Création d'un Parti : Le front National Communiste !

[Plaristes Evariste]

Quand la France était en danger, que son existance était en péril, le PCF créa le front National.

Aujourd'hui la France est menacée de disparaître, dans l'€urope, l'€uro, elle en sera plus qu'au mieux, une vaste €urorégion de l'empire atlantiste, au pire un ensemble d'€urorégions.

C'est pourquoi nous créont le Front National communiste. Car la situation est trop urgente pour ne pas avoir à ratisser large. Parce-que le peuple de France menace de disparaître, et s'il n'y a plus de demos, il n'y a plus de demos kratos !
Que ça soit cet Islam, zombie, déconnecté de toutes racines à la grande civilisation islamique et maintenue par la bourgeoisie et les puissance de la péninsule arabique, l'américanisation progressive, ou bien le les identitarisme régionaux fasse qu'il n'y ait plus que des bretons, normand corse ou vendéens mais plus de Français.... L'heure est grave.

Volog et Stun diront "Hahahahha rouge-brun tu révèles tes vraies couleurs."
Quelles couleurs? Me suis revendiqué de Doriot? Strasser? Le Valois? Du Socialisme Prussien de Oswald Spengler? De Dugin? De Soral? D'Alain de besoît? Non, nous connaissons le dangers de ces organisation. Nous ne sommes pas comme eux des adorateurs d'Hitler déguisés. Nous nous basons sur de la littérature communisme.

Et Lénine et Karl Marx ne se sont jamais dit de gauche. Tandis que l'admirable Thomas Sankara vomi tout son venin sur la gauche occidentale et a raison.

Et oui on flirt avec David l'épée de l'OSRE mais c'est tout.

"Traitre à la gauche."


La gauche, en France, c'est fini ; pour toujours, et c'est bien.
Quoi la gauche? Idée sucée, espoirs sodomisés, rêves violés, roulés dans le béton de la mort blanche. Ôtez les fanfreluche crasseuses de la postmodernité, le cul de la veille gauche est nu, absolument, totalement, définitivement et radicalement nu. En faîtes même plus un cul, ni peau ni chair, ni os, pas de mémoire, pas d'idées, pas de principes, un trou sans bords sans fond et sans couleur.
Pas de valeur pas de pensée pas d'analyse ; pas de bilan pas d'issu, pas de perspective. Rein mais rien et c'est très bien :



Nettoyage.


Voilà il est où le problème? dîtes-le moi? Si on veille à ne pas être fasciste... Il est où le problème? Nous ne sommes pas la Fédération nazbol, ni le FPR, ni les potes à Soral. Nous ne faisons pas de négationisme envers la Shoah.
Nous ne vénéront pas le Staline Irénique et sanguinaire "pire qu'Hitler" contrairement à Dugin. Nous vous invitons simplement à lire Grover Furr et réaliser que Staline n'était pas le Tyran qu'on nous dit qu'il est.

Et ça tombe bien, contrairement aux trotskards anar et socialopes, les staliniens n'ont jamais été achetés par les force du capital !



P.S

Et en insigne de parti je veux soit l'emblème du FN de la résistance.

Soit une faucille et un marteau orange sur un drapeau Bleu Blanc Rouge. Soit mon avatar, mais ça c'est compliqué.

[Plaristes Evariste]

Et ha oui, dans la vraie vie si on prend le pouvoir et qu'on nationalise le cac 40 on retire les impôts fonciers.

[gaucho49]

Et on rasera gratis aussi ?

[Plaristes Evariste]

Avec le modèle socialiste il est possible d'abolir l'impôt ça notamment était fait en Albanie Socialiste.


Vérifiez par vous même !

[Invité]

FN coco,

ça fait vraiment rouge brun,

même si l'appellation FN a été volé par lepen & cie,

tout le monde ne le sait pas ou ne veut pas le savoir.

[Plaristes Evariste]

Avant de juger :

Quand la France était en danger, que son existance était en péril, le PCF créa le front National.

Le Front national, ou Front national de lutte pour la libération et l'indépendance de la France, est un mouvement de la Résistance intérieure française créé par le Parti communiste français (PCF) vers mai 1941. Il s'agit de réaliser un vaste rassemblement autour de valeurs patriotiques¹ et de rallier les différentes composantes de la société française dans un esprit d'ouverture vis-à-vis des non-communistes

Je n'ai aucune sympathie pour les Lepenistes.
Ceci dit je l’avoue pour les prolos qui se font dupé par Le Pen et scie : Oui !

