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Les Royalistes, L’écologie et le Bien Commun
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Les Royalistes, L’écologie et le Bien Commun
Si les royalistes s’intéressent à l’écologie, ce n’est pas par un effet de mode, mais parce que rien de ce qui concerne le Bien commun ne leur est indifférent. Toutefois, l’écologie selon qu’elle sera politique et globale ou, à l’inverse, individuelle et locale, ne doit pas être regardée de la même manière, surtout par rapport au Bien commun.
Rappelons que le Bien commun se conçoit différemment selon la vision de l’homme et de la société que l’on adopte. Dans une optique strictement politique, le Bien commun se confond avec l’intérêt général ou national, c’est à dire l’intérêt de ce « plus vaste des cercles communautaires » selon la formule de Maurras, intérêt qui est toujours supérieur à la somme des intérêts particuliers des citoyens qui composent la nation. Dans une optique plus spirituelle (conforme aux origines catholiques de la notion), le Bien commun, en plus d’être l’intérêt général au-dessus des intérêts particuliers, représente en quelque sorte l’ensemble des conditions sociales permet tant à chaque homme d’atteindre ses propres fins personnelles, morales et surnaturelles (le « salut » des croyants).
L’écologie globale (entendue comme celle qui en visage la solution du problème écologique à l’échelle supranationale et cosmopolitique) et l’écologie politique (en tendue comme l’idéologie des partis écologistes ou écologisme) entrent fréquemment en conflit avec le Bien commun intérêt national, notamment, dans le cas de la France, dans les débats sur le nucléaire, dont l’abandon prématuré pourrait mettre gravement en cause notre souveraineté. En ce qui concerne le Bien commun au sens chrétien et moral, le matérialisme de l’écologisme, très marqué à gauche aujourd’hui, le rend tout à fait aveugle à ce que l’on peut appeler l’écologie humaine. Parmi les ténors de l’écologie politique, seul José Bové fait figure d’exception en la matière.
Les choses sont tout à fait différentes du côté de l’écologie locale et individuelle. Cette dernière en promouvant le produire local et le consommer local, les filières courtes, le localisme, va naturelle ment dans le sens du Bien commun national et du patriotisme économique. Elle favorise également l’enracinement. Du point de vue éthique, cette écologie locale et individuelle développe le sens de la responsabilité (la « part du Colibri » chère à Pierre Rabhi) et limite la démoralisation engendrée par le catastrophisme de certains hérauts de l’écologie politique. C’est à l’évidence dans la direction de cette écologie là que doivent regarder les maurrassiens.
Stéphane Blanchonnet
Merl1- Vénérable
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Merl1- Vénérable
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Re: Les Royalistes, L’écologie et le Bien Commun
Mgr le Comte de Paris : « Il nous faut retrouver le temps du Politique »
Lorsque l’Union soviétique a disparu, la “fin de l’Histoire” devint une thèse à la mode, qui permit de broder avec optimisme sur les bienfaits de la mondialisation. Trente ans plus tard, il nous faut constater que l’histoire a continué de suivre son chemin. Comme toujours, l’Histoire résulte des relations entre les empires et les nations – des dialogues et des conflits qui se nouent et se dénouent au fil des alliances, des épreuves de force et des guerres.
On s’étonne, on s’effraie ou bien on se réjouit d’évènements réputés inouïs alors que des décisions qui paraissent soudaines s’inscrivent dans la continuité d’une histoire millénaire ou pluri-centenaire. En Chine comme en Russie, le communisme n’a pas été une finalité mais le moyen de réaffirmer, par la contrainte, une volonté de puissance impériale. Depuis trente ans comme depuis toujours, la Chine, comme la Russie, n’ont cessé d’agir selon leur propre ambition historique. Ne pas comprendre cette inscription des États dans le temps long, avant tout jugement sur leurs références doctrinales et leurs modes d’action, c’est se condamner à subir les événements.
Il est bien sûr possible de refuser tout regard sur le passé, en invoquant l’absolue nouveauté du monde moderne. Tout ce qui est important, voire décisif, semble fonctionner dans l’instant, en vue d’une utilité manifeste et d’un rendement immédiat : ce n’est plus la mémoire historique – religieuse, politique – et la mémoire humaine des techniques qui décident de nos choix mais les ordinateurs qui gèrent des flux incessants de données, de véhicules, de marchandises et, bien sûr, d’argent. A quoi bon penser selon le temps long, puisque les pulsations du monde se comptent en secondes ou en nanosecondes ? “Mobilité” est devenu un mot d’ordre contre lequel il paraît ridicule de s’insurger.
