Calendrier liturgique
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Calendrier liturgique
L’année liturgique propose aux catholiques de revivre l’ensemble de l’histoire du salut et de la vie du Christ, au cours d’une année.
Le premier dimanche de l’Avent , quatre semaines avant Noël, marque l’entrée dans une nouvelle année liturgique. Elle s’achève avec le dimanche du Christ roi.
Le calendrier suit un cycle de trois ans, ce qui permet de parcourir les trois Évangiles dits synoptiques : l’Évangile selon Matthieu, l’Évangile selon Marc, l’Évangile selon Luc et L’Évangile selon Jean.
17 septembre de l'an 2017 après JC
Vingt-quatrième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 18,21-35.
En ce temps-là, Pierre s’approcha de Jésus pour lui demander : « Seigneur, lorsque mon frère commettra des fautes contre moi, combien de fois dois-je lui pardonner ? Jusqu’à sept fois ? »
Jésus lui répondit : « Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois.
Ainsi, le royaume des Cieux est comparable à un roi qui voulut régler ses comptes avec ses serviteurs.
Il commençait, quand on lui amena quelqu’un qui lui devait dix mille talents (c’est-à-dire soixante millions de pièces d’argent).
Comme cet homme n’avait pas de quoi rembourser, le maître ordonna de le vendre, avec sa femme, ses enfants et tous ses biens, en remboursement de sa dette.
Alors, tombant à ses pieds, le serviteur demeurait prosterné et disait : “Prends patience envers moi, et je te rembourserai tout.”
Saisi de compassion, le maître de ce serviteur le laissa partir et lui remit sa dette.
Mais, en sortant, ce serviteur trouva un de ses compagnons qui lui devait cent pièces d’argent. Il se jeta sur lui pour l’étrangler, en disant : “Rembourse ta dette !”
Alors, tombant à ses pieds, son compagnon le suppliait : “Prends patience envers moi, et je te rembourserai.”
Mais l’autre refusa et le fit jeter en prison jusqu’à ce qu’il ait remboursé ce qu’il devait.
Ses compagnons, voyant cela, furent profondément attristés et allèrent raconter à leur maître tout ce qui s’était passé.
Alors celui-ci le fit appeler et lui dit : “Serviteur mauvais ! je t’avais remis toute cette dette parce que tu m’avais supplié.
Ne devais-tu pas, à ton tour, avoir pitié de ton compagnon, comme moi-même j’avais eu pitié de toi ?”
Dans sa colère, son maître le livra aux bourreaux jusqu’à ce qu’il eût remboursé tout ce qu’il devait.
C’est ainsi que mon Père du ciel vous traitera, si chacun de vous ne pardonne pas à son frère du fond du cœur. »
Livre de l'Ecclésiastique 27,30.28,1-7.
Rancune et colère, voilà des choses abominables où le pécheur est passé maître.
Celui qui se venge éprouvera la vengeance du Seigneur ; celui-ci tiendra un compte rigoureux de ses péchés.
Pardonne à ton prochain le tort qu’il t’a fait ; alors, à ta prière, tes péchés seront remis.
Si un homme nourrit de la colère contre un autre homme, comment peut-il demander à Dieu la guérison ?
S’il n’a pas de pitié pour un homme, son semblable, comment peut-il supplier pour ses péchés à lui ?
Lui qui est un pauvre mortel, il garde rancune ; qui donc lui pardonnera ses péchés ?
Pense à ton sort final et renonce à toute haine, pense à ton déclin et à ta mort, et demeure fidèle aux commandements.
Pense aux commandements et ne garde pas de rancune envers le prochain, pense à l’Alliance du Très-Haut et sois indulgent pour qui ne sait pas.
Psaume 103(102),1-2.3-4.9-10.11-12.
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
bénis son nom très saint, tout mon être !
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
n'oublie aucun de ses bienfaits !
Car il pardonne toutes tes offenses
et te guérit de toute maladie ;
il réclame ta vie à la tombe
et te couronne d'amour et de tendresse.
Il n'est pas pour toujours en procès,
ne maintient pas sans fin ses reproches ;
il n'agit pas envers nous selon nos fautes,
ne nous rend pas selon nos offenses.
Comme le ciel domine la terre,
fort est son amour pour qui le craint ;
Aussi loin qu'est l'orient de l'occident,
il met loin de nous nos péchés ;
Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 14,7-9.
En effet, aucun d’entre nous ne vit pour soi-même, et aucun ne meurt pour soi-même :
si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur ; si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Ainsi, dans notre vie comme dans notre mort, nous appartenons au Seigneur.
Car, si le Christ a connu la mort, puis la vie, c’est pour devenir le Seigneur et des morts et des vivants.
Le premier dimanche de l’Avent , quatre semaines avant Noël, marque l’entrée dans une nouvelle année liturgique. Elle s’achève avec le dimanche du Christ roi.
Le calendrier suit un cycle de trois ans, ce qui permet de parcourir les trois Évangiles dits synoptiques : l’Évangile selon Matthieu, l’Évangile selon Marc, l’Évangile selon Luc et L’Évangile selon Jean.
17 septembre de l'an 2017 après JC
Vingt-quatrième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 18,21-35.
En ce temps-là, Pierre s’approcha de Jésus pour lui demander : « Seigneur, lorsque mon frère commettra des fautes contre moi, combien de fois dois-je lui pardonner ? Jusqu’à sept fois ? »
Jésus lui répondit : « Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois.
Ainsi, le royaume des Cieux est comparable à un roi qui voulut régler ses comptes avec ses serviteurs.
Il commençait, quand on lui amena quelqu’un qui lui devait dix mille talents (c’est-à-dire soixante millions de pièces d’argent).
Comme cet homme n’avait pas de quoi rembourser, le maître ordonna de le vendre, avec sa femme, ses enfants et tous ses biens, en remboursement de sa dette.
Alors, tombant à ses pieds, le serviteur demeurait prosterné et disait : “Prends patience envers moi, et je te rembourserai tout.”
Saisi de compassion, le maître de ce serviteur le laissa partir et lui remit sa dette.
Mais, en sortant, ce serviteur trouva un de ses compagnons qui lui devait cent pièces d’argent. Il se jeta sur lui pour l’étrangler, en disant : “Rembourse ta dette !”
Alors, tombant à ses pieds, son compagnon le suppliait : “Prends patience envers moi, et je te rembourserai.”
Mais l’autre refusa et le fit jeter en prison jusqu’à ce qu’il ait remboursé ce qu’il devait.
Ses compagnons, voyant cela, furent profondément attristés et allèrent raconter à leur maître tout ce qui s’était passé.
Alors celui-ci le fit appeler et lui dit : “Serviteur mauvais ! je t’avais remis toute cette dette parce que tu m’avais supplié.
Ne devais-tu pas, à ton tour, avoir pitié de ton compagnon, comme moi-même j’avais eu pitié de toi ?”
Dans sa colère, son maître le livra aux bourreaux jusqu’à ce qu’il eût remboursé tout ce qu’il devait.
C’est ainsi que mon Père du ciel vous traitera, si chacun de vous ne pardonne pas à son frère du fond du cœur. »
Livre de l'Ecclésiastique 27,30.28,1-7.
Rancune et colère, voilà des choses abominables où le pécheur est passé maître.
Celui qui se venge éprouvera la vengeance du Seigneur ; celui-ci tiendra un compte rigoureux de ses péchés.
Pardonne à ton prochain le tort qu’il t’a fait ; alors, à ta prière, tes péchés seront remis.
Si un homme nourrit de la colère contre un autre homme, comment peut-il demander à Dieu la guérison ?
S’il n’a pas de pitié pour un homme, son semblable, comment peut-il supplier pour ses péchés à lui ?
Lui qui est un pauvre mortel, il garde rancune ; qui donc lui pardonnera ses péchés ?
Pense à ton sort final et renonce à toute haine, pense à ton déclin et à ta mort, et demeure fidèle aux commandements.
Pense aux commandements et ne garde pas de rancune envers le prochain, pense à l’Alliance du Très-Haut et sois indulgent pour qui ne sait pas.
Psaume 103(102),1-2.3-4.9-10.11-12.
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
bénis son nom très saint, tout mon être !
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
n'oublie aucun de ses bienfaits !
Car il pardonne toutes tes offenses
et te guérit de toute maladie ;
il réclame ta vie à la tombe
et te couronne d'amour et de tendresse.
Il n'est pas pour toujours en procès,
ne maintient pas sans fin ses reproches ;
il n'agit pas envers nous selon nos fautes,
ne nous rend pas selon nos offenses.
Comme le ciel domine la terre,
fort est son amour pour qui le craint ;
Aussi loin qu'est l'orient de l'occident,
il met loin de nous nos péchés ;
Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 14,7-9.
