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Décès d’Anne-Marie Delcambre
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Décès d’Anne-Marie Delcambre
J'ai cherché les journaux qui parlent de la mort d'Anne-Marie Delcambre. Je n'en ai trouvé qu'un seul. Pauvre France.
Anne-Marie Delcambre est décédée le 2 janvier 2016 à Saint-James, dans la Manche. Elle se battait avec courage contre le cancer depuis plusieurs années et s’était retirée en Normandie. Elle fut une des premières vraies combattantes de France, essayant d’ouvrir les yeux de nos compatriotes sur la réalité de l’islam. Docteur de troisième cycle de l’Université Paris-IV en études islamiques, docteur d’État en droit et agrégée d’arabe classique, Anne-Marie Delcambre avait été professeur d’arabe au lycée Louis-le-Grand.
Anne-Marie Delcambre est décédée le 2 janvier 2016 à Saint-James, dans la Manche. Elle se battait avec courage contre le cancer depuis plusieurs années et s’était retirée en Normandie. Elle fut une des premières vraies combattantes de France, essayant d’ouvrir les yeux de nos compatriotes sur la réalité de l’islam. Docteur de troisième cycle de l’Université Paris-IV en études islamiques, docteur d’État en droit et agrégée d’arabe classique, Anne-Marie Delcambre avait été professeur d’arabe au lycée Louis-le-Grand.
Re: Décès d’Anne-Marie Delcambre
http://kolozistan.esy.es/
Rocco- Habitué
- Messages : 63
Date d'inscription : 25/06/2015
Re: Décès d’Anne-Marie Delcambre
Je m'en branle total d'AMD
Rocco- Habitué
- Messages : 63
Date d'inscription : 25/06/2015
Re: Décès d’Anne-Marie Delcambre
Logique puisque tu es né mahométan et que tu es resté mahométan même si tu fais semblant d'être un français.
Re: Décès d’Anne-Marie Delcambre
Je m'en bats les steaks
Rocco- Habitué
- Messages : 63
Date d'inscription : 25/06/2015
Re: Décès d’Anne-Marie Delcambre
Islam : Que les résistants n’oublient pas Anne-Marie Delcambre
Publié le 7 mai 2016 - par René Marchand
Il y a un peu plus de quatre mois, Anne-Marie Delcambre nous quittait dans la discrétion.
Elle appartenait à la dernière génération de cette école de grands savants qui, dans le sillage de l’incomparable Sylvestre de Sacy (1758-1838), ont valu à la France d’occuper très longtemps le premier rang dans l’islamologie en rivalité avec l’Angleterre et l’Allemagne (aujourd’hui, cette aristocratie du savoir est en voie d’extinction : les mauvais coups portés aux humanités dans le secondaire en ont tari le recrutement).
Elle était bardée de diplômes (une agrégation, deux doctorats), avait écrit des livres salués par ses confrères… La logique aurait voulu que les princes qui nous gouvernent fissent appel à elle pour les conseiller au moment où notre pays est confronté à l’Islam comme jamais dans son passé. Mais il est bien connu que nos « élites », comme les « gens de qualité » chez Molière, « savent tout sans avoir jamais rien appris ». Elle prit donc sur elle de sortir de la pénombre confortable de l’Université pour entrer, à ses risques et périls, dans l’agora et proclamer ce qu’elle savait de manière certaine sur la nature de l’Islam et son histoire, sur les dangers qu’il fait courir à notre sécurité et, à terme, à notre souveraineté, à notre identité, à notre civilisation.
En 2003, elle publie un petit livre L’Islam des interdits (Desclée de Brouwer) dans lequel elle diagnostique nos ignorances, nos cécités, nos cécités volontaires, nos lâchetés face à un système totalitaire expansionniste et guerrier. Elle développera ensuite ses idées inlassablement sur des sites français ou québécois d’Internet, à Radio Courtoisie et, en 2010, elle participe aux Assises Internationales sur l’islamisation de nos pays.
Elle dit avec force :
Ce que nous nommons depuis quelques décennies « l’islamisme », c’est l’Islam.
