Faites vous un boulot à la con?

[Oligark]

Et oui les parasites ne sont pas toujours ceux que l'on croit. Pour ça il faut comprendre ce que signifie être productif pour la société!

Bien évidemment la majorité de ces métiers à explosé sous Macron : ils sont devenus expert en passivité!

Ainsi, pour David Graeber, la première question à se poser est avant tout d’interroger son intime conviction à propos de l’emploi actuel que l’on occupe. Fais-je un bullshit job? Pour celles et ceux qui chercheraient des clés plus précises, plusieurs médias proposent des tests pour savoir si l’on exerce un “bullshit job”. C’est le cas en français par exemple de Libération ou du site Merci Alfred.

Les larbins

Ils ne sont là que pour faire en sorte qu'une autre personne se sente importante. Un bon exemple est celui de l'opérateur qui reçoit trois appels téléphoniques par jour mais qui est principalement là pour donner à l'entreprise une apparence plus professionnelle.


Les porte-flingues

Pour défier les brutes de la concurrence. Avocats, spécialistes des relations publiques, télévendeurs... Ils représentent leur entreprise de manière agressive pour devancer les autres.

"Les rafistoleurs”

Ils réparent, ils bricolent, retricotent même ce que d’autres dérangent au-dessus ou au même niveau qu’eux. “Ceux dont le job n’a d’autre raison d’être que les pépins ou anomalies qui enrayent une organisation - en somme, ils sont là pour régler des problèmes qui ne devraient pas exister.” Cela concerne souvent les services techniques et informatiques mais pas seulement.

L’anthropologue cite ainsi l’exemple d’une personne d’une prestigieuse université anglaise qui travaillait aux côtés d’un menuisier chargé de réparer tous les problèmes des bâtiments. Le travail du premier consistait principalement à s’excuser du fait que le menuisier n’était pas encore passé à tel ou tel endroit où il était attendu.

“Les cocheurs de case”

Redorer l’image d’une entreprise sans pouvoir la modifier de l’intérieur. “Ces employés dont la seule ou principale raison d’être est de permettre à une organisation de prétendre faire quelque chose qu’en réalité elle ne fait pas.”

Dans les différents témoignages qu’il cite, David Graeber mentionne une jeune femme qui l’a contacté pour lui raconter que ses missions consistaient à coordonner des activités de loisirs au sein d’une maison de retraite. Elle passait cependant plus de temps à faire remplir des formulaires sur leurs envies aux pensionnaires plutôt qu’à s’occuper des fameuses activités. On trouve aussi beaucoup de “cocheurs de case” quand il s’agit de préparer de longs et magnifiques PowerPoint pour faire des présentations que personne ne lira vraiment.

“Les petits chefs”


Certainement la catégorie qui parlera au plus grand nombre. David Graeber en distingue deux types: les petits chefs, convaincus que leur équipe pourrait très bien réaliser leurs missions sans eux ou ceux qui donnent des missions ”à la con” ou créent et recrutent pour des “boulots à la con”, une activité que l’auteur appelle “bullshitiser la vie des autres”.
Posez-vous la question

Pour mieux entendre le travail de recherche de l’anthropologue, il faut comprendre qu’il ne veut pas se poser en juge qui assenerait que telle ou telle personne exerce un “boulot à la con”. Il laisse cela avant tout à l’appréciation de chacun, il assume la grande part de subjectivité de sa définition d’un “job à la con”.

[Oligark]

Et oui les parasites ne sont pas toujours ceux que l'on croit. Pour ça il faut comprendre ce que signifie être productif pour la société!

Bien évidemment la majorité de ces métiers à explosé sous Macron : ils sont devenus expert en passivité!

Ainsi, pour David Graeber, la première question à se poser est avant tout d’interroger son intime conviction à propos de l’emploi actuel que l’on occupe. Fais-je un bullshit job? Pour celles et ceux qui chercheraient des clés plus précises, plusieurs médias proposent des tests pour savoir si l’on exerce un “bullshit job”. C’est le cas en français par exemple de Libération ou du site Merci Alfred.

