Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
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Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Camp d'Aincourt, aujourd'hui dans le Val d'Oise
Le 5 octobre 2021, s'est tenue la cérémonie patriotique commémorant, chaque premier samedi d'octobre, l'ouverture du camp d'internement d'Aincourt par la France pétainiste. Ce dimanche 17 octobre, a eu lieu le 60e anniversaire de l'exécution de 27 otages à Châteaubriant, le 27 octobre 1941. Deux camps surveilles par des gendarmes français et sous administration pétainiste, et dans lesquels l'Etat français désigne des otages à la vindicte nazie.
Camp de Châteaubriant
Le 5 octobre 1940, Max Chevalier, préfet de Seine-et-Oise, réquisitionne le sanatorium d'Aincourt pour y interner des militants communistes de la région parisienne: dirigeants du Pcf interdit avant-guerre et syndicalistes de l'ex-CGTU chassés de la CGT avant-guerre également. Le camp est dirigé par le commissaire spécial de police Andrew, ancien commissaire des Renseignements généraux et ancien dirigeant du camp de Bailet où furent internés des communistes avant-guerre.
Parmi les dirigeants syndicalistes, internés à Aincourt dès son ouverture, figurent les secrétaires généraux des Métallurgistes parisiens, de la fédération des ouvriers et ouvrières de la Couture, du syndicat des Produits chimiques, de la fédération des travailleurs des Cuirs et Peaux, de la fédération du Papier-Carton.
http://www.le-blog-de-roger-colombier.com/2021/10/du-camp-d-aincourt-seine-et-oise-a-celui-de-chateaubriant-loire-atlantique.html
Camp d'Aincourt, aujourd'hui dans le Val d'Oise
Le 5 octobre 2021, s'est tenue la cérémonie patriotique commémorant, chaque premier samedi d'octobre, l'ouverture du camp d'internement d'Aincourt par la France pétainiste. Ce dimanche 17 octobre, a eu lieu le 60e anniversaire de l'exécution de 27 otages à Châteaubriant, le 27 octobre 1941. Deux camps surveilles par des gendarmes français et sous administration pétainiste, et dans lesquels l'Etat français désigne des otages à la vindicte nazie.
Camp de Châteaubriant
Le 5 octobre 1940, Max Chevalier, préfet de Seine-et-Oise, réquisitionne le sanatorium d'Aincourt pour y interner des militants communistes de la région parisienne: dirigeants du Pcf interdit avant-guerre et syndicalistes de l'ex-CGTU chassés de la CGT avant-guerre également. Le camp est dirigé par le commissaire spécial de police Andrew, ancien commissaire des Renseignements généraux et ancien dirigeant du camp de Bailet où furent internés des communistes avant-guerre.
Parmi les dirigeants syndicalistes, internés à Aincourt dès son ouverture, figurent les secrétaires généraux des Métallurgistes parisiens, de la fédération des ouvriers et ouvrières de la Couture, du syndicat des Produits chimiques, de la fédération des travailleurs des Cuirs et Peaux, de la fédération du Papier-Carton.
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
sur ordre de Berlin, raconte Étienne Gasche, professeur d’histoire-géographie à la retraite et ancien correspondant d’Ouest-France, intarissable sur cette période historique
Frère Barnabé- Vénérable
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Rapport de la gendarmerie aux autorités pétainistes
Rapidement, au fur et à mesure que le nombre d'internés grossit, une activité communiste clandestine se fait jour dans le camp d'Aincourt, malgré le régime disciplinaire draconien et la répression qui s'ensuit.
Le 19 février 1941, le commissaire Andrew adresse au préfet de Seine-et-Oise une liste de 250 internés classés comme "communistes très dangereux"," internés qui transmettent les mots d'ordre du parti" et "internés bien que moins violents seraient des plus dangereux en cas d'insurrection".
Des transferts sont organisés vers les camps de Voves, Rouillé et Châteaubriant. 7 internés d'Aincourt sont directement fusillés au Mont-Valérien.