En effet, aucun d’entre nous ne vit pour soi-même, et aucun ne meurt pour soi-même :
si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur ; si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Ainsi, dans notre vie comme dans notre mort, nous appartenons au Seigneur.
Car, si le Christ a connu la mort, puis la vie, c’est pour devenir le Seigneur et des morts et des vivants.
Merl1- Vénérable
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Date d'inscription : 12/07/2011
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Calendrier liturgique
Dimanche 24 septembre 2017 après JC
Vingt-cinquième dimanche du temps ordinaire
L'Église fête : Notre-Dame de la Merci
Évangile selon saint Matthieu 20,1-16a.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole : « En effet, le royaume des Cieux est comparable au maître d’un domaine qui sortit dès le matin afin d’embaucher des ouvriers pour sa vigne.
Il se mit d’accord avec eux sur le salaire de la journée : un denier, c’est-à-dire une pièce d’argent, et il les envoya à sa vigne.
Sorti vers neuf heures, il en vit d’autres qui étaient là, sur la place, sans rien faire.
Et à ceux-là, il dit : “Allez à ma vigne, vous aussi, et je vous donnerai ce qui est juste.”
Ils y allèrent. Il sortit de nouveau vers midi, puis vers trois heures, et fit de même.
Vers cinq heures, il sortit encore, en trouva d’autres qui étaient là et leur dit : “Pourquoi êtes-vous restés là, toute la journée, sans rien faire ?”
Ils lui répondirent : “Parce que personne ne nous a embauchés.” Il leur dit : “Allez à ma vigne, vous aussi.”
Le soir venu, le maître de la vigne dit à son intendant : “Appelle les ouvriers et distribue le salaire, en commençant par les derniers pour finir par les premiers.”
Ceux qui avaient commencé à cinq heures s’avancèrent et reçurent chacun une pièce d’un denier.
Quand vint le tour des premiers, ils pensaient recevoir davantage, mais ils reçurent, eux aussi, chacun une pièce d’un denier.
En la recevant, ils récriminaient contre le maître du domaine :
“Ceux-là, les derniers venus, n’ont fait qu’une heure, et tu les traites à l’égal de nous, qui avons enduré le poids du jour et la chaleur !”
Mais le maître répondit à l’un d’entre eux : “Mon ami, je ne suis pas injuste envers toi. N’as-tu pas été d’accord avec moi pour un denier ?
Prends ce qui te revient, et va-t’en. Je veux donner au dernier venu autant qu’à toi :
n’ai-je pas le droit de faire ce que je veux de mes biens ? Ou alors ton regard est-il mauvais parce que moi, je suis bon ?”
C’est ainsi que les derniers seront premiers, et les premiers seront derniers. »
Mes bien-aimés, persévérez dans les bonnes œuvres que vous avez commencées... De malheureux hommes servent un roi terrestre au péril de leur vie et moyennant d'énormes difficultés pour un bénéfice très vite passé et disparu ; pourquoi ne serviriez-vous pas le roi du ciel pour obtenir le bonheur du Royaume ? Puisque, par la foi, le Seigneur vous a déjà appelés à sa vigne, c'est-à-dire à l'unité de la sainte Église, vivez, conduisez-vous de telle sorte que, grâce à la générosité de Dieu, vous puissiez recevoir la pièce d'argent, c'est-à-dire le bonheur du Royaume des cieux.
Que personne ne désespère à cause de la grandeur de ses péchés, et ne dise : « Nombreux sont les péchés dans lesquels j'ai persévéré jusqu'à la vieillesse et l'extrême vieillesse ; je ne pourrai plus désormais obtenir le pardon, surtout que ce sont les péchés qui m'ont laissé, non pas moi qui les ai rejetés. » Que celui-là ne désespère absolument pas de la miséricorde divine, car les uns sont appelés à la vigne de Dieu à la première heure, d'autres à la troisième, d'autres à la sixième, d'autres à la neuvième, d'autres à la onzième, c'est-à-dire que les uns sont conduits au service de Dieu dans l'enfance, d'autres dans l'adolescence, d'autres dans la jeunesse, d'autres dans la vieillesse, d'autres dans l'extrême vieillesse.
Que personne donc, quel que soit son âge, ne désespère s'il veut se convertir à Dieu... Travaillez fidèlement dans la vigne de l'Église, pour recevoir le salaire du bonheur éternel et régner avec le Christ dans tous les siècles des siècles.
Livre d'Isaïe 55,6-9.
Cherchez le Seigneur tant qu’il se laisse trouver ; invoquez-le tant qu’il est proche.
Que le méchant abandonne son chemin, et l’homme perfide, ses pensées ! Qu’il revienne vers le Seigneur qui lui montrera sa miséricorde, vers notre Dieu qui est riche en pardon.
Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos chemins ne sont pas mes chemins, – oracle du Seigneur.
Autant le ciel est élevé au-dessus de la terre, autant mes chemins sont élevés au-dessus de vos chemins, et mes pensées, au-dessus de vos pensées.
Vingt-cinquième dimanche du temps ordinaire
L'Église fête : Notre-Dame de la Merci
Évangile selon saint Matthieu 20,1-16a.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole : « En effet, le royaume des Cieux est comparable au maître d’un domaine qui sortit dès le matin afin d’embaucher des ouvriers pour sa vigne.
Il se mit d’accord avec eux sur le salaire de la journée : un denier, c’est-à-dire une pièce d’argent, et il les envoya à sa vigne.
Sorti vers neuf heures, il en vit d’autres qui étaient là, sur la place, sans rien faire.
Et à ceux-là, il dit : “Allez à ma vigne, vous aussi, et je vous donnerai ce qui est juste.”
Ils y allèrent. Il sortit de nouveau vers midi, puis vers trois heures, et fit de même.
Vers cinq heures, il sortit encore, en trouva d’autres qui étaient là et leur dit : “Pourquoi êtes-vous restés là, toute la journée, sans rien faire ?”
Ils lui répondirent : “Parce que personne ne nous a embauchés.” Il leur dit : “Allez à ma vigne, vous aussi.”
Le soir venu, le maître de la vigne dit à son intendant : “Appelle les ouvriers et distribue le salaire, en commençant par les derniers pour finir par les premiers.”
Ceux qui avaient commencé à cinq heures s’avancèrent et reçurent chacun une pièce d’un denier.
Quand vint le tour des premiers, ils pensaient recevoir davantage, mais ils reçurent, eux aussi, chacun une pièce d’un denier.
En la recevant, ils récriminaient contre le maître du domaine :
“Ceux-là, les derniers venus, n’ont fait qu’une heure, et tu les traites à l’égal de nous, qui avons enduré le poids du jour et la chaleur !”
Mais le maître répondit à l’un d’entre eux : “Mon ami, je ne suis pas injuste envers toi. N’as-tu pas été d’accord avec moi pour un denier ?
Prends ce qui te revient, et va-t’en. Je veux donner au dernier venu autant qu’à toi :
n’ai-je pas le droit de faire ce que je veux de mes biens ? Ou alors ton regard est-il mauvais parce que moi, je suis bon ?”
C’est ainsi que les derniers seront premiers, et les premiers seront derniers. »
Mes bien-aimés, persévérez dans les bonnes œuvres que vous avez commencées... De malheureux hommes servent un roi terrestre au péril de leur vie et moyennant d'énormes difficultés pour un bénéfice très vite passé et disparu ; pourquoi ne serviriez-vous pas le roi du ciel pour obtenir le bonheur du Royaume ? Puisque, par la foi, le Seigneur vous a déjà appelés à sa vigne, c'est-à-dire à l'unité de la sainte Église, vivez, conduisez-vous de telle sorte que, grâce à la générosité de Dieu, vous puissiez recevoir la pièce d'argent, c'est-à-dire le bonheur du Royaume des cieux.
Que personne ne désespère à cause de la grandeur de ses péchés, et ne dise : « Nombreux sont les péchés dans lesquels j'ai persévéré jusqu'à la vieillesse et l'extrême vieillesse ; je ne pourrai plus désormais obtenir le pardon, surtout que ce sont les péchés qui m'ont laissé, non pas moi qui les ai rejetés. » Que celui-là ne désespère absolument pas de la miséricorde divine, car les uns sont appelés à la vigne de Dieu à la première heure, d'autres à la troisième, d'autres à la sixième, d'autres à la neuvième, d'autres à la onzième, c'est-à-dire que les uns sont conduits au service de Dieu dans l'enfance, d'autres dans l'adolescence, d'autres dans la jeunesse, d'autres dans la vieillesse, d'autres dans l'extrême vieillesse.
Que personne donc, quel que soit son âge, ne désespère s'il veut se convertir à Dieu... Travaillez fidèlement dans la vigne de l'Église, pour recevoir le salaire du bonheur éternel et régner avec le Christ dans tous les siècles des siècles.
