Sites invitant les mahométans à quitter l'islam

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http://www.lalibre.be/actu/belgique/face-au-radicalisme-le-desarroi-des-bourgmestres-5668743935708494c963b281

Face au radicalisme, le désarroi des bourgmestres

François Brabant Publié le mercredi 09 décembre 2015 à 19h34 - Mis à jour le jeudi 10 décembre 2015 à 07h41


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Belgique

La tragédie de Paris lui a conféré une notoriété internationale dont elle se serait bien passée. Françoise Schepmans (MR), bourgmestre de Molenbeek, focalise les attentions depuis le 13 novembre, en raison des connexions de plusieurs terroristes présumés avec sa commune. "Au lendemain des attentats, quand on a pointé Molenbeek, je me suis sentie démunie, avoue-t-elle. Je ne vois pas, avec les moyens que j’ai, ce que j’aurais pu faire de plus."

Si le cas molenbeekois continue d’alimenter de nombreux commentaires, d’autres acteurs politiques communaux, à Bruxelles mais aussi en Wallonie, expriment un même sentiment. On leur prête des pouvoirs qu’ils n’ont pas. On attend d’eux qu’ils combattent le radicalisme avec des moyens dont ils ne disposent pas. "Tous les projecteurs sont braqués vers les bourgmestres, alors qu’on a une marge de manœuvre réduite, soupire Françoise Schepmans. Il y a une mauvaise compréhension du rôle des uns et des autres. La lutte contre le radicalisme, c’est du ressort du fédéral !"

Deuxième commune la plus peuplée de la Région bruxelloise, Schaerbeek compte 130 000 habitants, dont environ 60 000 musulmans - parmi lesquels "quelques dizaines de radicaux", selon le bourgmestre Bernard Clerfayt (Défi, ex-FDF). C’est à Schaerbeek que la question des départs vers la Syrie a pour la première fois surgi au-devant de l’actualité : en avril 2013, deux élèves de l’athénée Fernand Blum avaient déserté les cours pour s’enrôler dans les milices djihadistes au Moyen-Orient.

"Le ministre de l’Intérieur dit que les communes ont reçu des listes d’individus dangereux. C’est un mensonge , s’insurge Bernard Clerfayt. Tout ce qui existe, c’est une circulaire autorisant les commissaires en chef à transmettre aux bourgmestres des informations sur les personnes liées au djihadisme. Pour ma part, je n’ai jamais demandé à recevoir ces informations, car je ne saurais rien en faire. Si j’apprends qu’au coin de ma rue, un type manipule des armes et enrôle des jeunes pour la Syrie, je peux éventuellement en parler à mon chef de cabinet, mais après ? Je ne suis pas doté de pouvoirs de contrainte à l’égard des individus. Seul un juge peut mettre quelqu’un en prison, ou l’interdire de séjour sur le territoire, ou l’assigner dans un centre de traitement."

Bernard Clerfayt entend agir sur un autre terrain : la prévention, la diffusion d’un contre-discours pour réduire l’attrait du djihad. Une tâche de long terme, pour laquelle, assure-t-il, "les moyens manquent de façon dramatique" .

Contrôler les logements

"C’est gentil de nous dire qu’on doit agir contre le radicalisme, mais non seulement on ne nous dit pas ce qu’on doit faire, et en plus on ne nous fournit aucun renseignement", abonde Hervé Doyen (CDH). Le bourgmestre de Jette, au nord-ouest de Bruxelles, refuse cependant tout fatalisme. "Les bourgmestres ne sont pas aussi démunis que certains le disent. C’est leur rôle de recenser la population, de contrôler les logements. Ce travail n’a peut-être pas été fait partout. Ceci explique peut-être cela."

A Liège, dix-neuf jeunes sont partis ou ont voulu partir vers la Syrie. Le bourgmestre, Willy Demeyer (PS), admet que les pouvoirs locaux sont malmenés par l’intensification de la menace terroriste. "Nous sommes dans un cas de figure inédit", relève-t-il. Une difficulté s’ajoute : "Distinguer ce qui ressort de la police locale et de la police fédérale. Le pire serait qu’un élément échappe à toute surveillance parce qu’on ne saurait pas qui le surveille".

Pour l’éviter, le conseil zonal de sécurité réunit le procureur du Roi, le directeur coordinateur et le directeur judiciaire de la police fédérale, le chef de corps et le bourgmestre. "Cela existe aussi ailleurs, mais il ne se réunit pas partout avec la même fréquence, note Demeyer. Moi, je le réunis tous les mois, voire plus. C’est l’interface où on fixe les grandes lignes d’une politique criminelle."

