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E ZEMMOUR CANDIDAT ?
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Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Mais ça arrange tout le monde ce trafic. Qui dirige tout cela ? Croyez vous qu’il n’y a que les petits dealers des banlieues qui s’en mettent plein les poches, pas assez malin pour ça. L’argent sale concerne beaucoup de monde y compris ceux que l’on pense blancs comme « neige
Invité- Invité
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Mais ça arrange tout le monde ce trafic. Qui dirige tout cela ? Croyez vous qu’il n’y a que les petits dealers des banlieues qui s’en mettent plein les poches, pas assez malin pour ça. L’argent sale concerne beaucoup de monde y compris ceux que l’on pense blancs comme « neige
Invité- Invité
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Mais ça arrange tout le monde ce trafic. Qui dirige tout cela ? Croyez vous qu’il n’y a que les petits dealers des banlieues qui s’en mettent plein les poches, pas assez malin pour ça. L’argent sale concerne beaucoup de monde y compris ceux que l’on pense blancs comme « neige
Invité- Invité
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Mais ça arrange tout le monde ce trafic. Qui dirige tout cela ? Croyez vous qu’il n’y a que les petits dealers des banlieues qui s’en mettent plein les poches, pas assez malin pour ça. L’argent sale concerne beaucoup de monde y compris ceux que l’on pense blancs comme « neige
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Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
CLARA CARLESIMO ET YANN SOUDÉ
Publié le 25/11/2012 à 18:50 | Le Point.
« Le crime organisé nous emportera. » C’est sur cette phrase-choc que se termine la mini-projection précédant le dernier débat des 8es Rencontres de Cannes. Son auteur : l’ex-procureur de Nice Éric de Montgolfier. Les autres intervenants se succéderont au micro : Fabrice Rizzoli, docteur en sciences politiques à la Sorbonne, Catherine Pierce, ancienne vice-présidente du tribunal de grande instance de Nanterre, et Michel Koutouzis, historien et surtout consultant auprès de l’ONU en matière de trafic de drogue et de blanchiment.
Tout de suite, le spécialiste en la matière, Fabrice Rizzoli, procède à un éclairage : « Pour qu’il y ait mafia, il faut qu’il y ait violence érigée en système, accumulation de capital, contrôle du territoire et liens avec les politiques. » Il est vite appuyé par Éric de Montgolfier, qui regrette la « banalisation » du terme : « J’ai vu que François Fillon l’avait utilisé cette semaine dans le cadre de la lutte interne à l’UMP. C’est un abus de langage. » Chaque année, les mafias génèrent 600 à 700 milliards d’euros dans le monde, et n’ont de cesse de se développer. « Le trafic et l’organisation criminelle se sont banalisés », selon Michel Koutouzis. Il donne l’exemple de la Colombie : « Dans les années 1980, on comptait deux ou trois organisations. Aujourd’hui, il y en a des centaines. » Le coeur du problème, c’est que la mafia s’est installée, revêt désormais un aspect global et « a chaussé les pantoufles de la légalité ».
La mafia, parti politique ?
Si la mafia est connue pour corrompre les politiques, et la « bourgeoisie » en général, cette dernière ne se gêne pas pour trafiquer avec elle. Plus encore, en Italie du moins, l’un ne peut fonctionner sans l’autre. « Sans le col blanc, sans le banquier complice, le géomètre qui fait un faux rapport pour construire l’autoroute, ils ne peuvent rien », précise Rizzoli. Les autoroutes, justement, sont un business ultralucratif pour les organisations criminelles. Lorsqu’un appel d’offres est lancé, les Camorra, Cosa Nostra et autres N’drangheta se partagent les portions à construire, ce qui ralentit l’avancée des travaux. Ceux de l’A3, par exemple, traînent depuis plus de 20 ans. La mafia, qui reverse des pots-de-vin et fait chanter les patrons d’entreprises, peut agir dans le silence. « Elles s’inscrivent dans les institutions », précise Montgolfier, qui ajoute que les « institutions s’inscrivent de leur côté dans la mafia ».
Si la législation anti-mafia est très puissante en Italie, ce n’est pas le cas partout. En Turquie, par exemple, la corruption évidente entre politiques et mafieux n’est que très peu remise en cause. Sauf quand ça va mal. Koutouzis évoque le tremblement de terre à Istanbul, dans les années 1990 : « Le mécanisme politique concernait tout le monde, des loups gris au PKK. La mafia garantissait le vote des populations et obtenait des permis de construire. Lors du tremblement de terre, rien n’est tombé sauf les bâtiments construits grâce aux permis accordés aux mafieux. Il y a eu près de 20 000 morts. »
Et la France, dans tout ça ?
Interrogé au sujet de l’implantation de la mafia sur la Côte d’Azur, Éric de Montgolfier assure qu’il n’y a jamais été confronté directement, mais prévient : « On a l’impression que je n’ai rien fait, mais j’ai fait l’essentiel, éviter le crime. » « On n’a pas mis les moyens proactifs pour lutter », rétorque Rizzoli, en désaccord total avec le procureur 
Publié le 25/11/2012 à 18:50 | Le Point.
« Le crime organisé nous emportera. » C’est sur cette phrase-choc que se termine la mini-projection précédant le dernier débat des 8es Rencontres de Cannes. Son auteur : l’ex-procureur de Nice Éric de Montgolfier. Les autres intervenants se succéderont au micro : Fabrice Rizzoli, docteur en sciences politiques à la Sorbonne, Catherine Pierce, ancienne vice-présidente du tribunal de grande instance de Nanterre, et Michel Koutouzis, historien et surtout consultant auprès de l’ONU en matière de trafic de drogue et de blanchiment.
Tout de suite, le spécialiste en la matière, Fabrice Rizzoli, procède à un éclairage : « Pour qu’il y ait mafia, il faut qu’il y ait violence érigée en système, accumulation de capital, contrôle du territoire et liens avec les politiques. » Il est vite appuyé par Éric de Montgolfier, qui regrette la « banalisation » du terme : « J’ai vu que François Fillon l’avait utilisé cette semaine dans le cadre de la lutte interne à l’UMP. C’est un abus de langage. » Chaque année, les mafias génèrent 600 à 700 milliards d’euros dans le monde, et n’ont de cesse de se développer. « Le trafic et l’organisation criminelle se sont banalisés », selon Michel Koutouzis. Il donne l’exemple de la Colombie : « Dans les années 1980, on comptait deux ou trois organisations. Aujourd’hui, il y en a des centaines. » Le coeur du problème, c’est que la mafia s’est installée, revêt désormais un aspect global et « a chaussé les pantoufles de la légalité ».
La mafia, parti politique ?
Si la mafia est connue pour corrompre les politiques, et la « bourgeoisie » en général, cette dernière ne se gêne pas pour trafiquer avec elle. Plus encore, en Italie du moins, l’un ne peut fonctionner sans l’autre. « Sans le col blanc, sans le banquier complice, le géomètre qui fait un faux rapport pour construire l’autoroute, ils ne peuvent rien », précise Rizzoli. Les autoroutes, justement, sont un business ultralucratif pour les organisations criminelles. Lorsqu’un appel d’offres est lancé, les Camorra, Cosa Nostra et autres N’drangheta se partagent les portions à construire, ce qui ralentit l’avancée des travaux. Ceux de l’A3, par exemple, traînent depuis plus de 20 ans. La mafia, qui reverse des pots-de-vin et fait chanter les patrons d’entreprises, peut agir dans le silence. « Elles s’inscrivent dans les institutions », précise Montgolfier, qui ajoute que les « institutions s’inscrivent de leur côté dans la mafia ».