27 otages de Châteaubriant, désignés par l'administration française, sont fusillés par les Allemands le 22 octobre 1941. Leurs corps sont amenés dans des caisses sans nom et numérotées, pour être enterrés dans 9 cimetières du pays de Châteaubriant.
Rapidement, au fur et à mesure que le nombre d'internés grossit, une activité communiste clandestine se fait jour dans le camp d'Aincourt, malgré le régime disciplinaire draconien et la répression qui s'ensuit.
Le 19 février 1941, le commissaire Andrew adresse au préfet de Seine-et-Oise une liste de 250 internés classés comme "communistes très dangereux"," internés qui transmettent les mots d'ordre du parti" et "internés bien que moins violents seraient des plus dangereux en cas d'insurrection".
Des transferts sont organisés vers les camps de Voves, Rouillé et Châteaubriant. 7 internés d'Aincourt sont directement fusillés au Mont-Valérien.
27 otages de Châteaubriant, désignés par l'administration française, sont fusillés par les Allemands le 22 octobre 1941. Leurs corps sont amenés dans des caisses sans nom et numérotées, pour être enterrés dans 9 cimetières du pays de Châteaubriant.
Dernière édition par Volog le Jeu 21 Oct 2021 - 10:48, édité 1 fois
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Parmi eux, des anciens internés d'Aincourt, considérés comme "communistes dangereux".
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
en es tu sur que c'était sous le commandement de pétain , et non par sous celui des allemands ????Volog a écrit:Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Camp d'Aincourt, aujourd'hui dans le Val d'Oise
Le 5 octobre 2021, s'est tenue la cérémonie patriotique commémorant, chaque premier samedi d'octobre, l'ouverture du camp d'internement d'Aincourt par la France pétainiste. Ce dimanche 17 octobre, a eu lieu le 60e anniversaire de l'exécution de 27 otages à Châteaubriant, le 27 octobre 1941. Deux camps surveilles par des gendarmes français et sous administration pétainiste, et dans lesquels l'Etat français désigne des otages à la vindicte nazie.
Camp de Châteaubriant
Le 5 octobre 1940, Max Chevalier, préfet de Seine-et-Oise, réquisitionne le sanatorium d'Aincourt pour y interner des militants communistes de la région parisienne: dirigeants du Pcf interdit avant-guerre et syndicalistes de l'ex-CGTU chassés de la CGT avant-guerre également. Le camp est dirigé par le commissaire spécial de police Andrew, ancien commissaire des Renseignements généraux et ancien dirigeant du camp de Bailet où furent internés des communistes avant-guerre.
Parmi les dirigeants syndicalistes, internés à Aincourt dès son ouverture, figurent les secrétaires généraux des Métallurgistes parisiens, de la fédération des ouvriers et ouvrières de la Couture, du syndicat des Produits chimiques, de la fédération des travailleurs des Cuirs et Peaux, de la fédération du Papier-Carton.
http://www.le-blog-de-roger-colombier.com/2021/10/du-camp-d-aincourt-seine-et-oise-a-celui-de-chateaubriant-loire-atlantique.html
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
80ème anniversaire du massacre de Châteaubriant
Le 20 octobre 1941, le lieutenant-colonel Karl Hotz chef de la Kommandantur de Nantes est abattu par des résistants communistes membres de l’organisation spéciale (OS) créée par le PCF en 1940.
Hitler exige des représailles immédiates et l’exécution de 100 à 150 otages.
Pétain qualifie l’exécution de l’officier nazi de « crime sans nom ».
Le 21 octobre, le général Otto von Stülpnagel, chef de l’armée d’occupation en France, fait publier un avis :
« En expiation de ce crime, j’ai ordonné préalablement de faire fusiller cinquante otages (…) 50 autres otages seront fusillés au cas où les coupables ne seraient pas arrêtés d’ici le 23 octobre 1941 à minuit. ».
Le 22 octobre 1941, 48 otages sont fusillés : 27 à la carrière de la Sablière de Châteaubriant (Loire Atlantique), 16 au champ de tir du Bêle à Nantes et 5 au fort de Romainville au Mont Valérien.
