Le marché c'est le chaos.

[Vladimir de Volog]

[Jean-Louis de Toqueville]

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Pas du tout, le marché et le contrat règlent la plupart des rapports entre les hommes (et les femmes) et sont au centre des échanges.

Historiquement, partout dans le monde où le commerce et l'échange ont été fructueux, les sociétés se sont développées et enrichies pour un plus grand bien-être des populations.

Au contraire, lorsque l'on a mis l'État au milieu de ces échanges, lorsque on a confié à l'État la fonction de réguler, de contrôler, de normaliser ces relations, une sorte d'immobilisme et d'étatisme se sont alors créés, non pour améliorer la vie des citoyens, mais pour les obliger à passer par l'intermédiaire de l'État et de ses fonctionnaires protégés.

Et je fais ce constat en tant que fonctionnaire en activité, je fais le constat que l'État, ses administrations ne roulent que pour eux-mêmes, non pour le bien-être général.

Nous en avons des exemples tous les jours en observant les dysfonctionnements majeurs des grands services publics, l'hôpital, la sécurité, l'enseignement public (le privé se porte bien), la police, les services sociaux, les services d'hygiène, la sécurité alimentaire, les collectivités locales, etc...

Ces services dysfonctionnent non par manque de moyens, mais par incurie administrative et par l'excessive centralisation des décisions. Ce ne sont pas les fonctionnaires qui sont en cause, bien plus dévoués que la fausse réputation qu'ils trainent, c'est l'organisation et le pilotage central, qui engouffrent des moyens colossaux pour vivre en vase clos et justifier leur existence.

Alors, plus d'État, non merci, aller revoir votre copie et étudier les sujets de près...

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[Invité]

Capitalisme et libéralisme économique peuvent être définis par deux caractéristiques principales :

la propriété privée des moyens de production ;

une dynamique fondée sur l'accumulation du capital productif guidée par la recherche du profit.

Tout le reste n'est que de l'attrape couillon.

[Vladimir de Volog]

QUE NOUS APPORTE L’ECONOMIE LIBERALE (le caipitalisme).

Mais quelles libertés nous apporte donc l'économie libérale dans laquelle nous vivons et que nous subissons tous les jours ?

Le libéralisme est-il pour LA LIBERTE, pour NOS LIBERTES ?

Le Front de Gauche est pour une autre politique en faveur des gens modestes des travailleurs pour l'emploi, les jeunes, bref une politique autre que celle que nous avons pour qui le FRIC est ROI.

L'actuelle politique nous le montre tous les jours :
Cette politique libérale n'est-elle pas contre les libertés.

Un bref état des lieux nous en donne un apperçu.

Le Libéralisme c’est surtout contre nos libertés ;

Contre la liberté du travail avec le chômage,

Contre la liberté des RTT et des 35 heures

Contre la liberté d’avoir le temps de travail réglementé

Contre la liberté de vivre décemment avec les bas salaires et de basses retraites,

Contre la liberté d’avoir la retraite à 60 ans, remise en cause par les gouvernements successifs,

Contre la liberté de vivre bien son travail avec la précarité,

Contre la liberté de travailler avec chômage et délocalisations,

Contre la liberté des jeunes en ne leur offrant rien,

Contre la liberté des ménages avec les prix qui montent,

Contre la liberté syndicale avec la casse du code du travail,

Contre la liberté des immigrés avec les charters de Srakozy,

Contre la liberté d'expression, rien qu'au niveau du forum,

Contre la liberté politique, surtout pour ceux de gauche,

Contre la liberté de religion, quand on est pas chrétien,

et bien d'autres atteintes a nos libertés, vraiment le libéralisme n'est pas un système où l'Homme vit libre et Heureux.

[Vladimir de Volog]

QUE NOUS APPORTE L’ECONOMIE LIBERALE (le caipitalisme).

Mais quelles libertés nous apporte donc l'économie libérale dans laquelle nous vivons et que nous subissons tous les jours ?

Le libéralisme est-il pour LA LIBERTE, pour NOS LIBERTES ?

Le Front de Gauche est pour une autre politique en faveur des gens modestes des travailleurs pour l'emploi, les jeunes, bref une politique autre que celle que nous avons pour qui le FRIC est ROI.