Voici vingt ans, l’impératif de rotation des capitaux, des produits ou des équipes managériales a même gagné nos institutions politiques, par le biais de la réduction à cinq ans du mandat présidentiel. Pourtant, au rebours de ce “bougisme”, l’Union européenne a voulu s’ériger en “marché unique” régi par des normes fixes, comme si les mouvements de l’histoire pouvaient se couler dans la machinerie complexe des traités et des règlements.
C’est ainsi que la France s’est retrouvée et se trouve encore dans une situation délicate. État-membre de l’Union européenne, elle a subi comme ses partenaires les grandes crises du continent – la dislocation de l’Union soviétique, l’éclatement de la Yougoslavie – sans parvenir à faire prévaloir pour l’ensemble du continent européen, les solutions qui lui inspiraient sa très longue histoire nationale. Face à l’Allemagne, elle s’est résignée à une posture défensive concrétisée par le traité de Maastricht, elle a suivi le mouvement dirigé par les États-Unis au Moyen-Orient et elle s’est désintéressée de la Russie alors en proie à une gestion chaotique. Assumée par des présidents de droite ou de gauche, la présidence quinquennale a favorisé des politiques à court terme en matière de relations internationales, le chef de l’État se consacrant aux affaires bruxelloises et à la politique intérieure. Ces tendances ont été aggravées par la confusion entre la fonction présidentielle et le rôle dévolu au Premier ministre alors que la Constitution de 1958 avait opéré une très nette distinction entre le président de la République – en charge de l’essentiel et assuré d’une durée spécifique dans l’exercice de ses fonctions – et le Premier ministre occupé à déterminer et à conduire la politique de la Nation pour la durée d’une législature.
Cette réduction du champ de la vision politique est inquiétante dans la mesure où, à l’encontre des prophéties à la mode voici trente ans, la mondialisation des techniques et la globalisation financière n’ont pas empêché les grandes puissances nationales ou impériales de jouer leur jeu sur la planète. La Chine place ses pions comme un joueur de go, selon une stratégie qui est à l’échelle du siècle. La Russie intervient à nouveau hors de ses frontières, selon ses ambitions nationales. Les États-Unis demeurent présents sur tous les théâtres selon leur conception traditionnelle du commerce et de la guerre. Partout l’histoire est en mouvement, par la volonté d’États qui inscrivent leurs actions dans les grandes espaces et dans le temps alors que la France, tenue par une Union européenne frappée d’inertie, ne sait pas comment jouer son rôle spécifique dans le concert des nations.
Pourtant, il est urgent de ne plus attendre. La France a de nombreux atouts. Son existence millénaire lui donne une intelligence exceptionnelle des relations internationales et le fait qu’elle soit une grande nation sans volonté de puissance impériale devrait lui permettre de jouer un rôle décisif dans l’équilibre et la composition des États en vue des actions communes imposées par les impératifs sociaux et écologiques.
Une ambition nationale articulée aux enjeux mondiaux peut réunir les Français si nous parvenons à retrouver, par nos institutions politiques et administratives, le sens de la temporalité politique. Il suffit de reprendre les mots inscrits dans notre Constitution et de leur redonner sens. Il faut le temps de l’arbitrage, qui est celui de l’écoute et de la réflexion. Il faut le temps de la conduite au jour le jour de la politique nationale qui devrait être précédé, comme naguère, de la formulation des projets qui suppose la délibération des citoyens et le moment des choix démocratiques. Il faut la continuité de l’administration et des services publics pour que les citoyens soient assurés de vivre en sécurité selon une organisation générale qui vise leur bien-être.
La confusion des temps provoque la confusion des domaines et le mélange des fonctions. C’est ainsi que l’on perd toute possibilité d’influer sur le cours de l’Histoire. Il nous faut retrouver le temps du Politique, qui ne garantit pas le succès mais qui ouvre sur l’avenir.
Lorsque l’Union soviétique a disparu, la “fin de l’Histoire” devint une thèse à la mode, qui permit de broder avec optimisme sur les bienfaits de la mondialisation. Trente ans plus tard, il nous faut constater que l’histoire a continué de suivre son chemin. Comme toujours, l’Histoire résulte des relations entre les empires et les nations – des dialogues et des conflits qui se nouent et se dénouent au fil des alliances, des épreuves de force et des guerres.
