission de service public que pour les jihadistes frapper la France serait légitime m’avait valu l’ire de tous les invités parmi lesquels on comptait notamment un sociologue, un membre de la société civile, un acteur public et un célèbre avocat. Tous me rétorquaient que je “jouais sur les peurs”. Mais là où les choses se corsent vraiment, c’est lorsque cette non-expertise se prévaut de sa seule légitimité médiatique pour obtenir des subventions publiques parfois non-négligeables pour intervenir dans les prisons, dans la lutte contre la radicalisation, pour former des acteurs publics ou privés jusqu’à finir parfois même par avoir l’oreille de certains sénateurs, députés ou ministres. La non-expertise médiatique a donc des conséquences politiques.
La communauté des chercheurs et des journalistes spécialistes du sujet, dont vous faites partie avec Romain Caillet, Wassim Nasr, Jacques Raillane, ou encore Gilles N, peut-elle être en mesure de répondre entièrement à la demande médiatique quand des événements mettent au cœur de l’actu les questions liées au terrorisme ?
Depuis deux ans, à chaque frémissement du fil AFP, tous les acteurs concernés de près ou de loin par le jihadisme ont leur téléphone qui se met à sonner frénétiquement. De guerre lasse, certains préfèrent moins répondre, ou plus du tout. D’abord parce qu’ils considèrent à juste titre n’avoir rien d’intéressant à dire dans le feu de l’action. Mais aussi parce qu’ils travaillent, les interviews prennent du temps, de l’énergie et trop d’exposition peut nuire à son terrain d’enquête.
Propos recueillis par Mathieu Dejean
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
Un expert allemand du néonazisme aux USA pour lutter contre l'islamisme
© REUTERS/ Hosam Katan
International
10:26 09.05.2016URL courte
324204
L'expert, un dénommé Daniel Keller, est chargé de travailler avec les jeunes Américains d'origine somalienne. En Allemagne, il a aidé des jeunes à se débarrasser de l'idéologie nazie.
Michael Davis, juge fédéral de l'Etat américain du Minnesota, a décidé d'inviter un expert allemand du néonazisme pour lutter contre la radicalisation des jeunes, annonce lundi le journal The Wall Street Jounal.
L'expert, un dénommé Daniel Keller, est chargé de travailler avec les jeunes Américains d'origine somalienne. En Allemagne, il a aidé des jeunes à se débarrasser de l'idéologie nazie.
Selon le journal, dix jeunes âgés d'un peu plus de 20 ans, ont été reconnus coupables de liens avec les djihadistes. Certains ont même réussi à se munir de faux passeports et à acheter des billets d'avion pour partir à la guerre.
Combattants du groupe islamiste Al-Shabbaab
© AP Photo/ Farah Abdi Warsameh-FILE
Somalie: au moins 50 soldats de la paix abattus par les islamistes
Six personnes ont été reconnues coupables. Le juge Davis leur a proposé de prendre part à un programme de déradicalisation. Cinq ont accepté.
L'année passée, en Virginie, un adolescent de 17 ans a été condamné à 11 ans de prison pour avoir soutenu l'Etat islamique. Selon la Justice, il se servait de son blog pour expliquer comment on pouvait utiliser le bitcoin pour le soutien financier des djihadistes de l'EI.
© REUTERS/ Hosam Katan
International
10:26 09.05.2016URL courte
324204
L'expert, un dénommé Daniel Keller, est chargé de travailler avec les jeunes Américains d'origine somalienne. En Allemagne, il a aidé des jeunes à se débarrasser de l'idéologie nazie.
Michael Davis, juge fédéral de l'Etat américain du Minnesota, a décidé d'inviter un expert allemand du néonazisme pour lutter contre la radicalisation des jeunes, annonce lundi le journal The Wall Street Jounal.
L'expert, un dénommé Daniel Keller, est chargé de travailler avec les jeunes Américains d'origine somalienne. En Allemagne, il a aidé des jeunes à se débarrasser de l'idéologie nazie.
Selon le journal, dix jeunes âgés d'un peu plus de 20 ans, ont été reconnus coupables de liens avec les djihadistes. Certains ont même réussi à se munir de faux passeports et à acheter des billets d'avion pour partir à la guerre.
Combattants du groupe islamiste Al-Shabbaab
© AP Photo/ Farah Abdi Warsameh-FILE
Somalie: au moins 50 soldats de la paix abattus par les islamistes
Six personnes ont été reconnues coupables. Le juge Davis leur a proposé de prendre part à un programme de déradicalisation. Cinq ont accepté.
L'année passée, en Virginie, un adolescent de 17 ans a été condamné à 11 ans de prison pour avoir soutenu l'Etat islamique. Selon la Justice, il se servait de son blog pour expliquer comment on pouvait utiliser le bitcoin pour le soutien financier des djihadistes de l'EI.
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
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Kristale- Habitué
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Date d'inscription : 31/05/2015
Re: Djihadisme, Islam et terrorisme ...
Il faut lui interdire les mosquées et la lecture du coran, l'islam est une secte.
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