Livre d'Isaïe 55,6-9.
Cherchez le Seigneur tant qu’il se laisse trouver ; invoquez-le tant qu’il est proche.
Que le méchant abandonne son chemin, et l’homme perfide, ses pensées ! Qu’il revienne vers le Seigneur qui lui montrera sa miséricorde, vers notre Dieu qui est riche en pardon.
Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos chemins ne sont pas mes chemins, – oracle du Seigneur.
Autant le ciel est élevé au-dessus de la terre, autant mes chemins sont élevés au-dessus de vos chemins, et mes pensées, au-dessus de vos pensées.
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Re: Calendrier liturgique
Dimanche 01 octobre 2017
Vingt-sixième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 21,28-32.
En ce temps-là, Jésus disait aux grands prêtres et aux anciens du peuple :
« Quel est votre avis ? Un homme avait deux fils. Il vint trouver le premier et lui dit : “Mon enfant, va travailler aujourd’hui à la vigne.”
Celui-ci répondit : “Je ne veux pas.” Mais ensuite, s’étant repenti, il y alla.
Puis le père alla trouver le second et lui parla de la même manière. Celui-ci répondit : “Oui, Seigneur !” et il n’y alla pas.
Lequel des deux a fait la volonté du père ? » Ils lui répondent : « Le premier. » Jésus leur dit : « Amen, je vous le déclare : les publicains et les prostituées vous précèdent dans le royaume de Dieu.
Car Jean le Baptiste est venu à vous sur le chemin de la justice, et vous n’avez pas cru à sa parole ; mais les publicains et les prostituées y ont cru. Tandis que vous, après avoir vu cela, vous ne vous êtes même pas repentis plus tard pour croire à sa parole. »
Vingt-sixième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 21,28-32.
En ce temps-là, Jésus disait aux grands prêtres et aux anciens du peuple :
« Quel est votre avis ? Un homme avait deux fils. Il vint trouver le premier et lui dit : “Mon enfant, va travailler aujourd’hui à la vigne.”
Celui-ci répondit : “Je ne veux pas.” Mais ensuite, s’étant repenti, il y alla.
Puis le père alla trouver le second et lui parla de la même manière. Celui-ci répondit : “Oui, Seigneur !” et il n’y alla pas.
Lequel des deux a fait la volonté du père ? » Ils lui répondent : « Le premier. » Jésus leur dit : « Amen, je vous le déclare : les publicains et les prostituées vous précèdent dans le royaume de Dieu.
Car Jean le Baptiste est venu à vous sur le chemin de la justice, et vous n’avez pas cru à sa parole ; mais les publicains et les prostituées y ont cru. Tandis que vous, après avoir vu cela, vous ne vous êtes même pas repentis plus tard pour croire à sa parole. »
Obéissants au Père, à la suite du Fils
« Que ta volonté soit faite ! » (Mt 6,10) C'était bien là toute la vie du Sauveur. Il est venu dans le monde pour accomplir la volonté du Père, non seulement afin d'expier le péché de désobéissance par son obéissance (Rm 5,19), mais encore pour ramener les hommes vers leur vocation sur le chemin de l'obéissance.
Il n'est pas donné à la volonté des êtres créés d'être libre en étant son propre maître ; elle est appelée à s'accorder à la volonté de Dieu. Si elle s'y accorde par sa libre soumission, il lui est alors offert de participer librement à l'achèvement de la création. Si elle s'y refuse, la créature libre perd aussi sa liberté. La volonté de l'homme conserve encore le libre arbitre, mais il est séduit par les choses de ce monde ; elles le tirent et le poussent en des directions qui l'éloignent de l'épanouissement de sa nature tel que Dieu l'a voulu et elles l'écartent du but qu'il s'est fixé lui-même dans sa liberté originelle. En plus de cette liberté originelle, il perd la sûreté de sa résolution. Il devient changeant et indécis, tiraillé par des doutes et des scrupules ou endurci dans son égarement.
Contre cela, il n'y a pas d'autre remède que le chemin à la suite du Christ, le Fils de l'homme qui non seulement obéissait directement au Père des cieux mais se soumettait aussi aux hommes qui lui signifiaient la volonté du Père. L'obéissance telle que Dieu l'a voulue libère notre volonté esclave de tous les liens des choses créées et la ramène vers la liberté. C'est donc aussi le chemin vers la pureté du cœur.
Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix [Édith Stein] (1891-1942)
Merl1- Vénérable
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Re: Calendrier liturgique
comme quoi les Romains était plus à l'écoute de Jésus , que le peuple élu du Père(Dieu d'israel ) de Jésus
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: Calendrier liturgique
Samedi 7 octobre 2017
Samedi de la 26e semaine du temps ordinaire
L'Église fête : Notre-Dame du Rosaire
Le Rosaire avait été institué par saint Dominique au commencement du XIIIe siècle. Par le zèle des papes, et aussi par les fruits abondants qu'il produisait dans l'Église, il devenait de plus en plus populaire. Au XVe siècle, le bienheureux Alain de La Roche, dominicain, fut suscité par Marie pour raviver cette dévotion si excellente.
La fête de Notre-Dame du Rosaire se célébrait déjà, en 1547, à Tortosa (Espagne), le troisième dimanche d'avril, quand fut instituée par Pie V la fête de Notre-Dame de la Victoire (1572) au premier dimanche d'octobre, en action de grâces pour la victoire de Lépante.
Plus tard, dans les premières années du XVIIIe siècle, parut un homme extraordinaire appelé à bon droit le Dominique des temps modernes, et qui fut le grand propagateur, l'apôtre de la dévotion au saint Rosaire ; c'est saint Louis-Marie Grignion de Montfort. Depuis saint Dominique, il n'y a pas eu d'homme plus zélé que ce grand missionnaire pour l'établissement de la confrérie du Rosaire : il l'érigeait dans tous les lieux où elle ne l'était pas ; c'est le moyen qu'il jugeait le plus puissant pour établir le règne de Dieu dans les âmes. Il composa lui-même une méthode de réciter le Rosaire, facile à retenir, instructive et pieuse. L'Apôtre de l'Ouest récitait tous les jours son Rosaire en entier, suivant sa méthode, et le faisait de même réciter publiquement tous les jours dans ses missions, et il a fait un point de règle à ses disciples de suivre son exemple.
Par son Rosaire quotidien, Montfort convertissait les plus grands pécheurs et les faisait persévérer dans la grâce et la ferveur de leur conversion ; il pouvait dire : « Personne ne m'a résisté une fois que j'ai pu lui mettre la main au collet avec mon Rosaire ! » Il avait mille industries pour propager et faire aimer le Rosaire : là, c'étaient des bannières représentant les mystères du Rosaire ; ailleurs, d'immenses Rosaires qu'on récitait en marchant, dans les églises ou autour des églises, à la manière du chemin de la Croix. Il exaltait le Rosaire dans ses cantiques ; un tonnerre de voix répondait à la sienne, et tous les échos répétaient, de colline en colline, les gloires de cette dévotion bénie.
Le rosaire késako ?
Le principe est de méditer chaque Mystère pendant la récitation de dix Je vous salue Marie. Ou encore, de méditer d'abord le Mystère, de marquer une pause et de dire ensuite les dix Ave en ayant à l'esprit le Mystère. Chaque Mystère à son fruit, résultat de la méditation. Par exemple la Nativité de Jésus pouvant être médité les lundi et samedi fait parti des mystères glorieux et a pour fruit l'esprit de pauvreté..