On s’étonne, on s’effraie ou bien on se réjouit d’évènements réputés inouïs alors que des décisions qui paraissent soudaines s’inscrivent dans la continuité d’une histoire millénaire ou pluri-centenaire. En Chine comme en Russie, le communisme n’a pas été une finalité mais le moyen de réaffirmer, par la contrainte, une volonté de puissance impériale. Depuis trente ans comme depuis toujours, la Chine, comme la Russie, n’ont cessé d’agir selon leur propre ambition historique. Ne pas comprendre cette inscription des États dans le temps long, avant tout jugement sur leurs références doctrinales et leurs modes d’action, c’est se condamner à subir les événements.
Il est bien sûr possible de refuser tout regard sur le passé, en invoquant l’absolue nouveauté du monde moderne. Tout ce qui est important, voire décisif, semble fonctionner dans l’instant, en vue d’une utilité manifeste et d’un rendement immédiat : ce n’est plus la mémoire historique – religieuse, politique – et la mémoire humaine des techniques qui décident de nos choix mais les ordinateurs qui gèrent des flux incessants de données, de véhicules, de marchandises et, bien sûr, d’argent. A quoi bon penser selon le temps long, puisque les pulsations du monde se comptent en secondes ou en nanosecondes ? “Mobilité” est devenu un mot d’ordre contre lequel il paraît ridicule de s’insurger.
Voici vingt ans, l’impératif de rotation des capitaux, des produits ou des équipes managériales a même gagné nos institutions politiques, par le biais de la réduction à cinq ans du mandat présidentiel. Pourtant, au rebours de ce “bougisme”, l’Union européenne a voulu s’ériger en “marché unique” régi par des normes fixes, comme si les mouvements de l’histoire pouvaient se couler dans la machinerie complexe des traités et des règlements.
C’est ainsi que la France s’est retrouvée et se trouve encore dans une situation délicate. État-membre de l’Union européenne, elle a subi comme ses partenaires les grandes crises du continent – la dislocation de l’Union soviétique, l’éclatement de la Yougoslavie – sans parvenir à faire prévaloir pour l’ensemble du continent européen, les solutions qui lui inspiraient sa très longue histoire nationale. Face à l’Allemagne, elle s’est résignée à une posture défensive concrétisée par le traité de Maastricht, elle a suivi le mouvement dirigé par les États-Unis au Moyen-Orient et elle s’est désintéressée de la Russie alors en proie à une gestion chaotique. Assumée par des présidents de droite ou de gauche, la présidence quinquennale a favorisé des politiques à court terme en matière de relations internationales, le chef de l’État se consacrant aux affaires bruxelloises et à la politique intérieure. Ces tendances ont été aggravées par la confusion entre la fonction présidentielle et le rôle dévolu au Premier ministre alors que la Constitution de 1958 avait opéré une très nette distinction entre le président de la République – en charge de l’essentiel et assuré d’une durée spécifique dans l’exercice de ses fonctions – et le Premier ministre occupé à déterminer et à conduire la politique de la Nation pour la durée d’une législature.
Cette réduction du champ de la vision politique est inquiétante dans la mesure où, à l’encontre des prophéties à la mode voici trente ans, la mondialisation des techniques et la globalisation financière n’ont pas empêché les grandes puissances nationales ou impériales de jouer leur jeu sur la planète. La Chine place ses pions comme un joueur de go, selon une stratégie qui est à l’échelle du siècle. La Russie intervient à nouveau hors de ses frontières, selon ses ambitions nationales. Les États-Unis demeurent présents sur tous les théâtres selon leur conception traditionnelle du commerce et de la guerre. Partout l’histoire est en mouvement, par la volonté d’États qui inscrivent leurs actions dans les grandes espaces et dans le temps alors que la France, tenue par une Union européenne frappée d’inertie, ne sait pas comment jouer son rôle spécifique dans le concert des nations.
Pourtant, il est urgent de ne plus attendre. La France a de nombreux atouts. Son existence millénaire lui donne une intelligence exceptionnelle des relations internationales et le fait qu’elle soit une grande nation sans volonté de puissance impériale devrait lui permettre de jouer un rôle décisif dans l’équilibre et la composition des États en vue des actions communes imposées par les impératifs sociaux et écologiques.
