Un chef de la BAC jugé pour avoir tasé ses subordonnés

[Vladimir de Volog]

Un chef de la BAC jugé pour avoir tasé ses subordonnés

Un policier de la brigade anticriminalité (BAC) a comparu mardi, devant le tribunal de Créteil. Il aurait à plusieurs reprises tasé et frappé deux collègues. Un « jeu » pour lequel il risque deux ans de prison et l’interdiction d’exercer son métier de policier. Les blessures ont été profondes. Les deux subordonnés blessés ont eu une incapacité de travail supérieure à huit jours.

Le taser n’est normalement pas une arme létale mais il reste une arme, dont la dangerosité n’est pas à sous-estimer. En 2019, un homme est même décédé après avoir reçu un tir.

La décision a été mise en délibéré, le 15 mars 2022, il risque deux ans de prison et l’interdiction d’exercer son métier de policier.

[Edouard de Montmonrency]

... Le problème, c'est les potentielles séquelles après sur le plan neurologique et nerveux.
(c'est survoltant ou révoltant?)

[Vladimir de Volog]

... Le problème, c'est les potentielles séquelles après sur le plan neurologique et nerveux.
(c'est survoltant ou révoltant?)

Une policière me disait dernièrement :


"la BAC, c'est la poubelle de la police" ... ça veut tout dire.

[Oligark]

Et pourtant on en a fait la promotion dans un film me semble t-il? Mais la police nous protège, ce sont les délinquants qu'il faut traquer et non pas la police qui reste un métier à risques.

[Plaristes Evariste]

En même temps la BAC ce sont de gros durs qu'on envoie au case pipe sans qu'ils aient besoin d'activer leur cerveau.

D'où la formation douteuse... Je suis sûr que ce genre de pratique a souvent lieu !

[Vladimir de Volog]

Et pourtant on en a fait la promotion dans un film me semble t-il? Mais la police nous protège, ce sont les délinquants qu'il faut traquer et non pas la police qui reste un métier à risques.

Parfois un risque pour les autres, en particulier pour les femmes. Ce policier féminicide toujours recherché, et cet autre dans un commissariat girondin, qui classe une affaire de violence envers une femme, qui finira par le meurtre de cette épouse par un mari dément. Le policier qui avait reçu la victime frappait aussi sa propre femme.

Il y a du ménage à faire dans la police, et surtout leur donner une véritable formation, en excluant tous les violents et racistes, qui s'inscrivent dans la police

[Plaristes Evariste]

Le risque qui me préoccupe le plus c'est que els mecs deviennet ripoux et pis c'est marre !


On n’attaque pas une organisation par la racine, ou coup la tête après on tue les mauvaises herbe.


D'ailleurs ça été faita ux U.S.A la police faisait ce boulot et ça marchait, mais des gas qui étaient bien placé au congrès et qui étaient employés par l'industrie pharmaceutique qui dealait ce genre de drogue (#héroïne.)

Sont intervenu pour rectifier le tir !

[Vladimir de Volog]

Le traitement des flagrants délits peut amener la BAC dans les faits à procéder à des contrôles d'identités et à des fouilles corporelles, selon Le Monde, semblant injustifiées ou musclées sur les passants . Régulièrement, la BAC est accusée de faire un usage disproportionné de la provocation et de la violence, en particulier envers les populations des quartiers populaires et lors des manifestations.

Durant la présidence de Nicolas Sarkozy, la BAC a été accusée par l'anthropologue Didier Fassin de voir ses activités dévoyées dans le but de « faire du chiffre », à savoir de multiplier les interpellations d’étrangers en situation irrégulière et de détenteurs de haschich dans le but de respecter des objectifs chiffrés fixés par le ministère de l’Intérieur à défaut de parvenir à interpeller des délinquants avérés. Cette critique avait été rejetée par le ministre de l’Intérieur de l’époque Claude Guéant. Claude Guéant a été incarcéré à la prison de la Santé, à Paris. En début de journée, un mandat de dépôt a été prononcé par un juge d'application des peines. Cette décision intervient dans le cadre du dossier des "primes de cabinet".

La bac et son ancien ministre ont les mains sales....

[Frelon]

Le traitement des flagrants délits peut amener la BAC dans les faits à procéder à des contrôles d'identités et à des fouilles corporelles, selon Le Monde, semblant injustifiées ou musclées sur les passants . Régulièrement, la BAC est accusée de faire un usage disproportionné de la provocation et de la violence, en particulier envers les populations des quartiers populaires et lors des manifestations.

Durant la présidence de Nicolas Sarkozy, la BAC a été accusée par l'anthropologue Didier Fassin de voir ses activités dévoyées dans le but de « faire du chiffre », à savoir de multiplier les interpellations d’étrangers en situation irrégulière et de détenteurs de haschich dans le but de respecter des objectifs chiffrés fixés par le ministère de l’Intérieur à défaut de parvenir à interpeller des délinquants avérés. Cette critique avait été rejetée par le ministre de l’Intérieur de l’époque Claude Guéant.  Claude Guéant a été incarcéré à la prison de la Santé, à Paris. En début de journée, un mandat de dépôt a été prononcé par un juge d'application des peines. Cette décision intervient dans le cadre du dossier des "primes de cabinet".

La bac et son ancien ministre ont les mains sales....

Pour une fois que nous sommes d'accord, je le signale... En effet, Il n'y a pas grand chose de bien pour la France qui est sorti de la cervelle de Monsieur Sarkozy... agir sans réfléchir aux conséquences et toujours dans la précipitation évènementielle tel est le mode d'action de ce mini-président complexé.

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