Je fleurte avec le rouge brun, oui, je l'avoue... Mais je suis à la Frontière !

Volog et Stun diront "Hahahahha rouge-brun tu révèles tes vraies couleurs."
Quelles couleurs? Me suis-je revendiqué de Doriot? Strasser? Le Valois? Du Socialisme Prussien de Oswald Spengler? De Dugin? De Soral? D'Alain de besoît? Non, nous connaissons le dangers de ces organisation. Nous ne sommes pas comme eux des adorateurs d'Hitler déguisés. Nous nous basons sur de la littérature communisme.

Voilà il est où le problème? dîtes-le moi? Si on veille à ne pas être fasciste... Il est où le problème? Nous ne sommes pas la Fédération nazbol, ni le FPR, ni les potes à Soral. Nous ne faisons pas de négationisme envers la Shoah.
Nous ne vénéront pas le Staline Irénique et sanguinaire "pire qu'Hitler" contrairement à Dugin. Nous vous invitons simplement à lire Grover Furr et réaliser que Staline n'était pas le Tyran qu'on nous dit qu'il est.

Et ça tombe bien, contrairement aux trotskards anar et socialopes, les staliniens n'ont jamais été achetés par les force du capital !

[Plaristes Evariste]

Les royalistes à la Jacques Renouvin, sont les bievenus !

[Jean-Louis de Toqueville]

Et le programme de cet extraterrestre, ce serait quoi ?

[Plaristes Evariste]

IRL ou sur le forum !?

[Invité]

Je fleurte avec le rouge brun, oui, je l'avoue... Mais je suis à la Frontière !




NON, en plein dedans, comment te faire confiance ? Mission impossible, avec tout ce que tu nous balances depuis des lustres.

Va dons mettre ton "parti" sur la place publique .

[Plaristes Evariste]

Vous ne savez même pas où est la frontière !

Selon vos critères à vous près de 80% des communistes et marxiste du XX° siècle seraient d’horribles rouges-bruns !

[Antonio Gramsci]

Encore des stupidités pour faire l amalgame entre communisme et fascisme. Ah, ces ordures du Rassemblement national, qui accusent à tort les marxistes et les altermondialistes de tenir des propos racistes, alors qu ils le sont eux mêmes d emblee . Le terrorisme djihadiste les arrange, du fait qu ils empêchent l assimilation des Français de confession musulmane, tout comme JMLP soutenait le Fis en Algérie, glorifiant leur combat contre les  "marxistes du Fln"-ce qui est faux, un article du Diplo de janvier 2022 rappelle le refus des nationalistes algériens de faire revenir les Vietnamiens installés en Algérie de revenir, de peur de communiser l Afrique du Nord-l Aln n était pas si "marxiste" que ça-voir le sort réservé aux pieds rouges et l interdiction du Parti algérien pour la démocratie et le socialisme, après celle du parti dont il est issu.

[Antonio Gramsci]

Mais, bordel, ca n existe pas un "rouge brun ! Les cocos ont œuvré pour la décolonisation !

[Plaristes Evariste]

Sisisi ça existe lis l'OSRE.......

Les courants nazbols commencent à évoluer et à développer une pensée propre qui fait mouche......
Ils ont même le luxe  de s'accaparer de bons intellectuels du genre David l'épée. avant c'était clair soit on était rouge soit on était brun. Les nazbols c'était des fraudes nazis clairement visibles !


Ils chassent sur la Frange communiste qui est dans sur l'anti-gauchisme dur.

Afrique du Nord-l Aln n était pas si "marxiste" que ça-voir le sort réservé aux pieds rouges et l interdiction du Parti algérien pour la démocratie et le socialisme, après celle du parti dont il est issu.

Bah les lambertistes IV° internationale sponsorisée par les U.S.A. Tout dans la forme rien dans le fond.

J'ai des amis qui ont grandi dans des Familels Kabyles je pourrais vous expliquer.

de janvier 2022

Pas Janvier 2012 ou 2002? On ets encore en 2021.

[Antonio Gramsci]

Le parti communiste algérien auquel je fais référence n à rien de trotsko, il s agit de marxistes leninistes pur jus proches du KKE grec.

[Jean-Louis de Toqueville]

Quand la France était en danger, que son existance était en péril, le PCF créa le front National.