Si la législation anti-mafia est très puissante en Italie, ce n’est pas le cas partout. En Turquie, par exemple, la corruption évidente entre politiques et mafieux n’est que très peu remise en cause. Sauf quand ça va mal. Koutouzis évoque le tremblement de terre à Istanbul, dans les années 1990 : « Le mécanisme politique concernait tout le monde, des loups gris au PKK. La mafia garantissait le vote des populations et obtenait des permis de construire. Lors du tremblement de terre, rien n’est tombé sauf les bâtiments construits grâce aux permis accordés aux mafieux. Il y a eu près de 20 000 morts. »
Et la France, dans tout ça ?
Interrogé au sujet de l’implantation de la mafia sur la Côte d’Azur, Éric de Montgolfier assure qu’il n’y a jamais été confronté directement, mais prévient : « On a l’impression que je n’ai rien fait, mais j’ai fait l’essentiel, éviter le crime. » « On n’a pas mis les moyens proactifs pour lutter », rétorque Rizzoli, en désaccord total avec le procureur 
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Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
On entend pas Zemmour sur sa communauté et le trafic de drogue ?
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Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Blanchiment : des « cols blancs » peu scrupuleux mêlés à un système bien huilé
Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 15/10
Trafiquants, blanchisseurs et « cols blancs » en quête de liquidités... C’est un véritable réseau de blanchiment de la drogue très bien organisé que les enquêteurs ont découvert, entre la France et la Suisse.
L’enquête sur un vaste réseau franco-suisse de blanchiment d’argent de la drogue, démantelé cette semaine, a mis au jour un système très organisé mêlant trafiquants, blanchisseurs et « cols blancs » peu scrupuleux en quête de liquidités.
A la tête de cette organisation se trouvent les trois frères Elmaleh, mis en examen et écroués, l’un à Paris, les deux autres en Suisse. Ces deux derniers, qui exercent dans la finance à Genève, sont séparés dans leur détention pour éviter tout contact, selon une source suisse proche du dossier. Les enquêteurs disposeraient notamment de « retranscriptions de conversations téléphoniques codées », selon cette source.
Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 15/10
Trafiquants, blanchisseurs et « cols blancs » en quête de liquidités... C’est un véritable réseau de blanchiment de la drogue très bien organisé que les enquêteurs ont découvert, entre la France et la Suisse.
L’enquête sur un vaste réseau franco-suisse de blanchiment d’argent de la drogue, démantelé cette semaine, a mis au jour un système très organisé mêlant trafiquants, blanchisseurs et « cols blancs » peu scrupuleux en quête de liquidités.
A la tête de cette organisation se trouvent les trois frères Elmaleh, mis en examen et écroués, l’un à Paris, les deux autres en Suisse. Ces deux derniers, qui exercent dans la finance à Genève, sont séparés dans leur détention pour éviter tout contact, selon une source suisse proche du dossier. Les enquêteurs disposeraient notamment de « retranscriptions de conversations téléphoniques codées », selon cette source.
Invité- Invité
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Trafic de drogue et système bancaire – Interview avec Antonio (...) - Solidarité & Progrès http://m.solidariteetprogres.org/actualites-001/Trafic-de-drogue-et-systeme-bancaire-Interview-avec-Antonio-Maria-Costa_08781.html
L’article complet .
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Milla (---.---.1.10) 26 avril 2016 13:00
MICHEL NEYRET « C’EST TRÈS DUR D’ENTRER DANS LA MAFIA castor..ve » BENNICHOU - Dailymotion https://www.dailymotion.com/video/xotimu_michel-neyret-c-est-tres-dur-d-entrer-dans-la-mafia-castorette-bennichou_news
L’article complet .
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Milla (---.---.1.10) 26 avril 2016 13:00
MICHEL NEYRET « C’EST TRÈS DUR D’ENTRER DANS LA MAFIA castor..ve » BENNICHOU - Dailymotion https://www.dailymotion.com/video/xotimu_michel-neyret-c-est-tres-dur-d-entrer-dans-la-mafia-castorette-bennichou_news
Invité- Invité
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Pourquoi Tant D’Israéliens De La Mafia castorette Sioniste Sont-Ils Sous Les Verrous ?
Actuellement on compte 7 trafiquants d’armes castors israéliens détenus dans 4 pays : USA, Russie, France et Grande Bretagne. Israël se targue d’avoir des exportations d’armes en plein boom. L’entité sioniste survit grâce à ses ventes d’armes légales mais aussi son réseau mondial mafieux castor israélien d’ex militaires trafiquants d’armes.
Certains de ses criminels castors israéliens sont non seulement accusés de trafic d’armes mais aussi de corruption, falsification, blanchiment d’argent, et de violer les différents embargos du CSONU. Tous ces criminels castors sionistes - qui font partie d’un réseau mondial qu’on peut appeler la Mafia castorette Sioniste au même titre qu’il existe une Mafia Sicilienne s’appuyant elle aussi sur un réseau mondial ou une Mafia Russe etc... présentent plusieurs points communs.
Tous sont des hommes de 50- 60 ans qui se sont enrichis par le passé dans le trafic mondial d’armes ou l’exportation de services de sécurité et d’équipements en provenance d’Israël. Tous ont bien sûr servi dans l’armée israélienne à des grades divers allant de celui de capitaine à celui de lieutenant colonel, et tous lors de leur arrestation ont nié les accusations portées contre eux, le mensonge étant une profession de foi très répandue dans l’armée et les milieux politiques sionistes.
Ces 7 criminels castors Sionistes sont tous connus au sein de l’establishment militaire israélien, ayant arpenté des centaines de fois les couloirs des institutions militaires où ils ont reçu les permis d’exportation d’armes et la bénédiction politico militaire - active ou passive - des plus hauts responsables israéliens.
Autrement dit ce trafic d’armes mondial criminel est toléré voire encouragé au plus haut niveau de l’entité sioniste et constitue en fait un mode opérationnel mondial indirect de déstabilisation sioniste - dépeçage d’états * : monter les minorités les unes contre les autres en exacerbant les conflits ethniques, diviser, et faire éclater les états nations - d’états situés principalement en Afrique et en Amérique Latine mais aussi au Moyen Orient, en Europe de l’Est, Asie etc…
A cela bien sûr viennent s’ajouter les activités « légales » publiques elles de tous ces ex militaires castors israéliens qui servent de conseillers, formateurs etc… pour les dictatures ou régimes autoritaires qui ont besoin du « savoir faire » sioniste en matière de répression violente de toute forme d’opposition.
Tous ces trafiquants d’armes castors sionistes ont dans le cadre de leurs activités criminelles juteuses toujours cherché à « expédier les procédures » en violation des règles locales et internationales, et l’ont fait par pure avidité. A cause de cette recherche du profit à tous prix, de cette convoitise tous sont à un moment ou un autre tombés dans les filets de ceux qui essaient honnêtement de faire cesser ce trafic d’armes. Ces criminels castors sionistes purgent ou risquent de purger de longues années de prison.
Shimon Naor - Hershkowitz est détenu en France et sera probablement extradé vers la Roumanie où il a été condamné à une peine de prison de 11 ans. Il a été reconnu coupable d’avoir contrefait des documents (certificats de destinataire) qu’il a utilisé pour acheter des armes roumaines en partenariat avec un Roumain qui l’a ensuite dénoncé aux autorités roumaines. Ces armes étaient supposées destinées au Togo mais en réalité ont été envoyées aux rebelles en Angola.
Yair Klein a été détenu plus d’un an dans une prison en Russie après avoir été arrêté à la demande de la Colombie qui a demandé son extradition l’accusant d’entraîner les gardes du corps des barons de la drogue. Klein qui va sur ses 70 ans est très certainement le type de castor israélien qu’on peut qualifier de « mercenaire » de la pire espèce. Il a auparavant été emprisonné en Sierra Léone. Malgré cela les autorités russes viennent de renoncer à l’extrader vers la Colombie et l’ont renvoyé en Israël refuge d’un grand nombre de criminels mafieux castors de la même espèce venant du monde entier assurés que le régime sioniste n’acceptera jamais leur extradition.
