Ceci est une prévisualisation d'un thème de Hitskin.com
Installer le thème • Retourner sur la fiche du thème
En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
+4
Edouard de Montmonrency
Plaristes Evariste
lepape
Vladimir de Volog
8 participants
Page 4 sur 4
Page 4 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Mais la principale difficulté que pose les « AssselineauLeaks » est que le dossier est ultra-mince.
Il n'y a même pas les témoignages des deux intéressés, les deux collaborateurs de François Asselineau. Il est tout de même excessivement gênant que les accusations, qui ne sont d'ailleurs pas vraiment claires, ne soient pas portées par les deux principaux concernés...
Bref, c'est du très très léger.
Dans ces documents, il y est même si peu question de sexualité, qu'on devrait plutôt en déduire, si tant est que cela soit possible, que François Asselineau est un grand sentimental et non certaines conclusions délirantes que l'on peut voir sur les réseaux sociaux et que François Asselineau attaque très logiquement pour diffamation.
Il n'y a même pas les témoignages des deux intéressés, les deux collaborateurs de François Asselineau. Il est tout de même excessivement gênant que les accusations, qui ne sont d'ailleurs pas vraiment claires, ne soient pas portées par les deux principaux concernés...
Bref, c'est du très très léger.
Dans ces documents, il y est même si peu question de sexualité, qu'on devrait plutôt en déduire, si tant est que cela soit possible, que François Asselineau est un grand sentimental et non certaines conclusions délirantes que l'on peut voir sur les réseaux sociaux et que François Asselineau attaque très logiquement pour diffamation.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32790
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
2/ La lettre envoyée par les contestataires le 18 avril 2020
Il est capital de noter le déroulé des évènements : les AsselineauLeaks sont publiés le 10 avril et seulement 8 jours plus tard, les contestataires envoient leur lettre au président. Il est impossible de mener une enquête digne de ce nom dans un temps aussi court, surtout sur un sujet aussi délicat à traiter que des « relations particulières et insistantes ».
On peut d'ailleurs remarquer que, dans cette lettre, les signataires n'ont pas relayé des accusations précises. S'agit-il de harcèlement sexuel ? de harcèlement moral ? Les signataires font référence aux moeurs de Straus-Kahn et Griveaux. Pourquoi donc ? Est-ce une manière déguisée de porter une accusation sans avoir le courage ni les preuves pour l'aborder de front ? Ou bien s'agit-il d'une maladresse ? Admettons que cela soit une maladresse et supposons que le chef d'accusation soit un harcèlement « moral ». On peut alors voir le résultat de cette maladresse ici puisque l'encyclopédie Wikipédia fait état d'un « harcèlement sexuel » et non d'un « harcèlement moral ». Et si vraiment Romain Justo a été engagé sur un poste fictif, pour quelle raison aurait-il été harcelé ? Pour augmenter un rendement qui de toutes façons n'existait pas ? Quel que soit le bout par lequel on tente de saisir cette lettre, il est difficile d'y voir le résultat d'une action mûrement réfléchie et à la hauteur des enjeux qui la sous-tendent. Le peu de clarté du propos témoigne à mon sens de la précipitation des signataires, qui au final, rappelons le, réclamaient tout de même la tête d'Asselineau.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32790
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Quelques fuites sur Twitter semblent également confirmer ce manque de préparation : « J'ai été influencé et j'ai donné mon accord de principe pour demander des explications à FA, mais certainement pas pour le torchon qui a été envoyé ! » dixit l'un des signataires de la lettre, qui depuis a effacé ses messages sur Twitter. Il ajoute : « Je peux vous assurer que la majorité des signataires ne voulaient pas nuire à l'UPR et à son président. Seule une poignée d'individus ont mené une action extrêmement violente (...). » « Quand je pense à toute cette histoire, je me sens triste, très triste. J'ai fait partie des signataires de dernière minute. Il me fallait faire un choix vite, très vite, trop vite. »
Quelle que soit l'authenticité et la valeur de cette fuite, il faut de toute façon noter que les signataires n'ont pas eu le temps nécessaire pour mener une enquête valable entre le 10 avril et le 18 avril. Et pourtant, la lettre parle des accusations comme si celles-ci correspondaient à des faits avérés et appelle à la démission du président. Les signataires s'expriment comme si le harcèlement était prouvé, alors qu'aucun débat contradictoire n'a eu lieu : en effet, au moment où la lettre a été envoyée, François Asselineau n'avait pas encore produit des éléments de défense. Et tous les avocats de France et de Navarre savent qu'un dossier de « harcèlement » peut s'effondrer totalement lorsque le mis en cause présente sa version des faits, apporte ses éléments de preuve et sollicite ses propres témoins.