L'actuelle politique nous le montre tous les jours :
Cette politique libérale n'est-elle pas contre les libertés.

Un bref état des lieux nous en donne un apperçu.

Le Libéralisme c’est surtout contre nos libertés ;

Contre la liberté du travail avec le chômage,

Contre la liberté des RTT et des 35 heures

Contre la liberté d’avoir le temps de travail réglementé

Contre la liberté de vivre décemment avec les bas salaires et de basses retraites,

Contre la liberté d’avoir la retraite à 60 ans,  remise en cause par les gouvernements successifs,

Contre la liberté de vivre bien son travail avec la précarité,

Contre la liberté de travailler avec chômage et délocalisations,

Contre la liberté des jeunes en ne leur offrant rien,

Contre la liberté des ménages avec les prix qui montent,

Contre la liberté syndicale avec la casse du code du travail,

Contre la liberté des immigrés avec les charters de Srakozy,

Contre la liberté d'expression, rien qu'au niveau du forum,

Contre la liberté politique, surtout pour ceux de gauche,

Contre la liberté de religion, quand on est pas chrétien,

et bien d'autres atteintes a nos libertés, vraiment le libéralisme n'est pas un système où l'Homme vit libre et Heureux.

Les libéraux aux abonnés absents, c'est un signe.

[Sagesse Libérale]

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Pas du tout, le marché et le contrat règlent la plupart des rapports entre les hommes (et les femmes) et sont au centre des échanges.

Historiquement, partout dans le monde où le commerce et l'échange ont été fructueux, les sociétés se sont développées et enrichies pour un plus grand bien-être des populations.

Au contraire, lorsque l'on a mis l'État au milieu de ces échanges, lorsque on a confié à l'État la fonction de réguler, de contrôler, de normaliser ces relations, une sorte d'immobilisme et d'étatisme se sont alors créés, non pour améliorer la vie des citoyens, mais pour les obliger à passer par l'intermédiaire de l'État et de ses fonctionnaires protégés.

Et je fais ce constat en tant que fonctionnaire en activité, je fais le constat que l'État, ses administrations ne roulent que pour eux-mêmes, non pour le bien-être général.

Nous en avons des exemples tous les jours en observant les dysfonctionnements majeurs des grands services publics, l'hôpital, la sécurité, l'enseignement public (le privé se porte bien), la police, les services sociaux, les services d'hygiène, la sécurité alimentaire, les collectivités locales, etc...

Ces services dysfonctionnent non par manque de moyens, mais par incurie administrative et par l'excessive centralisation des décisions. Ce ne sont pas les fonctionnaires qui sont en cause, bien plus dévoués que la fausse réputation qu'ils trainent, c'est l'organisation et le pilotage central, qui engouffrent des moyens colossaux pour vivre en vase clos et justifier leur existence.

Alors, plus d'État, non merci, aller revoir votre copie et étudier les sujets de près...

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Le marché pour fonctionner a toujours eu besoin d'institutions hors-marché ne serait-ce que pour faire respecter les contrats. Pour paraphraser Durkheim : le Droit précède le contrat.

Contrairement à une idée répandue les normes ne sont pas uniquement le fruit des pouvoirs publics : l'International Accounting Standards Board est un organisme privé de normalisation. Très souvent les entreprises privées utilisent ces organismes pour mettre en place des normes qui les arrange face à de potentielles concurrentes.

Quant au problème de l'Hôpital Public, il provient de la fameuse loi Hôpital-entreprise qui prétendait gérer l'hôpital comme une entreprise privée : résultat manque d'effectifs, bureaucratie, conditions de travail déplorables.

Sur l'Ecole Publique, là aussi il y a clairement un manque de moyens. Mais vous avez raison, ça n'explique pas tout. On pourrait aussi parler du manque d'exigence au nom de la "bienveillance", ou encore de la place que prennent les parents dans l'institution (aujourd'hui vous demandez à un élève de recopier deux fois la correction qu'il n'a pas prise les parents écrivent à l'inspecteur ! Véridique, c'est un témoignage d'une enseignante de mes connaissances). Le privé a moins de problème ? Peut-être, les familles qui mettent leurs enfants dans le privé sont souvent des familles qui se préoccupent de leurs enfants et surtout le privé peut toujours dire à une famille qu'il ne veut plus de ses enfants.

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