Exemple de ces castors sionistes mafieux réfugiés en Israël : Arkadi Gaydamak, milliardaire Russo-Israelien jugé par contumace en France -où il a vécu pendant un certain temps - pour trafic d’armes devenu en Israël une célébrité. Il a même brigué, sans succès, la mairie de la ville de Jérusalem sous occupation. Il se déplace régulièrement entre Tel Aviv et Moscou sans que les autorités françaises n’aient à ce jour tenté de le faire extrader.
En Grande Bretagne, Gidon Sarig, 58 ans, qui a d’abord été condamné à plusieurs mois de prison a ensuite été condamné à 7 ans de prison pour avoir vendu des armes et d’autres équipements de combat à des partis au Venezuela, Pérou, Sénégal, Nigeria, Gabon, et surtout au Sri Lanka.
En Janvier de cette année, Ofer Pazaf, 50 ans, président de la société Kfar Sava qui travaille comme intermédiaire et représente des consultants en sécurité et des industries militaires, a été arrêté à Las Végas. Deux autres criminels castors israéliens ont été arrêtés en même temps que lui ces deux derniers vivant aux US depuis plusieurs années. Yohanan Cohen, 47 ans, président du conseil
d’administration d’une société de San Francisco qui fabrique des équipements de sécurité et Haïm Gary, 50 ans, président de la société Miami qui agit comme intermédiaire pour le compte d’entreprises d’armement.
Tous les trois, de même que 20 Américains et personnes d’autres nationalités ont été arrêtés lors d’une opération coup de filet menée par le FBI. L’un des agents du FBI s’est fait passé pour un représentant du ministère de la défense d’un pays africain et a prétendu vouloir acheter des armes en échange d’un pot de vin- qu’on appelle en terme « professionnel » une « commission ».
Dernier - pour le moment - castor israélien trafiquant d’armes mafieux à se retrouver sous les verrous, Hanoch Miller, 53 ans, a été arrêté fin Juin aux USA. Il a été accusé avec son trafiquant de partenaire américain, le colonel à la retrait de l’ US Air Force, Joseph O’ Toole, d’avoir tenté d’obtenir et de vendre des milliers d’AK-47 (Kalashnikov) au « gouvernement » de Somaliland, région séparatiste du Nord de la Somalie. Les armes devaient être achetées aux US et envoyées par avion au Panama et en Bosnie et de là au Somaliland. Mais ce projet a échoué car un troisième partenaire dans cette affaire crapuleuse qui devait acheter les armes de Miller et O’Toole, travaillait en fait pour les autorités douanières.
Et ce ne sont là que quelques exemples des activités de la Mafia castorette Sioniste - rapportées comme simples faits divers dans la presse israélienne et qui ne font d’ailleurs même plus scandales là bas- qui a su tisser un réseau mondial dont le nœud central se trouve à Tel Aviv véritable plaque tournante de cette Mafia castorette Sioniste.
Actuellement on compte 7 trafiquants d’armes castors israéliens détenus dans 4 pays : USA, Russie, France et Grande Bretagne. Israël se targue d’avoir des exportations d’armes en plein boom. L’entité sioniste survit grâce à ses ventes d’armes légales mais aussi son réseau mondial mafieux castor israélien d’ex militaires trafiquants d’armes.
Certains de ses criminels castors israéliens sont non seulement accusés de trafic d’armes mais aussi de corruption, falsification, blanchiment d’argent, et de violer les différents embargos du CSONU. Tous ces criminels castors sionistes - qui font partie d’un réseau mondial qu’on peut appeler la Mafia castorette Sioniste au même titre qu’il existe une Mafia Sicilienne s’appuyant elle aussi sur un réseau mondial ou une Mafia Russe etc... présentent plusieurs points communs.
Tous sont des hommes de 50- 60 ans qui se sont enrichis par le passé dans le trafic mondial d’armes ou l’exportation de services de sécurité et d’équipements en provenance d’Israël. Tous ont bien sûr servi dans l’armée israélienne à des grades divers allant de celui de capitaine à celui de lieutenant colonel, et tous lors de leur arrestation ont nié les accusations portées contre eux, le mensonge étant une profession de foi très répandue dans l’armée et les milieux politiques sionistes.
Ces 7 criminels castors Sionistes sont tous connus au sein de l’establishment militaire israélien, ayant arpenté des centaines de fois les couloirs des institutions militaires où ils ont reçu les permis d’exportation d’armes et la bénédiction politico militaire - active ou passive - des plus hauts responsables israéliens.
Autrement dit ce trafic d’armes mondial criminel est toléré voire encouragé au plus haut niveau de l’entité sioniste et constitue en fait un mode opérationnel mondial indirect de déstabilisation sioniste - dépeçage d’états * : monter les minorités les unes contre les autres en exacerbant les conflits ethniques, diviser, et faire éclater les états nations - d’états situés principalement en Afrique et en Amérique Latine mais aussi au Moyen Orient, en Europe de l’Est, Asie etc…
A cela bien sûr viennent s’ajouter les activités « légales » publiques elles de tous ces ex militaires castors israéliens qui servent de conseillers, formateurs etc… pour les dictatures ou régimes autoritaires qui ont besoin du « savoir faire » sioniste en matière de répression violente de toute forme d’opposition.
Tous ces trafiquants d’armes castors sionistes ont dans le cadre de leurs activités criminelles juteuses toujours cherché à « expédier les procédures » en violation des règles locales et internationales, et l’ont fait par pure avidité. A cause de cette recherche du profit à tous prix, de cette convoitise tous sont à un moment ou un autre tombés dans les filets de ceux qui essaient honnêtement de faire cesser ce trafic d’armes. Ces criminels castors sionistes purgent ou risquent de purger de longues années de prison.
Shimon Naor - Hershkowitz est détenu en France et sera probablement extradé vers la Roumanie où il a été condamné à une peine de prison de 11 ans. Il a été reconnu coupable d’avoir contrefait des documents (certificats de destinataire) qu’il a utilisé pour acheter des armes roumaines en partenariat avec un Roumain qui l’a ensuite dénoncé aux autorités roumaines. Ces armes étaient supposées destinées au Togo mais en réalité ont été envoyées aux rebelles en Angola.
Yair Klein a été détenu plus d’un an dans une prison en Russie après avoir été arrêté à la demande de la Colombie qui a demandé son extradition l’accusant d’entraîner les gardes du corps des barons de la drogue. Klein qui va sur ses 70 ans est très certainement le type de castor israélien qu’on peut qualifier de « mercenaire » de la pire espèce. Il a auparavant été emprisonné en Sierra Léone. Malgré cela les autorités russes viennent de renoncer à l’extrader vers la Colombie et l’ont renvoyé en Israël refuge d’un grand nombre de criminels mafieux castors de la même espèce venant du monde entier assurés que le régime sioniste n’acceptera jamais leur extradition.
Exemple de ces castors sionistes mafieux réfugiés en Israël : Arkadi Gaydamak, milliardaire Russo-Israelien jugé par contumace en France -où il a vécu pendant un certain temps - pour trafic d’armes devenu en Israël une célébrité. Il a même brigué, sans succès, la mairie de la ville de Jérusalem sous occupation. Il se déplace régulièrement entre Tel Aviv et Moscou sans que les autorités françaises n’aient à ce jour tenté de le faire extrader.
En Grande Bretagne, Gidon Sarig, 58 ans, qui a d’abord été condamné à plusieurs mois de prison a ensuite été condamné à 7 ans de prison pour avoir vendu des armes et d’autres équipements de combat à des partis au Venezuela, Pérou, Sénégal, Nigeria, Gabon, et surtout au Sri Lanka.