« L’islamisme est contenu dans l’Islam comme le poussin l’est dans l’œuf, comme l’arbre dans la graine. » « L’intégrisme n’est pas la maladie de l’Islam ; il en est l’intégralité. » « … il s’agit purement et simplement de l’application intégrale et rigide de l’Islam des textes » et elle ajoute « … laquelle est demandée par une partie du peuple, y compris la jeunesse ».
Tous les actes, criminels à nos yeux, perpétrés par les « islamistes » : , viols, tortures, assassinats, massacres… sont parfaitement justifiés, légalisés, parce que Mahomet, « le beau modèle » selon le Coran, en a accompli de semblables. « Les racines du terrorisme islamique existe bien dans les textes fondateurs. C’est ce qui explique sa force d’attraction dans le monde musulman, dans toutes les branches de l’Islam et son maintien dans l’histoire jusqu’à maintenant. Ses chances de survie dans les années qui viennent sont réelles. »
Inutile d’espérer une réforme de l’islam qui le rendrait compatible avec la démocratie, la laïcité, nos valeurs. Elle est formelle : « L’Islam est dans l’impossibilité absolue d’échapper à ses textes fondateurs ». Et elle le démontre. « Oui, il faut oser le dire, le musulman le plus ouvert, le plus moderne, le plus désireux de faire évoluer l’islam, se heurte immanquablement au Coran ». Or, le Coran, Parole de Dieu, éternel, non créé comme Lui, est « intouchable ». « Il ne saurait être question de garder certains versets et d’en rejeter d’autres. » (Que Michel Onfray, dernier en date de nos utopistes, prenne la peine d’étudier la question – la moindre des choses à exiger d’un intellectuel !).
Les textes coupent l’humanité en deux : la oumma des musulmans et tous les autres, qu’Allah demande d’asservir (Juifs et chrétiens) ou d’éliminer.
Le djihad est à la base de l’islam et dans le Coran, il désigne sans ambigüité la guerre « dans le chemin d’Allah ». dans le Coran, « il est synonyme de qitâl) (effort pour tuer) ». « L’obligation de la guerre sainte se trouve bien dans le Coran. »
L’Islam peut être défini comme « un droit religieux qui prend l’homme depuis le berceau jusqu’à la tombe, et dans tous les aspects de sa vie ». Le Musulman, disait-elle, est « enfermé », « emprisonné ». De là, cette « propension que, dès l’enfance, il aura à mentir, à jouer de l’hypocrisie ». Il devient un véritable « maître en fourberie » face aux adversaires (la taqiyya).
D’où l’absurdité du dialogue dit interreligieux : le Musulman ne voudra – ne pourra – « rien céder, parce que, a priori, le point de vue de l’autre est frappé de nullité par les textes fondateurs ».
En une phrase, « l’Islam est dangereux, parce qu’il n’y a pas d’égalité, pas de liberté, pas de fraternité, pas de possibilité d’en sortir ».
Ces réalités, nos politiciens de droite et de gauche (quid du Front national aujourd’hui ?) les ignorent ou, par lâcheté, feignent de les ignorer. Ils sont ainsi les collaborateurs d’une entreprise internationale de destruction de notre civilisation.
Voilà, très brièvement résumées, quelques-unes des leçons que nous a laissées Anne-Marie Delcambre. Ne cessons jamais de les seriner à nos importants.
Je termine par un souvenir : ma dernière rencontre avec elle eut lieu à l’occasion d’une émission sur Radio Courtoisie. Au moment de nous séparer, elle me dit : « Comment avons-nous pu en arriver là ? »
J’ai encore dans les yeux et dans les oreilles la tristesse avec laquelle elle a prononcé ces mots.
Cette tristesse, c’et la mienne, et elle est, je le sais, aussi celle de tous les Français demeurés vivants. Elle peut être un ferment, un encouragement à faire la guerre contre l’impitoyable ennemi, avec détermination, implacablement. Une leçon encore d’une femme qui doit être inscrite au mémorial de la Résistance. Au revoir, Anne-Marie. Nous t’avons aimée, nous t’aimons et nous te disons : Merci.