Aujourd'hui la France est menacée de disparaître, dans l'€urope, l'€uro, elle en sera plus qu'au mieux, une vaste €urorégion de l'empire atlantiste, au pire un ensemble d'€urorégions.

C'est pourquoi nous créont le Front National communiste. Car la situation est trop urgente pour ne pas avoir à ratisser large. Parce-que le peuple de France menace de disparaître, et s'il n'y a plus de demos, il n'y a plus de demos kratos !
Que ça soit cet Islam, zombie, déconnecté de toutes racines à la grande civilisation islamique et maintenue par la bourgeoisie et les puissance de la péninsule arabique, l'américanisation progressive, ou bien le les identitarisme régionaux fasse qu'il n'y ait plus que des bretons, normand corse ou vendéens mais plus de Français.... L'heure est grave.

Volog et Stun diront "Hahahahha rouge-brun tu révèles tes vraies couleurs."
Quelles couleurs? Me suis revendiqué de Doriot? Strasser? Le Valois? Du Socialisme Prussien de Oswald Spengler? De Dugin? De Soral? D'Alain de besoît? Non, nous connaissons le dangers de ces organisation. Nous ne sommes pas comme eux des adorateurs d'Hitler déguisés. Nous nous basons sur de la littérature communisme.

Et Lénine et Karl Marx ne se sont jamais dit de gauche. Tandis que l'admirable Thomas Sankara vomi tout son venin sur la gauche occidentale et a raison.

Et oui on flirt avec David l'épée de l'OSRE mais c'est tout.

"Traitre à la gauche."


La gauche, en France, c'est fini ; pour toujours, et c'est bien.
Quoi la gauche? Idée sucée, espoirs sodomisés, rêves violés, roulés dans le béton de la mort blanche. Ôtez les fanfreluche crasseuses de la postmodernité, le cul de la veille gauche est nu, absolument, totalement, définitivement et radicalement nu. En faîtes même plus un cul, ni peau ni chair, ni os, pas de mémoire, pas d'idées, pas de principes, un trou sans bords sans fond et sans couleur.
Pas de valeur pas de pensée pas d'analyse ; pas de bilan pas d'issu, pas de perspective. Rein mais rien et c'est très bien :



Nettoyage.


Voilà il est où le problème? dîtes-le moi? Si on veille à ne pas être fasciste... Il est où le problème? Nous ne sommes pas la Fédération nazbol, ni le FPR, ni les potes à Soral. Nous ne faisons pas de négationisme envers la Shoah.
Nous ne vénéront pas le Staline Irénique et sanguinaire "pire qu'Hitler" contrairement à Dugin. Nous vous invitons simplement à lire Grover Furr et réaliser que Staline n'était pas le Tyran qu'on nous dit qu'il est.

Et ça tombe bien, contrairement aux trotskards anar et socialopes, les staliniens n'ont jamais été achetés par les force du capital !



P.S

Et en insigne de parti je veux soit l'emblème du FN de la résistance.

Soit une faucille et un marteau orange sur un drapeau Bleu Blanc Rouge. Soit mon avatar, mais ça c'est compliqué.

Le front national communiste dis-tu, ça fera une secte de plus chez les bolchos !
Tu risques de te prendre un piolet dans la tronche de la part des trotskons du site

Sinon, vouloir réhabiliter Staline et ses 20 millions de morts par génocide, est monstrueux !

L'apologie du communisme, comme celle du nazisme, devrait être passible de peines de prison.



.

[Invité]

""Tu risques de te prendre un piolet dans la tronche de la part des trotskons du site"""



Grossière erreur, Trotski n'a pas été assassiné avec un piolet, mais un pic à glace.


20 août 1940. Léon Trotski est assassiné par Ramón Mercader qui lui plante un pic à glace dans le crâne.


Le mardi 20 août 1940, Lev Davidovitch Bronstein, dit Léon Trotski, se lève sans savoir qu’il a rendez-vous dans l’après-midi avec un pic à glace. Il a déjà survécu à plusieurs tentatives d’assassinat dont la dernière remonte au 24 mai précédent. Ce jour-là, il échappe à un mitraillage nourri déclenché par le peintre mexicain David Siqueiros, fervent partisan de Staline. Lequel recevra pour ce "haut fait d’armes" et d’autres durant la guerre d’Espagne, le prix Lénine pour la paix en 1966...