Mosquées

Aux confins du Borinage, la commune d’Hensies abrite une petite communauté musulmane. Après les attentats de Paris, son bourgmestre, Eric Thiébaut (PS), a réuni les responsables des deux mosquées. Il leur a promis d’agir avec fermeté contre la recrudescence prévisible de l’islamophobie. En retour, il leur a demandé de signaler tout cas de radicalisation qu’ils détecteraient. " On a quand même beaucoup de cordes à notre arc pour agir , juge Eric Thiébaut. Le CPAS, la police, les services de prévention… Mais cela reste un travail en amont. Accuser les bourgmestres pour des cas de radicalisme sur leur territoire, ça ne va pas. On n’est pas responsables des actes individuels de tous les citoyens."

[Patriote]

Le vrai forum France LIBRE est ici :

http://forumfrance.forumactif.fr/

[ganem]

Mahomet PBSL n’était pas le fils de son père.

[Rocco]

http://forumfrance.esy.es/

[Bens.]

https://politique.forum-actif.net//

[Rocco]

http://kolozistan.esy.es/

[ganem]

Un musulman doit se faire opérer de l’appendicite.
On l’emmène dans la salle d’opération et il voit le chirurgien qui vient vers lui avec un bistouri.
– Eh docteur ! Je ne suis pas encore endormi !
– Je sais, dit le chirurgien, mais aujourd’hui j’opère halal !

[Mckay]

Putain mais on s'en fou de tes sites de merde !

[Kristale]

Napo, queand j'écris "on s'en fout", je mets un "T", t'es une brèle en fait.

Il va sans dire qu le compte Mckay a été usurpé par Napoléon III.
Et comme il faut une preuve et bien il vous suffit de regarder la date d'inscription du compte, elle est au 04 avril 2016 c'est-à-dire aujourd'hui.

[ganem]

Putain mais on s'en fou de tes sites de merde !

[STUNENEB]

Té la fachosphère s'éclate !!!! Beurk, beurk, beurk ..

[ganem]

L’Islam autorise la zoophilie et le viol






http://www.forum-religions.com/t4001-zoophilie-est-hallal-dans-l-islam

J’ai déjà parlé de la controverse sur la traduction du verset 6 de la sourate 23 qui ne parle pas explicitement des esclaves mais de "ce que leurs droites possèdent" , ce qui englobe les possessions régulières et agréées des musulmans à savoir:

- les biens matériels

- les animaux domestiques ou le bétail

- les êtres humains, à savoir les esclaves

Le texte est donc:

"5.et qui préservent leurs sexes [de tout rapport],

6.si ce n’est qu’avec leurs épouses ou les esclaves, les animaux ou les instruments qu’ils possèdent , car là vraiment, on ne peut les blâmer;"

J’ai déjà indiqué qu’un perturbateur était venu poster plusieurs messages en anglais sur la page de ce blog "Appel à quitter l’Islam" pour affirmer (il croyait sans doute que je ne lisais pas ni ne comprenais l’arabe) que ma traduction était fausse et que le texte arabe mentionnait seulement "ce que leurs droites possèdent" et ne parlait donc pas d’esclaves, ce qui est FAUX : "ce que leurs droites possèdent" englobe AUSSI les esclaves.

Mais ce que ce perturbateur ou plutôt escroc feignait d’oublier, et qu’il est impossible de nier, c’est que le texte parle de rapports sexuels, avec les épouses mais AUSSI avec autre chose :"ce que leurs droites possèdent"

Passons donc en revue les trois sortes de possessions légitimes ("leurs droites") en relation avec des rapports sexuels ou plaisirs divers d’ordre sexuel..

1 les objets inanimés (ou végétaux) : on appelle ça de nos jours "sex toys", notamment sur Canal Plus…on peut penser aux "poupées gonflables" mais ce genre d’instrument était il connu à cette époque? Gageons que les musulmans utilisaient plutôt des fruits ou légumes, ou peut être des "réceptacles" en matière souple, soit pour y introduire leur membre et trouver la jouissance par va et vient, ou alors s’il s’agissait de légumes tels que carottes, bananes ou courgettes, pour se les introduire dans l’anus (l’usage normal étant de les mettre dans la bouche pour les manger)

En termes modernes on portrait dire ici qu’Allah autorise les hommes musulmans à se défoncer le cul avec des grosses légumes, ou à demander à leur épouse ou leur esclave de leur assurer ce menu service pendant qu’ils se masturbent et se dégorgent le poireau en rendant grâce à Dieu : "nul ne peut les blâmer"

2 les animaux possédés : bétail de ferme (chevaux, vaches, moutons, chèvres, porcs..) mais aussi volaille ( poules, canards, oies etc..) ou animaux domestiques (chiens, chats, et ..) : le Coran autorise les musulmans à les pénétrer par tous les orifices, ou bien à se faire sodomiser par les animaux mâles comme chiens, chevaux, porcs, boucs..

"Nul ne peut les blâmer"

3 les êtres humains possédés : ce sont les esclaves, mâles ou femelles, et le Coran autorise les maîtres musulmans à avoir des rapports sexuels avec eux.