En Janvier de cette année, Ofer Pazaf, 50 ans, président de la société Kfar Sava qui travaille comme intermédiaire et représente des consultants en sécurité et des industries militaires, a été arrêté à Las Végas. Deux autres criminels castors israéliens ont été arrêtés en même temps que lui ces deux derniers vivant aux US depuis plusieurs années. Yohanan Cohen, 47 ans, président du conseil
d’administration d’une société de San Francisco qui fabrique des équipements de sécurité et Haïm Gary, 50 ans, président de la société Miami qui agit comme intermédiaire pour le compte d’entreprises d’armement.
Tous les trois, de même que 20 Américains et personnes d’autres nationalités ont été arrêtés lors d’une opération coup de filet menée par le FBI. L’un des agents du FBI s’est fait passé pour un représentant du ministère de la défense d’un pays africain et a prétendu vouloir acheter des armes en échange d’un pot de vin- qu’on appelle en terme « professionnel » une « commission ».
Dernier - pour le moment - castor israélien trafiquant d’armes mafieux à se retrouver sous les verrous, Hanoch Miller, 53 ans, a été arrêté fin Juin aux USA. Il a été accusé avec son trafiquant de partenaire américain, le colonel à la retrait de l’ US Air Force, Joseph O’ Toole, d’avoir tenté d’obtenir et de vendre des milliers d’AK-47 (Kalashnikov) au « gouvernement » de Somaliland, région séparatiste du Nord de la Somalie. Les armes devaient être achetées aux US et envoyées par avion au Panama et en Bosnie et de là au Somaliland. Mais ce projet a échoué car un troisième partenaire dans cette affaire crapuleuse qui devait acheter les armes de Miller et O’Toole, travaillait en fait pour les autorités douanières.
Et ce ne sont là que quelques exemples des activités de la Mafia castorette Sioniste - rapportées comme simples faits divers dans la presse israélienne et qui ne font d’ailleurs même plus scandales là bas- qui a su tisser un réseau mondial dont le nœud central se trouve à Tel Aviv véritable plaque tournante de cette Mafia castorette Sioniste.
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Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
LES FRÈRES ZEMMOUR
Les « Z » débarquent
castors pieds-noirs originaires de Sétif, en Algérie, ceux que le Milieu surnomera les « Z », ce sont cinq frères : Roland, né en 1925, Théodore, né en 1927, William en 1930, Gilbert en 1935, et Edgard, né en 1937. L’aîné, Roland, part pour Paris le premier, en 1945. Petit proxénète, il est assassiné en 1947, rue Blondel. Les quatre autres frères débarquent eux durant l’année ’55. Ensemble, ils vengent leur frère. Puis Théodore prend le large tandis que les trois autres restent à Paris.
Suivant la voix du crime que leur frère a tracé, William, Gilbert et Edgard démarrent dans le métier par des escroqueriers aux trousseaux et au vin, puis font tapiner quelques filles pour le compte des frères Atlan, chefs de file de la communauté pieds-noirs de Paris. Une fois dans le bain, les « Z » se détachent petit à petit de la houlette des Atlan et se mettent à leur compte, faisant toujours dans le tapin et organisant aussi un trafic de femmes en partance pour les Eros Center allemands.
Soudés, les Zemmour tirent leur force de leur complémentarité et de leur union fraternelle. William, l’aîné des trois, est le chef de la bande. Gilbert, lui, est organisé et dur en affaire. Quand à Edgard, c’est un fou furieux. Chaque jour, des rapatriés d’Algérie arrivent à Paris et grossissent la communauté pieds-noirs. Parmis eux, bon nombre de truands. Et ces nouveaux venus préfèrent se ranger du côté des Zemmour, la valeur montante du Faubourg Montmartre (haut-lieu de la prostitution), plutôt que chez les Atlan ou les Perret, dont le déclin est amorcé.
Mais bien que les « Z » soient désormais réputés à Paris, ils n’ont pas encore véritablement percés. Trop de fratries pieds-noirs dans le IXe. Et la plus génante, c’est celle des Atlan, suivit de près par les Perret.
Dès lors les Zemmour décident de se charger de ces personnes génantes. Le 2 octobre 1965, Sion Atlan est abattu dans un café-restaurant. Les regards se tournent vers les Perret, et les Zemmour font tout pour que la rumeur circule dans tous les coins de la capitale. Le plan marche : durant l’année 1966, les vengeurs de Sion Atlan mitraillent les deux frères Perret (sans concéquence) et tuent deux de leurs associers. Entre temps, le 2 décembre 1966, c’est le second Atlan, René, qui est tué. Appeurés et vieillissants, les Perret se retirent et vont s’installer dans l’ouest de la France. La voie est libre. Les Zemmour sont les nouveaux maîtres du Faubourg Montmartre.
Les Dalton parisiens
Les « Z » tranquilles, ils investissent dans le IXe, puis sortent des limites de leur arrondissement et deviennent les maîtres de toute la prostitution parisienne, contrôlants hôtels de passe, bars à putes et cabarets. Avec les bénéfices tirés du proxénétisme, ils investissent dans un Eros Center de Francfort et dans l ?immobilier à Paris.
William, marié, mène en apparence une vie rangée mais continue de diriger le clan, avec son frère Edgard. Celui-là aime à flamber, et le monde d’argent et de violence qu’est le milieu lui plaît. Gilbert fait, lui, bande à part. Marié et père de deux enfants, il est en quête d’honnorabilité et aimerait s’extraire de sa condition de voyou. Pour cela, il se met à acheter des affaires légales. Devenu un homme d’affaire avisé, il tient un restaurant et possède des parts dans trois night-club parisiens. Puis en 1970, il part vivre au Canada, se retirant ainsi complètement du milieu, et y monte une grosse compagnie immobilière. La fortune est au rendez-vous.
Avant cela, ne possédant qu ?un petit club de jeu à Montmartre (le Bridge Club), les Zemmour veulent se faire une place dans le jeu parisien. C ?est dans ce but qu ?ils se sont rapprochés de Marcel Francisci. En 1967, ils poussent ce dernier à relancer les hostilités contre son rival Jean-Baptiste Andréani. En plus d ?être lui aussi un roi du jeu parisien, il a eut l ?affront de refuser l ?aide que leur proposaient les frères pieds-noirs, préférant celle des deux frères Panzani. De la fin 1967 à l ?automne 1968, six corps tomberont. Et au final, les Zemmour se sépareront de Francisci.
Par ailleurs, les ?Z ? fournissent avec leurs associés Riwen Liwer et Roger Bacry des colleurs d ?affiches et des agents électoraux aux candidats gaullistes, ce qui leur permet d ?avoir des protections jusqu ?au début des années 70. Vers ce moment, William et Edgard tentent une implantation en Israël, en association avec les frères Abitbol. Ils veulent ouvrir des boîtes à Tel-Aviv, mais cette tentative est un échec. Ils abandonnent l’idée en 1972.
Pieds-Noirs contre Pseudo-Siciliens
En 1970, un membre du clan Zemmour, Roger Bacry, dit Petit Roger, propose aux « Z » de faire dans la came. Ces derniers refusent. Bacry, avec ses copains de la banlieue sud, dont entre autres Jean-Claude Vella, Marcel Gauthier et Daniel le Polonais, fait sécession et monte sa propre filière en association avec André Condemine. Le trafic tourne mal et la filière est démantelée. Bacry et compagnie reviennent penauds chercher du travail chez les Zemmour, qui rejettent leur réintégration. Dès lors, ils vont trouver du soutient chez des truands lyonnais, et se font appeler le « gang des siciliens ».