En 1940, cela fait trois ans que Trotski habite Coyoacán, dans la banlieue de Mexico. Le jour de son assassinat, sa deuxième femme, Natalia Sedova, introduit dans la villa un élégant jeune homme, arrivé au volant d’une belle voiture. Il est bien connu par les habitants de la maison. Sympathisant canadien, Frank Jacson fréquente les lieux depuis plusieurs mois. De plus, il est le compagnon de Silvia Ageloff, soeur de l’une des secrétaires de Trotski. Personne ne se méfie de lui, il se montre tellement sympathique, toujours prêt à inviter la maisonnée au restaurant, à prêter sa voiture. Natalia le fait donc entrer avec chaleur, sans hésitation.

Les deux gardes du corps américains de Trotski ne le fouillent même pas bien qu’il porte un épais imperméable peu adapté à la température estivale. S’ils s’étaient montrés un tant soit peu curieux, ils auraient découvert un pic à glace et un revolver glissés dans les poches du vêtement. Aujourd’hui, Jacson a rendez-vous avec le révolutionnaire exilé pour lui présenter un texte consacré à la IVe Internationale. Les deux gardes du corps et Natalia étaient opposés à cette rencontre, mais Trotski les a rassurés en leur expliquant qu’il n’y en avait que pour quelques minutes.

"Ne le tuez pas !"

Voici donc Jacson introduit dans le bureau, il dépose son imperméable sur la table avant de tendre son texte à Trotski, qui le saisit et se met à le lire. L’occasion est trop belle. Le jeune homme extrait vivement le pic à glace de la poche de l’imperméable pour le ficher avec force au-dessus de la tempe droite de son hôte. Car, en réalité, le sympathique Frank Jacson est un tueur du NKVD (la police politique de l’URSS), de son vrai nom Ramón Mercader.

Le pire, c’est qu’il a salopé le boulot en ne tuant pas Trotski sur le coup. Le leader communiste hurle comme un cochon qu’on égorge tout en se raccrochant à son meurtrier pour l’empêcher de lui porter le coup de grâce. En entendant le bruit, les deux gardes du corps se précipitent dans la pièce, tombent à bras raccourcis sur Jacson-Mercader qu’ils vont tuer quand Trotski les arrête d’une voix blanche : "Ne le tuez pas ! Cet homme a une histoire à raconter." Dans la pièce contiguë, Natalia voit son époux titubant s’encadrer dans la porte. "Sa figure était couverte de sang, ses yeux bleus brillaient sans ses lunettes et ses bras pendaient mollement à ses côtés", relate-t-elle. Craignant encore pour sa vie, le tueur hurle : "Ils m’ont obligé à le faire : ils se sont emparés de ma mère !"

Mensonge, bien entendu. Du reste, sa mère est garée à quelques pas de la maison, prête à récupérer son fiston après l’assassinat. Fervente communiste, c’est elle qui a poussé son fils à devenir un tueur au service de Moscou. Exceptionnel destin pour María Caridad qui appartient à la haute aristocratie cubaine, mais s’enfuit très jeune de chez elle fascinée par la révolution russe. Elle débarque en Espagne où elle donne naissance à Ramón en 1913. Séparée de son époux, elle élève son fils en France, puis rejoint l’Espagne en 1936 pour combattre dans les rangs des rouges. Elle devient la maîtresse de Leonid Eitingon, tueur du NKVD. Le petit Ramón embrasse naturellement les idées de maman. Elle n’hésite pas à faire de lui un mignon petit tueur qui aurait, dit-on, descendu une vingtaine de trotskistes espagnols. En 1937, il est appelé à Moscou pour parfaire sa formation d’agent secret. Sa mission d’assassiner Léon Trotski lui aurait été confiée par sa propre mère María Caridad et son compagnon.

Faux passeport

Pour s’introduire dans l’intimité de sa victime, Ramón choisit de séduire la soeur d’une secrétaire de Trotski, une jeune Américaine d’origine russe nommée Silvia Ageloff, assistante sociale à Brooklyn. Il s’arrange pour la rencontrer à Paris, en juin 1939, où elle passe ses vacances. Profitant d’un physique avantageux, il n’a pas de peine à séduire la petite trotskiste, se présentant à elle comme Jacques Mornard, fils d’un diplomate belge. Quand, à la fin de ses vacances, elle retourne à New York, il la suit, se prétendant amoureux d’elle... Il prend alors l’identité de Frank Jacson, un homme d’affaires canadien, expliquant à Silvia qu’il est en cavale pour avoir refusé d’accomplir son service militaire. Elle gobe le tout, et l’hameçon avec.