C’est le ministre de l’intérieur, Pierre Pucheu qui a établi la liste des otages à fusiller, elle est composée essentiellement d’élus communistes, de permanents du PCF, de militants arrêtés pour avoir distribué des tracts, de dirigeants de fédérations de la CGT, la plupart arrêtés entre 1939 et 1941.
Le 20 octobre 1941, le lieutenant-colonel Karl Hotz chef de la Kommandantur de Nantes est abattu par des résistants communistes membres de l’organisation spéciale (OS) créée par le PCF en 1940.
Hitler exige des représailles immédiates et l’exécution de 100 à 150 otages.
Pétain qualifie l’exécution de l’officier nazi de « crime sans nom ».
Le 21 octobre, le général Otto von Stülpnagel, chef de l’armée d’occupation en France, fait publier un avis :
« En expiation de ce crime, j’ai ordonné préalablement de faire fusiller cinquante otages (…) 50 autres otages seront fusillés au cas où les coupables ne seraient pas arrêtés d’ici le 23 octobre 1941 à minuit. ».
Le 22 octobre 1941, 48 otages sont fusillés : 27 à la carrière de la Sablière de Châteaubriant (Loire Atlantique), 16 au champ de tir du Bêle à Nantes et 5 au fort de Romainville au Mont Valérien.
C’est le ministre de l’intérieur, Pierre Pucheu qui a établi la liste des otages à fusiller, elle est composée essentiellement d’élus communistes, de permanents du PCF, de militants arrêtés pour avoir distribué des tracts, de dirigeants de fédérations de la CGT, la plupart arrêtés entre 1939 et 1941.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
C’est la première fois que des otages sont exécutés en aussi grand nombre et cette exécution provoque une onde de choc en France. Chateaubriant devient le symbole de la répression barbare des nazis et a suscité plus de haine contre l’occupant et le gouvernement collaborationniste que de peur et a fait prendre conscience que résister était possible.
Châteaubriant et la Carrière de la Sablières sont devenus depuis un lieu majeur de la mémoire de la Résistance et des massacres commis par les nazis.
Les « fusillés de Châteaubriant » luttaient pour la liberté, contre le « joug nazi et contre le joug capitaliste ».
Leur combat était celui de la lutte contre le nazisme, contre la collaboration et le gouvernement de Vichy mais aussi une lutte contre un système qui écrase les hommes « des jours meilleurs se lèveront demain sur le monde délivré des chaînes du capitalisme, la victoire du communisme est certaine quels que soient les sursauts sanglants du vieux monde » (lettre d’un des fusillés).
Le combat de ces résistants est la lutte contre le système capitaliste qui est fauteur de la surexploitation de l’homme et de la nature, fauteur des guerres. C’est le combat que notre Parti Révolutionnaire mène pour construire une société au service de l’homme : le socialisme.
La fédération Nationale des Industries Chimiques-CGT a produit un film :
Quand on résiste on a toujours 20 ans, qui rend hommage aux otages, à leur lutte en l’inscrivant dans le contexte de l’époque et en ouvrant des perspectives pour les luttes à mener.
Châteaubriant et la Carrière de la Sablières sont devenus depuis un lieu majeur de la mémoire de la Résistance et des massacres commis par les nazis.
Les « fusillés de Châteaubriant » luttaient pour la liberté, contre le « joug nazi et contre le joug capitaliste ».
Leur combat était celui de la lutte contre le nazisme, contre la collaboration et le gouvernement de Vichy mais aussi une lutte contre un système qui écrase les hommes « des jours meilleurs se lèveront demain sur le monde délivré des chaînes du capitalisme, la victoire du communisme est certaine quels que soient les sursauts sanglants du vieux monde » (lettre d’un des fusillés).
Le combat de ces résistants est la lutte contre le système capitaliste qui est fauteur de la surexploitation de l’homme et de la nature, fauteur des guerres. C’est le combat que notre Parti Révolutionnaire mène pour construire une société au service de l’homme : le socialisme.
