Faits divers de "cas soces"

par Compte supprimé Ejainiste Ven 7 Mai - 20:31

J'ouvre une rubrique où j'y mettrai que des faits divers commis par des "cas soces" ... Je pense que la stérilisation d'office de ces individus serait souhaitable pour la société

par Compte supprimé Ejainiste Ven 7 Mai - 20:32

Dimanche dernier, il a pris la fuite. Après des années à avoir été exploité par sa famille, cet homme âgé de 55 ans a décidé de se rendre à la gendarmerie Pont-Saint-Esprit (Gard) pour raconter son calvaire et sortir de sa condition. « Hier (samedi), j’ai pris un morceau de pain, je l’ai caché dans ma chambre. Ma sœur l’a vu. Et lui (NDLR : son beau-frère), il m’a frappé, en me disant que je ne le mangerai pas ! », a-t-il notamment confié aux militaires, relate France Bleu. Un épisode en forme de prise de conscience pour raconter des années durant lesquelles cet ancien ouvrier agricole a été quasiment réduit à l’esclavage.

La sœur du malheureux et son mari ont été incarcérés jeudi soir et la justice retient contre eux le délit de « réduction en servitude ». Le couple encourt jusqu’à 10 ans de prison.

Décrit comme décharné et amaigri, avec des hématomes partout sur le corps et des brûlures de cigarette, le quinquagénaire explique avoir vécu un enfer. Régulièrement frappé, il raconte avoir été traité « comme un esclave ». Un terme fort d’ailleurs repris par Eric Maurel, procureur de la République de Nîmes : « On est à la limite de l’esclavage, mais on retient le délit de réduction de servitude, qualification rare », explique-t-il.

Frappé et affamé, son allocation handicapé détournée
Couper du bois, faire de travaux de jardinage… la victime détaille des journées harassantes. Au sortir desquelles l’homme n’avait le droit de rien. Assujetti à résidence et enfermé dans une petite chambre le soir venu qu’il était. Pire, il n’avait le droit qu’à un maigre repas par jour et devait demander l’autorisation pour aller aux toilettes, décrit encore France Bleu. Evidemment pas payé, il était simplement « logé dans un local qui servait de chambre », explique encore le procureur de Nîmes.

Preuve dramatique de sa condition, l’ancien ouvrier agricole est arrivé « joues creusées, les côtes saillantes » chez les gendarmes. Et ne pensant qu’« à peine 40 kilos », il a dû depuis être hospitalisé. Pourtant bénéficiaire d’une allocation handicapé de 1200 euros par mois après un accident de travail, l’homme ne voyait pas la couleur de cet argent, qui servait en réalité à couvrir les dépenses quotidiennes de sa sœur et de son mari.

De son son côté, le couple incriminé, elle sans emploi et lui ancien chauffeur routier en arrêt maladie, nie tout en bloc. Une comparution immédiate pourrait se tenir mardi.

par Compte supprimé Ejainiste Sam 8 Mai - 11:55

Craignant qu’un agresseur, très dangereux, sévisse dans les rues de la ville, les enquêteurs de la sûreté départementale avaient multiplié les investigations après qu’une jeune femme, grièvement blessée avec un couteau, a été découverte mardi 4 mai, sur le pont Léopold-Sédar-Senghor, qui relie l’île de Nantes à Saint-Sébastien-sur-Loire.
Seulement, de nombreuses questions se posaient qui ne trouvaient pas de réponse. Aucun ADN n’avait par exemple été découvert sur l’arme, retrouvée sur les lieux.
L’enquête s’est refermée ce vendredi 7 mai. Après avoir bénéficié de soins au CHU, la jeune femme a pu être entendue et elle s’est confiée aux policiers. Elle a expliqué qu’il n’y avait jamais eu d’agresseur et qu’elle s’était blessée l’abdomen elle-même, alors qu’elle traversait une période de grande souffrance.

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par **Frère Barnabé** Dim 20 Juin - 15:30

j'espère qu'il payera très cher son action , avec de la prison ferme et ensuite expulsion immédiat avec interdiction formel de franchir shegen , sous peine de l'envoyer dans une ile' déserte et hostile à l'humain(e)!!!

Le Puy-en-Velay
La bagarre rue Chaussade découlait de viols et d’un projet de mariage forcé
Après une bagarre ayant forcé les commerçants à baisser le rideau vendredi après-midi, un homme de 29 ans a été interpellé, puis placé en détention provisoire dimanche, au terme de sa garde à vue. La rixe découlait de viols et d’une tentative de mariage sous la contrainte, dont il est soupçonné.

Par Hugo DESCHAMPS - 15 juin 2021 à 12:56 | mis à jour le 15 juin 2021 à 20:47 - Temps de lecture : 2 min

Le projet initial était un mariage blanc. Celui-ci a pris une tournure bien plus obscure et dramatique pour la victime, tout juste majeure.

Son bourreau présumé, un homme de 29 ans d’origine algérienne, a été arrêté vendredi après-midi, après une rixe tapageuse au beau milieu de la rue Chaussade, au Puy-en-Velay.

La promesse de 15 000 euros contre un mariage blanc
Il est suspecté d’avoir violé cette jeune femme, et de vouloir la contraindre à un mariage afin d’obtenir la nationalité française. Installé au Puy-en-Velay depuis l’an dernier, il avait tout d’abord convaincu la jeune femme d’un mariage blanc, arrangé il y a plusieurs mois de cela. « Selon elle, la promesse lui avait été faite d’un paiement de 15 000 euros pour ce mariage », rapporte une source proche du dossier à nos confrères de l’AFP. Tous les deux auraient même pris rendez-vous devant un officier de l’état civil.

La victime serait tombée enceinte après plusieurs viols
La suite glisse vers le cauchemar pour la jeune femme. Elle a indiqué avoir subi à de nombreuses reprises des violences physiques mais aussi des viols de la part de cet homme, qui l’ont conduite à se retrouver enceinte. Elle lui aurait annoncé au vouloir subir une interruption volontaire de grossesse.

La bagarre de la rue Chaussade, vendredi, semble être advenue après de nouvelles violences en public, ou un proche de la jeune femme se serait interposé, avant l’arrivée de la police. L’homme a été placé en garde à vue au sein du commissariat du Puy-en-Velay, « depuis le vendredi après-midi jusqu’à dimanche après-midi », confient les services de police.

Le suspect placé en détention à Riom
Il a ensuite été présenté au pôle criminel de l’instruction de Clermont-Ferrand, puis mis en examen pour « viols et violences contre une personne afin de la contraindre à conclure un mariage » et placé en détention provisoire au centre pénitentiaire de Riom (Puy-de-Dôme).

Vendredi, face à la violence de l’altercation, les commerçants de la rue avaient baissé le rideau. Le maire, Michel Chapuis, avait dû se rendre sur place pour tenter de rassurer les riverains.