Les larbins

Ils ne sont là que pour faire en sorte qu'une autre personne se sente importante. Un bon exemple est celui de l'opérateur qui reçoit trois appels téléphoniques par jour mais qui est principalement là pour donner à l'entreprise une apparence plus professionnelle.


Les porte-flingues

Pour défier les brutes de la concurrence. Avocats, spécialistes des relations publiques, télévendeurs... Ils représentent leur entreprise de manière agressive pour devancer les autres.

"Les rafistoleurs”

Ils réparent, ils bricolent, retricotent même ce que d’autres dérangent au-dessus ou au même niveau qu’eux. “Ceux dont le job n’a d’autre raison d’être que les pépins ou anomalies qui enrayent une organisation - en somme, ils sont là pour régler des problèmes qui ne devraient pas exister.” Cela concerne souvent les services techniques et informatiques mais pas seulement.

L’anthropologue cite ainsi l’exemple d’une personne d’une prestigieuse université anglaise qui travaillait aux côtés d’un menuisier chargé de réparer tous les problèmes des bâtiments. Le travail du premier consistait principalement à s’excuser du fait que le menuisier n’était pas encore passé à tel ou tel endroit où il était attendu.

“Les cocheurs de case”

Redorer l’image d’une entreprise sans pouvoir la modifier de l’intérieur. “Ces employés dont la seule ou principale raison d’être est de permettre à une organisation de prétendre faire quelque chose qu’en réalité elle ne fait pas.”

Dans les différents témoignages qu’il cite, David Graeber mentionne une jeune femme qui l’a contacté pour lui raconter que ses missions consistaient à coordonner des activités de loisirs au sein d’une maison de retraite. Elle passait cependant plus de temps à faire remplir des formulaires sur leurs envies aux pensionnaires plutôt qu’à s’occuper des fameuses activités. On trouve aussi beaucoup de “cocheurs de case” quand il s’agit de préparer de longs et magnifiques PowerPoint pour faire des présentations que personne ne lira vraiment.

“Les petits chefs”


Certainement la catégorie qui parlera au plus grand nombre. David Graeber en distingue deux types: les petits chefs, convaincus que leur équipe pourrait très bien réaliser leurs missions sans eux ou ceux qui donnent des missions ”à la con” ou créent et recrutent pour des “boulots à la con”, une activité que l’auteur appelle “bullshitiser la vie des autres”.
Posez-vous la question

Pour mieux entendre le travail de recherche de l’anthropologue, il faut comprendre qu’il ne veut pas se poser en juge qui assenerait que telle ou telle personne exerce un “boulot à la con”. Il laisse cela avant tout à l’appréciation de chacun, il assume la grande part de subjectivité de sa définition d’un “job à la con”.

[Plaristes Evariste]

Vous lisez Graeber?

[Oligark]

Il explique que ce qui est en jeu ce n’est pas que la rationalité économique. Dans une économie financiarisée, ça ne marche pas comme dans le capitalisme classique, où des entreprises moyennes ou petites sont en concurrence sur un marché.

Là où ce type d’économie existe encore, vous ne trouverez pas beaucoup de boulots à la con. Dans la restauration, par exemple, les patrons ne vous payeront pas pour vous tourner les poucs. Mais si vous travaillez dans un banque comme la banque JP Morgan Chase, la logique est différente. L’essentiel des profits des grands groupes financiers ne viennent pas de ce qu’ils vendent, ni de ce qu’ils fabriquent, mais de rentes créées par la réglementation. Dans une certaine forme de gouvernance, l’inefficacité peut être efficace.

Et c'est pour ça que beaucoup de gens veulent changer de métier car ils s'aperçoivent que leur métier est de bien la mettre profond aux autres. Ils n'apportent aucune aide à la société et sont de véritable parasites. Un peu comme le gouvernement actuel en fait, ou plutôt leur parti qui ne sont que des parasites.