Il s’agit désormais pour lui de s’infiltrer dans l’entourage de Trotski. Pour cela, Ramón confie à sa fiancée qu’il doit se rendre à Mexico pour affaire et lui demande de l’accompagner. C’est ainsi qu’ils débarquent dans la capitale mexicaine en octobre 1939. Sylvia qui est, elle aussi, animée par la foi révolutionnaire, s’empresse de rendre visite à Trotski. Cependant, avant de se faire accompagner par Ramón, elle prévient que son fiancé est rentré au Mexique avec un faux passeport. Mais les consignes de sécurité auprès du vieil homme sont devenues lâches. Ramón est accepté. Quelques mois plus tard, il peut donc ficher son pic à glace dans le crâne de Trotski.

Trépanation

Sitôt après l’attentat, le premier examen du blessé est effectué sur place par le docteur Wenceslao Dutrem, un immigré espagnol, célèbre pour avoir inventé l’Erotil, un précurseur du Viagra. Il constate une paralysie du bras droit et des mouvements désordonnés du bras gauche. Après de longues minutes, une ambulance finit par arriver pour conduire le blessé au Cruz Verde Hospital. Trois heures après l’agression, il subit une trépanation. Les chirurgiens découpent une ouverture de 5 centimètres sur 5 dans le crâne pour retirer les fragments osseux qui ont pénétré dans la matière grise. Mais, bientôt, la pression intracrânienne et l’oedème sont tellement importants que le cerveau commence à s’évader par l’ouverture. Le lendemain, mercredi 21 août, Trotski n’a toujours pas repris connaissance. Après une hémorragie, son état devient critique en fin de journée. Vers 19 h 25, après une dernière injection d’adrénaline, Lev Davidovitch Bronstein meurt. Il a 60 ans. Ses dernières paroles : "Dites à nos amis : je suis sûr de la victoire de la IVe internationale."

Pendant ce temps, Mercader a été amené au poste de police. Pas question d’avouer la vérité. Il a été prévu qu’il se fasse passer pour un militant trotskiste ayant assassiné son leader, histoire de décrédibiliser la IVe Internationale. D’où cette histoire abracadabrantesque qu’il sert à la police comme quoi il a tué Trotski car celui-ci ne voulait pas le laisser épouser Silvia. Cela ne trompe pas grand monde. La justice mexicaine le condamne à 20 ans de prison. Libéré en 1960, il se rend d’abord à La Havane, où il est reçu par Fidel Castro, puis gagne l’URSS, où il est fait héros de l’Union soviétique.
https://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/20-aout-1940-le-crane-de-trotski-se-montre-moins-solide-qu-un-pic-a-glace-19-08-2012-1497267_494.php

[Plaristes Evariste]

AAAAAAAllllllllllllooooorss

@Branlouis, c’est moi qui donne des coup de piolet ici !


Mais dès qu'on parle du trotskon ça verse des larme de sang et ça pleure le martyr..... Alors que c'était un enfoiré sans scrupule avec un melon démesuré, s'est alliés avec toutes les puissances anti-communistes qui soient.

[Plaristes Evariste]

https://twitter.com/MouvementStalFr

PPFFFFFFFFF

https://twitter.com/MouvementStalFr

Emblème strasseristes donc ça pue le Tankie.

[Jean-Louis de Toqueville]

""Tu risques de te prendre un piolet dans la tronche de la part des trotskons du site"""



Grossière erreur, Trotski n'a pas été assassiné avec un piolet, mais un pic à glace.


20 août 1940. Léon Trotski est assassiné par Ramón Mercader qui lui plante un pic à glace dans le crâne.


Le mardi 20 août 1940, Lev Davidovitch Bronstein, dit Léon Trotski, se lève sans savoir qu’il a rendez-vous dans l’après-midi avec un pic à glace. Il a déjà survécu à plusieurs tentatives d’assassinat dont la dernière remonte au 24 mai précédent. Ce jour-là, il échappe à un mitraillage nourri déclenché par le peintre mexicain David Siqueiros, fervent partisan de Staline. Lequel recevra pour ce "haut fait d’armes" et d’autres durant la guerre d’Espagne, le prix Lénine pour la paix en 1966...