Une ambition nationale articulée aux enjeux mondiaux peut réunir les Français si nous parvenons à retrouver, par nos institutions politiques et administratives, le sens de la temporalité politique. Il suffit de reprendre les mots inscrits dans notre Constitution et de leur redonner sens. Il faut le temps de l’arbitrage, qui est celui de l’écoute et de la réflexion. Il faut le temps de la conduite au jour le jour de la politique nationale qui devrait être précédé, comme naguère, de la formulation des projets qui suppose la délibération des citoyens et le moment des choix démocratiques. Il faut la continuité de l’administration et des services publics pour que les citoyens soient assurés de vivre en sécurité selon une organisation générale qui vise leur bien-être.
La confusion des temps provoque la confusion des domaines et le mélange des fonctions. C’est ainsi que l’on perd toute possibilité d’influer sur le cours de l’Histoire. Il nous faut retrouver le temps du Politique, qui ne garantit pas le succès mais qui ouvre sur l’avenir.
Merl1- Vénérable
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Date d'inscription : 12/07/2011
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Les Royalistes, L’écologie et le Bien Commun
« L’Incorrect » publie un entretien exclusif de Monseigneur le Comte de Paris
Le magazine “L’Incorrect”, vient de publier, dans son édition du mois de février consacré au royalisme français, un entretien exclusif du chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris, réalisé par notre ami Frédéric de Natal.
Dans cet entretien politique, réalisé le 21 janvier dernier, l’héritier des rois capétiens nous parle de sa vision de la monarchie et des perspectives de restauration de celle-ci en France. Prince de son temps, le comte de Paris nous donne son point de vue sur la situation actuelle qui prévaut en France, ainsi que la place de notre pays dans l’Europe, son soutien aux Gilets jaunes comme de son investissement quotidien en politique.
Un remarquable dossier complet de 14 pages sur le royalisme français, dont 4 pages d’entretien avec Monseigneur le comte de Paris…Voici une édition de “L’incorrect” à ne rater sous aucun prétexte et à partager massivement autour de vous. Vous pouvez des aujourd’hui trouver ce numéro dans tous vos kiosque ou l’acheter en ligne : https://lincorrect.org/produit/n28/
VLR
Le magazine “L’Incorrect”, vient de publier, dans son édition du mois de février consacré au royalisme français, un entretien exclusif du chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris, réalisé par notre ami Frédéric de Natal.
Dans cet entretien politique, réalisé le 21 janvier dernier, l’héritier des rois capétiens nous parle de sa vision de la monarchie et des perspectives de restauration de celle-ci en France. Prince de son temps, le comte de Paris nous donne son point de vue sur la situation actuelle qui prévaut en France, ainsi que la place de notre pays dans l’Europe, son soutien aux Gilets jaunes comme de son investissement quotidien en politique.
« La Révolution devait lutter contre les inégalités : 200 ans après, c’est pire »
Un remarquable dossier complet de 14 pages sur le royalisme français, dont 4 pages d’entretien avec Monseigneur le comte de Paris…Voici une édition de “L’incorrect” à ne rater sous aucun prétexte et à partager massivement autour de vous. Vous pouvez des aujourd’hui trouver ce numéro dans tous vos kiosque ou l’acheter en ligne : https://lincorrect.org/produit/n28/
VLR
Merl1- Vénérable
- Messages : 13812
Date d'inscription : 12/07/2011
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: Les Royalistes, L’écologie et le Bien Commun
Même ceux là grâce au sacrifice desquels vous avez la liberté d'applaudir "US GO HOME ?
C'était le slogan des cocos qui voulaient donner la France à leur chère URSS !!!
Alors, royaliste ou nostalgique de Vichy ? Qu'en penseraient les colonels Rémy, Estienne d'Orves, le maréchal Leclerc et tant d'autres royalistes anciens Résistants ?
Ecoeurant !
Et ça :
10000 jeunes Gi's âgés de 18 à 24 ans tombés sur les plages de Normandie pour chasser l'abomination nazie, ça ne compte pas ???
Dernière édition par dubitatif le Lun 2 Mar 2020 - 16:28, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Les Royalistes, L’écologie et le Bien Commun
C'est un magazine d'actualité.
Merl1- Vénérable
- Messages : 13812
Date d'inscription : 12/07/2011
Localisation : La Géhenne ou presque...