[Oligark]

Et oui les parasites ne sont pas toujours ceux que l'on croit. Pour ça il faut comprendre ce que signifie être productif pour la société!

Bien évidemment la majorité de ces métiers à explosé sous Macron : ils sont devenus expert en passivité!

Ainsi, pour David Graeber, la première question à se poser est avant tout d’interroger son intime conviction à propos de l’emploi actuel que l’on occupe. Fais-je un bullshit job? Pour celles et ceux qui chercheraient des clés plus précises, plusieurs médias proposent des tests pour savoir si l’on exerce un “bullshit job”. C’est le cas en français par exemple de Libération ou du site Merci Alfred.

Les larbins

Ils ne sont là que pour faire en sorte qu'une autre personne se sente importante. Un bon exemple est celui de l'opérateur qui reçoit trois appels téléphoniques par jour mais qui est principalement là pour donner à l'entreprise une apparence plus professionnelle.


Les porte-flingues

Pour défier les brutes de la concurrence. Avocats, spécialistes des relations publiques, télévendeurs... Ils représentent leur entreprise de manière agressive pour devancer les autres.

"Les rafistoleurs”

Ils réparent, ils bricolent, retricotent même ce que d’autres dérangent au-dessus ou au même niveau qu’eux. “Ceux dont le job n’a d’autre raison d’être que les pépins ou anomalies qui enrayent une organisation - en somme, ils sont là pour régler des problèmes qui ne devraient pas exister.” Cela concerne souvent les services techniques et informatiques mais pas seulement.

L’anthropologue cite ainsi l’exemple d’une personne d’une prestigieuse université anglaise qui travaillait aux côtés d’un menuisier chargé de réparer tous les problèmes des bâtiments. Le travail du premier consistait principalement à s’excuser du fait que le menuisier n’était pas encore passé à tel ou tel endroit où il était attendu.

“Les cocheurs de case”

Redorer l’image d’une entreprise sans pouvoir la modifier de l’intérieur. “Ces employés dont la seule ou principale raison d’être est de permettre à une organisation de prétendre faire quelque chose qu’en réalité elle ne fait pas.”

Dans les différents témoignages qu’il cite, David Graeber mentionne une jeune femme qui l’a contacté pour lui raconter que ses missions consistaient à coordonner des activités de loisirs au sein d’une maison de retraite. Elle passait cependant plus de temps à faire remplir des formulaires sur leurs envies aux pensionnaires plutôt qu’à s’occuper des fameuses activités. On trouve aussi beaucoup de “cocheurs de case” quand il s’agit de préparer de longs et magnifiques PowerPoint pour faire des présentations que personne ne lira vraiment.

“Les petits chefs”


Certainement la catégorie qui parlera au plus grand nombre. David Graeber en distingue deux types: les petits chefs, convaincus que leur équipe pourrait très bien réaliser leurs missions sans eux ou ceux qui donnent des missions ”à la con” ou créent et recrutent pour des “boulots à la con”, une activité que l’auteur appelle “bullshitiser la vie des autres”.
Posez-vous la question

Pour mieux entendre le travail de recherche de l’anthropologue, il faut comprendre qu’il ne veut pas se poser en juge qui assenerait que telle ou telle personne exerce un “boulot à la con”. Il laisse cela avant tout à l’appréciation de chacun, il assume la grande part de subjectivité de sa définition d’un “job à la con”.

Vous avez voulu Macaron, vous allez participer à agrandir cette liste " non exhaustive"

[Plaristes Evariste]

Il explique que ce qui est en jeu ce n’est pas que la rationalité économique. Dans une économie financiarisée, ça ne marche pas comme dans le capitalisme classique, où des entreprises moyennes ou petites sont en concurrence sur un marché.

Là où ce type d’économie existe encore, vous ne trouverez pas beaucoup de boulots à la con. Dans la restauration, par exemple, les patrons ne vous payeront pas pour vous tourner les poucs. Mais si vous travaillez dans un banque comme la banque JP Morgan Chase, la logique est différente. L’essentiel des profits des grands groupes financiers ne viennent pas de ce qu’ils vendent, ni de ce qu’ils fabriquent, mais de rentes créées par la réglementation. Dans une certaine forme de gouvernance, l’inefficacité peut être efficace.