En 1940, cela fait trois ans que Trotski habite Coyoacán, dans la banlieue de Mexico. Le jour de son assassinat, sa deuxième femme, Natalia Sedova, introduit dans la villa un élégant jeune homme, arrivé au volant d’une belle voiture. Il est bien connu par les habitants de la maison. Sympathisant canadien, Frank Jacson fréquente les lieux depuis plusieurs mois. De plus, il est le compagnon de Silvia Ageloff, soeur de l’une des secrétaires de Trotski. Personne ne se méfie de lui, il se montre tellement sympathique, toujours prêt à inviter la maisonnée au restaurant, à prêter sa voiture. Natalia le fait donc entrer avec chaleur, sans hésitation.

Les deux gardes du corps américains de Trotski ne le fouillent même pas bien qu’il porte un épais imperméable peu adapté à la température estivale. S’ils s’étaient montrés un tant soit peu curieux, ils auraient découvert un pic à glace et un revolver glissés dans les poches du vêtement. Aujourd’hui, Jacson a rendez-vous avec le révolutionnaire exilé pour lui présenter un texte consacré à la IVe Internationale. Les deux gardes du corps et Natalia étaient opposés à cette rencontre, mais Trotski les a rassurés en leur expliquant qu’il n’y en avait que pour quelques minutes.

"Ne le tuez pas !"

Voici donc Jacson introduit dans le bureau, il dépose son imperméable sur la table avant de tendre son texte à Trotski, qui le saisit et se met à le lire. L’occasion est trop belle. Le jeune homme extrait vivement le pic à glace de la poche de l’imperméable pour le ficher avec force au-dessus de la tempe droite de son hôte. Car, en réalité, le sympathique Frank Jacson est un tueur du NKVD (la police politique de l’URSS), de son vrai nom Ramón Mercader.

Le pire, c’est qu’il a salopé le boulot en ne tuant pas Trotski sur le coup. Le leader communiste hurle comme un cochon qu’on égorge tout en se raccrochant à son meurtrier pour l’empêcher de lui porter le coup de grâce. En entendant le bruit, les deux gardes du corps se précipitent dans la pièce, tombent à bras raccourcis sur Jacson-Mercader qu’ils vont tuer quand Trotski les arrête d’une voix blanche : "Ne le tuez pas ! Cet homme a une histoire à raconter." Dans la pièce contiguë, Natalia voit son époux titubant s’encadrer dans la porte. "Sa figure était couverte de sang, ses yeux bleus brillaient sans ses lunettes et ses bras pendaient mollement à ses côtés", relate-t-elle. Craignant encore pour sa vie, le tueur hurle : "Ils m’ont obligé à le faire : ils se sont emparés de ma mère !"

Mensonge, bien entendu. Du reste, sa mère est garée à quelques pas de la maison, prête à récupérer son fiston après l’assassinat. Fervente communiste, c’est elle qui a poussé son fils à devenir un tueur au service de Moscou. Exceptionnel destin pour María Caridad qui appartient à la haute aristocratie cubaine, mais s’enfuit très jeune de chez elle fascinée par la révolution russe. Elle débarque en Espagne où elle donne naissance à Ramón en 1913. Séparée de son époux, elle élève son fils en France, puis rejoint l’Espagne en 1936 pour combattre dans les rangs des rouges. Elle devient la maîtresse de Leonid Eitingon, tueur du NKVD. Le petit Ramón embrasse naturellement les idées de maman. Elle n’hésite pas à faire de lui un mignon petit tueur qui aurait, dit-on, descendu une vingtaine de trotskistes espagnols. En 1937, il est appelé à Moscou pour parfaire sa formation d’agent secret. Sa mission d’assassiner Léon Trotski lui aurait été confiée par sa propre mère María Caridad et son compagnon.

Faux passeport

Pour s’introduire dans l’intimité de sa victime, Ramón choisit de séduire la soeur d’une secrétaire de Trotski, une jeune Américaine d’origine russe nommée Silvia Ageloff, assistante sociale à Brooklyn. Il s’arrange pour la rencontrer à Paris, en juin 1939, où elle passe ses vacances. Profitant d’un physique avantageux, il n’a pas de peine à séduire la petite trotskiste, se présentant à elle comme Jacques Mornard, fils d’un diplomate belge. Quand, à la fin de ses vacances, elle retourne à New York, il la suit, se prétendant amoureux d’elle... Il prend alors l’identité de Frank Jacson, un homme d’affaires canadien, expliquant à Silvia qu’il est en cavale pour avoir refusé d’accomplir son service militaire. Elle gobe le tout, et l’hameçon avec.