Le Saint Rosaire est composé de quatre parties :
Les Mystères joyeux médités traditionnellement le lundi et le samedi en priant un chapelet
L'Annonciation à Marie par l'ange Gabriel (Lc 1.26-38 ; Mt 1.18-25)
La Visitation de Marie à sa cousine Elisabeth (Lc 1.39-56)
La Nativité de Jésus à Bethléem (Lc 2.1-20 ; Mt 2.1-12)
La Présentation de Jésus nouveau-né au Temple (Lc 2.21-40)
Le Recouvrement de l'enfant Jésus au Temple (Lc 2.41-52)
Les Mystères lumineux médités traditionnellement le jeudi en priant un chapelet
Le Baptême de Jésus au Jourdain (Mt 3.1-17 ; Mc 1.1-11 ; Lc 3.1-22)
Les noces de Cana (Jn 2.1-12)
La Prédication du Royaume de Dieu (Mt 4.12-17. 5,6 et 7 ; Mc 1.14-15 ; Lc 4.14-15, 6.20-49)
La Transfiguration (Mt 16.28, 17.1-13 ; Mc 9.1-8 ; Lc 9.27-36 ; 2 P 1.16-18)
L'institution de l'Eucharistie (Mt 26.26-29 ; Mc 14.22-25 ; Lc 22.14-20 ; 1 Co 11.23-25)
Les Mystères douloureux médités traditionnellement le mardi et le vendredi en priant un chapelet
L'Agonie de Jésus au Jardin des Oliviers (Mt 26.36-56 ; Mc 14.32-52 ; Lc 22.39-53 ; Jn 18.1-11)
La Flagellation de Jésus (Mt 27.20-26 ; Mc 15.11-15 ; Jn 19.1)
Le Couronnement d'épines (Mt 27.27-31 ; Mc 15.16-20 ; Jn 19.2-11)
Le Portement de Croix (Mt 27.31-33 ; Mc 15.20-22 ; Lc 23.26-32 ; Jn 19.16-17)
Le Crucifiement et la mort de Jésus sur la croix (Mt 27.34-56 ; Mc 15.23-41 ; Lc 23.33-49 ; Jn 19.18-37)
Les Mystères glorieux médités traditionnellement le mercredi et dimanche en priant un chapelet
La Résurrection de Jésus (Mt 28.1-20 ; Mc 16.1-18 ; Lc 24.1-43 ; Jn 20.1-29)
L'Ascension de Jésus au ciel (Mc 16.19-20 ; Lc 24.44-53 ; Ac 1.3-11)
L'effusion du Saint Esprit au jour de la Pentecôte (Ac 2.1-41)
La Dormition et l'Assomption de Marie au ciel (2 R 2.11 ; Tradition ; LG 59)
Le Couronnement de Marie dans le ciel (Ap 12.1 ; Tradition ; LG 59 et 68)
Toute sortes de supports papiers, audios, etc aident à la prière du Rosaire. Ce samedi méditons les Mystères joyeux :
Samedi de la 26e semaine du temps ordinaire
L'Église fête : Notre-Dame du Rosaire
Le Rosaire avait été institué par saint Dominique au commencement du XIIIe siècle. Par le zèle des papes, et aussi par les fruits abondants qu'il produisait dans l'Église, il devenait de plus en plus populaire. Au XVe siècle, le bienheureux Alain de La Roche, dominicain, fut suscité par Marie pour raviver cette dévotion si excellente.
La fête de Notre-Dame du Rosaire se célébrait déjà, en 1547, à Tortosa (Espagne), le troisième dimanche d'avril, quand fut instituée par Pie V la fête de Notre-Dame de la Victoire (1572) au premier dimanche d'octobre, en action de grâces pour la victoire de Lépante.
Plus tard, dans les premières années du XVIIIe siècle, parut un homme extraordinaire appelé à bon droit le Dominique des temps modernes, et qui fut le grand propagateur, l'apôtre de la dévotion au saint Rosaire ; c'est saint Louis-Marie Grignion de Montfort. Depuis saint Dominique, il n'y a pas eu d'homme plus zélé que ce grand missionnaire pour l'établissement de la confrérie du Rosaire : il l'érigeait dans tous les lieux où elle ne l'était pas ; c'est le moyen qu'il jugeait le plus puissant pour établir le règne de Dieu dans les âmes. Il composa lui-même une méthode de réciter le Rosaire, facile à retenir, instructive et pieuse. L'Apôtre de l'Ouest récitait tous les jours son Rosaire en entier, suivant sa méthode, et le faisait de même réciter publiquement tous les jours dans ses missions, et il a fait un point de règle à ses disciples de suivre son exemple.
Par son Rosaire quotidien, Montfort convertissait les plus grands pécheurs et les faisait persévérer dans la grâce et la ferveur de leur conversion ; il pouvait dire : « Personne ne m'a résisté une fois que j'ai pu lui mettre la main au collet avec mon Rosaire ! » Il avait mille industries pour propager et faire aimer le Rosaire : là, c'étaient des bannières représentant les mystères du Rosaire ; ailleurs, d'immenses Rosaires qu'on récitait en marchant, dans les églises ou autour des églises, à la manière du chemin de la Croix. Il exaltait le Rosaire dans ses cantiques ; un tonnerre de voix répondait à la sienne, et tous les échos répétaient, de colline en colline, les gloires de cette dévotion bénie.
Saint Louis-Marie Grignion de Montfort a écrit:Si vous êtes fidèles à le dire, malgré la grandeur de vos péchés, dévotement jusqu'à la mort, croyez-moi: Percipietis coronam immarcescibilem (1 P 5,4), Vous recevrez une couronne de gloire qui ne se flétrira jamais. Quand vous seriez sur le bord de l'abîme, quand vous auriez déjà un pied dans l'enfer, quand vous auriez vendu votre âme au diable comme un magicien, quand vous seriez un hérétique endurci et obstiné comme un démon, vous vous convertirez tôt ou tard et vous sauverez, pourvu que, je le répète et remarquez les paroles et les termes de mon conseil, vous disiez tous les jours le saint Rosaire dévotement jusqu'à la mort pour connaître la vérité et obtenir la contrition et le pardon de vos péchés.
Le rosaire késako ?
Le principe est de méditer chaque Mystère pendant la récitation de dix Je vous salue Marie. Ou encore, de méditer d'abord le Mystère, de marquer une pause et de dire ensuite les dix Ave en ayant à l'esprit le Mystère. Chaque Mystère à son fruit, résultat de la méditation. Par exemple la Nativité de Jésus pouvant être médité les lundi et samedi fait parti des mystères glorieux et a pour fruit l'esprit de pauvreté..
Le Saint Rosaire est composé de quatre parties :
Les Mystères joyeux médités traditionnellement le lundi et le samedi en priant un chapelet
L'Annonciation à Marie par l'ange Gabriel (Lc 1.26-38 ; Mt 1.18-25)
La Visitation de Marie à sa cousine Elisabeth (Lc 1.39-56)
La Nativité de Jésus à Bethléem (Lc 2.1-20 ; Mt 2.1-12)
La Présentation de Jésus nouveau-né au Temple (Lc 2.21-40)
Le Recouvrement de l'enfant Jésus au Temple (Lc 2.41-52)
Les Mystères lumineux médités traditionnellement le jeudi en priant un chapelet
Le Baptême de Jésus au Jourdain (Mt 3.1-17 ; Mc 1.1-11 ; Lc 3.1-22)
Les noces de Cana (Jn 2.1-12)
La Prédication du Royaume de Dieu (Mt 4.12-17. 5,6 et 7 ; Mc 1.14-15 ; Lc 4.14-15, 6.20-49)
La Transfiguration (Mt 16.28, 17.1-13 ; Mc 9.1-8 ; Lc 9.27-36 ; 2 P 1.16-18)
L'institution de l'Eucharistie (Mt 26.26-29 ; Mc 14.22-25 ; Lc 22.14-20 ; 1 Co 11.23-25)
Les Mystères douloureux médités traditionnellement le mardi et le vendredi en priant un chapelet
L'Agonie de Jésus au Jardin des Oliviers (Mt 26.36-56 ; Mc 14.32-52 ; Lc 22.39-53 ; Jn 18.1-11)
La Flagellation de Jésus (Mt 27.20-26 ; Mc 15.11-15 ; Jn 19.1)
Le Couronnement d'épines (Mt 27.27-31 ; Mc 15.16-20 ; Jn 19.2-11)
Le Portement de Croix (Mt 27.31-33 ; Mc 15.20-22 ; Lc 23.26-32 ; Jn 19.16-17)
Le Crucifiement et la mort de Jésus sur la croix (Mt 27.34-56 ; Mc 15.23-41 ; Lc 23.33-49 ; Jn 19.18-37)
Les Mystères glorieux médités traditionnellement le mercredi et dimanche en priant un chapelet
La Résurrection de Jésus (Mt 28.1-20 ; Mc 16.1-18 ; Lc 24.1-43 ; Jn 20.1-29)
L'Ascension de Jésus au ciel (Mc 16.19-20 ; Lc 24.44-53 ; Ac 1.3-11)
L'effusion du Saint Esprit au jour de la Pentecôte (Ac 2.1-41)
La Dormition et l'Assomption de Marie au ciel (2 R 2.11 ; Tradition ; LG 59)
Le Couronnement de Marie dans le ciel (Ap 12.1 ; Tradition ; LG 59 et 68)
Toute sortes de supports papiers, audios, etc aident à la prière du Rosaire. Ce samedi méditons les Mystères joyeux :
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Re: Calendrier liturgique
Dimanche 08 octobre 2017
Vingt-septième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 21,33-43.
En ce temps-là, Jésus disait aux grands prêtres et aux anciens du peuple : « Écoutez cette parabole : Un homme était propriétaire d’un domaine ; il planta une vigne, l’entoura d’une clôture, y creusa un pressoir et bâtit une tour de garde. Puis il loua cette vigne à des vignerons, et partit en voyage.