Et c'est pour ça que beaucoup de gens veulent changer de métier car ils s'aperçoivent que leur métier est de bien la mettre profond aux autres. Ils n'apportent aucune aide à la société et sont de véritable parasites. Un peu comme le gouvernement actuel en fait, ou plutôt leur parti qui ne sont que des parasites.

Marx l'expliquait déjà avant lui en se cantonnant à des théories libérales révisées.
Ceci pour moi la plus grande avancée de Graeber c'est la dette 5 000 ans d'histoire !

C'ets une grande avancée par rapport aux travaux de Marx & Engels sur le plan Anthropologique !

[Jeannot Lapin]

Et oui les parasites ne sont pas toujours ceux que l'on croit. Pour ça il faut comprendre ce que signifie être productif pour la société!

Bien évidemment la majorité de ces métiers à explosé sous Macron : ils sont devenus expert en passivité!

Ainsi, pour David Graeber, la première question à se poser est avant tout d’interroger son intime conviction à propos de l’emploi actuel que l’on occupe. Fais-je un bullshit job? Pour celles et ceux qui chercheraient des clés plus précises, plusieurs médias proposent des tests pour savoir si l’on exerce un “bullshit job”. C’est le cas en français par exemple de Libération ou du site Merci Alfred.

Les larbins

Ils ne sont là que pour faire en sorte qu'une autre personne se sente importante. Un bon exemple est celui de l'opérateur qui reçoit trois appels téléphoniques par jour mais qui est principalement là pour donner à l'entreprise une apparence plus professionnelle.


Les porte-flingues

Pour défier les brutes de la concurrence. Avocats, spécialistes des relations publiques, télévendeurs... Ils représentent leur entreprise de manière agressive pour devancer les autres.

"Les rafistoleurs”

Ils réparent, ils bricolent, retricotent même ce que d’autres dérangent au-dessus ou au même niveau qu’eux. “Ceux dont le job n’a d’autre raison d’être que les pépins ou anomalies qui enrayent une organisation - en somme, ils sont là pour régler des problèmes qui ne devraient pas exister.” Cela concerne souvent les services techniques et informatiques mais pas seulement.

L’anthropologue cite ainsi l’exemple d’une personne d’une prestigieuse université anglaise qui travaillait aux côtés d’un menuisier chargé de réparer tous les problèmes des bâtiments. Le travail du premier consistait principalement à s’excuser du fait que le menuisier n’était pas encore passé à tel ou tel endroit où il était attendu.

“Les cocheurs de case”

Redorer l’image d’une entreprise sans pouvoir la modifier de l’intérieur. “Ces employés dont la seule ou principale raison d’être est de permettre à une organisation de prétendre faire quelque chose qu’en réalité elle ne fait pas.”

Dans les différents témoignages qu’il cite, David Graeber mentionne une jeune femme qui l’a contacté pour lui raconter que ses missions consistaient à coordonner des activités de loisirs au sein d’une maison de retraite. Elle passait cependant plus de temps à faire remplir des formulaires sur leurs envies aux pensionnaires plutôt qu’à s’occuper des fameuses activités. On trouve aussi beaucoup de “cocheurs de case” quand il s’agit de préparer de longs et magnifiques PowerPoint pour faire des présentations que personne ne lira vraiment.

“Les petits chefs”


Certainement la catégorie qui parlera au plus grand nombre. David Graeber en distingue deux types: les petits chefs, convaincus que leur équipe pourrait très bien réaliser leurs missions sans eux ou ceux qui donnent des missions ”à la con” ou créent et recrutent pour des “boulots à la con”, une activité que l’auteur appelle “bullshitiser la vie des autres”.
Posez-vous la question

Pour mieux entendre le travail de recherche de l’anthropologue, il faut comprendre qu’il ne veut pas se poser en juge qui assenerait que telle ou telle personne exerce un “boulot à la con”. Il laisse cela avant tout à l’appréciation de chacun, il assume la grande part de subjectivité de sa définition d’un “job à la con”.