René Marchand
Publié le 7 mai 2016 - par René Marchand
Il y a un peu plus de quatre mois, Anne-Marie Delcambre nous quittait dans la discrétion.
Elle appartenait à la dernière génération de cette école de grands savants qui, dans le sillage de l’incomparable Sylvestre de Sacy (1758-1838), ont valu à la France d’occuper très longtemps le premier rang dans l’islamologie en rivalité avec l’Angleterre et l’Allemagne (aujourd’hui, cette aristocratie du savoir est en voie d’extinction : les mauvais coups portés aux humanités dans le secondaire en ont tari le recrutement).
Elle était bardée de diplômes (une agrégation, deux doctorats), avait écrit des livres salués par ses confrères… La logique aurait voulu que les princes qui nous gouvernent fissent appel à elle pour les conseiller au moment où notre pays est confronté à l’Islam comme jamais dans son passé. Mais il est bien connu que nos « élites », comme les « gens de qualité » chez Molière, « savent tout sans avoir jamais rien appris ». Elle prit donc sur elle de sortir de la pénombre confortable de l’Université pour entrer, à ses risques et périls, dans l’agora et proclamer ce qu’elle savait de manière certaine sur la nature de l’Islam et son histoire, sur les dangers qu’il fait courir à notre sécurité et, à terme, à notre souveraineté, à notre identité, à notre civilisation.
En 2003, elle publie un petit livre L’Islam des interdits (Desclée de Brouwer) dans lequel elle diagnostique nos ignorances, nos cécités, nos cécités volontaires, nos lâchetés face à un système totalitaire expansionniste et guerrier. Elle développera ensuite ses idées inlassablement sur des sites français ou québécois d’Internet, à Radio Courtoisie et, en 2010, elle participe aux Assises Internationales sur l’islamisation de nos pays.
Elle dit avec force :
Ce que nous nommons depuis quelques décennies « l’islamisme », c’est l’Islam.
« L’islamisme est contenu dans l’Islam comme le poussin l’est dans l’œuf, comme l’arbre dans la graine. » « L’intégrisme n’est pas la maladie de l’Islam ; il en est l’intégralité. » « … il s’agit purement et simplement de l’application intégrale et rigide de l’Islam des textes » et elle ajoute « … laquelle est demandée par une partie du peuple, y compris la jeunesse ».
Tous les actes, criminels à nos yeux, perpétrés par les « islamistes » : , viols, tortures, assassinats, massacres… sont parfaitement justifiés, légalisés, parce que Mahomet, « le beau modèle » selon le Coran, en a accompli de semblables. « Les racines du terrorisme islamique existe bien dans les textes fondateurs. C’est ce qui explique sa force d’attraction dans le monde musulman, dans toutes les branches de l’Islam et son maintien dans l’histoire jusqu’à maintenant. Ses chances de survie dans les années qui viennent sont réelles. »
Inutile d’espérer une réforme de l’islam qui le rendrait compatible avec la démocratie, la laïcité, nos valeurs. Elle est formelle : « L’Islam est dans l’impossibilité absolue d’échapper à ses textes fondateurs ». Et elle le démontre. « Oui, il faut oser le dire, le musulman le plus ouvert, le plus moderne, le plus désireux de faire évoluer l’islam, se heurte immanquablement au Coran ». Or, le Coran, Parole de Dieu, éternel, non créé comme Lui, est « intouchable ». « Il ne saurait être question de garder certains versets et d’en rejeter d’autres. » (Que Michel Onfray, dernier en date de nos utopistes, prenne la peine d’étudier la question – la moindre des choses à exiger d’un intellectuel !).
Les textes coupent l’humanité en deux : la oumma des musulmans et tous les autres, qu’Allah demande d’asservir (Juifs et chrétiens) ou d’éliminer.