Quand arriva le temps des fruits, il envoya ses serviteurs auprès des vignerons pour se faire remettre le produit de sa vigne.
Mais les vignerons se saisirent des serviteurs, frappèrent l’un, tuèrent l’autre, lapidèrent le troisième.
De nouveau, le propriétaire envoya d’autres serviteurs plus nombreux que les premiers ; mais on les traita de la même façon.
Finalement, il leur envoya son fils, en se disant : “Ils respecteront mon fils.”
Mais, voyant le fils, les vignerons se dirent entre eux : “Voici l’héritier : venez ! tuons-le, nous aurons son héritage !”
Ils se saisirent de lui, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent.
Eh bien ! quand le maître de la vigne viendra, que fera-t-il à ces vignerons ? »
On lui répond : « Ces misérables, il les fera périr misérablement. Il louera la vigne à d’autres vignerons, qui lui en remettront le produit en temps voulu. »
Jésus leur dit : « N’avez-vous jamais lu dans les Écritures : ‘La pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs est devenue la pierre d’angle : c’est là l’œuvre du Seigneur, la merveille devant nos yeux !’
Aussi, je vous le dis : Le royaume de Dieu vous sera enlevé pour être donné à une nation qui lui fera produire ses fruits. »
Enluminures de l’Evangéliaire d’Echtermach
Vingt-septième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 21,33-43.
En ce temps-là, Jésus disait aux grands prêtres et aux anciens du peuple : « Écoutez cette parabole : Un homme était propriétaire d’un domaine ; il planta une vigne, l’entoura d’une clôture, y creusa un pressoir et bâtit une tour de garde. Puis il loua cette vigne à des vignerons, et partit en voyage.
Quand arriva le temps des fruits, il envoya ses serviteurs auprès des vignerons pour se faire remettre le produit de sa vigne.
Mais les vignerons se saisirent des serviteurs, frappèrent l’un, tuèrent l’autre, lapidèrent le troisième.
De nouveau, le propriétaire envoya d’autres serviteurs plus nombreux que les premiers ; mais on les traita de la même façon.
Finalement, il leur envoya son fils, en se disant : “Ils respecteront mon fils.”
Mais, voyant le fils, les vignerons se dirent entre eux : “Voici l’héritier : venez ! tuons-le, nous aurons son héritage !”
Ils se saisirent de lui, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent.
Eh bien ! quand le maître de la vigne viendra, que fera-t-il à ces vignerons ? »
On lui répond : « Ces misérables, il les fera périr misérablement. Il louera la vigne à d’autres vignerons, qui lui en remettront le produit en temps voulu. »
Jésus leur dit : « N’avez-vous jamais lu dans les Écritures : ‘La pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs est devenue la pierre d’angle : c’est là l’œuvre du Seigneur, la merveille devant nos yeux !’
Aussi, je vous le dis : Le royaume de Dieu vous sera enlevé pour être donné à une nation qui lui fera produire ses fruits. »
Enluminures de l’Evangéliaire d’Echtermach
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Re: Calendrier liturgique
Dimanche 15 octobre 2017
Vingt-huitième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 22,1-14.
En ce temps-là, Jésus se mit de nouveau à parler aux grands prêtres et aux anciens du peuple, et il leur dit en paraboles :
« Le royaume des Cieux est comparable à un roi qui célébra les noces de son fils.
Il envoya ses serviteurs appeler à la noce les invités, mais ceux-ci ne voulaient pas venir.
Il envoya encore d’autres serviteurs dire aux invités : “Voilà : j’ai préparé mon banquet, mes bœufs et mes bêtes grasses sont égorgés ; tout est prêt : venez à la noce.”
Mais ils n’en tinrent aucun compte et s’en allèrent, l’un à son champ, l’autre à son commerce ;
les autres empoignèrent les serviteurs, les maltraitèrent et les tuèrent.
Le roi se mit en colère, il envoya ses troupes, fit périr les meurtriers et incendia leur ville.
Alors il dit à ses serviteurs : “Le repas de noce est prêt, mais les invités n’en étaient pas dignes.
Allez donc aux croisées des chemins : tous ceux que vous trouverez, invitez-les à la noce.”
Les serviteurs allèrent sur les chemins, rassemblèrent tous ceux qu’ils trouvèrent, les mauvais comme les bons, et la salle de noce fut remplie de convives.
Le roi entra pour examiner les convives, et là il vit un homme qui ne portait pas le vêtement de noce.
Il lui dit : “Mon ami, comment es-tu entré ici, sans avoir le vêtement de noce ?” L’autre garda le silence.
Alors le roi dit aux serviteurs : “Jetez-le, pieds et poings liés, dans les ténèbres du dehors ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents.”
Car beaucoup sont appelés, mais peu sont élus. »
Musée de Clermont-Ferrand
Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église
Vingt-huitième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 22,1-14.
En ce temps-là, Jésus se mit de nouveau à parler aux grands prêtres et aux anciens du peuple, et il leur dit en paraboles :
« Le royaume des Cieux est comparable à un roi qui célébra les noces de son fils.
Il envoya ses serviteurs appeler à la noce les invités, mais ceux-ci ne voulaient pas venir.
Il envoya encore d’autres serviteurs dire aux invités : “Voilà : j’ai préparé mon banquet, mes bœufs et mes bêtes grasses sont égorgés ; tout est prêt : venez à la noce.”
Mais ils n’en tinrent aucun compte et s’en allèrent, l’un à son champ, l’autre à son commerce ;
les autres empoignèrent les serviteurs, les maltraitèrent et les tuèrent.
Le roi se mit en colère, il envoya ses troupes, fit périr les meurtriers et incendia leur ville.
Alors il dit à ses serviteurs : “Le repas de noce est prêt, mais les invités n’en étaient pas dignes.
Allez donc aux croisées des chemins : tous ceux que vous trouverez, invitez-les à la noce.”
Les serviteurs allèrent sur les chemins, rassemblèrent tous ceux qu’ils trouvèrent, les mauvais comme les bons, et la salle de noce fut remplie de convives.
Le roi entra pour examiner les convives, et là il vit un homme qui ne portait pas le vêtement de noce.
Il lui dit : “Mon ami, comment es-tu entré ici, sans avoir le vêtement de noce ?” L’autre garda le silence.
Alors le roi dit aux serviteurs : “Jetez-le, pieds et poings liés, dans les ténèbres du dehors ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents.”
Car beaucoup sont appelés, mais peu sont élus. »
Musée de Clermont-Ferrand
Le vêtement de noce
Qu'est-ce que ce vêtement de noce ? Voilà ce qu'en dit l'apôtre Paul : « Les préceptes n'ont d'autre but que l'amour qui vient d'un cœur pur, d'une conscience droite et d'une foi sincère » (1Tm 1,5). Voilà le vêtement de noce. Il ne s'agit pas de n'importe quel amour, car souvent on voit des hommes qui ont une mauvaise conscience et qui paraissent s'aimer. Ceux qui se livrent ensemble aux brigandages, à toute sorte de mal, ceux que rassemble l'amour des comédiens, des conducteurs de chars et des gladiateurs, s'aiment généralement entre eux, mais non de cet amour qui vient d'un cœur pur, d'une conscience droite et d'une foi sincère : or, c'est cet amour-là qui est le vêtement de noce…
Revêtez-vous donc de ce vêtement de noce, si vous ne l'avez pas encore. Déjà vous êtes entrés dans la salle du festin, vous allez vous approcher de la table du Seigneur, mais vous n'avez pas encore le vêtement de noce que vous devez porter en l'honneur de l'Époux ; vous cherchez encore vos intérêts et non ceux de Jésus Christ. En effet, on porte ce vêtement de noce pour honorer l'union nuptiale, c'est-à-dire l'Époux et l'Épouse. Vous connaissez l'Époux, c'est Jésus Christ ; vous connaissez l'Épouse, c'est l'Église (Ep 5,32). Rendez honneur à celle qui est épousée, rendez honneur aussi à celui qui l'épouse, et vous serez par là leurs enfants. Avancez donc de plus en plus dans cette voie.
Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église
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Re: Calendrier liturgique
Dimanche 22 Octobre 2017
Vingt-neuvième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 22,15-21.
Alors les pharisiens allèrent tenir conseil pour prendre Jésus au piège en le faisant parler.
Ils lui envoient leurs disciples, accompagnés des partisans d’Hérode : « Maître, lui disent-ils, nous le savons : tu es toujours vrai et tu enseignes le chemin de Dieu en vérité ; tu ne te laisses influencer par personne, car ce n’est pas selon l’apparence que tu considères les gens.
