La mondialisation ne profite qu'aux riches

[Ryanne]

Un chiffre publié à dessein à la veille de l'annuelle réunion des grands patrons à Davos. Un chiffre donné par une ONG, Oxfam, mais qui corrobore d'autres plus officiels: 82 % de la richesse créée l'an dernier dans le monde a terminé entre les mains du 1 % le plus riche de la population de la planète. Notre ONG n'est pas la première ni la seule. Politiques de gauche, de droite, intellectuels, économistes, grands patrons mêmes, tous ont déjà tiré la sonnette d'alarme sur la concentration inouïe des richesses depuis des décennies.

Les effets de cette concentration, ce sont les inégalités ; la cause, c'est la mondialisation. L'ouverture des frontières, la suppression des droits de douane, les délocalisations massives d'usines, et pour les emplois non délocalisables, logement, restauration, etc.

Le Figaro

[Plaristes Evariste]

Mobilité accrue du capital !

[Ryanne]

Mais ce n’est qu’une première condition. À l’heure actuelle, les règles du système commercial multilatéral sont conçues de manière à concentrer les avantages dans les pays riches. Les principaux bénéficiaires des accords de l’Organisation mondiale du commerce sur les droits de propriété intellectuelle seront les sociétés transnationales du Nord, pas les pauvres du globe. Pendant ce temps, les questions d’importance vitale pour les pays en développement, comme la crise persistante sur les marchés des produits de base, ne figurent même pas à l’ordre du jour. Pour que le commerce profite aux pauvres, il faut des règles qui fassent plus que nourrir les intérêts des riches.

[Plaristes Evariste]

Ouais mais les Chinois les ont gouacké !

[Ryanne]

Même s’il n’est pas simple de savoir de quel côté penche la balance, vous proposez tout de même des réponses. Quelles sont-elles ?

La mondialisation apporte des gains pour l’économie dans son ensemble. Elle est bénéfique pour le pouvoir d’achat. Les ménages de l’Hexagone gagnent au minimum 100 euros par mois grâce aux produits importés. Et ce sont probablement les foyers les moins aisés qui en profitent le plus : en cas de retour à l’autarcie, leurs pertes de pouvoir d’achat seraient quatre fois plus élevées pour les 10% les plus pauvres que pour les 10% les plus riches, car le Caddie des premiers contient en moyenne plus de produits à bas prix, très souvent importés de pays à faible coût. Sur le marché du travail, bien que la mondialisation ne détruise pas globalement d’emplois, elle fait effectivement des perdants, en faisant disparaître certains types d’emplois ou en tirant les salaires vers le bas pour les salariés concernés.

Les Français sont beaucoup plus critiques que leurs voisins envers la mondialisation : 75% pensent qu’elle accroît les inégalités et 59% y voient une menace pour leur emploi. Comment l’expliquer ? Les perdants sont-ils plus nombreux dans l’Hexagone ?

Non, le choc a été identique, mais nous avons été touchés différemment. En France, l’ajustement s’est fait plutôt par le nombre d’emplois que par les rémunérations, contrairement à ce qui s’est passé chez beaucoup de nos voisins, ce qui a limité le creusement des inégalités salariales mais non les inégalités d’opportunité. L’action syndicale, les règles strictes de notre Code du travail et le rempart du Smic ayant empêché les entreprises de tirer les salaires vers le bas, celles-ci ont privilégié les suppressions de postes. Le problème est que les politiques publiques n’ont pas su accompagner le retour à l’emploi des salariés affectés par ces transformations profondes de l’économie.

Capital.fr

[Ryanne]

Cette France de Macron, c'est celle du "oui" au référendum européen de 2005, le miroir inversé de celle des Gilets jaunes et du Rassemblement national. Celle des cadres et professions intellectuelles supérieures (61% ont déjà voté Macron ou LREM), des chefs d'entreprise (47%), des catégories aisées (61%), des Parisiens (48%) et des habitants de grandes agglomérations (46%), ainsi que des plus de 65 ans (52%).

Bref souvent des privilégiés à l'opposés de la solidarité.

