Ubérisation : victoire historique pour 4,1 millions de travailleurs qui pourraient devenir salariés !

[Invité]

Ubérisation. Coup de tonnerre, dans l’arène bruxelloise, la Commission européenne propose que les travailleurs de plateformes numériques soient reconnus comme salariés !

Selon ses estimations, ce sont jusqu’à 4,1 millions de travailleurs (livreurs et chauffeurs pour la plupart) qui seraient concernés par cette requalification. Victoire pour les travailleurs, défaite en rase campagne pour Uber, Deliveroo et Emmanuel Macron. Victoire toute particulière pour l’eurodéputée insoumise Leïla Chaibi. Notre article.

Présomption de salariat pour les travailleurs de plateformes numériques : l’aboutissement de deux ans de combat au Parlement européen
La Commission européenne vient de publier une proposition de directive imposant une présomption de salariat pour les travailleurs des plateformes numériques. Cela signifie que les livreurs de repas à domicile, les conducteurs de VTC et l’ensemble des travailleurs ubérisés seront par défaut reconnus comme salariés et bénéficieront donc du salaire minimum, de congés payés, de la sécurité sociale, d’arrêts de travail, etc. Cette avancée sociale majeure est l’aboutissement de deux ans de travail mené par Leïla Chaibi, députée européenne membre de la Commission de l’emploi et des affaires sociales. Que de chemin parcouru depuis la présentation par l’eurodéputée en octobre 2019 de la première proposition de directive allant dans ce sens, alors qu’Uber se sentait à l’époque en terrain conquis et entendait profiter du chantier législatif ouvert par l’Union européenne pour créer un « tiers statut », hybride, entre salarié et travailleur indépendant.

[lepape]

Ubérisation. Coup de tonnerre, dans l’arène bruxelloise, la Commission européenne propose que les travailleurs de plateformes numériques soient reconnus comme salariés !

Selon ses estimations, ce sont jusqu’à 4,1 millions de travailleurs (livreurs et chauffeurs pour la plupart) qui seraient concernés par cette requalification. Victoire pour les travailleurs, défaite en rase campagne pour Uber, Deliveroo et Emmanuel Macron. Victoire toute particulière pour l’eurodéputée insoumise Leïla Chaibi. Notre article.

Présomption de salariat pour les travailleurs de plateformes numériques : l’aboutissement de deux ans de combat au Parlement européen
La Commission européenne vient de publier une proposition de directive imposant une présomption de salariat pour les travailleurs des plateformes numériques. Cela signifie que les livreurs de repas à domicile, les conducteurs de VTC et l’ensemble des travailleurs ubérisés seront par défaut reconnus comme salariés et bénéficieront donc du salaire minimum, de congés payés, de la sécurité sociale, d’arrêts de travail, etc. Cette avancée sociale majeure est l’aboutissement de deux ans de travail mené par Leïla Chaibi, députée européenne membre de la Commission de l’emploi et des affaires sociales. Que de chemin parcouru depuis la présentation par l’eurodéputée en octobre 2019 de la première proposition de directive allant dans ce sens, alors qu’Uber se sentait à l’époque en terrain conquis et entendait profiter du chantier législatif ouvert par l’Union européenne pour créer un « tiers statut », hybride, entre salarié et travailleur indépendant.

Voilà une bonne chose , ça redressera les injustices pour ces salarié (es) souvent des salarié (es) klineeex . On s'en sert et au revoir . C'est bien si ils et elles ont un statut.

[Jean-Louis de Toqueville]

Ubérisation. Coup de tonnerre, dans l’arène bruxelloise, la Commission européenne propose que les travailleurs de plateformes numériques soient reconnus comme salariés !

Selon ses estimations, ce sont jusqu’à 4,1 millions de travailleurs (livreurs et chauffeurs pour la plupart) qui seraient concernés par cette requalification. Victoire pour les travailleurs, défaite en rase campagne pour Uber, Deliveroo et Emmanuel Macron. Victoire toute particulière pour l’eurodéputée insoumise Leïla Chaibi. Notre article.

