NON ! NON ! LA FRANCE EST PAS MENACE , DES ELUCUBRATIONS DE FACHOS TOUT CA !!!

[lepape]

On est certains Français , quest ce qu'on est méchant avec nos immigrés ou issus de...on les laisse pas faire ce qu'ils veulent on est des fachos et des racistes .


l’essentiel
Une poignée d’élèves d’un lycée du centre de Toulouse ont abandonné un cours de musique parce que leur professeur leur a fait écouter une chanson des Beatles pendant la période du ramadan. Elles sont réexaminées par le recteur qui fait rapport au rectorat.

L’incident a été traité directement par le proviseur et signalé au rectorat. Les faits se sont déroulés à l’école Les Chalets, dans un quartier résidentiel assez aisé du centre de Toulouse, généralement exempt de gros problèmes disciplinaires. Nous sommes le 4 avril, trois jours après le début du Ramadan (le mois sacré par excellence pour les musulmans, ndlr).
Le professeur d’éducation musicale joue une chanson des Beatles pour étudier la structure de la chanson. Un étudiant se lève et refuse de suivre le cours plus longtemps, prétextant que pendant le Ramadan, il n’a pas le droit d’écouter de la musique. Il quitte la salle suivi de sept autres universitaires, “qui ne sont pas tous de confession musulmane et qui ont suivi leur camarade par effet de groupe et non par conviction religieuse”, précise Mostafa Fourar, recteur de l’académie de Toulouse.

Le rectorat averti
Le recadrage est immédiat. Le directeur de classe et le tuteur visitent la classe pour une séance de débriefing. « Le réalisateur a eu la bonne attitude. Il a fait un rappel de la loi et des valeurs de la république. Depuis lors, je n’ai pas été informé de tels événements. Il n’y en a pas eu d’autres tout au long de l’année », rapporte le recteur. Selon nos informations, un autre incident du même type s’est produit à l’intérieur de l’école Les Chalets, plus ou moins à la même période. Un enseignant dit: «Je pense que c’est arrivé en troisième année, il y a quelques semaines. Un groupe de filles a demandé à leur professeur de ne pas s’asseoir à côté des garçons parce qu’ils avaient leurs règles et que c’était le ramadan. Le jeune maître, un peu décontenancé par sa demande, répondit favorablement. Puis tout est redevenu normal. Cependant, l’équipe pédagogique est intervenue pour que ce genre de chose ne se reproduise plus. »
Pour ce professeur, il n’y a pas lieu de trop s’inquiéter : « Pour moi, ce sont des micro-événements. Il ne faut pas voir derrière ces revendications idéologiques ou religieuses. C’est juste une façon de tester l’autorité du manager comme le font tous les adolescents. »

Salauds de profs va !!!.