Il s’agit désormais pour lui de s’infiltrer dans l’entourage de Trotski. Pour cela, Ramón confie à sa fiancée qu’il doit se rendre à Mexico pour affaire et lui demande de l’accompagner. C’est ainsi qu’ils débarquent dans la capitale mexicaine en octobre 1939. Sylvia qui est, elle aussi, animée par la foi révolutionnaire, s’empresse de rendre visite à Trotski. Cependant, avant de se faire accompagner par Ramón, elle prévient que son fiancé est rentré au Mexique avec un faux passeport. Mais les consignes de sécurité auprès du vieil homme sont devenues lâches. Ramón est accepté. Quelques mois plus tard, il peut donc ficher son pic à glace dans le crâne de Trotski.

Trépanation

Sitôt après l’attentat, le premier examen du blessé est effectué sur place par le docteur Wenceslao Dutrem, un immigré espagnol, célèbre pour avoir inventé l’Erotil, un précurseur du Viagra. Il constate une paralysie du bras droit et des mouvements désordonnés du bras gauche. Après de longues minutes, une ambulance finit par arriver pour conduire le blessé au Cruz Verde Hospital. Trois heures après l’agression, il subit une trépanation. Les chirurgiens découpent une ouverture de 5 centimètres sur 5 dans le crâne pour retirer les fragments osseux qui ont pénétré dans la matière grise. Mais, bientôt, la pression intracrânienne et l’oedème sont tellement importants que le cerveau commence à s’évader par l’ouverture. Le lendemain, mercredi 21 août, Trotski n’a toujours pas repris connaissance. Après une hémorragie, son état devient critique en fin de journée. Vers 19 h 25, après une dernière injection d’adrénaline, Lev Davidovitch Bronstein meurt. Il a 60 ans. Ses dernières paroles : "Dites à nos amis : je suis sûr de la victoire de la IVe internationale."

Pendant ce temps, Mercader a été amené au poste de police. Pas question d’avouer la vérité. Il a été prévu qu’il se fasse passer pour un militant trotskiste ayant assassiné son leader, histoire de décrédibiliser la IVe Internationale. D’où cette histoire abracadabrantesque qu’il sert à la police comme quoi il a tué Trotski car celui-ci ne voulait pas le laisser épouser Silvia. Cela ne trompe pas grand monde. La justice mexicaine le condamne à 20 ans de prison. Libéré en 1960, il se rend d’abord à La Havane, où il est reçu par Fidel Castro, puis gagne l’URSS, où il est fait héros de l’Union soviétique.
https://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/20-aout-1940-le-crane-de-trotski-se-montre-moins-solide-qu-un-pic-a-glace-19-08-2012-1497267_494.php

Tu narres bien, on s'y croirait... mais je n'ai pas pu aller au bout du propos, trop ennuyeux finalement.


.

[Dan 26 ? passionné]

Tu narres bien, on s'y croirait... mais je n'ai pas pu aller au bout  du propos, trop ennuyeux finalement.

DE plus se balancer des copiés collés c'est à la portée d'un enfant de 10 ans . ceux qui se contentent de copier pour répondre ne m’intéressent pas , désolé

amicalement

[Plaristes Evariste]

Il espérait nous arracher des larmes.
Quand t'es communiste convaincu et qu'on et raconte toutes les conneries qu'on fait les trotskard tu en conclu que le trotskysme est une maladie Mentale qui se soigne à coup de piolet.

Et tu te mets à apprécier Staline malgré ses défauts. Les trotskards ont mérité tout ce qui leur est tombé sur la goule.

[Jean-Louis de Toqueville]

Vous ne savez même pas où est la frontière !

Selon vos critères à vous près de 80% des communistes et marxiste du XX° siècle seraient d’horribles rouges-bruns !

Tu causes encore avec cette buse ???



.

[Antonio Gramsci]

Un beau merdier de conneries qui contribuent à l amalgame entre communisme et nazisme.

[Edouard de Montmonrency]

Un beau merdier de conneries qui contribuent à l amalgame entre communisme et nazisme.

... La connerie, ce n'est pas tant la forme et le packaging, c'est ce qu'on y met dedans (le fond).

Tous les mes mots sont "galvaudables" c'est même les maux du siècle..

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