La fédération Nationale des Industries Chimiques-CGT a produit un film :
Quand on résiste on a toujours 20 ans, qui rend hommage aux otages, à leur lutte en l’inscrivant dans le contexte de l’époque et en ouvrant des perspectives pour les luttes à mener.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
liste ordonné par berlin moitié par les allemands et l'autre moitié par la France , pour démontrer que la France est vassal de l'allemagne ,et donc l'allemagne son suzerain!Volog a écrit:80ème anniversaire du massacre de Châteaubriant
Le 20 octobre 1941, le lieutenant-colonel Karl Hotz chef de la Kommandantur de Nantes est abattu par des résistants communistes membres de l’organisation spéciale (OS) créée par le PCF en 1940.
Hitler exige des représailles immédiates et l’exécution de 100 à 150 otages.
Pétain qualifie l’exécution de l’officier nazi de « crime sans nom ».
Le 21 octobre, le général Otto von Stülpnagel, chef de l’armée d’occupation en France, fait publier un avis :
« En expiation de ce crime, j’ai ordonné préalablement de faire fusiller cinquante otages (…) 50 autres otages seront fusillés au cas où les coupables ne seraient pas arrêtés d’ici le 23 octobre 1941 à minuit. ».
Le 22 octobre 1941, 48 otages sont fusillés : 27 à la carrière de la Sablière de Châteaubriant (Loire Atlantique), 16 au champ de tir du Bêle à Nantes et 5 au fort de Romainville au Mont Valérien.
C’est le ministre de l’intérieur, Pierre Pucheu qui a établi la liste des otages à fusiller, elle est composée essentiellement d’élus communistes, de permanents du PCF, de militants arrêtés pour avoir distribué des tracts, de dirigeants de fédérations de la CGT, la plupart arrêtés entre 1939 et 1941.
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
la marge de manœuvre de la France, était courte
les donneurs de leçons d aujourd’hui
serait peut être les collabos de l époque
pourquoi revenir sur ses choses, pourquoi pas parler des camps de concentration, de Staline
ou du massacre des vendéens, par la république
volog, tu est un boulet
les donneurs de leçons d aujourd’hui
serait peut être les collabos de l époque
pourquoi revenir sur ses choses, pourquoi pas parler des camps de concentration, de Staline
ou du massacre des vendéens, par la république
volog, tu est un boulet
lambertini- Chef
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Il ne faut pas oublier qu'une certaine bande de socialopes collabo ont non seulement voté mais proposer des loi pour traquer les communistes.
#François Chasseigne
#Georges Barthélemy
Hey oui Volog, les gens les plus dangereux en sont pas ceux qui s'affichent ouvertement comme tes ennemis mais ceux qui prétendent être tes amis !
Il n'y a jamais eu de camp de concentration le goulag était le système carcéral de la Russie hérité du système tsariste.
C'était un système carcéral extrêmement répressif, mais on ne pouvait pas les accuser de laxisme, un fois sorti du goulag t'avais pas envi d'y retourner.
Les types comme toi ça fait ouinouin la France est trop laxiste et dès qu'il y a une système carcéral un peu dur ça fait ouinouin totalitarisme faut savoir ce que l'ont veut !
#François Chasseigne
#Georges Barthélemy
Hey oui Volog, les gens les plus dangereux en sont pas ceux qui s'affichent ouvertement comme tes ennemis mais ceux qui prétendent être tes amis !
Lambertini a écrit:pas parler des camps de concentration, de Staline
Il n'y a jamais eu de camp de concentration le goulag était le système carcéral de la Russie hérité du système tsariste.
C'était un système carcéral extrêmement répressif, mais on ne pouvait pas les accuser de laxisme, un fois sorti du goulag t'avais pas envi d'y retourner.
Les types comme toi ça fait ouinouin la France est trop laxiste et dès qu'il y a une système carcéral un peu dur ça fait ouinouin totalitarisme faut savoir ce que l'ont veut !
Plaristes Evariste- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Plaristes,
est-ce que tu peux admettre que l'on puisse penser différemment, alors que tu n'as pas un seul mot pour les fusillés ?
est-ce que tu peux admettre que l'on puisse penser différemment, alors que tu n'as pas un seul mot pour les fusillés ?
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Un mot plaristes ?