De droite et "en même temps" de gauche
Cette France-là a foi en l'avenir : seuls 47% des électeurs potentiels de Macron en 2022 estiment que le pays est "en déclin", quand 73% des Français en sont convaincus. Pour ces Marcheurs, la mondialisation est une chance. Et l'Europe, une force : 85% d'entre eux la souhaitent d'ailleurs fédérale. Optimiste, l'électorat LREM est convaincu que l'ascenseur social fonctionne toujours (64% contre 42% des Français).

L'ascenseur social est au point mort depuis au moins Hollande.

[Vladimir de Volog]

[Jean-Louis de Toqueville]

Un chiffre publié à dessein à la veille de l'annuelle réunion des grands patrons à Davos. Un chiffre donné par une ONG, Oxfam, mais qui corrobore d'autres plus officiels: 82 % de la richesse créée l'an dernier dans le monde a terminé entre les mains du 1 % le plus riche de la population de la planète. Notre ONG n'est pas la première ni la seule. Politiques de gauche, de droite, intellectuels, économistes, grands patrons mêmes, tous ont déjà tiré la sonnette d'alarme sur la concentration inouïe des richesses depuis des décennies.

Les effets de cette concentration, ce sont les inégalités ; la cause, c'est la mondialisation. L'ouverture des frontières, la suppression des droits de douane, les délocalisations massives d'usines, et pour les emplois non délocalisables, logement, restauration, etc.

Le Figaro

Présenter ainsi les choses est partisan et ne révèle que le mauvais côté de la mondialisation, qui a apporté aussi des emplois, des richesses et des débouchés à tous les pays d'économie ouverte.
En France, on a la chance d'avoir un État régulateur, qui essaie le plus possible de gommer les inégalités découlant de la mondialisation en mettant en oeuvre une politique sociale forte, dont on dit qu'elle est la meilleure au monde.

Nous bénéficions collectivement des avantages d'une économie ouverte qui fait pression sur nos coûts externes et d'une protection sociale dont bénéficient les plus démunis. De ce point de vue, la mondialisation nous est plutôt bénéfique.

Enfin et surtout, avec l'intégration économique et politique de la France dans l'UE, l'euro, la banque mondiale, la CEDH et l'Otan, il n'est guère possible de sortir de la mondialisation et de renier les accord nationaux et européens signés. Ceux qui disent l'inverse ne sont pas informés ou versent dans un isolationnisme de mauvais aloi, qui est une impasse pour le pays et ses citoyens.

Enfin, ce mode de fonctionnement démocratique recueille l'accord majoritaire de nos concitoyens.


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[Ryanne]

En France on a la chance d'avoir un Etat totalement absent depuis l'arrivé du banquier d'affaires. L'économie mondialiste, on la rejette. Seule l'économie locale et nationale est importante. La mondialisation c'est la précarisation de la société avec les multinationales qui exploitent l'immigration et pratiquent le turn-over massif.

La mondialisation n'a rien à voir avec la protection sociale. Effectivement les coûts sont les salaires de misère à cause de cette mondialisation et efface l'identité des personnes en pratiquant le dumping social.
L'UE on la rejette, personne n'en veut sauf les lobbyistes et les décérébrés qui se paluchent derrière leur bureau en n'étant payé que par des lobbys en laissant les actionnaires se gaver sur le dos des travailleurs tout en adoptant des textes pour la libéralisation des échanges. L'UE n'a aucune légitimité, elle ne fait que payer des fonctionnaires européens dont l'essentiel du travail est de laisser décliner la France, années après années

Ce mode de fonctionnement est anti démocratique et nous combattrons avec force pour sortir de l'UE. La France comme l'Espagne, l'Italie font partis des grands perdants de la mondialisation*.


*Phénomène d'ouverture des économies nationales sur un marché mondial, entraînant une interdépendance croissante des pays.