En réalité, à elle seule, cette lettre est la meilleure preuve de l'amateurisme étonnant de la démarche des contestataires.
Quelle que soit l'authenticité et la valeur de cette fuite, il faut de toute façon noter que les signataires n'ont pas eu le temps nécessaire pour mener une enquête valable entre le 10 avril et le 18 avril. Et pourtant, la lettre parle des accusations comme si celles-ci correspondaient à des faits avérés et appelle à la démission du président. Les signataires s'expriment comme si le harcèlement était prouvé, alors qu'aucun débat contradictoire n'a eu lieu : en effet, au moment où la lettre a été envoyée, François Asselineau n'avait pas encore produit des éléments de défense. Et tous les avocats de France et de Navarre savent qu'un dossier de « harcèlement » peut s'effondrer totalement lorsque le mis en cause présente sa version des faits, apporte ses éléments de preuve et sollicite ses propres témoins.
En réalité, à elle seule, cette lettre est la meilleure preuve de l'amateurisme étonnant de la démarche des contestataires.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32790
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Il y a fort à parier que, lors de la sortie des « AsselineauLeak », un mouvement de panique s'est emparé des cadres de l'UPR, ceux-ci visualisant soudain avec effroi la fin de leur parti sur fond d'affaire de moeurs. Ils disent eux-mêmes dans la lettre crainde que les « espoirs de sauver la France » soient « anéantis ». Mais le simple fait de rédiger cette lettre et d'y apposer des signatures était une erreur monumentale comme l'a prouvé la suite des évènements, lorsque la presse s'est emparée de l'affaire et a relayé la lettre : même s'ils pensaient par une action de fermeté protéger l'image de l'UPR, les cadres signataires sont arrivés au résultat exactement inverse.
Ils ont fait également l'erreur de vouloir traiter un problème délicat en sortant la grosse artillerie, là où tout aurait dû être traité dans de subtiles démarches et questionnements avec le concours de François Asselineau lui-même.
Dès le moment où le mot « démission » était prononcé, cela fermait toute possibilité d'un règlement de la crise par le dialogue et jetait l'UPR dans une guerre interne préjudiciable pour tous.
Bref, le plantage des cadres signataires est monumental, même s'ils avaient certainement les meilleures intentions du monde.
Ils ont fait également l'erreur de vouloir traiter un problème délicat en sortant la grosse artillerie, là où tout aurait dû être traité dans de subtiles démarches et questionnements avec le concours de François Asselineau lui-même.
Dès le moment où le mot « démission » était prononcé, cela fermait toute possibilité d'un règlement de la crise par le dialogue et jetait l'UPR dans une guerre interne préjudiciable pour tous.
Bref, le plantage des cadres signataires est monumental, même s'ils avaient certainement les meilleures intentions du monde.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32790
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
3/ La convocation de François Asselineau par le Bureau National pour le 28 avril 2020 : violation ou conformité avec les règles statutaires ?
Avant de répondre à cette question, notons en préambule que la lettre envoyée à François Asselineau par les cadres contestataires le 18 avril 2020 présente une particularité. Elle n'est signée par aucune instance du parti : ni le Conseil National, ni le Bureau National, ni la Commission de Discipline. Il s'agit uniquement d'un panel de cadres qui demandent la démission du président, mais hors cadre statutaire.