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
dois tu le mettre sur le compte de pétain ou de l'allemagne ???Volog a écrit:Plaristes,
est-ce que tu peux admettre que l'on puisse penser différemment, alors que tu n'as pas un seul mot pour les fusillés ?
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Volog a écrit:Plaristes,
est-ce que tu peux admettre que l'on puisse penser différemment, alors que tu n'as pas un seul mot pour les fusillés ?
des victimes collatéral ,
assassiné un officier , pour faire fusilier des otages, un grand moment de la résistance?
et sa change quoi, a la finalité de la guerre
lambertini- Chef
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
80e anniversaire des fusillés de Châteaubriant : leur sacrifice résonne toujours aujourd’hui
Il y a quatre-vingts ans, vingt-sept otages étaient fusillés à Châteaubriant (Loire-Atlantique).
Deux jours plus tôt, à Nantes, un résistant avait tué un officier allemand.
Ces représailles allemandes furent terribles.
Avec d’autres fusillés à Nantes et au Mont Valérien, près de Paris, les vies de quarante-huit otages furent fauchées par le peloton d’exécution.
Depuis, Châteaubriant et sa Carrière des fusillés sont devenues un lieu majeur de la mémoire de la Résistance.
Dès la première commémoration, le 22 octobre 1944, une foule immense s’était retrouvée sur le site de la Carrière des fusillés.
Il y a quatre-vingts ans, vingt-sept otages étaient fusillés à Châteaubriant (Loire-Atlantique).
Deux jours plus tôt, à Nantes, un résistant avait tué un officier allemand.
Ces représailles allemandes furent terribles.
Avec d’autres fusillés à Nantes et au Mont Valérien, près de Paris, les vies de quarante-huit otages furent fauchées par le peloton d’exécution.
Depuis, Châteaubriant et sa Carrière des fusillés sont devenues un lieu majeur de la mémoire de la Résistance.
Dès la première commémoration, le 22 octobre 1944, une foule immense s’était retrouvée sur le site de la Carrière des fusillés.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
C’est un lieu entretenu avec soin qui en impose. Tout ici rappelle le massacre du 22 octobre 1941.
Il y a ces panneaux qui racontent le sacrifice des vingt-sept fusillés, leurs portraits installés au long du chemin, ce monument du souvenir qui domine le site et, à sa base, ces 183 alvéoles qui contiennent de la terre recueillie dans des camps de concentration, des maquis ou des lieux qui portent aussi la mémoire des massacres nazis.
Les noms défilent.
Dachau, Buchenwald, les maquis des Glières et du Vercors, Tulle, en Corrèze, ou bien La Maltière, près de Rennes.
C’est un lieu entretenu avec soin qui en impose.
Tout ici rappelle le massacre du 22 octobre 1941. Il y a ces panneaux qui racontent le sacrifice des vingt-sept fusillés, leurs portraits installés au long du chemin, ce monument du souvenir qui domine le site et, à sa base, ces 183 alvéoles qui contiennent de la terre recueillie dans des camps de concentration, des maquis ou des lieux qui portent aussi la mémoire des massacres nazis.
Les noms défilent. Dachau, Buchenwald, les maquis des Glières et du Vercors, Tulle, en Corrèze, ou bien La Maltière, près de Rennes.
A sa une, le 20 octobre 1944, deux jours avant la première commémoration de l'exécution des otages, Ouest-France souligne le message laissé par les otages.
Il y a ces neuf poteaux qui reproduisent ceux auxquels les Allemands attachèrent les vingt-sept fusillés, responsables et militants du Parti communiste, ou syndicalistes de la CGT.
Ils ont été installés à l’endroit précis, là où ceux du 22 octobre 1941 furent plantés dans le sol.
À l’époque, de petits cailloux laissés discrètement par une agricultrice, voisine de la carrière, avaient permis d’identifier ces emplacements avec précision.
Il y a ces panneaux qui racontent le sacrifice des vingt-sept fusillés, leurs portraits installés au long du chemin, ce monument du souvenir qui domine le site et, à sa base, ces 183 alvéoles qui contiennent de la terre recueillie dans des camps de concentration, des maquis ou des lieux qui portent aussi la mémoire des massacres nazis.