Présomption de salariat pour les travailleurs de plateformes numériques : l’aboutissement de deux ans de combat au Parlement européen
La Commission européenne vient de publier une proposition de directive imposant une présomption de salariat pour les travailleurs des plateformes numériques. Cela signifie que les livreurs de repas à domicile, les conducteurs de VTC et l’ensemble des travailleurs ubérisés seront par défaut reconnus comme salariés et bénéficieront donc du salaire minimum, de congés payés, de la sécurité sociale, d’arrêts de travail, etc. Cette avancée sociale majeure est l’aboutissement de deux ans de travail mené par Leïla Chaibi, députée européenne membre de la Commission de l’emploi et des affaires sociales. Que de chemin parcouru depuis la présentation par l’eurodéputée en octobre 2019 de la première proposition de directive allant dans ce sens, alors qu’Uber se sentait à l’époque en terrain conquis et entendait profiter du chantier législatif ouvert par l’Union européenne pour créer un « tiers statut », hybride, entre salarié et travailleur indépendant.

Pour l'instant, il ne s'agit que d'une proposition de directive et elle n'est pas encore adoptée. Il y aura bien sûr, comme toujours, des négociations et de puissants lobbies qui vont apporter leur contribution.
Il est donc beaucoup trop tôt pour crier victoire avant le vote, d'autant que la doctrine libérale de l'UE étant bien connue, il serait étonnant qu'elle corsète cet important secteur économique, animé par de jeunes travailleurs qui se satisfont pour la plupart de ce statut. Bcp d'entre eux ne veulent pas du reste devenir salariés.

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[Minos de Rhadamanthe]

Ils pourraient surtout tous devenir chômeurs !! Car si le modèle économique ne convient plus à Uber... Uber fermera un point c'est tout... et sans Uber, ils feront quoi les futurs salariés ?!

[Jean-Louis de Toqueville]

Ils pourraient surtout tous devenir chômeurs !! Car si le modèle économique ne convient plus à Uber... Uber fermera un point c'est tout... et sans Uber, ils feront quoi les futurs salariés ?!

Uber ne fermera pas, même si le droit positif découlant de la directive à venir lui est défavorable. Il s'adaptera en modifiant ses contrats et surtout ses conditions théoriques d'emploi de ses collaborateurs.
Et comme les dirigeants d'Uber et ceux des autres boîtes du secteur sont bien conseillés, ils accepteront de recruter quelques salariés pour montrer à l'opinion et aux pouvoirs publics qu'ils ont aussi des salariés parmi leurs collaborateurs.


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[Invité]

Ils pourraient surtout tous devenir chômeurs !! Car si le modèle économique ne convient plus à Uber... Uber fermera un point c'est tout... et sans Uber, ils feront quoi les futurs salariés ?!

Sur le fond un avis sur le traitement inhumain de ces salariés.

[Invité]

Ils pourraient surtout tous devenir chômeurs !! Car si le modèle économique ne convient plus à Uber... Uber fermera un point c'est tout... et sans Uber, ils feront quoi les futurs salariés ?!

Un coup d’arrêt à des pratiques capitalistes malsaines qui est salutaire et que notre famille politique est fière de pouvoir revendiquer, car ici il s’agit comme le dit Leïla Chaibi, de l’ensemble du droit du travail qui est soumis à de fortes pressions pour le faire régresser.
Nous défendons l’accès pour les êtres humains à un emploi pour tous, avec un statut honnête, un contrat stable, et une rémunération calculée sur la redistribution de la richesse produite.
Mettons fin au gavage de quelques-uns dont l’hégémonie ne repose que sur la misère de tous les autres.

[Minos de Rhadamanthe]

Ils pourraient surtout tous devenir chômeurs !! Car si le modèle économique ne convient plus à Uber... Uber fermera un point c'est tout... et sans Uber, ils feront quoi les futurs salariés ?!