Ceci dit, rien n'empêche en France qui le veut de lancer n'importe quelle pétition et demander ce qu'il veut. Il n'y a donc rien à redire concernant ce premier message sur le plan légal.
Bien sûr, la fin de la lettre est énigmatique : qu'elles sont les « mesures qui s'imposent » que pourraient prendre les signataires de la lettre ?
A première vue, à lecture des statuts de l'UPR, il n'y a aucune possibilité de démettre le président, sauf lors des élections par le Congrès tous les trois ans.
Il semblerait qu'il n'y ait donc qu'une seule mesure que pouvait prendre les signataires : saisir la Commission de Discipline. La Commission de Discipline est chargée de juger du comportement des adhérents de l'UPR.
Avant de répondre à cette question, notons en préambule que la lettre envoyée à François Asselineau par les cadres contestataires le 18 avril 2020 présente une particularité. Elle n'est signée par aucune instance du parti : ni le Conseil National, ni le Bureau National, ni la Commission de Discipline. Il s'agit uniquement d'un panel de cadres qui demandent la démission du président, mais hors cadre statutaire.
Ceci dit, rien n'empêche en France qui le veut de lancer n'importe quelle pétition et demander ce qu'il veut. Il n'y a donc rien à redire concernant ce premier message sur le plan légal.
Bien sûr, la fin de la lettre est énigmatique : qu'elles sont les « mesures qui s'imposent » que pourraient prendre les signataires de la lettre ?
A première vue, à lecture des statuts de l'UPR, il n'y a aucune possibilité de démettre le président, sauf lors des élections par le Congrès tous les trois ans.
Il semblerait qu'il n'y ait donc qu'une seule mesure que pouvait prendre les signataires : saisir la Commission de Discipline. La Commission de Discipline est chargée de juger du comportement des adhérents de l'UPR.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32790
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Pour être précis, les statuts de l'UPR définissent dans l'article 17.2 une procédure de jugement en deux étapes : un premier jugement est rendu par la Commission de Discipline, puis, si l'adhérent sanctionné fait appel du premier jugement, un deuxième jugement est effectué par le Bureau National.
Les statuts de l'UPR sont parfaitement clairs sur ce point.
On notera d'ailleurs que l'article 16.2 qui définit la champ de compétence du Bureau National indique que ce dernier « prononce les radiations ou exclusions des membres de l'UPR, sur avis de la Commission de Discipline ».
Les statuts de l'UPR sont parfaitement clairs sur ce point.
On notera d'ailleurs que l'article 16.2 qui définit la champ de compétence du Bureau National indique que ce dernier « prononce les radiations ou exclusions des membres de l'UPR, sur avis de la Commission de Discipline ».
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32790
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Entre parenthèses, il faut cependant remarquer que le règlement intérieur de l'UPR peut éventuellement mettre de la confusion dans les esprits. Voici ce que l'on peut y lire :
« La Commission de Discipline ou le Bureau National de l’Union Populaire Républicaine peuvent sanctionner tout membre pour motif grave, après avoir entendu l’intéressé oralement ou par écrit. »
« En particulier, la sanction d'un membre est prononcée par le Bureau National, s'il prend des positions publiques (...) de nature à nuire à la bonne réputation du mouvement. »
On pourrait penser, à la seule lecture de ce règlement intérieur, que dans certains cas, lorsqu'un adhérent prend des positions publiques, le Bureau National peut sanctionner sans que la Commission de Discipline ait été consulté. Or, un règlement intérieur ne doit jamais contredire les statuts. L'UPR devrait donc repenser son règlement intérieur afin de clarifier la situation.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32790
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Mais venons-en à la question : le Bureau National peut-il « convoquer » François Asselineau ?
A priori oui. Ce n'est certainement pas usuel, mais cela n'est pas contraire aux statuts.
Par contre, une « convocation » est une formulation particulièrement malheureuse et outrageante, car elle fait penser à une obligation de se rendre à un tribunal. Rappelons que François Asselineau, en tant que président de l'UPR, fait statutairement partie du Bureau National. Et lorsqu'une réunion du Bureau National est envisagée, on ne « convoque » pas le président. On lui propose une date, c'est tout.