Les noms défilent.
Dachau, Buchenwald, les maquis des Glières et du Vercors, Tulle, en Corrèze, ou bien La Maltière, près de Rennes.
C’est un lieu entretenu avec soin qui en impose.
Tout ici rappelle le massacre du 22 octobre 1941. Il y a ces panneaux qui racontent le sacrifice des vingt-sept fusillés, leurs portraits installés au long du chemin, ce monument du souvenir qui domine le site et, à sa base, ces 183 alvéoles qui contiennent de la terre recueillie dans des camps de concentration, des maquis ou des lieux qui portent aussi la mémoire des massacres nazis.
Les noms défilent. Dachau, Buchenwald, les maquis des Glières et du Vercors, Tulle, en Corrèze, ou bien La Maltière, près de Rennes.
A sa une, le 20 octobre 1944, deux jours avant la première commémoration de l'exécution des otages, Ouest-France souligne le message laissé par les otages.
Il y a ces neuf poteaux qui reproduisent ceux auxquels les Allemands attachèrent les vingt-sept fusillés, responsables et militants du Parti communiste, ou syndicalistes de la CGT.
Ils ont été installés à l’endroit précis, là où ceux du 22 octobre 1941 furent plantés dans le sol.
À l’époque, de petits cailloux laissés discrètement par une agricultrice, voisine de la carrière, avaient permis d’identifier ces emplacements avec précision.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
« Ils tombèrent tous avec courage »
L’ampleur des exécutions de Châteaubriant et le jeune âge de beaucoup des victimes, comme Guy Môquet, 17 ans, dont la dernière lettre à ses proches est devenue un témoignage historique du courage des fusillés, destinaient ainsi la Carrière des fusillés à devenir ce site majeur de la mémoire de la Résistance et des massacres commis par les nazis.
Déjà, pendant la guerre et en pleine Occupation, des habitants de Châteaubriant viennent discrètement déposer des fleurs malgré tous les risques encourus. Les fusillés inspirent aussi un poème de Pierre Seghers, Octobre, qui sera publié à plusieurs reprises durant la guerre :
« Octobre, quand la vendange est faite dans le sang. Le vois-tu avec ses fumées, ses feux, qui emporte le massacre des innocents. »
L’ampleur des exécutions de Châteaubriant et le jeune âge de beaucoup des victimes, comme Guy Môquet, 17 ans, dont la dernière lettre à ses proches est devenue un témoignage historique du courage des fusillés, destinaient ainsi la Carrière des fusillés à devenir ce site majeur de la mémoire de la Résistance et des massacres commis par les nazis.
Déjà, pendant la guerre et en pleine Occupation, des habitants de Châteaubriant viennent discrètement déposer des fleurs malgré tous les risques encourus. Les fusillés inspirent aussi un poème de Pierre Seghers, Octobre, qui sera publié à plusieurs reprises durant la guerre :
« Octobre, quand la vendange est faite dans le sang. Le vois-tu avec ses fumées, ses feux, qui emporte le massacre des innocents. »
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Enfin, les hommages pourront se dérouler en plein jour, dès le 22 octobre 1944, alors que le pays n’est pas encore totalement libéré.
Dimanche sera honorée la mémoire des fusillés de Nantes et de Châteaubriant , annonce à sa une Ouest-France dans son édition du jeudi 19 octobre 1944, qui évoque aussi la nouvelle organisation des FFI (Forces françaises de l’intérieur) ou la progression de l’armée soviétique sur le front de l’est.
« Ils tombèrent tous avec courage, ayant aux lèvres l’hymne national et le cri répété de Vive la France », rappelle le journal. Le lendemain, un nouvel article, titré N’oublions pas le mot d’ordre des fusillés, est aussi publié en première page :
Ils sont morts en nous laissant un exemple digne des temps les plus héroïques de l’Histoire.
Conservons pieusement leur souvenir. Pour que leur sacrifice ne soit pas vain, pensons à ce cri de Vive la France qui fut leur dernière parole et comme leur testament.
