Les USA légalise partout le Cannabis, la France le sanctionne

[nik0]

2 visions opposées?

[Jeannot Lapin]

La France a raison, mais elle le fait pas assez sévèrement. Le seul choix positif qui doit être offert au drogué qui ne revend pas, c'est de se désintoxiquer pour éviter la prison. Le drogué devient une plaie pour la société dans laquelle il est un esclave, outil pour les trafiquants. Il n'y a aucune exception à cette situation.
Je suis de la génération qui a connu son entourage scolaire sombrer dans la drogue. C'est toujours avec les joints de cannabis que ça commence.
Actuellement la justice et la police laissent les réseaux de drogue prospérer dans les cités, car c'est le moyen économique qui les fait vivre, en l'absence de travail (choix organisé par notre société socialiste qui préfère subventionner le non travail et taxer le travail légal).

[Plaristes Evariste]

Libéralisme libertaire !

Faut bien que Randy Marsh et les agriculteurs du collorado se fassent de la thune !

[nik0]

Plus on interdit une drogue et plus le trafic et donc la revente illégale prospère. Cela ne semble pas faire diminuer ce commerce mais plutôt cela à tendance à l'aggraver. Les sanctions sont trop dérisoires pour inquiéter le trafic de stupéfiants comme le cannabis. Vous couper la tête d'un revendeur il en repousse 2,3...
Ne faut-il pas plutôt contrôler ce trafic? L'Espagne a choisit la dépénalisation, est-ce une solution?

[Frère Barnabé]

Plus on interdit une drogue et plus le trafic et donc la revente illégale prospère. Cela ne semble pas faire diminuer ce commerce mais plutôt cela à tendance à l'aggraver. Les sanctions sont trop dérisoires pour inquiéter le trafic de stupéfiants comme le cannabis. Vous couper la tête d'un revendeur il en repousse 2,3...
Ne faut-il pas plutôt contrôler ce trafic? L'Espagne a choisit la dépénalisation, est-ce une solution?

je pense que scientifiquement ,  qu'il est possible  par des recherches , de détruire ces plantations par pulvérisation   par voie aérienne , basé sur le code génétique de ces plantes , sans risque pour les autres plantes , humain'e)s  , animaux et autres !

[Monsieur Trololo]

Plus on interdit une drogue et plus le trafic et donc la revente illégale prospère.

Plus on réduit les effectifs et moyens de la police anti-drogue et plus le trafic et donc la revente illégale prospère !

[Monsieur Trololo]

je pense que scientifiquement ,  qu'il est possible  par des recherches , de détruire ces plantations par pulvérisation   par voie aérienne , basé sur le code génétique de ces plantes , sans risque pour les autres plantes , humain'e)s  , animaux et autres !

Très très mauvaise idée ! Ca a  été fait par les américains en Colombie.
1/ Ca a déplacé le problème ailleurs plus loin dans la jungle
2/ Ca intoxiqué les cultures vivrières , le bétail et villageois allentours qui n'avaient pas forcément à voir avec le traffic
3/ Certains villageois dont les pesticides avaient détruit les cultures vivrières ou le bétail se sont mis a cultiver de la coca pour subvenir à leur besoins.

[Monsieur Trololo]

Enfin pour couronner le tout on a à présent des Canabinoïdes de synthèse aux effets bien plus nocifs pour la santé que la plante elle même.

Ce qu'il faut c'est se donner les moyens pour lutter contre le traffic, plus de policiers spécialisés, plus de places de prison et de maisons de redressement car il faut punir durement les consommateurs pour les dissuader définitivement.

[nik0]

Plus on réduit les effectifs et moyens de la police anti-drogue et plus le trafic et donc la revente illégale prospère !

Oui mais depuis combien de temps, on entend qu'il faut donner plus de moyens à la police? Une éternité! Je doute que l'on mette les moyens suffisants un jour.
Témoignage :

LIRE AUSSI >> Plan "anti-stups" : trois chiffres pour comprendre le poids du trafic de drogue en France
"Ça fait mal 400 euros, mais de toute façon, je peux pas les payer", évacue le jeune homme de 26 ans, qui n'a réglé aucune amende et a vu l'ardoise gonfler à 900 euros après majoration. Malgré le montant, "ça ne change rien à ma conso", confie celui qui continue de griller "cinq à huit joints par jour". Il confie toutefois fumer moins fréquemment dans la rue et a déserté le point de vente pour s'approvisionner directement au domicile d'un dealeur.

