La face cachée de l'art ''comptant pour rien" : la confession de Picasso
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La face cachée de l'art ''comptant pour rien" : la confession de Picasso
« La plupart des gens aujourd'hui ne peuvent plus s'attendre à recevoir une consolation de l'art. Les raffinés, les riches, les distillateurs de quintessence (les critiques d'art) désirent uniquement le bizarre, l'excentrique, le scandaleux dans l'art d'aujourd'hui. Et moi-même, depuis l'avènement du cubisme, j'ai nourri ces gens avec ce qu'ils voulaient et satisfait ces critiques avec toutes les idées ridicules qui ont passé dans mon esprit.
"Moins ils les comprenaient, plus ils les admiraient. En m'amusant moi-même avec toutes ces farces absurdes, je suis devenu célèbre...Mais lorsque je suis seul, je n'ai pas l'effronterie de me considérer du tout comme un artiste, pas dans le vieux sens grandiose du mot. Giotto, Titien, Rembrandt et Goya, ils étaient de grands peintres. Je ne suis qu'un clown publique. J'ai compris mon époque et j'ai exploité l'imbécilité, la vanité, la convoitise de mes contemporains. C'est une confession amère pour moi -- plus douloureuse que cela peut paraître. Mais au moins et enfin elle a le mérite d'être honnête. »
Pablo Picasso, novembre 1951
DEUX FRÈRES CHANGÈRENT LE COURS DE SON DESTIN
Après avoir tenté à plusieurs reprises de s’imposer, en vain, sur la scène artistique parisienne, vers 1905 Picasso fit la connaissance de Leo et Gertrude Stein, qui contribuèrent de façon décisive à changer le sort du peintre.
Nés au sein d’une riche famille américaine d’origine juive, la fratrie s’était installée à Paris en 1903 avec l’héritage que leur avaient laissé leurs parents.
Picasso vit sa situation économique s’améliorer substantiellement.
PICASSO disait lui-même à Papini : “je ne suis qu’un pitre public qui a compris son temps et épuise du mieux qu’il peut la vanité et la cupidité de ses contemporains”... ?
"Moins ils les comprenaient, plus ils les admiraient. En m'amusant moi-même avec toutes ces farces absurdes, je suis devenu célèbre...Mais lorsque je suis seul, je n'ai pas l'effronterie de me considérer du tout comme un artiste, pas dans le vieux sens grandiose du mot. Giotto, Titien, Rembrandt et Goya, ils étaient de grands peintres. Je ne suis qu'un clown publique. J'ai compris mon époque et j'ai exploité l'imbécilité, la vanité, la convoitise de mes contemporains. C'est une confession amère pour moi -- plus douloureuse que cela peut paraître. Mais au moins et enfin elle a le mérite d'être honnête. »
Pablo Picasso, novembre 1951
DEUX FRÈRES CHANGÈRENT LE COURS DE SON DESTIN
Après avoir tenté à plusieurs reprises de s’imposer, en vain, sur la scène artistique parisienne, vers 1905 Picasso fit la connaissance de Leo et Gertrude Stein, qui contribuèrent de façon décisive à changer le sort du peintre.
Nés au sein d’une riche famille américaine d’origine juive, la fratrie s’était installée à Paris en 1903 avec l’héritage que leur avaient laissé leurs parents.
Picasso vit sa situation économique s’améliorer substantiellement.
PICASSO disait lui-même à Papini : “je ne suis qu’un pitre public qui a compris son temps et épuise du mieux qu’il peut la vanité et la cupidité de ses contemporains”... ?
Cécile de Polignac- Impétrant
- Messages : 530
Date d'inscription : 24/09/2019
Re: La face cachée de l'art ''comptant pour rien" : la confession de Picasso
Franck Lepage balance tout !
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
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