"Nul ne peut les blâmer"

En tant qu’Européens, appartenant à la civilisation supérieure à toutes les autres puisqu’ayant créé la science moderne et la philosophie, nous disposons de critères moraux absolus nous donnant le droit de PORTER DES JUGEMENTS ABSOLUS définitifs sur ces aberrations ignobles et dégoûtantes des moeurs musulmanes, et nul ne s’étonnera de constater que ces jugements sont défavorables et consistent en une sévère condamnation …

- la polygamie, le fait d’avoir plusieurs épouses, est absolument condamnable et ne saurait être toléré sur un territoire européen, donc civilisé…en fait cela ne devrait être toléré nulle part, et la mission civilisatrice de l’Europe vis à vis des "sociétés inférieures" passe par l’éradication de ces pratiques honteuses propres aux sauvages, ou encore, comme disait Jules Ferry:

"Nous avons un droit parce que nous avons un devoir : celui de civiliser les inférieurs"

- pour un civilisé, l’exercice de la sexualité n’est permis qu’avec un être libre et consentant, un être humain donc : en aucun cas un animal ne saurait donner un consentement éclairé et rationnel pour se faire pénétrer ou pour pénétrer un salopard de pervers primitif.

Et bien sûr, un ou une esclave ne saurait donner non plus son consentement puisqu’il ou elle n’est par définition pas libre.

Nous pouvons donc affirmer que le Coran donne à l’homme musulman le droit de violer, et selon nos critères de civilisation qui sont ABSOLUS cela ne saurait être toléré.

Le Coran doit être brûlé sinon plus aucune civilisation n’est possible.

En tant qu’Européens, notre mission sacrée, donnée par DIEU, est donc d’éradiquer ces pratiques honteuses qui sont propres à l’islam, de les INTERDIRE, d’abord sur notre territoire, puis partout, après une CROISADE ayant pour but d’accomplir notre mission civilisatrice vis à vis des sauvages (en particulier les musulmans).

http://horreurislamique.wordpress.com/2014/05/04/13560/

[Napoléon III]

Il faut avouer que Majid Oukacha a beaucoup d'humour.

[Invité]

Je trouve que d'une façon positive ou négative nous parlons beaucoup trop de l'islam .

[ganem]

Nulle contrainte en religion ! Car le bon chemin s’est distingué de l’égarement. Donc, celui qui est infidèle aux idoles et croit en Dieu s’est saisi de l’anse la plus solide et sans fêlure. Et Allah est Audient et Omniscient.

Voyons ce qu’en disent des spécialistes, les islamologues Dominique et Marie-Thérèse Urvoy dans leur livre Les mots de l’Islam (p. 28-29), à l’article ‘Contrainte en religion’:

La formule coranique « pas de contrainte en religion » (II.257), qui est souvent évoquée pour faire de l’islam une religion tolérante par essence, n’a été en fait isolée que tardivement, pour en faire un axiome de la discipline juridique des « buts de la Loi », qui ne date que du XIVe siècle et qui reste très peu répandue. En fait le reste du verset (« celui qui est infidèle aux idoles et croit en Dieu s’est saisi de l’anse la plus solide et sans fêlure ») montre que cette formule est à sens unique : il faut laisser la liberté à un non musulman d’embrasser l’islam, mais rien n’est dit de la démarche inverse où un Musulman choisirait de renoncer à sa religion.

Plusieurs hadîth parleront bien de ce dernier point mais leur fiabilité n’a pas dû être reconnue comme absolue puisque le fiqh(*) a traité toute apostasie, même individuelle, non comme un délit religieux mais comme une offense à l’état, réclamant la peine de mort.

Depuis Muhammad ‘Abduh, au début du XXe siècle, certains réformistes ont demandé la suppression de cette règle qui reste cependant en vigueur, non seulement de façon officielle dans les pays de régime dit « islamique », mais aussi de façon officieuse dans les pays où l’islam est religion d’Etat par les pressions administratives et policières (ce qui fait que beaucoup de convertis le sont clandestinement) et par celles qui émanent du mileu familial et social, les deux se combinant le plus souvent. Parmi les Musulmans émigrés en Occident, ces sont ces dernières qui sont mises en œuvre.

   (*) droit musulman

   * * *

   Une lecture conseillée : Dominique et Marie-Thérèse Urvoy, Les mots de l’Islam, Presses Universitaires du Mirail, 2004, 10 euros.

Un petit livre bien sympathique qui traite par ordre alphabétique des sujets propres à l’islam, en faisant référence non seulement aux textes sacrés, mais aussi aux législations et aux comportements en vigueur dans les pays islamiques.Je ne le conseillerai néanmoins pas comme toute première lecture pour découvrir l’islam, étant donné la densité de l’information présentée et la structure alphabétique qui ne permet pas d’avoir une vue d’ensemble. Pour tous les autres : une excellente source de références !

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