Alors, donne-nous ton avis : Est-il permis, oui ou non, de payer l’impôt à César, l’empereur ? »
Connaissant leur perversité, Jésus dit : « Hypocrites ! pourquoi voulez-vous me mettre à l’épreuve ?
Montrez-moi la monnaie de l’impôt. » Ils lui présentèrent une pièce d’un denier.
Il leur dit : « Cette effigie et cette inscription, de qui sont-elles ? »
Ils répondirent : « De César. » Alors il leur dit : « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. »
A relier à :
Évangile selon saint Matthieu 17, 24-27
Lorsqu'ils arrivèrent à Capernaüm, ceux qui percevaient les deux drachmes s'adressèrent à Pierre, et lui dirent: Votre maître ne paie-t-il pas les deux drachmes?
Oui, dit-il. Et quand il fut entré dans la maison, Jésus le prévint, et dit: Que t'en semble, Simon? Les rois de la terre, de qui perçoivent-ils des tributs ou des impôts? de leurs fils, ou des étrangers?
Il lui dit: Des étrangers. Et Jésus lui répondit: Les fils en sont donc exempts.
Mais, pour ne pas les scandaliser, va à la mer, jette l'hameçon, et tire le premier poisson qui viendra; ouvre-lui la bouche, et tu trouveras un statère. Prends-le, et donne-le-leur pour moi et pour toi.
Jésus ne doit pas la taxe du Temple, mais il la paye au moyen d’un miracle. Il accepte la taxe impériale, mais en profite pour indiquer que Dieu aussi, et surtout Lui en fait, réclame son dû aux humains. En agissant de la sorte, il respecte et subvertit à la fois la culture fiscale, politique et sociale de son époque, refusant de rejoindre les positions pré-établies par les parties en présence.
Revenons-en, enfin, à la démonstration de Jésus : il demande à l’effigie de qui les pièces sont frappées, et en déduit qu’elles appartiennent à cette personne. Les propriétaires ont bien tendance à poser leur marque sur ce qui leur appartient. Or, les êtres humains créés à l’image de Dieu, ils en portent l’effigie. Il s’agit donc de se rendre soi-même à Dieu – voilà le véritable impôt qui nous est réclamé. Et tout comme pour Pierre, il n’est possible de s’en acquitter que par l’intermédiaire de Jésus : son sacrifice est le miracle qui nous donne de quoi payer.
Vingt-neuvième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 22,15-21.
Alors les pharisiens allèrent tenir conseil pour prendre Jésus au piège en le faisant parler.
Ils lui envoient leurs disciples, accompagnés des partisans d’Hérode : « Maître, lui disent-ils, nous le savons : tu es toujours vrai et tu enseignes le chemin de Dieu en vérité ; tu ne te laisses influencer par personne, car ce n’est pas selon l’apparence que tu considères les gens.
Alors, donne-nous ton avis : Est-il permis, oui ou non, de payer l’impôt à César, l’empereur ? »
Connaissant leur perversité, Jésus dit : « Hypocrites ! pourquoi voulez-vous me mettre à l’épreuve ?
Montrez-moi la monnaie de l’impôt. » Ils lui présentèrent une pièce d’un denier.
Il leur dit : « Cette effigie et cette inscription, de qui sont-elles ? »
Ils répondirent : « De César. » Alors il leur dit : « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. »
A relier à :
Évangile selon saint Matthieu 17, 24-27
Lorsqu'ils arrivèrent à Capernaüm, ceux qui percevaient les deux drachmes s'adressèrent à Pierre, et lui dirent: Votre maître ne paie-t-il pas les deux drachmes?
Oui, dit-il. Et quand il fut entré dans la maison, Jésus le prévint, et dit: Que t'en semble, Simon? Les rois de la terre, de qui perçoivent-ils des tributs ou des impôts? de leurs fils, ou des étrangers?
Il lui dit: Des étrangers. Et Jésus lui répondit: Les fils en sont donc exempts.
Mais, pour ne pas les scandaliser, va à la mer, jette l'hameçon, et tire le premier poisson qui viendra; ouvre-lui la bouche, et tu trouveras un statère. Prends-le, et donne-le-leur pour moi et pour toi.
Jésus ne doit pas la taxe du Temple, mais il la paye au moyen d’un miracle. Il accepte la taxe impériale, mais en profite pour indiquer que Dieu aussi, et surtout Lui en fait, réclame son dû aux humains. En agissant de la sorte, il respecte et subvertit à la fois la culture fiscale, politique et sociale de son époque, refusant de rejoindre les positions pré-établies par les parties en présence.
Revenons-en, enfin, à la démonstration de Jésus : il demande à l’effigie de qui les pièces sont frappées, et en déduit qu’elles appartiennent à cette personne. Les propriétaires ont bien tendance à poser leur marque sur ce qui leur appartient. Or, les êtres humains créés à l’image de Dieu, ils en portent l’effigie. Il s’agit donc de se rendre soi-même à Dieu – voilà le véritable impôt qui nous est réclamé. Et tout comme pour Pierre, il n’est possible de s’en acquitter que par l’intermédiaire de Jésus : son sacrifice est le miracle qui nous donne de quoi payer.
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Re: Calendrier liturgique
Dimanche 29 octobre 2017
Trentième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 22,34-40.
En ce temps-là, les pharisiens, apprenant qu’il avait fermé la bouche aux sadducéens, se réunirent,
et l’un d’entre eux, un docteur de la Loi, posa une question à Jésus pour le mettre à l’épreuve :
« Maître, dans la Loi, quel est le grand commandement ? »
Jésus lui répondit : « ‘Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit.’
Voilà le grand, le premier commandement.
Et le second lui est semblable : ‘Tu aimeras ton prochain comme toi-même.’
De ces deux commandements dépend toute la Loi, ainsi que les Prophètes. »
Trentième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 22,34-40.
En ce temps-là, les pharisiens, apprenant qu’il avait fermé la bouche aux sadducéens, se réunirent,
et l’un d’entre eux, un docteur de la Loi, posa une question à Jésus pour le mettre à l’épreuve :
« Maître, dans la Loi, quel est le grand commandement ? »
Jésus lui répondit : « ‘Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit.’
Voilà le grand, le premier commandement.
Et le second lui est semblable : ‘Tu aimeras ton prochain comme toi-même.’
De ces deux commandements dépend toute la Loi, ainsi que les Prophètes. »
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Re: Calendrier liturgique
Mercredi 01 novembre 2017
Solennité de la Toussaint
Évangile selon saint Matthieu 5,1-12a.
En ce temps-là, voyant les foules, Jésus gravit la montagne. Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent de lui.
Alors, ouvrant la bouche, il les enseignait. Il disait :
« Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés.
Heureux les doux, car ils recevront la terre en héritage.
Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.
Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde.
Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu.
Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu.
Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi.
Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux ! »
Cette fête a été instituée le 13 mai 610 par le pape Boniface IV, afin d'honorer les martyrs romains, dont il avait fait transférer les corps des catacombes au panthéon d'Agrippa, reconverti en église. L'Occident a fixé la Toussaint au 1er novembre et fait du lendemain, 2 novembre, la Fête des morts. Par cette disposition, l'Église place symboliquement l'ensemble des défunts sous la protection des saints.
Solennité de la Toussaint
Évangile selon saint Matthieu 5,1-12a.
En ce temps-là, voyant les foules, Jésus gravit la montagne. Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent de lui.
Alors, ouvrant la bouche, il les enseignait. Il disait :
« Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés.
Heureux les doux, car ils recevront la terre en héritage.
Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.
Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde.
Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu.
Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu.
Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi.
Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux ! »
Cette fête a été instituée le 13 mai 610 par le pape Boniface IV, afin d'honorer les martyrs romains, dont il avait fait transférer les corps des catacombes au panthéon d'Agrippa, reconverti en église. L'Occident a fixé la Toussaint au 1er novembre et fait du lendemain, 2 novembre, la Fête des morts. Par cette disposition, l'Église place symboliquement l'ensemble des défunts sous la protection des saints.
Dernière édition par Merl1 le Ven 3 Nov 2017 - 1:08, édité 1 fois
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Re: Calendrier liturgique
Jeudi 02 novembre 2017
Commémoration de tous les fidèles défunts
Évangile selon saint Matthieu 25,31-46.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire.
Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des boucs :
il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche.
Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : “Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde.
Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;
j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !”
Alors les justes lui répondront : “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ?
tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ?
tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?”
Et le Roi leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.”
Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche : “Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits, dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges.
Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ;
j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.”
Alors ils répondront, eux aussi : “Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, avoir soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?”
Il leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.”
Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. »
Commémoration de tous les fidèles défunts
Évangile selon saint Matthieu 25,31-46.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire.
Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des boucs :
il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche.
Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : “Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde.
Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;
j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !”
Alors les justes lui répondront : “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ?
tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ?
tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?”
Et le Roi leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.”
Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche : “Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits, dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges.
Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ;
j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.”
