22 juillet 1987 : Le MOSSAD israélien assassine à Londres le caricaturiste Naji al-Ali
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22 juillet 1987 : Le MOSSAD israélien assassine à Londres le caricaturiste Naji al-Ali
Naji al-Ali est un caricaturiste palestinien. Sa famille s’est réfugiée en 1948 au camp libanais de Ein-el-Helweh. Durant sa carrière, il a produit des milliers de dessins, la plupart décrivant la situation du peuple palestinien.
Il fut découvert par l’auteur Ghassan Kanafani et ses premiers dessins prêchèrent l’espoir et la révolution. Il a travaillé au Koweit pour le journal Al Qabas pendant trois années puis il s’est installé à Londres après son expulsion du Kowéit en 1985.
Handala, son personnage, est apparu pour la première fois en 1969 dans le journal koweitien Alsiyassa (La politique). C’est un petit garçon âgé de 10 ans, l’âge qu’avait Naji lorsqu’il a quitté la Palestine, pieds nus comme tous les enfants qui habitent les camps de réfugiés palestiniens.
Handala est situé dans l’espace, sans terrain d’appui car il est sans patrie. Il est témoin de la tragédie de tout un peuple, il tourne le dos au public car il se sent trahi.
Naji dit de Handala :
« Handala est né à l’âge de 10 ans et depuis son exil, les lois de la nature n’ont aucune emprise sur lui. Il ne recommencera à croître que lors de son retour sur sa terre natale. Il n’est pas un enfant bien portant, heureux, serein et couvé. Il va nu-pieds comme tous les enfants des camps de réfugiés. Ses cheveux sont ceux du hérisson qui utilise ses épines comme arme. Bien qu’il soit rude, il a l’odeur de l’ambre. Ses mains, toujours derrière son dos, sont le signe du rejet des solutions porteuses de l’idéologie impérialiste et sioniste. Au début, il était un enfant palestinien, mais sa conscience s’est développée pour devenir celle d’une nation, puis de l’humanité dans sa totalité. Il a fait la promesse de ne jamais se trahir. Handala veut dire amertume. »
« Handala est un témoin de son époque et il ne mourra jamais, il pénètre la vie avec une force qui ne le quitte jamais, une légende dont l’existence est un défi à l’éternité. Ce personnage que j’ai créé ne disparaîtra pas après moi. Je ne crois pas exagérer en disant que je serai immortalisé à travers lui. »
Naji al-Ali fut atteint d’une balle dans la tête le 22 juillet 1987 à Londres.
http://www.myriam-en-ebullition.be/index.php?post/2012/07/22/Il-y-a-25-ans%2C-le-Mossad-assassina-Naji-al-Ali
Il fut découvert par l’auteur Ghassan Kanafani et ses premiers dessins prêchèrent l’espoir et la révolution. Il a travaillé au Koweit pour le journal Al Qabas pendant trois années puis il s’est installé à Londres après son expulsion du Kowéit en 1985.
Handala, son personnage, est apparu pour la première fois en 1969 dans le journal koweitien Alsiyassa (La politique). C’est un petit garçon âgé de 10 ans, l’âge qu’avait Naji lorsqu’il a quitté la Palestine, pieds nus comme tous les enfants qui habitent les camps de réfugiés palestiniens.
Handala est situé dans l’espace, sans terrain d’appui car il est sans patrie. Il est témoin de la tragédie de tout un peuple, il tourne le dos au public car il se sent trahi.
Naji dit de Handala :
« Handala est né à l’âge de 10 ans et depuis son exil, les lois de la nature n’ont aucune emprise sur lui. Il ne recommencera à croître que lors de son retour sur sa terre natale. Il n’est pas un enfant bien portant, heureux, serein et couvé. Il va nu-pieds comme tous les enfants des camps de réfugiés. Ses cheveux sont ceux du hérisson qui utilise ses épines comme arme. Bien qu’il soit rude, il a l’odeur de l’ambre. Ses mains, toujours derrière son dos, sont le signe du rejet des solutions porteuses de l’idéologie impérialiste et sioniste. Au début, il était un enfant palestinien, mais sa conscience s’est développée pour devenir celle d’une nation, puis de l’humanité dans sa totalité. Il a fait la promesse de ne jamais se trahir. Handala veut dire amertume. »
« Handala est un témoin de son époque et il ne mourra jamais, il pénètre la vie avec une force qui ne le quitte jamais, une légende dont l’existence est un défi à l’éternité. Ce personnage que j’ai créé ne disparaîtra pas après moi. Je ne crois pas exagérer en disant que je serai immortalisé à travers lui. »
Naji al-Ali fut atteint d’une balle dans la tête le 22 juillet 1987 à Londres.
http://www.myriam-en-ebullition.be/index.php?post/2012/07/22/Il-y-a-25-ans%2C-le-Mossad-assassina-Naji-al-Ali
Vladimir de Volog- Vénérable
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oscarire- Sage
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Re: 22 juillet 1987 : Le MOSSAD israélien assassine à Londres le caricaturiste Naji al-Ali
Apparament les caricature de Yitzhak Shamir, c'est pire que les caricatures de mahommet !
Plaristes Evariste- Vénérable
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Re: 22 juillet 1987 : Le MOSSAD israélien assassine à Londres le caricaturiste Naji al-Ali
pire je ne sait pas , mais provocation oui , je me souvient du temps de l'attentat de charli hebdo, des messages de solidarités que la plume est une arme plus puissante qu'une arme à feu!il me semble que c'est par le mossad qu'isaac rabin a été assassiné aussi ,comme cela en 'afrique du sud en son temps !!!alors que la Thora interdit l'assassina !!!
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: 22 juillet 1987 : Le MOSSAD israélien assassine à Londres le caricaturiste Naji al-Ali
aPOTRE a écrit:pire je ne sait pas , mais provocation oui , je me souvient du temps de l'attentat de charli hebdo, des messages de solidarités que la plume est une arme plus puissante qu'une arme à feu!il me semble que c'est par le mossad qu'isaac rabin a été assassiné aussi ,comme cela en 'afrique du sud en son temps !!!alors que la Thora interdit l'assassina !!!
Vladimir de Volog- Vénérable
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Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: 22 juillet 1987 : Le MOSSAD israélien assassine à Londres le caricaturiste Naji al-Ali
Orwelle nous a appris que des mots pouvait faire plus de mal à la terre entière que tous les arsenaux d'arme conventionnelles du monde !
Plaristes Evariste- Vénérable
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oscarire- Sage
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Re: 22 juillet 1987 : Le MOSSAD israélien assassine à Londres le caricaturiste Naji al-Ali
C'est aussi une thématique dans Deus Ex, la guerre de l'information
Ou des politiciens ont fait plus de mal au monde en appelant l'esclavage liberté, que n'importe quelle arme conventionnelle #unatco.
En dépossédant les gens du sens de la vie, le nihilisme prend route et les tueries en masse comme aux U.S.A arrivent !
Ou des politiciens ont fait plus de mal au monde en appelant l'esclavage liberté, que n'importe quelle arme conventionnelle #unatco.
En dépossédant les gens du sens de la vie, le nihilisme prend route et les tueries en masse comme aux U.S.A arrivent !
Plaristes Evariste- Vénérable
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