Je suis à mon compte, mais bien évidemment cette indépendance ne signifie nullement qu'on ne dépend pas des autres et notamment des subalterne. Je dirais même, bien au contraire, on dépend encore plus de n'importe quelle relation d'affaire et de travail qu'il faut entretenir de façon positive.

Je regarde plutôt avec consternation les gens s’engueuler entre eux et se faire des coups fourrés. Notamment dans les administrations et les bureaucraties d'entreprise, on a des vrais cons dont il faut se méfier : ils ont beaucoup d’imagination pour pourrir les situations.

[Plaristes Evariste]

C''est la maladie d'une société sans but sans sens et sans espoir !
Le nihilisme et l'individualisme, qui est la négation de son propre être pour devenir un animal égocentrique !

[Ferdinand de Talmont]

Comme il n'y a plus d'industrie en France, la quasi totalité des emplois sont fictifs.

[oscarire]

Comme il n'y a plus d'industrie en France, la quasi totalité des emplois sont fictifs.

Surtout en Politique !
voir l'affaire Fillon !

[Minos de Rhadamanthe]

Pour savoir si vous faite un boulot à la con, c'est simple : Si l'argent que vous rapportez est inférieur ou égale à celui que vous coutez, alors votre job est un boulot à la con !!

[Oligark]

Pour savoir si vous faite un boulot à la con, c'est simple : Si l'argent que vous rapportez est inférieur ou égale à celui que vous coutez, alors votre job est un boulot à la con !!

Un métier dans le social aura toujours plus de sens que tous les boulots à la con que la politique et les multinationales mettent en avant!

Plus on est proche de l'argent dans son métier et plus on s'éloigne de l'essentiel. Ce sont souvent des métiers totalement déconnectés de la réalité et donc inutiles.

Le trader en est l'exemple parfait!

[Plaristes Evariste]

Comme il n'y a plus d'industrie en France, la quasi totalité des emplois sont fictifs.

Pleins de services à la con....

[Plaristes Evariste]

Pour savoir si vous faite un boulot à la con, c'est simple : Si l'argent que vous rapportez est inférieur ou égale à celui que vous coutez, alors votre job est un boulot à la con !!

Pars forcément, certains job d'utilité publique ne sont pas lucratif.
Bon après quand c'est rvaiment d'utilité publique, même si le service en lui même est une perte nette financièrement généralement pour la société pris en grand c'est souvent une grosse économie !

[Plaristes Evariste]

Pour savoir si vous faite un boulot à la con, c'est simple : Si l'argent que vous rapportez est inférieur ou égale à celui que vous coutez, alors votre job est un boulot à la con !!

Un métier dans le social aura toujours plus de sens que tous les boulots à la con que la politique et les multinationales mettent en avant!

Plus on est proche de l'argent dans son métier et plus on s'éloigne de l'essentiel. Ce sont souvent des métiers totalement déconnectés de la réalité et donc inutiles.

Le trader en est l'exemple parfait!

Ouais trader courtiers, saloperies, surtout les traders sur la crypto !

Un trader à la réunion qui ravitaille le supermaché local du coin je dis pas... Mais la crypto c'est vraiment du gâchi !

[Oligark]

Pour savoir si vous faite un boulot à la con, c'est simple : Si l'argent que vous rapportez est inférieur ou égale à celui que vous coutez, alors votre job est un boulot à la con !!

Un métier dans le social aura toujours plus de sens que tous les boulots à la con que la politique et les multinationales mettent en avant!

Plus on est proche de l'argent dans son métier et plus on s'éloigne de l'essentiel. Ce sont souvent des métiers totalement déconnectés de la réalité et donc inutiles.

Le trader en est l'exemple parfait!

Ouais trader courtiers, saloperies, surtout les traders sur la crypto !