Ils nous diraient eux-mêmes que c’est ainsi qu’ils veulent qu’on honore leur mémoire.
Tandis que dans son édition du samedi 21 octobre, la veille de cette première célébration dans la France libérée, l’éditorial du jour, Sang des martyrs, évoque la figure de Guy Môquet :
« Voyez la poitrine percée de Guy Môquet, cœur d’enfant qui partage ses derniers battements entre sa mère et la France, cœur splendide qui battra jusqu’au fond de l’Histoire. »
Dimanche sera honorée la mémoire des fusillés de Nantes et de Châteaubriant , annonce à sa une Ouest-France dans son édition du jeudi 19 octobre 1944, qui évoque aussi la nouvelle organisation des FFI (Forces françaises de l’intérieur) ou la progression de l’armée soviétique sur le front de l’est.
« Ils tombèrent tous avec courage, ayant aux lèvres l’hymne national et le cri répété de Vive la France », rappelle le journal. Le lendemain, un nouvel article, titré N’oublions pas le mot d’ordre des fusillés, est aussi publié en première page :
Ils sont morts en nous laissant un exemple digne des temps les plus héroïques de l’Histoire.
Conservons pieusement leur souvenir. Pour que leur sacrifice ne soit pas vain, pensons à ce cri de Vive la France qui fut leur dernière parole et comme leur testament.
Ils nous diraient eux-mêmes que c’est ainsi qu’ils veulent qu’on honore leur mémoire.
Tandis que dans son édition du samedi 21 octobre, la veille de cette première célébration dans la France libérée, l’éditorial du jour, Sang des martyrs, évoque la figure de Guy Môquet :
« Voyez la poitrine percée de Guy Môquet, cœur d’enfant qui partage ses derniers battements entre sa mère et la France, cœur splendide qui battra jusqu’au fond de l’Histoire. »
Vladimir de Volog- Vénérable
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Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
« Tués par les Allemands, désignés par des fonctionnaires français »
Le souvenir des fusillés de Châteaubriant s’inscrit tout de suite dans le marbre de la mémoire. Dix années plus tard, en 1951, ils sont des milliers à leur rendre hommage, comme chaque année.
Il y a dix ans, ils étaient seuls dans la carrière.
Aujourd’hui, le site n’a pu contenir la foule venue apporter à ces héros l’hommage de sa douleur, souligne Ouest-France à l’occasion de cet hommage de 1951.
Lorsqu’il prend la parole, Charles Serre, Compagnon de la Libération, qui participa à la création de la Fédération nationale des déportés et internés, résistants et patriotes, souligne cette place singulière de Châteaubriant sur cette carte de la mémoire :
Entre tous les hauts lieux du martyre français, celui-ci a quelque chose de plus tragique et de plus douloureux encore car ces vingt-sept furent tués par les Allemands mais désignés par des fonctionnaires français.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Date d'inscription : 22/01/2018
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Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Et puis arrive le moment du 50e anniversaire, en 1991, comme une date charnière de la transmission de la mémoire et du sacrifice des vingt-sept fusillés.
Aujourd’hui, les historiens sont catégoriques.
Ces exécutions ont largement contribué à faire évoluer l’opinion publique française vis-à-vis des Allemands, explique Ouest-France, le 19 octobre 1991, en apportant le témoignage de l’écrivain Paul Guimard, qui, durant la guerre, vivait à Nantes :
""Avant, pour nous, les occupants étaient des soldats.
Après, nous avons vu en eux des nazis, des hitlériens.
La stupeur a saisi toute la population :
nous étions confrontés à la pire des sauvageries.
Beaucoup ont compris qu’il ne serait plus possible de composer avec ces gens-là qu’on avait cru corrects. ""
Vladimir de Volog- Vénérable
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Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
comme tu dis , désigné une moitié par des fonctionnaires français, et l'autre moitié par les allemands , aurais tu voulu qu'il aurait été tous choisi par les allemands , qui eux les choisissaient au hasards ou à la courte paille, c'est à dire n'importe qui (hommes , femmes ,enfants ) ???