Les hostilités commencent en 1973. Le premier a tomber est Raphaël Dadoun, fidèle des « Z ». Pour cette seule année 73, on compte dix morts. En 1974, Bacry se suicide. Vella et Gauthier sont abattus respectivement en 1975 et en 1976. Le 2 février 1975, une fusillade au bar Laetitia visant les frères Panzani fait quatre blessés et un mort. Cette même année voit se dérouler un épisode des plus tragiques pour les Zemmour : le 28 février, William, Edgard et deux amis doivent s’expliquer avec des membres de la bande adverse au bar Thélème. La police, avertit, prévoit une fusillade et aperçoit les parrains parisiens
Dès lors, elle décide d’intervenir. Edgard les a vu et prévoit la riposte. Les policiers entrent dans le bar et tirent sans sommation. La fusillade fera deux morts : William et son garde du corps Joseph Elbaz. Edgard, lui, est grièvement blessé. Les combats s’étaleront jusqu’à la fin des années 70 et auront fait au total près de trente morts.
C’est le début de la fin pour les « Z ». Gilbert perd ses établissements parisiens ainsi qu’une partie de sa fortune du Canada. Les bien immobiliers de la prostitution qui étaient géré par William ferment, font faillites, sont rachetés... En 1976, une fois rétablit et après quelques mois de préventive, Edgard part se mettre au vert à Miami. Là-bas, il ouvre un restaurant et, acculé à la faillite, y met le feu.
En 1981 Edgard est de retour à Paris. Il veut récupérer un million de dollars que lui devrait Marcel Francisci. Ce dernier, menacé de mort, ne prend pas les menaces au sérieux. Pourtant, le 14 janvier 1981, il est abattu dans son parking. Edgard est innocenté mais préfère repartir vivre à Miami. Cela ne l’empêche pas, le 8 avril de la même année, d ?être tué dans sa villa de quatre coups de feu tirés par un tireur armé d ?un fusil à lunette caché à quatre cent mètres de là. Ce serait un ami de Francisci d ?un poids important au sein du Milieu, Paul Mondoloni, qui aurait envoyé l ?un de ses lieutenants, Gilbert le Libanais, abattre Edgard Zemmour. Le 28 juillet, c’est Gilbert qui s’écroule, abattu à Paris alors qu’il promène ses caniches.
À lire : « Les Derniers Seigneurs de la Pègre » de Le Taillanter.
Les « Z » débarquent
castors pieds-noirs originaires de Sétif, en Algérie, ceux que le Milieu surnomera les « Z », ce sont cinq frères : Roland, né en 1925, Théodore, né en 1927, William en 1930, Gilbert en 1935, et Edgard, né en 1937. L’aîné, Roland, part pour Paris le premier, en 1945. Petit proxénète, il est assassiné en 1947, rue Blondel. Les quatre autres frères débarquent eux durant l’année ’55. Ensemble, ils vengent leur frère. Puis Théodore prend le large tandis que les trois autres restent à Paris.
Suivant la voix du crime que leur frère a tracé, William, Gilbert et Edgard démarrent dans le métier par des escroqueriers aux trousseaux et au vin, puis font tapiner quelques filles pour le compte des frères Atlan, chefs de file de la communauté pieds-noirs de Paris. Une fois dans le bain, les « Z » se détachent petit à petit de la houlette des Atlan et se mettent à leur compte, faisant toujours dans le tapin et organisant aussi un trafic de femmes en partance pour les Eros Center allemands.
Soudés, les Zemmour tirent leur force de leur complémentarité et de leur union fraternelle. William, l’aîné des trois, est le chef de la bande. Gilbert, lui, est organisé et dur en affaire. Quand à Edgard, c’est un fou furieux. Chaque jour, des rapatriés d’Algérie arrivent à Paris et grossissent la communauté pieds-noirs. Parmis eux, bon nombre de truands. Et ces nouveaux venus préfèrent se ranger du côté des Zemmour, la valeur montante du Faubourg Montmartre (haut-lieu de la prostitution), plutôt que chez les Atlan ou les Perret, dont le déclin est amorcé.
Mais bien que les « Z » soient désormais réputés à Paris, ils n’ont pas encore véritablement percés. Trop de fratries pieds-noirs dans le IXe. Et la plus génante, c’est celle des Atlan, suivit de près par les Perret.
Dès lors les Zemmour décident de se charger de ces personnes génantes. Le 2 octobre 1965, Sion Atlan est abattu dans un café-restaurant. Les regards se tournent vers les Perret, et les Zemmour font tout pour que la rumeur circule dans tous les coins de la capitale. Le plan marche : durant l’année 1966, les vengeurs de Sion Atlan mitraillent les deux frères Perret (sans concéquence) et tuent deux de leurs associers. Entre temps, le 2 décembre 1966, c’est le second Atlan, René, qui est tué. Appeurés et vieillissants, les Perret se retirent et vont s’installer dans l’ouest de la France. La voie est libre. Les Zemmour sont les nouveaux maîtres du Faubourg Montmartre.
Les Dalton parisiens
Les « Z » tranquilles, ils investissent dans le IXe, puis sortent des limites de leur arrondissement et deviennent les maîtres de toute la prostitution parisienne, contrôlants hôtels de passe, bars à putes et cabarets. Avec les bénéfices tirés du proxénétisme, ils investissent dans un Eros Center de Francfort et dans l ?immobilier à Paris.
William, marié, mène en apparence une vie rangée mais continue de diriger le clan, avec son frère Edgard. Celui-là aime à flamber, et le monde d’argent et de violence qu’est le milieu lui plaît. Gilbert fait, lui, bande à part. Marié et père de deux enfants, il est en quête d’honnorabilité et aimerait s’extraire de sa condition de voyou. Pour cela, il se met à acheter des affaires légales. Devenu un homme d’affaire avisé, il tient un restaurant et possède des parts dans trois night-club parisiens. Puis en 1970, il part vivre au Canada, se retirant ainsi complètement du milieu, et y monte une grosse compagnie immobilière. La fortune est au rendez-vous.
Avant cela, ne possédant qu ?un petit club de jeu à Montmartre (le Bridge Club), les Zemmour veulent se faire une place dans le jeu parisien. C ?est dans ce but qu ?ils se sont rapprochés de Marcel Francisci. En 1967, ils poussent ce dernier à relancer les hostilités contre son rival Jean-Baptiste Andréani. En plus d ?être lui aussi un roi du jeu parisien, il a eut l ?affront de refuser l ?aide que leur proposaient les frères pieds-noirs, préférant celle des deux frères Panzani. De la fin 1967 à l ?automne 1968, six corps tomberont. Et au final, les Zemmour se sépareront de Francisci.
Par ailleurs, les ?Z ? fournissent avec leurs associés Riwen Liwer et Roger Bacry des colleurs d ?affiches et des agents électoraux aux candidats gaullistes, ce qui leur permet d ?avoir des protections jusqu ?au début des années 70. Vers ce moment, William et Edgard tentent une implantation en Israël, en association avec les frères Abitbol. Ils veulent ouvrir des boîtes à Tel-Aviv, mais cette tentative est un échec. Ils abandonnent l’idée en 1972.
Pieds-Noirs contre Pseudo-Siciliens
En 1970, un membre du clan Zemmour, Roger Bacry, dit Petit Roger, propose aux « Z » de faire dans la came. Ces derniers refusent. Bacry, avec ses copains de la banlieue sud, dont entre autres Jean-Claude Vella, Marcel Gauthier et Daniel le Polonais, fait sécession et monte sa propre filière en association avec André Condemine. Le trafic tourne mal et la filière est démantelée. Bacry et compagnie reviennent penauds chercher du travail chez les Zemmour, qui rejettent leur réintégration. Dès lors, ils vont trouver du soutient chez des truands lyonnais, et se font appeler le « gang des siciliens ».
