L'immunité collective nationale ou même continentale est une galéjade :

[Vladimir de Volog]

L'immunité collective nationale ou même continentale est une galéjade :

Nous vivons dans un monde mondialisé où les frontières ne servent qu'à emmerder tout le monde sans jamais empêcher que les gens se déplacent quand même (sans compter les marchandises dont on favorise les délocalisations alors que leurs déplacements créent bien plus de dégâts environnementaux et climatiques que les déplacements humains).

On pourra multiplier les doses de vaccins aux occidentaux, passer à 12 vaccinations par an, on n'empêchera pas que de nouveaux variants apparaissent, avec le risque qu'ils soient plus dangereux, tant qu'on n'aura pas donné accès au vaccin à tous les habitants de la planète.

Parce que l'immunité ne peut être que mondiale ou pas.

Et cela, ça passe par la levée des brevets.

Les firmes pharmaceutiques auraient tout à y perdre, l'Humanité tout à y gagner.

Pour le moment, les dirigeants du G7 ont choisi les firmes pharmaceutiques.

Et ça fait des morts.

[Henri-Gatien Bertrand]

Ce n'est pas un vaccin qu'il faut, c'est des traitements, or, ils existent mais sont interdits, pourquoi ?
Si on est en guerre comme aime le dire l'autre con, on devrait mettre tous les moyens pour gagner, or, on mise tout sur un pseudo vaccin qui n'en est pas un.
C'est un peu comme si durant la seconde guerre mondiale les allés avaient tout misé sur la cavalerie, on aurait eu des armée de cavaliers incroyables mais face à des panzers, ça se serait mal terminé pour les cavaliers et pour nous.