Et bien cette interdépendance nous montre qu'elle est néfaste pour les populations qui s'appauvrissent. Revoyez un peu les auteurs classiques qui prédisaient déjà que le capitalisme n'était rien d'autre qu'un ensemble de monopole dont la rentabilité permettait de réaliser des économies d'échelle. L'implantation à l'étranger des entreprises allemandes par exemple ne sert qu'à défendre les intérêts de cette nation et non ceux de la France. Le libre échange détruit petit à petit un monde social fondé sur le partage pour ne laisser place qu'à un accaparement des processus de productions délaissés par le public au profit du privé.

A contrario, la Chine avec son capitalisme D'Etat a su tirer parti de ses interdépendances avec les pays exportateurs de matières premières pour étendre sa sphère économique. L'UE est incapable de développer quoi que ce soit car les Etats membres qui la composent ne font qu'imposer des directives à l'opposé d'un développement économique pour faire face à cette globalisation.

[Jean-Louis de Toqueville]

Un chiffre publié à dessein à la veille de l'annuelle réunion des grands patrons à Davos. Un chiffre donné par une ONG, Oxfam, mais qui corrobore d'autres plus officiels: 82 % de la richesse créée l'an dernier dans le monde a terminé entre les mains du 1 % le plus riche de la population de la planète. Notre ONG n'est pas la première ni la seule. Politiques de gauche, de droite, intellectuels, économistes, grands patrons mêmes, tous ont déjà tiré la sonnette d'alarme sur la concentration inouïe des richesses depuis des décennies.

Les effets de cette concentration, ce sont les inégalités ; la cause, c'est la mondialisation. L'ouverture des frontières, la suppression des droits de douane, les délocalisations massives d'usines, et pour les emplois non délocalisables, logement, restauration, etc.

Le Figaro


Et alors, où est le problème ?


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[Jean-Louis de Toqueville]

En France on a la chance d'avoir un Etat totalement absent depuis l'arrivé du banquier d'affaires. L'économie mondialiste, on la rejette. Seule l'économie locale et nationale est importante. La mondialisation c'est la précarisation de la société avec les multinationales qui exploitent l'immigration et pratiquent le turn-over massif.

La mondialisation n'a rien à voir avec la protection sociale. Effectivement les coûts sont les salaires de misère à cause de cette mondialisation et efface l'identité des personnes en pratiquant le dumping social.
L'UE on la rejette, personne n'en veut sauf les lobbyistes et les décérébrés qui se paluchent derrière leur bureau en n'étant payé que par des lobbys en laissant les actionnaires se gaver sur le dos des travailleurs tout en adoptant des textes pour la libéralisation des échanges. L'UE n'a aucune légitimité, elle ne fait que payer des fonctionnaires européens dont l'essentiel du travail est de laisser décliner la France, années après années

Ce mode de fonctionnement est anti démocratique et nous combattrons avec force pour sortir de l'UE. La France comme l'Espagne, l'Italie font partis des grands perdants de la mondialisation*.


*Phénomène d'ouverture des économies nationales sur un marché mondial, entraînant une interdépendance croissante des pays.

Et bien cette interdépendance nous montre qu'elle est néfaste pour les populations qui s'appauvrissent. Revoyez un peu les auteurs classiques qui prédisaient déjà que le capitalisme n'était rien d'autre qu'un ensemble de monopole dont la rentabilité permettait de réaliser des économies d'échelle. L'implantation à l'étranger des entreprises allemandes par exemple ne sert qu'à défendre les intérêts de cette nation et non ceux de la France. Le libre échange détruit petit à petit un monde social fondé sur le partage pour ne laisser place qu'à un accaparement des processus de productions délaissés par le public au profit du privé.

A contrario, la Chine avec son capitalisme D'Etat a su tirer parti de ses interdépendances avec les pays exportateurs de matières premières pour étendre sa sphère économique. L'UE est incapable de développer quoi que ce soit car les Etats membres qui la composent ne font qu'imposer des directives à l'opposé d'un développement économique pour faire face à cette globalisation.

C'est une vision de gauchiste simplet, ennivré par le collectivisme.
Ton discours creux n'est pas du tout partagé par les français, qui rejettent massivement les politiciens qui portent ce genre de discours éculé (pour ne pas user d'un autre mot grossier).