Alors ils répondront, eux aussi : “Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, avoir soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?”
Il leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.”
Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. »
Merl1- Vénérable
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Re: Calendrier liturgique
Toute ressemblance avec des faits actuels est purement fortuite
Invité- Invité
Re: Calendrier liturgique
Dimanche 05 novembre 2017
Trente-et-unième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 23,1-12.
En ce temps-là, Jésus s’adressa aux foules et à ses disciples,
et il déclara : « Les scribes et les pharisiens enseignent dans la chaire de Moïse.
Donc, tout ce qu’ils peuvent vous dire, faites-le et observez-le. Mais n’agissez pas d’après leurs actes, car ils disent et ne font pas.
Ils attachent de pesants fardeaux, difficiles à porter, et ils en chargent les épaules des gens ; mais eux-mêmes ne veulent pas les remuer du doigt.
Toutes leurs actions, ils les font pour être remarqués des gens : ils élargissent leurs phylactères et rallongent leurs franges ;
ils aiment les places d’honneur dans les dîners, les sièges d’honneur dans les synagogues
et les salutations sur les places publiques ; ils aiment recevoir des gens le titre de Rabbi.
Pour vous, ne vous faites pas donner le titre de Rabbi, car vous n’avez qu’un seul maître pour vous enseigner, et vous êtes tous frères.
Ne donnez à personne sur terre le nom de père, car vous n’avez qu’un seul Père, celui qui est aux cieux.
Ne vous faites pas non plus donner le titre de maîtres, car vous n’avez qu’un seul maître, le Christ.
Le plus grand parmi vous sera votre serviteur.
Qui s’élèvera sera abaissé, qui s’abaissera sera élevé. »
Trente-et-unième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 23,1-12.
En ce temps-là, Jésus s’adressa aux foules et à ses disciples,
et il déclara : « Les scribes et les pharisiens enseignent dans la chaire de Moïse.
Donc, tout ce qu’ils peuvent vous dire, faites-le et observez-le. Mais n’agissez pas d’après leurs actes, car ils disent et ne font pas.
Ils attachent de pesants fardeaux, difficiles à porter, et ils en chargent les épaules des gens ; mais eux-mêmes ne veulent pas les remuer du doigt.
Toutes leurs actions, ils les font pour être remarqués des gens : ils élargissent leurs phylactères et rallongent leurs franges ;
ils aiment les places d’honneur dans les dîners, les sièges d’honneur dans les synagogues
et les salutations sur les places publiques ; ils aiment recevoir des gens le titre de Rabbi.
Pour vous, ne vous faites pas donner le titre de Rabbi, car vous n’avez qu’un seul maître pour vous enseigner, et vous êtes tous frères.
Ne donnez à personne sur terre le nom de père, car vous n’avez qu’un seul Père, celui qui est aux cieux.
Ne vous faites pas non plus donner le titre de maîtres, car vous n’avez qu’un seul maître, le Christ.
Le plus grand parmi vous sera votre serviteur.
Qui s’élèvera sera abaissé, qui s’abaissera sera élevé. »
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Re: Calendrier liturgique
Dimanche 12 novembre 2017
Trente-deuxième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 25,1-13.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole :
« Le royaume des Cieux sera comparable à dix jeunes filles invitées à des noces, qui prirent leur lampe pour sortir à la rencontre de l’époux.
Cinq d’entre elles étaient insouciantes, et cinq étaient prévoyantes :
les insouciantes avaient pris leur lampe sans emporter d’huile,
tandis que les prévoyantes avaient pris, avec leurs lampes, des flacons d’huile.
Comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent.
Au milieu de la nuit, il y eut un cri : “Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.”
Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent et se mirent à préparer leur lampe.
Les insouciantes demandèrent aux prévoyantes : “Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.”
Les prévoyantes leur répondirent : “Jamais cela ne suffira pour nous et pour vous, allez plutôt chez les marchands vous en acheter.”
Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva. Celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée.
Plus tard, les autres jeunes filles arrivèrent à leur tour et dirent : “Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !”
Il leur répondit : “Amen, je vous le dis : je ne vous connais pas.”
Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure. »
Trente-deuxième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 25,1-13.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole :
« Le royaume des Cieux sera comparable à dix jeunes filles invitées à des noces, qui prirent leur lampe pour sortir à la rencontre de l’époux.
Cinq d’entre elles étaient insouciantes, et cinq étaient prévoyantes :
les insouciantes avaient pris leur lampe sans emporter d’huile,
tandis que les prévoyantes avaient pris, avec leurs lampes, des flacons d’huile.
Comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent.
Au milieu de la nuit, il y eut un cri : “Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.”
Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent et se mirent à préparer leur lampe.
Les insouciantes demandèrent aux prévoyantes : “Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.”
Les prévoyantes leur répondirent : “Jamais cela ne suffira pour nous et pour vous, allez plutôt chez les marchands vous en acheter.”
Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva. Celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée.
Plus tard, les autres jeunes filles arrivèrent à leur tour et dirent : “Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !”
Il leur répondit : “Amen, je vous le dis : je ne vous connais pas.”
Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure. »
Merl1- Vénérable
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Re: Calendrier liturgique
Dimanche 19 novembre 2017
Trente-troisième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 25,14-30.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole : « Un homme qui partait en voyage appela ses serviteurs et leur confia ses biens.
À l’un il remit une somme de cinq talents, à un autre deux talents, au troisième un seul talent, à chacun selon ses capacités. Puis il partit. Aussitôt,
celui qui avait reçu les cinq talents s’en alla pour les faire valoir et en gagna cinq autres.
De même, celui qui avait reçu deux talents en gagna deux autres.
Mais celui qui n’en avait reçu qu’un alla creuser la terre et cacha l’argent de son maître.
Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint et il leur demanda des comptes.
Celui qui avait reçu cinq talents s’approcha, présenta cinq autres talents et dit : “Seigneur, tu m’as confié cinq talents ; voilà, j’en ai gagné cinq autres.”
Son maître lui déclara : “Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.”
Celui qui avait reçu deux talents s’approcha aussi et dit : “Seigneur, tu m’as confié deux talents ; voilà, j’en ai gagné deux autres.”
Son maître lui déclara : “Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.”
Celui qui avait reçu un seul talent s’approcha aussi et dit : “Seigneur, je savais que tu es un homme dur : tu moissonnes là où tu n’as pas semé, tu ramasses là où tu n’as pas répandu le grain.
J’ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre. Le voici. Tu as ce qui t’appartient.”
Son maître lui répliqua : “Serviteur mauvais et paresseux, tu savais que je moissonne là où je n’ai pas semé, que je ramasse le grain là où je ne l’ai pas répandu.
Alors, il fallait placer mon argent à la banque ; et, à mon retour, je l’aurais retrouvé avec les intérêts.
Enlevez-lui donc son talent et donnez-le à celui qui en a dix.
À celui qui a, on donnera encore, et il sera dans l’abondance ; mais celui qui n’a rien se verra enlever même ce qu’il a.
Quant à ce serviteur bon à rien, jetez-le dans les ténèbres extérieures ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents !” »
Trente-troisième dimanche du temps ordinaire
Évangile selon saint Matthieu 25,14-30.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole : « Un homme qui partait en voyage appela ses serviteurs et leur confia ses biens.
À l’un il remit une somme de cinq talents, à un autre deux talents, au troisième un seul talent, à chacun selon ses capacités. Puis il partit. Aussitôt,
celui qui avait reçu les cinq talents s’en alla pour les faire valoir et en gagna cinq autres.
De même, celui qui avait reçu deux talents en gagna deux autres.
Mais celui qui n’en avait reçu qu’un alla creuser la terre et cacha l’argent de son maître.
Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint et il leur demanda des comptes.
Celui qui avait reçu cinq talents s’approcha, présenta cinq autres talents et dit : “Seigneur, tu m’as confié cinq talents ; voilà, j’en ai gagné cinq autres.”
Son maître lui déclara : “Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.”
Celui qui avait reçu deux talents s’approcha aussi et dit : “Seigneur, tu m’as confié deux talents ; voilà, j’en ai gagné deux autres.”
Son maître lui déclara : “Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.”
Celui qui avait reçu un seul talent s’approcha aussi et dit : “Seigneur, je savais que tu es un homme dur : tu moissonnes là où tu n’as pas semé, tu ramasses là où tu n’as pas répandu le grain.
J’ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre. Le voici. Tu as ce qui t’appartient.”
Son maître lui répliqua : “Serviteur mauvais et paresseux, tu savais que je moissonne là où je n’ai pas semé, que je ramasse le grain là où je ne l’ai pas répandu.
Alors, il fallait placer mon argent à la banque ; et, à mon retour, je l’aurais retrouvé avec les intérêts.