De plus, rappelons également que François Asselineau, le 19 avril 2020, avait déjà lui-même proposé une date de réunion du Bureau National à mi-mai 2020, après la période de confinement dû au coronavirus. En réponse, le 24 avril 2020, le Bureau National l'a « convoqué » pour une audio-conférence le 28 avril 2020. Pourquoi cette « convocation » a-t-elle fait l'objet d'un communiqué public, relayé par un journaliste du Figaro, alors qu'il suffisait d'envoyer simplement un email à François Asselineau ? Tout semble indiquer que le Bureau National a voulu entamer un bras de fer avec le président et que le Bureau National s'est mis en position d'outrepasser ses compétences et s'occuper lui-même de juger François Asselineau alors que cette tâche revient en première instance à la Commission de Discipline.
A priori oui. Ce n'est certainement pas usuel, mais cela n'est pas contraire aux statuts.
Par contre, une « convocation » est une formulation particulièrement malheureuse et outrageante, car elle fait penser à une obligation de se rendre à un tribunal. Rappelons que François Asselineau, en tant que président de l'UPR, fait statutairement partie du Bureau National. Et lorsqu'une réunion du Bureau National est envisagée, on ne « convoque » pas le président. On lui propose une date, c'est tout.
De plus, rappelons également que François Asselineau, le 19 avril 2020, avait déjà lui-même proposé une date de réunion du Bureau National à mi-mai 2020, après la période de confinement dû au coronavirus. En réponse, le 24 avril 2020, le Bureau National l'a « convoqué » pour une audio-conférence le 28 avril 2020. Pourquoi cette « convocation » a-t-elle fait l'objet d'un communiqué public, relayé par un journaliste du Figaro, alors qu'il suffisait d'envoyer simplement un email à François Asselineau ? Tout semble indiquer que le Bureau National a voulu entamer un bras de fer avec le président et que le Bureau National s'est mis en position d'outrepasser ses compétences et s'occuper lui-même de juger François Asselineau alors que cette tâche revient en première instance à la Commission de Discipline.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32790
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
4/ La Commission de Discipline est-elle vraiment qualifiée pour juger le président ?
On remarque que cette Commission n'est pas composée de membres fixes : selon le secteur concerné, le délégué départemental et le délégué régional de la zone concernée en font partie (article 17.1 des statuts).
Cela suggère que, à l'origine, cette Commission de Discipline a été créée pour juger les cas de « simples » adhérents.
D'ailleurs, étant donné que cette Commission comporte 6 membres du Bureau National, il est clair que, vu la situation actuelle, elle se retrouverait en conflit d'intérêt, puisque de nombreux cadres souhaitent le départ du Président dans un contexte de lutte fratricide qui écarte désormais toute possibilité d'un jugement impartial de François Asselineau.
Le simple fait que le témoignage de François Asselineau n'a pas été sollicité avant de parler de « méfaits » comme s'ils étaient avérés et avant que ne soit suggéré qu'il présente sa démission (lettre du 18 avril) montre que la démarche des cadres contestataires n'est pas rigoureuse. En matière de justice, prononcer un jugement de culpabilité sans avoir effectué une véritable enquête et mener un débat contradictoire est une pure hérésie.
Tout cela indique que la saisie de la Commission de Discipline, si elle reste une option conforme aux statuts, est désormais impossible sur le plan éthique, tant les contestataires se sont discrédités.
Si la Commission de Discipline se réunit, François Asselineau en rejettera la légitimité et il aura raison.
On remarque que cette Commission n'est pas composée de membres fixes : selon le secteur concerné, le délégué départemental et le délégué régional de la zone concernée en font partie (article 17.1 des statuts).
Cela suggère que, à l'origine, cette Commission de Discipline a été créée pour juger les cas de « simples » adhérents.