Un trader à la réunion qui ravitaille le supermaché local du coin je dis pas... Mais la crypto c'est vraiment du gâchi !

On entend toujours parler de la crypto comme une alternative.
Mais si l'on créé un alternative à la monnaie traditionnelle c'est que les entreprises ne permettent pas ou plus d'obtenir des liquidités aussi intéressantes.

Les Social Tokens permettent de payer des contributeurs sans avoir à dépenser du “vrais argent” tout en s'assurant de la qualité de leur travail (la valeur de leur tokens étant directement corrélé avec la réussite du projet). Pour les contributeurs, détenir des tokens d’un projet auquel ils croient leur donne de nouveaux avantages au sein du projet, comme nous allons le voir dans la seconde partie de cet article. Les Social Tokens permettent d’aligner les intérêts..
Quels sont les avantages des Social Tokens?

Tout d’abord, les Social Tokens permettent de créer de la confiance entre des contributeurs qui ne se connaissent pas et de faciliter la collaborations entre individus dispersé à travers le monde. Ils permettent l'émergence de nouveaux projets qui auraient été impossibles auparavant. “Constitution DAO” en est un parfait exemple. Cette communauté a été créée pour acheter l'un des exemplaires originaux de la Constitution des États-Unis lors d'une vente aux enchères organisée par la maison de vente aux enchères Sotheby's et a levé 40M$ en 7 jours. Ils ont convaincu des milliers de personnes dans le monde entier de leur envoyer des fonds, en s'appuyant sur des contrats intelligents et des Social Tokens pour créer la confiance entre les individus et organiser l’effort collectif. Un tel projet aurait été impossible sans cette technologie, car trop compliqué à mettre en place a cette échelle.

En plus de créer de la confiance, les Social Tokens viennent avec beaucoup d’autres avantages. En effet, les Social Tokens permettent :

D’inciter les collaborateurs à faire de leur mieux - En payant en tokens leurs membres au lieu de leur verser un salaire fixe, les dirigeants de ces nouveaux projets s'assurent que les contributeurs fassent de leur mieux. En effet,  la valeur de leurs tokens étant directement liée au succès du projet, les contributeurs ont tout intérêt à faire réussir le projet.

De récompenser plus équitablement les contributeurs créant de la valeur  - Dans ces nouveaux projets, tout le monde peut s'approprier le projet, travailler dur et être récompensé en jetons. Tout le monde peut avoir un impact direct sur la valeur du Token en faisant grandir la communauté, car plus la communauté est importante et utile, plus la valeur du Token est élevée. La récompense des contributeurs est directement corrélée à l'effort fourni.

Je n'ai pas eu l'occasion de tester donc je ne peux pas vous en dire plus.
Peut-être que ces métiers seront utiles ou non.

[Monsieur Trololo]

Comme il n'y a plus d'industrie en France.

Il y en a encore pas mal, même si c'est moins qu'avant.

[Minos de Rhadamanthe]

Pour savoir si vous faite un boulot à la con, c'est simple : Si l'argent que vous rapportez est inférieur ou égale à celui que vous coutez, alors votre job est un boulot à la con !!

Pars forcément, certains job d'utilité publique ne sont pas lucratif.
Bon après quand c'est rvaiment d'utilité publique, même si le service en lui même est une perte nette financièrement généralement pour la société pris en grand c'est souvent une grosse économie !

C'est pour ça qu'il y a un Etat et des fonctions régaliennes !
Chômeur, vous pensez que c'est un métier à la con ? Parce que ce n'est pas très utile et ça coute une blinde à la communauté !
OUI ! J'ai bien écrit métier pour chômeur, car dans notre pays si socialement protégé, il y a des chômeurs professionnels, des RSiste professionnels, des CAFiste professionnels !
AVANT de cracher sur les traders, qui gagnent eux mêmes leur vie, interrogez vous sur ceux qui vivent aux crochets de ceux qui bossent !!

[Edouard de Montmonrency]

"Faites vous un boulot à la con?"