Le djihad est à la base de l’islam et dans le Coran, il désigne sans ambigüité la guerre « dans le chemin d’Allah ». dans le Coran, « il est synonyme de qitâl) (effort pour tuer) ». « L’obligation de la guerre sainte se trouve bien dans le Coran. »
L’Islam peut être défini comme « un droit religieux qui prend l’homme depuis le berceau jusqu’à la tombe, et dans tous les aspects de sa vie ». Le Musulman, disait-elle, est « enfermé », « emprisonné ». De là, cette « propension que, dès l’enfance, il aura à mentir, à jouer de l’hypocrisie ». Il devient un véritable « maître en fourberie » face aux adversaires (la taqiyya).
D’où l’absurdité du dialogue dit interreligieux : le Musulman ne voudra – ne pourra – « rien céder, parce que, a priori, le point de vue de l’autre est frappé de nullité par les textes fondateurs ».
En une phrase, « l’Islam est dangereux, parce qu’il n’y a pas d’égalité, pas de liberté, pas de fraternité, pas de possibilité d’en sortir ».
Ces réalités, nos politiciens de droite et de gauche (quid du Front national aujourd’hui ?) les ignorent ou, par lâcheté, feignent de les ignorer. Ils sont ainsi les collaborateurs d’une entreprise internationale de destruction de notre civilisation.
Voilà, très brièvement résumées, quelques-unes des leçons que nous a laissées Anne-Marie Delcambre. Ne cessons jamais de les seriner à nos importants.
Je termine par un souvenir : ma dernière rencontre avec elle eut lieu à l’occasion d’une émission sur Radio Courtoisie. Au moment de nous séparer, elle me dit : « Comment avons-nous pu en arriver là ? »
J’ai encore dans les yeux et dans les oreilles la tristesse avec laquelle elle a prononcé ces mots.
Cette tristesse, c’et la mienne, et elle est, je le sais, aussi celle de tous les Français demeurés vivants. Elle peut être un ferment, un encouragement à faire la guerre contre l’impitoyable ennemi, avec détermination, implacablement. Une leçon encore d’une femme qui doit être inscrite au mémorial de la Résistance. Au revoir, Anne-Marie. Nous t’avons aimée, nous t’aimons et nous te disons : Merci.
René Marchand
Re: Décès d’Anne-Marie Delcambre
Erreur ! Elle défendait les mêmes idées que toi, ce qui ne veut pas dire qu'elle avait raison. Son combat, absurde et dérisoire n'a trompé personne.ganem a écrit:J'ai cherché les journaux qui parlent de la mort d'Anne-Marie Delcambre. Je n'en ai trouvé qu'un seul. Pauvre France.
Anne-Marie Delcambre est décédée le 2 janvier 2016 à Saint-James, dans la Manche. Elle se battait avec courage contre le cancer depuis plusieurs années et s’était retirée en Normandie. Elle fut une des premières vraies combattantes de France, essayant d’ouvrir les yeux de nos compatriotes sur la réalité de l’islam. Docteur de troisième cycle de l’Université Paris-IV en études islamiques, docteur d’État en droit et agrégée d’arabe classique, Anne-Marie Delcambre avait été professeur d’arabe au lycée Louis-le-Grand.
Kristale- Habitué
- Messages : 98
Date d'inscription : 31/05/2015
Re: Décès d’Anne-Marie Delcambre
Et toi tu parles au nom des autres, c'est pas mieux..
Car en fait, en ce qui me concerne, je suis d'accord avec les idées d'Anne Marie Delcambre. Son combat fut noble.
Car en fait, en ce qui me concerne, je suis d'accord avec les idées d'Anne Marie Delcambre. Son combat fut noble.
Napoléon III- Chef
- Messages : 1603
Date d'inscription : 24/04/2014
Age : 25
Re: Décès d’Anne-Marie Delcambre
Mais toi, on te dirais de te faire sodomiser pour la grandeur de L'Empire, tu le ferais alors ...
Kristale- Habitué
- Messages : 98
Date d'inscription : 31/05/2015
Re: Décès d’Anne-Marie Delcambre
Des intellectuels de confession musulmane appellent à une «révolution» dans l'islam
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