Enlevez-lui donc son talent et donnez-le à celui qui en a dix.
À celui qui a, on donnera encore, et il sera dans l’abondance ; mais celui qui n’a rien se verra enlever même ce qu’il a.
Quant à ce serviteur bon à rien, jetez-le dans les ténèbres extérieures ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents !” »
La parabole des talents
L'un des serviteurs dit : « Seigneur, tu m'as confié cinq talents » ; un autre en indique deux. Ils reconnaissent qu'ils ont reçu de lui le moyen de bien faire ; ils lui témoignent une grande reconnaissance et lui rendent leurs comptes. Que leur répond le maître ? « C'est bien, serviteur bon et fidèle (car le propre de la bonté, c'est de voir le prochain) ; tu as été fidèle en peu de chose, je t'établirai sur beaucoup ; entre dans la joie de ton Seigneur. » Jésus désigne ainsi une béatitude complète.
Quant à celui qui n'avait reçu qu'un talent, il est allé l'enfouir. « Ce propre-à-rien de serviteur, jetez-le dehors, dans les ténèbres ; là seront les pleurs et les grincements de dents. » Tu le vois, ce n'est pas seulement le voleur, l'homme qui cherche toujours à s'enrichir, celui qui fait le mal qui est puni à la fin ; c'est aussi celui qui ne fait pas le bien... Que sont ces talents, en effet ? C'est la puissance de chacun, l'autorité dont on jouit, la fortune que l'on possède, l'enseignement que l'on peut donner et tout autre chose de même genre. Que personne ne vienne donc dire : je n'ai qu'un talent, je ne peux rien faire. Car tu peux, même avec un seul talent, agir de manière louable.
Saint Jean Chrysostome, docteur de l’Église.
Merl1- Vénérable
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Re: Calendrier liturgique
S'il te plait Merl1, déplace cette "Eglise" en IRL ! Je te le demande avec toute l'amitié que j'ai pour toi et pour enlever une arme à Mckay !
El seductor- Maître
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Localisation : Avignon
Re: Calendrier liturgique
moi je l'a laisserait après réflexion , et quand un de leurs membres sera président FF1 mettront une mosquée s'ils le veulent sans détruire l'église FF1 ! vue que c'est dans leur idée et donc programme ! par mon point de vu Napoléon III n'est pas soumis à leurs exigences dans le seul but de l'affaiblir , vue que la mosquée n'est pas dans sa vision (robinson , bens PATRIOTE en RPG ce comportent EN CGT ), !!! et donc si c'est pour foutre la zizanie sur ce forum leurs comptes pourraient être verrouillé , car je verrait cela comme virus s'ils menacent de faire ce de qu'ils disent ! la mosquée c'est leur fruit et non pas de Napoléon III , NI LE NOTRE et donc c'est à eux de l'implanter ,et non pas sous notre responsabilité
en définitif qu'ils prennent sous leurs responsabilités dans leur programme la construction d'une mosquée (et ce n'est pas à Napoléon III à le faire)!!!
comme le dit robinson il met ses couilles sur la table en s'adressant à Napoléon III , et donc , c'est à lui et à sa responsabilité de le faire dans son programme , à moins qu'il n'en a pas !FIN DU HORS SUJET
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: Calendrier liturgique
Non, car effectivement une Eglise c'est vraiment un lieu de prières, qui n'a pas grand chose à faire dans un RPG !
En déplaçant l'Eglise, là où elle doit être (Religions) on cloue le bec de ceux qui revendiquent la présence d'une mosquée, ce qui nous permettra, si ils arrivent un jour au pouvoir d'avoir un argument pour empêcher la construction d'une mosquée dans le RPG !
Or là, on se condamne à accepter une mosquée à la place ou à côté d'une église, ce qui est inacceptable !
En déplaçant l'Eglise, là où elle doit être (Religions) on cloue le bec de ceux qui revendiquent la présence d'une mosquée, ce qui nous permettra, si ils arrivent un jour au pouvoir d'avoir un argument pour empêcher la construction d'une mosquée dans le RPG !
Or là, on se condamne à accepter une mosquée à la place ou à côté d'une église, ce qui est inacceptable !
El seductor- Maître
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Date d'inscription : 04/07/2013
Localisation : Avignon
Re: Calendrier liturgique
j'ai donné mon point de vue c'est tout !
Frère Barnabé- Vénérable
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Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: Calendrier liturgique
Et bien moi, je répond à ton "point de vue". C'est tout !
El seductor- Maître
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Localisation : Avignon
Re: Calendrier liturgique
El seductor a écrit:Et bien moi, je répond à ton "point de vue". C'est tout !
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: Calendrier liturgique
Très bien je me plie à la décision du Ministre de l'Intérieur, qui traditionnellement est aussi chargé des cultes. A cette occasion l'église est rebaptisée : Église Catholique Romaine du Forum France
Merl1- Vénérable
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Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Calendrier liturgique
faudrait une messe de baptême pour le changement du Nom et lieu spirituel !
Frère Barnabé- Vénérable
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Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: Calendrier liturgique
aPOTRE a écrit:faudrait une messe de baptême pour le changement du Nom et lieu spirituel !
On va voir çà...
Merl1- Vénérable
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Re: Calendrier liturgique
Mardi 21 novembre 2017
Présentation de la Vierge Marie
Les parents qui aiment Dieu lui ont, de tout temps, consacré leurs enfants, avant et après leur naissance. Parmi les Juifs, existait de plus l'usage de consacrer quelques fois à Dieu les enfants en bas âge ; on les amenait au Temple, où avait lieu la cérémonie de la consécration, puis ils habitaient dans les dépendances du Temple et servaient les prêtres et les lévites dans leurs fonctions. Nous avons des exemples de cette consécration spéciale dans la personne de Samuel et de quelques autres saints personnages. Il y avait aussi des appartements pour les femmes dévouées au service divin.
L'évangile ne nous apprend rien de l'enfance de Marie ; son titre de Mère de Dieu efface tout le reste. Mais la tradition est plus explicite ; elle nous apprend que la Sainte Vierge, dans son enfance, fut solennellement offerte à Dieu dans son temple. Cette présentation est le sujet de la fête qu'on célèbre aujourd'hui. Où mieux que loin du monde, dans l'enceinte du temple, Marie se fût-elle préparée à sa mission ? Douze années de recueillement, de prière, de contemplation, telle fut la préparation de l'élue de Dieu.
Voici, d'après saint Jérôme, comment se divisait la journée de Marie au temple : depuis l'aurore jusqu'à 9 heures du matin, elle priait ; de 9 heures à 3 heures elle s'appliquait au travail des mains ; ensuite elle se remettait à la prière, jusqu'au moment où arrivait sa nourriture. Marie, au jour de sa présentation, nous apparaît comme le porte-étendard de la virginité chrétienne. Après elles, viendront des légions innombrables de vierges consacrées au Seigneur, dans le monde ou à l'ombre des autels ; Marie sera leur éternel modèle, leur patronne dévouée, leur guide sûr dans les voies de la perfection.
Présentation de la Vierge Marie
Les parents qui aiment Dieu lui ont, de tout temps, consacré leurs enfants, avant et après leur naissance. Parmi les Juifs, existait de plus l'usage de consacrer quelques fois à Dieu les enfants en bas âge ; on les amenait au Temple, où avait lieu la cérémonie de la consécration, puis ils habitaient dans les dépendances du Temple et servaient les prêtres et les lévites dans leurs fonctions. Nous avons des exemples de cette consécration spéciale dans la personne de Samuel et de quelques autres saints personnages. Il y avait aussi des appartements pour les femmes dévouées au service divin.
L'évangile ne nous apprend rien de l'enfance de Marie ; son titre de Mère de Dieu efface tout le reste. Mais la tradition est plus explicite ; elle nous apprend que la Sainte Vierge, dans son enfance, fut solennellement offerte à Dieu dans son temple. Cette présentation est le sujet de la fête qu'on célèbre aujourd'hui. Où mieux que loin du monde, dans l'enceinte du temple, Marie se fût-elle préparée à sa mission ? Douze années de recueillement, de prière, de contemplation, telle fut la préparation de l'élue de Dieu.
Voici, d'après saint Jérôme, comment se divisait la journée de Marie au temple : depuis l'aurore jusqu'à 9 heures du matin, elle priait ; de 9 heures à 3 heures elle s'appliquait au travail des mains ; ensuite elle se remettait à la prière, jusqu'au moment où arrivait sa nourriture. Marie, au jour de sa présentation, nous apparaît comme le porte-étendard de la virginité chrétienne. Après elles, viendront des légions innombrables de vierges consacrées au Seigneur, dans le monde ou à l'ombre des autels ; Marie sera leur éternel modèle, leur patronne dévouée, leur guide sûr dans les voies de la perfection.
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