... Pas forcement, par contre on travaille toujours pour des cons ;-)

[Ferdinand de Talmont]

Comme il n'y a plus d'industrie en France.

Il y en a encore  pas mal, même si c'est moins qu'avant.

[Plaristes Evariste]

@Omega95, l'état existait bien avant le capitalisme l'industrie, et il était déjà là avant la décroissance et la désindustrialisation.

D'ailleurs si ces industrie avaient été nationalisées jamais elles n'auraient foutu le camp.



Moi j'utilise mon temps libre pour me former à sauver la France, et vous?
Que faîtes-vous?

Je rappel que je n'ai aucun patron  pour me virer, je fais ça de mon plein gré (enfin, c'est plus fort que moi je ne peut pas abandonner cette quête.)

[Minos de Rhadamanthe]

@Omega95, l'état existait bien avant le capitalisme l'industrie, et il était déjà là avant la décroissance et la désindustrialisation.

D'ailleurs si ces industrie avaient été nationalisées jamais elles n'auraient foutu le camp.

Non, elles seraient juste à la charge des contribuables...

Moi j'utilise mon temps libre pour me former à sauver la France, et vous?
Que faîtes-vous?

Je n'ai pas de temps libre, je bosse pour vivre, moi ! Et vous ?!

Je rappel que je n'ai aucun patron  pour me virer, je fais ça de mon plein gré (enfin, c'est plus fort que moi je ne peut pas abandonner cette quête.)

Et vous bossez dans quelle branche pour ne pas avoir de patron ? Le RSA ?!

[oscarire]

Mr Bramax !

Récemment dans une compagnie de transport un nouveau
DRH est arrivé, sans doute, parachuté par un siège éjectable.

Mr Bramax est un homme de 45 ans,
de grande taille, aux yeux bleus, cheveux courts.

Une rumeur insistante parait-il que ce DRH a le " bras long ".
Les employés répliquent que cela leur fait une belle jambe.

Mr Bramax déclare dans sa réunion d'arrivée ,
pas vraiment à bras ouverts qu'il a les coudées franches
pour prendre à bras-le-corps de nouvelles dispositions.

Eradiqué les récurrents problèmes de l'entreprise.
" Monsieur bras long " son surnom !

Garde sous le coude une liste de tous les employés
qui pratiquent  "la stratégie d'évitement du travail"
en baissant les bras à la moindre difficulté professionnelle.

Mr Bramax prévient, fini la politique de tolérance des bras cassés.

Il faut entendre son virulent réquisitoire, les employés de la boite
ont les bras qui tombent !

Le délégué syndical caché au fond dans la salle derrière
une armoire se réveille des bras de Morphée.

S'exclame que Mr Bramax devrait lever le coude sur ses
douteuses accusations.
Sinon, le personnel pourrait se mettre en grève.

Un philosophe manchot qui fréquente le bar " A tour de bras "
en face à l'entreprise déclare : "Avoir le bras long est une chose."

Le plus important est de sortir de sa manche,
les bonnes cartes au bon moment .

[Jean-Louis de Toqueville]

.


J'ai deux jobs, que j'assure tous deux avec plaisir et qui ont, chacun d'eux, l'avantage d'être un privilège professionnel:

- d'abord cadre sup (catégorie A+) de la fonction publique d'État et chargé d'une mission temporaire; le privilège (la rente) est la garantie de l'emploi à vie, assortie d'une promo quasi assurée,

- ensuite, bailleur et gestionnaire immobilier d'un parc immobilier locatif, que je gère pour partie moi-même; là le privilège, c'est d'une part le capital constitué, qui progresse toujours en valeur et représente une assise financière permettant d'être crédible à tous égards; il y a aussi le privilège d'être installé et de bénéficier de la manne locative obligée constituée de la masse, toujours importante, de locataires à la recherche d'un bien à louer.

Ce deux activités sont très différentes par nature, mais il m'est agréable d'en mixer leurs composantes et spécificités et de tirer avantage, pour le bon exercice de l'une, de l'expérience de l'autre et vice versa.



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[oscarire]

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