Les hostilités commencent en 1973. Le premier a tomber est Raphaël Dadoun, fidèle des « Z ». Pour cette seule année 73, on compte dix morts. En 1974, Bacry se suicide. Vella et Gauthier sont abattus respectivement en 1975 et en 1976. Le 2 février 1975, une fusillade au bar Laetitia visant les frères Panzani fait quatre blessés et un mort. Cette même année voit se dérouler un épisode des plus tragiques pour les Zemmour : le 28 février, William, Edgard et deux amis doivent s’expliquer avec des membres de la bande adverse au bar Thélème. La police, avertit, prévoit une fusillade et aperçoit les parrains parisiens
Dès lors, elle décide d’intervenir. Edgard les a vu et prévoit la riposte. Les policiers entrent dans le bar et tirent sans sommation. La fusillade fera deux morts : William et son garde du corps Joseph Elbaz. Edgard, lui, est grièvement blessé. Les combats s’étaleront jusqu’à la fin des années 70 et auront fait au total près de trente morts.
C’est le début de la fin pour les « Z ». Gilbert perd ses établissements parisiens ainsi qu’une partie de sa fortune du Canada. Les bien immobiliers de la prostitution qui étaient géré par William ferment, font faillites, sont rachetés... En 1976, une fois rétablit et après quelques mois de préventive, Edgard part se mettre au vert à Miami. Là-bas, il ouvre un restaurant et, acculé à la faillite, y met le feu.
En 1981 Edgard est de retour à Paris. Il veut récupérer un million de dollars que lui devrait Marcel Francisci. Ce dernier, menacé de mort, ne prend pas les menaces au sérieux. Pourtant, le 14 janvier 1981, il est abattu dans son parking. Edgard est innocenté mais préfère repartir vivre à Miami. Cela ne l’empêche pas, le 8 avril de la même année, d ?être tué dans sa villa de quatre coups de feu tirés par un tireur armé d ?un fusil à lunette caché à quatre cent mètres de là. Ce serait un ami de Francisci d ?un poids important au sein du Milieu, Paul Mondoloni, qui aurait envoyé l ?un de ses lieutenants, Gilbert le Libanais, abattre Edgard Zemmour. Le 28 juillet, c’est Gilbert qui s’écroule, abattu à Paris alors qu’il promène ses caniches.
À lire : « Les Derniers Seigneurs de la Pègre » de Le Taillanter.
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Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Meyer, Nessim et Mardoché El Maleh sont en prison, depuis mercredi 10 octobre. Les trois frères sont soupçonnés d’être à la tête d’un réseau international mêlant habilement drogue et blanchiment d’argent. Chacun aurait eu un rôle spécifique qui permettait à l’ensemble du réseau de s’articuler : depuis la récolte de cannabis, dans le Rif marocain, jusqu’au blanchiment de l’argent à Genève, dans les banques les mieux introduites de la plaque financière suisse. Mardoché : Le cannabis parisien Mardoché aurait été le premier maillon de la chaîne. Il aurait organisé le trafic de drogue depuis le Maroc, en passant par l’Espagne, jusqu’à Paris. Là, le cannabis était vendu. L’enquête a permis d’établir que ce manège ne touchait pas la seule banlieue de Nanterre, mais une grande partie du marché du deal de cannabis parisien, rapporte Le Matin.ch. Mardoché aurait alors eu pour rôle de collecter tous les fonds retirés de la vente. Il aurait donné une partie de cet argent à de riches Français disposant de comptes illégaux en Suisse mais qui avaient besoin de liquidités. Meyer : La compensation financière En échange, Meyer Elmaleh, l’aîné des frères, aurait débité de leurs comptes suisses la somme équivalente à celle offerte en liquide par Mardoché. Ainsi, le transport d’argent en liquide de la Suisse vers la France n’était pas nécessaire, il ne quittait pas l’hexagone et la fraude fiscale des riches Français restait invisible. Simultanément, l’argent de la drogue ressortait blanchi par ce système de compensation. Meyer Elmaleh est un gestionnaire de fortune indépendant. Il était responsable, depuis 2010, de la société de gestion de fortune, GPF, dans le quartier de Rive, au centre de Genève. Cet établissement, créé par son beau-père il y a 35 ans, est réputé pour son sérieux sur la place financière. Nessim : HSBC GPF possède un compte chez la banque britannique HSBC de Genève, or le frère cadet Nessim Elmaleh, était employé pour cette banque. Il aurait utilisé sa position privilégiée dans l’établissement pour ouvrir des comptes et transférer les sommes d’argent retirés des comptes des évadés fiscaux. A partir de là, l’argent était réinvestit dans différentes affaires de la famille. Un quatrième membre de la famille possède un poste à la direction générale de la banque. Il n’aurait toutefois pas été inquiété par la justice. La spécificité de ce trafic de drogue réside dans son ampleur, dans la complexité du système financier qui blanchissait l’argent, mais aussi dans la faible connexion entre les deux. Meyer Elmaleh devrait jouer de cette faiblesse. Alors que lors de la perquisition de son domicile, la police genevoise a découvert 1,1 million d’euros en liquide et 160 montres de luxe, Me Stickel-Cicurel, son avocat fait savoir que son client « admet avoir fait ces opérations de compensation mais conteste avoir travaillé avec de l’argent issu d’un trafic de drogue
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Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Ukraine : La mafia ju...ive derrière la deuxième révolution orange ? http://frenchold.ws.irib.ir/russie-occident-rupture/item/310650-ukraine-la-mafia-castorette-derri%C3%A8re-la-deuxi%C3%A8me-r%C3%A9volution-orange
Lutter contre les trafics en tous genres dans les quartiers et dans la campagne, c’est aussi exposer le rôle de la haute finance.
Nous avons eu le scandale HSBC qui a révélé le blanchiment de l’argent de la drogue à grande échelle. HSBC a ouvert des guichets spéciaux dans ses locaux à Mexico, où les narcotrafiquants pouvaient déposer des caisses emplies d’argent liquide, pour faciliter le processus de blanchie ment.
L’auteur de Gomorrah, Roberto Saviano a pointé du doigt le rôle néfaste de la City de Londres de Wall Street de la filiale paradis fiscaux dans le blanchiment d’argent du trafic de drogue. Il souligne notamment que les banques britanniques et les services financiers ignorent délibérément la règle implicite qui prévaut dans la finance : « Connais tes clients ». Londres est devenu une véritable plaque tournante du trafic de drogue international.
En France, c’est la stupeur quand le reportage sur France 3, à propos du crédit mutuel et de sa filiale Pash, expose le rôle de la Banque « mutualiste » française dans le blanchiment d’argent liquide provenant de la mafia.
La sécurité, c’est une lutte acharnée contre la finance de l’ombre, le blanchiment d’argent. Les lois et les moyens doivent être mis en place pour lutter contre les criminels en col blanc.
Seul ce travail contre la base jusqu’au sommet du crime organisé pourra mettre à mal l’insécurité quotidienne, le trafic en tous genres, ainsi que le terrorisme.
Lutter contre les trafics en tous genres dans les quartiers et dans la campagne, c’est aussi exposer le rôle de la haute finance.
Nous avons eu le scandale HSBC qui a révélé le blanchiment de l’argent de la drogue à grande échelle. HSBC a ouvert des guichets spéciaux dans ses locaux à Mexico, où les narcotrafiquants pouvaient déposer des caisses emplies d’argent liquide, pour faciliter le processus de blanchie ment.
L’auteur de Gomorrah, Roberto Saviano a pointé du doigt le rôle néfaste de la City de Londres de Wall Street de la filiale paradis fiscaux dans le blanchiment d’argent du trafic de drogue. Il souligne notamment que les banques britanniques et les services financiers ignorent délibérément la règle implicite qui prévaut dans la finance : « Connais tes clients ». Londres est devenu une véritable plaque tournante du trafic de drogue international.