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[Edouard de Montmonrency]

La mondialisation ne profite qu'aux riches

... Et la notion de frontières cantonne les cupidités mondialistes et les velléités de préemptions (ressources comme territoires).

[Jean-Louis de Toqueville]

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Cette France de Macron, c'est celle du "oui" au référendum européen de 2005, le miroir inversé de celle des Gilets jaunes et du Rassemblement national. Celle des cadres et professions intellectuelles supérieures (61% ont déjà voté Macron ou LREM), des chefs d'entreprise (47%), des catégories aisées (61%), des Parisiens (48%) et des habitants de grandes agglomérations (46%), ainsi que des plus de 65 ans (52%).

              Bref souvent des privilégiés à l'opposés de la solidarité.

C'est pas tout à fait ça. La "France de Macron" que tu cites, ainsi que les professions ou catégories sociales citées ci-dessus est certes favorisée, mais c'est elle qui fait la France, qui fait prospérer l'économie, qui crée les richesses sur lesquelles l'État prélève son budget et peut distribuer des aides sociales aux plus démunis et aux nécessiteux.

La solidarité, c'est elle qui la paye.

Alors, arrête de cracher sur la main qui te nourrit ! Et de toutes façons, rien ne changera parce que les idées économiques et sociales portées par cette ligne politique sont ultra-majoritaires, que ce soit Macron qui les porte ou les autres partis politiques de droite, tous majoritairement plébiscités par les français.

Comme je l'ai déjà dit à un autre extrême gauchiste de ta rare espèce, si les conditions de vie démocratique, politique et économique de ce pays ne te conviennent pas parce qu'il est trop libéral ou non partageux, tu es libre d'émigrer ailleurs. Mais n'oublie pas que le système social et de redistribution des richesses de la France est, de manière unanime, l'un des plus généreux au monde.


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[lepape]

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Cette France de Macron, c'est celle du "oui" au référendum européen de 2005, le miroir inversé de celle des Gilets jaunes et du Rassemblement national. Celle des cadres et professions intellectuelles supérieures (61% ont déjà voté Macron ou LREM), des chefs d'entreprise (47%), des catégories aisées (61%), des Parisiens (48%) et des habitants de grandes agglomérations (46%), ainsi que des plus de 65 ans (52%).

              Bref souvent des privilégiés à l'opposés de la solidarité.

C'est pas tout à fait ça. La "France de Macron" que tu cites, ainsi que les professions ou catégories sociales citées ci-dessus est certes favorisée, mais c'est elle qui fait la France, qui fait prospérer l'économie, qui crée les richesses sur lesquelles l'État prélève son budget et peut distribuer des aides sociales aux plus démunis et aux nécessiteux.

La solidarité, c'est elle qui la paye.

Alors, arrête de cracher sur la main qui te nourrit ! Et de toutes façons, rien ne changera parce que les idées économiques et sociales portées par cette ligne politique sont ultra-majoritaires, que ce soit Macron qui les porte ou les autres partis politiques de droite, tous majoritairement plébiscités par les français.

Comme je l'ai déjà dit à un autre extrême gauchiste de ta rare espèce, si les conditions de vie démocratique, politique et économique de ce pays ne te conviennent pas parce qu'il est trop libéral ou non partageux, tu es libre d'émigrer ailleurs. Mais n'oublie pas que le système social et de redistribution des richesses de la France est, de manière unanime, l'un des plus généreux au monde.


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Enfin de compte tu es complice de dan26 pour nous prendre pour des cons et nous faire prendre les vessies pour des lanternes . Vous faites un beau duo de menteurs .

[Edouard de Montmonrency]

Cette France de Macron, c'est celle du "oui" au référendum européen de 2005, le miroir inversé de celle des Gilets jaunes et du Rassemblement national.

... Il n'y a pas plus factuel que ça.