D'ailleurs, étant donné que cette Commission comporte 6 membres du Bureau National, il est clair que, vu la situation actuelle, elle se retrouverait en conflit d'intérêt, puisque de nombreux cadres souhaitent le départ du Président dans un contexte de lutte fratricide qui écarte désormais toute possibilité d'un jugement impartial de François Asselineau.
Le simple fait que le témoignage de François Asselineau n'a pas été sollicité avant de parler de « méfaits » comme s'ils étaient avérés et avant que ne soit suggéré qu'il présente sa démission (lettre du 18 avril) montre que la démarche des cadres contestataires n'est pas rigoureuse. En matière de justice, prononcer un jugement de culpabilité sans avoir effectué une véritable enquête et mener un débat contradictoire est une pure hérésie.
Tout cela indique que la saisie de la Commission de Discipline, si elle reste une option conforme aux statuts, est désormais impossible sur le plan éthique, tant les contestataires se sont discrédités.
Si la Commission de Discipline se réunit, François Asselineau en rejettera la légitimité et il aura raison.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32790
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
5/ Comment l'UPR doit-elle gérer la crise actuelle ?
Si le Congrès se réunit et passe au vote, il n'y a guère de doute que François Asselineau soit réélu et que le Bureau National soit profondément remanié.
Mais les adhérents verraient-ils vraiment d'un bon oeil que les sympathiques Vincent Brousseau ou Charles-Henri Gallois ne fassent plus partie du Bureau National ?
Et le remaniement du Bureau National actuel, même légitimé par un vote des adhérents, serait-il vraiment une bonne chose pour l'image de l'UPR ?
On peut vraiment en douter, dans la mesure où les observateurs extérieurs n'y verraient certainement pas une « démocratie » à l'oeuvre dans le parti, mais une simple déclaration d'amitié de la part des adhérents au président fondateur, sans que les problèmes de fond n'aient réellement été examinés.
A priori, la seule solution viable est le retour à un vrai dialogue au sein de l'UPR.
Pour cela, il faut prendre du temps, et ne pas se précipiter vers la réunion du Congrès : rien ne peut être résolu en profondeur par un simple vote sans réflexion préalable. Une procédure rapide sera plutôt mise au discrédit de François Asselineau, même si le Congrès le reconduit à son poste de président : il sera accusé d'avoir voulu écarter une fronde sans en extraire d'abord des enseignements éventuellement indispensables. En tous cas, tous ceux qui ne savent rien de ce qui se passe en interne à l'UPR sont incapables de déterminer si cette fronde est basée sur de simples ambitions personnelles ou bien si elle repose au moins en partie sur une base solide de revendications utiles pour l'UPR.
Si l'on étudie les statuts de l'UPR, il semble que la première étape pour sortir de la crise actuelle est une réunion du Conseil National de l'UPR.
A vue de nez, le Conseil National de l'UPR doit comporter entre 150 et 200 personnes. S'y trouvent notamment 25 adhérents tirés au sort et tous les délégués départementaux. Et le Conseil National est « l'instance de contrôle et de conseil du Bureau National ».
C'est donc bien à ce niveau que doit se poursuivre les débats.
Notons que c'est le Conseil National de l'UPR qui « fixe la date et les modalités de convocation du Congrès ».
Ne vaudrait-il pas mieux, au lieu de chercher à ce que le président soit destitué ou que le Bureau National actuel soit démantelé, identifier les problèmes et chercher des solutions ?
Il y a certainement mille options à envisager et débattre avant de tout casser à l'UPR.
Si le Congrès se réunit et passe au vote, il n'y a guère de doute que François Asselineau soit réélu et que le Bureau National soit profondément remanié.
Mais les adhérents verraient-ils vraiment d'un bon oeil que les sympathiques Vincent Brousseau ou Charles-Henri Gallois ne fassent plus partie du Bureau National ?
Et le remaniement du Bureau National actuel, même légitimé par un vote des adhérents, serait-il vraiment une bonne chose pour l'image de l'UPR ?