En France, c’est la stupeur quand le reportage sur France 3, à propos du crédit mutuel et de sa filiale Pash, expose le rôle de la Banque « mutualiste » française dans le blanchiment d’argent liquide provenant de la mafia.
La sécurité, c’est une lutte acharnée contre la finance de l’ombre, le blanchiment d’argent. Les lois et les moyens doivent être mis en place pour lutter contre les criminels en col blanc.
Seul ce travail contre la base jusqu’au sommet du crime organisé pourra mettre à mal l’insécurité quotidienne, le trafic en tous genres, ainsi que le terrorisme.
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Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
2008 : l’argent liquide de la drogue utilisé pour sauver les banques
Antonio Maria Costa, directeur exécutif de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC), a souligné, dans une interview accordée le 27 janvier 2009 à l’hebdomadaire autrichien Profil , le rôle de l’argent de la drogue dans le renflouement du système financier. Nous en présentons ici un extrait :
Le trafic de drogue en ce moment pourrait être la seule industrie en croissance, avec peu de chômage. L’argent qui est fait revient seulement en partie dans les activités illégales, en partie en Asie et en Amérique du Sud, où il est utilisé pour acheter des politiciens ou des élections, ou pour financer des insurgés comme les Talibans en Afghanistan, les Tigres Tamouls au Sri Lanka ou les FARC en Colombie, par exemple. (...)
[Le reste de l’argent] est injecté dans l’économie réelle grâce au blanchiment. Nous ne savons pas combien, mais le volume est imposant. En tant que tel, du point de vue des effets macro-économiques, il s’agit seulement d’apport en capital d’investissement. Il y a des indications montrant que ces fonds ont terminé dans le secteur financier, qui s’est trouvé sous une énorme pression au cours du deuxième semestre de l’année dernière. (...)
Dans de nombreux cas, l’argent de la drogue est actuellement la seule source de liquidité disponible pour acheter de l’immobilier, par exemple. Pendant la deuxième moitié de 2008, le manque de liquidité étant le principal problème du système bancaire, ces capitaux liquides sont devenus un facteur important. (...)
Nous devons considérer l’interdépendance entre la drogue et la criminalité ; toute autre approche serait irresponsable. (…) La légalisation provoquerait inévitablement une forte augmentation de la dépendance à la drogue. (…) [Lorsque les Britanniques donnèrent plus de 100 millions d’euros pour compenser les fermiers afghans pour leurs récoltes d’opium], cela eut l’effet opposé. En un an, la culture avait doublé car les fermiers savaient que si les trafiquants n’achetaient pas leur opium, alors ils se disaient « j’obtiendrai mon argent des Britanniques ».
Le narco-renflouement des banques
Antonio Maria Costa, directeur exécutif de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC), a souligné, dans une interview accordée le 27 janvier 2009 à l’hebdomadaire autrichien Profil , le rôle de l’argent de la drogue dans le renflouement du système financier. Nous en présentons ici un extrait :
Le trafic de drogue en ce moment pourrait être la seule industrie en croissance, avec peu de chômage. L’argent qui est fait revient seulement en partie dans les activités illégales, en partie en Asie et en Amérique du Sud, où il est utilisé pour acheter des politiciens ou des élections, ou pour financer des insurgés comme les Talibans en Afghanistan, les Tigres Tamouls au Sri Lanka ou les FARC en Colombie, par exemple. (...)
[Le reste de l’argent] est injecté dans l’économie réelle grâce au blanchiment. Nous ne savons pas combien, mais le volume est imposant. En tant que tel, du point de vue des effets macro-économiques, il s’agit seulement d’apport en capital d’investissement. Il y a des indications montrant que ces fonds ont terminé dans le secteur financier, qui s’est trouvé sous une énorme pression au cours du deuxième semestre de l’année dernière. (...)
Dans de nombreux cas, l’argent de la drogue est actuellement la seule source de liquidité disponible pour acheter de l’immobilier, par exemple. Pendant la deuxième moitié de 2008, le manque de liquidité étant le principal problème du système bancaire, ces capitaux liquides sont devenus un facteur important. (...)
Nous devons considérer l’interdépendance entre la drogue et la criminalité ; toute autre approche serait irresponsable. (…) La légalisation provoquerait inévitablement une forte augmentation de la dépendance à la drogue. (…) [Lorsque les Britanniques donnèrent plus de 100 millions d’euros pour compenser les fermiers afghans pour leurs récoltes d’opium], cela eut l’effet opposé. En un an, la culture avait doublé car les fermiers savaient que si les trafiquants n’achetaient pas leur opium, alors ils se disaient « j’obtiendrai mon argent des Britanniques ».
Le narco-renflouement des banques
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Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Les principaux centres financiers offshore sont britanniques
Selon le Global Financial Centres Index 2011, les cinq principaux centres financiers offshore sont des Territoires britanniques d’outre-mer (British oversee territories - BOT) ou des Dépendances de la Couronne britannique (Crown Dependencies - CD) :
Jersey (CD) Guernesey (CD) Iles Caïmans (BOT) Bermudes (BOT) Ile de Man (CD) Est-ce que les nouvelles règles et accords concernant les pays situés sur la liste noire établie à la suite de la crise financière ont fait une différence ? La volonté de mettre fin à ce type de pratique a été déclarée, mais cela a-t-il changé quoi que ce soit ?
Pas vraiment. Certains pays combattent de manière très agressive toute tentative de les placer sur la liste. Une dévaluation par le GAFI est presque l’équivalent moral d’une baisse de la note par une agence de notation. Malheureusement, j’ai eu affaire à de nombreux pays d’Afrique de l’ouest à travers lesquels nous avons constaté, lorsque j’étais à la tête de l’UNODC, un large transit de stupéfiants en provenance de Colombie, du Vénézuela, du Brésil, en chemin vers l’Europe. Ce que nous avons aussi remarqué, et cela n’est pas surprenant, c’est la croissance rapide d’un secteur bancaire qui n’est pas justifiée par la taille de ces économies, ou par la complexité de l’économie réelle de ces pays.
Pour revenir à l’aspect américain et européen, vous avez écrit un article sur votre site intitulé L’économie du crime, dans lequel vous avez parlé d’une « armée de criminels en col blanc – des avocats, des comptables, des agents immobiliers et des banquiers – qui couvrent les activités [des trafiquants de drogue] et blanchissent leurs revenus. » Par conséquent vous dites que la structure s’étend aux banques et organisations des pays occidentaux. Est-ce que les gouvernements et agences gouvernementales sont équipés pour faire face à ce problème ? De quoi ont ils besoin pour être efficaces ? Est-ce une question de volonté, ou de manque d’instruments appropriés ?
Je dirais probablement les deux. Entre le système bancaire régulier et régulé d’un côté et les organisations criminelles de l’autre, il y a une armée de banquiers, de conseillers financiers, d’agents immobiliers, de notaires, d’avocats, etc., qui constituent réellement un problème.
J’ai vu très peu d’effort pour les combattre. Nos pays, nos sociétés, nos gouvernements doivent être capables de rompre le lien entre les vrais criminels, ceux qui se promènent le revolver à la ceinture, et les banquiers. Dans les institutions financières il y a des gens qui sont impliqués dans le blanchiment non pas de l’argent sale en temps que tel, mais dans les tâches administratives nécessaires pour rendre licite l’argent sale.
Trafic de drogue et système bancaire – Interview avec Antonio (...) - Solidarité & Progrès http://m.solidariteetprogres.org/actualites-001/Trafic-de-drogue-et-systeme-bancaire-Interview-avec-Antonio-Maria-Costa_08781.html
L’article complet .