[Monsieur Trololo]

LIRE AUSSI >> Plan "anti-stups" : trois chiffres pour comprendre le poids du trafic de drogue en France
"Ça fait mal 400 euros, mais de toute façon, je peux pas les payer", évacue le jeune homme de 26 ans, qui n'a réglé aucune amende et a vu l'ardoise gonfler à 900 euros après majoration. Malgré le montant, "ça ne change rien à ma conso", confie celui qui continue de griller "cinq à huit joints par jour". Il confie toutefois fumer moins fréquemment dans la rue et a déserté le point de vente pour s'approvisionner directement au domicile d'un dealeur.

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S'ils ne peuvent pas payer, on pourrait remplacer l'amende par de la prison ou des travaux d'intérêt collectif bien hardcore, ça en calmerait plus d'un !

Mine de rien l'amende à quand même dissuadé le jeune homme de fumer aussi fréquemment dans la rue, ce qui de tout évidence est une avancée !

[Vladimir de Volog]

La France a raison, mais elle le fait pas assez sévèrement. Le seul choix positif qui doit être offert au drogué qui ne revend pas, c'est de se désintoxiquer pour éviter la prison. Le drogué devient une plaie pour la société dans laquelle il est un esclave, outil pour les trafiquants. Il n'y a aucune exception à cette situation.
Je suis de la génération qui a connu son entourage scolaire sombrer dans la drogue. C'est toujours avec les joints de cannabis que ça commence.
Actuellement la justice et la police laissent les réseaux de drogue prospérer dans les cités, car c'est le moyen économique qui les fait vivre, en l'absence de travail (choix organisé par notre société socialiste qui préfère subventionner le non travail et taxer le travail légal).

Et les pays producteurs de drogues, à eux on ne dit rien ?

Encore u ne réponse de jeannot qui ne vaut pas un pet de lapin....

[Monsieur Trololo]

[size=18]Et les pays producteurs de drogues, à eux on ne dit rien  ?

Voir l'action des USA en Colombie.

[nik0]

N'oubliez pas qu'il faudra sans doute faire la police dans la police.

Mine de rien l'amende à quand même dissuadé le jeune homme de fumer aussi fréquemment dans la rue, ce qui de tout évidence est une avancée !

D'où l'idée de dépénalisation.

[Jeannot Lapin]

LIRE AUSSI >> Plan "anti-stups" : trois chiffres pour comprendre le poids du trafic de drogue en France
"Ça fait mal 400 euros, mais de toute façon, je peux pas les payer", évacue le jeune homme de 26 ans, qui n'a réglé aucune amende et a vu l'ardoise gonfler à 900 euros après majoration. Malgré le montant, "ça ne change rien à ma conso", confie celui qui continue de griller "cinq à huit joints par jour". Il confie toutefois fumer moins fréquemment dans la rue et a déserté le point de vente pour s'approvisionner directement au domicile d'un dealeur.

S'ils ne peuvent pas payer, on pourrait remplacer l'amende par de la prison ou des travaux d'intérêt collectif bien hardcore, ça en calmerait plus d'un !

Mine de rien l'amende à quand même dissuadé le jeune homme de fumer aussi fréquemment dans la rue, ce qui de tout évidence est une avancée ![/quote]

Même pas. Raté.
Ce qui l'a contraint d'arrêter c'est que c'est devenu interdit partout. Autrement, le traffic de cigarettes détaxées c'est vieux comme le monde. Si les taxes sont trop hautes, le marché noir s'en charge.
Le plaisir de fumer sur le trottoir, notamment les trottoirs parisiens crasseux aujourd'hui, est très largement inférieur à celui d'enfumer ses voisins de boulot ou d'empester son propre bureau de direction d'une brume bleue permettant de se tenir à l'écart du monde...
Plus sérieusement, il fallait voir les amphis de facs début année 80, ceux de 500 personnes, où on distinguait difficilement la tête du prof, tellement le nuage à partir du milieu de la salle vers le plafond était épaisse. Et si d'aventure, on demandait à un de ces profs (généralement l'un de ceux qui étaient le moitié de l'année en grève) de quitter la cigarette dont il vous envoyait les vapeurs dans les yeux (et pourtant dans les labos de chimie ça pouvait péter) , on vous répondait que vous étiez libre de quitter le cours et que personne ne vous retenait... et vous pouviez aller protester auprès du président de la fac; il vous aurait ri au nez.
Bon, mais ça c'est particulier à certaines facs, genre Jussieu ou Nanterre. Ca n'empêche que cigarette ne voulait pas dire pétard, et qu'il était risqué pour un élève de s'aventurer sur ce terrain là. En général, les flics débarquaient en moins de 2.

Vous remarquerez qu'aujourd'hui c'est limite le contraire.

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