On peut vraiment en douter, dans la mesure où les observateurs extérieurs n'y verraient certainement pas une « démocratie » à l'oeuvre dans le parti, mais une simple déclaration d'amitié de la part des adhérents au président fondateur, sans que les problèmes de fond n'aient réellement été examinés.
A priori, la seule solution viable est le retour à un vrai dialogue au sein de l'UPR.
Pour cela, il faut prendre du temps, et ne pas se précipiter vers la réunion du Congrès : rien ne peut être résolu en profondeur par un simple vote sans réflexion préalable. Une procédure rapide sera plutôt mise au discrédit de François Asselineau, même si le Congrès le reconduit à son poste de président : il sera accusé d'avoir voulu écarter une fronde sans en extraire d'abord des enseignements éventuellement indispensables. En tous cas, tous ceux qui ne savent rien de ce qui se passe en interne à l'UPR sont incapables de déterminer si cette fronde est basée sur de simples ambitions personnelles ou bien si elle repose au moins en partie sur une base solide de revendications utiles pour l'UPR.
Si l'on étudie les statuts de l'UPR, il semble que la première étape pour sortir de la crise actuelle est une réunion du Conseil National de l'UPR.
A vue de nez, le Conseil National de l'UPR doit comporter entre 150 et 200 personnes. S'y trouvent notamment 25 adhérents tirés au sort et tous les délégués départementaux. Et le Conseil National est « l'instance de contrôle et de conseil du Bureau National ».
C'est donc bien à ce niveau que doit se poursuivre les débats.
Notons que c'est le Conseil National de l'UPR qui « fixe la date et les modalités de convocation du Congrès ».
Ne vaudrait-il pas mieux, au lieu de chercher à ce que le président soit destitué ou que le Bureau National actuel soit démantelé, identifier les problèmes et chercher des solutions ?
Il y a certainement mille options à envisager et débattre avant de tout casser à l'UPR.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32790
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Volog a écrit:- Il appelle à la sérénité et s'inquiète que la situation ne découle d'un règlement de compte politicien.
Ce qui était le cas.
Volog a écrit:Romain Justo
Le mec est un escroc professionnel on a son dossier.
Il a des emmerdes avec pleins des gens qui le décrivent ainsi :
Romain Justo conteste avec la plus extrême fermeté :
- être un pervers manipulateur ;
- escroquant de vieux homosexuels ou qui que ce soit d’autre.
Il a été soutenu par valeur actuelles :
http://commissionenquetejustice.blogspot.com/2020/05/romain-justo-traite-descroc-par-le.html
J’ai écouté Romain, lors de l'affaire, à l'époque vu que l'UPR avait abandonné de discours €urope = IV° reich pour dire U€RSS, et s'était acoquiné à TVLiberté, j'étais fruax contre Asselinoche.
J’encourageait des gens à se barrer de l'UPR.
J’encourageait des gens à se barrer de l'UPR.
Alors l'affaire du nombre d'adhérent.... J'ai éocuét Romain avec attention tout cela parassait tellement vraisemblable. Après c'est l'agression sexuelle, là c'est pas passé, Assellineau qui serait homo, le fait qu'il avait l'air de broder comme un gros mytho...
Là j’ai tilté.
Là j’ai tilté.
Volog a écrit:En effet, ils contiennent des correspondances privées que la loi interdit de divulguer sur la place publique.
Si vous faîtes ça nous on a nos leaks à nous vous inquiétez-pas !
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Volog a écrit:Ne vaudrait-il pas mieux, au lieu de chercher à ce que le président soit destitué ou que le Bureau National actuel soit démantelé, identifier les problèmes et chercher des solutions ?
La purge a eu lieu on a viré l'aile droite du parti, ce qui n'empêche pas asselinoche de ne pas être revenu au discours d'avant 2018. (Il continue à vouloir séduire son électorat de droite malgré la trahison.)
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Plaristes a écrit:Volog a écrit:Ne vaudrait-il pas mieux, au lieu de chercher à ce que le président soit destitué ou que le Bureau National actuel soit démantelé, identifier les problèmes et chercher des solutions ?