[Jean-Louis de Toqueville]

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Cette France de Macron, c'est celle du "oui" au référendum européen de 2005, le miroir inversé de celle des Gilets jaunes et du Rassemblement national. Celle des cadres et professions intellectuelles supérieures (61% ont déjà voté Macron ou LREM), des chefs d'entreprise (47%), des catégories aisées (61%), des Parisiens (48%) et des habitants de grandes agglomérations (46%), ainsi que des plus de 65 ans (52%).

              Bref souvent des privilégiés à l'opposés de la solidarité.

C'est pas tout à fait ça. La "France de Macron" que tu cites, ainsi que les professions ou catégories sociales citées ci-dessus est certes favorisée, mais c'est elle qui fait la France, qui fait prospérer l'économie, qui crée les richesses sur lesquelles l'État prélève son budget et peut distribuer des aides sociales aux plus démunis et aux nécessiteux.

La solidarité, c'est elle qui la paye.

Alors, arrête de cracher sur la main qui te nourrit ! Et de toutes façons, rien ne changera parce que les idées économiques et sociales portées par cette ligne politique sont ultra-majoritaires, que ce soit Macron qui les porte ou les autres partis politiques de droite, tous majoritairement plébiscités par les français.

Comme je l'ai déjà dit à un autre extrême gauchiste de ta rare espèce, si les conditions de vie démocratique, politique et économique de ce pays ne te conviennent pas parce qu'il est trop libéral ou non partageux, tu es libre d'émigrer ailleurs. Mais n'oublie pas que le système social et de redistribution des richesses de la France est, de manière unanime, l'un des plus généreux au monde.


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Enfin de compte tu es complice de dan26 pour nous prendre pour des cons et nous faire prendre les vessies pour des lanternes . Vous faites un beau duo de menteurs .

Pas du tout, nous sommes dans la réalité, les menteurs et les faussaires politiques, ce sont les gôchos de ton espèce qui prêchent leur marxisme désuet dans le désert.

Ça fait un siècle que des charlots de ton espèce prêchent dans le vide sidéral pour une collectivisation de l'économie et des esprits, par la contrainte et la force si nécessaire. Mais dans notre démocratie, les électeurs rejettent massivement vos idées.

De plus, le système capitaliste est solidement installé dans nos sociétés, lesquelles, par le biais des réformes et des institutions ont installé à jamais dans le monde développé une société et une économie d'ouverture, la circulation mondiale des hommes, des idées, des marchandises et des capitaux. Ce système est irréversible et la France a besoin de ses achats étrangers pour faire vivre son économie. Il n'est pas possible de se passer de cette ouverture, ni des indispensables bienfaits qu'elle apporte.

Or, une société telle que les marxistes délurés de ton espèce rare l'imaginent ne peut pas vivre en frontières ouvertes. Pour perpétrer ses excès et ses persécutions de tous ordres, le communisme doit se cacher et se murer, comme la Corée du Nord par exemple aujourd'hui, l'URSS hier. Tous les pays collectivistes se sont refermés sur eux-mêmes et ont vécu dans la misère autarcique, narcissique et liberticide. L'arrivée inimaginable des marxistes au pouvoir en France, par invasion extra-terrestre (je ne vois pas d'autres possibilités) nécessiterait un verrouillage complet du pays, un arrêt de nos importations de matières premières et d'énergie et un isolement mortifère économique et social.

Cette révolution n'est pas envisageable et ne se produira pas.


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[Edouard de Montmonrency]

... Pour perpétrer ses excès et ses persécutions de tous ordres, le communisme doit se cacher et se murer, comme la Corée du Nord par exemple aujourd'hui, l'URSS hier. Tous les pays collectivistes se sont refermés sur eux-mêmes et ont vécu dans la misère autarcique, narcissique et liberticide. L'arrivée inimaginable des marxistes au pouvoir en France, par invasion extra-terrestre (je ne vois pas d'autres possibilités) nécessiterait un verrouillage complet du pays, un arrêt de nos importations de matières premières et d'énergie et un isolement mortifère économique et social.

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... Se murer pour se murer c'est débile, il faut laisser entrer ce qui est bon et pas ce qui est mal, et laisser sortir ce qui est mal et pas ce qui est bon ... pour la France et les français (pas pour les extra-terrestres).