Piètre excuse !
Royaliste convaincu depuis toujours, je regrette objectivement que trop souvent une certaine tendance manifeste un peu trop de hargne envers ceux qui nous ont délivré du régime de Vichy téléguidé par les Boches et en seront bientôt amenés à considérer le débarquement Allié en Normandie comme la cause de tous nos maux, nous qui étions si bien traités par l'Occupation nazie et ses sbires de la Milice.Merl1 a écrit:C'est un magazine d'actualité.
Cet anti-américanisme débile m'exaspère, moi qui connaîs si bien les USA où j'y suis allé plus de 40 fois pour des séjours professionnels de 14 jours à un mois et dont je ne conserve AUCUN mauvais souvenir mais que des bons !!!
Partout où je suis passé, j'ai été accueilli à bras ou ouverts comme "ami Français".
Je n'éprouve que du mépris pour les nostalgiques de l'Occupation et qui fut, selon ce J M Le Pen "pas si terrible que ça !"
Quant à la vente de Latécoère, avant que de la juger un peu hâtivement il faudrait peut-être, si on est de bonne foi, observer dans quel état financier était cette Entreprise et combien d'employés ont pu conserver leur emploi grâce à cette vente.
Quelle aurait été l'attitude des anti-américains si cette Société avait été vendue à une autre entreprise étrangère non américaine ?
Enfin, ce qui est CHOQUANT c'est ce lamentable US GO HOME ! Exactement le cri des communistes déçus que ce ne soit pas l'Armée rouge qui soit venue nous "délivrer" !
Oui, je suis royaliste et en suis fier. Mais je suis un homme LIBRE ce qui m'évite d'avoir à avaler des couleuvres, ces couleuvres dont se gavent les catéchumènes des différents partis.
Invité- Invité
Re: Les Royalistes, L’écologie et le Bien Commun
que pensez vous des attentats à la gare de Bologne (italie ) et à la fête de la bière à Munich ET MAINTENANT ON DÉCOUVRE L ASSASSINAT D ALDO MORO commandité par les U§A, et aussi que la C.I.A recrutait des nazis les plus cruel pour mener des missions dans l'Europe avant et pendant la guerre froide et de bloquer le processus de la C.E.E du traité de Rome DANS SON AUTONOMIE ET DU NON DE LA GERANCE DES U§A SUR LE SOL EUROPÉEN QUI EST SIMILAIRE A DE LA COLONISATION AMÉRICAINE , sous le nom de GLADIO ???dubitatif a écrit:Royaliste convaincu depuis toujours, je regrette objectivement que trop souvent une certaine tendance manifeste un peu trop de hargne envers ceux qui nous ont délivré du régime de Vichy téléguidé par les Boches et en seront bientôt amenés à considérer le débarquement Allié en Normandie comme la cause de tous nos maux, nous qui étions si bien traités par l'Occupation nazie et ses sbires de la Milice.Merl1 a écrit:C'est un magazine d'actualité.
Cet anti-américanisme débile m'exaspère, moi qui connaîs si bien les USA où j'y suis allé plus de 40 fois pour des séjours professionnels de 14 jours à un mois et dont je ne conserve AUCUN mauvais souvenir mais que des bons !!!
Partout où je suis passé, j'ai été accueilli à bras ou ouverts comme "ami Français".
Je n'éprouve que du mépris pour les nostalgiques de l'Occupation et qui fut, selon ce J M Le Pen "pas si terrible que ça !"
Quant à la vente de Latécoère, avant que de la juger un peu hâtivement il faudrait peut-être, si on est de bonne foi, observer dans quel état financier était cette Entreprise et combien d'employés ont pu conserver leur emploi grâce à cette vente.
Quelle aurait été l'attitude des anti-américains si cette Société avait été vendue à une autre entreprise étrangère non américaine ?
Enfin, ce qui est CHOQUANT c'est ce lamentable US GO HOME ! Exactement le cri des communistes déçus que ce ne soit pas l'Armée rouge qui soit venue nous "délivrer" !
Oui, je suis royaliste et en suis fier. Mais je suis un homme LIBRE ce qui m'évite d'avoir à avaler des couleuvres, ces couleuvres dont se gavent les catéchumènes des différents partis.
Frère Barnabé- Vénérable
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Isabelle de Beauval- Postulant
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