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Volog a écrit:Plaristes,
est-ce que tu peux admettre que l'on puisse penser différemment, alors que tu n'as pas un seul mot pour les fusillés ?
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32814
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Rapport de la gendarmerie aux autorités pétainistes
Rapidement, au fur et à mesure que le nombre d'internés grossit, une activité communiste clandestine se fait jour dans le camp d'Aincourt, malgré le régime disciplinaire draconien et la répression qui s'ensuit.
Le 19 février 1941, le commissaire Andrew adresse au préfet de Seine-et-Oise une liste de 250 internés classés comme "communistes très dangereux"," internés qui transmettent les mots d'ordre du parti" et "internés bien que moins violents seraient des plus dangereux en cas d'insurrection".
Des transferts sont organisés vers les camps de Voves, Rouillé et Châteaubriant. 7 internés d'Aincourt sont directement fusillés au Mont-Valérien.
27 otages de Châteaubriant, désignés par l'administration française, sont fusillés par les Allemands le 22 octobre 1941. Leurs corps sont amenés dans des caisses sans nom et numérotées, pour être enterrés dans 9 cimetières du pays de Châteaubriant.
Rapidement, au fur et à mesure que le nombre d'internés grossit, une activité communiste clandestine se fait jour dans le camp d'Aincourt, malgré le régime disciplinaire draconien et la répression qui s'ensuit.
Le 19 février 1941, le commissaire Andrew adresse au préfet de Seine-et-Oise une liste de 250 internés classés comme "communistes très dangereux"," internés qui transmettent les mots d'ordre du parti" et "internés bien que moins violents seraient des plus dangereux en cas d'insurrection".
Des transferts sont organisés vers les camps de Voves, Rouillé et Châteaubriant. 7 internés d'Aincourt sont directement fusillés au Mont-Valérien.
27 otages de Châteaubriant, désignés par l'administration française, sont fusillés par les Allemands le 22 octobre 1941. Leurs corps sont amenés dans des caisses sans nom et numérotées, pour être enterrés dans 9 cimetières du pays de Châteaubriant.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Du camp d'Aincourt (Seine-et-Oise) à celui de Châteaubriant (Loire-Atlantique)
Qui a établi la liste des fusillés ?
C’est Pierre Pucheu Ministre de l’intérieur du gouvernement de Pétain.
Qui était Pierre Pucheu ?
Le grand patron des forges françaises qui, dans les années 1930, finançait les ligues fascistes, les croix de feu, ainsi que la cagoule, et qui en 1936 au moment de la signature des accords Matignon disait :
"Si les salariés veulent gagner plus,
ils n’ont qu’à travailler 50 heures par semaine."
Si l’on veut parler de l’histoire, il faut tout dire, c’est pourquoi, je citerai ci-dessous un extrait d’un article publié dans le journal de l’amicale des fusillés de Châteaubriand.
"La chose la plus terrible est que la liste des fusillés fut établie par les Français et que c’est un officier qui fit l’appel. On croit rêver."
Nous ne devons pas oublier que Pucheu
et ses amis de la haute finance, disaient et écrivaient :
"Mieux vaut Hitler que le Front populaire"
Car Pucheu, comme le soulignera Fernand Grenier
C’est Pierre Pucheu Ministre de l’intérieur du gouvernement de Pétain.
Qui était Pierre Pucheu ?
Le grand patron des forges françaises qui, dans les années 1930, finançait les ligues fascistes, les croix de feu, ainsi que la cagoule, et qui en 1936 au moment de la signature des accords Matignon disait :
"Si les salariés veulent gagner plus,
ils n’ont qu’à travailler 50 heures par semaine."
Si l’on veut parler de l’histoire, il faut tout dire, c’est pourquoi, je citerai ci-dessous un extrait d’un article publié dans le journal de l’amicale des fusillés de Châteaubriand.
"La chose la plus terrible est que la liste des fusillés fut établie par les Français et que c’est un officier qui fit l’appel. On croit rêver."
Nous ne devons pas oublier que Pucheu
et ses amis de la haute finance, disaient et écrivaient :
"Mieux vaut Hitler que le Front populaire"
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Vladimir de Volog- Vénérable
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