La purge a eu lieu on a viré l'aile droite du parti, ce qui n'empêche pas asselinoche de ne pas être revenu au discours d'avant 2018. (Il continue à vouloir séduire son électorat de droite malgré la trahison.)
Moi je n'affirme pas, je prouve.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32790
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Ha trop de conversations privées.
Sur discord j'étais sur les rameaux.
Sur discord j'étais sur les rameaux.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Volog a écrit:5/ Comment l'UPR doit-elle gérer la crise actuelle ?
Si le Congrès se réunit et passe au vote, il n'y a guère de doute que François Asselineau soit réélu et que le Bureau National soit profondément remanié.
Mais les adhérents verraient-ils vraiment d'un bon oeil que les sympathiques Vincent Brousseau ou Charles-Henri Gallois ne fassent plus partie du Bureau National ?
Et le remaniement du Bureau National actuel, même légitimé par un vote des adhérents, serait-il vraiment une bonne chose pour l'image de l'UPR ?
On peut vraiment en douter, dans la mesure où les observateurs extérieurs n'y verraient certainement pas une « démocratie » à l'oeuvre dans le parti, mais une simple déclaration d'amitié de la part des adhérents au président fondateur, sans que les problèmes de fond n'aient réellement été examinés.
A priori, la seule solution viable est le retour à un vrai dialogue au sein de l'UPR.
Pour cela, il faut prendre du temps, et ne pas se précipiter vers la réunion du Congrès : rien ne peut être résolu en profondeur par un simple vote sans réflexion préalable. Une procédure rapide sera plutôt mise au discrédit de François Asselineau, même si le Congrès le reconduit à son poste de président : il sera accusé d'avoir voulu écarter une fronde sans en extraire d'abord des enseignements éventuellement indispensables. En tous cas, tous ceux qui ne savent rien de ce qui se passe en interne à l'UPR sont incapables de déterminer si cette fronde est basée sur de simples ambitions personnelles ou bien si elle repose au moins en partie sur une base solide de revendications utiles pour l'UPR.
Si l'on étudie les statuts de l'UPR, il semble que la première étape pour sortir de la crise actuelle est une réunion du Conseil National de l'UPR.
A vue de nez, le Conseil National de l'UPR doit comporter entre 150 et 200 personnes. S'y trouvent notamment 25 adhérents tirés au sort et tous les délégués départementaux. Et le Conseil National est « l'instance de contrôle et de conseil du Bureau National ».
C'est donc bien à ce niveau que doit se poursuivre les débats.
Notons que c'est le Conseil National de l'UPR qui « fixe la date et les modalités de convocation du Congrès ».
Ne vaudrait-il pas mieux, au lieu de chercher à ce que le président soit destitué ou que le Bureau National actuel soit démantelé, identifier les problèmes et chercher des solutions ?
Il y a certainement mille options à envisager et débattre avant de tout casser à l'UPR.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32790
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Plaristes a écrit:Pas avec ce sophisme à la con que vous éviterez le débat sur l'espace Shegen.
Non mais l'absence de contrôle au frontière et le fait de ne pas vouloir les chauffeur Moldaves......
Bon bah faut choisir Fiston.
Vu de sa position isolationniste d'extrême gauche, l'UPR ne peut être, selon un fieu, que d'extrême gauche. D'ailleurs, tous les partis ou mouvements qui ne sont pas extrêmes gauchisés sont, selon eux, d'extrême droite, y compris donc l'UPR.
Moi qui suis libéral et de droite modérée (centre droit pour faire simple), j'ai été traité de nazi par l'autre rigolo de volog... "nazi" ! faut oser l'écrire tout de même !
Ainsi, les qualificatifs que peut nous affubler ce personnage dégoûtant et borné comme une mule qu'est volog doivent être appréciés au niveau de ce qu'ils sont réellement, des crachats insignifiants.
.
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Jeanlouis12 a écrit:Plaristes a écrit:Pas avec ce sophisme à la con que vous éviterez le débat sur l'espace Shegen.