Selon le Global Financial Centres Index 2011, les cinq principaux centres financiers offshore sont des Territoires britanniques d’outre-mer (British oversee territories - BOT) ou des Dépendances de la Couronne britannique (Crown Dependencies - CD) :
Jersey (CD) Guernesey (CD) Iles Caïmans (BOT) Bermudes (BOT) Ile de Man (CD) Est-ce que les nouvelles règles et accords concernant les pays situés sur la liste noire établie à la suite de la crise financière ont fait une différence ? La volonté de mettre fin à ce type de pratique a été déclarée, mais cela a-t-il changé quoi que ce soit ?
Pas vraiment. Certains pays combattent de manière très agressive toute tentative de les placer sur la liste. Une dévaluation par le GAFI est presque l’équivalent moral d’une baisse de la note par une agence de notation. Malheureusement, j’ai eu affaire à de nombreux pays d’Afrique de l’ouest à travers lesquels nous avons constaté, lorsque j’étais à la tête de l’UNODC, un large transit de stupéfiants en provenance de Colombie, du Vénézuela, du Brésil, en chemin vers l’Europe. Ce que nous avons aussi remarqué, et cela n’est pas surprenant, c’est la croissance rapide d’un secteur bancaire qui n’est pas justifiée par la taille de ces économies, ou par la complexité de l’économie réelle de ces pays.
Pour revenir à l’aspect américain et européen, vous avez écrit un article sur votre site intitulé L’économie du crime, dans lequel vous avez parlé d’une « armée de criminels en col blanc – des avocats, des comptables, des agents immobiliers et des banquiers – qui couvrent les activités [des trafiquants de drogue] et blanchissent leurs revenus. » Par conséquent vous dites que la structure s’étend aux banques et organisations des pays occidentaux. Est-ce que les gouvernements et agences gouvernementales sont équipés pour faire face à ce problème ? De quoi ont ils besoin pour être efficaces ? Est-ce une question de volonté, ou de manque d’instruments appropriés ?
Je dirais probablement les deux. Entre le système bancaire régulier et régulé d’un côté et les organisations criminelles de l’autre, il y a une armée de banquiers, de conseillers financiers, d’agents immobiliers, de notaires, d’avocats, etc., qui constituent réellement un problème.
J’ai vu très peu d’effort pour les combattre. Nos pays, nos sociétés, nos gouvernements doivent être capables de rompre le lien entre les vrais criminels, ceux qui se promènent le revolver à la ceinture, et les banquiers. Dans les institutions financières il y a des gens qui sont impliqués dans le blanchiment non pas de l’argent sale en temps que tel, mais dans les tâches administratives nécessaires pour rendre licite l’argent sale.
Trafic de drogue et système bancaire – Interview avec Antonio (...) - Solidarité & Progrès http://m.solidariteetprogres.org/actualites-001/Trafic-de-drogue-et-systeme-bancaire-Interview-avec-Antonio-Maria-Costa_08781.html
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Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
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Marie, tu peux nous épargner STP ton déluge verbal, que personne ne lit, étalé sur une vingtaine de post ???
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Marie, tu peux nous épargner STP ton déluge verbal, que personne ne lit, étalé sur une vingtaine de post ???
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Date d'inscription : 03/12/2021
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
https://www.courrierinternational.com/article/trafic-de-drogue-comment-lor-sale-blanchit-largent-des-narcos-aux-etats-unis
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Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Jeanlouis12 a écrit:.
Marie, tu peux nous épargner STP ton déluge verbal, que personne ne lit, étalé sur une vingtaine de post ???
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T'aime les mensonges des médias dominants ?
N'est ce pas ??
Invité- Invité
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
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Non, mais ils ne me dérangent pas, je m'en tape, je suis au-dessus de ces balivernes..
En faire une fixette permanente comme tu le fais va t'amener des troubles psychos, outre le risque de te faire virer castorette !!!
.
Non, mais ils ne me dérangent pas, je m'en tape, je suis au-dessus de ces balivernes..
En faire une fixette permanente comme tu le fais va t'amener des troubles psychos, outre le risque de te faire virer castorette !!!
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
@ Dan
Ce sont des articles de presse que les médias dominants ne relayent jamais
N'oublie pas de porter plainte contre les journalistes qui sont responsables de ces articles
Je ne fais que relayer par exemple sur la famille Zemmour
Quand on écrit des mensonges sur les jeunes des cités , ça n'a pas l'air de te déranger?
Deux poids deux mesures.
Je rétablis la vérité car je déteste les mensonges
L'arnaque Cocaïne, CO2 , président etc elles sont connues
Ce sont des articles de presse que les médias dominants ne relayent jamais
N'oublie pas de porter plainte contre les journalistes qui sont responsables de ces articles
Je ne fais que relayer par exemple sur la famille Zemmour
Quand on écrit des mensonges sur les jeunes des cités , ça n'a pas l'air de te déranger?
Deux poids deux mesures.
Je rétablis la vérité car je déteste les mensonges
L'arnaque Cocaïne, CO2 , président etc elles sont connues
Dernière édition par Marie 24 le Sam 8 Jan - 11:24, édité 4 fois
Invité- Invité
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Jeanlouis12 a écrit:.
Non, mais ils ne me dérangent pas, je m'en tape, je suis au-dessus de ces balivernes..
En faire une fixette permanente comme tu le fais va t'amener des troubles psychos, outre le risque de te faire virer castorette !!!
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Je suis une femme !!!;
Invité- Invité
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Jeanlouis12 a écrit:.
Non, mais ils ne me dérangent pas, je m'en tape, je suis au-dessus de ces balivernes..
En faire une fixette permanente comme tu le fais va t'amener des troubles psychos, outre le risque de te faire virer castorette !!!
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C'est c'la Oui !
Invité- Invité
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
t'es chiante avec tous tes coller, Marie avec tout le respect que je te dois bien entendu
ztylo- Sage
- Messages : 4298
Date d'inscription : 15/07/2021
Localisation : occitanie
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
Je suis émerveillé par cette avalanche de messages , parfois répétés 4 fois , vous devez être insomniaque ces derniers jours , Marie 24 ?
Cela m'a permis d'apprendre que pour vous E ZEMMOUR avait 4 frères , j'étais resté sur 1 seul ?
C'est important, du fait des accusations que vous portez , je n'ai qu'un frère , et pourtant le nombre de Français qui portent le même nom que moi sont des milliers !
Cela m'a permis d'apprendre que pour vous E ZEMMOUR avait 4 frères , j'étais resté sur 1 seul ?
C'est important, du fait des accusations que vous portez , je n'ai qu'un frère , et pourtant le nombre de Français qui portent le même nom que moi sont des milliers !
Darbut- Sage
- Messages : 3790
Date d'inscription : 16/05/2021
Re: E ZEMMOUR CANDIDAT ?
darbut a écrit:Je suis émerveillé par cette avalanche de messages , parfois répétés 4 fois , vous devez être insomniaque ces derniers jours , Marie 24 ?
Cela m'a permis d'apprendre que pour vous E ZEMMOUR avait 4 frères , j'étais resté sur 1 seul ?
C'est important, du fait des accusations que vous portez , je n'ai qu'un frère , et pourtant le nombre de Français qui portent le même nom que moi sont des milliers !
C'est la famille de Zemmour que ça vous plaise ou non
Pont barre !
Zemmour ne veut pas qu'on découvre le passé du grand banditisme de sa famille, ça pourrait le discrédit surtout lorsque qu'il attaque les jeunes des cités
C'est pour ça qu'il ment en disant qu'il n'a qu'un frère pour éviter de remonter au passé dangereux de sa famille
Des cousins d'Eric Zemmour
Invité- Invité
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