Uber ne fermera pas, même si le droit positif découlant de la directive à venir lui est défavorable. Il s'adaptera en modifiant ses contrats et surtout ses conditions théoriques d'emploi de ses collaborateurs.
Et comme les dirigeants d'Uber et ceux des autres boîtes du secteur sont bien conseillés, ils accepteront de recruter quelques salariés pour montrer à l'opinion et aux pouvoirs publics qu'ils ont aussi des salariés parmi leurs collaborateurs.
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Uber et Deliveroo sont déjà partis d'Espagne pour ces raisons...
Vous croyez qu'ils ne le feraient pas pour la France ?!

[Minos de Rhadamanthe]

Ils pourraient surtout tous devenir chômeurs !! Car si le modèle économique ne convient plus à Uber... Uber fermera un point c'est tout... et sans Uber, ils feront quoi les futurs salariés ?!

Sur le fond un avis sur le traitement inhumain de ces salariés.

1. Ce ne sont pas des salariés.
2. Ils ne sont pas moins bien traités que n'importe quel entrepreneur en France, mais bizarrement, le sort des 2 millions de petits patrons qui bossent 70h par semaine ne semble pas vous émouvoir...

Un commentaire sur ces 2 millions de petits patrons qui bossent comme des malades pour payer leurs salariés ?

[Jeannot Lapin]

Ils pourraient surtout tous devenir chômeurs !! Car si le modèle économique ne convient plus à Uber... Uber fermera un point c'est tout... et sans Uber, ils feront quoi les futurs salariés ?!

Uber ne fermera pas, même si le droit positif découlant de la directive à venir lui est défavorable. Il s'adaptera en modifiant ses contrats et surtout ses conditions théoriques d'emploi de ses collaborateurs.
Et comme les dirigeants d'Uber et ceux des autres boîtes du secteur sont bien conseillés, ils accepteront de recruter quelques salariés pour montrer à l'opinion et aux pouvoirs publics qu'ils ont aussi des salariés parmi leurs collaborateurs.
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Uber et Deliveroo sont déjà partis d'Espagne pour ces raisons...
Vous croyez qu'ils ne le feraient pas pour la France ?!

La France n'est pas leur marché ultime. C'est même une galère pour les indépendants qui se coltinent des impôts supérieurs à ce qu'ils devraient (ils sont traités comme les putes par le fisc) et des règles défavorables.
la vérité c'est que ceux qui s'en sont bien sortis durant le confinement du Covid ce sont ceux qui faisaient du trafic de drogue en parallèle des livraisons normales. Ca donne une idée du pourquoi rien ne marche en France.
Tout ce que vous faites légalement est encadré, restreint et taxé. Tout ce que vous faites illégalement et qui vous permet de vous en sortir, ne l'est pas, et on ferme les yeux, notamment si vous faites partie des minorités majorités des quartiers sensibles.

[Jean-Louis de Toqueville]

Ils pourraient surtout tous devenir chômeurs !! Car si le modèle économique ne convient plus à Uber... Uber fermera un point c'est tout... et sans Uber, ils feront quoi les futurs salariés ?!

Un coup d’arrêt à des pratiques capitalistes malsaines qui est salutaire et que notre famille politique est fière de pouvoir revendiquer, car ici il s’agit comme le dit Leïla Chaibi, de l’ensemble du droit du travail qui est soumis à de fortes pressions pour le faire régresser.
Nous défendons l’accès pour les êtres humains à un emploi pour tous, avec un statut honnête, un contrat stable, et une rémunération calculée sur la redistribution de la richesse produite.
Mettons fin au gavage de quelques-uns dont l’hégémonie ne repose que sur la misère de tous les autres.

Voilà un plaidoyer pro domo pour une société collectiviste et communiste dont personne ne veut. Les communistes sont 4 ou 5 partis et font ensemble 5 ou 6 % des voix ! il n'y aura jamais plus de communisme en France, ni sur cette planète, leurs crimes et génocides passés leur interdisent à jamais de franchir les portes du pouvoir.


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