[Francis XV]

laisser sortir ce qui est mal et pas ce qui est bon ...

C'est pas ce que font les autres pays avec nous ?

[Edouard de Montmonrency]

laisser sortir ce qui est mal et pas ce qui est bon ...

C'est pas ce que font les autres pays avec nous ?

... Tout dépend de leur niveau d'empathie envers leurs concitoyens. (la preuve d'amour)

[Oligark]

Cette France de Macron, c'est celle du "oui" au référendum européen de 2005, le miroir inversé de celle des Gilets jaunes et du Rassemblement national. Celle des cadres et professions intellectuelles supérieures (61% ont déjà voté Macron ou LREM), des chefs d'entreprise (47%), des catégories aisées (61%), des Parisiens (48%) et des habitants de grandes agglomérations (46%), ainsi que des plus de 65 ans (52%).

Bref souvent des privilégiés à l'opposé de la solidarité : précisons que ce mot n'a quasiment jamais été prononcé par ce banquier d'affaires!

[Plaristes Evariste]

Je doute que le RN (cadres du parti et cercle intime de la SARL Le PEN) soient du côté des gilets jaunes, je crois qu'ils sont plutôt du côté de macron.

[Edouard de Montmonrency]

Cette France de Macron, c'est celle du "oui" au référendum européen de 2005, le miroir inversé de celle des Gilets jaunes et du Rassemblement national. Celle des cadres et professions intellectuelles supérieures (61% ont déjà voté Macron ou LREM), des chefs d'entreprise (47%), des catégories aisées (61%), des Parisiens (48%) et des habitants de grandes agglomérations (46%), ainsi que des plus de 65 ans (52%).

              Bref souvent des privilégiés à l'opposés de la solidarité.

[h2][color=#003333]De droite et "en même temps" de gauche
Cette France-là a foi en l'avenir : seuls 47% des électeurs potentiels de Macron en 2022 estiment que le pays est "en déclin", quand 73% des Français en sont convaincus.

Ca c'est plus un ressort psychologique, les macronistes sont souvent dans la méthode Coué, le "tout va pour le mieux pour eux dans ce meilleur des mondes"
.
C'est un extrême centre égocentré sur sa petite personne, qui fait de fait sécession avec le reste de la population.

[Edouard de Montmonrency]

laisser sortir ce qui est mal et pas ce qui est bon ...

C'est pas ce que font les autres pays avec nous ?

Les autres pays attendent de nous la réciprocité en toute logique ... le respect mutuel (ou l'irrespect mutuel sinon).
Le respect ça se mérite.

[Oligark]

Cette France de Macron, c'est celle du "oui" au référendum européen de 2005, le miroir inversé de celle des Gilets jaunes et du Rassemblement national. Celle des cadres et professions intellectuelles supérieures (61% ont déjà voté Macron ou LREM), des chefs d'entreprise (47%), des catégories aisées (61%), des Parisiens (48%) et des habitants de grandes agglomérations (46%), ainsi que des plus de 65 ans (52%).

              Bref souvent des privilégiés à l'opposés de la solidarité.

[h2][color=#003333]De droite et "en même temps" de gauche
Cette France-là a foi en l'avenir : seuls 47% des électeurs potentiels de Macron en 2022 estiment que le pays est "en déclin", quand 73% des Français en sont convaincus.

Ca c'est plus un ressort psychologique, les macronistes sont souvent dans la méthode Coué, le "tout va pour le mieux pour eux dans ce meilleur des mondes"
.
C'est un extrême centre égocentré sur sa petite personne, qui fait de fait sécession avec le reste de la population.

Ce sont les chiffres, ce sont des faits, on est loin très loin du psychologique là!
Ah oui vous voulez dire qu'il est égocentré, je n'avais pas compris

[Edouard de Montmonrency]

...
Ce sont les chiffres, ce sont des faits, on est loin très loin du psychologique là!
Dois-je vous rappeler qui a financé sa campagne?

Oui, mais ces chiffres sont en partie le reflet des psychologies.

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