Non mais l'absence de contrôle au frontière et le fait de ne pas vouloir les chauffeur Moldaves......
Bon bah faut choisir Fiston.
Vu de sa position isolationniste d'extrême gauche, l'UPR ne peut être, selon un fieu, que d'extrême gauche...
.
Ni plus ni moins que la posture de Trumps et des Républicains de "America First" , les europhiles Mondialistes Noborders n'aiment pas manifestement ;-)
Une posture très à droite pour une extrême gauche ;-)
Edouard de Montmonrency- Vénérable
- Messages : 20670
Date d'inscription : 02/01/2022
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Jeanlouis12 a écrit:Plaristes a écrit:Pas avec ce sophisme à la con que vous éviterez le débat sur l'espace Shegen.
Non mais l'absence de contrôle au frontière et le fait de ne pas vouloir les chauffeur Moldaves......
Bon bah faut choisir Fiston.
Vu de sa position isolationniste d'extrême gauche, l'UPR ne peut être, selon un fieu, que d'extrême gauche. D'ailleurs, tous les partis ou mouvements qui ne sont pas extrêmes gauchisés sont, selon eux, d'extrême droite, y compris donc l'UPR.
Moi qui suis libéral et de droite modérée (centre droit pour faire simple), j'ai été traité de nazi par l'autre rigolo de volog... "nazi" ! faut oser l'écrire tout de même !
Ainsi, les qualificatifs que peut nous affubler ce personnage dégoûtant et borné comme une mule qu'est volog doivent être appréciés au niveau de ce qu'ils sont réellement, des crachats insignifiants.
.
Alors que les nazi voulait un espèce shegen :
https://cdn.discordapp.com/attachments/581566236383641620/978404136213184583/unknown.png
Aout 1942 (on peut le lire en haut)
Et sur le mur il y a écrit barrière douanières
Hier le méchant replis nationaliste, avec pleins de frontière. Demain le reich connecté.
https://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/le-projet-hitlerien-de-nouvelle-226286
https://www.bellaciao.org/fr/De-Hitler-a-Merkel-de-Das-Neue-Europa-a-Union-Europeenne-Philippe-De-Villiers-J
La NUPES est donc d'extrême droite.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
- Hier, l’Europe cloisonnée des démocraties inefficaces »
- « Demain, la Nouvelle Europe sans frontière dessinée par Adolf Hitler »
« Il n’y aura plus de frontières, les communications seront faciles, il y aura des grands axes de communication qui permettront d’avoir enfin un sentiment européen et favoriseront le commerce. »
https://gazettefrancaise.com/2015/12/14/lhistoire-de-walter-hallstein/
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: En conclusion, l'UPR est donc un parti dangereux
Plaristes a écrit:
- Hier, l’Europe cloisonnée des démocraties inefficaces »
- « Demain, la Nouvelle Europe sans frontière dessinée par Adolf Hitler »
« Il n’y aura plus de frontières, les communications seront faciles, il y aura des grands axes de communication qui permettront d’avoir enfin un sentiment européen et favoriseront le commerce. »
https://gazettefrancaise.com/2015/12/14/lhistoire-de-walter-hallstein/
Pour Hitler, c'était aujourd'hui les entraves des frontières, demain l'hégémonie NoBorders.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
- Messages : 20670
Date d'inscription : 02/01/2022
Page 4 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Sujets similaires
» Creer un nouveau parti politique (le parti manrohiste)
» Compilation des hommes dangereux
» Ce Darmanin est un dangereux Sinistre
» Pourquoi on dit que Ms 13 est le gang le plus violent et dangereux?
» Le postulat extrêmement dangereux d'Omega95 et Dan.
» Compilation des hommes dangereux
» Ce Darmanin est un dangereux Sinistre
» Pourquoi on dit que Ms 13 est le gang le plus violent et dangereux?
» Le postulat extrêmement dangereux d'Omega95 et Dan.
Page 4 sur 4
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum